MAISON DE RETRAITE DES EX BLEUS

Naples: Visite médicale pour Réveillère ?

Libre de tout contrat depuis le 1er juillet dernier et la fin de son engagement avec l'Olympique Lyonnais, Anthony Réveillère pourrait bien rebondir au SSC Naples. En effet, selon des informations de la Sky, le latéral tricolore serait actuellement à Rome pour passer la visite médicale préalable à sa signature avec la formation dirigée par Rafael Benitez, que l'intéressé a connu au début des années 2000 au Valence CF. En septembre dernier, l'ancien défenseur du Stade Rennais avait déjà été tout proche de rejoindre l'Olympique de Marseille avant que les négociations ne capotent.

Les champions du Monde 1998 réunis samedi soir à la Park&Suites Arena
JEAN-MICHEL IZOIRD
13/11/2013, 06 h 00



Réagir



Candela, le plus Héraultais des champions du Monde. (F. VALENTIN)
Les champions du Monde 1998 seront samedi soir à la Park&Suites Arena. Le Palavasien est avec Henri Emile l’instigateur de ces retrouvailles montpelliéraines.
 
Ils seront tous là ! Hormis bien sûr Didier Deschamps et Bixente Lizarazu, retenus par leurs “obligations professionnelles” respectives. Samedi soir, dans une Park & Suites Arena qui affichera complet, c’est un peu de la magie de 1998 qui envahira le cœur des plus nostalgiques. L’époque où le football français n’avait pas besoin de prendre un bus en otage, d’insulter un journaliste ou de traiter des consultants de clochards pour exister. Le temps béni des Zidane, Blanc, Djorkaeff, Desailly et autres Barthez ou Thuram. L’espace d’une soirée forcément pas comme les autres, les déçus de Knysna vont avoir le droit d’aimer le football, à nouveau. Ouf !
Candela, le plus Héraultais des champions du Monde





C’est à l’occasion du 60e anniversaire du Club des Internationaux de football (CIF) que les géants de 98 débarquent en terres héraultaises. Un événement que l’on doit en grande partie à Henri Émile, l’ancien intendant des Bleus, mais aussi à Vincent Candela, le plus Héraultais des champions du Monde. "Avec Henri, nous avons souhaité une soirée de gala placée sous le signe du spectacle, explique celui qui partage désormais sa vie entre ses affaires en Italie et en France, il existe un lien indéfectible entre les Bleus de 98 et dès que l’un de nous “siffle” le rappel, tout le monde fait le maximum pour être au rendez-vous."
"On va essayer de faire parler l’expérience"
Sur le terrain, les rois du Monde 1998 risquent évidemment de connaître quelques difficultés. Certes, le futsal, qui se joue à cinq contre cinq sur une surface aux dimensions similaires à celles d’un terrain de handball, est surtout basé sur la technique. Mais face aux joueurs actuels du FC Nantes et du Montpllier-Hérault, l’affaire risque d’être compliquée. "On va essayer de faire parler l’expérience", rigole Vincent Candela, qui affine sa préparation aux “Temples du Football”, "le but est d’offrir du spectacle au public, avec de beaux gestes. Tout en essayant de “tordre” les jeunes, quand même."
Une bouteille de vin millésimée “France 98” signée
Afin d’immortaliser l’événement, l’ancien défenseur de la Roma et des Bleus présentera une bouteille de vin millésimée “France 98”, sur laquelle les 22 champions du Monde et le staff ont apposé leur signature. Un produit issu du fameux “Mas des Armes”, à Aniane, pour lequel Vincent Candela a souhaité associer "la plus grande spécialité française à travers le Monde et une aventure sportive et humaine exceptionnelle, qui a fêté son quinzième anniversaire en 2013." Sacrée soirée en perspective...



VINCENT ET... Le disque d’or de Gloria Gaynor

On s’en souvient, Vincent Candela fut l’instigateur de l’hymne de l’équipe de France 1998, le fameux “I will survive” de Gloria Gaynor, vendu ensuite à des millions d’exemplaires à travers le Monde. Ce que l’on sait moins, en revanche, c’est qu’un beau jour de 2000, en pleine préparation de l’Euro aux Pays-Bas, la chanteuse américaine a débarqué au centre d’entraînement des Bleus pour offrir son disque d’or au défenseur tricolore.
"Ce fut une surprise magnifique" rapporte Candela, "cette chanson, je la fredonnais à l’entraînement, surtout lorsque l’on se chambrait. Après le match à Marseille (face à l’Afrique du Sud), elle est devenue le symbole de l’aventure. Je ne sais toujours pas pourquoi..."
Moins marrant, en revanche, fut la réaction de Gloria Gaynor, lorsque Vincent Candela, pour son dernier match sous les couleurs de l’AS. Roma, l’invita en Italie. "Elle m’a demandé un cachet exorbitant" rigole-t-il, "tant pis, je lui ai juste répondu qu’elle avait la mémoire un peu courte."

Football : quand Gloria Gaynor offrait son disque d'or à Vincent Candela
Midilibre.fr
13/11/2013, 12 h 19 | Mis à jour le 13/11/2013, 14 h 57



Réagir


1 de 3
La chanteuse américaine, qui collectionne les prix, avait offert à Vincent Candela, en 2000, le disque d'or du mythique "I will survive".
(AFP/TOBIAS SCHWARZ)
2 de 3
Vincent Candela, ici avec le sélectionneur Roger Lemerre et Zinedine Zidane (de dos), avait eu la surprise de voir débarquer la chanteuse en plein entraînement, avant l'Euro-2000.
(ARCHIVE AFP/OLIVIER MORIN)
3 de 3
Les anciens de France 98 ont l'habitude de se retrouver, comme pour le jubilé, à Rome, de Vincent Candela, le 6 juin 2009.
(AFP/FILIPPO MONTEFORTE)



Le Palavasien, champion du monde 98, est un des instigateurs du défi futsal à la Park&Suites Arena de Montpellier, samedi (19 h), qui verra Zidane et ses anciens coéquipiers bleus affronter les pros actuels de Montpellier et Nantes. En en attendant, il s'est replongé dans ses souvenirs.
On s’en souvient, Vincent Candela fut à l'origine de l’hymne de l’équipe de France 1998, le fameux “I will survive” de Gloria Gaynor, vendu ensuite à des millions d’exemplaires à travers le monde et à réécouter, rien que pour le plaisir, ici :




La star américaine débarque au centre d'entraînement des Bleus
Ce que l’on sait moins, en revanche, c’est qu’un beau jour de 2000, en pleine préparation de l’Euro aux Pays-Bas, la chanteuse américaine a débarqué au centre d’entraînement des Bleus pour offrir son disque d’or au défenseur tricolore.
"Une surprise magnifique"
"Ce fut une surprise magnifique", rapporte Candela. Cette chanson, je la fredonnais à l’entraînement, surtout lorsque l’on se chambrait. Après le match à Marseille (face à l’Afrique du Sud), elle est devenue le symbole de l’aventure. Je ne sais toujours pas pourquoi..."
Chanteuse à la mémoire courte
Moins marrant, en revanche, fut la réaction de Gloria Gaynor, lorsque Vincent Candela, pour son dernier match sous les couleurs de l’AS Roma, l’invita en Italie. "Elle m’a demandé un cachet exorbitant", rigole-t-il aujourd'hui, avant de conclure : "Tant pis ! Je lui ai juste répondu qu’elle avait la mémoire un peu courte..."

Pascal Despeyroux, le dernier champion d'Europe Espoir

Publié le 14/11/2013 à 08:51

football

Pascal Despeyroux, lorsqu'il a débuté au TFC. /Photo archives DDM



Pascal Despeyroux faisait partie de l’Equipe de France Espoir qui a remporté l’Euro 88. Désormais conseiller technique départemental, il revient sur les deux matchs que disputeront nos Bleuets à Toulouse.
L’équipe de France Espoir à Toulouse, c’est un événement ?
Il faut savourer ces moments de football. C’est une grande satisfaction qu’ils soient organisés sur nos terres. On espère une grande mobilisation des puristes, et pas seulement pour le match contre les Pays-Bas qui n’est qu’amical. Le match le plus important se joue demain contre l’Arménie.
Que pensez-vous de cette génération très prometteuse ?
Il y a huit ou neuf joueurs qui sortent du lot. Les derniers résultats sont probants notamment contre l’Islande qui était un match décisif. C’est une belle génération qui selon moi pourra dynamiser la liste pour l’Euro 2016.
Des chances de briller à l’Euro 2015 pour ces Espoirs ?
Avant d’en parler, il faut déjà se qualifier. On espère que le match de demain contre l’Arménie pourra sceller la qualification. Il faut faire le trou avant d’affronter l’Islande pour l’ultime match qualificatif.
De beaux souvenirs de votre passage chez les Espoirs ?
C’est sans doute parmi les trois plus beaux souvenirs de ma carrière en comptant ma première sélection en Équipe de France et notre campagne européenne contre Naples en 1986. C’était la consécration d’une bande d’ami qui a apporté un titre au football français. C’était beau d’évoluer avec Éric Cantona, Laurent Blanc, Franck Sauzée, Christophe Galtier et tous les autres. On était déjà titulaires dans des grands clubs français à ce moment-là.
Une différence notable avec les Espoirs actuels ?
C’est toujours compliqué de comparer deux époques. Mais maintenant être en Espoir c’est déjà avoir des contrats conséquents. Le danger pour eux c’est de se perdre en route. Ils sont attendus au tournant. Mais je pense qu’il y a une bonne gestion de Willy Sagnol et son staff pour leur inculquer les vertus morales ainsi qu’une bonne dose d’humilité.
Un petit préféré dans le lot ?
Malgré tout ce qui s’est passé cet été, j’accorde beaucoup d’estime au petit Thauvin. Il a toutes les qualités pour se faire pardonner. Il a un talent pur. Mais c’est également très dangereux parce qu’entre l’Équipe de France A, et l’équipe espoir il y a un fossé. Mais il a encore le temps.
La nature de vos relations avec Willy Sagnol ?
Je l’ai vu sortir du centre de formation de Saint-Étienne à l’époque. Depuis on s’est déjà recroisé au Stade de France notamment mais sans avoir réellement le temps d’échanger. C’est une personne que j’ai toujours estimée et j’aurais donc grand plaisir à le revoir pour discuter au calme.

---

Pratique
Les billets, allant de cinq à vingt euros selon le placement, sont d’ores et déjà disponibles dans les points de vente habituels, sur internet ainsi qu’à la billetterie du stade Ernest Wallon qui ouvrira ses portes à 19 heures. À noter que les licenciés FFF pourront bénéficier d’une remise de 30 % en s’adressant directement à la Ligue Midi-Pyrénées.

 http://www.lequipe.fr/Football/Diaporama/Les-matches-couperets/1817

Les matches couperets





L'équipe de France, qui va affronter l'Ukraine vendredi puis mardi en barrages de la Coupe du monde 2014, a souvent, dans son histoire, joué sa place pour un Mondial sur un ou deux matches. Retour en images sur ces rencontres remplies d'émotion.




Yougoslavie - France (3-2, a.p.), le 11 décembre 1949 à Florence
En 1949, les Bleus affrontent en matches aller-retour la Yougoslavie pour tenter de se qualifier pour le Mondial 1950 au Brésil. Mais à l'issue de ces deux rencontres, conclues sur un score de 1-1 à Belgrade comme à Colombes, aucune des deux équipes n'a son ticket en poche pour la Coupe du monde. Un match d'appui est donc organisé le 11 décembre 1949 à Florence. Devant 25 000 spectateurs, la Yougoslavie l'emporte après prolongation (3-2) malgré des buts de Marius Walter (sur la photo) et Jean Luciano. (L'Equipe)

France - Yougoslavie (1-0), le 10 septembre 1965 à Paris (Parc des Princes)
Battu en Yougoslavie (0-1) dans le groupe 3 des qualifications pour la Coupe du monde, l'équipe de France prend sa revanche face à ce même adversaire (1-0) pour assurer sa place en Angleterre. Philippe Gondet (en photo à côté de Bernard Bosquier et Louis Cardiet) est le héros du jour : pour sa première sélection, il inscrit l'unique but du match sur un exploit personnel. (L'Equipe)

France - Bulgarie (3-1), le 16 novembre 1977 à Paris (Parc des Princes)
Après douze années de pénitence, les Bleus retrouvent le chemin de la Coupe du monde. L'équipe de France entraînée par Michel Hidalgo vient à bout de la Bulgarie (3-1) dans un match crucial pour la première place du groupe 5. Rocheteau débloque la situation, avant que le jeune Platini (photo) et Dalger ne marquent à leur tour. (L'Equipe)

France - Pays-Bas (2-0), 18 novembre 1981 au Parc des Princes et France - Chypre (4-0) le 5 décembre
Les Bleus sont mal embarqués dans le groupe 2 des éliminatoires au Mondial espagnol. Ils ont besoin de deux victoires lors de leurs deux derniers matches pour valider leur ticket pour la compétition. Grâce notamment à un coup franc de Platini, la France domine les Pays-Bas (2-0) avant de confirmer trois semaines plus tard contre Chypre (4-0). À la différence de buts, la bande à Hidalgo devance l'Irlande. (L'Equipe)

France - Yougoslavie (2-0), le 16 novembre 1985 au Parc des Princes
Quatre ans plus tard, Michel Platini envoie une nouvelle fois les Bleus à la Coupe du monde, au Mexique, en marquant un doublé décisif contre la Yougoslavie lors de l'ultime match du groupe 4 du tour préliminaire.

France - Bulgarie (1-2), le 17 novembre 1993 au Parc des Princes
Le match cauchemar par excellence. Défaits un mois auparavant contre Israël (2-3), les Bleus sont toujours bien placés pour se qualifier pour la World Cup américaine. Les hommes de Gérard Houllier n'ont besoin que d'un match nul contre la Bulgarie. Après l'ouverture du score de Cantona, Kostadinov égalise, puis crucifie les Bleus dans les dernières secondes du match

Eire - France (0-1), le 7 septembre 2005 à Dublin (Lansdowne Road)
En battant l'Eire à Dublin (1-0) grâce à une superbe frappe enroulée de Thierry Henry, l'équipe de France fait un pas de géant vers la Coupe du monde en Allemagne. Les Bleus de Zidane valideront leur billet quelques semaines plus tard contre Chypre. (L'Equipe)

France - Eire (1-1, a.p.), le 18 novembre 2009 à Saint-Denis (Stade de France)
L'équipe de France arrache sa qualification pour la phase finale de la Coupe du monde en Afrique du Sud lors d'un barrage épique contre l'Eire. Vainqueurs (1-0) à l'extérieur au match aller, les Bleus sont bousculés au retour au Stade de France. Ils ne doivent leur salut qu'à un but en prolongation de William Gallas, précédé d'une énorme faute de main de Thierry Henry qui a échappé à l'arbitre. (L'Equipe)

LE PRÉCÉDENT DE 1993
MerciKostadinovLa marionnette de JPP, aux Guignols, ne cessait
de répéter à celle de Canto : "Si ça continue,
on va pas y aller en Amérique..." Et de fait, les
Bleus n’y étaient pas allés, même si la sono du
Parc des Princes jouait "L’Amérique" de Joe
Dassin avant le dernier match contre la Bulgarie.
Le 17 novembre 1993, un but de Emil Kostadinov,
dans les dernières minutes, avait qualifié
la Bulgarie et éliminé la France. Quelles conséquences
?
D’abord le lynchage médiatique de David Ginola,
pour un ballon bêtement perdu à 80 mètres
du but français. Mais le sélectionneur, Gérard
Houllier avait désigné le coupable, pour
"un geste criminel". Beau sens de la mesure...
Un sens de la mesure que possédait aussi le
président de la FFF, Fournet-Fayard, qui
n’avait pas démissionné après Furiani, mais allait
le faire après cette élimination jugée bien
plus catastrophique. Houllier quittait son poste,
laissant la place à son adjoint, Aimé Jacquet,
lequel allait s’atteler à reconstruire une équipe,
avec de bons matches amicaux dans les six
premiers mois de 1994, responsabiliser Zidane,
Deschamps et Desailly.
Les Bleus atteignaient les quarts de finale de
l’Euro 96, et le 12 juillet 1998, gagnaient la coupe
du monde. Merci qui ?Merci Kostadinov

PAROLES DE BLEUS : Alain Boghossian et Robert Pirès

Alain Boghossian, ancien international et ex-adjoint de Laurent Blanc en équipe de France : "Aujourd’hui, on a un peu du mal à digérer mais l’équipe de France a maintenant le devoir de se qualifier en 90 minutes ou plus. Il faut encore y croire. Il n’est pas impossible de réussir l’exploit. Il faut que le staff s’appuie sur tout ce qui n’a pas fonctionné en Ukraine pour ne surtout pas renouveler les mêmes erreurs. L’équipe a besoin du soutien populaire comme l’Ukraine en a bénéficié chez elle l’autre soir... "
Robert Pirès, ancien international : "Comme le peuple français, je suis déçu, mais je reste confiant, même si ça risque d’être pénible. Cette équipe ukrainienne a joué sur ses valeurs et leur coach a été vraiment très fort dans l’analyse du jeu de l’équipe de France. Il a su trouver la parade à notre point fort qui est Ribéry. Pour renverser le score, il va falloir être plus intelligent, c’est une certitude. L’Ukraine va jouer de la même manière. J’espère que si Ribéry est encore muselé, d’autres joueurs vont en profiter pour faire la différence, contrairement à ce match aller. Autant j’aurais aimé voir Mavuba en sentinelle vendredi, autant cette fois, il ne faudra plus calculer et jouer notre va-tout. Ce serait une catastrophe de ne pas aller au Brésil."

Santé
[*]Bourse
[*]TV
[*]Blogs
[*]Annonces

• Auto/moto/bateau
  
• Immobilier
  
• Bons deals
  
• Animaux
  
• Services
  
• Rencontres
  
• Emplois
  
• Annonces légales
  

[*]Carnet
[*]Jeux & Invitations

Vendredi 22 novembre 2013
Se connecter
S'inscrire


3°/7°
Montpellier

Scorpion
 

• Home
  
• Alès
  
• Bagnols
  
• Béziers
  
• Carcassonne
  
• Montpellier
  
• Mende
  
• Millau
  
• Narbonne
  
• Nîmes
  
• Perpignan
  
• Rodez
  
• Sète
  

[*]

 






Narbonne : l'ex champion du monde de foot Vincent Candela, bistrotier à Narbonne
Midi Libre
21/11/2013, 14 h 55 | Mis à jour le 21/11/2013, 15 h 38



Réagir



Vincent Candela (à droite) a rendu visite au Football Union Narbonne (Fun), mercredi. (DR)
Vincent Candela, ex champion du monde de football en 1998, est copropriétaire de la brasserie "Le Fou Chantant", à Narbonne. 
Si Vincent Candela vit entre Montpellier et Rome, il n’a pas abandonné sa passion du football, puisqu’il commente des matchs pour la télévision italienne. Mais il a aussi posé ses marques dans la région. Après "le Phare" de Palavas, il détient la brasserie narbonnaise “Le Fou Chantant”, cours de la République, avec son associée Marielle Cœur, une amie de longue date.
Au siège du Fun



Mercredi, au lendemain du “miracle” des Bleus, l’ancien champion de la Coupe du monde de football en 1998 était accueilli au siège du Fun. Présent au stade de France, mardi soir, il a salué le talent des joueurs français.
"On n’y croyait pas trop mais ils ont relevé la tête. Ce n’était pas facile, mais pourtant ils ont réussi". Et de poursuivre : "C’est un bon début, avec de très bons joueurs, sûrs d’eux".
"On y est arrivé"
Paul Pogba qu’il connaît bien "a fait un bon match, ainsi que Franck Ribéry et Karim Benzema. Un sans-faute". Cependant tout n’est pas fini, et la bataille n’est pas terminée.
Effectivement on se rappelle qu’en 1998, les matchs contre l’Italie et le Paraguay ne furent pas de tout repos pour les Français. "Pourtant, on y est arrivé", souligne Vincent Candela. Comme quoi tout est possible.

Thuram a aimé les Bleus et Sakho


Thuram veut que les Bleus en profitent.

Par Axel Capron
Publié le 22 novembre 2013 à 08h52
Mis à jour le 22 novembre 2013 à 08h54

• [url=javascript:void(0);]réagir[/url]
  
  
  
  
• [url=javascript:window.print();][/url]
  

• 17 réactions
  

Invité jeudi soir sur RTL, Lilian Thuram a confié sa joie de voir les Bleus se réconcilier avec leur public et son admiration pour Sakho, double buteur, comme lui en 1998, au Stade de France...
Comme lui, il était défenseur et comme lui, il a marqué deux buts venus d’ailleurs avec l’équipe de France au Stade de France, à un moment où on ne s’y attendait vraiment pas. Auteur d’un doublé en demi-finale de la Coupe du monde 1998 face à la Croatie (2-1), alors qu’il avait débuté la rencontre par une erreur d’alignement défensif ayant permis à Davor Suker d’ouvrir le score, Lilian Thuram a forcément vu remonter ces images à la surface en assistant mardi soir dans les tribunes du Stade de France à l’improbable doublé de Mamadou Sakho qui, à l’instar de lui il y a plus de quinze ans, n’avait encore jamais marqué en sélection.
Invité jeudi soir de l'émission "On refait le match" sur RTL, le recordman français des sélections (142) a d'abord commenté, sur le ton de la boutade: Ce que j'espère pour lui, c'est qu'il marquera plus de buts, parce que moi je me suis arrêté à deux ! Mais il est en avance: à 23 ans, je n'avais pas mis de buts en équipe de France (ce doublé est intervenu à 26 ans, ndlr). C'est extraordinaire, j'espère que ça va continuer pour lui." Mais plus que le doublé, c’est la performance d’ensemble du joueur de Liverpool et sa personnalité que Thuram a tenu à souligner: "C'est quelqu'un que j'aime beaucoup parce que je crois qu'il est vraiment dans la bonne attitude quand il est extrêmement déterminé. Sakho, ce n'est pas un comportement de guerrier, mais un comportement de personne déterminée."

"Le pur bonheur"
Ce comportement a tiré l’équipe de France par le haut et lui a permis de sortir un match-référence qui, aux yeux de l’ancien joueur de la Parme et de la Juventus, doit lui faire prendre conscience de son potentiel: "Je pense que certains joueurs ne savaient pas à quel point ils pouvaient élever leur niveau, parce qu'on a besoin parfois d'être dos au mur pour se surpasser, c'est très bien parce que ça va créer une certaine cohésion." Le groupe sort renforcé de cette épreuve, il est en outre parvenu à se réconcilier en partie avec son public, les belles images de communion avec le Stade de France après le match ayant plu à Lilian Thuram, notamment cette Marseillaise, entonnée par les joueurs et reprise en chœur par le public. "Ça, c'est fantastique, c'est la meilleure des choses, ça veut dire qu'il y a une totale communion entre les joueurs et les spectateurs, et il n'y a rien de mieux, c'est le pur bonheur."
Pour Thuram, ces images ne doivent pas rester sans lendemain, mieux, il faut qu’elles agissent comme un déclic pour les joueurs: "Il faut vraiment que l'équipe de France comprenne qu'il y a beaucoup d'amour autour d'elle et il faut que les joueurs en profitent et aillent le chercher, cet amour. J'espère qu'ils ont compris et que dorénavant les choses iront de mieux en mieux.Le fait d'avoir gagné ce match-là va changer certaines choses parce que lorsque vous êtes joueur de foot, c'est difficile quand vous avez l'impression qu'on ne vous aime pas et je pense que là, ils ont la preuve de l'amour de la France et je pense que dorénavant l'attitude sera différente." A confirmer lors des prochains épisodes...

Flamini : manches
coupées, oreilles tirées.
Mardi, Mathieu Flamini était
le seul joueur d’Arsenal à
jouer avec des manches courtes.
Coupées au ciseau, plus
précisément. Un véritable crime
de lèse-majesté. Une règle
tacite interne au club stipule
que les joueurs doivent se
plier au choix de tenue du capitaine,
Per Mertesacker en
l’occurrence. Face à l’attitude
shocking de Flamini -qui préfère
simplement jouer ainsi -, la
communauté d’Arsenal s’est
insurgée. "Ça n’arrivera plus",
a assuré Arsène Wenger.
Le Marseillais a dû se faire taper
sur les doigts...

Billet
Mardi 03 Décembre 2013
NICE-RIO, VIA LENS ET ANTALYA
Il en impose. Quand Gérard Houllier se présente devant l’Alliance européenne des associations d’entraîneurs, il reçoit une standing ovation avant d’avoir dit mot. Les Britanniques sont les premiers à honorer coach « Hoo Yeah », comme ils le prononcent. Il faut avoir vu l’ancien sélectionneur scottish Craig Brown, pourtant icône en son pays, écarquiller les yeux devant l’exposé du champion de France 1986 pour mesurer son aura outre-Manche. Anglais, Irlandais ou Ecossais n’ont pas assez de respect pour celui qui a redonné à Liverpool le lustre des années Keegan. Si vous ne voyez pas ce dont je parle, demandez à n’importe quel historien stéphanois auto-proclamé.


J’écris ce billet depuis Antalya, au sud de la Turquie, à l’heure où nombre de nos lecteurs s’entredéchirent le temps d‘un derby d’azur à l’Allianz Riviera; au moment où les Phocéens en terminent du choc qui les oppose aux Lillois de René Girard. René que j’ai eu le privilège d’interviewer longuement il y a dix jours au Pôle Espoirs FFF de Liévin, à proximité immédiate de Lens. Si vous ne comprenez pas où mène la lecture de cet article, attendu le décalage géographique qui sépare le territoire légitime du Réseau Actufoot et le Pas de Calais, pour ne pas parler de la Turquie, vous êtes encore loin du compte. Parce que le Brésil arrive. Nice-Rio via Lens et Antalya, voici le singulier parcours opéré par AF. AF comme Actufoot.
Leçon prophétique de football
Le Brésil, Gérard Houllier y a demeuré l’été dernier. Avec l’illustre Fernando Hierro et quelques autres, le néo-manager des New-York Red Bulls a été missionné par la FIFA pour disséquer la Coupe des Fédérations 2013. Les techniciens appellent cela un « case study ». J’ai donc eu le privilège d’assister au debriefing de coach Houllier, au même titre que les représentants des 48 délégations européennes invitées en Turquie. Debriefing… je pourrais même écrire leçon prophétique de football, tant ses décryptages préfigurent ce que donnera la prochaine édition de la Coupe du Monde. Pour faire très bref, quelques notions-clés sont à retenir.
La première est que les meilleures équipes prennent le risque de se déséquilibrer. Fini l’organisation tactique figée, celui qui veut la victoire rompt avec certains dogmes du football. La meilleure illustration en est l’importance que revêtent désormais les arrières latéraux. Ce sont eux les véritables ailiers, tandis que lesdits ailiers ont pour mission de s’intercaler entre les lignes au milieu du terrain. Tous les joueurs amateurs l’ont pourtant entendu : si un latéral monte, le second coulisse dans l’axe, pour préserver l’intégrité défensive de l'équipe. Eh bien oubliez tout ceci. Aujourd’hui, demain, les deux arrières monte(ro)nt simultanément.
Le paradigme barcelonais a vécu
La seconde tendance décryptée par le maître à penser de Steven Gerrard est l’importance de la sentinelle devant la défense. Ces « anchormen » se nomment Busquets, Pirlo, Gustavo. Ils assurent l’équilibre du collectif en toutes circonstances, même lorsque celui-ci semble défaillant. Plus haut devant eux, le rôle des attaquants centraux se métamorphose. Ils sont moins tenus de se créer des occasions que de trouver ou libérer des espaces pour les autres. Leur relation avec le milieu de terrain est essentielle pour tromper les rideaux défensifs performants et densifiés.
Quant au jeu lui-même, il est et sera de plus en plus rapide. La capacité physique individuelle et collective est une donnée clé de la réussite. Un exemple ? La distance moyenne parcourue en match par une équipe de très haut niveau équivaut à celle de 12 joueurs d’une équipe de même standing en 2008. Pas convaincu ? Selon les statistiques compilées par la FIFA, il faudrait 5 joueurs de plus à une équipe élite de 2008 pour réaliser autant de sprints qu’une formation majeure en 2013. Pourquoi donc ? Parce que le paradigme barcelonais a vécu. La domination sans partage des équipes à fort pourcentage de possession de balle s’incline(ra) devant celles capables d’assurer des transitions rapides de la défense à l’attaque. Posséder le ballon oui, mais à condition de progresser rapidement vers le but adverse.
Une chose encore. Comme dans le football amateur, un tiers des buts provient de coups de pied arrêtés, et la plupart sont inscrits en fin de match, lorsque le physique se dérobe aux moins préparés. Ah, j’allais oublier une nuance, passez le message à tous les kops qui chavirent au moindre corner. Un seul sur quarante se convertit en but. Mais il est une conclusion universelle que tous les footeux connaissent, rappelée par Gérard Houllier. Les équipes leaders seront toujours celles qui disposent d’une ou plusieurs individualités capables de bousculer les hiérarchies. Un truisme peut-être. En tout cas, ce gars-là, nous l’avons tous eu dans notre équipe, de Momo le surdoué du village à Falcao le Monégasque. Il est l’assurance tout risque du football. Sans Giroud et Belhanda, René Girard n’aurait jamais vécu ce qu’il désignait l’autre soir comme, quoi qu’il arrive, le plus beau souvenir d’une carrière en cours.  
Nice, Liévin, Antalya, Rio, formations de quartier, hyper élite, l’universalité du football m’a sauté aux yeux en à peine deux semaines. Je m’incline bien malgré moi devant ce lieu commun.

Arsenal-Henry: "Je rêve de revenir"

Présent dans l'effectif d'Arsenal lors du dernier trophée remporté par les Gunners, Thierry Henry est revenu sur le début de saison de son club de cœur lors d'une longue interview accordée à SkySports et semble persuadé que le club londonien peut mettre fin à huit années de disette: "Cette saison, Arsène Wenger démontre à tout le monde qu'Arsenal est à nouveau compétitif." Le meilleur buteur de l'histoire des Gunners s'est aussi exprimé sur l'arrivée d'Özil pour près de 50 millions d'euros lors du mercato estival: "Arsène a payé le prix pour un joueur comme Ozil, mais je crois qu'il montre maintenant qu'il vaut ce montant et j'espère qu'il le montrera encore plus jusqu'à la fin de la saison." Interrogé sur son avenir dans le football à la fin de sa carrière, Henry n'a pas caché son envie de revenir auprès du club londonien, même s'il ne sait pas encore vraiment dans quel but: "Ce que je vais faire ? Je ne sais pas si je vais être entraîneur. Je ne sais vraiment pas [s'il sera entraîneur d'Arsenal un jour]. Si vous demandez à n'importe quel fan des Gunners d'être le coach, ils adoreraient, mais aujourd'hui, je n'en sais rien. Vous devez accomplir certaines choses avant. Vous ne pouvez pas débarquer comme cela et prétendre à être le manager. Mais le rêve pour moi serait de revenir à Arsenal, évidemment."

Les Bleus à Nice: retour sur l'unique précédent en 1970
Publié le mardi 24 décembre 2013 à 09h01  

L'avenir du secteur du stade du Ray inquiète les habitants.Patrice Lapoirie
Partager
[url=javascript:void(0)][/url]

0







Les Bleus à Nice, ce n'est donc arrivé qu'une fois. Le 5 septembre 1970, le stade du Ray accueillait l'équipe de France pour un amical contre la Tchécoslovaquie du célèbre gardien, Ivo Viktor. Résultat: 3-0 pour les Bleus. Le Ray n'avait pas fait le plein (13.418 spectateurs).
À l'époque, l'équipe de France surfait plutôt dans le creux de la vague.
Non qualifiée pour la coupe du monde au Mexique (1970), elle n'obtiendra pas non plus son billet pour l'Allemagne (1974). Le sélectionneur de l'époque, Georges Boulogne, n'avait retenu qu'un seul Niçois : le défenseur central Claude Quittet, qui, remplaçant, ne rentra pas en jeu.
Le onze aligné avait tout de même fière allure : Carnus - Jean Djorkaeff, Novi, Bosquier, Rostagni - Herbet, H. Michel, M. Mézy, G. Beretta - Gondet, Loubet (puis Blanchet, 63e). Le Nantais Gondet ouvrit le score (8e), avant que Charly Loubet ne double la mise (13e). Et peu avant la pause, le défenseur stéphanois Bernard Bosquier corsait l'addition. Charly Loubet, pétri de talent sur l'aile, avait donc trouvé la faille : formé à Cannes, il connaissait si bien le Ray pour y avoir joué de 63 à 69, avant de signer à l'OM... et de revenir à Nice en 71. Quant à Jean-Paul Rostagni, l'ancien Monégasque et futur Niçois, il venait de signer aux Girondins de Bordeaux.
(avec Michel Oreggia, historien de l'OGCN)

La "quenelle" d'Anelka était "juste une dédicace à (son) ami Dieudonné" / LES IMAGES
Le 28 décembre à 17h14 | Mis à jour il y a 11 heures


La "quenelle", salut antisémite d'après certains, simple bras d'honneur anti-système selon d'autres. PHOTO/AFP

Mise à jour à 20h11

Nicolas Anelka, auteur d'un doublé samedi avec West Bromwich Albion en championnat d'Angleterre, a fêté son premier but du jour avec le signe controversé de la "quenelle", rendu populaire par l'humoriste-polémiste Dieudonné.





Après sa première réalisation contre West Ham (3-3), l'ancien attaquant de l'équipe de France a fêté sa réussite par une "quenelle", salut antisémite d'après certains, simple bras d'honneur anti-système selon d'autres.

Ce geste intervient le jour même ou le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, s'est déclaré déterminé à interdire les spectacles de l'humoriste, ceux-ci relevant selon lui d'une "mécanique de la haine". Anelka, 34 ans, au coeur de nombreuses polémiques depuis ses débuts professionnels, avec notamment une insulte fameuse lancée au sélectionneur Raymond Domenech lors du Mondial 2010 en Afrique du Sud, était revenu en Angleterre cet été.

L'ancien attaquant de l'équipe de France Nicolas Anelka a, plus tard dans la soirée, justifié via son compte Twitter sa "quenelle" de célébration sur son premier but samedi comme "juste une spéciale dédicace à (son) ami humoriste Dieudonné".

nicolas anelka ✔ @anelkaofficiel
Suivre Ce geste était juste une spéciale dédicace pour mon ami humoriste Dieudonné.7:40 PM - 28 Déc 2013
6 881 Retweets 1 727 favorites Répondre

Anelka n'effectuera plus de "quenelle"
West Bromwich Albion a annoncé ce lundi avoir demandé à Nicolas Anelka de ne plus effectuer de "quenelle". Une requête «immédiatement acceptée» par le joueur.

116partages Tweeter Partager Partager

116partages Tweeter Partager Partager

261
a+ a- imprimer RSS


West Bromwich Albion a demandé à Nicolas Anelka de ne plus faire de "quenelle". (Reuters)



Deux jours après avoir créé une polémique en célébrant un but contre West Ham (3-3) avec une "quenelle" (un bras tendu vers le bas et l'autre croisé en travers de la poitrine, vu par certains comme un salut antisémite et par d'autres comme un simple bras d'honneur antisystème), Nicolas Anelka et surtout son club de West Bromwich Albion tentent de faire amende honorable. WBA a publié ce lundi un communiqué au sujet de ce geste. «Nicolas a été invité à expliquer sa célébration de but par l'entraîneur, Keith Downing, dans les dernières minutes du match contre West Ham. Nicolas a dit qu'il a voulu dédicacer ce but à un ami et a nié avec véhémence avoir l’intention d'offenser quiconque», explique le communiqué.

«Après l’entraînement de ce matin, le directeur technique Richard Garlick l’a invité à donner une explication complète sur sa célébration de son but. Une discussion au cours de laquelle il a de nouveau fermement démenti une intention d'offenser», poursuit le communiqué. «Le club reconnaît pleinement que la célébration de Nicolas a pu offenser et a demandé à Nicolas de ne pas refaire ce geste. Nicolas a immédiatement accepté cette demande.» La Fédération anglaise (FA) enquête depuis samedi sur le geste de Nicolas Anelka. WBA a offert son «entière collaboration» à l'instance dans cette affaire et précise qu'il continuera de son côté à mener sa propre enquête, «un processus qui restera confidentiel entre le club et Nicolas».


Ce geste effectué par l'attaquant français avait été qualifié samedi de «provocation choquante, écœurante» par la ministre des Sports Valérie Fourneyron. Le joueur s'était défendu en expliquant via son compte Twitter : «Signification de quenelle : anti-système. Je ne sais pas ce que le mot religion vient faire dans cette histoire !»

A 35 ans, Jérôme Rothen a annoncé cet après-midi sur l'antenne de Canal + qu'il ne rechausserait pas les crampons. Arrivé à Caen l'été dernier, il avait rompu son contrat il y a quelques semaines. Il devrait se consacrer désormais à un rôle de consultant TV.

Eva Schloss, grande absente à l'inauguration de l'expo

Cela devait être la tête d'affiche de l'exposition Anne-Frank, en compagnie de Lilian Thuram. Mais Eva Schloss, la demi-soeur d'Anne Frank, ne pourra finalement se rendre à Vitrolles le 28 janvier prochain pour l'inauguration. Mais les Vitrollais pourront néanmoins découvrir son témoignage puisqu'Éric Olivi, le président de l'association "Promotion de l'Exposition Anne Frank" se rend cette semaine à Londres, au domicile d'Eva Schloss.

Cette dernière a néanmoins prévu de se rendre dans l'année à Vitrolles en tant que marraine de l'événement. Et pour remplacer ce "forfait", Éric Olivi a enregistré récemment les venues de Daniel Wancier (un enfant caché pendant la guerre habitant Nice), et de Garance Reus-Deelder, directrice de la Maison Anne Frank. Ce sera seulement sa deuxième présence officielle en France en 15 ans.

Rappelons que l'exposition sera visible du 28 janvier au 28 février à la médiathèque George-Sand.