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MAISON DE RETRAITE DES EX BLEUS

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MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Empty Re: MAISON DE RETRAITE DES EX BLEUS

Message  aladin Ven 17 Jan - 9:55

35 ans après, Daniel Bravo a un terrain de foot à son nom à Cugnaux

Publié le 17/01/2014 à 08:02


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35 ans après, Daniel Bravo a un terrain de foot à son nom à Cugnaux
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Pour tous les jeunes footballeurs de la JSC (Jeunesse sportive de Cugnaux), Daniel Bravo est un consultant avisé sur Canal +. Pour les dirigeants les plus anciens, c’est le meilleur joueur qui a jamais évolué à Cugnaux.
35 ans après avoir quitté le club, Daniel Bravo, qui va fêter ses 51 ans (on dirait pas), vient de revenir pour inaugurer un terrain de foot synthétique à son nom. Juste retour de choses pour l’ex-enfant prodigue, un surdoué surnommé «le petit prince» car il marquait lors du premier de ses treize matches en équipe de France, contre l’Italie, SVP…
Il a aussi joué 557 matches en D.1 et D.2., à Nice, Monaco, au PSG, Lyon et Marseille, via Parme (Italie). Sans jamais passer par le TFC, hélas.
Après avoir coupé le ruban avec Philippe Guérin, maire, Daniel Bravo, très ému, a conversé avec les gamins de l’école de foot. Il nous a aussi livré ses impressions : «Je suis vraiment très honoré. Mon père et mon grand-père ont joué au club et je tiens énormément à ses couleurs. J’ai obtenu ma première sélection junior en jouant encore à la JSC, avant mon départ pour Nice à 16 ans. De l’eau est passée sous les ponts en 35 ans, mais dès que je peux, je reviens toujours ici, voir ma famille et les plus anciens bénévoles avec nostalgie. C’est ici que je me suis construit, que j’ai progressé. Je dois beaucoup à ces éducateurs bénévoles qui nous emmenaient avec leurs voitures personnelles et nous préparaient les sandwiches».
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Message  aladin Ven 17 Jan - 11:55

Narbonne : Michel Hidalgo à la rencontre des jeunes du Fun
ÉRIC MARTY
16/01/2014, 11 h 43 | Mis à jour le 16/01/2014, 11 h 50



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Michel Hidalgo et les petits joueurs du Fun : la passion du football à travers les générations. (© D.R)
L'ancien sélectionneur des Bleus a rendu visite au jeunes du Football Union Narbonne (Fun), mercredi.
Une photo pour Antoine, une autre pour Johan et une aussi pour... Jean-Pierre. On parle là, il est vrai, d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Alors, ces gamins qui courent sur la pelouse de Saint-Salvayre ne peuvent imaginer le privilège qu’ils ont de serrer la main à celui qui a rendu ses lettres de noblesse au football français.
Madeleine de Proust

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"Il est arrivé, le monsieur ?", demande un petit joueur du Fun à son éducateur. Oui, il est là, en chair et en os. Pour le plus grand plaisir des entraîneurs, des dirigeants et des parents. Michel Hidalgo, c’est un peu la madeleine de Proust.
Platini, Giresse, Trésor...
Avec lui remontent tant de souvenirs en bleu. Ceux de l’équipe de France romantique. L’Argentine, Séville, le Portugal. Des moments qui ont fait vibrer le public français. "Nous n’étions pas tenus de gagner à n’importe quel prix. Avec les Platini, Giresse, Trésor et autres, nous voulions avoir une image de marque. Il nous a manqué seulement d’être champions du monde", témoigne l’ancien sélectionneur des Bleus.
Champions d'Europe
Sous sa direction, l’équipe de France a tout de même été championne d’Europe (1984) et a disputé une célébrissime demi-finale de Coupe de monde en 1982, face à l’Allemagne.
Si les Bleus de Michel Hidalgo avaient une grosse cote de popularité auprès de l’opinion publique, ce n’est plus le cas de leurs successeurs. Du haut de ses 80 printemps, Michel Hidalgo se refuse pourtant à jouer les censeurs. Modéré un jour, modéré toujours. "Depuis, il y a eu le sacre de 1998. Si les jeunes d’aujourd’hui récidivent au Brésil, on leur dira bravo. Qu’ils donnent déjà une bonne image du football français et ce sera suffisant".
"Un plaisir permanent"
Retiré des affaires internationales, Michel Hidalgo apprécie toujours d’aller à la rencontre de la base, histoire de délivrer un message qui ressemble tant au personnage. "Pour moi, c’est un plaisir permanent que d’aller dans les régions et de rencontrer les jeunes. Il faut les laisser faire. Que ce soit du rugby ou du football, il est important qu’ils fassent du sport !"
L’ancien mentor des Platini et consorts se contente de jouer les spectateurs engagés et d’observer l’évolution de son sport. "J’ai l’âge de regarder et de prendre du plaisir. Ce qui n’est pas toujours le cas. Je vois parfois de bonnes équipes et des joueurs qui jouent le jeu", sourit-il.
N’attendez pas de lui qu’il sorte le traditionnel refrain du “c’était mieux avant...” On l’a pensé très fort à sa place
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Message  internet34 Lun 20 Jan - 9:52

Droit au but contre le racisme. Dans le cadre de ses actions
d’éducation contre le racisme et les discriminations, le lycée Daumier
(8e) recevra lundi prochain Lilian Thuram. À la tête de la fondation "Lilian
Thuram, éducation contre le racisme" et auteur de l’ouvrage "Mes
étoiles noires, de Lucy à Barak Obama" (édition Philippe Rey, 2010),
l’ancien champion du monde de football viendra rencontrer les élèves
de seconde ainsi que des élèves de l’option football, une cinquantaine
au total, le 27 janvier, de 14h à 16h. Le lycée poursuivra ses actions
culturelles le soir même en invitant lycéens, parents, personnels et
l’ensemble des Marseillais à la projection à 17h30, dans sa salle polyvalente,
du documentaire "Le chant des possibles, vivre et grandir au lycée
Nord" en présence des réalisateurs.

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Message  internet34 Jeu 23 Jan - 8:15

ANGLETERRE AFFAIRE DE LA "QUENELLE"

Anelka poursuivi par la Fédération


Rien ne va plus pour Nicolas Anelka. Hier, il a été mis en accusation par la Fédération anglaise (FA) pour une "quenelle", considérée par certains comme un geste antisémite. Il encourt désormais une lourde suspension. "Il est reconnu qu'Anelka a fait un geste abusif et/ou indécent et/ou insultant et/ou incorrect, a justifié la FA dans un communiqué. En outre, il s'agit d'une violation grave (...) en ce sens qu'elle inclut une référence à l'origine ethnique et/ou la race et/ou la religion ou à une croyance."

L'attaquant de 34 ans, qui porte aujourd'hui les couleurs de West Bromwich Albion, n'en a donc pas fini avec cette "quenelle" réalisée le 28 décembre pour célébrer le premier de ses deux buts contre West Ham (3-3) "en signe de dédicace" à son ami Dieudonné, l'humoriste-polémiste.

Après trois semaines et demie d'enquête menée par un expert qu'elle avait désigné, la FA a donc décidé d'ouvrir une procédure. Une commission indépendante de trois membres sera chargée de régler ce dossier. Anelka, converti à l'islam en 2004, a jusqu'à demain 18 heures pour accepter ou contester cette mise en accusation. S'il accepte, la Fédération annoncera une sanction. S'il conteste, il sera convoqué ultérieurement pour s'expliquer.

En vertu du nouveau règlement anti-discrimination de la FA introduit en mai dernier, il encourt une suspension d'au moins cinq matches.



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Message  aladin Jeu 6 Fév - 8:54

Réveillère titulaire
5/02 20h40 - Football, Cpe d'Italie
Le Français Anthony Réveillère sera une nouvelle fois titulaire avec Naples mercredi soir à Rome en demi-finale aller de la Coupe d'Italie. Transfuge de Saint-Etienne lors du mercato, Faouzi Ghoulam débutera en revanche sur le banc.
Le onze de la Roma :
De Sanctis - Maicon, Castan, Benatia, Torosidis - De Rossi, Strootman, Nainggolan - Gervinho, Ljajic, Totti
Le onze napolitain :
Reina - Maggio, Fernandez, Albiol, Réveillère - Inler, Jorginho, Callejon, Hamsik, Insigne - Higuain
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Message  aladin Dim 9 Fév - 11:57

Alain Giresse, missionnaire du foot

Publié le 09/02/2014 à 03:47, Mis à jour le 09/02/2014 à 08:43 | 1

Talent d'ici
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Une joie de vivre le football intacte pour l'un des membres du «carré» magique historique du football français avec Platini, Fernandez et Tigana./Photo DDM

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Loin de tout, loin des siens, de tous ces supporters qui l’adulent encore, Alain Giresse vit un exil paisible en Afrique. Tiens, vendredi soir, il n’a pas perdu une miette de… TFC-Saint-Etienne, à la télé bien sûr, tranquille chez lui à Dakar. La ville et le Sénégal lui ont tendu les bras au début de l’année dernière à l’occasion du nouveau défi qu’il s’était fixé : entraîner, surtout tirer vers les sommets les «Lions» d’une équipe nationale que les Français découvriront sans doute bientôt à l’occasion d’un match amical (date à fixer).
Parler de Giresse, c’est mettre d’entrée de la noblesse dans le sport le plus populaire du monde. C’est forcément avoir en tête cette image du sportif fou de bonheur lorsqu’il inscrit le troisième but de l’équipe de France au cours du match le plus hystérique de son histoire, ce France-Allemagne de 1982 à Séville. Mais c’est aussi rendre hommage à l’une des figures sportives les plus attachantes d’un Sud-Ouest où, pour une fois, Toulouse et Bordeaux se la joueraient main dans la main. L’amitié, la générosité, le rapprochement des peuples… ces valeurs cardinales ont en réalité toujours été inscrites au cœur de la personnalité d’Alain Giresse. Lorsqu’il était encore en activité, il fallait voir comment le milieu de terrain de poche virevoltait balle au pied en s’arrachant à la puissance physique de ceux qui «mettaient la semelle», ceci pour parvenir à servir sur un plateau ses partenaires éblouis d’une pareille classe.
Altruiste, au point d’assumer une reconversion d’entraîneur rapidement orientée vers des pays africains en pleine progression (Maroc, Gabon, Mali et aujourd’hui le Sénégal) et dont «il faut tirer les joueurs par le haut», Alain Giresse symbolise avant tout l’image artistique du football, celle qui reste dans l’inconscient collectif sportif. «Oui, j’aime bien qu’on me parle de ça. Je vais vous dire honnêtement : il y a eu une déviation dans l’approche du jeu après 1998, le football est devenu plus engagé, il fallait absolument aller vers l’avant en oubliant les artistes du ballon qui font dans la création. Du coup, ils ont peu à peu disparu», explique-t-il tranquillement. «Bon, je pense que ça reviendra doucement, mais ça va prendre du temps…»
Le temps, Gigi l’a toujours pris, sans s’affoler, lui qui connut ses heures de gloire lorsque la trentaine commençait déjà à frissonner. Son club historique, les Girondins de Bordeaux, avaient alors réussi leur mue, celle qui allait leur permettre d’accrocher coup sur coup le titre en 1985 et 1986. Juste avant, il y avait eu le titre de champion d’Europe avec l’équipe de France des deux «Michel», Hidalgo et Platini. Ce dernier reste pour Alain Giresse l’exemple absolu du sportif accompli. «Il nous faisait pousser des ailes», confie-t-il.
«Le TFC joue bien au ballon»
Quand il décide de prendre sa retraite à 34 ans, puis de devenir entraîneur en 1995, c’est d’abord à Toulouse que Gigi décide de s’intéresser. Les Téfécistes végètent en 2e division et ce n’est pas vraiment du goût de leur coach qui, deux saisons plus tard, les propulse en 1ère division. Il récidivera dans cet exercice délicat l’année du millénaire et, comme la communauté d’amoureux du foot dans la Ville Rose - «il y en a, croyez-moi, et plus que vous ne pensez»- assistera impuissant à la liquéfaction budgétaire en fin de saison suivante… «Moi, je regarde le présent, et je vous dis que le TFC joue bien, parfois même très bien au ballon et que c’est impossible que l’équipe en reste là», souligne Alain Giresse.
À ceux qui espéreraient le retour de l’artiste sur les bords de Garonne, il tient alors à préciser : «Vous savez, mon emploi du temps est avant tout régi par ce qui se passe ici, au Sénégal. La France, je peux y revenir parfois, mais il n’y a rien d’obligé. Je sais que j’ai quelques amis ici à Toulouse.» Comme les organisateurs du prochain Mondialito, ce tournoi interentreprises cher à l’Etoile sportive de Saint-Simon et de son président Fred Buigues. Gigi est parrain de l’événement aux côtés de Bernard Lacombe, Marius Trésor et Patrick Battiston. Des noms à jamais gravés dans le marbre du football français.
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Message  bienvenou Dim 16 Fév - 17:26

Fontaine :"Le foot est un sport de brutes"
dimanche 16 février 2014 TOULOUSE
de notre envoyé spécial BERNARD LIONS

À quatre-vingts ans, l'ancien attaquant vedette des Bleus et du Stade de Reims vit une retraite paisible à Toulouse, sa ville d'adoption. Entre jeux de cartes et matches de foot, qu'il suit encore sur grand écran... dans son salon. (Photo Pierre Mérimée/L'Équipe)
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À quatre-vingts ans, l'ancien attaquant vedette des Bleus et du Stade de Reims vit une retraite paisible à Toulouse, sa ville d'adoption. Entre jeux de cartes et matches de foot, qu'il suit encore sur grand écran... dans son salon.

CELA FAIT bientôt cinquante ans que Just Fontaine arpente les rues de Toulouse, au volant de sa petite voiture. « Je suis venu m'installer ici en 1965, pour ma femme, se souvient-il. Je suis un Toulousain d'adoption. » À quatre-vingts ans, il connaît le moindre recoin de la « Cité des violettes », autre surnom de la Ville rose.
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Message  internet34 Mer 19 Fév - 9:54

FA: Anelka entendu en début de semaine prochaine ?

D'après les médias anglais, Sky Sports en tête, Nicolas Anelka sera entendu par la Fédération anglaise de football (FA) en début de semaine prochaine. Fin janvier, la FA avait annoncé l'ouverture d'une procédure contre l'ancien international français, accusé d'avoir fait une "quenelle", geste considéré par certains comme antisémite, lors d'un match de Premier League en décembre dernier. S'il est reconnu coupable, l'attaquant de West Bromwich Albion risque au minimum une suspension de cinq rencontres.

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Message  aladin Ven 28 Fév - 8:15

icolas Anelka suspendu cinq matches pour sa quenelle4 commentaires
Publié le 27/02/2014 à 18h18 , modifié le 27/02/2014 à 18h31 par
SudOuest.fr avec AFP


L'attaquant français devra en outre suivre un stage éducatif
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Nicolas-anelka-dit-avoir-voulu-afficher-son-soutien-a-son_1650878_800x400Nicolas Anelka dit avoir voulu afficher son soutien à son ami Dieudonné © Photo
AFP IAN KINGTON









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L'attaquant français de West Bromwich Albion Nicolas Anelka a été suspendu cinq matches par la fédération anglaise pour sa "quenelle" du 28 décembre dernier, un geste considérée par certains comme antisémite, a annoncé jeudi la FA.
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Empty
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Le buteur de 34 ans, qui a la possibilité de faire appel de cette décision survenue après deux jours d'audition par les trois membres indépendants de la commission de discipline, doit en outre s'acquitter d'une amende de 97 300 euros et s'engager à suivre un stage éducatif.
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MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Empty Re: MAISON DE RETRAITE DES EX BLEUS

Message  internet34 Mar 15 Avr - 20:39

Sidney Govou : « En 2010, on était géré par des joueurs qui n’étaient pas prêts »
Posté le 9 avril 2014 par bhenry

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Ancien joueur cadre de l’Olympique Lyonnais, Sidney Govou était à Berlin en 2006. Et à Knysna en 2010 (photo Benjamin Henry).

Sidney Govou a trente-quatre ans. À son âge, nombreux sont les footballeurs à poursuivre leur carrière au plus haut niveau. Lui évolue désormais en CFA, à Chasselay, après avoir tout gagné du côté de l’Olympique Lyonnais. Un homme qui a tout connu pendant dix ans : sept titres de champion de France, une Coupe de France, un Coupe de la Ligue. Et deux Coupes du Monde avec les Bleus. Compétitions sur lesquelles il a accepté de revenir.
Avez-vous des souvenirs de Coupe du Monde quand vous étiez plus jeune ?
Je ne suis pas très vieux. Ni très jeune, remarque. Les premiers, c’est en Italie, je crois. C’était en 1990. Des souvenirs de gamin. On regardait les matchs de temps en temps. Et après, on allait dans le champ d’à côté pour essayer d’imiter ce qu’on voyait à la télé. Après, 1994, je n’ai pas tant suivi que ça : j’étais dans une période d’adolescence où je me suis un peu désintéressé du foot. Après, forcément, 1998, j’étais dedans. Ça faisait déjà un an que j’étais à Lyon. J’étais vraiment derrière.
Cette victoire de la France en 1998, c’est votre meilleur souvenir en tant que supporter ?
Oui, carrément. De loin.
Y a-t-il des joueurs qui vous ont marqués pendant ces Coupes du Monde ?
(Il réfléchit) Que je ne confonde pas Coupes du Monde et Euros… Il y avait l’Italien, Toto Schillaci. Des joueurs comme Baggio, aussi. (Long silence) Je ne suis pas très bon en souvenirs (rires) ! Au niveau des Euros, j’ai le souvenir d’une équipe rappelée au dernier moment, le Danemark, en 1996. C’est horrible, de ne pas se souvenir, comme ça. Quand j’étais jeune, je ne suivais pas de près. Mon père regardait quasiment tous les matchs avec mon frère. Mais moi, j’étais plus dans le côté gamin. Je regardais brièvement, ça me donnait envie de jouer. C’est comme quand il y a Roland-Garros : on a tous envie de prendre la raquette. Par contre, 1998, je m’en souviens très bien. J’étais déjà à Lyon. Pas encore professionnel, mais ça voulait dire quelque chose pour moi.
En 2006, vous avez été sélectionné pour la Coupe du Monde suite à la blessure de Djibril Cissé. Comment avez-vous ressenti cette sélection ?
Ce n’est pas forcément évident d’être appelé comme ça, alors qu’il y a un joueur qui se blesse. On est malheureux pour lui, surtout que Djibril, je le connais. Mais en même temps, je ne peux pas cacher que j’étais quand même heureux de participer à la Coupe du Monde. C’est bizarre, comme double sentiment. Après, il y l’arrivée : il faut y aller, s’adapter vite. Moi, j’ai cette qualité, je pense : quand je suis arrivé, il y a des joueurs qui pensaient que j’étais là depuis le départ. Je me fonds facilement dans un groupe. Je ne fais pas de bruit, alors ça s’est bien passé.
« En 2006, en finale, je m’attendais à pouvoir rentrer »
Vous participez finalement à quatre matchs pendant ce Mondial : une jolie surprise ?
Oui, parce que ce n’était pas prévu que je vienne. Et encore moins que je joue quand je suis arrivé. Tout s’est enchaîné super vite. Physiquement, sur un laps de temps assez court, j’ai réussi à revenir rapidement. J’ai aussi eu la chance que Robert Duverne (préparateur physique de l’équipe de France à l’époque, NDLR) me connaisse très bien. Il savait exactement quoi faire pour me mettre sur pieds assez vite. Après, ce sont les aléas du football : le coach a senti qu’il pouvait me faire confiance. Et ça s’est passé comme ça.
Avoir joué quatre matchs consécutifs et ne pas participer à la finale, est-ce que cela ne vous inspire pas quelques regrets ?
Forcément. Je pense que tous ceux qui n’ont pas joué regrettent, se disent qu’ils auraient pu apporter un plus. C’est légitime. Moi encore plus, parce que je rentrais régulièrement, alors je m’attendais à pouvoir rentrer. Mais après, il y a eu les aléas du football. Surtout la blessure de Pat’ (Patrick Viera, NDLR), en première mi-temps, qui oblige à faire un changement.
Malgré tout, et même vécue du banc, cette finale demeure-t-elle un moment fort pour vous ?
C’est un souvenir exceptionnel. Même si c’est rageant d’être passé si près. Ne pas pouvoir soulever ce trophée… Mais c’est comme ça : il y a des très, très, très grands joueurs qui ne joueront jamais de finale de Coupe du Monde.
 Vous avez bénéficié très longtemps de la confiance de Raymond Domenech…
On m’a souvent dit que j’étais son porte-bonheur, son fils… Mais je n’ai jamais eu énormément de rapports avec le coach. Je pense qu’il m’appréciait parce que je reste simple. Je connais mes qualités, je connais mes défauts. Quand on me demande de rentrer dans un schéma, je m’applique à le faire. Je pense que pour un coach, je suis un joueur qui ne crée pas beaucoup de soucis.
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 IMG_1570-266x400
Même s’il évolue désormais à Chasselay, il reste attaché aux couleurs de l’OL (photo Benjamin Henry).
Comment avez-vous vécu la Coupe du Monde 2010 ?
Très mal, comme tout le monde. Mais je pense que c’est une conséquence des quatre années précédentes. Il y a eu 2008 à l’Euro. Après il y a eu ça. Ce n’est pas logique, mais on sentait que dès que ça touchait à l’équipe de France, c’était explosif. On fait partie de cette génération où c’était difficile de faire apprécier les gens. Peut-être aussi parce qu’on avait un groupe qui était différent de ce qu’on avait connu avant. Mais c’était dur. À la fin, est arrivé ce qui devait arriver, j’ai envie de dire. Même si on sait tous que sur une compétition telle que celle-là, on aurait pu tout effacer. Malheureusement, ça n’a pas été le cas.
Comment s’est passé le retour en France ?
C’est très traumatisant. J’ai presque envie de dire injuste parce que ça prend des proportions qui, personnellement, me dérangent. Mais voilà, comme on a l’habitude de le dire : parfois, le foot, ça rend fou. Et pas seulement ceux qui sont au stade ou les joueurs. Un peu tout le monde.
Quatre ans après, qu’est-ce que cela vous inspire ?
C’est dommage, parce qu’il y avait tout pour faire quelque chose de bien. Moi, j’avais l’occasion de jouer. C’était une première Coupe du Monde en Afrique, avec tout ce que ça peut représenter pour moi qui suis d’origine africaine et pour pas mal de joueurs. C’est traumatisant et j’ai beaucoup de regrets.
Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné, selon vous ?
Pour moi, de l’intérieur, c’était assez logique. J’ai connu des générations précédentes où il y avait autant de qualités — parce qu’il y a toujours eu de très bons joueurs en équipe de France — mais qui avaient un vécu différent. Mais surtout, il y avait des joueurs qui, par rapport aux responsabilités qu’ils pouvaient prendre sur et en dehors du terrain, véhiculaient vraiment quelque chose. Là, malheureusement, quand on est géré par des joueurs qui ne devaient par le faire à ce moment-là… Peut-être que pendant la préparation, ils l’ont bien fait. Mais là, ils n’étaient pas prêts.
Parmi vos anciens coéquipiers de 2010, certains devraient être au Brésil cet été. Quel parcours les voyez-vous faire avec les Bleus ?
Je ne sais pas trop. J’espère vraiment qu’ils vont faire quelque chose de bien. Perdre ou gagner, c’est une chose, mais au niveau de l’investissement, il faut qu’ils soient à 150 % à tous les matchs. Et aussi qu’ils préparent au mieux l’Euro qui va suivre derrière. Les gens se sont rendu compte que ce qui a été fait par le passé n’a pas été bien fait. Aujourd’hui, on leur demande beaucoup d’investissement. Et de montrer qu’ils ont envie de gagner. Après, faire un mauvais match, ça arrive à tout le monde, il y a plein de paramètres qui entrent en compte. Mais ne pas tout donner sur un terrain, ça, c’est désolant.
Cette Coupe du Monde au Brésil, c’est une compétition que vous auriez aimé disputer ?
Oui, au même titre que la première Coupe du Monde en Afrique. C’est la terre du football. On connait l’amour des Brésiliens pour ce sport. Donc oui, forcément. On s’attend à un gros spectacle, que ce soit sur le terrain ou en dehors, beaucoup d’animations. Maintenant, la situation économique là-bas est un peu difficile, alors j’espère que les à-côtés ne vont pas perturber cette belle compétition.
« Grâce à l’équipe de France, j’avais l’impression de devenir meilleur »
Qui sont vos favoris pour le titre ?
Je ne vais rien inventer : le Brésil, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie. Et je mettrais une petite pièce sur la Belgique, s’ils arrivent à gérer l’événement. Parce que même s’ils ont des joueurs expérimentés, qui jouent dans les meilleurs clubs européens, là, c’est deux mois ensemble. S’ils arrivent à passer ce cap, ça peut être une belle surprise. Avec la France.

MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 IMG_1591-500x333
Pour Govou, le bon parcours de 2006 est lié aux cadres de l’équipe, à l’époque (photo Benjamin Henry).

Vous supporterez les Bleus ?

Toujours ! Être supporter, ce n’est pas que dans les bons moments (rires).
Parmi tous vos anciens coéquipiers, qui était le meilleur ?
Des mecs comme Zidane. Les joueurs de cette génération-là, avec Makélélé, Viera, Thuram, Sagnol et j’en oublie. Ce sont des joueurs qui m’ont impressionné. J’ai appris énormément en m’entraînant avec eux, en les voyant évoluer. J’ai compris qu’il fallait bosser pour réussir. Il fallait voir l’investissement que mettaient ces joueurs-là lors des entraînements. Il n’y a pas de secret.
Une génération talentueuse et travailleuse, en fait ?
Ça ne fait aucun doute. C’est d’ailleurs ce qui m’a le plus impressionné. Cette débauche d’énergie. Cette façon d’être toujours là, frais et dispo pour s’entraîner à fond. Ne rien lâcher, même pendant un petit jeu. Et paradoxalement, un gros détachement à côté, une fois que c’est fini. Après l’équipe de France, quand je retournais à Lyon, j’avais cette impression. Oui, à Lyon, il y avait aussi cette débauche d’énergie. Mais à côté, ça restait toujours trop sérieux. Alors que moi j’aime bien déconner (rires). En équipe de France, je retrouvais vraiment cette ambiance-là. Je me sentais bien. D’ailleurs, j’ai souvent fait des bons matchs en rentrant de sélection, et juste avant. Même si parfois c’était compliqué physiquement, à chaque fois, j’avais l’impression de devenir meilleur. Je me sentais mieux.
Mais pour revenir aux joueurs que j’ai côtoyés, niveau talent pur, pour moi, ça restera Hatem (Ben Arfa, NDLR). Je ne connais pas un joueur qui était capable de faire ce qu’il faisait. C’était impressionnant. Il a quelque chose que les autres n’ont pas.
Et parmi vos anciens coéquipiers brésiliens ?
J’ai beaucoup aimé Fred. Il a été énormément critiqué à Lyon alors qu’il a fait deux ou trois saisons exceptionnelles. Si Karim (Benzema, NDLR) a pu s’exprimer à ce niveau-là, c’est aussi parce qu’il y avait Fred à côté. Les gens l’ont oublié. Après, il y a Juninho qui était un super joueur. Mais niveau talent, c’est Hatem qui l’avait. Sans le forcer. Et c’est peut-être ça qui fait la différence entre cette génération et celles d’avant. Il y a une façon de travailler qui fait que les jeunes ont plus de talent, parce qu’on leur apprend peut-être mieux. Donc du coup, ils ne forcent pas ce talent… Ils ont tendance à se laisser aller.
Un petit mot sur votre actualité : comment se passe votre aventure à Chasselay (en CFA, NDLR) ?
Plutôt pas mal. On est en bonne position, je pense qu’on a assuré le maintien. Et maintenant, on va voir si on peut aller chercher plus : il reste cinq matchs, donc rien n’est impossible. Ça va être bien.

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Message  aladin Mar 6 Mai - 17:13

: Jean-Pierre Papin entraîneur en CFA2 ?


C'est l'une des rumeurs chaudes de ce mardi 6 mai 2014 : et si Jean-Pierre Papin retrouvait un banc l'été prochain ? Selon Sud-Ouest, JPP serait susceptible de reprendre du service en CFA2 d'ici quelques semaines.

Ainsi, il pourrait signer son grand retour au FC Bassin d'Arcachon, fraîchement assuré de monter en CFA2 en fin de saison. Le départ de coach Jean-Pierre Léglise, pour raisons familiales, étant acté, Jean-Pierre Papin, actuellement consultant, aurait donc la possibilité de revenir dans un club qu'il avait déjà coaché entre 2004 et 2006. Son ami Thierry Castets, actuel entraîneur de Facture Biganos (PH), pourrait intégrer le staff lui aussi. A suivre de près.

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Message  bienvenou Mer 14 Mai - 8:18

La Fifa va remettre un Soulier d'or à Just Fontaine

 14/05/2014 à 08:12

Distinction
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Après ce Soulier d'or officieux, offert par l'ancien joueur anglais Gary Lineker en 1997, Just Fontaine recevra un Soulier d'or d'honneur au Brésil, à la veille du début de la Coupe du Monde./Photo DDM archives, F.C.

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Le Toulousain Just Fontaine, détenteur du record du nombre de buts en phase finale de Coupe du Monde, sera honoré par la Fifa le 11 juin prochain.
Just Fontaine était en train de jouer à son «autre» sport de prédilection, la belote, lorsqu'il a reçu un appel du secrétaire général de la Fifa (Fédération internationale de football), ce lundi. Il l'invitait à une remise de trophée spéciale, dans moins d'un mois, au Brésil. Interview.
Que va-t-il se passer exactement le 11 juin prochain ?
Ce sera la veille du match d'ouverture de la Coupe du Monde au Brésil. La Fifa me remettra un trophée, le Soulier d'or, pour récompenser — a posteriori — mon titre de meilleur buteur de la Coupe du Monde 1958. En effet, ce trophée n'a été créé que bien plus tard (en 1982, N.D.L.R.). Le trophée me sera remis en présence notamment du Brésilien Ronaldo, meilleur buteur mais sur trois Coupes du Monde (15 buts).
Vous serez donc au Brésil pour l'ouverture de la Coupe du Monde ?
Oui, j'y resterai peut-être quelques jours. Je crois qu'il y a pire comme endroit sur la planète, surtout pour une Coupe du Monde (rires) !
Que représente cette distinction pour vous ?
C'est un véritable honneur. Mais c'est ma femme Arlette qui a été la plus émue. Elle en a pleuré.
Vous possédez déjà un Soulier d'or à votre domicile…
Oui, c'est l'Anglais Gary Lineker, lui-même Soulier d'or de la Coupe du Monde 1986, qui me l'avait fait fabriquer spécialement par Adidas. Il me l'avait remis lorsqu'il était venu m'interviewer pour la BBC en 1997.
Qui battra ce record ? Messi ? Cristiano Ronaldo ?
Je ne sais pas s'ils y arriveront ! Au Barça et au Real, leur équipe joue pour eux. En équipe nationale, c'est plus compliqué… Et puis, il faut marquer deux buts par match… Peut-être qu'il ne sera jamais battu !


Documentaire sur France 3
Un documentaire de 52 minutes sur la vie et la carrière de Just Fontaine, coréalisé par Philippe Gracia et Christophe Vindis, sera diffusé samedi 21 juin sur France 3. On y verra de nombreuses archives de sa carrière marquée par la Coupe du Monde 1958, des témoignages de grands témoins, et on voyagera notamment au Maroc, où Just Fontaine commença sa carrière avant de rejoindre le prestigieux Stade de Reims.


Le chiffre : 13
buts >en Coupe du Monde de football. Ce record, qui date de la Coupe du Monde 1958, tient toujours. Just Fontaine avait inscrit deux fois un but (contre l'Écosse et le Brésil), deux fois un doublé (contre la Yougoslavie et l'Irlande du Nord), une fois un triplé (contre le Paraguay), et une fois un quadruplé (contre la RFA). La France avait terminé 3e de ce Mondial.
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Message  aladin Jeu 22 Mai - 7:45

Mondial-2014: avec la Côte d'Ivoire, Lamouchi tient sa Coupe
21/05/2014 12:06
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[url=javascript:void(0)]suivante[/url] [url=javascript:void(0)]précédente[/url]
Le sélectionneur de la Côte d'Ivoire Sabri Lamouchi s'exprime en conférence de presse à l'occasion de l'annonce des 28 présélectionnés pour le Mondial-2014, le 13 mai 2014 à Abidjan - AFP/Archives
Sabri Lamouchi, l'un des six Bleus recalés avant le Mondial-98, va participer à sa première Coupe du monde, cette fois à la tête de la Côte d'Ivoire où il doit gérer des stars de la dimension de Didier Drogba et Yaya Touré.
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Empty
Son absence de la phase finale organisée en France, l'ex-milieu de terrain d'Auxerre (1994-1998), de l'Inter Milan (2003-2004), de Monaco (1998-2000) et de Marseille (2005-2006) l'a ruminée de longs mois avant d'en faire définitivement le deuil.
Sa sortie en catimini du repaire des Tricolores à Clairefontaine à quelques jours du coup d'envoi du tournoi reste une cicatrice sur sa belle carrière de joueur (12 sélections en équipe de France), débutée à Alès (L2) et bouclée au Qatar. Le voilà en passe de chasser ce vieux fantôme en dirigeant les Eléphants au Brésil.
Les débuts n'ont pas été simples pour le Lyonnais de 42 ans, double champion de France avec Auxerre et Monaco et catapulté sélectionneur de la Côte d'Ivoire en mai 2012 sans avoir dirigé la moindre équipe auparavant. La CAN-2013, sa première phase finale, ne sera pas un bon souvenir, le leader technique Yaya Touré n'étant pas parvenu pas à compenser l'inefficacité d'un Drogba en nette perte de vitesse après son passage en Chine (Shanghai Shenhua).
Le technicien français n'avait d'ailleurs pas hésité à se passer à plusieurs reprises de son attaquant vedette, relégué sur le banc.
Maintenu à son poste malgré l'élimination en quart de finale contre le Nigeria (2-1), futur vainqueur, Lamouchi assied sa légitimité lors des qualifications pour le Mondial-2014 de la zone Afrique. La Côte d'Ivoire devance notamment le Maroc dans son groupe (4 victoires, 2 nuls) avant de terrasser le Sénégal (3-1, 1-1) en barrages.
- 'Alchimie' -
"Le coach a réussi une belle alchimie entre nous", estime le défenseur de Toulouse Akpa Akpro. Elle pourrait sauter aux yeux au Brésil, où les Eléphants ont les moyens de franchir enfin le premier tour après leurs échecs de 2006 et 2010.
Le groupe C n'a rien d'insurmontable: la Colombie espère fébrilement la guérison complète de Falcao, la Grèce est solide mais sans génie, et le Japon, champion d'Asie, est largement dans les cordes des Ivoiriens.
Dès le tirage au sort, Lamouchi n'a pas caché que l'objectif était d'"atteindre la deuxième phase".
"Ce groupe est assez équilibré. Pour la Côte d'Ivoire, ce tirage paraît en tout cas moins difficile que pour les deux dernières éditions de la compétition. Mais on ne peut pas dire que ce soit un cadeau non plus", avait-il ajouté.
"On a des joueurs qui arrivent à la fin de leur aventure avec la sélection et ils vont vouloir laisser un bon souvenir. Il va y avoir beaucoup d'envie. On a les qualités pour franchir ce premier tour, et ensuite sur un match tout peut arriver. On a notre destin entre les mains", a récemment expliqué l'autre Ivoirien du Téfécé Serge Aurier.
Pour aborder le premier match du Mondial, le 14 juin face au Japon, "dans une condition physique optimale", Lamouchi a choisi les Etats-Unis comme lieu de préparation avec au programme deux amicaux le 30 mai contre la Bosnie et le 4 juin face au Salvador.
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Message  aladin Mer 11 Juin - 9:18

Just Fontaine reçoit son Soulier d'Or

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Meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du monde sur une seule compétition, avec 13 réalisations, Just Fontaine a été honoré mardi à Sao Paolo en recevant un Soulier d'Or des mains de Michel Platini et de Ronaldo à l'occasion de la cérémonie d'ouverture du congrès de la FIFA. L'ancien attaquant des Bleus, qui a établi ce record en Suède où l'équipe de France avait pris la troisième place - le tout en seulement six matches -, n'a pas caché son émotion d'obtenir cette récompense quelque 56 années plus tard. "Je suis très fier de recevoir cette chaussure, unique, ça tombe bien car moi aussi je suis unique et les gars à côté de moi qui me donnent le prix, sont uniques", a commenté Just Fontaine, aujourd'hui âgé de 80 ans "Je dédie cette chaussure à mon épouse et à toute mon équipe de 1958. En 1958, le Soulier d'Or n'existait pas, merci à Joseph Blatter (président de la FIFA, ndlr) d'avoir tenu sa promesse." A savoir que le meilleur buteur des Coupes du monde est depuis 2006 le Brésilien Ronaldo, lequel a inscrit la bagatelle de 15 buts sur trois compétitions, celles de 1998, 2002 et 2006
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Message  aladin Mer 11 Juin - 17:26

Tarbes. Edmond Baraffe : «Se fixer de belles ambitions»

11/06/2014 à 09:31

Football. À la veille de l'ouverture du Mondial, Edmond Baraffe, le Tarbais d'adoption qui a participé à la Coupe du Monde 1966, nous livre ses impressions
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Edmond Baraffe n'aime pas comparer les époques, mais son expérience de joueur le pousse à se montrer confiant quant à un bon parcours des Bleus au Brésil./Photo Corentin Magnier

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Nous nous sommes entretenus avec le Tarbais d'adoption, Edmond Baraffe, cet ancien international français qui était dans le groupe tricolore lors de la Coupe du Monde de 1966 en Angleterre. À quelques jours des phases finales de l'édition 2014 pour lesquelles les Bleus se sont qualifiés in extremis face à l'Ukraine, Edmond Baraffe évoque l'équipe de France et parle carrière.
www.ladepeche.fr/sports/Football_articles/298749806/Position1/default/empty.gif/56736465736c4e792f6f6b4144683141" target="_blank" rel="nofollow">MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Empty
Vous avez honoré votre première sélection en 1964 face à la Belgique. Que ressent-on après l'appel du sélectionneur ?
C'est tout d'abord une grande fierté. J'avais aussi conscience d'avoir réalisé une belle saison avec Toulouse cette année-là. Il faut savoir l'appréhender comme une récompense, une sorte d'encouragement pour la suite sans pour autant la prendre pour acquis.
Didier Deschamps a tranché pour la formule «23+7» avant même le premier match de préparation à la Coupe du Monde. Qu'en pensez-vous ?
Je trouve que c'est une très bonne chose dans un objectif de préparation. Les joueurs n'évoluent pas ensemble tout au long de la saison, il s'agit d'avoir une base assez tôt afin de pouvoir travailler. Il y a peu de temps entre l'annonce de la liste et l'ouverture de la compétition.
Le groupe est un peu plus jeune cette année. À quel parcours les Bleus peuvent-ils prétendre ?
Pour converger avec l'avis général, ils doivent sortir de cette poule qui semble abordable. Et malgré le manque de succès depuis quelques années dans d'importantes compétitions, ils doivent se fixer de belles ambitions. Il y a des jeunes certes, mais aussi des gars d'expérience comme Rio Mavuba, capable de faire grandir le groupe. Un groupe qui ne peut qu'arriver à maturation avant les échéances européennes de 2016.
Comme le sélectionneur actuel, vous avez épousé une carrière d'entraîneur après avoir gambadé sur les pelouses. À quel moment y pense-t-on ?
Pour ma part, cette orientation m'est apparue naturellement. J'ai dû creuser un fossé dans ma carrière à la suite d'une grave blessure au genou et dès cet instant, j'ai pensé à ma reconversion. Puis il faut dire qu'à l'époque, il n'y avait pas beaucoup d'alternatives. La planque, c'était de pousser les portes d'Adidas ou Puma. En ce qui me concerne, je n'ai pas eu cette opportunité.
Une blessure grave peut compromettre une carrière professionnelle. En ce sens, les salaires, souvent attaqués par l'opinion, justifient-ils ce risque permanent parmi d'autres ?
Je n'aime pas comparer les époques. C'est souvent contre-productif. Mais sans rentrer dans la complainte, l'UNFP (1) se créait tout juste à l'époque et le pécule de fin de carrière s'instaurait à peine. Nous vivotions tout juste. Je me souviendrai toujours d'avoir accepté le poste de vendeur dans le magasin de Just Fontaine. Aujourd'hui, les joueurs et les clubs cotisent pour financer ce pécule. Le fonctionnement est rodé et les joueurs sont épaulés. Puis dans le fond, les joueurs n'y sont pas pour grand-chose.
Quel est votre rapport au football depuis que vous avez quitté le banc de l'US Boulogne ?
Je garde un regard attentif sur le foot en général et localement, je suis le TPF. Je trouve dommage qu'il n'y ait pas plus de prises de risques de la part des dirigeants ainsi que du staff.
Le club vous a-t-il déjà sollicité ?
Plus ou moins, mais nous n'avons pas véritablement trouvé d'accord sur ma façon de participer au club. Je ne suis cependant pas hermétique aux discussions.
(1) UNFP : Union nationale des footballeurs professionnels.




Edmond Baraffe
Edmond Baraffe est né le 19 octobre 1942 à Annoeullin, village d'environ 6.000 habitants, situé entre Lille et Lens, dans une famille nombreuse de cinq frères, une sœur, et dont le père était mineur de fond près de Carvin.
Enfance difficile dans une région particulièrement frappée par les horreurs de la guerre puis, grâce à ses frères aînés qui l'initient au football, il fait, évidemment, ses débuts dans le club de son village. Alors junior première année, il fut repéré par M. Deladerrière, père d'un certain Léon, alors international, qui le recommanda au Toulouse FC. Pas moins ! Avant de se faire un nom, Edmond effectua son service militaire au célèbre Bataillon de Joinville avec lequel il disputa la Coupe du Monde militaire 1962 en Grèce. Là, sous la férule de Georges Boulogne, il côtoya de futurs grands noms du football français, tels Nestor Combin, «Nestor la Foudre» ou le «Petit Prince de Gerland», Fleury Di Nallo. Ce véritable tremplin permit son éclosion et il obtint alors sa sélection en équipe de France B avant de disputer, première sélection France A en 1964, un match amical contre la Suisse, aux côtés de Herbin, Djorkaeff, Aubour… Il était donc du groupe qui devait disputer la Coupe du Monde 1966 en Angleterre.
Distinction : mois de mars de la même année, lui fut décerné l'oscar Byrrh mensuel, décerné au meilleur joueur du mois.
Edmond fut très déçu de ne pas avoir disputé un seul match de la phase finale en Angleterre et courut alors de malheur en malheur, subissant successivement cinq opérations chirurgicales pour un genou défaillant. Pourtant, après cinq années de souffrance, «Edmond le miraculé» rejouait au haut niveau à Lille, au LOSC (1972-1973). Mais à la recherche aussi d'une autre activité et titulaire du diplôme d'entraîneur d'État depuis 1971, il s'engagea donc dans une nouvelle voie. C'est ainsi que, rejoignant sa fille qui résidait à Bagnères-de-Bigorre, on le retrouva donc la tête du TarbesStado en 1993 et comme il aime beaucoup cette région des Pyrénées, Edmond Baraffe vit toujours dans nos murs. Mais notons aussi que depuis quelques années déjà, le stade de football de son village natal, Annoeullin, porte son nom. Délicat signe de reconnaissance
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Message  bienvenou Jeu 12 Juin - 12:03

Les honneurs pour Just Fontaine, le «goleador» de tous les temps

Publié le 12/06/2014 à 09:56

Récompense. Le Toulousain auteur de 13 buts a reçu un «Soulier d'or» des mains du Français Platini et du Brésilien Ronaldo
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Ronaldo, la légende brésilienne des années 90, et Platini, qui fit partie de la légende bleue des années 80, remettent s son «Soulier d'or» à Just Fontaine, le buteur de légende des années 50, toujours détenteur du record de buts marqués en une Coupe d Monde : treize buts à lui seul, ce qui lui valut d'être porté en triomphe par ses coéquipiers de l'équipe de France. C'était en Suède en 1958...


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Il aura fallu attendre 56 ans pour que Just Fontaine, meilleur buteur de la Coupe du monde 1958, reçoive lui aussi son Soulier d'or. Une distinction qui n'a été créée qu'à partir de 1962 pour récompenser le meilleur buteur de chaque édition de Coupe du monde.
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Mardi soir, à São Paulo, le meilleur goleador de l'histoire sur une seule édition avec ses 13 réalisations en Suède, a reçu le trophée des mains de Michel Platini et de Ronaldo. L'attaquant brésilien reste quant à lui le meilleur buteur de l'histoire sur plusieurs éditions avec 15 buts en trois participations.
«Je dédie cette chaussure à mon épouse et à toute mon équipe de 1958», a déclaré Just Fontaine après avoir reçu son soulier d'or. Des remerciements en guise de clin d'œil pour le président de la Fifa, puisque cette remise de distinction est dû à une suggestion malicieuse... de Just Fontaine.
«J'avais expliqué à l'ancien rédacteur en chef de France Football, que je connaissais assez bien au début des années 2000, qu'il pourrait suggérer au président de la Fifa Sepp Blatter de me remettre aussi un soulier d'or! Et lors d'un dîner en 2005 pour la remise du ballon d'or à Ronaldinho, alors que j'étais à table avec Michel Platini, Raymond Kopa et nos femmes respectives, Sepp Blatter est venu me voir pour me dire ''Vous l'aurez, votre ballon d'or!'' Il m'aura fallu attendre neuf ans, mais je suis très heureux de le recevoir enfin. D'autant qu'ils m'ont offert le premier soulier en platine, un métal encore plus précieux que l'or!».
Et si «Justo» a été félicité par ses pairs et les instances dirigeantes du football international, sa côte de popularité reste intacte sur le continent américain. Le Toulousain s'est prêté avec toujours autant de disponibilité aux nombreuses sollicitations de photos et d'autographes qui lui sont adressées. Aujourd'hui, c'est en spectateur (averti) qu'il assistera au match d'ouverture de la Coupe du monde, avant de rentrer à Toulouse où l'avant-première du film de Philippe Gracia et Christophe Vindis retraçant sa carrière sera diffusé mercredi 18 juin au casino Barrière.
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Message  aladin Ven 20 Juin - 8:12

Just Fontaine : «J'attendais ce Soulier de platine depuis 56 ans»

Publié le 19/06/2014 à 07:35


MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 201406192388-full
Just Fontaine, avec son pêtit-fils et le Soulier de platine remis par la FIFA, hier soir à l'avant-première du film qui lui est consacré. /Photo DDM, Nicolas Gaillard

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Just Fontaine, légende vivante du football français, a reçu la semaine dernière au Brésil le «Soulier de platine» pour l'ensemble de sa carrière. Il était temps. Interview.
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Just Fontaine, dit «Justo», a reçu à 80 ans, mercredi 11 juin, le «Soulier de platine» à Sao Paulo (Brésil) lors de l'assemblée générale de la FIFA. La récompense consacre son record jamais égalé du meilleur buteur lors d'un Mondial de football. C'était lors de la Coupe du monde en Suède en 1958, «Justo», avant-centre de l'équipe de France, avait alors inscrit 13 buts au total. Hier soir, l'ancien footballeur a assisté à l'avant-première du film qui lui est consacré, «Just Fontaine, le foot à perpétuité». Coproduit par France Télévisions et Antéa Production, ce documentaire de 52 minutes a été réalisé Philippe Gracia, journaliste à «La Dépêche du Midi», et Christophe Vindis. Souvenir.
Ce «Soulier de platine», vous l'attendiez depuis longtemps ?
ça fait 56 ans que je l'attendais. En 1958, le Soulier d'or n'existait pas et j'ai loupé le Ballon d'or cette année-là. Je suis arrivé troisième derrière Raymond Kopa, alors que j'avais marqué 24 buts en championnat de France et ces 13 buts en Coupe du monde. J'ai fini par en parler, il y a quelque temps, au patron de France Football afin qu'il plaide ma cause auprès du président de la FIFA Sepp Blatter. Je suis allé à Sao Paulo et on m'a remis le «Soulier» à la fin de l'assemblée générale de la FIFA, vers 19 heures. C'est Michel Platini et Ronaldo qui m'ont remis le trophée en main propre. Ce sont deux grands buteurs et ça m'a fait plaisir de recevoir le «Soulier de platine» par eux. Ils m'ont félicité et j'ai bien vu que ça leur faisait plaisir. ça fait du bien. J'ai eu peur à une époque de recevoir ce prix post-mortem.
Le joueur de l'équipe d'Allemagne, Thomas Müller, a inscrit trois buts lors de son premier match au Mondial du Brésil, pensez-vous qu'il puisse battre votre record ?
J'avais aussi marqué trois buts lors de notre premier match en 1958 contre le Paraguay. Thomas Müller, en plus, n'est pas un avant-centre classique. On verra à la fin de la compétition. S'il bat mon record, je ne manquerai pas de le féliciter, c'est sûr.
Le long-métrage présenté hier en avant-première au Casino Barrière retrace votre incroyable carrière de footballeur. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez tapé dans un ballon ?
Oui, c'était dans la cour d'une église catholique de Marrakech (Maroc, où Just Fontaine est né en 1933). Il y avait des eucalyptus qui nous servaient de cages de but et on a cassé quelques vitraux. Le curé n'était pas très content. Puis, j'ai été champion du Maroc dans l'équipe des cadets de l'US Marrakech. Lors d'une tournée d'une équipe autrichienne, j'ai marqué un but du centre du terrain, les gens m'ont porté, c'était mon premier exploit.


13 buts, record inégalé
«Justo» a réussi l'exploit de marquer 13 buts en 6 matchs lors de la Coupe du monde 1958. Deux fois un but (contre l'Écosse et le Brésil), deux fois un doublé (contre la Yougoslavie et l'Irlande du Nord), une fois un triplé (contre le Paraguay) et une fois un quadruplé (contre la RFA) lors d'un match pour la troisième place.
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Message  bienvenou Lun 23 Juin - 13:16

Très bon anniversaire à 3 légendes du milieu de terrain de l'Equipe de France : Jean Tigana (59 ans), Zinedine Zidane (42 ans) et Patrick Vieira (38 ans).

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Message  aladin Mar 24 Juin - 6:37

Thuram fait l’objet d’une pièce aux Halles

Avignon / Publié le Lundi 23/06/2014 à 07H39


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Dans les années 1990, Gérard Gélas (Chêne Noir) avait écrit "Ode à Canto" en hommage à Eric Cantona.
Du 5 au 27 juillet, Alain Timar met en scène au Théâtre des Halles "Le temps suspendu de Thuram" d’après Véronique Kanor. C’est la figure du footballeur Lilian Thuram, ex-défenseur des Bleus (et l’un des seuls de 1998 qui lisait des romans…) qui sert de fil conducteur à cette pièce pour questionner notre rapport à la célébrité, à l’image et aux médias.
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Message  bienvenou Ven 27 Juin - 18:29

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vendredi 27 juin 2014 - 17h09
Actualité
L'ANNIVERSAIRE DES CHAMPIONS

Il y a 30 ans jour pour jour, l'Equipe de France s'imposait en finale du Championnat d'Europe 1984. L'ancien Monégasque et Marseillais, Manuel Amoros, résident de Châteaurenard (Bouches-du-Rhône), se  souvient de cette épopée qui a marqué le football français. 


 
« Il y avait des joueurs extraordinaires dans ce groupe avec les Platini, Giresse, Tigana entre autres et Michel Hidalgo sur le banc qui nous laissait beaucoup de libertés et d'initiatives. Il a su s'adapter à la mentalité des joueurs et mettre en avant les qualités des uns et des autres. Il était toujours au service de l'équipe, à l'écoute, et savait nous donner des responsabilités en s'appuyant sur nous. Michel n'était pas là pour faire le « gendarme » mais pour nous canaliser vers le même objectif.
« On n'entend strictement rien »
Je me suis servi de sa manière de fonctionner lorsque j'étais sélectionneur du Bénin. Il faut toujours avoir des relais sur le terrain. Quand on évolue dans un stade plein, on ne capte strictement rien de ce que dit l'entraîneur du bord de la touche. Tous les coachs faisant de grands gestes debout en s'époumonant, c'est pour la galerie. Personne n'entend rien. Il est donc nécessaire d'avoir des joueurs transmettant les infos du coach. Michel avait justement de bons relais.
Avec cette équipe, on avait battu tout le monde à l'Euro (voir encadré), du Danemark (1-0) au premier tour à la finale contre l'Espagne (2-0), en dominant des équipes très compétitives comme la Belgique (5-0), l'ancienne Yougoslavie (3-2) et le Portugal (3-2). Michel Platini avait inscrit neuf buts en cinq matches avec deux triplés à Nantes face aux Belges et à Saint-Etienne contre les « Yougos », et bénéficié du talent d'éléments qui jouaient pour lui. Pour l'anecdote, il y avait beaucoup de « Méditerranéens »* dans cette Equipe de France qui sont passés avant ou après dans des clubs du Sud.
Le geste de Battiston
Expulsé pour un mauvais geste à l'occasion du premier match face au Danemark, Jean-François Domergue m'avait remplacé avec réussite en réalisant un doublé un peu plus tard en demi-finale contre le Portugal. Un mal pour un bien. Quand on est jeune, on est fougueux et le fait d'être suspendu était difficile à avaler. Mais j'avais une belle carrière devant moi et j'ai fini par accepter la sentence et me mettre au service de mes coéquipiers pour les avant-matches notamment. J'étais donc toujours dans le groupe et j'ai ressenti des émotions très fortes, comme tous les spectateurs du stade Vélodrome en demie. Quel match ! Beaucoup de Marseillais se souviennent des deux buts de Jeff (Domergue) et de la percée de Jeannot (Tigana) ponctuée par le but de Michel à bout portant. Après cette rencontre mémorable, je suis revenu au bon moment lors du dernier acte. Patrick Battiston était volontairement sorti pour me permettre d'entrer et de disputer un bout de la finale contre l'Espagne ! Un geste symbolique qui démontre que nous avions un groupe sain et uni.
Un gros impact
Cette victoire obtenue sur une « Arconada » (erreur du gardien espagnol) et sur un but de Bellone avait eu un gros impact même si nous n'avions pas défilé sur les Champs-Elysées après-coup. De toute cette expérience, je retiens surtout la vie passée ensemble pendant deux mois. On était tous axés sur l'objectif de devenir Champions d'Europe et on a franchi les étapes une à une sans jamais dévier de notre ligne de conduite. Et puis, cette victoire au Parc des Princes est toujours dans un coin de ma mémoire. Un moment forcément inoubliable. C'était le premier titre pour le football français au plus haut niveau. Certes il y avait eu l'épopée de 58 jusqu'à la 3ème place en Coupe du Monde mais ce n'était pas le gain d'un Trophée, simplement une belle place d'honneur. Là, on a boosté le football français en devenant Champions d'Europe alors que les Allemands raflaient tout auparavant ou presque. Incontestablement, cette génération « 84 » a provoqué un déclic.
« Il faut savoir écouter »
On a dit après le titre mondial de 1998 que nous avions été les précurseurs et les détonateurs de ce triomphe. Je le pense aussi. La génération de 98 a bénéficié de notre expérience. Nous avions déblayé le terrain et montré qu'il n'y avait plus de complexe à faire. Les joueurs ont été nourris de nos exploits lorsqu'ils étaient jeunes et les plus anciens ont pu effectuer la transition. Personnellement, j'ai joué en Equipe de France avec Laurent Blanc, Didier Deschamps et Emmanuel Petit. Il y a eu une transmission. J'aimerais qu'il y ait d'ailleurs un peu plus de respect pour les anciens. Je sais qu'aujourd'hui, ce n'est pas la préoccupation des jeunes mais il faut toujours savoir écouter et apprendre des autres. »  
 
*Manuel Amoros (Monaco, Marseille, Saint-Rémy de Provence), Jean-François Domergue (Marseille), Patrick Battiston (Monaco), Luis Fernandez (Cannes), Jean-Marc Ferreri (Marseille, Martigues), Daniel Bravo (Nice, Monaco, Marseille), Bernard Genghini (Monaco, Marseille), Bruno Bellone (Monaco, Cannes), Alain Giresse (Marseille), Didier Six (Marseille, Vallauris), Jean Tigana (ASPTT Marseille, Caillols Marseille, Cassis, Toulon, Marseille), Yvon Le Roux (Monaco, Marseille), Albert Rust (Monaco, Le Pontet). 
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Message  aladin Sam 28 Juin - 6:45

Eric Cantona sur les traces de son grand-père à Argelès
Le 27 juin à 15h33 | Mis à jour il y a 14 heures



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    (Photo par Facebook Pierre Aylagas)

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    (Photo par Facebook Pierre Aylagas)
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    <:figcaption>(Photo par Facebook Pierre Aylagas)

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    2 / 2 (Facebook Pierre Aylagas)

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C'est le député maire PS d'Argelès-sur-Mer, Pierre Aylagas, qui le révèle via son compte Facebook. King Eric, Eric le Rouge, bref Eric Cantona a visité ce matin le mémorial du camp d'Argelès. Un passage qui répond, pour lui, à une double motivation. D'une part son grand-père y a été interné et d'autre part parce qu'il réalise pour le compte de Canal + un documentaire sur le football et l'immigration en France.
Eric Cantona a quelques attaches dans le département, il est notamment proche du chanteur Cali à l'appel duquel, avec les frères Lièvremont, il avait participé à une rencontre sportive caritative.
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 1395153655
Pierre Aylagas décrit ainsi le passage de l'ancien milieu de Manchester United (mais aussi Auxerre, Nîmes et Montpellier) et de l'équipe de France : 
"Eric Cantona réalise actuellement un documentaire sur le football et l'immigration en France pour Canal+. Dans ce cadre, il est venu à Argeles afin d'illustrer le propos du film sur l'immigration espagnole en France, la Retirada, etc. Eric Cantona a absolument tenu à visiter notre mémorial puisque son grand-père avait été interné au Camp d'Argelès. Un moment très fort et émouvant pour lui et pour nous : la visite était assurée par Bernard Rieu, élu au patrimoine et à la catalanité, Béatrice Verhille, notre directrice du musée et Helvia Dupont qui tient la permanence du Mémorial."







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Message  aladin Mer 2 Juil - 8:36

[size=36]Platini sur le France-Allemagne de 1982 : «Aucun film au monde n'y arriverait…»[/size]

Publié le 02/07/2014 à 07:53

Rétro. Le N°10 et capitaine des Bleus était de la demi-finale «historique» du Mundial-82, perdue contre la RFA aux tirs au but.
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 201407021912-full
Michel Platini en plein désarroi, un genou à terre devant le stoppeur Karl-Heinz Förster. Dans quelques minutes, ce sera bien pire./ AFP, Archiv .
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«Aucun film au monde, aucune pièce ne saurait transmettre autant d'émotions que notre match de Séville.»
Voilà comment Michel Platini parle de la demi-finale du Mondial-1982 France-Allemagne, entrée dans la légende.
Il y a 32 ans, à Séville, Harald Schumacher commit un véritable attentat sur Patrick Battiston, Maxime Bossis rata le dernier tir au but et la France du foot fut inconsolable après l'élimination des Bleus (3-3 ap, 4-5 tab).
«Je souffre encore en rameutant ces images dans mon esprit, cette nuit, pour moi, ce fut une nuit noire», confiait pour les 30 ans, il y a deux ans, Michel Hidalgo, sélectionneur des Bleus de 1976 à 1984.
L'image choc remonte à la 57e minute, lorsque la tête de Battiston est percutée de plein fouet par la hanche du gardien allemand sorti des ses cages délibérément sur le Français. Le joueur de Saint-étienne tombe lourdement comme un pantin désarticulé sur la pelouse. étendu sur le sol, inanimé, deux dents en moins, Battiston fait craindre le pire. Il sort sur une civière, la main glissée dans celle de son capitaine Platini. Schumacher, lui, n'est sanctionné ni d'un coup franc ni d'un carton et ne prend pas la peine de s'enquérir de l'état de santé de sa victime !
Parmi les autres séquences qui marquent la rétine, il y a celles du but de volée de Marius Trésor dans la prolongation (2-1, 90+2). Puis de la joie extatique d'Alain Giresse qui croit qualifier la France d'une frappe tendue (3-1, 98e). En effet, on a alors un pied et quatre orteils en finale. Jusqu'à la réduction du score pour l'Allemagne de l'Ouest par Karl-Heinz Rummenigge (3-2, 102e) et l'égalisation de Klaus Fischer d'un retourné acrobatique (3-3, 108e).
Et, enfin, il y a l'épreuve cruelle des tirs au but. Les larmes d'Ulrich Stielike, qui avait buté sur Jean-Luc Ettori, furent séchées par Schumacher, devenu le héros de tout un peuple et le bourreau de tout un autre en arrêtant les tentatives de Didier Six et de Bossis, genou à terre et chaussettes baissées.
Vivement vendredi soir : l'heure de la revanche a sonné…
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Message  aladin Mer 2 Juil - 8:58

[size=36]Just Fontaine : marquer les premiers pour l'emporter[/size]

Publié le 02/07/2014 à 07:55


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Just Fontaine : marquer les premiers pour l'emporter
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Zoom
J'avais dit depuis le début du Mondial que ces Bleus-là atteindraient les quarts. Maintenant, c'est un autre niveau qui les attend. Pour battre l'Allemagne d'aujourd'hui, qui arrive avec des joueurs frais sur les plans physique et mental, il faudra marquer les premiers et exploiter la lenteur des deux arrières centraux. Ils sont costauds mais quand il s'agit de faire un demi-tour pour rattraper un gars qui va vite, c'est une autre histoire. C'est pour ça que Neuer doit jouer comme un libero afin de compenser. Et puis il va falloir mettre le pied sur le ballon et les harceler offensivement. En regardant le match vendredi, j'aurais dans la tête la petite finale de 1958 où j'ai réussi à marquer 4 fois et atteint ce record de 13 buts en une édition. Je garde toujours près de moi la photo où Douis, Lerond et Vincent me portent en triomphe… On avait gagné 6-3, l'enjeu était énorme parce que finir 4e n'intéressait personne. Ça attaquait de tous les côtés. J'espère que ça sera aussi plaisant à regarder vendredi.
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Message  aladin Mer 2 Juil - 9:13

[size=33]Mondial 2014. France - Allemagne : 1982, mais pas que...[/size]
France - 01 Juillet - 0
écouter

  • MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Historique-france-allemagneCela fait 28 ans qu'Allemands et Français ne se sont pas affrontés en compétition officielle. Vendredi, rendez-vous est pris. | Photos : AFP et DR



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François-Guillaume Derrien

France-Allemagne sera une des affiches des quarts de finale de la Coupe du monde brésilienne. Sans doute la plus alléchante, après 28 ans sans confrontation en compétition.
« Le football est un jeu simple : 22 hommes courent après un ballon pendant 90 minutes, et à la fin, ce sont les Allemands qui gagnent ». On a tellement répété la tirade de l'Anglais Gary Lineker qu'on en a presque fait une vérité. Et pourtant, les Bleus n'ont pas toujours perdu face au voisin germain.
Le bilan global des Bleus face à la Nationalmannschaft est plus qu'honorable, il est même positif.Avec 11 victoires, pour 6 matches nuls et 8 défaites, le coq n'a pas à rougir. Seul hic, c'est que les deux matches qui comptaient vraiment, la France les a laissé filer...
De la première rencontre en 1931 au Stade de France en 2013, en passant par la plaie béante de 1982 à Séville et la revanche perdue de 1986, retour sur 83 ans de rivalité.
1931 – Colombes, théâtre de la première
La première rencontre entre les deux nations tourne à l'avantage des partenaires d'Edmond Delfour. Un but contre son camp d'un défenseur allemand permet aux 40 000 spectateurs de l'enceinte parisienne de savourer la victoire, 13 ans après la fin de la Première Guerre mondiale.
1933 - Une remontée dans le Berlin d'Hitler
Six ans avant la seconde, les Bleus se déplacent à Berlin. Trois mois plus tôt, les Allemands viennent d'élire Adolf Hitler chancelier. Le deuxième match entre les deux pays se solde par un nul, 3-3, après un retour in extremis des Bleus, menés 3-1 à 10 minutes de la fin. Deux défaites suivront, en 1935 et 1937.
1958 – Seule victoire en Coupe du monde...pour la 3e place
Trois défaites (1935, 1937, 1954) et une victoire plus tard (1952), l'Allemagne, devenue RFA, se dresse sur la route de Just Fontaine et compagnie. La Coupe du monde suédoise a vu les Bleus se hisser jusqu'en demi-finale, sorti par le Brésil de Pelé. Ce match pour la troisième place face à la RFA, Raymond Kopa et Just Fontaine se chargent de le plier. Avec son quadruplé, ce dernier devient, et reste encore aujourd'hui, le meilleur buteur d'un Mondial, avec 13 buts. Score finale : 6-3. La France obtient à l'époque son meilleur résultat en Coupe du Monde. Ce match reste la seule victoire tricolore en compétition officielle face aux Teutons.

1973 – La grande Allemagne prépare sa Coupe du monde
Franz Beckenbauer, Ulrich Hoeness et Gerd Müller constituent l'ossature d'une Mannschaft qui se dirige droit vers un sacre lors de la Coupe du monde suivante...en Allemagne. Les Français, pas qualifiés, ne sont là que pour se tester. Gerd Müller envoie à lui seul les Bleus dans les cordes, même si Marius Trésor se signale en réduisant le score pour sa première sélection (2-1).

1982 – La plaie magnifique
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Historique-france-allemagne_0Michel Platini, au chevet de Patrick Battiston | Archives AFP
« Aucun film au monde, aucune pièce ne saurait transmettre autant de courants contradictoires, autant d'émotions que la demi-finale perdue de Séville. » Quand Michel Platini évoque le France - Allemagne de 1982, le « match du siècle » selon beaucoup, il dit tout. Car ce 8 juillet, les joueurs et les supporteurs des deux pays sont passés par toutes les émotions. Plus de trente ans après, il reste le pire souvenir da la carrière de Marius Trésor. Le sélectionneur de l'époque, Michel Hidalgo, avoue aussi « souffrir encore » de cette « nuit noire. »
Une nuit ou les Bleus de Plaltini, Giresse et Trésor menaient 3-1 dans les prolongations. Pour finalement sortir de la compétition...
La sortie honteuse de Schumacher sur Battiston, le but de Marius Trésor, la joie de Giresse, les tirs au but... séquence nostalgie, avec aux commentaires, Thierry Roland et Jean-Michel Larqué :

Deux heures d'un spectacle comme le football en a rarement connu. Fantastique et cruelle à la fois, la rencontre vire à l'avantage des Allemands de Schumacher à l'issue de la première séance de tirs au but de la Coupe du monde. Une raison de plus d'entrer dans l'histoire du foot. (Voir le match complet). 
« Je n'ai jamais vu des vestiaires comme ça après le match. C'était presque la maternelle avec des pleurs. Il y a deux joueurs, je n'ai jamais dit leur nom, qu'on a été obligé de mettre tout habillés sous la douche, ils n'arrivaient pas à se déshabiller », confiera Michel Hidalgo. 
LIRE AUSSI : Les regrets d'Harald Schumacher
1986 – Retrouvailles, mais même issue
Lors de l'édition suivante, au Mexique, les Bleus retrouvent la Mannschaft, encore en demi-finale. Mais les coéquipiers de Platini, diminué, ne font cette fois-ci qu'illusion. Après un coup franc d'Adreas Brehme en début de rencontre, Rudi Völler se paye Joël Bats à la 89e minute. Après un coup du sombrero sur le gardien français, pousse le ballon dans le but vide. Rien à dire, la RFA est plus forte. Seule l'Argentine de Maradona la fera plier. La France se consolera en battant les Belges et en terminant sur le podium.

Ce match reste aujourd'hui la dernière rencontre entre les deux nations en compétition officielle. Depuis, Allemands et Français se sont rencontrés à 8 reprises, pour seulement 2 victoires allemandes et cinq succès tricolores.
1990 – Papin et Cantona régalent à Montpellier
La France est emmenée par Eric Cantona et Jean-Pierre Papin. Les deux trouvent le chemin des filets durant la rencontre et offrent à La Mosson a première d'une série de quatre victoires face aux Allemands.

1996 – La France retrouve l'Allemagne réunifiée... et gagne encore
A quelques jours de l'Euro en Angleterre, les Bleus d'Aimé Jacquet se déplacent à Stuttgart. Lama, Thuram, Desailly, Lizarazu, Karembeu, Zidane, Djorkaeff, Dugarry et Blanc sont de la partie et dessinent déjà l'équipe qui fera le succès tricolore deux ans plus tard. Ce soir-là, Laurent Blanc ouvre le score très tôt, de la tête, sur un coup franc parfait de Djorkaeff. Suffisant pour empocher la victoire.

Quelques semaines plus tard, "Mémé" et les siens sont à deux doigts de retrouver l'Allemagne en finale, ce qui aurait été une première durant un championnat d'Europe. Raté. U[url=http://www.ouest-france.fr/<iframe width=420 height=315 src=//www.youtube.com/embed/lS8hG0q8HJY frameborder=0]n penalty manqué de Reynald Pedros[/url] face au portier tchèque, en demi-finale, reporte encore une fois les retrouvailles en compétition officielle.
2003 – Quand Henry et Trezeguet se baladent à Gelsenkirchen
Un an après une Coupe du monde calamiteuse en Corée-du-Sud, les Bleus ont rebondi, gagnant 16 de leur 17 derniers matches. Michael Ballack et l'ancien parisien Christian Wörns ne peuvent rien. Avec Zizou à la baguette, et surtout la doublette Henry-Trezeguet sur une autre planète, les Français s'imposent 3-0 à Gelsenkirchen. 

2012 – Les Bleus de Blanc surprennent à Brême
Le premier but en Bleu d'Olivier Giroud et la dernière victoire française contre les voisins allemands. Les tricolores enchaînent un 18ème match sans défaite. A Brême, Mathieu Debuchy, à l'origine des deux buts, se révèle.



2013 – Deschamps n'avait pas trouvé clef
MAISON DE RETRAITE  DES EX BLEUS  - Page 20 Historique-france-allemagne_1Le dernier match des Bleus face aux Allemands s'est soldé par une défaite, au Stade de France. | Archives AFP
Après un Euro moyen, Didier Deschamps a repris la barre de l'Equipe de France. Malgré l'ouverture du score de Mathieu Valbuena juste avant la pause, Thomas Müller et Sami Khedira retourne la situation en deuxième période. La Manschafft s'impose donc 2 buts à 1 au Stade de France. La deuxième défaite pour "DD" à la tête des Bleus.
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Message  aladin Mer 2 Juil - 11:51

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