LOLO BLANC, ANCIEN ENTRAINEUR DE L'EDF

Blanc : «Satisfait de pratiquement tout»
Laurent Blanc a apprécié le large succès du PSG face à Nantes (5-0), dimanche soir. «On a été efficace dans tous les domaines avec 5 buts et pas mal d'occasions», s'est-il réjoui.

VIDEO http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Blanc-satisfait-de-pratiquement-tout/433682

Laurent Blanc a vécu «une bonne soirée». Depuis son banc de touche, l’entraîneur du PSG a assisté à la large victoire de son équipe face à Nantes (5-0), dimanche soir. Et le moins que l’on puisse écrire, c’est que les motifs de satisfaction étaient nombreux pour le technicien. «Je suis très satisfait de pratiquement tout, a-t-il souligné après le match. On a été efficace dans tous les domaines avec 5 buts et pas mal d’occasions. Je pense qu'il fallait aussi s'améliorer quand on n'a pas le ballon. On a été très concentré à la récupération ce soir.»

«Dans l'attitude et le jeu, il faut toujours avoir ce comportement». Ce match, le PSG se l’est rendu facile en ouvrant le score dès la 10e minute par l’intermédiaire de Thiago Silva. «On avait dit aux joueurs qu'il n'était pas interdit de concrétiser rapidement et que si c'était le cas, les choses seraient beaucoup plus faciles. On a été exaucé, s’est réjoui le technicien. On sait que quand on ouvre le score, ça desserre les choses. En première période, ça a été un peu difficile de se créer des occasions, mais après ça a été beaucoup mieux.» Blanc attend désormais de ses joueurs qu’ils conservent cet état d’esprit et qu’ils maintiennent ce niveau jusqu’à la fin de la saison. «Dans l'attitude et le jeu, il faut toujours avoir ce comportement», a-t-il insisté.

Avec respectivement cinq et dix points d’avance sur Monaco et Lille, le PSG est bien parti pour conserver son titre de champion de France. Interrogé sur le manque de suspense qui pourrait escorter la fin du Championnat, le technicien a admis qu’«on peut penser ça aujourd’hui.»  «Dix points d'avance sur Lille c'est beaucoup, mais ça peut aller très vite, a-t-il toutefois tempéré. On sait que nos objectifs sont très élevés. Nous aussi, on monte en puissance, avec un des meilleurs matches de la saison à domicile ce soir. Les joueurs sont conscients que si on domine notre sujet en L1, il faut rester concentré. Et qu'en C1, il faudra augmenter notre niveau d'exigence

Blanc : «Pas une désillusion»
Laurent Blanc estime que la sortie de route du PSG, éliminé en Coupe par Montpellier, mercredi, est une «déception» mais pas une «désillusion». L'entraîneur parisien a concédé que le manque d'efficacité de ses hommes l'avait «agacé».

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Laurent Blanc : «C'est la Coupe et Montpellier a eu raison d'y croire». (L'Equipe)



«En première période, on peut avoir de gros regrets vu notre manque d'efficacité offensive et défensive, a-t-il déclaré. Au niveau du jeu, je n'ai pas grand chose à reprocher aux joueurs mais c'est la Coupe et Montpellier a eu raison d'y croire. Prendre deux buts sur coups de pied arrêtés c'est toujours évitable et on aurait pu se mettre à l'abri bien avant. C'est une déception mais ce n'est pas une désillusion. On n'a pas fait ce qu'il fallait faire et on a été puni par une équipe de Montpellier très, très réaliste.»

«Sur le mois de janvier, on avait été efficace, mais pas ce soir et cela m'a agacé, a-t-il ajouté. Vu les séquences qu'on a créées, on aurait dû être plus efficace. On a eu un manque de réalisme devant le but, on a souvent eu le geste peu approprié dans la surface de réparation.»

«C'est une compétition de moins, mais c'est (aussi) un objectif en moins» Pour Blanc, le seul point positif de la soirée réside dans l'allègement du calendrier, alors que le PSG est encore en course dans trois compétitions (L1, Ligue des champions, Coupe de la Ligue). «C'est une compétition de moins, mais si on peut relever quelque chose de positif, même si je ne le veux pas, c'est que le mois de février sera allégé. Mais c'est un objectif en moins», a-t-il concédé. Les propriétaires qataris du club ont fait du succès dans au moins une Coupe nationale l'une des priorités de la saison au même titre que le Championnat et la Ligue des champions. (AFP)

PSG-Blanc: "Pas une désillusion"
Battu par Montpellier (1-2), mercredi soir au Parc des Princes, malgré une nette domination, le PSG quitte la Coupe de France dès les seizièmes de finale. S'il regrette le manque d'efficacité de ses troupes, l'entraîneur parisien Laurent Blanc tente de relativiser, sur le site du club: "En première période, on peut avoir de gros regrets vu notre manque d'efficacité offensive et défensive. Au niveau du jeu, je n'ai pas grand chose à reprocher aux joueurs, mais c'est la Coupe et Montpellier a eu raison d'y croire. Prendre deux buts sur coups de pied arrêtés, c'est toujours évitable et on aurait pu se mettre à l'abri bien avant. C'est une déception mais ce n'est pas une désillusion. On n'a pas fait ce qu'il fallait faire et on a été puni par une équipe de Montpellier très réaliste."

Blanc se moque comme Ancelotti1

Laurent Blanc a réagi ce vendredi au tacle de Carlo Ancelotti, lequel avait été choqué par la différence de professionnalisme entre les joueurs français et étrangers dans le vestiaire du PSG. « En fait, c’est le résultat d’une différence de culture, a rétorqué l’actuel coach de Paris. Une semaine de travail, ce n’est pas que l’entraînement. Une journée, ça comprend beaucoup de choses. Il y a 1h30 d’entraînement, mais aussi normalement des choses avant et après, que tu dois considérer comme du travail. »
Blanc : «Ici, vous avez peut-être une rencontre avec une belle-mère qui prend de l'importance. A l'étranger, vous n'avez pas ce problème là...» Blanc, qui s’est exilé durant sa carrière en Italie, en Espagne et en Angleterre, connaît bien le sujet. Pour lui, le souci est d'abord franco-français. « Paradoxalement, quand les joueurs français vont à l’étranger, ils s’habituent à la culture locale, ils s’y adaptent même très bien. J’ai pu le vérifier, a-t-il expliqué. A l’étranger, le Français a moins de choses à faire. Il n’a pas de famille ou d’amis, il est davantage concentré sur son sujet. Ici, vous avez peut-être une rencontre avec une belle-mère qui prend de l’importance. A l’étranger, vous n’avez pas ce problème là... Je plaisante mais à peine.»

Sa solution ? Traiter le problème à la source : « Il faudrait arriver à l’inculquer aux jeunes, si on veut que les joueurs français aient cette culture. Il faut leur apprendre la culture du travail dès le centre de formation. »

Blanc : «Un terrain déplorable»
25/01 20h13 - Football, L1
Après le match nul concédé ce samedi à Guingamp, Laurent Blanc a pointé du doigt l’état du terrain : «Contre Nantes il y a dix jours, vous étiez tous unanimes pour dire qu'on avait été efficaces. Contre Montpellier, on aurait dû marquer plus de buts. Aujourd'hui (samedi), on a été moins bons. Pourquoi ? Je ne veux pas me retrancher uniquement derrière ça mais l'état du terrain était déplorable. C'est le cas pour les deux équipes mais cela a défavorisé l'équipe qui fait le plus de jeu. Les terrains souffrent en cette période mais, quand votre jeu est basé sur les décalages et ne pas envoyer des ballons, c'est difficile sur un terrain comme ça. On le savait, il faut faire avec, ce n'est peut-être pas la dernière fois, mais je me dis qu'on n'est pas avantagés».

Heureux de pouvoir compter sur Yohan Cabaye, l’entraîneur du Paris SG Laurent Blanc a abordé la question de la fin du mercato du club de la capitale sans détour.
« En ce qui me concerne, je pense que Yohan sera la dernière recrue, oui. S’il y a des joueurs qui veulent quitter le PSG, il va falloir qu’ils s’activent un peu, parce que demain, à minuit, c’est terminé... », a-t-il confié. À bon entendeur.

Ligue 1. Cabaye dans le groupe, Blanc suspendu en Coupe d'Europe

Cabaye OK ...
Cabaye pourrait même être titularisé, le PSG devant se passer des services de Marco Verratti, suspendu, et d'Adrien Rabiot, blessé à un genou.

... pas Blanc
Dans la foulée de l'annonce concernant Cabaye, le PSG a appris, via l'UEFA, que son entraîneur, Laurent Blanc, serait suspendu pour le match aller des huitièmes de finale de la Ligue des champions, à Leverkusen, le 18 février, « en raison de coups d'envoi tardifs », a annoncé l'instance européenne.

Blanc a été sanctionné pour « une conduite inappropriée » ayant causé un retard dans le coup d'envoi du match Benfica-PSG, le 10 décembre, à Lisbonne, en phase de groupes.

L'UEFA précise que cette sanction fait suite à trois infractions similaires entrant dans le cadre de l'article 11(2g) de son règlement disciplinaire et qu'elle a choisi de « procéder par étapes ».

Pour la première infraction (PSG-Benfica, le 2 octobre), Blanc avait reçu un avertissement avant d'écoper d'une amende et d'une suspension d'un match avec sursis pour la deuxième (PSG-Olympiakos, le 27 novembre). Le sursis a donc été levé après le match à Lisbonne.

Laurent Blanc sera donc interdit de banc de touche, ne sera pas admis dans le vestiaire, le tunnel ou la zone technique avant ou pendant le match. « Il ne pourra pas communiquer directement ou indirectement avec ses joueurs et/ou son staff technique pendant le match », a également précisé l'UEFA.

Le club de la capitale a, de son côté, reçu une amende de 10 000 euros.

Ces décisions sont susceptibles d'appel.

PSG: Blanc satisfait de Pastore

En conférence de presse ce lundi, Laurent Blanc s'est exprimé sur le cas de Javier Pastore. Décevant depuis le début de la saison, l'Argentin semble être sur la bonne voie, selon son entraîneur. "Il y a du mieux dans le jeu de Javier (Pastore), dans son attitude aussi. Il est mieux depuis un mois. Dans l'état d'esprit, dans la mentalité il y est. Ça me plait beaucoup", a expliqué le coach parisien.

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Créé le 03/02/2014 - 14:08
PSG-Blanc: "Le système de jeu peut évoluer"

Alors qu'Edinson Cavani est forfait pour les rencontres face à Nantes et Monaco, Laurent Blanc a laissé entendre en conférence de presse que le système de jeu en 4-3-3, privilégié depuis le début de la saison, pourrait évoluer. "Il ne faut pas être bloqué par un système de jeu. Il peut évoluer en fonction des besoins. Pour l'instant il me convient", a expliqué le technicien francilien.

PSG-Blanc: "Un match qu'il faut gagner"

Présent en conférence de presse ce lundi, Laurent Blanc s'est exprimé sur la demi-finale de la Coupe de la Ligue face à Nantes. Si les Parisiens ont dominé les Nantais il y a vingt jours en championnat (5-0), le coach francilien a tenu à avertir ses joueurs. "C'est un compétition différente. C'est un match qu'il faut gagner en jouant bien de préférence . Mais le plus important en coupe c'est de passer, surtout qu'il y a une place en finale à la clé", a-t-il assuré.

Blanc : «On l'a fait»
S'il reconnait que son équipe s'est parfois «endormie» à Nantes, l'entraîneur du PSG, Laurent Blanc, se félicite de la victoire de son équipe (2-1) et de la qualification pour la finale de la Coupe de la Ligue.

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Laurent Blanc a «vu une bonne 2e mi-temps» entre le PSG et Nantes. (Reuters)



Laurent Blanc (entraîneur du Paris SG): «C'était un vrai match de coupe, les scénarios sont souvent comme ça. J'ai vu une bonne 2e mi-temps car les deux équipes ont joué. En première, on mène 1-0 et une équipe refuse le jeu, malgré ça on a des possibilités de mener 2-0. On ne l'a pas fait, on s'est peut-être reposés sur notre conservation de balle. Mais en coupe il faut gagner, on l'a fait. On est en finale, c'est ce qu'on cherchait, on l'a fait. De la pression avant ce match ? Quand on est entraîneur du PSG il faut gagner tous les matches. Tout le monde a la pression au PSG, joueurs, entraîneur et dirigeants.

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Ibrahimovic envoie le PSG en finale




On savait que Nantes allait nous recevoir de fort belle manière après la défaite il y a 15 jours (5-0 pour Paris), c'est pour ça que j'ai été surpris par leurs 45 premières minutes. En 2e période, Nantes a mis plus de pression, d'engagement, s'est créé quelques occasions et a égalisé. Mais dans les 10 dernières minutes mon équipe a accéléré. Peut-être qu'on s'est endormi nous-mêmes mais le résultat est là, c'est le principal. La finale ? Je vais regarder le match demain (2e demi-finale entre Lyon et Troyes) mais je n'ai pas de préférence. Que le meilleur gagne.»

PSG-Blanc: "La réaction a été bonne"

Plus que le contrecoup de son équipe, dominatrice et faisant la course en tête à la pause après l'ouverture du score géniale de Zlatan Ibrahimovic, puis rejointe au score à neuf minutes du coup de sifflet final, c'est bien le changement de comportement de son adversaire nantais d'une mi-temps sur l'autre, ce mardi, en demi-finale de la Coupe de la Ligue, que tenait à relever Laurent Blanc à l'issue de la qualification du PSG à La Beaujoire (2-1) grâce à un doublé de son attaquant suédois. "Je pense que c’est la mentalité des Nantais qui a changé, ils ont refusé le jeu en première période, et se sont mis à jouer en seconde période, soulignait le technicien parisien au micro de France 2. Mon équipe a manqué de fraîcheur, mais la réaction a été bonne, dès qu’on s’est pris le but, ils ont compris qu’il ne fallait pas aller en prolongations, ils ont fait ce qu’il fallait. On aura le temps de penser à cette finale, puisque ce n’est que le 19 avril, nous avons de grandes échéances à venir avant cela."

Blanc :«On a tous la pression»
4/02 23h47 - Football, CdL
Laurent Blanc est revenu en conférence de presse sur les attentes autour du PSG, qualifié pour la finale de la Coupe de la Ligue. «En coupe il faut gagner, on l'a fait. On est en finale, c'est ce qu'on cherchait, on l'a fait. De la pression avant ce match ? Quand on est entraîneur du PSG il faut gagner tous les matches. Tout le monde a la pression au PSG, joueurs, entraîneur et dirigeants. On savait que Nantes allait nous recevoir de fort belle manière après la défaite il y a 15 jours (5-0 pour Paris), c'est pour ça que j'ai été surpris par leurs 45 premières minutes. En 2e période, Nantes a mis plus de pression, d'engagement, s'est créé quelques occasions et a égalisé. Mais dans les 10 dernières minutes mon équipe a accéléré», a commenté l’entraîneur parisien après la victoire du PSG à Nantes (1-2).

Face à Monaco, Laurent Blanc saura-t-il gérer le PSG à la Mourinho ?
Par Bruno Roger-Petit le 7 février 2014 18h51 | Réagir
Il parait que Monaco est la bête noire du PSG. Les statistiques le disent. Le passé ne ment pas. Sur l'excellent site paris-canalhistorique.com (ICI) on rappelle cette histoire douloureuse. On rapelle que Monaco est "la bête noire historique du PSG depuis 1970, même si Monaco n’a croisé la route du club de la Capitale qu’à une seule reprise depuis l’arrivée des Qataris, avec un match nul au Parc des Princes (1-1, le 22 septembre dernier).  En 84 matches officiels, le club de la Capitale a plus de défaites (43) que de victoires ET de matches nuls (41). Plus de 50% de défaites pour Paris, c’est unique dans l’histoire des Rouge et Bleu".

Monaco, dieu sinistre, effrayant, impassible, donc le pied menace le PSG et lui dit "Souviens toi !" Et de se souvenir, aussi, qu'au mois de septembre dernier, l'AS Monaco n'a pas été battu par le PSG. Qu'elle est repartie avec un nul glorieux, 1-1, après une rencontre riche en péripéties, et un but de Falcao qui tenait plus de l'Arnaque que des Trois jours du condor.

Mais c'était il y a cinq mois. 150 jours ! En football, c'est une éternité. Depuis, le PSG est devenu une machine à gagner (sauf accident), qui est le plus souvent mise en danger par elle-même, quand certains de ses joueurs, tels Lavezzi ou Thiago Motta à Nantes, en Coupe de la ligue, perdent leurs nerfs et s'exposent inutilement à perdre concentration et à récolter des cartons préjudiciables. Et Monaco a perdu en route quelques points précieux, et Falcao...

On l'a déjà écrit ici, sur ce modeste blog, que les statistiques n'engageaient que le passé. Pas l'avenir. Dimanche, si le PSG l'emporte, il comptera huit points d'avance sur Monaco. C'est dire que dans ce cas de figure, le championnat 2013/14 sera, sauf surprise, joué. Peu importe que le PSG n'ait pas battu Monaco depuis 2007, à l'heure où ces lignes sont écrites, Ibrahimovic et ses camarades savent qu'ils peuvent, en un match, se ménager une fin de saison pépère qui leur permettrait de se concentrer sur la Ligue des champions, et la finale de la Coupe de la Ligue.

Si Laurent Blanc sait y faire, gérer son groupe à la Mourinho, le résultat devrait suivre, loin des statistiques en forme de pensée magique. Cette perspective ne peut que mener les Parisiens, supérieurs à Monaco dans tous les secteurs du jeu, vers une victoire qui serait un couronnement. C'est une finale de championnat que va jouer le PSG à Monaco. Une vraie finale qui exige esprit de sacrifice et d'abnégation. Mais pour accomplir cet exploit, il faut mobiliser les joueurs en mode commando. Leur insuffler un esprit de conquête hors du commun, à l'exemple de ce que José Mourinho réussit avec ses joueurs dans les grandes occasions. Et là, à ce point de la réflexion, on retombe sur l'inlassable interrogation : Laurent Blanc est-il capable de se départir de sa coutumière distance nonchalante vis-à-vis de ses joueurs ? Telle est la question...

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Blanc: «Ne jouons pas le match»


7/02 17h08 - Football, Interrogés sur les propos de Claudio Ranieri qui voit le PSG déjà champion, Laurent Blanc et Blaise Matuidi n'ont pas manqué de répondre à l'entraineur de Monaco. Non sans une certaine ironie.

L1   http://sport24.lefigaro.fr/football/ligue-1/Homes-Clubs/paris-sg/fil-info/blanc-ne-jouons-pas-le-match-677484

Blanc agacé: «Ce n'est pas Ibrahimovic qui fait l'équipe»
Par Baptiste Desprez, 07-02-2014

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VIDÉO. Questionné sur le statut de Zlatan Ibrahimovic sur et en dehors du terrain, Laurent Blanc a tenu a réaffirmer sa position en tant qu'entraineur du PSG. Et le technicien d'avouer aussi son bonheur d'avoir le Suédois dans son groupe.

PSG-Blanc: "On était venu pour gagner"

Laurent Blanc avait quelques regrets à l’issue du match nul décroché par le PSG à Monaco dimanche soir lors du duel au sommet de la Ligue 1 en clôture de la 24e journée (1-1). "La première mi-temps était mieux maîtrisée, après c’était un peu plus compliqué, a confié l’entraîneur parisien au micro de Canal +. Les deux équipes ont joué pour gagner, on a pu le voir avec les changements effectués et les entrées de joueurs offensifs. Et ils ont eu, comme nous, des balles de match.""Mais on était venu pour gagner, et vu la physionomie de la première mi-temps, on pensait pouvoir le gagner. Et sur le but (contre son camp de Thiago Silva, ndlr), on est un peu malheureux."

Blanc n'est plus suspendu
L'entraîneur parisien pourra diriger son équipe depuis le banc à Leverkusen.

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Laurent Blanc voit sa suspension pour un match commuée en sursis. (L'Equipe)



Laurent Blanc sera sur le banc de touche du PSG pour le 8e de finale aller de la Ligue des champions, mardi prochain à Leverkusen. L'UEFA a commué mardi sa sanction d'un match de suspension en un match avec sursis, suite à l'appel du club parisien. Dans un communiqué en fin d'après-midi, l'instance européenne précise que ce sursis est susceptible d'être révoqué pendant les douze prochains mois et que l'entraîneur devra s'acquitter d'une amende de 10 000 euros.

Pour l'UEFA, Laurent Blanc s'était rendu coupable d'un «comportement inaproprié» ayant entrainé trois retards consécutifs de coup d'envoi lors de rencontres de C1. L'interessé s'était dit «très surpris» de cette décision disciplinaire, croyant même à «une plaisanterie».

PSG: Suspension levée pour Blanc
L’UEFA a décidé de lever la sanction qu’elle avait initialement infligée à Laurent Blanc, révèle LeParisien.fr. L’entraîneur du club de la capitale sera donc bien sur le banc pour le huitième de finale aller de Ligue des champions qui opposera son équipe au Bayer Leverkusen, le 18 février prochain. Le "Président" avait écopé d’un match ferme de suspension en raison des retards de ses joueurs au retour des vestiaires, lors de trois matches de C1 cette saison. Une sanction finalement ramenée, en appel, à deux matches avec sursis.

Blanc : «Une fatigue mentale»
13/02 17h17 - Football, L1
L'entraîneur du PSG Laurent Blanc, dont l'équipe ressent actuellement une «fatigue mentale» et «doit s'améliorer dans certains domaines», affirme jeudi qu'elle doit surtout «retrouver de la fraîcheur» au moment de recevoir Valenciennes pour la 25e journée de L1 et à quatre jours du rendez-vous européen contre Leverkusen : «Ce n'est pas une fatigue physique mais une fatigue mentale. Il y a la répétition des matches, le fait de souvent aller chercher les victoires en fin de rencontre comme on l'a fait à Nantes (en demi-finale de la Coupe de la Ligue 2-1, NDLR), la fatigue physique qui peut engendrer la fatigue mentale, les terrains qui sont lourds...» Et d’ajouter : «La manière a été un peu moins bonne je le reconnais, on a été moins efficace, mais j'ai eu l'impression qu'on dominait quand même assez souvent nos adversaires. On est conscient qu'on doit s'améliorer dans certains domaines. Ça ne veut pas dire qu'on doute. Là, on doit surtout essayer de retrouver de la fraîcheur. On va entrer dans une phase avec des matches très excitants pour les joueurs, avec le niveau de concentration qui va augmenter. Je le vois à l'entraînement, donc je me dis qu'il augmentera aussi en match.»

PSG: Blanc revient sur la sanction de l'UEFA
Initialement suspendu un match ferme par la commission de discipline de l’UEFA, Laurent Blanc a vu sa peine réduite mardi par la chambre d’appel de l’instance européenne, et n’écope finalement "que" d’une rencontre avec sursis assortie d’une amende de 10.000 euros. Une sanction sur laquelle le coach du PSG a accepté de revenir, jeudi, en conférence de presse. "Je voulais mettre les choses au point, car j’ai lu plusieurs choses fausses sur la question. On m’a reproché le retard une fois à la mi-temps, et une fois en début de match. Et l’UEFA met la responsabilité de ce retard sur l’entraîneur, a regretté le technicien. L’entraîneur est déjà responsable quand on perd un match, quand un joueur n’est pas bon… Moi je veux bien, mais ça fait beaucoup de responsabilités. Dans un vestiaire il peut arriver des choses. Un joueur qui change de maillot par exemple, et le maillot n’est pas floqué… C’est l’entraîneur le responsable ?"

Créé le 13/02/2014 - 14:44
PSG: Blanc fait le point sur les blessés
Invité en conférence de presse à donner des nouvelles de l’infirmerie du PSG, Laurent Blanc a fait le tour des cas, et notamment celui d’Edinson Cavani, touché à la cuisse au début du mois. "Il suit son programme. En fin de semaine, il devrait reprendre la course. Tous les signes sont très bons. Mais il n’a jamais été question qu’il soit de retour pour jouer face à Leverkusen", a expliqué l’entraîneur parisien. Pour ce qui est des autres blessés, Christophe Jallet (hernie discale) est "sur le point de réintégrer le groupe. Il commence à reprendre part au jeu, il est en avance", tandis que Zoumana Camara souffre d’une "élongation". Ces trois-là manqueront donc à l’appel face à Valenciennes, vendredi, dans le cadre de la 25e journée de Ligue 1. De son côté, Zlatan Ibrahimovic (dos) "va très bien, et s’entraîne normalement", alors que Thiago Silva souffre "d’un problème récurrent à la cheville, mais il n’y a pas de signe alarmant

Blanc veut un PSG plus efficace
14/02 23h27 - Football, L1
Même s’il était satisfait de la prestation de son équipe face à Valenciennes (3-0), Laurent Blanc reconnaissait que ses joueurs manquaient encore d’efficacité devant le but : «On avait prévu ce scénario, encore fallait-il pouvoir le réaliser. Ce sont nos 2e et 3e buts qui ont permis de faire souffler certains cadres. La répétition avant Leverkusen consistait avant tout à gagner ce match. Les joueurs pensaient à Leverkusen mais ils ont fait abstraction et ont fait le job. On a eu des occasions qu'on n'a pas su concrétiser. Oui, on aurait pu être efficaces, mais marquer trois buts et ne pas en encaisser, c'est pas mal.» 

Blanc : «Être décisif dans ces matches-là est plus difficile»

Publié le 18/02/2014 à 03:47



Blanc est resté secret sur sa composition d'équipe./ Photo AFP




L’entraîneur parisien Laurent Blanc est apparu serein avant le déplacement à Leverkusen. Avançant notamment un «regain de concentration» de la part de ses joueurs.
Dans quel état d’esprit abordez-vous ce premier acte ?
Cette rencontre, on l’attend depuis longtemps. C’est l’odeur des grands matches. On sait qu’une saison est excitante pour le championnat, mais aussi pour la Ligue des champions. Tous les joueurs veulent absolument jouer ces matches.
Comment comptez-vous
imposer votre jeu ?
Avant d’imposer son combat physique et tactique, il va falloir avoir le ballon. Le Bayer joue bas et part en contre-attaque très rapidement. Je ne serais pas étonné qu’ils nous laissent le ballon pour mieux tenter de nous contrer.
Ibrahimovic apparaît un peu moins efficace lors des matches à élimination directe…
Il a 32 ans et de l’expérience à revendre. Il a toujours marqué et il marquera des buts jusqu’à la fin de sa carrière. Être décisif dans ces matches-là est plus difficile. Les défenses sont meilleures. Il reste notre meilleur atout pour marquer.
Le Bayer marque beaucoup sur coups de pied arrêtés,
est-ce la clé du match ?
Oui, mais pas la seule. C’est une équipe athlétique. Dans les airs, on est en déficit par rapport à eux. Paradoxalement, ils prennent des buts aussi sur coups de pied arrêtés. Ils sont meilleurs offensivement que défensivement.

Blanc : «On doit avoir le ballon»
17/02 18h58 - Football, LdC
Avant le 8^e de finale aller de la Ligue des champions face à Leverkusen, Laurent Blanc a insisté sur la nécessité pour son équipe d’avoir la possession du ballon : «Il faudra avoir le ballon. Le fait d'avoir le ballon permet d'imposer son jeu à l'adversaire. Le Bayer joue assez bas et part on contre-attaque très rapidement. Je ne serais pas étonné qu'on ait une grosse possession de ballon, que le Bayer accepte de nous le laisser pour mieux tenter de nous contrer. Mais on ne va pas changer notre façon de jouer. Ce qu'il faudra surtout c'est être dangereux et efficace, là, ce sera encore mieux. Avant d'imposer son combat physique, son combat tactique, il faut avoir le ballon.»