LOLO BLANC, ANCIEN ENTRAINEUR DE L'EDF

Blanc agacé: «Ce n'est pas Ibrahimovic qui fait l'équipe»
Par Baptiste Desprez, 07-02-2014

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VIDÉO. Questionné sur le statut de Zlatan Ibrahimovic sur et en dehors du terrain, Laurent Blanc a tenu a réaffirmer sa position en tant qu'entraineur du PSG. Et le technicien d'avouer aussi son bonheur d'avoir le Suédois dans son groupe.

PSG-Blanc: "On était venu pour gagner"

Laurent Blanc avait quelques regrets à l’issue du match nul décroché par le PSG à Monaco dimanche soir lors du duel au sommet de la Ligue 1 en clôture de la 24e journée (1-1). "La première mi-temps était mieux maîtrisée, après c’était un peu plus compliqué, a confié l’entraîneur parisien au micro de Canal +. Les deux équipes ont joué pour gagner, on a pu le voir avec les changements effectués et les entrées de joueurs offensifs. Et ils ont eu, comme nous, des balles de match.""Mais on était venu pour gagner, et vu la physionomie de la première mi-temps, on pensait pouvoir le gagner. Et sur le but (contre son camp de Thiago Silva, ndlr), on est un peu malheureux."

Blanc n'est plus suspendu
L'entraîneur parisien pourra diriger son équipe depuis le banc à Leverkusen.

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Laurent Blanc voit sa suspension pour un match commuée en sursis. (L'Equipe)



Laurent Blanc sera sur le banc de touche du PSG pour le 8e de finale aller de la Ligue des champions, mardi prochain à Leverkusen. L'UEFA a commué mardi sa sanction d'un match de suspension en un match avec sursis, suite à l'appel du club parisien. Dans un communiqué en fin d'après-midi, l'instance européenne précise que ce sursis est susceptible d'être révoqué pendant les douze prochains mois et que l'entraîneur devra s'acquitter d'une amende de 10 000 euros.

Pour l'UEFA, Laurent Blanc s'était rendu coupable d'un «comportement inaproprié» ayant entrainé trois retards consécutifs de coup d'envoi lors de rencontres de C1. L'interessé s'était dit «très surpris» de cette décision disciplinaire, croyant même à «une plaisanterie».

PSG: Suspension levée pour Blanc
L’UEFA a décidé de lever la sanction qu’elle avait initialement infligée à Laurent Blanc, révèle LeParisien.fr. L’entraîneur du club de la capitale sera donc bien sur le banc pour le huitième de finale aller de Ligue des champions qui opposera son équipe au Bayer Leverkusen, le 18 février prochain. Le "Président" avait écopé d’un match ferme de suspension en raison des retards de ses joueurs au retour des vestiaires, lors de trois matches de C1 cette saison. Une sanction finalement ramenée, en appel, à deux matches avec sursis.

Blanc : «Une fatigue mentale»
13/02 17h17 - Football, L1
L'entraîneur du PSG Laurent Blanc, dont l'équipe ressent actuellement une «fatigue mentale» et «doit s'améliorer dans certains domaines», affirme jeudi qu'elle doit surtout «retrouver de la fraîcheur» au moment de recevoir Valenciennes pour la 25e journée de L1 et à quatre jours du rendez-vous européen contre Leverkusen : «Ce n'est pas une fatigue physique mais une fatigue mentale. Il y a la répétition des matches, le fait de souvent aller chercher les victoires en fin de rencontre comme on l'a fait à Nantes (en demi-finale de la Coupe de la Ligue 2-1, NDLR), la fatigue physique qui peut engendrer la fatigue mentale, les terrains qui sont lourds...» Et d’ajouter : «La manière a été un peu moins bonne je le reconnais, on a été moins efficace, mais j'ai eu l'impression qu'on dominait quand même assez souvent nos adversaires. On est conscient qu'on doit s'améliorer dans certains domaines. Ça ne veut pas dire qu'on doute. Là, on doit surtout essayer de retrouver de la fraîcheur. On va entrer dans une phase avec des matches très excitants pour les joueurs, avec le niveau de concentration qui va augmenter. Je le vois à l'entraînement, donc je me dis qu'il augmentera aussi en match.»

PSG: Blanc revient sur la sanction de l'UEFA
Initialement suspendu un match ferme par la commission de discipline de l’UEFA, Laurent Blanc a vu sa peine réduite mardi par la chambre d’appel de l’instance européenne, et n’écope finalement "que" d’une rencontre avec sursis assortie d’une amende de 10.000 euros. Une sanction sur laquelle le coach du PSG a accepté de revenir, jeudi, en conférence de presse. "Je voulais mettre les choses au point, car j’ai lu plusieurs choses fausses sur la question. On m’a reproché le retard une fois à la mi-temps, et une fois en début de match. Et l’UEFA met la responsabilité de ce retard sur l’entraîneur, a regretté le technicien. L’entraîneur est déjà responsable quand on perd un match, quand un joueur n’est pas bon… Moi je veux bien, mais ça fait beaucoup de responsabilités. Dans un vestiaire il peut arriver des choses. Un joueur qui change de maillot par exemple, et le maillot n’est pas floqué… C’est l’entraîneur le responsable ?"

Créé le 13/02/2014 - 14:44
PSG: Blanc fait le point sur les blessés
Invité en conférence de presse à donner des nouvelles de l’infirmerie du PSG, Laurent Blanc a fait le tour des cas, et notamment celui d’Edinson Cavani, touché à la cuisse au début du mois. "Il suit son programme. En fin de semaine, il devrait reprendre la course. Tous les signes sont très bons. Mais il n’a jamais été question qu’il soit de retour pour jouer face à Leverkusen", a expliqué l’entraîneur parisien. Pour ce qui est des autres blessés, Christophe Jallet (hernie discale) est "sur le point de réintégrer le groupe. Il commence à reprendre part au jeu, il est en avance", tandis que Zoumana Camara souffre d’une "élongation". Ces trois-là manqueront donc à l’appel face à Valenciennes, vendredi, dans le cadre de la 25e journée de Ligue 1. De son côté, Zlatan Ibrahimovic (dos) "va très bien, et s’entraîne normalement", alors que Thiago Silva souffre "d’un problème récurrent à la cheville, mais il n’y a pas de signe alarmant

Blanc veut un PSG plus efficace
14/02 23h27 - Football, L1
Même s’il était satisfait de la prestation de son équipe face à Valenciennes (3-0), Laurent Blanc reconnaissait que ses joueurs manquaient encore d’efficacité devant le but : «On avait prévu ce scénario, encore fallait-il pouvoir le réaliser. Ce sont nos 2e et 3e buts qui ont permis de faire souffler certains cadres. La répétition avant Leverkusen consistait avant tout à gagner ce match. Les joueurs pensaient à Leverkusen mais ils ont fait abstraction et ont fait le job. On a eu des occasions qu'on n'a pas su concrétiser. Oui, on aurait pu être efficaces, mais marquer trois buts et ne pas en encaisser, c'est pas mal.» 

Blanc : «Être décisif dans ces matches-là est plus difficile»

Publié le 18/02/2014 à 03:47



Blanc est resté secret sur sa composition d'équipe./ Photo AFP




L’entraîneur parisien Laurent Blanc est apparu serein avant le déplacement à Leverkusen. Avançant notamment un «regain de concentration» de la part de ses joueurs.
Dans quel état d’esprit abordez-vous ce premier acte ?
Cette rencontre, on l’attend depuis longtemps. C’est l’odeur des grands matches. On sait qu’une saison est excitante pour le championnat, mais aussi pour la Ligue des champions. Tous les joueurs veulent absolument jouer ces matches.
Comment comptez-vous
imposer votre jeu ?
Avant d’imposer son combat physique et tactique, il va falloir avoir le ballon. Le Bayer joue bas et part en contre-attaque très rapidement. Je ne serais pas étonné qu’ils nous laissent le ballon pour mieux tenter de nous contrer.
Ibrahimovic apparaît un peu moins efficace lors des matches à élimination directe…
Il a 32 ans et de l’expérience à revendre. Il a toujours marqué et il marquera des buts jusqu’à la fin de sa carrière. Être décisif dans ces matches-là est plus difficile. Les défenses sont meilleures. Il reste notre meilleur atout pour marquer.
Le Bayer marque beaucoup sur coups de pied arrêtés,
est-ce la clé du match ?
Oui, mais pas la seule. C’est une équipe athlétique. Dans les airs, on est en déficit par rapport à eux. Paradoxalement, ils prennent des buts aussi sur coups de pied arrêtés. Ils sont meilleurs offensivement que défensivement.

Blanc : «On doit avoir le ballon»
17/02 18h58 - Football, LdC
Avant le 8^e de finale aller de la Ligue des champions face à Leverkusen, Laurent Blanc a insisté sur la nécessité pour son équipe d’avoir la possession du ballon : «Il faudra avoir le ballon. Le fait d'avoir le ballon permet d'imposer son jeu à l'adversaire. Le Bayer joue assez bas et part on contre-attaque très rapidement. Je ne serais pas étonné qu'on ait une grosse possession de ballon, que le Bayer accepte de nous le laisser pour mieux tenter de nous contrer. Mais on ne va pas changer notre façon de jouer. Ce qu'il faudra surtout c'est être dangereux et efficace, là, ce sera encore mieux. Avant d'imposer son combat physique, son combat tactique, il faut avoir le ballon.»

PSG-Blanc: "L'odeur des grands matches"

A la veille du huitième de finale aller du Paris Saint-Germain contre le Bayer Leverkusen, Laurent Blanc a avoué son impatience. "Oui, on attend ce match depuis pas mal de temps. Vous en parlez beaucoup, certainement plus que nous. Mais c’est vrai, on est à J-1 et ça se sent, a déclaré l'entraîneur parisien en conférence de presse. De suite après la victoire contre Valenciennes, les joueurs se sont penchés sur ce rendez-vous. On a ressenti un gain de concentration à l’entraînement. On sent l’odeur des grands matches. Les joueurs se préparent pour jouer ces matches-là. Une saison est excitante par le championnat certes mais aussi par la Ligue des champions. C’est une compétition de prestige. Il y a des joueurs qui ne la gagnent jamais. Et ceux qui la gagnent sont peu nombreux. On sent que les joueurs veulent participer à ce genre de matches. C’est logique."

Blanc : «On a retrouvé Paris»
18/02 23h37 - Football, LdC
«Je pense qu'on a retrouvé le Paris de la première partie de saison dans l'envie de construire, d'être efficace, choses qu'on avait un peu perdues. Là, on a été efficace tout en gardant notre philosophie de jeu. Après le match contre Valenciennes, les joueurs ont bien préparé ce rendez-vous, ont été appliqués, il faut savoir les féliciter. Je suis très satisfait de l'effectif, la préparation a été bonne car tous les joueurs ont été concernés, l'état d'esprit a été excellent. On suivait le Bayer depuis longtemps, on savait qu'il avait perdu ses deux derniers matches à domicile, donc que leur confiance n'était pas au mieux. Aussi j'avais demandé d'attaquer fort le match pour qu'il ne reprenne pas confiance. Ce qui m'a plu c'est qu'on a fait mal au Bayer, on ne leur a rien laissé passer ce soir (mardi). J'ai dit aux joueurs qu'un 8e de finale, un quart, une demie, ce sont à chaque fois deux matches à jouer. On n'est pas dispensé de jouer le match retour parce qu'on a gagné 4-0 à l'extérieur. On va savourer, et essayer de se reprogrammer pour le retour qu'il faudra gagner au Parc dans trois semaines», a confié Laurent Blanc après la victoire du PSG à Leverkusen mardi soir en Ligue des champions.
 

Blanc : «Que des louanges à faire»
Laurent Blanc n'a rien trouvé à redire après la belle prestation du PSG mardi soir en Ligue des champions chez le Bayer Leverkusen (4-0).

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Laurent Blanc a félicité ses joueurs de leur prestation. (L'Equipe)



Connu pour sa prudence et son perfectionnisme exacerbé, Laurent Blanc n’a pas fait la fine bouche après l’éclatant succès de son équipe sur la pelouse du Bayer Lerverkusen (4-0). «Un match parfait ? On serait tenté de le penser. Il n’y a que des louanges à faire», a-t-il confié après ce 8e de finale aller à sens unique. Le technicien a apprécié beaucoup de choses, et notamment le fait d’avoir «retrouvé» le Paris souvent flamboyant «de la première partie de saison». Son PSG a produit du jeu avec comme leitmotiv cette envie de «construire», d’être «dangereux» et de «faire mal à l’adversaire». «On n’a rien concédé au Bayern. Il faut savoir féliciter les joueurs quand il y a un match plein comme ce soir. La préparation a été très bonne et l’état d’esprit excellent.»

A la BayArena, le PSG a pu compter sur un grand Zlatan Ibrahimovic, lequel a touché 88 ballons, dont 93% de passes réussies. Blanc n’a pas semblé surpris de sa performance, alors que les stats ont jusqu’ici prouvé sa faible réussite lors des matches de Ligue des champions à élimination directe. «Ibra marque des buts, ce n’est pas étonnant, a répondu le technicien, assez incisif. Qu’on se demande s’il va être décisif, ça me dérange un peu. Le remettre en question, il fallait quand même oser.»

Blanc n'oublie pas le match retour

Si Paris a survolé les débats, c’est en partie grâce à son intraitable milieu de terrain. Verratti, Matuidi et Thiago Motta ont fait la loi. «Au milieu, on a pris le dessus car on avait le ballon et quand on le perdait on l’a vite récupéré. Les trois milieux ont été très forts alors qu’ils étaient moins performants ces derniers temps», a apprécié Blanc. Malgré les quatre buts d’avance et la qualification quasiment en poche, Paris ne veut pas se croire arrivé. Le coach parisien prévient quand même : «On a fait un très grand pas mais il faudra jouer et gagner au Parc».

PSG-Blanc: "Une grande équipe"

Interrogé ce mardi soir sur Canal + à l'issue de la très large victoire du PSG sur la pelouse de Leverkusen en 8e de finale aller de la Ligue des champions, Laurent Blanc a loué l'état d'esprit de son groupe: "On sentait l’équipe très concentrée après match de Valenciennes (3-0 vendredi dernier, ndlr) contre qui on a fait le job. Ce match, on l’attend depuis longtemps, on a senti une montée en puissance au niveau de la concentration, les entraînements étaient de qualité, on sentait que les joueurs avaient envie d’en découdre à l’extérieur." Et l'entraîneur parisien d'ajouter: "Ce soir, on a retrouvé le jeu collectif que l’on avait lors de la première partie de saison, le match me donne entièrement satisfaction. On dira certainement que le Bayer Leverkusen n’a pas été bon, mais j’aime mieux retenir que Paris été très fort ce soir, c’était à mon avis une grande équipe. Je félicite tout le monde, ceux qui ont débuté et ceux qui sont rentrés, ce qui est intéressant, c’est qu’actuellement, on peut compter sur tout le monde."

[*]
Créé le 18/02

Blanc : «Que des louanges à faire»
Laurent Blanc n'a rien trouvé à redire après la belle prestation du PSG mardi soir en Ligue des champions chez le Bayer Leverkusen (4-0).
Le 19/02/2014 à 01:21:00 | Mis à jour le 19/02/2014 13:41:26

Foot Ligue des Champions PSG Blanc : «Que des louanges à faire»
Laurent Blanc n'a rien trouvé à redire après la belle prestation du PSG mardi soir en Ligue des champions chez le Bayer Leverkusen (4-0).

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Connu pour sa prudence et son perfectionnisme exacerbé, Laurent Blanc n’a pas fait la fine bouche après l’éclatant succès de son équipe sur la pelouse du Bayer Lerverkusen (4-0). «Un match parfait ? On serait tenté de le penser. Il n’y a que des louanges à faire», a-t-il confié après ce 8e de finale aller à sens unique. Le technicien a apprécié beaucoup de choses, et notamment le fait d’avoir «retrouvé» le Paris souvent flamboyant «de la première partie de saison». Son PSG a produit du jeu avec comme leitmotiv cette envie de «construire», d’être «dangereux» et de «faire mal à l’adversaire». «On n’a rien concédé au Bayer. Il faut savoir féliciter les joueurs quand il y a un match plein comme ce soir. La préparation a été très bonne et l’état d’esprit excellent.»




A la BayArena, le PSG a pu compter sur un grand Zlatan Ibrahimovic, lequel a touché 88 ballons, dont 93% de passes réussies. Blanc n’a pas semblé surpris de sa performance, alors que les stats ont jusqu’ici prouvé sa faible réussite lors des matches de Ligue des champions à élimination directe. «Ibra marque des buts, ce n’est pas étonnant, a répondu le technicien, assez incisif. Qu’on se demande s’il va être décisif, ça me dérange un peu. Le remettre en question, il fallait quand même oser.»

Blanc n'oublie pas le match retour

Si Paris a survolé les débats, c’est en partie grâce à son intraitable milieu de terrain. Verratti, Matuidi et Thiago Motta ont fait la loi. «Au milieu, on a pris le dessus car on avait le ballon et quand on le perdait on l’a vite récupéré. Les trois milieux ont été très forts alors qu’ils étaient moins performants ces derniers temps», a apprécié Blanc. Malgré les quatre buts d’avance et la qualification quasiment en poche, Paris ne veut pas se croire arrivé. Le coach parisien prévient quand même : «On a fait un très grand pas mais il faudra jouer et gagner au Parc».

PSG-Blanc: "Lucas doit comprendre certaines choses..."

Interrogé ce samedi en conférence de presse sur les récentes prestations du Brésilien Lucas, qui monte en régime et est de plus en plus souvent titulaire au sein du PSG, Laurent Blanc a commenté: "Il a plus de temps de jeu que d’habitude, c’est donc normal qu’il progresse. Il a démontré énormément de qualités, on le savait, je pense qu’il peut être encore plus décisif, mais il est sur la bonne voie. Il a besoin de comprendre certaines choses, c’est un jeune joueur, il faut qu’il arrive à progresser tactiquement, car il a de très grandes qualités innées de footballeur, mais le foot se joue aussi en équipe." Message reçu ?

[*]
Créé le 22/02/2014 - 15:18
PSG: Blanc ravi de la prolongation de Thiago Motta

Interrogé ce samedi au Camp des Loges sur la prolongation de contrat de Thiago Motta, qui sera parisien jusqu'en juin 2016, Laurent Blanc s'en est félicité: "Que ce garçon reste à Paris, c’est la garantie de continuer à mettre en place ma philosophie, de continuer à produire, voire améliorer, le jeu que je veux proposer. Ce garçon rentre complètement là-dedans, c’est l’ADN de notre système de jeu." L'entraîneur du PSG, s'il "pense que d’autres discussions vont bientôt aboutir", regrette cependant que trop de joueurs de son effectif arrivent en fin de contrat, ce qui peut perturber son groupe: "On a beaucoup de joueurs en fin de contrat, cela amène forcément amène des discussions en pleine saison, ce n’est pas toujours facile."

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Créé le 22/02/2014 - 14:44
PSG: Blanc espère Cavani pour Marseille

Interrogé ce samedi en conférence de presse sur l'état des blessés parisiens, Laurent Blanc a confié qu'il espérait le retour d'Edinson Cavani pour le choc face à l'Olympique de Marseille le 2 mars pour le compte de la 27e journée de Ligue 1: "Edi a passé une IRM de contrôle, il en a encore un peu pour quelque temps, l'objectif est qu’il soit disponible pour le prochain match de Championnat (après celui contre Toulouse, dimanche, ndlr)." L'entraîneur parisien a également évoqué le cas de Christophe Jallet, qui se remet d'une hernie discale: "Il est en phase terminale de réathlétisation, il a retrouvé le groupe, l'évolution de la blessure est très bonne. Il peut s’entraîner, il n'est pas si loin que ça quand je vois ce qu’il fait à l’entraînement. Après, il ne faut pas prendre de risques sur ce genre de blessure, mais il est en très bonne voie, on est dans les clous de ce qu'on avait prévu." Dernier blessé de l'effectif, Zoumana Camara, lui aussi proche d'un retour dans le groupe: "Papus a eu une blessure délicate au mollet, mais il va certainement reprendre la semaine prochaine".

[*]
Créé le 22/02/2014 - 14:10

Blanc : «Très efficaces»
23/02 17h29 - Football, L1
Laurent Blanc a apprécié la prestation des Parisiens à Toulouse dimanche. «Nous avons été très efficaces. J'ai déjà reproché à mes joueurs de ne pas marquer assez par rapport aux occasions que l'on se procure. Aujourd'hui, nous n'avons pas eu tant d'occasions que ça mais on a été très réalistes. On a marqué trois buts sur coups de pied arrêté et c'est aussi un domaine où l'on est dangereux. C'est important pour la suite. Je regrette les deux buts encaissés car nous aurions pu les éviter. Mais cela nous a peut-être aussi remis la tête à l'endroit car nous étions fort déçus d'être rejoints au score à la mi-temps», a analysé l’entraîneur du PSG.

Blanc: «Le meilleur Ibra ? Possible»
24/02 17h52 - Football
Interrogé sur le triplé de Zlatan Ibrahimovic avec le PSG dimanche, Laurent Blanc a affirmé qu'il avait toujours eu confiance en son joueur. Et il laisse entendre que le Suédois est en passe de réaliser sa meilleure saison.

Blanc : «Moins de passion»
A la veille de PSG-OM, l'entraîneur parisien Laurent Blanc a reconnu que ce match était «toujours particulier», même s'il provoque aujourd'hui «moins de passion chez les joueurs et les dirigeants».

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Laurent Blanc est persuadé que l'OM monte à Paris avec des ambitions. (L'Equipe)



Pour l'ancien capitaine de l'OM désormais entraîneur du PSG qu'est Laurent Blanc, le match entre les deux meilleurs ennemis du football français, dimanche soir au Parc des Princes (21h00), a toujours une saveur à part. «C'est un match particulier, ça l'est toujours, a-t-il déclaré ce samedi en conférence de presse. On en connaît les raisons. Après, il y a plus de piment quand les deux clubs font une bonne saison et qu'ils occupent le haut du tableau. Il y a peut-être moins de passion chez les joueurs ou les dirigeants, moins de petites phrases qui font saliver et emballent ce match. A une époque, les président s'envoyaient des piques, c'était plus agressif...»

«Tout le monde sait comment on va jouer et tout le monde attend qu'on gagne» Le coach parisien, qui pourra compter sur le retour d'Edinson Cavani dans son groupe, assure ne pas se préoccuper de la tactique de l'OM, même s'il est persuadé que les Olympiens ne viendront pas en victimes : «On va jouer notre propre jeu. Est-ce que les Marseillais vont prendre des risques ou nous attendre ? Je ne peux pas répondre. C'est leur problème. Nous, on a la même pression qu'avant tous les matches, tout le monde sait comment on va jouer et tout le monde attend qu'on gagne. Mais je connais la mentalité des Marseillais, il viennent avec des ambitions et c'est logique. Si ce n'était pas le cas, ce ne serait même pas la peine qu'ils montent.»

«On a un rival !»

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Mais si l'OM pointe à 18 longueurs au classement, Laurent Blanc s'agace lorsqu'il entend que son équipe manque de concurrence en Ligue 1. «Mais on a un rival ! Monaco réalise un excellent parcours, à un rythme de champion au niveau des points, rappelle-t-il. Il y a simplement un club qui fait mieux, c'est nous. Mais c'est un rival très dangereux, qui nous oblige à rester concentrés. Il serait préférable qu'il y en ait d'autres, oui, mais pour avoir un grand club il faut des grands joueurs, et pour avoir des grands joueurs il faut un peu de moyens...»

Blanc est intransigeant
Le PSG a beau être au top en L1 et en C1, Laurent Blanc sait qu'il ne doit pas relâcher la pression sur ses joueurs. En conférence de presse, il a notamment évoqué les axes de progrès de Lucas, la maladresse de Lavezzi et l'inefficacité de Verratti.

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Conscient du potentiel de Lucas, Blanc est intransigeant avec le Brésilien. (L'Equipe)



«Laurent Blanc, Lucas a-t-il marqué des points contre Marseille (2-0) ?
Des points, oui ! Des buts, non ! Il est en meilleure forme et il élève son niveau physique car il a plus de temps de jeu. Avant, il avait un problème de rythme car il rentrait en cours de rencontre. Quant à son action face à l’OM, elle était très belle. Mais elle aurait été extraordinaire s’il y avait eu but. Sur cette occasion, ce n’est que de l’individuel. Or, il doit apprendre à jouer avec les autres. Et que les autres apprennent à jouer avec ses qualités. Il a des progrès à faire dans ses déplacements.

Lavezzi a toujours des problèmes de finition…
A l’entraînement, tu peux faire des exercices devant le but pour progresser. C’est un boulot quotidien. Après, les matches sont différents. Contre l’OM, il dribble le gardien et il a le but ouvert mais il ne marque pas. Il a encore fait preuve de maladresse. C’est dommage car il avait fait le plus dur. A Naples, ce n’était pas un buteur très prolifique, mais il marquait plus qu’au PSG…

Comment expliquez-vous que l’Italie puisse se passer de Marco Verratti ?
Attendez, au milieu, il y a des joueurs comme Pirlo ou Motta. Être titulaire en équipe nationale dans les grands pays de foot comme l’Italie alors qu’on a 22 ans, ce n’est pas facile. Il y a de la concurrence ! Il faut lui laisser du temps. Alors, certes, il peut jouer plus haut mais ça serait dénaturer son jeu selon moi. En plus, il n’a jamais marqué un but depuis qu’il est arrivé au PSG, par exemple. Ce n’est pas normal !»

Blanc, fan d'Alex

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En fin de contrat dans quelques semaines, Alex négocie actuellement avec le PSG pour prolonger son contrat. Son entraîneur Laurent Blanc a expliqué ce vendredi tout le bien qu'il pensait de lui : «Il est très efficace cette année. Il s’entraîne réguliérement. Il a beaucoup d’expérience, il a l'habitude des grands matches. Il se connait très bien. Il ne fait pas de bruit, mais défensivement parlant, il est efficace. Surtout, il est complémentaire de Thiago Silva. Et il est efficace offensivement, il marque des buts importants. Ce n'est pas rien ! Du coup, il est quasiment titulaire chez nous...»

Se relâcher serait stupide»
FOOTLIGUE 128E JOURNÉE
BASTIA - PSG (16H30)

Largement en tête du Championnat, quasiment qualifié pour les quarts de la Ligue des champions, le PSG va vivre une drôle de semaine avec un déplacement à Bastia (17h00) avant les réceptions de Leverkusen et de St-Etienne. Laurent Blanc ne veut aucun relâchement

PSG-Blanc: "Très satisfait" Publié le 9 mars 2014 à 08h32
Facile vainqueur à Bastia samedi (3-0), le PSG a non seulement passé la barre des 100 buts marqués depuis le début de la saison (toutes compétitions confondues), il a en outre idéalement préparé le huitième de finale retour face au Bayer Leverkusen qui l'attend mercredi au Parc des princes. De quoi réjouir son entraîneur Laurent Blanc, interrogé sur le site du club francilien: "C’est une belle victoire. On avait la main sur le jeu en première période et on a su faire la différence. Après la pause, c’était plus compliqué car Bastia a effectué des réajustements tactiques et était plus agressif. Les joueurs ont eu une bonne gestion du match, ils ont fait ce qu’il fallait. On est très satisfait." Et "le Président" d'ajouter, à propos des 102 buts inscrits par son équipe: "Passer la barre des 100 buts, cela veut dire que nous nous créons beaucoup d’occasions. Mais il ne faut pas oublier que nous sommes également très performants défensivement."

Blanc : Gourcuff précise sa pensée

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Suite à l’entretien qu’il a accordé au JDD durant lequel il évoquait notamment le rôle de Laurent Blanc, Christian Gourcuff a tenu dimanche à faire une mise au point. «Il semblerait qu'il y ait des interprétations. Laurent Blanc est quelqu'un que j'apprécie beaucoup, donc je suis un peu surpris, a-t-il affirmé. J'ai simplement émis des doutes sur ma conception du métier d'entraîneur. D'ailleurs cela fonctionne très bien avec Jean-Louis Gasset, avec qui il n'y a pas de problèmes et que je connais très bien. Mais ce n'est pas ma conception du boulot d'entraîneur, c'est tout ce que j'ai pu dire. Maintenant quand la presse fait des raccourcis et du "buzz" et ne lit pas les papiers, c'est plutôt la presse qu'il faut remettre en cause, en tous cas certains médias».

Gourcuff avait déclaré dans le JDD : «Pour moi, un entraîneur, c'est d'abord quelqu'un qui travaille dans le domaine technique. Or il y a des entraîneurs qui n'entraînent pas. Comme Laurent Blanc à Paris, où c'est Jean-Louis Gasset (son adjoint) qui s'en charge. Ce modèle ne me plaît pas. C'est sur le terrain qu'on construit»

Blanc : Gourcuff «devrait repasser ses diplômes»
Au lendemain de l'interview donnée par Christian Gourcuff au JDD, Laurent Blanc a répondu à son homologue lorientais dans un entretien accordé au Monde. En lui conseillant de repasser son diplôme d'entraineur.

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Laurent Blanc a sèchement répondu à Christian Gourcuff. (L'Equipe)



Christian Gourcuff a eu beau faire une mise au point dans la foulée de succès de Lorient face à Saint-Etienne (1-0), dimanche, ses propos sur la manière d’entraîner de Laurent Blanc ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Dans un entretien accordé au Monde, l’entraîneur du PSG a répondu à son homologue lorientais.

«Il y a trente ans, il n'y avait pas de communication.» «J’ai connu l’entraîneur qui faisait tout : l’échauffement, la séance, les étirements, rangeait les plots, mettait les piquets, les filets et tondait presque la pelouse, mais c’était il y a trente-cinq ans, a d’abord ironisé le technicien. J’ai passé mes diplômes d’entraîneur. Christian Gourcuff les a passés il y a trente ans. Il devrait les repasser maintenant et s’apercevrait que le métier a évolué. (…) Il y a trente ans, il n’y avait pas de communication.»

Dans une interview accordée dimanche au JDD, Gourcuff avait affirmé : «Il y a des entraîneurs qui n’entraînent pas. Comme Laurent Blanc à Paris, où c’est Jean-Louis Gasset qui s’en charge (NDLR : des séances d’entraînement). C’est un modèle qui ne me plaît pas. C’est sur le terrain qu’on construit. Sinon, on ne fait que de la com’. Un entraîneur qui ne maîtrise pas le terrain n’est, selon moi, pas un entraîneur.»