ALLO DIARRA ... NON MOI C" EST ALOU

Dimanche 11 Septembre 2011 à 00:18

Diarra : « La roue va tourner »

" Il y a de la déception, mais il faut faire le dos rond, on n’a pas la réussite. Leur gardien a fait des exploits, mais sur certaines situations on n’a pas pris les bonnes décisions. Il y a des petites imperfections qui nous font ralentir. On peut mieux jouer les coups, en jouant plus juste, en faisant les passes au bon moment. Il faut persévérer, pour forcer le destin. Sur ce match, on doit au moins marquer un but. C’est une spirale négative, il ne faut pas rester dedans.
Personnellement, je me sens bien, c’est une chose, mais je veux gagner. Je suis venu à Marseille pour remporter des victoires. Je sais que pour ça il faut continuer à travailler, rester mobilisés, car à un moment, la roue va tourner. "

il me deçoit de plus en plus

DIARRA Alou
L'Olympien ayant perdu le moins de ballons, mais cela ne l'exonère pas de ce qu'on attend de lui. Une reprise de la tête sous la transversale aurait pu permettre à l'OM d'ouvrir le score, mais le capitaine de l'équipe de France doit être capable de mettre de l'ordre dans le collectif quand celui-ci part en vrille comme hier soir.
Note du match 3,01

ILS SAVENT CE QU'IL FAUT FAIRE MAIS NE LE FONT PAS



Diarra : «On y va avec de l'ambition»
12/09/2011 à 23:52

Le milieu de terrain marseillais Alou Diarra ne se voile pas la face : l'OM a un problème mental en ce moment, mais une victoire contre l'Olympiakos mardi (20h45) peut relancer le club.


Alou Diarra espère que l'OM arrachera en Grèce la victoire qui lancera - enfin - sa saison.(EQ)
«Alou Diarra, comment allez-vous après cette nouvelle contre-performance et à la veille de vos débuts en Ligue des champions ? On ne peut pas être satisfait de ce début de saison, il est trop loin de nos espérances. Mais tout n'est pas à jeter. Ce qui nous fait défaut aujourd'hui en championnat, ce sont les points, mais dans le jeu, il y a du positif. Maintenant, il faut vite gagner des points parce que dans un championnat, on regarde plus le classement que la manière. Il faut qu'on continue à travailler pour corriger nos erreurs et poursuivre ce qu'il y a de positif. Au fond, quel est le problème ? Je pense que c'est mental. On doit être beaucoup plus conquérants à tous les niveaux. Sur tous les plans. Offensivement, on se crée beaucoup d'occasions, on devrait marquer plus de buts. Et défensivement, vu le peu d'occasions qu'on concède, on devrait être plus costauds. C'est cette efficacité-là dont on a besoin.

«Il s'agit d'une nouvelle compétition qui démarre. Cela ne signifie pas que cela nous met moins de pression mais on a envie d'y jouer un rôle.»
Comment envisagez-vous ce prochain match en Ligue des champions contre l'Olympiakos ? Ce qui est positif, c'est que ce match arrive très vite et qu'en cas de victoire, on pourra relancer notre saison. C'est une bonne occasion qu'il ne faut pas négliger. Il s'agit d'une nouvelle compétition qui démarre. Cela ne signifie pas que cela nous met moins de pression mais on a envie d'y jouer un rôle et puis, ça fait partie des objectifs du club, malgré la situation difficile actuelle. Mais c'est une compétition à part, qui motive tous les joueurs. On devra être à notre meilleur niveau si on veut faire un résultat. Vous les avez déjà rencontrés avec Bordeaux. A quel type de match pouvez-vous vous attendre ? C'est un public très chaud qui crée une ambiance hostile pour leurs adversaires. Ceci dit, on croit encore en nos chances et en nos forces. On va y aller avec beaucoup d'ambition. Et notre objectif, c'est vraiment d'accrocher la première victoire de cette saison. On a en a vraiment besoin pour accumuler beaucoup plus de confiance.»

il oublie de dire qu'il a été tellement mauvais que DD l"a sorti à la mitemps

Diarra : «Dur à accepter»
Le 19/09/2011 à 01:15 | Mis à jour le 19/09/2011 à 08:08

Alou Diarra a fustigé «les erreurs» commises par les Marseillais après la défaite concédée à Lyon (0-2), dimanche soir. La salut de l'OM passera par le collectif, insiste-t-il.


Alou Diarra en difficulté face à Bafé Gomis.
« Alou Diarra, comment expliquez-vous cette nouvelle contre-performance? C'est très difficile. On est tombé dans le piège des Lyonnais, alors qu'on savait très bien que c'était une équipe de contres avec des joueurs qui allaient très vite. On n'a pas été assez vigilant, on a perdu des ballons dans des zones dangereuses et on n'a pas pris assez de temps dans la construction... Pourtant, les dix premières minutes avaient été bonnes.

«C'est tous ensemble qu'on doit s'en sortir. Personne ne doit jouer les sauveurs.»
Comment l'OM peut-il se relever désormais ? L'OM se relèvera par le collectif, en jouant simple et juste, mais surtout en commettant beaucoup moins d'erreurs. Depuis le début de saison, on en fait trop alors que nos adversaires n'en demandent pas tant. Soit c'est une absence, soit c'est une perte de balle... C'est vraiment dommageable. Avec 11 points de retard sur Lyon, le titre peut-il rester un objectif crédible ? Si on réagit vite, oui, mais c'est tous ensemble qu'on doit s'en sortir. Personne ne doit jouer les sauveurs. On doit trouver un collectif plus solide, plus costaud.

«Ce sont des choses qui font partie du foot, qu'il faut affronter»
L'OM lanterne rouge de L1, c'est... ( Il coupe ) C'est très dur à accepter, mais en commettant autant d'erreurs, on ne peut pas espérer mieux. En plus, on n'a pas de réussite... Il faut travailler et gommer ce qui nous pénalise depuis le début de saison : les absences, les sautes de concentration... Il faut vraiment prendre des points parce que ça devient difficile. Il y a eu quelques tensions entre joueurs pendant le match. Ça peut arriver si c'est pour faire avancer l'équipe. Il n'y a aucun problème. A titre personnel, vous ne vous attendiez sûrement pas à ça en rejoignant Marseille à l'intersaison ? Ce n'est pas forcément glorifiant, mais ce sont des choses qui font partie du foot, qu'il faut affronter. L'important, c'est que l'on reste ensemble, et que ça se ressente sur le terrain».

ALLO DIARRA
Y A PERSONNE AU V BOUT DU FIL

TJS NUL

Flop
Alou Diarra
Priorité de Didier Deschamps lors de l'intersaison, Alou Diarra ne crève pourtant pas l'écran depuis son arrivée à l'OM. L'ancien Bordelais, qui restait sur une saison très terne, enchaîne les prestations sans relief. A Gerland, et alors que son entraîneur lui avait toujours maintenu sa confiance, il a été logiquement sorti à la pause. Devenu un pilier des Bleus, Alou Diarra est aujourd'hui une énigme.

Diarra : "Il faut enchaîner en Ligue 1" mercredi 28 septembre 2011 à 22H48


Au micro de Canal+, le milieu de terrain Alou Diarra a exprimé sa joie de s'être imposé contre Dortmund : "Ce n'était pas facile, surtout face à une telle opposition ! Le champion d'Allemagne contre qui on gagne 3-0, c'est très positif. J'espère que ça va nous donner confiance." Et d'ajouter : "Il faut enchaîner en Ligue 1 et faire une série pour installer un climat de confiance

LES REMPLACANTS COMMENCEZ A VOUS CHAUFFEZ

HILTON CISSE ABRIEL HEINZE

MAIS FLUTE Y A PLUS DE REMPLACANTS ...ILS SONT TOUS PARTIS

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Et que dire d'Alou Diarra ? La sentinelle marseillaise a sans doute livré son plus mauvais match sous les couleurs olympiennes

Laurent Blanc évoque le cas Alou Diarra
mardi 04 octobre 2011 à 08H03


Hier, Laurent Blanc est revenu, sur le site de la Fédération française, sur la forme actuelle d'Alou Diarra. "J'aimerais qu'il soit beaucoup plus performant, il serait mieux psychologiquement, mais cela fait partie des aléas d'une saison. J'espère qu'il va s'améliorer, qu'il va retrouver un certain niveau et que son club en profitera et indirectement l'équipe de France", a assuré le sélectionneur qui a confié à plusieurs reprises le brassard de capitaine à Alou Diarra, qu'il a bien connu à Bordeaux. Pas sûr que ce soit encore le cas vendredi...

Le 07/10/2011 Les décisions de la commission de discipline
Ligue 1
Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 2, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis :
Alou Diarra (Marseille)

Souleymane Diawara (défenseur de Marseille) : «Ce qui a changé, c'est qu'on gagne, cet OM gagne. On va aller à Arsenal sans esprit revanchard mais pour prendre un maximum de points. Je suis content pour Alou Diarra. C'est mon pote, mon frère.»

Diarra relève la tête
Marseille. Il a inscrit le but de la victoire à Dijon, samedi.
Très décevant depuis son arrivée, chahuté et moqué par le public marseillais, Alou Diarra a enfin connu un début de rédemption samedi à Dijon en inscrivant le but de la victoire (3-2) de l'OM, où son statut est passé en trois mois de recrue star à remplaçant. Entré en jeu 20 minutes plus tôt, Diarra a inscrit son premier but sous le maillot marseillais, reprenant de la tête un coup franc excentré de Valbuena (82e).

Depuis son arrivée cet été, l'ancien Bordelais, convoité depuis longtemps par Didier Deschamps, est en effet très loin de répondre aux attentes liées à son statut d'international expérimenté (36 sélections).

Embauché pour apporter sa solidité, son calme et son impact physique au milieu de terrain olympien, il a enchaîné les prestations fades, voire franchement ratées, au point d'exaspérer le stade Vélodrome...

« Quand ça ne va pas dans un grand club, certains sont plus montrés du doigt. On dit que j'en défends certains, Diarra, Lucho… Mais c'est mon boulot », a répété Deschamps après la victoire in extremis des siens samedi. « Il a eu des problèmes physiques au dos, qui sont en train de se régler », a-t-il ajouté.

Le soutien de Diawara
Outre son but, l'ancien Bordelais a été précieux au milieu de terrain, qu'il a contribué à stabiliser alors que sur la mauvaise pelouse du stade Gaston-Gérard, les Marseillais commençaient à tanguer dangereusement face à des Dijonnais revenus de 2-0 à 2-2.

Suffisant pour retrouver sa place dans l'équipe de départ ? Il serait surprenant que Deschamps se passe de son expérience demain à Londres contre Arsenal et l'on peut penser qu'il y a des places à prendre dans le tout nouveau 4-4-2 marseillais, où rien ne semble définitivement calé au milieu. Mais Kaboré a marqué des points et le retour imminent de Mbia va accentuer la concurrence aux postes défensifs.

Diarra n'a pourtant pas le choix et il est obligé d'être bon, car ses difficultés à l'OM ont trouvé une résonance en Bleu, où il n'est plus du tout intouchable, malgré l'estime du sélectionneur Laurent Blanc, qui en a régulièrement fait son capitaine.

L'ancien Bordelais peut en tout cas compter sur un soutien indéfectible, celui de Souleymane Diawara, qui a parlé de lui samedi comme de son « frère ».

« Quand je suis arrivé à Bordeaux, ce n'était pas facile au début et il m'a encouragé. Ici, j'ai fait pareil, a-t-il expliqué. Je lui ai dit de continuer à bosser, que ça allait payer ». Réponse dans les prochaines semaines.

03/11/2011 - 15:00
Equipe de France Diarra, "un joueur important" pour Blanc
Laurent Blanc a justifié son choix de sélectionner Alou Diarra, pourtant peu en vue en ce début de saison, pour les deux rencontres à venir face à la Belgique et aux Etats-Unis, les 11 et 15 novembre: "Il est en progrès, il va profiter de l’amélioration du jeu collectif (ndlr: de l'Olympique de Marseille). Il est sur la bonne voie, je connais l’homme, je sais ce dont il est capable. C’est un joueur important, notamment en dehors du terrain. Dans le groupe, c'est quelqu'un qui fait l’unanimité, qui est juste et droit, sur qui on peut compter lors de déplacements difficiles. Quand il faut aller au combat, vous pouvez y aller avec lui les yeux fermés." . Le milieu de terrain marseillais compte 36 sélections avec l'équipe de France et a été le joueur le plus souvent désigné capitaine par Laurent Blanc depuis sa prise de fonction.

Diarra n'avait pas envie
Le 08/11/2011 à 17:40 | Mis à jour le 08/11/2011 à 23:26

Alou Diarra est apparu particulièrement irrité devant la presse, mardi après-midi. Le milieu marseillais se serait visiblement passé de ce rendez-vous médiatique.


Alou Diarra assure venir «avec plaisir» chez les Bleus. Cela ne s'est pas vu, mardi...
On a connu joueur plus épanoui que ne l'est actuellement Alou Diarra. Muet depuis quelques semaines sur les critiques dont il est l'objet en club comme en sélection, le milieu de terrain de l'OM a expédié en à peine huit minutes son rendez-vous devant la presse, mardi après-midi. Visage fermé, regard exaspéré à chaque question relative de près ou de loin à sa situation, l'ancien Bordelais a dévoilé un agacement palpable que l'on n'a pas manqué de lui faire remarquer. « Parce que je devrais venir avec le sourire ? », a-t-il interrogé. « D'habitude, tu l'as », lui a fait remarquer un confrère. Réponse cinglante de l'intéressé : « Là, tu mens. Je ne suis pas quelqu'un qui aime parler. Après, je fais le métier... »

«Heureusement qu'il y a des gens qui connaissent très bien le ballon et qui n'oublient pas tout du jour au lendemain.»
L'avertissement lancé par l'attaché de presse des Bleus, Philippe Tournon, en préambule (« Alou est là pour parler de l'équipe de France ») était donc à prendre à la lettre. Mais même sur les Bleus, Diarra a éprouvé un mal fou à jouer le jeu. Apprécie-t-il le soutien du sélectionneur, qui lui a maintenu sa confiance pour ces deux rendez-vous ? « Ah oui, parce que je suis là grâce au sélectionneur... Heureusement qu'il y a des gens qui connaissent très bien le ballon et qui n'oublient pas tout du jour au lendemain ». Pense-t-il encore au capitanat ? « Mais pourquoi vous ne posez pas la question aux bonnes personnes ? , s'est-il énervé. Il y a quelqu'un qui est là (Laurent Blanc), qui décide de tout. C'est lui qui gère le timing ».

Pas franchement causant, Diarra était « là parce [qu'il] devait être là ». Sous-entendu, pas forcément par choix. Même si cela ne s'est pas ressenti, il a toutefois assuré revenir « avec plaisir » en sélection. « Même pour des matches amicaux ». Qu'a-t-on appris de son passage express devant les micros ? Qu'il avait déjà eu l'occasion de regarder quelques matches des USA à la télé et qu'il ne faudrait pas « sous-estimer » cet adversaire. Qu'il était également important de « ne pas lâcher la pression » pour entretenir la dynamique positive des Bleus ou encore que l'état de forme actuel de Karim Benzema était « une grande chance » pour l'équipe de France... Après une dernière question sur son état d'esprit actuel, Diarra a finalement tourné les talons. « Sinon, je vais commencer à raconter ma vie... »

Diarra retrouve la lumière
04-11-2011 Après une cure de banc de touche, l’international a disputé l’intégralité du match face à Arsenal où il a montré des progrès après son entrée en jeu victorieuse à Dijon.

En cette période où traditionnellement celle où l’on célèbre les disparus, Halloween chez les Anglo-saxons le 31 octobre, les défunts le 2 novembre en France, l’heure est plus à la résurrection côté olympien. Résurrection collective avec une série qui a permis de sortir la tête de l’eau en championnat. Résurrection individuelle en ce qui concerne un joueur : Alou Diarra.
Depuis son arrivée à l’OM, l’attente était grande vis à vis de l’ancien bordelais. Priorité absolue de Didier Deschamps depuis qu’il est aux commandes du club, il a mis un temps fou à justifier l’insistance de l’entraîneur marseillais. A l’image d’autres éléments, il a même donné le sentiment d’avoir la tête ailleurs. De ne plus être ce métronome qui lui avait permis d’être la pierre angulaire du système de Laurent Blanc chez les Girondins. Parmi les hommes – liges, il a d’ailleurs été le premier que Didier Deschamps a envoyé sur le banc de touche.
Alou Diarra semblait s’être adapté au moule provençal. Ses prestations lors des rencontres de préparation, si elles ne furent pas phénoménales, montraient un joueur bien dans sa peau, avec une bonne entente avec ses compagnons du milieu de terrain. Elles laissaient présager de bonnes choses. Malheureusement, dès que les choses sérieuses ont débuté, il a eu du mal à passer la vitesse supérieure. Face aux tourmentes qu’il a dû traverser, il aurait même pu perdre pied totalement. Didier Deschamps lui a imposé une cure de banc de touche. Une situation qu’il n'a pas vécue comme une sanction. Elle lui a permis de trouver un nouveau souffle, pour revenir plus fort.


Dans cette adversité, il a toujours bénéficié de la confiance de son entraîneur. Et de l’appui de son ami, Souleymane Diawara. En s’appuyant sur ces deux piliers, Alou Diarra a pu éviter d’être emporté par la vague. Les petites phrases distillées par Didier Deschamps,
« j’ai besoin de tout le monde », « je ne veux pas perdre certains en chemin » et la compréhension de son ami, mais aussi de ceux qui, à l’image de Steve Mandanda ou Loïc Rémy, le côtoient en équipe de France, l’ont aidé à supporter une situation pas facile à vivre.
A l’image de l’OM, Alou Diarra a fait le dos rond. En fuyant les micros, alors qu’il était un des seuls à prendre la parole les soirs de contre-performances (qui furent nombreuses en septembre), il a d’abord constitué une bulle de silence dans laquelle il s’est recroquevillé. Pris en grippe par le public du Vélodrome, il a là aussi serré les dents. C’est à la Commanderie qu’il a trouvé refuge. Dans cet espace, il a travaillé, comme un débutant, pour retrouver la confiance. Les passages sur le banc de touche, ainsi qu’un match de suspension à Toulouse, ont fini de forger sa soif de revanche.
En étant décisif à Dijon, où il est entré en jeu, Alou Diarra a envoyé un premier signal à Didier Deschamps. Son but a eu des bénéfices pour tout le monde. Mais c’est essentiellement pour lui que les effets thérapeutiques ont été les meilleurs. Dans la foulée, sa prestation à l’Emirates, où il était titulaire, a montré qu’il était sur la bonne voie. Ses interventions ont été plus franches. Il a mordu dans les ballons à sa portée et a été un des hommes forts de la soirée londonienne. Comme son équipe, il est en net progrès. Comme son équipe, on attend d’Alou Diarra une confirmation sur le long terme.
Et il est à souhaiter que son attitude serve de modèles à d’autres.

article completé sur alou en EDF

11/11/11 10:01
Les 1ers internationaux en lice ce vendredi
Six Olympiens sont appelés en sélections nationales durant cette trêve internationale.
France
Steve Mandanda, Alou Diarra et Loïc Remy et l’équipe de France disputent deux rencontres amicales au Stade de France. Le 11 novembre, ils seront opposés aux Etats-Unis puis le 15 novembre, ils joueront contre la Belgique.