L"ILE DE BEAUTE OU LE TOURISME EN CORSE

Conflit au
long cours
à la SNCM
Alors que le conflit à la SNCM a
franchi le cap du 45e jour de grève,
les marins CGT et SAMMM se
sont réunis en assemblée générale
afin de dresser un état de la
situation alors qu’ils attendent
des réponses écrites sur les
points abordés lors du conseil
de surveillance qui s’est déroulé
à Paris, au siège de Véolia.
Parmi ces points, figurent notamment
la question du maintien
de l’ensemble des lignes
sur la Corse et le Maghreb, le
nombre des navires composant
la flotte, sans oublier les craintes
d’un futur plan social. La
CGT et le SAMMM sont en effet
convaincus qu’existe un risque
réel et sérieux de démantèlement
de la compagnie. Une fois
ces réponses en main et après
présentation aux marins, la finalisation
d’un protocole d’accord
pourrait intervenir et mettre fin
à un conflit qui dure depuis sept
semaines entre une compagnie
obligée de redresser la barre et
des marins qui n’ont plus
confiance. Les discussions qui
reprendront aujourd’hui n’en
paraissent que plus contraintes

SNCM : la grève est terminée !
le vendredi 18 mars 2011 à 17H17



Après 47 jours de grève, les marins de la CGT, réunis en assemblée générale à bord du Paglia Orba, viennent de voter la reprise du travail. Deux navires seront opérationnels dès ce soir : le Jean Nicoli quittera le port de Marseille ce soir à 22h, le Pascal Paoli - celui de Bastia - à 23h. Demain, le Paglia Orba quittera le port à 18h ainsi que le Danielle Casanova à 19h30. Le coût global de ce conflit est évalué à 13 M€.

P

◆ Départs
6h45: Kalliste (CMN), de Bastia
7h: Jean Nicoli II (SNCM), d'Ajaccio
10h: Tassili II (SNCM), d'Alger
◆ Arrivées
11h: Danielle Casanova (SNCM), pour Alger
19h: Kalliste (CMN), pour Bastia
19h: Jean Nicoli II (SNCM), pour Ajaccio

Air Corsica : après sept jours de conflit, la grève est finie.Publié le mercredi 30 mars 2011 à 10H00 - 1
François Mosconi, président du conseil de surveillance de la compagnie Air Corsica, est arrivé hier matin à l'aéroport de Poretta en compagnie d'Anne-Marie Natali et de Balthazar Federici pour rencontrer les grévistes.



Le conflit social qui a opposé pendant sept jours le personnel navigant commercial d'Air Corsica, affilié à l'union des navigants de l'aviation civile (Unac), et la direction de la compagnie aérienne a pris fin hier soir, vers 22 heures. La grève avait débuté mercredi dernier. Les salariés d'Air Corsica demandaient une amélioration de leurs conditions de travail et de nouvelles discussions pour mettre sur pied une convention collective.

Des rencontres entre syndicalistes et représentants de la direction ont été organisées jusqu'à vendredi avant que le contact ne soit complètement rompu tout le week-end. Il aura fallu donc attendre lundi pour que François Mosconi, président du comité de surveillance, après une réunion téléphonique avec l'ensemble des membres de ce conseil, prenne la décision de monter à Poretta pour rencontrer les grévistes.

Le maire de Conca est arrivé à l'aéroport de Bastia aux alentours de 11 heures accompagné d'Anne-Marie Natali et de Balthazar Federici pour tenter de trouver une solution à ce conflit. Le président du conseil de surveillance était déterminé et il a déclaré que sa volonté première était « de faire sortir la compagnie régionale de ce conflit qui n'avait que trop duré. »
Il ne savait pas à ce moment-là que la journée allait être encore très longue. Les trois élus rejoignaient alors, une vingtaine de grévistes dans une salle de l'aéroport de Bastia Poretta. Cette première rencontre de deux heures devait leur permettre de dégager un peu le terrain, mais pas assez pour que le personnel navigant décide de reprendre le travail immédiatement.

Des discussions jusqu'au début de la nuit

C'est à 15 heures que tout ce petit monde se retrouvait pour une heure trente de débats parfois houleux, mais se déroulant quand même dans une ambiance chaleureuse entre les différents participants. À 16 h 30, François Mosconi, Anne-Marie Natali et Balthazar Federici quittaient la table des négociations afin de laisser les grévistes entre eux. « Nous leur avons certifié que nous serons là autour de la table pour les prochaines rencontres et que nous pèserons de tout notre poids pour arriver à conclure certains accords. »

Malgré cette première garantie, les grévistes restaient enfermés, prêts à discuter jusqu'au début de la nuit. Mais la raison devait tout de même l'emporter puisque vers 21 heures, ils sortaient de la salle de réunion pour enfin annoncer au président du conseil de surveillance d'Air Corsica qu'ils allaient cesser le mouvement de grève après la signature d'un protocole d'accord par les différentes parties.

François Mosconi ne cachait pas alors sa satisfaction : « Le personnel navigant a décidé de reprendre le travail. C'est une bonne nouvelle pour la compagnie mais également pour l'ensemble de nos passagers. Nous allons tenir nos engagements. Nous serons autour de la table lors des prochaines rencontres entre les salariés et la direction. Nous participerons au groupe de travail et nous étudierons tous les problèmes qui restent en suspens. »

De son côté, Frédéric Demontis, responsable syndical de l'Unac à Poretta était lui aussi content « de trouver une issue à ce conflit grâce à l'intervention des membres du conseil de surveillance de la compagnie qui se sont engagés pour être avec nous lors des prochaines discussions. Toutes nos revendications ont été prises en compte. Les temps d'attente entre les vols seront réévalués et nous aurons très prochainement des réunions pour mettre sur pied une nouvelle convention collective. Nous demeurons malgré tout vigilants pour l'avenir. »
L'ensemble des vols de la compagnie Air Corsica sera donc assuré normalement aujourd'hui par le personnel de la compagnie régionale

LESMOUVEMENTS DUPORT

◆ Arrivées
6h45: Kalliste (CMN), de Bastia
7h: Jean Nicoli 2 (SNCM), d’Ajaccio
7h30: Napoléon Bonaparte (SNCM), de
Bastia
10h: Tariq Ibn Ziyad (SNCM), d’Alger
◆ Départs
11h: Méditerranée (SNCM), pour Alger
17h: Tariq Ibn Ziyad (SNCM), pour Bejaïa
19h: Jean Nicoli 2 (SNCM), pour Ajaccio
19h: Kalliste (CMN), pour Bastia

Régates impériales : la neuvième vague



Du 23 au 29 mai, Ajaccio accueille la neuvième édition des Régates impériales by Schweppes. Un rassemblement de bateaux prestigieux, véritables aristocrates de la mer dont la valeur ne tient pas seulement à leurs lignes, leurs performances mais aussi à leur histoire.



En temps ordinaire, le golfe d'Ajaccio est déjà, en soi, un spectacle réjouissant. Toutefois, lors de la dernière semaine de mai, il devrait l'être plus encore. De quoi clouer le bec aux gabians, qui sait ? D'autant que cette année, les old ladies* ont décidé de peaufiner leur entrée en scène. Il faut bien donner un lustre particulier à cette IXe édition des Régates impériales by Schweppes. Si on a coutume de dire que la neuvième vague est la plus forte, pourquoi ne serait-elle pas aussi la plus belle ? Aussi, Thibaut Assante, organisateur de cet événement qui constitue une des épreuves-phares du yachting de tradition en Méditerranée, annonce un prélude qui ne devrait pas manquer de majesté. « Les propriétaires de plusieurs yachts ont l'intention de se rassembler à Villefranche le 22 mai afin d'effectuer la traversée ensemble jusqu'à Ajaccio ». L'arrivée de conserve de ces vénérables dames promet donc d'être un beau moment.
Ce ne sera sans doute pas le seul. Cette année encore, la manifestation monte en puissance. Si l'an passé, elle réunissait une trentaine de participants, ce sont cette fois plus de 40 yatchs classiques, gréements auriques, classiques Marconi et esprits de tradition qui sont attendus. « Rien que le nombre et la qualité des gréements auriques suffirait à lui seul à organiser une régate ! Par ailleurs, de nouveaux partenaires ont rejoint l'aventure des régates, comme Star Clippers, et La Plage d'Argent, et sur le plan média Paris-Match offre aussi sa couverture. » Quant à la dimension internationale de cette compétition, elle s'affirme plus que jamais « avec une majorité de concurrents étrangers, suisses, anglais, américains, italiens néerlandais ». Si on annonce la participation de Tuiga, le « vaisseau amiral du Yacht club de Monaco » côtre aurique de 28 m, commandé pour le compte du Duc de Medinaceli, noble espagnol proche du Roi Alphonse XIII, et devenu propriété du prince Albert de Monaco après avoir connu dix propriétaires en 100 ans, le prestige des régates ne tient pas tant aux hommes qu'aux bateaux. Ici, l'identité de l'armateur importe infiniment moins que le pedigree du yacht. Les personnalités de marque, ce sont bel et bien ces old ladies au parcours parfois légendaire. C'est le cas de Mariquita (la coccinelle), 38 mètres de long, 582 m² de voiles, dont on fête cette année les 100 ans. Elle est aujourd'hui le seul yacht de la classe 19 m JI encore à flots. Construite par l'architecte naval William Fife III, elle courut 69 courses dont 35 victorieuses entre 1911 et 1913. Rebaptisée Maud IV au début des années folles, elle connut des déboires à partir de la Seconde guerre mondiale. Délaissée durant des années dans une vasière et sauvée in extremis en 1991, elle fut restaurée et rendue à la mer en 2004.
Autre élégante centenaire, Mariska, qui participe aux Régates impériales by Schweppes pour la première fois. Encore une « fille » de l'écossais William Fife III. Il s'agit là de son second cotre aurique de classe 15mJI. Elle fut lancée en 1908 et remporta en son temps les régates du Havre et la Coupe internationale de Cowes. Encore une qui revient de loin puisqu'elle fut un temps reconvertie en house Boat par un musicien de jazz des années cinquante. Après son rachat par un armateur suisse, elle a fait l'objet d'une minutieuse restauration en 2009, et triomphé en 2010 aux XVe Voiles d'Antibes.
Beaucoup moins imposants et bien plus jeunes, mais tout aussi racés, les Tofinou, qui s'inscrivent dans la catégorie « esprit de tradition », devraient être bien représentés. À l'origine, le Tofinou était un exemplaire unique dessiné par le Capitaine Merle en 1929 et construit par un chantier à St Martin de Ré. Retrouvé de nombreuses années plus tard à l'état d'épave, il fut dans un premier temps restauré. Puis l'architecte naval Philippe Joubert, tombé sous le charme de ses lignes, décida en 1989 d'en réaliser une série.
Tous les bateaux engagés ont ainsi leur petite histoire, plus ou moins longue, plus ou moins tumultueuse. Et bien au-delà de la performance, du spectacle, c'est là un des points forts de ces régates : rassembler tant de mémoires.



Catégories et classes des bateaux en compétition
Catégorie « époque » et réplique de yacht d'époque, yacht à voile construit en bois ou en métal, lancé avant 1950 ou yacht construit de manière conforme à un plan antérieur à 1950, selon la même technique et avec les mêmes matériaux.
On distingue dans ces catégories deux classes se référant aux voiles : « aurique », yacht possédant de grandes voiles trapézoïdales enverguées par trois côtés sur la mâture ; « Marconi », yacht possédant de grandes voiles triangulaires enverguées par deux côtés sur la mâture. Catégorie « classique », yacht à voile construit en bois ou en métal et lancé entre 1950 et 1976. Catégorie « esprit de tradition », yacht à voile construit après 1976 selon une technique et avec des matériaux modernes dont l'aspect se réfère à un projet traditionnel d'époque ou classique. Les classements s'effectuent en temps sur distance pour les voiliers de tradition et en temps sur temps pour les esprits de tradition.

La SNCM lance
la saison estivale Corse
La compagnie maritime lance à partir
de mardi le site www.matraversee.
com qui doit permettre à ses
clients qui le désirent, de se rencontrer
et de retrouver à bord d’un navire...
Et peut-être, de passer ensemble
un bout de vacances. C’est aussi
ce mardi que des hôtesses se déplaceront
en matinée sur des gyropodes
pour annoncer un apéritif le midi
et le lancement de l’élection de la
"Miss météo de la SNCM". La gagnante
remportera une année de traversée.
Pour couronner le tout,
l’après-midi, trois bars de plage aux
couleurs de la compagnie, seront
installés au cours d’Estienne d’Orves,
sur le quai des Belges et au siège,
bd des Dames. À votre bon
coeur

Attention, au départ du port de
Marseille, si vous devez prendre
un des navires mixtes de la
SNCM suivants avec votre véhicule
: Jean Nicoli, Pascal Paoli,
Paglia Orba ou Monte d'Oro, il
faudra désormais se présenter
au contrôle d'embarquement
du "Cap Janet", entrée porte 4,
et non plus à la porte Chanterac
comme c'était le cas auparavant.
Pour les autres bateaux à
destination de l’Île de Beauté,
rien ne change.
Pour l'international (Maghreb,..),
l'embarquement se
fait toujours à hauteur de la gare
de la Major.
Dans tous les cas, pour les passagers
à pied, l'accès aux bateaux
reste inchangé. Il faut se rendre
à la gare de la Joliette.

MARSEILLE REPREND DES PASSAGERS POUR LA CORSE

Diaporama au village de Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio

mercredi 17 août 2011

La SNCM reprend des parts de marché et se veut résolument optimiste.Publié le vendredi 09 septembre 2011 à 00H20
Marc Dufour, Pierre-André Giovannini et Franck Sammut autour du commandant Lamoureux. Vous avez dit heureux ? (Photo Pierre-Antoine Fournil)

. Le lieu - le navire porte-étendard de la compagnie, le Napoléon-Bonaparte - une journée estivale et des résultats fleurant bon le satisfecit… Il n'en fallait pas plus pour que le ton donné à la conférence de presse, hier, à Ajaccio, mette le cap sur une bonhomie résolument optimiste. À bord du bateau ancré, trois protagonistes, Marc Dufour le directeur général de la SNCM, Pierre-André Giovannini, directeur pour la Corse et Franck Sammut, directeur du développement et des lignes corses. Placés sous le gouvernail protecteur du commandant Louis Lamoureux. Pour un bilan de fin de saison aux allures de lune de miel avec l'île. Hier, on a trinqué, tous sur le pont, à une information en particulier : la SNCM augmente son trafic et reprend des parts de marché. Pas question donc de réduire la voilure. Mais de partir à l'abordage des chiffres et indicateurs.

104 000 passagers de plus

« Pour la saison 2011, du 19 juin au 31 août et dans un marché maritime qui se maintient au niveau record de 2010, la SNCM enregistre 20% de trafic supplémentaire, soit 104 000 passagers de plus. Qui se traduisent par + 21% de chiffre d'affaires, une tendance qui devrait se poursuivre en septembre. Sur la saison élargie, nous bénéficierons alors d'une augmentation de 140 000 passagers par rapport à l'an dernier ».

Le directeur général de la compagnie précise, au passage, que ces chiffres ont été obtenus malgré une réduction du nombre de traversées de 9%, avec également des prix moyens maintenus, et une disparité importante entre les ports de Marseille et Nice. Marseille affichant plus 46% de trafic avec 12% de traversées supplémentaires. Nice, en revanche, accusant moins 23% de trafic avec une offre de traversées en recul de 40%. « Cette évolution très positive pour la SNCM la repositionne, en juillet, avec un gain de 6% en parts de marché sur la concurrence. À la clé, un taux de remplissage moyen des navires de 56%, les deux sens confondus ».

À la bonne heure

Pour Marc Dufour, ces bons chiffres ne doivent rien à une quelconque baguette magique. Bien plus à des options stratégiques de programmation et une politique commerciale adaptée. Dont le repositionnement de l'offre au départ de Marseille, à la suite de la réduction imposée par les autorités portuaires niçoises. Mais aussi le transfert d'une partie de l'offre initialement dédiée au Maghreb sur Porto-Vecchio et L'Ile-Rousse. Le directeur général de la SNCM s'est également félicité de l'amélioration de la productivité de certains bateaux avec une hausse des fréquences journalières. Et a souligné la régularité à 100% de la programmation horaire. Coup de chapeau tiré, dans le sillage, à l'implication de l'ensemble des personnels.

Du côté du remplissage des navires, le coefficient moyen - cargos et ferries - s'élève à 61% sur Marseille, 47% sur Nice et 56% toutes lignes. L'occasion pour Marc Dufour de recadrer les choses. « La critique du président Giacobbi quant au faible taux de remplissage de nos ferries ne peut être partagée dans la mesure où les indicateurs traduisent une quasi-saturation de l'offre. Les résultats commerciaux exceptionnellement bons que nous présentons aujourd'hui sont à replacer dans un contexte global marqué par les difficultés du Maghreb et leurs retombées sur les déplacements saisonniers, la hausse considérable du coût des combustibles et l'impact de la crise sur le pouvoir d'achat de nos clients. Je rappelle, en outre, que toutes les dessertes supplémentaires sont effectuées dans un cadre hors délégation de service public, c'est-à-dire sur un marché très concurrentiel. Cela nous encourage à nous battre pour regagner une place de leader dans la desserte de la Corse et le sud de la Méditerranée ».

Résidents corses à la proue

Si les trois premières régions émettrices restent Paca, Ile-de-France et Rhône-Alpes, les régions de proximité Paca et Rhône-Alpes enregistrent les plus fortes progressions. Avec une augmentation de 38% des résidents corses en saison.

Marc Dufour, mains dans les poches, appuyé contre un pilier, au poste de pilotage, est confiant. Dans l'avenir et... la future DSP. Lui qui continue de prôner « un arrêt anticipé de la délégation de service public pour repartir sur des bases plus simples ». On l'aura compris, le directeur général fera tout pour ne pas naviguer à vue...

Port : plus de voyageurs vers la Corse, moins vers le Maghreb cet été Publié le lundi 12 septembre 2011 à 19H38


A l'approche de l'automne, le port de Marseille-Fos dresse le bilan de la saison estivale 2011. La destination Corse booste l'activité, avec une augmentation de 43% du nombre de voyageurs par rapport à l'été 2010, et une part de marché qui s'améliore de 6 points fin juillet 2011 sur cette destination. Ainsi, en juillet et en août, près de 450 000 passagers ont choisi de voyager vers l'île de beauté via Marseille contre 312 000 passagers l'an dernier.

A l'inverse, le recul du trafic se confirme sur les lignes internationales vers l'Algérie et la Tunisie avec des chutes de 30% et 26% respectivement cet été. Le ramadan, qui s’est déroulé du 1er au 29 août, aurait limité les déplacements, comme les événements politiques de début 2011 en Tunisie.

Les croisières, pour lesquelles l'été n'est pas la saison la plus chargée, voient leur affluence augmenter de 6%, en attendant les hausses de l'automne.

Il est temps que la CF et la SNCM revoient leurs couts de transport Ton touriste d'Aubagne prend trop de risques a vouloir voyager a moindre coup

JUDAS a écrit:Il est temps que la CF et la SNCM revoient leurs couts de transport Ton touriste d'Aubagne prend trop de risques a vouloir voyager a moindre coup

nous tu sais sur le continent en raison de la crise d'austerité on cherche les economies partout
et on coupe tout ce qui n'est pas utile et indispensable

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:Il est temps que la CF et la SNCM revoient leurs couts de transport Ton touriste d'Aubagne prend trop de risques a vouloir voyager a moindre coup

nous tu sais sur le continent en raison de la crise d'austerité on cherche les economies partout
et on coupe tout ce qui n'est pas utile et indispensable

Lui prend le risque de traverser l'autoroute pétrolifère qui passe devant Bonifacio

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:Il est temps que la CF et la SNCM revoient leurs couts de transport Ton touriste d'Aubagne prend trop de risques a vouloir voyager a moindre coup

nous tu sais sur le continent en raison de la crise d'austerité on cherche les economies partout
et on coupe tout ce qui n'est pas utile et indispensable

Lui prend le risque de traverser l'autoroute pétrolifère qui passe devant Bonifacio

du petrole lsarkozien de ses amis libyens je comprendds mieux

liberons la palestine et ecoutons le souffle des libertés des peuples
qd j'entends ca je crois rever

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:Il est temps que la CF et la SNCM revoient leurs couts de transport Ton touriste d'Aubagne prend trop de risques a vouloir voyager a moindre coup

nous tu sais sur le continent en raison de la crise d'austerité on cherche les economies partout
et on coupe tout ce qui n'est pas utile et indispensable

Lui prend le risque de traverser l'autoroute pétrolifère qui passe devant Bonifacio

du petrole lsarkozien de ses amis libyens je comprendds mieux

liberons la palestine et ecoutons le souffle des libertés des peuples
qd j'entends ca je crois rever

Non non du pétrole italien,du gaz algérien via l'italie et quelques tankers Elf-Total tu sais les pétroliers qui servent de tirelires au parti du peuple Rose le mal nommé PS .....tu l'aura encore chercher

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:Il est temps que la CF et la SNCM revoient leurs couts de transport Ton touriste d'Aubagne prend trop de risques a vouloir voyager a moindre coup

nous tu sais sur le continent en raison de la crise d'austerité on cherche les economies partout
et on coupe tout ce qui n'est pas utile et indispensable

Lui prend le risque de traverser l'autoroute pétrolifère qui passe devant Bonifacio

du petrole lsarkozien de ses amis libyens je comprendds mieux

liberons la palestine et ecoutons le souffle des libertés des peuples
qd j'entends ca je crois rever

Non non du pétrole italien,du gaz algérien via l'italie et quelques tankers Elf-Total tu sais les pétroliers qui servent de tirelires au parti du peuple Rose le mal nommé PS .....tu l'aura encore chercher

tu as bien fait de me prevenir
ca tombe bien car mon vehicule àle reservoir * vide faut qu'on me le remplisse gratis
cette fois ci je l'ai acheté rose pour changer

pas mal judas

La destination Corse n'a pas fait un tabac cet été
lundi 19 septembre 2011 à 09H27


Ceux qui pensaient avant l'été que les conséquences du "Printemps Arabe" allaient doper le tourisme en Corse, ont tout faux. Selon l'Observatoire régional des transports pour la Corse, août a connu un très net recul des trafics passagers aériens et maritimes (- 7,1).

Sur l'ensemble de la saison, de mai à fin août, un peu plus de 4,5millions de passagers ont été transportés, soit 4% de moins qu'en 2010.