LOLO BLANC, ANCIEN ENTRAINEUR DE L'EDF

PSG - Blanc espère qu'Ibrahimovic sera un exemple

(AFP) Jeudi 27 juin 2013



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Laurent Blanc, nouvel entraîneur du Paris SG, espère que Zlatan Ibrahimovic, qu'il entend "coacher comme les autres", soit "un exemple au niveau de son attitude pour les autres joueurs".

"C'est un joueur important pour le PSG, a admis Blanc jeudi lors de sa présentation officielle. Il faudra le coacher comme les autres joueurs. Il a prouvé que c'était un grand joueur et un grand professionnel. J'attache beaucoup d'importance à ça".

"Avec son statut, j'espère qu'il sera un exemple au niveau de son attitude pour les autres joueurs, a poursuivi le technicien. Il fait partie des leaders et j'espère qu'il va tirer le groupe vers le haut", a ajouté Blanc.

Ibrahimovic avait ouvertement regretté au printemps le départ de Carlo Ancelotti (passé sur le banc du Real Madrid après 18 mois à Paris): "Je n'ai jamais eu un entraîneur comme Carlo, et pour moi c'est quelque chose de nouveau. J'ai été habitué à une discipline de fer, avec Mourinho, Capello, ce qui m'a fait grandir, mais la méthode Carlo est plus douce, plus patiente. Il responsabilise les joueurs, les fait se sentir en confiance".

PSG - Blanc : "Etre ferme et fédérer"

(AFP) Jeudi 27 juin 2013



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"A moi d'instaurer des règles, les appliquer, être ferme, essayer de fédérer", a répondu Laurent Blanc, nouveau coach du Paris SG, interrogé jeudi par la presse sur sa capacité à gérer un vestiaire rempli de stars, lui l'entraîneur de club sans grande expérience.

"Les résultats feront que ce sera facile ou difficile, à moi d'instaurer des règles, les appliquer, être ferme, essayer de fédérer tout le monde dans un projet de jeu, pour essayer d'être meilleurs, je l'espère, que l'année dernière", a dit le coach lors de sa présentation devant la presse.

"Dans tous les grands clubs, les vestiaires sont difficiles, a-t-il admis. En tant qu'entraîneur, j'ai eu un seul club, Bordeaux (2007-10), mais en tant que joueur j'ai fait partie de ces vestiaires difficiles à gérer".

Plus généralement, Blanc constate que "la pression médiatique comme entraîneur du PSG est aussi importante voire plus que celle de sélectionneur", poste qu'il a occupé de 2010 à 2012 à la tête de l'équipe de France.

"On attend toujours du PSG une victoire, la pression fait partie du métier, c'est vrai qu'entraîneur, on est davantage exposé que sélectionneur, entraîneur de club ce n'est pas le plus facile, mais c'est ce qui m'intéresse".

PSG : les hommes du «Président»

Laurent Blanc détaille la liste des personnes qui l'entoureront pour entraîner le PSG. Si le nom de Jean-Louis Gasset est confirmé, celui de Claude Makelele ne l'est pas encore.



Interrogé sur la composition de son équipe pour diriger l'entraînement du PSG, Laurent Blanc se montre précis pour certains noms et évasifs pour d'autres. En effet, les discussions sont encore en cours pour certaines personnalités, dont Claude Makelele. «On ne rentrera pas aujourd'hui dans les détails» s'excuse le «Président».

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Psg-les-hommes-du-president/381895 a écrit:

PSG-Al-Khelaifi: "J’ai confiance en Laurent Blanc"
La conférence de presse de présentation de Laurent Blanc, le nouvel entraîneur du PSG, a démarré ce jeudi à 15h par un speech de bienvenue du président Nasser Al-Khelaifi: "Je suis très heureux de vous présenter notre nouveau coach. Vous le connaissez tous. Il a été un grand joueur, il a joué avec les plus grands clubs d’Europe. Il est champion du monde, champion d’Europe. J’ai confiance en lui pour mettre le club sur la bonne voie et atteindre nos objectifs. J’espère qu’il mènera l’équipe vers un quatrième titre", a confié le patron du club de la capitale.

Créé le 27/06/2013 - 15:30
PSG-Blanc: "On discute pour composer le staff"
A l'occasion de sa première conférence de presse comme entraîneur du PSG, tenue jeudi après-midi au Parc des Princes, Laurent Blanc a évoqué la composition de son futur staff. L’ex-sélectionneur des Bleus a confirmé la présence de Jean-Louis Gasset et Claude Makelele en tant qu’adjoints. Pour le reste, rien n'est arrêté: "On discute pour composer le staff, il y a des allées et venues, on discute, ce n’est pas déterminé."

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Blanc-le-doigt-de-la-discorde/382248

Blanc, le doigt de la discordeLe nouvel entraîneur du Paris-SG, Laurent Blanc, a répondu jeudi à sa manière à une question de notre journaliste Henri Ghnassia qui portait sur la fin de sa période de chômage.

http://www.varmatin.com/sports/video-laurent-blanc-au-cannet-le-psg-une-tres-belle-opportunite.1290142.html

VIDEO. Laurent Blanc au Cannet: "Le PSG, une très belle opportunité"
.Publié le dimanche 23 juin 2013 à 19h01 - 2

L'ancien capitaine puis sélectionneur des Bleus était au Cannet-Rocheville, ce dimanche après midi, afin de disputer un match de foot en salle à La Palestre en compagnie d'une pléiade de joueurs et de personnalités du show-biz.

Un match de gala au profit de l'association "Des cantines scolaires pour les enfants du Sahel".

L'occasion d'évoquer avec lui son avenir proche puisque l'ancien entraîneur de Bordeaux et de l'équipe de France est très fortement pressenti au PSG.
Blanc n'a pas éludé les questions, et s'il a dans un premier temps demandé d'attendre quelques jours - "Vous serez vite informé" - il a ensuite reconnu que "le PSG, c'était une très très belle opportunité pour moi, c'est un très grand club."

Bref, il s'est confié comme s'il était déjà dans la peau du coach du PSG...

Blanc : «Ibrahimovic et Cavani sont compatibles»
Laurent Blanc, l'entraîneur du PSG, se confie longuement dans notre quotidien de lundi. Il parle notamment de l'éventuel recrutement d'Edinson Cavani, qui serait «un gros coup», de Lucas Digne, «une bonne option», et de Yohan Cabaye.

Laurent Blanc se confie longuement dans notre quotidien. (L'Equipe)










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Dans une longue interview, Laurent Blanc évoque dans notre quotidien lundi le transfert d’Edinson Cavani. «S’il pouvait rejoindre le PSG, j’en serais heureux. (…) Si on pouvait décrocher la timbale, ce serait : 1. Un gros coup sportif ; 2. Un gros signal envoyé aux adversaires potentiels du PSG, en France comme en Europe.» Il estime d’ailleurs que Cavani et Ibrahimovic «sont compatibles. (…) Au niveau du profil, ils sont complémentaires».

L’ancien sélectionneur de l’équipe de France, qui estime que le PSG doit se renforcer sur le côté gauche de la défense, reconnaît que Lucas Digne «est un joueur avec un gros potentiel, intéressant pour l’avenir. Ce serait une bonne option». Quant à Yohan Cabaye, «c’est un joueur merveilleux», mais sa venue «dépend de quels joueurs nous aurons à disposition (…) Il nous intéresse parce qu’on prévoit certaines choses».

En ce qui concerne Thiago Silva, convoité avec insistance par le Barça, Laurent Blanc « pense qu'il sera parisien cette saison et il aura de grandes chances d'être le capitaine».

igue 1 Blanc : «dans le vif du sujet»
À l'occasion du stage du PSG en Autriche, l'entraîneur du PSG a fait le point sur la forme du groupe au retour des vacances. Il s'est aussi exprimé au sujet du jeune Adrien Rabiot.










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C'est un Laurent Blanc très satisfait de ses joueurs qui s'est exprimé alors que le groupe finalise son stage en Autriche. «La fatigue commence à se faire sentir, c'est normal» admet l'entraîneur, alors que le PSG rencontrera demain l'équipe autrichienne du Sturm Graz dans le cadre d'un match amical. «De quoi rentrer dans le vif du sujet» pour Laurent Blanc. Peu volubile sur le cas Adrien Rabiot, dont le rôle dans l'effectif parisien reste à déterminer, l'ancien champion du monde veut conseiller cet «enfant» en lui transmettant son expérience d'ancien joueur.

Laurent Blanc : «Rabiot me fait penser à… moi-même»
Publié le 09/07/2013 à 08:18
Football. Le PSG est en stage en Autriche. Premier match préparatoire aujourd'hui face à Sturm Graz.

Le nouveau coach du PSG est encore décontracté...// Photo AFP



Le nouvel entraîneur du Paris SG découvre une partie de son groupe à l’occasion d’un premier stage en Autrich et compte sur les deux matches amicaux contre Sturm Graz, aujourd’hui, et le Rapid Vienne, vendredi pour affiner ses repères.
Quel bilan tirez-vous de cette première partie du stage de préparation en Autriche ?
«Ces quatre jours se sont plutôt bien passés, même très bien, avec beaucoup de travail, à raison de deux séances par jour. La fatigue commence à se faire sentir, c’est normal. Maintenant, nous allons livrer des matches de préparation, qui vont nous permettre d’entrer dans le vif du sujet».
À quoi sert ce genre de stage avec un groupe très rajeuni et dépourvu de nombreux internationaux (ndlr : Ibrahimovic, Thiago Silva, Lavezzi ou encore Sirigu ne sont pas présents en Autriche) ?
«On va faire une reprise échelonnée, car on a des joueurs qui n’ont pas tous arrêté la saison dernière à la même date».
Est-ce que certains jeunes vous ont particulièrement plu ? On vous a notamment vu parler avec Adrien Rabiot, de retour de six mois de prêt à Toulouse, pendant la séance…
«Tous les joueurs me plaisent (sourire)… Tous les bons joueurs de football me plaisent encore plus. Adrien fait partie de ceux-là. Il est encore très jeune, c’est un enfant (18 ans). Il a peu d’expérience. Il me rappelle certains footballeurs que j’ai connus. Il me fait aussi penser à… moi-même, puisque j’avais un peu ce profil-là, sauf que moi j’étais droitier… Il évolue dans une zone importante du dispositif, au cœur du jeu, et il a une marge de progression importante».

Laurent Blanc, entraîneur du PSG, se confie avant le match contre le Real Madrid
AFP
26/07/2013, 19 h 22 | Mis à jour le 26/07/2013, 19 h 41



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Laurent Blanc a répondu aux questions de la presse avant le match amical face au Real Madrid. (JONATHAN NACKSTRAND / AFP )
A la veille d'affronter le Real Madrid en match amical à Göteborg, Laurent Blanc, l'entraîneur du Paris SG, a confirmé que le 4-4-2 serait son système préférentiel cette saison, car "quand tu as deux attaquants qui s'appellent Cavani et Ibrahimovic, tu joues avec deux attaquants axiaux". Le Paris SG affrontera samedi le Real Madrid pour son dernier match de préparation avant la première rencontre officielle de la saison, le 3 août à Libreville contre Bordeaux, pour le Trophée des Champions.
Qu'attendez-vous de ce dernier match de préparation ?
On attend toujours quelque chose d'un match, surtout quand l'adversaire est de qualité et de prestige comme le Real Madrid. C'est effectivement le dernier match avant le Trophée des champions. Il n'y a plus trop de temps pour préparer l'équipe. A partir de la composition d'équipe de samedi, il sera intéressant de voir sur qui on pourra compter pour le match contre Bordeaux. On a récupéré des joueurs, on en attend encore d'autres. Les joueurs ont besoin de ce type de match pour peaufiner leur préparation. Contre le Real Madrid, on s'attend à souffrir mais les joueurs doivent s'investir.



Comment avez-vous trouvé la Suède ?
"Je connaissais assez bien la Suède pour avoir fait l'Euro-92. Le stage s'est très bien passé. On a eu de très bonnes installations, qui nous ont permis de bien travailler. Les gens ont été très sympas. Je n'ai que des compliments à faire à propos des Suédois et des Suédoises. J'espère qu'on pourra leur offrir samedi un spectacle qui sera à la hauteur.
Cavani et Thiago Silva seront-ils prêts pour le Trophée des champions ?
C'est dur de répondre. Cavani arrive à Paris samedi, on verra dans quel état il est et s'il peut participer ou pas. Thiago Silva est arrivé jeudi. Il y a la question du décalage horaire. Est-il fin prêt ? On ne sait pas. On sait qu'il a suivi une préparation physique au Brésil. Donc il est dans un état physique acceptable. On fait tout pour amener les joueurs le plus vite possible au plus haut niveau. Mais s'ils ne sont pas prêts, on ne prendra pas le moindre risque.
Cela vous fait-il plaisir de retrouver Zidane samedi, et l'engouement autour d'Ibrahimovic en Suède vous semble-t-il comparable à celui qui entourait Zidane en France ?
Zidane, c'était toujours agréable de le voir sur un terrain, même si je préférais jouer avec lui que contre lui. Samedi, ce sera sur le banc, et si c'est ce qu'il souhaite, je suis très heureux pour lui. Pour moi, c'est toujours un plaisir de le voir. L'engouement autour d'Ibra, il est logique. Je pense qu'il en est très fier. Être la fierté de son pays, c'est important. Les deux sont des icônes de leur pays, ce sont des drapeaux. Mais ce n'est pas facile, il y a une pression supplémentaire.
On vous a vu beaucoup travailler le 4-4-2 ? Est-ce votre idée de départ ? 
Oui, parce que quand tu as deux attaquants qui s'appellent Cavani et Ibrahimovic, tu joues avec deux attaquants axiaux. Tout le monde voudrait les avoir. Mais il ne faut pas être prisonnier du système et savoir le déformer pour poser des problèmes à l'adversaire.

Blanc inspire la confiance








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Selon un sondage BVA réalisé pour Le Parisien et dont les résultats ont été dévoilés dimanche, 76% des Français interrogés ont plutôt une bonne opinion de Laurent Blanc. Avoir nommé l'ancien sélectionneur de l'équipe de France au poste d'entraîneur du Paris-SG est même un bon choix pour 66% des sondés. Car selon eux, le technicien est sérieux (83%), intelligent (74%) et compétent (73%). Son manque d'ambition (34%) ne semble donc pas être un frein à sa réussite dans la capitale, d'après les 962 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus interrogées lors de l'enquête, pas plus que sa difficulté à gérer les égo des joueurs (42%).

Blanc :«Pas être trop impatient»
Malgré la défaite face au Real Madrid (0-1) samedi à Göteborg, Laurent Blanc, le nouvel entraîneur du Paris SG, était satisfait de «l'implication» de ses joueurs. Mais l'entraîneur du PSG demande encore du temps.

Laurent Blanc serre la main de Cristiano Ronaldo après la partie.








« Laurent Blanc, quel bilan faites-vous de ce match et de ce stage ?
Ce match vient terminer un stage où on a beaucoup travaillé. On aurait aimé gagner, bien sûr, mais le Real a été un peu meilleur techniquement, notamment en première période. L'implication était là et les deux équipes ont souffert physiquement. Après, les joueurs ne sont pas tous au même niveau et certains ont besoin de ces matches pour se remettre à niveau. On récupère des joueurs. Il ne faut pas être trop impatient et risquer des blessures, même si je sais que le mot patience est dur à accepter dans le football. Mais je suis satisfait que certains joueurs aient pu pousser à fond et jouer 90 minutes. Les garçons commencent à vraiment assimiler la façon dont on veut jouer, avec deux pointes. Ca demande des efforts et de l'équilibre.

Le PSG sera-t-il prêt pour le Trophée des Champions samedi ?
Je n'en sais rien. Mais au top niveau, je ne pense pas. Au début de saison, toutes les équipes se cherchent et il faut quatre ou cinq matches pour être à un bon niveau.

Thiago Silva a pu jouer une demi-heure et il a déjà été bon...
Il a été très bon. C'est un grand professionnel. On lui avait envoyé un programme de reprise et de musculation et il l'a fait, ça se voit. Bien sûr, il n'est pas encore au top mais il est à un niveau physique acceptable et ça lui permet de rentrer dans ce genre de match et d'être tout de suite au niveau. On verra l'évolution de sa condition physique pour savoir s'il pourra être titulaire samedi. Il y a surtout le décalage horaire. Ce matin au réveil, il n'avait pas l'air très bien. Je crois que la sieste de l'après-midi lui a fait du bien.

Et Cavani pourra-t-il jouer un peu samedi ?
Il reprend avec nous lundi. C'est à voir. C'est un garçon qui a beaucoup, beaucoup donné la saison dernière. Il est très motivé, il n'a pas de problème d'excédent de poids. Mais il faut réfléchir parce que le Gabon c'est un périple. C'est deux fois sept heures d'avion.»

Retrouvailles entre Zidane et Blanc.

Laurent Blanc : «Ne pas être trop impatient»
Malgré la défaite 1-0 face au Real Madrid samedi à Göteborg, Laurent Blanc, le nouvel entraîneur du Paris SG s’est montré satisfait de «l’implication» de ses joueurs.
Quel bilan faites-vous de ce match ?
On aurait aimé gagner, bien sûr, mais le Real a été un peu meilleur techniquement, notamment en première période. L’implication était là et les deux équipes ont souffert physiquement. Après, les joueurs ne sont pas tous au même niveau. Il ne faut pas être trop impatient et risquer des blessures, même si je sais que le mot patience est dur à accepter dans le football.
Le PSG sera-t-il prêt pour le Trophée des Champions samedi à Libreville ?
Je n’en sais rien. Mais au top niveau, je ne pense pas.
Cavani pourra-t-il jouer un peu face à Bordeaux?
Il reprend avec nous lundi (Ndlr : aujourd’hui). C’est à voir. C’est un garçon qui a beaucoup, beaucoup donné la saison dernière. Il est très motivé, il n’a pas de problème d’excédent de poids. Mais il faut réfléchir parce que le Gabon c’est un périple. C’est deux fois sept heures d’avion.

L1 - Face à Montpellier, le PSG n'a "pas le droit à l'erreur" selon Laurent Blanc
AFP
07/08/2013, 16 h 32 | Mis à jour le 07/08/2013, 16 h 46



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Laurent Blanc : Monaco, "candidat le plus sérieux". (KENZO TRIBOUILLARD / AFP )
Le Paris SG n'aura "pas le droit à l'erreur" malgré une préparation physique inachevée pour certains joueurs, estime mercredi son entraîneur Laurent Blanc à deux jours du rendez-vous à Montpellier pour la 1re journée de L1. 
Dans quel état d'esprit êtes-vous ?
On a fait une belle préparation, très difficile parce que physiquement les garçons ont très bien travaillé, même s'il reste du travail à faire. On a eu la réussite et peut-être un peu la compétence de ne pas avoir de grande blessure, dans une préparation c'est ce qui compte. Il y a encore des joueurs qui poursuivent leur préparation, Edinson (Cavani) et Marquinhos, d'autres ne sont pas encore au top physiquement mais s'en rapprochent. Je suis impatient de reprendre, je pense que c'est la même chose pour les joueurs.



Le PSG sera attendu à Montpellier...
Je m'attends à une belle réception, très chaude, une chaleur pas qu'à la météo. Ce sera le quotidien du PSG, toutes les équipes voudront jouer leur meilleur football pour nous battre.
Est-ce compliqué de débuter une compétition en tant que tenant du titre ?
C'est une autre saison qui commence, avec des joueurs et un entraîneur nouveaux. Tout le monde dit que le minimum, c'est d'être champion de France, ça ajoute une pression supplémentaire, mais c'est logique.
Quel sera l'adversaire principal du PSG pour le titre ?
La presse est unanime pour dire que Monaco sera certainement le candidat le plus sérieux, avec son recrutement de qualité, mais il ne faut pas oublier nos amis olympiens, Marseille et Lyon. Et il y a toujours une équipe qui fait un beau championnat et qui se mêlera à la lutte finale, on l'a vu il y a deux ans avec Montpellier.
Combien de temps faut-il pour être physiquement prêt ?
Il faut attendre trois, quatre matches de compétition pour être au niveau physique, et pour entrer dans la compétition. Peut-être que Paris nécessitera un peu plus de matches parce qu'il y a des joueurs qui n'ont pas encore joué avec Paris. Mais on n'aura pas le droit à l'erreur pour autant, il ne faudra pas faire d'impasse ni perdre de points, ou le moins possible.
Y a-t-il encore des réglages à faire offensivement ?
Au Trophée des Champions (2-1 contre Bordeaux), dans les périodes de domination on aurait dû ouvrir le score. Les moments forts, il faut les traduire au tableau d'affichage. Au niveau offensif, on ne dispose pas de joueurs qui se sont préparés depuis le 1er juillet, ce qui fait qu'ils ne sont pas physiquement fin prêts. On n'a pas marqué beaucoup de buts, avec le potentiel et les joueurs qu'on a, on doit en marquer plus. On est prêt à débuter la compétition, mais on sait qu'on peut faire mieux. C'est intéressant, on a cette marge là, j'espère qu'on ne perdra pas des points en route.
Y a-t-il une pression supplémentaire quand on a un vestiaire de stars ?
Ca reste des hommes. On a des bases de gestions qui sont les mêmes, mais après on fait du cas par cas, parce qu'il y a à Paris des joueurs qui ont un ego différent.
Quelle évaluation faites-vous du potentiel de votre effectif ?
Le potentiel, avec les recrues, est intrinsèquement supérieur à celui de l'année dernière. Cavani, qui est un marqueur, est une valeur ajoutée. Marquinhos a un gros potentiel qu'il faut exploiter et faire progresser, il peut devenir une valeur ajoutée dans les années à venir, pareil pour Digne. C'est une équipe avec un gros gros potentiel ; à nous d'en tirer le maximum.
Compterez-vous sur les jeunes ?
Ce n'est pas un problème d'avoir 17 ans, évidemment il manque l'expérience, mais ce sont les qualités qui comptent. On verra quand l'effectif sera définitif le 2 septembre. Certains resteront. Quand on est un petit jeune, être dans l'effectif du PSG, c'est déjà une belle étape, il faut être conscient du travail à fournir et des paliers à passer. Je compte m'appuyer sur eux s'il y en a besoin.

Ajaccio ›
Fabrizio Ravanelli "jaloux" de Laurent Blanc



Fabrizio Ravanelli a joué un vilain tour à Laurent Blanc, son ancien coéquipier à l’OM devenu entraîneur du PSG, en décrochant le match nul avec Ajaccio au Parc des Princes (1-1), ce dimanche.
 
L’Italien a pourtant envié le nouveau poste du champion du monde 98. « Pour moi, ça a toujours été une personne extraordinaire. A l’époque, on avait une équipe incroyable et on avait des rapports exceptionnels, se souvient l’entraîneur d’Ajaccio. On sortait souvent avec nos familles. On se revoit très volontiers. Ce soir, j’étais jaloux de de lui parce qu’il entraine une équipe comme Paris. Tous les entraineurs en rêvent. Je suis toujours content de le rencontrer. J’espère qu’il arrivera à être champion de France.

FOOTBALL (LIGUE 1) - PARIS SAINT-GERMAIN Laurent Blanc sifflé pour sa "première" au Parc des Princes

Le nom du nouvel entraîneur parisien a été sifflé par une partie du public, avant la rencontre face à Ajaccio.

Blanc : «Plus que précieuse»Le Paris-SG a remporté dans la douleur son premier succès de la saison sur la pelouse de Nantes (2-1), dimanche soir. «J'espère que c'est la première victoire d'une longue série» a souligné Laurent Blanc.a+

RSS Laurent Blanc l’admet volontiers : le Paris-SG a «souffert jusqu’à la dernière seconde» pour remporter son premier succès de la saison, dimanche soir, à Nantes (2-1). «J'espère que c'est la première victoire d'une longue série, a souligné le technicien. Elle a été acquise dans la douleur, mais elle est que plus précieuse.» Alors qu’elle avait livré quarante premières minutes pleines de maîtrise, récompensées par le deuxième but cette saison de Cavani (24e), son équipe a finalement dû attendre une réalisation de Lavezzi (73e) pour dompter les Canaris.
«Chaque match doit nous permettre de nous rapprocher de la forme physique qu'on doit avoir.» «Je pense qu'on aurait pu avoir un match un peu plus facile, a admis l’ancien sélectionneur des Bleus. Notre début saison est compliqué, même les victoires sont compliquées. On n'a peut-être pas la lucidité pour faire ce qu'il faut faire. Encore une fois, je pense que les joueurs ne sont pas encore au top physiquement. Notre entame de 2e période a été très difficile, ils ont mis de la pression, de l'agressivité et on a eu du mal à répondre. Chaque match doit nous permettre de nous rapprocher de la forme physique qu'on doit avoir. On a eu de bonnes intentions, de bonnes courses, mais on a eu du mal à concrétiser ça car on n'est pas encore bien physiquement. Cela va venir, c'est une certitude». Interrogé sur sa décision de troquer son habituel 4-4-2 pour un 4-3-3 inédit, Blanc a expliqué qu’il souhaitait «tester différents systèmes». «L'équipe est mieux équilibrée au milieu».

Blanc : «Notre match le plus abouti»
Visiblement décontracté, l'entraîneur parisien a apprécié la maîtrise affichée par son équipe contre Bordeaux, s'autorisant même quelques plaisanteries.

Laurent Blanc a apprécié la prestation de ses hommes à Bordeaux (2-0). (L'Equipe)











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«Laurent Blanc, n'était-ce pas votre meilleur match de la saison ?
Peut-être, le plus abouti à coup sûr. Mais quand même, le foot est bizarre. Notre métier, c'est de préparer un match toute la semaine, d'élaborer des schémas de jeu, des stratégies pour battre un adversaire. Et celui-là, on ne l'a pas préparé du tout, absolument pas, on a récupéré des joueurs de leurs sélections jusqu'à hier soir et regardez le résultat! Ce que je suis en train de vous dire, c'est que l'entraîneur ne sert à rien (rires).

On a senti un Paris dominateur, qui menait le match à sa main...
L'équipe commence à comprendre ce qu'on veut produire et adhère à ce qu'on propose, le match de ce soir, sans préparation donc, en est la preuve. Bordeaux a eu du mal offensivement mais nous avons été très bons dans la maîtrise technique du ballon. On travaille ça depuis le premier juillet, on insiste énormément et c'est dans ce match que ça s'est vu le mieux. Même si on montait en puissance physiquement, après une préparation très dure pour la Ligue des Champions et par conséquent des premiers matches difficiles, j'avais bon espoir de trouver la maîtrise technique dont on a fait preuve ce soir. On n'a pas concédé grand-chose à l'adversaire. C'est pour moi la grosse satisfaction de la soirée. Sans oublier le fait que quand il a fallu faire mal, on a fait mal. Je suis assez satisfait de notre bilan comptable, même si je pense qu'on en mérite deux de plus, avec Ajaccio. Mais c'est quand même pas mal. C'est un bon début de saison.

«Vous savez, les systèmes... Je vous ai prévenus qu'avec moi, ça peut évoluer très vite» Pensez-vous que cette maitrise technique est le fruit de ce système en 4-3-3 ?
Oh là, pas du tout. Vous savez, les systèmes... Je vous ai prévenus qu'avec moi, ça peut évoluer très vite. L'important est de trouver l'équilibre entre le défensif et l'offensif.

Grâce à Lucas, qui marque son premier but sous les couleurs parisiennes ?
Ah bon ? Ce n'est pas son deuxième? Vraiment? Il est en retard! Il a été très bon, à l'image de l'équipe. Il s'est créé des occasions, a travaillé pour l'équipe et a été récompensé.

Vous estimez votre équipe prête pour la Ligue des Champions mardi ?
Pas encore au niveau collectif. Certains joueurs sont arrivés tard et montent encore en puissance sur le plan physique. D'autres, comme Cavani et Lavezzi, n'étaient absolument pas prêts à jouer. Les trois Brésiliens étaient limite, après avoir fait un voyage retour Brasilia -Boston-Lisbonne-Paris ! Ça va leur faire beaucoup de miles sur leur carte... Mais les matches internationaux leur ont fait du bien. Il va falloir car on rentre dans le vif du sujet.

Paris présentait une équipe très jeune, c'est une surprise ?
Non. Je l'ai fait à Bordeaux. Coman, Ongenda, je ne les connaissais pas du tout au départ. Ils m'ont agréablement surpris et surtout, ils ont maintenu leur niveau de jeu durant ces trois mois. Moi, j'ai essayé de leur faire un peu la place. Maintenant, à eux de gratter du temps de jeu, ce qui est très difficile avec cet effectif.»

Blanc : «Il n'y a pas eu de peur»
Malgré une première période laborieuse, le Paris-SG a réussi son entrée dans la Ligue des champions face à l'Olympiakos (4-1), mardi soir. «Avec notre jeu, c'est plus facile de faire la différence» après le repos, a souligné Laurent Blanc.

«En première période, on a joué beaucoup trop bas», a regretté Laurent Blanc après le succès du PSG face à l'Olympiakos, mardi soir. (L'Equipe)











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«Laurent Blanc, avez-vous eu peur en première période, et pourquoi a-t-elle été si difficile ?
Non, je n'ai pas réellement eu peur dans ce match. Effectivement, l'Olympiakos nous a posé beaucoup de problèmes en première période. Mais ce sera le cas pour d'autres équipes s’ils (les Grecs) continuent à jouer comme ça. Ils sont revenus très logiquement au score mais il n'y avait pas à avoir peur de quoi que ce soit. On sait qu'avec notre jeu, c'est plus facile de faire la différence en deuxième période parce que l'adversaire se fatigue. Ils ont manqué un peu d'énergie parce qu'ils en ont brûlé beaucoup en première période. Non, il n'y a pas eu de peur. En première période, je pense qu'on a joué beaucoup trop bas. On a insisté pour partir de derrière parce que c'est notre philosophie mais je pense que ça a favorisé le pressing de l'Olympiakos. Nos attaquants étaient trop isolés. Je crois qu'il y a eu un partage des zones beaucoup mieux équilibré en deuxième période.

Marquinhos a semblé fébrile et a parfois joué très bas en première période...
Non, ce n'est pas un problème de joueur, c'est un problème d'équipe. Ce n'est pas lui qui fait redescendre le bloc, c'est le bloc qui était très bas. On aurait pu dégager loin devant sur les deux attaquants pour faire remonter le bloc, mais notre philosophie, c'est de partir de derrière. C'est la ligne défensive qui était trop bas et qui a fait qu'on a manqué de liant avec les attaquants. Ce n'est pas un joueur qui est responsable de ça. N'oublions pas aussi que c'est son premier match de compétition depuis quatre mois. Je ne l'ai pas trouvé fébrile. Certes sa responsabilité est engagée sur le but, mais il n'y a pas que lui. Il n'était peut-être aussi pas fin prêt pour jouer. On a peut-être pris un risque. Il a marqué un but, il a fait une bonne deuxième période. Il a eu des difficultés en première, mais comme les autres. Et lui a une circonstance atténuante, physiquement, il n'est pas prêt.

Vous enchaînez après le succès à Bordeaux. Est-ce le bon moment pour affronter Monaco (dimanche) ?
Oui, il vaut mieux les rencontrer après trois victoires que l'inverse. Mais j'aurais aimé les rencontrer après une semaine de préparation. Mais effectivement on monte en puissance. Physiquement on est en train de franchir un palier. On va se préparer minutieusement pour ce match face à une très bonne équipe qui est en très grande forme.»

PSG-Blanc: "Il y a deux prestations"
L'histoire retiendra que le PSG n'a pas raté son entrée dans cette nouvelle Ligue des Champions en s'imposant largement mardi, sur une pelouse toujours réputée difficile de l'Olympiakos (4-1). Laurent Blanc, l'entraîneur du club de la capitale, ne boudait certainement pas son plaisir à l'heure de commenter ce succès inaugural dans la compétition. Mais le technicien parisien ne faisait pas l'économie de l'analyse d'une première période aux contours longtemps inquiétants pour ses joueurs. "Il y a deux prestations. La première mi-temps a été poussive de notre part, de par le fait qu’on a eu quelques déchets techniques, un petit problème de positionnement sur le côté gauche, sans compter que cette équipe de l’Olympiakos avait beaucoup d’énergie pour essayer de nous presser assez haut et de se créer des occasions", soulignait Blanc au micro de beIN SPORT. "Malgré cela, on avait su ouvrir le score que l’on n’a pas su tenir assez longtemps pour pouvoir être assez tranquille dans le match. Mais la deuxième mi-temps a été bien meilleure, et sincèrement l’Olympiakos a baissé de rythme."

Blanc fan de Ranieri
Adversaire de Claudio Ranieri dimanche pour le choc entre le PSG et Monaco, Laurent Blanc a évoqué son passé avec le technicien italien dont il est fan.





En 1991, Laurent Blanc a été l'un des premiers joueurs français à rejoindre l'Italie. Recruté par Naples, il est arrivé en même temps que Claudio Ranieri. «C'était un jeune entraîneur de 40 ans, qui avait seulement entraîné le petit club de Cagliari», se rappelle Le Président qui évoque le projet tactique révolutionnaire du coach italien : «Il voulait déjà faire beaucoup de jeu. Ce n'était pas évident à l'époque, dans cette Italie où aucun défenseur ne dépassait la ligne médiane. Il voulait que ça parte de l'arrière, avec du mouvement. Et beaucoup d'esprit offensif. Ca me plaisait. Il a imposé cette vision et il a eu raison car la Serie A a ensuite évolué dans ce sens.»

Aujourd'hui, c'est Laurent Blanc qui est ce jeune entraîneur et qui se retrouve un peu comme un élève face à son maître, même s'il s'en défend. «En tout cas, j'aimerais bien faire sa carrière qui est énorme. Il a entraîné en Italie, en Espagne, en Angleterre et en France ! C'est un beau parcours avec des grands clubs comme Chelsea, l'Atlético, Valence. Si je pouvais faire pareil, avec autant d'expériences à l'étranger, ça serait bien», a souri l'ancien entraîneur de Bordeaux et de l'équipe de France.

Créé le 20/09/2013 - 10:58

PSG-L. Blanc: "Monaco est assez surprenant"

Pour Laurent Blanc, "Alex devrait être fin prêt" à affronter Monaco dimanche (6e journée de Ligue 1). Il lui restera donc à faire son choix entre Marquinhos et l'ancien défenseur de Chelsea pour épauler Thiago Silva. Quant à l'ASM, le "Président" s'attend bien sûr à un match intense: "C'est vrai que c'est intéressant à jouer et à gagner pour les joueurs, ça changera des matches au Parc depuis le début de la saison. De ce que j'entends et lis, Monaco veut gagner et nous aussi, donc ça risque d'être ouvert, intéressant et spectaculaire." D'après l'entraîneur du PSG, Monaco s'est montré "assez surprenant dans sa cohésion, tout le monde pensait que ça prendrait un peu plus de temps". "Ils ont recruté des joueurs jeunes et bons, à l'image de Falcao, mais aussi expérimentés comme Abidal ou Ricardo Carvalho, qui est très, très intelligent. Ils ont pris leurs repères assez rapidement, c'est une très, très bonne équipe." Laurent Blanc donne aussi son avis sur Claudio Ranieri, qui l'a entraîné à Naples il y a plus de 20 ans (1991-92): "J'ai une très, très bonne relation avec lui, c'est un entraîneur italien qui voulait déjà produire du jeu. Ce n'était pas si évident à cette époque. Il a toujours conservé cette philosophie par la suite, et on la partage. Les Italiens ont ensuite évolué dans ce sens-là, qui est le bon à mon avis." Le "Président" a enfin rappelé qu'Edinson Cavani et Zlatan Ibrahimovic sont "deux joueurs incontournables": "Plus je les vois jouer, plus je vois qu'ils sont complémentaires. A moi de trouver le système adéquat pour tirer le maximum de leurs possibilités. Mais à mon sens, l'équilibre est encore plus important."