DIDIER DESCHAMPS , ENTRAINEUR DE L'EDF

Anelka
 


Et Didier Deschamps, qui commence seulement à redorer l’image de l’équipe de France après de longues années d’impopularité ? "C’était un gagneur comme joueur, il l’est aussi comme entraîneur, répond l’ancien buteur de Chelsea. Ce n’est pas le hasard. Cela facilite les choses et inspire le respect du groupe. Il a été capitaine, il sait parler aux joueurs, réagir dans les moments délicats. Il faut lui faire confiance. En plus, il entretient de bons rapports avec le président de la fédération {Noël Le Graët, ndlr)."

[*]
Créé le 08/04/2014 - 19:48
Deschamps prêt à faire "beaucoup de malheureux"

A un peu plus de deux mois du début de la Coupe du monde, Didier Deschamps a livré ses impressions à Nice-Matin, dans une interview à paraître mardi. "Je ne ressens pas vraiment le stress ou l'anxiété, plutôt de l'excitation. Vivre un Mondial au Brésil est un rêve, il n'y a rien de plus excitant", a ainsi confié le sélectionneur des Bleus au quotidien régional. Quant à la liste tricolore pour la compétition, DD se dit prêt à assumer ses choix: "Je n'ai pas la faculté de faire plaisir à tout le monde et je vais faire beaucoup de malheureux, je le sais... Mais choisir, trancher: c'est aussi mon job et j'assumerai." Une première liste de 30 noms sera révélée le 13 mai.

[*]
Créé le 08/04/2014 - 19:46

Didier Deschamps présent à Turin
10/04 22h38 - Football, EdF
Le sélectionneur de l’équipe de France, Didier Deschamps, est présent dans les tribunes du Juventus Stadium pour assister au quart de finale de la Ligue Europa entre la Juventus Turin et l’Olympique Lyonnais.

France/Monde - Football - coupe du monde au brésil
Deschamps privilégie le groupe
17/04/2014 05:35
réagir(0) [url=javascript:window.print();][/url]





Didier Deschamps communiquera sa liste de trente joueurs le 13 mai prochain. - (AFP)
A moins d’un mois de la divulgation d’une liste de trente joueurs, le sélectionneur a rappelé hier l’importance de la notion du groupe avant le Mondial.

Qu'attendez-vous de cette Coupe du monde pour les Bleus ?
« Qu'elle soit la plus belle possible. On va partir là-bas avec beaucoup d'ambition et le devoir vis-à-vis du public français de lui faire vivre des émotions et de montrer de la détermination, de la conviction, de l'enthousiasme. L'objectif numéro un est de gagner le premier match contre le Honduras, cela nous placerait idéalement dans la phase de poules. Pour rappel, le dernier match que la France a gagné en phase de poules en Coupe du monde remonte à 2006 et c'était le Togo, avec tout le respect que j'ai pour le Togo. »
" Je prendrai les vingt-trois les plus aptes à aller le plus loin dans la compétition ensemble "
Où en êtes-vous au niveau de la constitution de votre liste ?
« Je l'ai déjà dit, par rapport aux deux ans qui se sont écoulés, j'ai une vingtaine de noms en tête. Je sais que je vais faire des malheureux, mais j'ai des choix à faire. Il y a encore des interrogations et des incertitudes aujourd'hui. Il y a la vérité du terrain, mais il y a aussi la notion de groupe qui est fondamentale pour une Coupe du monde. Faire la prochaine liste, ce n'est pas comme faire une liste pour un match amical ou une double confrontation. Il y a des caractères, des personnalités, ce n'est pas évident. Quand je dis que je ne prendrai pas les vingt-trois meilleurs joueurs, ça veut dire que je prendrai les vingt-trois les plus aptes à aller le plus loin dans la compétition ensemble. »
Quels sont justement vos critères pour constituer cette liste ?
« Le critère de forme a aujourd'hui peu d'importance, c'est plus le potentiel du joueur qui m'intéresse, ce qu'il est capable de faire ou ce qu'il a fait avec son club, ce qu'il a fait avec l'équipe de France s'il a déjà été appelé. Après, sur une période de dix mois de compétition, il y a toujours une période d'un mois et demi, deux mois, où tous les joueurs sont moins bien. Il vaut mieux bien finir la saison plutôt que de bien la commencer et mal la finir, mais ça reste relatif pour moi. »
Avez-vous fait le choix entre une liste de trente noms et une liste de vingt-trois avec sept réservistes ?
« Je communiquerai cela le 13 mai. J'y réfléchis depuis un petit moment, même avant que l'on soit qualifié. Il n'y a pas une bonne solution de tous points de vue. Il y a une opposition entre une logique sportive et une logique humaine. Donc, je vais prendre la solution la moins mauvaise. »
Y a-t-il un avant et un après barrages pour les Bleus ?
« Bien évidemment. Sur les vingt-quatre joueurs, mis à part trois qui étaient en finale en 2006, aucun n'avait vraiment un lien positif avec le maillot de l'équipe de France. Là, ils l'ont. Parce qu'il y a eu des émotions, une communion. C'est un élément fondateur sur lequel je compte m'appuyer. Le haut niveau, c'est être capable de rééditer ces performances dans le temps. Le niveau de l'équipe de France, c'est le match aller en Ukraine ou le match retour ? On est capable de faire les deux. Aujourd'hui, on ne fait pas partie des six-huit meilleures nations mondiales ou européennes. »

VIDEO http://www.sudouest.fr/2014/04/16/didier-deschamps-je-ne-prendrai-pas-les-23-meilleurs-joueurs-1527544-8.php

http://www.sudouest.fr/2014/04/16/didier-deschamps-je-ne-prendrai-pas-les-23-meilleurs-joueurs-1527544-8.php
Didier Deschamps: "Je ne prendrai pas les 23 meilleurs joueurs"
3 commentaires
Publié le 16/04/2014 à 15h51 , modifié le 16/04/2014 à 16h47 par
SudOuest.fr, avec AFP


VIDEO - Le sélectionneur de l'équipe de France a souligné que la notion de groupe serait "fondamentale" au moment de choisir les joueurs qu'il amènera à la Coupe du monde au Brésil
Le sélectionneur de l'équipe de France a avoué avoir encore des "incertitudes" concernant les joueurs qu'il choisira pour la Coupe du monde au Brésil © Photo
AFP FRANCK FIFE









Publicité
A
moins de deux mois du début du Mondial 2014, il se pose encore de nombreuses questions. Le sélectionneur Didier Deschamps a déclaré mercredi dans un entretien avoir encore des doutes avant de divulguer le 13 mai une liste de 30 joueurs.

Publicité
 

"J'ai une vingtaine de noms en tête"  

 
"Je l'ai déjà dit, par rapport aux deux ans qui se sont écoulés, j'ai une vingtaine de noms en tête. Je sais que je vais faire des malheureux, mais j'ai des choix à faire. Il y a encore des interrogations et des incertitudes aujourd'hui. Il y a la vérité du terrain mais il y a aussi la notion de groupe qui est fondamentale pour une Coupe du monde", a-t-il expliqué.
"Faire la prochaine liste, ce n'est pas comme faire une liste pour un match amical ou une double confrontation. Il y a des caractères, des personnalités, ce n'est pas évident. Quand je dis que je ne prendrai pas les 23 meilleurs joueurs, ça veut dire que je prendrai les 23 les plus aptes à aller le plus loin dans la compétition ensemble", a-t-il ajouté. 
 

"Il y a une opposition entre une logique sportive et une logique humaine"  

Il n'a, en revanche, pas voulu préciser s'il soumettrait à la Fifa le 13 mai une liste de 30 noms ou une liste de 23 joueurs plus 7 réservistes. Celle-ci devra être réduite à 23 le 2 juin. 
"J'y réfléchis depuis un petit moment, même avant que l'on soit qualifié. Il n'y a pas une bonne solution de tous points de vue. Il y a une opposition entre une logique sportive et une logique humaine. Donc, je vais prendre la solution la moins mauvaise", a-t-il réagi. 
Deschamps n'a également pas souhaité s'épancher sur les cas de Samir Nasri et d'Eric Abidal, qui n'ont plus revêtu le maillot bleu depuis le barrage aller du Mondial-2014 perdu en Ukraine (2-0), réaffirmant qu'il n'y avait "pas de condamnation" les concernant.



[url=http://www.sudouest.fr/2014/04/16/didier-deschamps-je-ne-prendrai-pas-les-23-meilleurs-joueurs-1527544-8.php][/url]

[url]
[/url]

Deschamps : Zidane, «le cadet de mes soucis»

17partages Tweeter Partager Partager

17partages Tweeter Partager Partager

5
a+ a- imprimer RSS



Didier Deschamps ne se sent pas menacé par Zinedine Zidane. Dans un entretien accordé au CFC, le technicien est revenu sur la révélation faite par Noël Le Graët concernant la candidature de Zinedine Zidane au poste de sélectionneur dans la foulée de l’Euro 2012. «C’est le cadet de mes soucis, a-t-il indiqué. C’est bien pour lui qu’il ait choisi de devenir entraineur. J’ai été confronté à ça et j’ai payé le prix fort : je n’ai jamais pu finir une interview sans avoir la question "alors, un jour, sélectionneur ?"»

Deschamps: ''C'est mieux de chanter La Marseillaise''




La Marseillaise et l'équipe de France, cela fait parler, on le sait. Invité ce mercredi matin de Bourdin Direct, sur BFM TV, Didier Deschamps a évoqué le sujet… "De quel droit, moi, sélectionneur, je leur imposerais de la chanter ? Je sais que ça fait débat, a poursuivi le sélectionneur des Bleus, mais quand on rencontre des équipes, je regarde nos adversaires et il y en a beaucoup qui ne chantent pas. Au-delà de la chanter - et c'est mieux qu'ils la chantent -, c'est l'attitude qui compte. On doit être préparé au combat. On a le devoir de donner et d'être dans l'implication."

Algérie-Bo...

Les 23 Anglais dévoilés le 12 mai

Angleterre: Townsend privé de Mondial

Italie: Prandelli va emmener Balotelli au Mondial

Brésil: Scolari annonce déjà 8 joueurs

• réagir
  
• facebook
  
• twitter
  
• directchat
  
• alerting
  

Orange Sports 30-04-2014 - 16:36
par Axel Capron
La liste des 23 annoncée au JT de TF1 le 13 mai








C'est le mardi 13 mai lors du Journal télévisé de 20h de TF1 que Didier Deschamps dévoilera une liste de 30 joueurs pré-sélectionnés pour la Coupe du monde 2014. Le sélectionnera donnera dans la foulée une conférence de presse pour expliquer ses choix, il aura ensuite jusqu'au 2 juin, date obligatoire de la communication des listes des 23 à la Fifa, pour choisir les 7 joueurs qui resteront au pied de l'avion pour le Brésil.

Les plans secrets de Didier Deschamps
vendredi 9 mai 2014
RAPHA�L RAYMOND

Didier Deschamps annoncera, mardi soir, une première liste de joueurs retenus pour la Coupe du monde au Brésil (12 juin-13 juillet). (Photo Jean-Louis Fel/L'Équipe)




Tweet



a+ a- imprimer RSS


Didier Deschamps annoncera, mardi soir, une première liste de joueurs retenus pour la Coupe du monde au Brésil (12 juin-13 juillet). Une liste dont les contours se précisent et qui pourrait réserver des surprises.

DANS UN MOIS exactement , les vingt-trois Bleus retenus par Didier Deschamps poseront le pied sur le sol brésilien. Mardi, aux alentours de vingt heures, ils seront sans doute un peu plus du double à suivre le journal de 20 heures de TF 1, où le sélectionneur doit annoncer les trente premiers noms. Dix-huit d'entre eux, ceux qui forment le noyau dur depuis près de deux ans, n'ont rien à... redouter

Mondial 2014. Deschamps : « Connaître les hommes »
France - 13 Mai
écouter

• Didier Deschamps a expliqué ses choix. | AFP
  

• Facebook
  
• Twitter
  
• Google+
  
• 
  
• Achetez votre journal numérique
  

Le sélectionneur, qui a dévoilé mardi sa liste de 23, plus 7 réservistes, est revenu sur l'importance de la vie de groupe.

Connaissiez vous vos 23 et 7 depuis longtemps ?
Je connais le groupe de joueurs, j'en ai brassé pendant deux ans... Sur ce point je suis dans une logique sportive, je ne fais pas une liste pour 3 ou 10 jours, on est parti pour 5, 6 semaines, plus j'espère. Bien connaître les joueurs, mais aussi les hommes permet de bien appréhender les choses.
 Les jurisprudences 1998 ou 2008 ont-elles pesé dans cette liste dépareillée ?
La logique humaine de désigner 23 joueurs est la moins mauvaise, car les joueurs choisis sont pleinement concernés pour la compétition. Les réservistes le seront officiellement le 2 juin, mais les laisser dans la nature avec un programme qu'ils suivraient ou pas, était un risque trop élevé à prendre. C'est pourquoi j'ai décidé de les incorporer jusqu'au 28 mai. Entre cette date et la date limite du 2 juin, ils auront fait de l'entraînement, une préparation collective, ils auront vécu avec le groupe. C'est important.
L'absence de Nasri s'explique-t-elle à travers son comportement ?
Je le répète, quand il est remplaçant, il n'est pas content. Ca se sent et ça se ressent dans le groupe. Samir, Je l'ai vu rentrer, vu débuter, vu ne pas jouer... Je l'ai dit depuis mars, je ne suis pas sur la forme du moment, même si on peut toujours avoir une dernière impression. Samir a beaucoup de qualités, mais ces performances en Bleu ne sont pas à la hauteur de celles qu'il a avec Manchester City ; il est important là-bas, il est titulaire. Ce n'est pas le cas en équipe de France.
Celle d'Abidal a été compliqué à décider ?
Cela a été difficile, de par ce qu'il est, ce qu'il a traversé. Je lui ai donné un espoir, je le sais. Certes il avait un niveau de compétition qui ne prêtait pas à discussion en début de saison. Mais ce n'était pas le cas ces derniers mois. Et puis c'est un joueur qui a un statut... Quand vous vous retrouvez dans un groupe avec ce statut, mais ne jouerez pas, ce n'est pas une bonne chose.
Y a-t-il un risque de prendre dans les 23 Griezmann et Digne qui ne comptent qu'une sélection ?
Les risques peuvent aussi exister avec un joueur de 30 ou 50 sélections... Ceux qui n'ont pas d'expérience, il faut leur donner du temps de jeu. Ca va être leur première compétition internationale, ça va leur permettre de se préparer pour le futur. Autour d'eux d'autres ont déjà un vécu, ont accumulé de l'expérience. Ca permet d'avoir un groupe équilibré".
Que pouvez-vous nous apprendre sur Morgan Schneiderlin, un des sept réservistes ?
Il est méconnu du grand public, car il ne joue pas dans un grand club anglais. Mais on le suit depuis plusieurs mois, il est sur deux très bonnes saisons, il est performant dans un registre de milieu relayeur. Il a beaucoup de volume, de justesse, il marque quelques buts, il est capable de se projeter vers l'avant. Il a aussi connu des sélections chez les jeunes.
Selon quel profil avez vous choisi vos réservistes ?
C'est leur poste, leur polyvalence, la façon dont il vont vivre avec nous... Il y a des joueurs que j'avais pris souvent ces deux dernières années et auxquels je ne pouvais réserver ce sort de réserviste, si je ne les prenais pas chez les 23. C'est le cas de Clichy ou Payet.
Après le fiasco de Knysna en 2010, l'harmonie sera-t-elle primordiale dans le groupe ?
Mais je ne suis pas là pour préparer ce Mondial en pensant au passé ! Il y a des joueurs qui ne vont pas jouer, d'autres oui. Ca demande une harmonie et ça implique de faire passer avant tout l'intérêt collectif. Tous seront importants, même celui ou ceux qui ne jouent pas, mais on est là pour aller au bout de nos intentions.
Quel est justement votre objectif sportif ?
Gagner le premier match contre le Honduras. Après on verra.

Comment Deschamps a choisi
Didier Deschamps a livré mardi soir sa liste des 23 joueurs retenus pour le Mondial, à laquelle s'est greffée une liste de sept réservistes. Comment a-t-il procédé pour faire ses choix ? Eléments de réponse.

78partages Tweeter Partager Partager

78partages Tweeter Partager Partager

57
a+ a- imprimer RSS


Didier Deschamps a choisi d'annoncer directement une liste de 23, pour ne pas instaurer de clmiat d'insécurité, dit-il. (L'Equipe)




Pourquoi 23 + 7 et non 30 ?

En 1998, à l’époque d’Aimé Jacquet, Didier Deschamps avait vécu de l’intérieur le départ en catimini de Nicolas Anelka, Ibrahim Ba, Martin Djetou, Pierre Laigle, Sabri Lamouchi et Lionel Letizi. En décidant de livrer une liste de 23 noms + sept réservistes plutôt qu’une liste globale de 30 joueurs, le technicien estime avoir choisi «la moins mauvaise solution». «Ça permet d’avoir 23 joueurs concernés, de créer tout de suite un état d’esprit, a-t-il souligné. Il n’y a pas de climat d’insécurité alors qu’avec 30 joueurs, il y en a une quinzaine qui auraient pu être inquiets». Cela n’empêchera pas les sept réservistes de se rendre à Clairefontaine dès le 18 mai, premier jour du rassemblement des Bleus. En sachant pertinemment qu’ils ne seront là qu’«au cas où…»



Pourquoi ces 23-là ?

Didier Deschamps l’avait annoncé : il ne choisirait pas les 23 meilleurs joueurs, mais bien les 23 éléments qui, à ses yeux, donnaient le plus de garanties pour que l’équipe de France soit compétitive. «Vivre ensemble au moins six semaines, ce n’est pas la même chose que sur trois jours ou dix jours, a-t-il rappelé. Il n’y a pas que le footballeur, il y aussi le plan humain. Il faut connaître les hommes, ça permet de mieux appréhender les choses.» Cette logique de groupe a notamment été fatale à Samir Nasri, dont l’agacement était trop perceptible quand il ne jouait pas. Mais elle n’est pas la seule sur laquelle le sélectionneur s’est appuyé. Assuré d’être toujours à la tête des Bleus lors de l’Euro 2016, Deschamps a déjà préparé l’avenir en convoquant des éléments tels que Griezmann, Digne ou encore Mangala.



Pourquoi ces 7 réservistes-là ?

Parmi les 7 réservistes retenus par Didier Deschamps, trois (Cabella, Schneiderlin et Perrin) n’ont jamais été appelés en équipe de France. Les quatre autres (Ruffier, Trémoulinas, Gonalons et Lacazette), eux, n’y ont fait que de brèves apparitions. Pourquoi eux ? Du propre aveu du sélectionneur, il était plus facile de retenir ces éléments-là que des joueurs type Nasri ou Clichy, qui avaient davantage de vécu au sein du groupe. «A partir du moment où je ne les ai pas pris dans les 23, il était inconcevable que je les prenne en réservistes», a indiqué le technicien. Autre élément qui a fait pencher la balance : la polyvalence. Lacazette, par exemple, peut jouer en pointe ou sur une aile.

Deschamps: Les relations sexuelles ? "Ca dépend où, combien et comment"








Interrogé ce mardi dans les locaux de TF1 sur un sujet qui revient toujours en période de Coupe du monde, à savoir s'il vaut mieux pour les joueurs s'abstenir ou non d'avoir des relations sexuelles pendant la compétition, Didier Deschamps, le sélectionneur des Bleus, a répondu avec un sourire en coin: "Je ne suis pas médecin, je suis sélectionneur ! Certaines compagnes de joueurs viendront et pourront voir leur mari, des enfants aussi pourront voir leur papa. Après, tout dépend quand, comment et combien. Tout dépend où tu places le curseur."

https://www.youtube.com/watch?v=qSDCsEzka1c

Mondial-2014. Didier Deschamps prend aussi des risques

Publié le 15/05/2014 à 08:41

équipe de France. Deschamps n'a pas fait qu'écarter Abidal et Nasri, le sélectionneur s'est lancé des paris

Le Basque a avoué avoir vécu des derniers jours «intenses» avant de livrer son verdict./ AFP




Une petite faiblesse au cœur et un manque de souffle flanc gauche. Ce qui ne veut pas dire pour autant que l'équipe sera dépourvue de coffre…
à la (bonne) relecture–après une nuit de réflexion – de la déjà célèbre liste des «23 + 7» donnée par l'entraîneur national mardi soir, deux interrogations sont, à notre sens, à soulever. Partant du constat que les Bleus évolueront dans leur schéma estampillé Rio, c'est-à-dire avec 3 milieux plus 3 attaquants. Tableau noir.
Au match retour du barrage qualificatif face à l'Ukraine, on l'a (re)vu, le système de «DD» fait des merveilles – à condition qu'il soit bien outillé. Comprendre : le 4-3-3 de Didier Deschamps ne vaut que grâce à la bonne tenue de son entrejeu. Autrement formulé encore, si jamais une des pièces du trio axial Pogba-Cabaye-Matuidi vient à être défaillant, le château de cartes pourrait s'affaisser. Voire s'écrouler. On entend par «défaillant» être absent (blessé, suspendu) ou moins performant. Ces deux cas de figure peuvent ne jamais avoir lieu. Mais dans une compétition aussi longue et éprouvante que doit se révéler une Coupe du monde, il y a quand même plus de chances que l'accident arrive. Surtout à considérer l'état physique des 3 joueurs en question.
Même s'il communique tous les jours via les réseaux sociaux sur l'évolution rassurante de sa malléole droite meurtrie par le Lillois Martin le week-end passé, Yohan Cabaye aura de facto une préparation tronquée. Deuzio, l'on est également à même d'émettre quelques doutes sur son «rythme». Depuis son arrivée au Paris-SG lors du mercato hivernal, ce formidable couteau suisse au milieu du terrain n'a été que 9 fois titulaire en L1 sur un total de 15 matches. Aura-t-il la carburation nécessaire… Paul Pogba et Blaise Matuidi, qu'on peut aisément qualifier de vrais jumeaux (ce sont les 2 percuteurs du XI tricolore, le Turinois à droite et le Francilien à gauche), sortent eux, contrairement à Cabaye, d'une saison où ils n'auront pas chômé : 54 matches toute compétition confondue pour le champion d'Italie, 1 de plus pour le roi de France.
Alors, même avec deux rates…
Les suppléants ? C'est là que le bât blesse. Lorsqu'on regarde les autres milieux des 23, on ne trouve pas chaussure à notre pied – si ce n'est en sentinelle avec Mavuba (Lille). Car en relayeur n'émarge que le seul Sissoko (Newcastle) qui, encore, sous le maillot du Coq a souvent été exilé côté droit ; Grenier (OL) et Valbuena (OM) sont des N°10.
On en viendrait presque à souhaiter que Grenier soit jugé «trop juste» de retour de pubalgie. Et remplacé par le réserviste de Southampton MorganSchneiderlin !
Bien qu'il affiche une forme moins étincelante depuis un bon mois, Franck Ribéry demeure le maillon fort de la sélection. En un coup de reins, le Bavarois est toujours capable de renverser le cours d'un match.
Problème : le groupe complet de Didier Deschamps ne présente pas vraiment de doublure sur l'aile gauche. Griezmann a beau avoir été son remplaçant lors du dernier test face aux Pays-Bas, le feu-follet de la Real Sociedad a d'abord été pris pour le couloir droit. Même topo pour le Magpie Rémy ou, à un degré moindre, le Lyonnais Lacazette. Même l'Héraultais Cabella est un vrai 7.
Par contre, un certain… Dédé Gignac (OM) aurait aimer se déporter à gauche.

ÉQUIPE DE FRANCE
Deschamps- Nasri,
le feuilleton continueTrois jours après sa non-sélection
pour le Mondial2014, le cas
Samir Nasri continue d’agiter le
foot français: le sélectionneur
de l’équipe de France Didier
Deschamps a porté plainte
auprès du TGI de Paris contre sa
compagne qui l’avait copieusement
insulté sur Twitter.
L’attaquant de Manchester City
n’est pas directement visé par la
procédure, mais ce nouveau développement
n’est qu’un épisode
de plus de sa relation mouvementée
avec les Bleus.
La Fédération française de
football n’a, de son côté, pas accompagné
Deschamps dans
ses poursuites, mais a indiqué
dans un communiqué "soutenir
pleinement (...) dans sa démarche"
l’ancien joueur et ent
r a î n e u r d e l ’ O M .
"L’indignation unanime suffit à
condamner un tel comportement",
a-t-elle ajouté.
Les faits remontent à mardi
quand Anara Antanes, mannequin
qui partage la vie de Nasri,
s’était emportée sur le réseau
social en injuriant la France et
Deschamps à l’annonce de
l’absence du Mancunien de la
liste des 23 pour la coupe du
monde. "Nique la France, Nique
Deschamps! Quel coach de
merde" ("Fuck France and fuck
Deschamps! What a shit manager"),
a-t-elle écrit alors que le
joueur (26 ans, 41 sélections)
avait eu une réaction beaucoup
plusmesurée : "Merci à tous vos
messages de soutien c’est la vie
une autre coupe du monde à la
maison, se qui ne tue pas rends
plus fort (sic)".

OM : "Mandanda, un coup dur" (Deschamps)

Marseille / Publié le Lundi 19/05/2014 à 16H19



Didier Deschamps est revenu, ce lundi après-midi, sur le forfait de Steve Mandanda pour la coupe du monde.

"Il était présent à tous les rassemblements. Dans son rôle de gardien et dans le fonctionnement du groupe, il amène sa joie de vivre. J'ai eu la chance de l'entraîner pendant trois ans (à l'OM, ndlr). Je suis triste pour lui, ses camarades le sont également. Mais c'était injouable pour lui d'être disponible pour ce qu'il nous attend. C'est un coup dur, même si ça arrive à d'autres nations. Pour lui, jouer une coupe du monde était un objectif important", a souligné le sélectionneur national.

Pour rappel, Steve Mandanda, touché aux cervicales contre Guingamp, samedi, se faisait une joie de prendre part à cette compétition. "Jouer une coupe du monde, c'est quelque chose de grand ; au Brésil, c'est encore plus grand", déclarait le capitaine de l'OM en fin de semaine passée.

Deschamps : «Le rôle de gardien n°3 est ingrat. C'est le seul qui est sûr de ne pas jouer»

Publié le 20/05/2014 à 03:48

Mondial-2014. équipe de France. Les premiers joueurs sont arrivés, hier, à Clairefontaine. L'occasion pour le sélectionneur de faire une revue d'effectif.

Fidèle à lui-même, « DD » a déclaré : « L'important, c'est le 15 juin. »/ AFP




Les Bleus ont débuté, hier, le stage de préparation pour le Mondial. Seuls les joueurs libérés de leurs obligations avec leurs clubs depuis une semaine étaient présents.
L'équipe de France a débuté, hier, à Clairefontaine son stage de préparation pour le Mondial-2014. Une première journée tout en douceur pour les 9 premiers arrivés et pour Didier Deschamps, qui a annoncé vouloir prendre son temps avant de désigner son gardien n°2 suite au forfait de Mandanda.
Si les apparitions des huit Bleus déjà déchargés de leurs obligations avec leurs clubs depuis une semaine (Lloris, Debuchy, Sakho, Mangala, Evra, Sissoko, Rémy, Schneiderlin) étaient prévues, celle de Benoît Trémoulinas l'était moins. «Il a un petit souci au mollet depuis une quinzaine de jours, a déclaré le sélectionneur. C'était bien d'être là, de voir le staff médical pour faire en sorte d'avoir un travail adapté.»
L'arrière gauche de Saint-Étienne a donc devancé ses collègues de Ligue 1, qui ne débarqueront que demain en compagnie des pensionnaires de Serie A, de Liga (moins Benzema et Varane), d'Arsenal, et de Franck Ribéry (18 au total).
Un travail qualitatif avant le physique
Aucun entraînement n'a été programmé pour les premiers appelés du contingent bleu, le but recherché par le staff étant une reprise progressive et individualisée en fonction de l'état physique de chacun.
«On travaille plus le qualitatif, car le staff est plus nombreux que les joueurs aujourd'hui, a noté Deschamps. On ne rentre pas dans le dur, on y va progressivement. Il y aura du travail avec ballon aussi. La sélection Espoirs est là jusqu'à vendredi. Avant l'arrivée du gros de la troupe, demain après-midi, on pourra mixer.»
État des lieux des blessés
Concernant les blessures de certains internationaux, Deschamps s'est voulu assez rassurant, précisant même que le milieu parisien Yohan Cabaye, sévèrement touché à une cheville, pourrait être apte pour le premier amical de la préparation, le 27 mai contre la Norvège au Stade de France. Raphaël Varane (genou) et Clément Grenier (pubalgie) ont joué le week-end dernier en club, alors que le pépin de Loïc Rémy (cheville) a été jugé «bénin» par «DD». À moins d'une semaine de la finale de la Ligue des champions (24 mai), le cas de l'attaquant du Real Madrid Karim Benzema (contracture) ne semblait pas non plus le préoccuper.
Hiérarchie des gardiens : Deschamps n'a pas tranché
Au lendemain du forfait de Steve Mandanda, la question de l'identité du portier n°2 a été le fil rouge de la première conférence de presse de Deschamps. Le sélectionneur veut prendre son temps avant de se décider et souhaite surtout consulter les principaux intéressés.
«Hugo (Lloris) est arrivé ce matin, j'attendrai que Mika (Landreau) et Stéphane (Ruffier) nous rejoignent (demain), que je les voie et que je puisse discuter avec eux. Après nous saurons le plus vite possible», a-t-il indiqué. Sans donner de piste sur son choix entre Landreau et Ruffier comme doublure du capitaine Lloris, le patron des Bleus a tout de même avoué que le rôle de gardien n°3 était «particulier». «S'il y en a un sur les 23 qui ne va pas jouer du tout c'est bien celui-là. C'est un rôle ingrat mais ce sera le gardien le plus sollicité aux entraînements. Il doit mettre les deux autres dans les meilleures conditions. Humainement, ce n'est pas évident. Dans une liste, tout le monde a envie d'être actif.»
Fidèle à sa retenue, Lloris a botté magistralement en touche. «Moi, je reste joueur. C'est le sélectionneur qui fait les choix et il fera les meilleurs comme il a l'habitude de les faire.»

Didier Deschamps choisira plus tard son gardien numéro 2
1 commentaire
Publié le 19/05/2014 à 16h03 , modifié le 19/05/2014 à 16h34 par
SudOuest.fr avec AFP


Le sélectionneur devra trancher entre Mickaël Landreau et Stéphane Ruffier en vue du Mondial
Stéphane Ruffier et Mickaël Landreau © Photo
AFP









Publicité
S
i Hugo Lloris venait à se blesser ou à être suspendu pendant la Coupe du monde au Brésil, quel gardien entrerait en jeu ? Mickaël Landreau ou Stéphane Ruffier ? Pour le moment, le sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps n'a pas tranché. Après le forfait de Steve Mandanda, il préfère attendre les arrivées de ses trois portiers à Clairefontaine.

Publicité
"Hugo (Lloris, ndlr) est arrivé ce matin, j'attendrai que Mika (Landreau, ndlr) et Stéphane (Ruffier, ndlr) nous rejoignent, que je les voie et que je puisse discuter avec eux. Après nous saurons le plus vite possible", a déclaré Deschamps, interrogé sur l'ordre de ses gardiens derrière le n°1 et capitaine Lloris.
Landreau et Ruffier, passé du statut de réserviste à la liste des 23 pour le Brésil, doivent rejoindre le rassemblement mercredi, comme les autres joueurs de L1, d'Italie, d'Espagne, d'Arsenal et Franck Ribéry, tous sur le pont ce week-end et qui ont droit à quelques jours de repos.
Karim Benzema et Raphaël Varane, finalistes de la Ligue des Champions le 24 mai avec le Real Madrid contre l'Atletico Madrid, ne devraient débarquer que le 28 mai.
Deschamps a également confirmé qu'il ne prendrait pas de joueur supplémentaire dans sa liste des réservistes pour pallier le passage de Ruffier chez les 23.
"J'ai trois gardiens pour un poste, il y a d'autres gardiens de qualité même si c'est un poste beaucoup occupé par des étrangers, a-t-il expliqué. Selon le règlement (de la Fifa, ndlr), je ne peux pas en prendre jusqu'au 2 juin. J'espère ne pas avoir à changer encore. Mais on s'est préparé au cas où, s'il y a un nouveau contre-temps et impondérable. Aujourd'hui, ce n'est pas nécessaire."
La liste des 30 joueurs soumise à la Fédération internationale (Fifa) est immuable jusqu'au 2 juin. A partir de cette date, un joueur ne pourra être remplacé que s'il a été gravement blessé au plus tard 24 heures avant le coup d'envoi du premier match de son équipe.
"Le rôle de n°3 est un rôle particulier parce que s'il y en a un sur les 23 qui ne va pas jouer du tout c'est bien celui-là, a-t-il poursuivi. C'est un rôle ingrat mais ce sera le gardien le plus sollicité, notamment aux entraînements. Il doit faire en sorte de mettre dans les meilleures conditions les n°1 et n°2. Humainement, ce n'est pas évident parce que dans une liste tout le monde a envie d'être actif."

Deschamps
autorise TweeterAlors que le sélectionneur
tricolore avait entretenu un
certain flou concernant
l’utilisation (ou non) des réseaux
sociaux durant le Mondial,
Rio Mavuba a assuré
hier que les Bleus n’avaient
reçu "aucune consigne particulière".
"Le coach ne nous
interdit rien, a-t-il indiqué.
Il faut faire attention à ce
qu’on dit, mais ça, c’est comme
tous les jours. C’est à
nous de gérer

Le Graët: «Même pas en rêve de discuter un choix de mon sélectionneur»

48partages Tweeter Partager Partager

48partages Tweeter Partager Partager

16
a+ a- imprimer RSS



Invité à réagir sur un sujet diffusé sur Canal + à propos des bannis de l’équipe de France, Noël le Graët est resté évasif sur le cas Samir Nasri, qui ne participera pas au Mondial au Brésil cet été. Le président de la FFF a surtout conforté Didier Deschamps. «Le métier de sélectionneur est très difficile, il faut partir à 23, chaque homme agit en son âme et conscience. Un autre ferait une autre sélection, a-t-il expliqué. Le sélectionneur est le maître des lieux. Même pas en rêve de discuter un choix de mon sélectionneur. J’ai une estime profonde pour son métier, c’est lui qui est dans les vestiaires, sur le terrain.»

Le président de la Fédération est tellement content du travail de Deschamps qu'il le verrait même bien un jour à sa place, à la tête de la FFF: «Oui. Pourquoi pas. D’ailleurs je lui en ai parlé. Pour le moment il est sur le terrain, il n’y a rien de plus beau que le terrain, mais c’est quelqu’un de rassurant, qui a une ligne de conduite, qui écoute. Le mot rassurant lui convient parfaitement.»

Mondial 2014. Deschamps plébiscité par les Français (sondage)
France - 25 Mai
écouter

• Près de 80% des Français ont une bonne opinion du sélectionneur Didier Deschamps. | Photo Reuters
  

• Facebook
  
• Twitter
  
• Google+
  
• 
  
• Achetez votre journal numérique
  

78% des Français ont une bonne opinion du sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps, selon un sondage BVA publié par Le Parisien dimanche.

Le patron des Bleus est considéré par 39% des sondés comme le "meilleur sélectionneur depuis 20 ans", loin toutefois derrière Aimé Jacquet, champion du monde en 1998 (81%). Son prédécesseur Laurent Blanc ne recueille que 18% des suffrages, devant Roger Lemerre (14%), pourtant champion d'Europe en 2000, et Raymond Domenech (10%), finaliste du Mondial en 2006 quatre ans avant le fiasco de Knysna. Jacques Santini (2002-2004) ferme la marche (8%).
Nasri écarté : les Français lui donnent raison à 75%
Les choix de Deschamps font l'objet d'un véritable plébiscite puisque 67% des Français se disent satisfaits de la liste de joueurs retenus pour la Coupe du monde et 75% lui donnent raison d'avoir écarté l'attaquant Samir Nasri.
"Sérieux" (83%), "compétent" (81%), "simple" (80%), "sympathique" (77%) ou "intelligent" (72%) sont parmi les adjectifs qui correspondent le mieux au sélectionneur selon les Français.
Près de 70% souhaitent qu'il soit là lors de l'Euro 2016
Enfin, 69% d'entre eux souhaiteraient que Deschamps, sous contrat jusqu'en 2016, poursuive sa mission à l'Euro-2016 en France même en cas d'échec au Brésil.
Sondage BVA réalisé auprès d'un échantillon de 1011 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, recruté par téléphone et interrogé par internet les 22 et 23 mai