LA VEGETATION MEDITERRANEENNE
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Re: LA VEGETATION MEDITERRANEENNE
vegetation flore mais aussi preservation
Envisager l’avenir du parc des Bruyères
29-07-2009
Les riverains du parc et les habitants du quartier attendent une réaction forte.
Les riverains du parc et les habitants du quartier attendent une réaction forte. (Photo ROBERT TERZIAN)Les Trois-Ponts. Suite à l’incendie du 22 juillet, les CIQ des zones touchées se mobilisent pour alerter les élus. Ils demandent à la fois des actions rapides et des projets à plus long terme.
Les riverains du parc des Bruyères et les habitants des quartiers touchés par les flammes attendent une réaction forte. Lundi soir, les représentants des nombreux Comité d’Intérêt de Quartiers (CIQ) des 9e et 10e arrondissements, quartier des Trois-Ponts en tête, ont organisé une réunion avec plusieurs élus et responsables de l’Etat. Parmi eux René Olmeta (PS), conseiller général, Lionel Royer Perrault (UMP), bras droit de Guy Teissier, plusieurs élus de la mairie du 5e secteur et des représentants du Samu social et de la police. Plus de 150 personnes ont assisté ou participé au débat. Prochaine réunion aujourd’hui à 18h à La Panouse.
Philippe Yzombard, président du CIQ des Trois-Ponts est l’initiateur de la réunion de lundi, « d’abord pour exprimer nos peurs immédiates en ce qui concerne le parc des Bruyères et plus généralement le massif autour des Trois-Ponts », entame-t-il. Avant de poursuivre, « il faut que les autorités dégagent le terrain avant les premières pluies pour éviter le ravinement, limiter les coulées de boue et les éventuelles inondations ». Autre priorité pour lui et les riverains, « les risques d’éclatement des roches qui ont travaillé pendant le feu et ne sont plus retenues par les racines des végétaux carbonisés ».
« Préciser les actions à mener et quand… »
Voilà pour les urgences. Mais la perte d’un des principaux poumons verts de la ville exige aussi la mise en place d’une stratégie plus globale, d’un suivi sur le long terme. « Nous avons demandé que soit réalisé un état des lieux sur le massif et le parc. Objectif, savoir ce qu’on doit faire tout de suite et dans quelle mesure la nature va, elle aussi, reprendre le dessus. Des arbres peuvent être brûlés et pas morts ». Le président du CIQ des Trois-Ponts souligne une forte demande de la population locale, « nous voulons la mise en place d’un calendrier stipulant précisément les actions à mener et surtout quand les mener ! ». En filigrane, le spectre de l’oubli. Il faut agir vite.
Côté responsabilité, le major Jean-Marc Dubaut, du commissariat du 10e, a recommandé, lundi, de déposer une plainte contre X pour ceux qui souhaitent se porter partie civile. « Plainte contre X, car aujourd’hui, l’enquête n’a pas encore prouvé la responsabilité de l’armée, s’inquiète Philippe Yzombard, il ne faudrait pas que les fautes soient détournées. L’armée doit faire face aux dégâts qu’elle a engendrés ».
C’est donc pour être rassurés et préparer l’avenir que se réuniront ce soir à La Panouse les CIQ des zones ravagées. Gérer l’après feu, alors qu’hier les hélicoptères survolaient encore les Trois-Ponts et le parc des Bruyères.
Les riverains du parc et les habitants du quartier attendent une réaction forte.
Envisager l’avenir du parc des Bruyères
29-07-2009
Les riverains du parc et les habitants du quartier attendent une réaction forte.
Les riverains du parc et les habitants du quartier attendent une réaction forte. (Photo ROBERT TERZIAN)Les Trois-Ponts. Suite à l’incendie du 22 juillet, les CIQ des zones touchées se mobilisent pour alerter les élus. Ils demandent à la fois des actions rapides et des projets à plus long terme.
Les riverains du parc des Bruyères et les habitants des quartiers touchés par les flammes attendent une réaction forte. Lundi soir, les représentants des nombreux Comité d’Intérêt de Quartiers (CIQ) des 9e et 10e arrondissements, quartier des Trois-Ponts en tête, ont organisé une réunion avec plusieurs élus et responsables de l’Etat. Parmi eux René Olmeta (PS), conseiller général, Lionel Royer Perrault (UMP), bras droit de Guy Teissier, plusieurs élus de la mairie du 5e secteur et des représentants du Samu social et de la police. Plus de 150 personnes ont assisté ou participé au débat. Prochaine réunion aujourd’hui à 18h à La Panouse.
Philippe Yzombard, président du CIQ des Trois-Ponts est l’initiateur de la réunion de lundi, « d’abord pour exprimer nos peurs immédiates en ce qui concerne le parc des Bruyères et plus généralement le massif autour des Trois-Ponts », entame-t-il. Avant de poursuivre, « il faut que les autorités dégagent le terrain avant les premières pluies pour éviter le ravinement, limiter les coulées de boue et les éventuelles inondations ». Autre priorité pour lui et les riverains, « les risques d’éclatement des roches qui ont travaillé pendant le feu et ne sont plus retenues par les racines des végétaux carbonisés ».
« Préciser les actions à mener et quand… »
Voilà pour les urgences. Mais la perte d’un des principaux poumons verts de la ville exige aussi la mise en place d’une stratégie plus globale, d’un suivi sur le long terme. « Nous avons demandé que soit réalisé un état des lieux sur le massif et le parc. Objectif, savoir ce qu’on doit faire tout de suite et dans quelle mesure la nature va, elle aussi, reprendre le dessus. Des arbres peuvent être brûlés et pas morts ». Le président du CIQ des Trois-Ponts souligne une forte demande de la population locale, « nous voulons la mise en place d’un calendrier stipulant précisément les actions à mener et surtout quand les mener ! ». En filigrane, le spectre de l’oubli. Il faut agir vite.
Côté responsabilité, le major Jean-Marc Dubaut, du commissariat du 10e, a recommandé, lundi, de déposer une plainte contre X pour ceux qui souhaitent se porter partie civile. « Plainte contre X, car aujourd’hui, l’enquête n’a pas encore prouvé la responsabilité de l’armée, s’inquiète Philippe Yzombard, il ne faudrait pas que les fautes soient détournées. L’armée doit faire face aux dégâts qu’elle a engendrés ».
C’est donc pour être rassurés et préparer l’avenir que se réuniront ce soir à La Panouse les CIQ des zones ravagées. Gérer l’après feu, alors qu’hier les hélicoptères survolaient encore les Trois-Ponts et le parc des Bruyères.
Les riverains du parc et les habitants du quartier attendent une réaction forte.
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Re: LA VEGETATION MEDITERRANEENNE
Florent : « Ces terres c’est de l’or pour le bio »
30-07-2009
En plein marasme de la filière fruits et légumes, Florent Abel agriculteur bio indépendant installé dans les Bouches-du-Rhône, ne connaît pas la crise.
Florent Abel décrit comme un engagement éthique son installation comme agriculteur bio depuis 2005. Dans ses champs de La Barben, près de Salon-de-Provence, il cultive des légumes anciens avec la seule aide des coccinelles et des abeilles.
La Barben. A l’heure la plus chaude de cette journée d’été, Florent Abel se promène en plein champ pour surveiller les goutte-à-goutte qui donnent vie à des légumes d’un autre âge aux formes et aux couleurs étranges.
Des tomates, des poivrons, des aubergines, des courgettes, des salades, des concombres et des carottes qui n’en sont pour la plupart qu’au stade de jeunes plants fragiles et graciles entourés d’autres plantes plus fortes. Des pousses parasites, ces fameuses mauvaises herbes, qui sont la garantie d’une agriculture raisonnée et raisonnable qui exclut de facto tout traitement chimique.
Les terres de son grand-père
« Le gros problème de l’agriculteur bio, ce sont justement ces mauvaises herbes que nous devons enlever à la main. Un travail de fou, mais un travail obligatoire. Sinon les jeunes légumes vont être très vite étouffés. Alors on y va à la main et à la binette, comme autrefois. C’est dur, très dur l’été avec la chaleur. Mais c’est enthousiasmant aussi. En travaillant ainsi, j’ai l’impression de retrouver les gestes de mon grand-père qui était lui aussi agriculteur et maraîcher autrefois. D’ailleurs ici, ce sont ses terres. Elles étaient restées à l’abandon une quinzaine d’années lorsque je me suis installé agriculteur bio en 2005. Les spécialistes d’Ecocert, l’organisme certificateur bio, m’ont immédiatement décerné le label. Ces terres, c’était de l’or pour le bio. Imaginez qu’elles étaient restés quinze années sans traitement aucun. Un gage absolu de pureté. Je n’ai pas eu à observer une période d’attente sans culture avant d’avoir droit à l’appellation bio. »
Ce départ dans le bio est pour notre jeune agriculteur une démarche
personnelle qui s’inscrit dans le choix d’un mode de vie simple, au plus
près de la nature et de ses règles.
L’aspect économique n’étant qu’un
argument d’appoint dans la prise de
décision et de risques.
La vente directe
« J’avais exercé plusieurs métiers qui m’obligeaient à être constamment en ville ou en voiture. Je ne supportais plus
ces contraintes et j’ai décidé de reprendre les terres et le métier de mon grand-père, ici chez moi à La Barben. Evidemment, j’ai suivi une formation, puis j’ai plongé. Avec comme référence l’expérience réussie de mon ami Guy Constant à Pélissanne. Il faisait du bio depuis vingt ans. Aujourd’hui le moins que je puisse dire c’est que je ne regrette rien. Le bio, si l’on s’y consacre sérieusement, ça marche. »
En quelques années, Florent Abel est passé du statut de producteur de
légumes pour des coopératives bio à agriculteur bio indépendant. Il commercialise désormais lui-même directement sa production. Avec le plaisir
du contact et la satisfaction de ne proposer que des légumes et des fruits de saison en saison.
« Au début j’ai travaillé avec des grosses structures bio du type bio.coop. Mais j’ai assez rapidement décidé de travailler seul et de choisir moi-même mes légumes. C’est bien plus gratifiant. Et puis j’ai tellement de plaisir à expliquer à mes clients comment je travaille et quelles sortes de légumes anciens je produis. Je suis sur les marchés des environs uniquement. Le mercredi à Saint-Cannat, le samedi à La Barben et le dimanche à Pélissanne. Les gens me connaissent. Ils me sont fidèles. Je ne propose que des légumes frais, cueillis la veille au soir. Et des légumes cultivés évidemment sans pesticides ni engrais chimiques. En bio, nous n’avons droit qu’aux engrais organiques, comme le fumier, et nous n’utilisons jamais le moindre insecticide. En fait, nos alliés ce sont les coccinelles, que nous introduisons par colonies entières afin d’éliminer les pucerons, et les abeilles qui assurent une bonne pollinisation des plantes. »
Quel goût !
En plein marasme dans la filière fruits et légumes, la production bio de Florent Abel ne connaît pas la crise. Et ne craint pas la concurrence des grandes surfaces ou des traditionnels revendeurs sur les marchés. « D’abord le bio en vente directe c’est très abordable. A peine plus cher que du non bio. Et encore. Et puis il y a l’argument santé. Comme disent désormais de nombreux nutritionnistes, à quoi ça sert de manger des fruits et des légumes s’ils sont pleins de produits chimiques ? Avec le bio plus d’allergies et quel goût ! Manger bio ce n’est pas une mode, c’est un nouvel art de vivre. »
Florent Abel
30-07-2009
En plein marasme de la filière fruits et légumes, Florent Abel agriculteur bio indépendant installé dans les Bouches-du-Rhône, ne connaît pas la crise.
Florent Abel décrit comme un engagement éthique son installation comme agriculteur bio depuis 2005. Dans ses champs de La Barben, près de Salon-de-Provence, il cultive des légumes anciens avec la seule aide des coccinelles et des abeilles.
La Barben. A l’heure la plus chaude de cette journée d’été, Florent Abel se promène en plein champ pour surveiller les goutte-à-goutte qui donnent vie à des légumes d’un autre âge aux formes et aux couleurs étranges.
Des tomates, des poivrons, des aubergines, des courgettes, des salades, des concombres et des carottes qui n’en sont pour la plupart qu’au stade de jeunes plants fragiles et graciles entourés d’autres plantes plus fortes. Des pousses parasites, ces fameuses mauvaises herbes, qui sont la garantie d’une agriculture raisonnée et raisonnable qui exclut de facto tout traitement chimique.
Les terres de son grand-père
« Le gros problème de l’agriculteur bio, ce sont justement ces mauvaises herbes que nous devons enlever à la main. Un travail de fou, mais un travail obligatoire. Sinon les jeunes légumes vont être très vite étouffés. Alors on y va à la main et à la binette, comme autrefois. C’est dur, très dur l’été avec la chaleur. Mais c’est enthousiasmant aussi. En travaillant ainsi, j’ai l’impression de retrouver les gestes de mon grand-père qui était lui aussi agriculteur et maraîcher autrefois. D’ailleurs ici, ce sont ses terres. Elles étaient restées à l’abandon une quinzaine d’années lorsque je me suis installé agriculteur bio en 2005. Les spécialistes d’Ecocert, l’organisme certificateur bio, m’ont immédiatement décerné le label. Ces terres, c’était de l’or pour le bio. Imaginez qu’elles étaient restés quinze années sans traitement aucun. Un gage absolu de pureté. Je n’ai pas eu à observer une période d’attente sans culture avant d’avoir droit à l’appellation bio. »
Ce départ dans le bio est pour notre jeune agriculteur une démarche
personnelle qui s’inscrit dans le choix d’un mode de vie simple, au plus
près de la nature et de ses règles.
L’aspect économique n’étant qu’un
argument d’appoint dans la prise de
décision et de risques.
La vente directe
« J’avais exercé plusieurs métiers qui m’obligeaient à être constamment en ville ou en voiture. Je ne supportais plus
ces contraintes et j’ai décidé de reprendre les terres et le métier de mon grand-père, ici chez moi à La Barben. Evidemment, j’ai suivi une formation, puis j’ai plongé. Avec comme référence l’expérience réussie de mon ami Guy Constant à Pélissanne. Il faisait du bio depuis vingt ans. Aujourd’hui le moins que je puisse dire c’est que je ne regrette rien. Le bio, si l’on s’y consacre sérieusement, ça marche. »
En quelques années, Florent Abel est passé du statut de producteur de
légumes pour des coopératives bio à agriculteur bio indépendant. Il commercialise désormais lui-même directement sa production. Avec le plaisir
du contact et la satisfaction de ne proposer que des légumes et des fruits de saison en saison.
« Au début j’ai travaillé avec des grosses structures bio du type bio.coop. Mais j’ai assez rapidement décidé de travailler seul et de choisir moi-même mes légumes. C’est bien plus gratifiant. Et puis j’ai tellement de plaisir à expliquer à mes clients comment je travaille et quelles sortes de légumes anciens je produis. Je suis sur les marchés des environs uniquement. Le mercredi à Saint-Cannat, le samedi à La Barben et le dimanche à Pélissanne. Les gens me connaissent. Ils me sont fidèles. Je ne propose que des légumes frais, cueillis la veille au soir. Et des légumes cultivés évidemment sans pesticides ni engrais chimiques. En bio, nous n’avons droit qu’aux engrais organiques, comme le fumier, et nous n’utilisons jamais le moindre insecticide. En fait, nos alliés ce sont les coccinelles, que nous introduisons par colonies entières afin d’éliminer les pucerons, et les abeilles qui assurent une bonne pollinisation des plantes. »
Quel goût !
En plein marasme dans la filière fruits et légumes, la production bio de Florent Abel ne connaît pas la crise. Et ne craint pas la concurrence des grandes surfaces ou des traditionnels revendeurs sur les marchés. « D’abord le bio en vente directe c’est très abordable. A peine plus cher que du non bio. Et encore. Et puis il y a l’argument santé. Comme disent désormais de nombreux nutritionnistes, à quoi ça sert de manger des fruits et des légumes s’ils sont pleins de produits chimiques ? Avec le bio plus d’allergies et quel goût ! Manger bio ce n’est pas une mode, c’est un nouvel art de vivre. »
Florent Abel
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Re: LA VEGETATION MEDITERRANEENNE
La feria du riz sous haute sécurité
Publié le mardi 4 août 2009 à 12H43
A Arles, la feria du riz sera très surveillée par les services de police. "La fête doit rester la fête et beaucoup ont tendance à l'oublier. En sachant que l'alcool est le principal déclencheur des débordements et des accidents, nous allons mener une action aussi bien éducative que répressive : nous avons un objectif d'accidentologie zéro", avance avec fermeté le commandant de police James Étourneau.
Pour ce faire, la police ne lésinera pas sur les moyens. Sécurité routière, contrôles aux abords de la ville, qui sera bouclée pour l'occasion, se multiplieront toute la journée. C'est le capitaine Cluzeau qui y veillera. "Il y aura aussi des dépistages de stupéfiants", prévient-il. À accidentologie zéro, tolérance zéro… Après cette mise en garde, les organisateurs, réunis jeudi dernier en mairie pour présenter les festivités, étaient plutôt satisfaits.
La Provence
Publié le mardi 4 août 2009 à 12H43
A Arles, la feria du riz sera très surveillée par les services de police. "La fête doit rester la fête et beaucoup ont tendance à l'oublier. En sachant que l'alcool est le principal déclencheur des débordements et des accidents, nous allons mener une action aussi bien éducative que répressive : nous avons un objectif d'accidentologie zéro", avance avec fermeté le commandant de police James Étourneau.
Pour ce faire, la police ne lésinera pas sur les moyens. Sécurité routière, contrôles aux abords de la ville, qui sera bouclée pour l'occasion, se multiplieront toute la journée. C'est le capitaine Cluzeau qui y veillera. "Il y aura aussi des dépistages de stupéfiants", prévient-il. À accidentologie zéro, tolérance zéro… Après cette mise en garde, les organisateurs, réunis jeudi dernier en mairie pour présenter les festivités, étaient plutôt satisfaits.
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Re: LA VEGETATION MEDITERRANEENNE
LE RIZ C UN LEGUME... DANS LA FLORE
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Re: LA VEGETATION MEDITERRANEENNE
DANS LES GRANDES VILLES C CLASSIC LES GENS SE PARTAGENT DES LOPINS DE TERRE
7 A 8 M2POUR RETROUVER LEUX RACINES AGRICOLES .....
PARIS MARSEILLE..
7 A 8 M2POUR RETROUVER LEUX RACINES AGRICOLES .....
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Re: LA VEGETATION MEDITERRANEENNE
fete des parcs
DIAPORAMA Le parc régional du Verdon en fête
Digne Les Bains - dimanche 27 septembre 2009
http://www.laprovence.com/diaporamas/707-fete-du-parc-regional-du-verdon.php?idx=18#top-diapo
DIAPORAMA Le parc régional du Verdon en fête
Digne Les Bains - dimanche 27 septembre 2009
http://www.laprovence.com/diaporamas/707-fete-du-parc-regional-du-verdon.php?idx=18#top-diapo
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