LOLO BLANC, ANCIEN ENTRAINEUR DE L'EDF

TENEZ MON FILS
PRENEZ CETTE HOSTIE ET ECOUTEZ RELIGIEUSEMENT
NOTRE FRERE BLANC


Le sélectionneur de l'équipe de France, Laurent Blanc, a fait le bilan de ses premiers mois à la tête des Bleus, mardi dans un entretien avec l'AFP. Selon lui, la reconstruction est en marche.


Comment jugez-vous votre bilan après trois mois et demi passés à la tête des Bleus ?
Si on se réfère uniquement au classement, neuf points en quatre matches, c'est bien. Mais on aurait pu avoir plus de points. On a ce grand regret de ne pas avoir pris au moins un point à domicile contre la Belarus (0-1). On le méritait, même si on n'a pas fait un grand match ce soir-là. Donc, globalement, on est satisfait. Après l'Afrique du Sud, le scepticisme était à son apogée. Dans ces locaux (à la FFF, ndlr), on se demandait même comment emmener au moins 35 ou 45 000 personnes au Stade de France. Puis petit à petit, le match en Norvège, avec de nouveaux joueurs, a fait son effet et a démontré qu'il y avait de la qualité, et les gens se sont de nouveau intéressés à l'équipe de France malgré leur dégoût. La victoire en Bosnie a ensuite été un déclic. Mais il y a du travail, on est en phase de construction et ça prendra du temps.

Estimez-vous être sur la bonne voie ?
On est sur une voie. Est-ce qu'on a des garanties ? Je n'irai pas jusque-là mais il se dessine quelque chose, il y a des prémices.

Le traumatisme de Knysna est en train d'être évacué ?
Tout le monde l'a mal vécu, mais ça reste beaucoup plus présent pour ceux qui y étaient et ils auront du mal à l'évacuer définitivement. Mais pour ceux qui ne l'ont pas vécu, si on arrive à écrire une page plus positive, ils passeront à autre chose assez rapidement. Mais moi, Knysna, je n'en parle plus et les joueurs n'en parlent pas non plus. Ceux qui en parlent le plus, ce sont les médias.

La constitution d'un noyau dur a-t-elle également avancé ?
Il va falloir être patient. Mais il y a une ligne directrice à avoir. Si à chaque rassemblement, vous rappelez des gens différents, comment voulez-vous construire une ossature ? Cela me paraît impossible. On essaye de trouver le noyau dur dans ce groupe-là. Il y a des signes, mais ce n'est pas définitif.

Quel sera le délai imparti?
On y verra plus clair à la fin de la saison (juin 2011, ndlr).

«Ce n'est pas le paradis mais on sent qu'il y a du mieux»
Dans quels secteurs avez-vous le plus avancé dans votre réflexion ?
Chez les gardiens de buts, on a des garanties, trois gardiens d'un très bon niveau. On a des jeunes derrière, plus des gardiens qui évoluent à l'étranger (NDLR: notamment Frey, à la Fiorentina). Mais dans d'autres secteurs, on travaille encore.

Notamment en défense ?
Ce sont des joueurs qui s'affirment mais il faut du temps. Il faut de la complémentarité et se connaître. Là, ça fait trois matches que l'on ne prend pas de but. Ce n'est pas le paradis mais on sent qu'il y a du mieux, que les joueurs sont attentifs et apprennent à se connaître. Pourquoi penser que ça n'ira pas mieux ?

Les matches amicaux seront-ils l'occasion de faire des essais?
Je cherche une ossature, je ne vais pas tout chambouler. Je suis assez pragmatique comme garçon. Après, s'il y a des joueurs qui explosent en un mois, comme Dimitri (Payet, ndlr), ce n'est pas impossible mais on ne peut pas le faire sur quatre-cinq-six joueurs. C'est impossible.»

Du monde dans
la "corbeille

L’affiche réunit traditionnellement
nombre de personnalités.
Hier soir, outre des célébrités
du show biz



le sélectionneur
de l’équipe de France, Laurent
Blanc et son ancien partenaire
en bleu, Fabien Barthez,
avaient ainsi pris place
dans la tribune présidentielle
du Parc des Princes.

:Dvivent ils ensembles comme un vrai couple ?

banjo a écrit: :Dvivent ils ensembles comme un vrai couple ?

bien sur que non



Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a assuré mercredi qu'il alignerait contre l'Angleterre le 17 novembre, à Wembley, «la meilleure équipe possible avec ceux qui nous donnent le plus de garanties depuis le mois d'août», signe d'une grande stabilité du onze de départ.


«Pourquoi avoir appelé Alou Diarra, qui n'a plus joué depuis le 16 octobre ?
Son geste est grave et la punition (suspension jusqu'au 27 novembre, ndlr) est juste, il doit l'assumer mais j'avais la possibilité de le prendre. J'estime que depuis le début de l'aventure, de ma prise de fonctions, c'est un joueur important sur et en dehors des terrains. Je me suis permis de l'appeler, même s'il n'est pas dans les meilleures dispositions techniques, pour qu'il continue à occuper son rôle en dehors du terrain.

Sera-t-il le capitaine définitif ?
Il a beaucoup d'atouts pour occuper ce poste. Il est respecté par tout le monde, il s'affirme de plus en plus en dehors du terrain mais cela ne changera pas la volonté de changer de capitaine d'ici la fin des éliminatoires à la fin de la saison.

Mamadou Sakho jouera-t-il?
On est très satisfait de son comportement lors des entraînements. Cela peut être contre l'Angleterre, le Brésil ou après. On est en construction, j'aimerais voir cette équipe de France contre de bonnes équipes, donc on va mettre la meilleure équipe possible avec ceux qui nous donnent le plus de garanties depuis le mois d'août.
«Benzema est incontournable»L'absence d'Abou Diaby est-elle préjudiciable ?
Très préjudiciable. De bons joueurs absents, c'est toujours préjudiciable pour la qualité de l'équipe. C'est préjudiciable surtout pour lui et son club, car c'est un garçon pétri de qualités. Il a un gros souci avec des blessures à répétition et une cheville meurtrie. Cela nous a gênés de ne pas pouvoir compter sur lui: depuis le Bélarus, c'est quelqu'un qui nous amené beaucoup de satisfaction.

Comment jugez-vous le travail de Karim Benzema ?
Son temps de jeu n'a pas augmenté. Je l'ai vu jouer contre Milan, il a fait une bonne rentrée mais 10-15 minutes, c'est trop peu. On sait qu'il n'a pas la capacité de jouer un match en entier. Si on avait beaucoup de concurrence à son poste, ça jouerait certainement en sa défaveur. Mais quand je regarde la liste des joueurs sélectionnés et des joueurs possibles, quand je fais le total des sélections et des buts en équipe de France, on se rend compte que Benzema est incontournable.

A quoi servent ces matches amicaux ?
Ce sont deux adversaires de renom, deux matches de prestige, et j'espère qu'ils permettront de progresser dans le jeu, et à certains éléments de démontrer qu'ils sont devenus des éléments incontournables de l'équipe de France. Même si ce sont des adversaires de prestige, il n'y a pas ce goût de la compétition. Que ce soit avant ou après ces matches, on sera toujours en période de construction, qui va durer énormément, surtout quand on a des jeunes joueurs, surtout dans le domaine offensif. L'Angleterre et le Brésil sont très en avance sur nous, en termes individuel et collectif.

Cela vous rappelle le France-Angleterre de septembre 2000, votre dernière sélection...
Ce sont toujours des matches excitants à jouer, de par l'amour qu'ont les deux pays l'un pour l'autre... Pour nous Français, faire un bon résultat contre les Anglais, c'est particulier pour notre ego. Ce sera très difficile, les Anglais seront très motivés. La dernière confrontation à Wembley s'était soldée par une victoire de l'équipe de France sans appel 2-0.»

1 A 1
ENGLAND FRANCE MATCH NUL QUI ARRANGE TLM

Avant le match amical contre l'Angleterre, mercredi à Wembley, Laurent Blanc a confié ses impressions sur le groupe tricolore, composés de «bons joueurs», mais toujours en quête de «confiance».

«Vous aviez déclaré que le noyau de votre groupe n'était pas encore aussi fort que vous le souhaitiez. Est-ce toujours le cas?
J'ai dit qu'on n'avait pas de grands joueurs mais qu'on avait de bons joueurs, talentueux, qui tentent de devenir des joueurs importants dans de grands clubs étrangers. On est toujours à la recherche d'un noyau dur et j'espère que ces joueurs vont prendre une nouvelle dimension dans leurs clubs.

«Stabilité en défense»
Les dernières prestations, médiocres, de Malouda en équipe de France et à Chelsea vous inquiètent-elles?
Pas particulièrement, même si j'aimerais le voir incontournable comme il l'a été en début de saison. Mais quand vous êtes à la recherche d'un noyau, que vous devez constituer un groupe, vous n'allez pas scruter les performances de tous les joueurs chaque samedi. A une certaine période, on ne se posait pas la question et il y avait 14 ou 15 joueurs qui étaient dans le groupe à chaque fois sans être forcément performants tous les week-ends. Les performances individuelles sont aussi liées aux performances des clubs. Il traverse une période difficile mais cela est dû à la mauvaise période de Chelsea.

Le retour d'Abidal et la convocation de Réveillère relancent-elles la concurrence chez les latéraux et allez-vous les faire jouer mercredi?
Pour l'instant, il y a de la concurrence qui s'est installée sur les côtés. A mon sens, c'est une très bonne chose mais pour avoir une bonne performance défensive, il faut de la stabilité. On fera peut-être des changements en défense, un voire deux, mais plus, ça me parait difficile. Une défense doit avoir des automatismes et on a très peu de temps pour ça. Abidal n'a pas évolué depuis un certain temps en équipe de France. Il lui faut encore un peu de temps donc des changements sur les côtés, cela me paraît difficile. D'autant plus que si Philippe (Mexès) devait déclarer forfait, on devrait le remplacer. Il y aurait alors un peu trop de changements pour la défense.

«Je préfère jouer contre de grosses équipes»

N'est-ce pas trop tôt pour affronter l'Angleterre et êtes-vous prêt à jouer ce genre de matches ?
Ce match était déjà engagé quand je suis arrivé. Quitte à jouer des matches amicaux, je préfère jouer contre de grosses équipes. C'est mieux pour nous parce que, quel que soit le résultat, on sera en reconstruction après ce match. Mais j'espère que ces matches vont permettre à certains de marquer des points et de prendre confiance.

Que pensez-vous de la situation de Benzema au Real Madrid ?
Si vous me trouvez un autre buteur international qui marque énormément de buts et joue dans un grand club, je suis preneur. Ce n'est pas le cas. Karim n'est pas capable de tenir 90 minutes, mais pendant 50-60 minutes, il peut le faire. Je discute avec lui pour essayer qu'il soit meilleur sur le terrain et qu'il ait plus de temps de jeu au Real. Je peux le conseiller, j'aurais dû le conseiller avant d'ailleurs (sourire), mais je ne suis pas son conseiller.


«Les joueurs sont motivés pour l'équipe de France»
Quelle est la différence avec l'époque Domenech?
J'en sais rien, il faut demander aux joueurs. Je gère le groupe comme j'en ai l'habitude. Apparemment, les joueurs sont motivés pour jouer en équipe de France. C'est devenu une envie et une motivation dans leur carrière.

Connaissez-vous les nouveaux visages de l'Angleterre?
Oui, on a visionné l'équipe anglaise trois-quatre fois, on va le faire encore d'ici le match. On regarde beaucoup le championnat d'Angleterre en France, contrairement aux Anglais. Ils ont de jeunes joueurs talentueux, eux aussi sont dans une période de reconstruction. De toute façon, ce sera un match de prestige, il y a de l'engouement ici et tout match à Wembley est un grand rendez-vous.» (AFP

LOLO LOLO LOLO PLUS FORT QUE CAPELLOLLO




Face à l'Angleterre, mercredi à Wembley, le sélectionneur national attend un «signe fort» de la part de ses joueurs, qui auront beaucoup à prouver face à «l'équipe la plus relevée qu'on ait à affronter depuis août».

«Laurent Blanc, le match de mercredi est-il l'occasion de clôturer une année catastrophique ?
On peut voir les choses comme ça. On va essayer d'être performant, de gagner le match. Le problème, c'est que les Anglais aussi voudront le gagner. Il n'y a pas de pression du résultat, parce que ce n'est pas un match de compétition, mais ce sera un match de prestige, un match intéressant à jouer et surtout à gagner. Je préfère faire le bilan de la saison en cours plutôt que de l'année.

Qu'attendez-vous en terme de certitudes ?
Ce sera une opposition de qualité, l'équipe la plus relevée qu'on ait à affronter depuis août. Vous êtes beaucoup à attendre de voir ce que peut donner l'équipe de France face à l'Angleterre, je suis dans le même cas que vous. J'aimerais recevoir un signe fort de l'équipe, voir comment elle peut se tenir dans de telles circonstances. A travers le collectif, les performances individuelles seront analysées, et j'espère que des gens confirmeront tout le bien qu'on pense d'eux, et d'autres qu'ils pourront se révéler pour montrer à l'entraîneur qu'ils ont le niveau international.

«Se mesurer à l'Angleterre, c'est très intéressant»
Ferez-vous les six changements auxquels vous avez droit ?
Dans ces matches amicaux, on a un peu plus le choix de pouvoir voir certains joueurs, mais on ne va pas faire n'importe quoi. Il y a un fil rouge du match, son déroulement. On va voir les performances individuelles, et on n'est jamais à l'abri d'un fait de jeu, d'une blessure qui oblige à faire un changement. Même si on aimerait faire certaines choses, est-ce que le déroulement du match nous le permettra ? On ne le sait pas aujourd'hui.

Regrettez-vous que l'Angleterre soit amoindrie par les forfaits ?
Nous, on a pensé à l'équipe de France. Toutes les équipes nationales ont leur lot de problèmes, on n'y échappe pas, on a un joueur incertain pour demain (Mexès). Les Anglais sont meilleurs que nous au classement FIFA, ils font partie des dix meilleures équipes européennes, et se mesurer à eux, c'est très intéressant.

«L'équipe a progressé dans le collectif»
Avez-vous été surpris par l'Angleterre au Mondial ?
Je pensais que l'Angleterre avait les moyens d'aller plus loin dans cette Coupe du monde. Même si le match contre les Allemands a été difficile, il y a eu un fait de jeu en défaveur de l'Angleterre. Sans ça, je ne suis pas certain qu'ils ne seraient pas allés plus loin.

Dans quel domaine l'équipe de France a-t-elle le plus progressé depuis août ?
Elle a progressé dans le collectif, notamment dans le domaine défensif. On n'a aucune garantie pour l'instant, mais dans ce domaine-là, avec le temps, avec une meilleure connaissance de chacun, on arrive à être performant. Depuis trois matches, même s'il reste des choses à régler, on est satisfait. D'autres domaines peuvent être améliorés, l'attaque, le jeu offensif : on n'a pas encore l'efficacité qu'on devrait avoir. Les bonnes équipes, je ne dis pas les grandes équipes, sont avant tout assez hermétiques. Essayons de poursuivre notre performance défensive collective dans le même sens que les derniers matches.

LE MAILLOT DES BLEUS FAIT TOUJOURS REVER ...



Laurent Blanc au Cannet en images
Cannes - jeudi 02 décembre 2010

Le sélectionneur national, Laurent Blanc, accompagné de son adjoint Alain Boghossian, était en visite ce mercredi au Cannet-Rocheville pour rencontrer les jeunes et dirigeants du club.




Après avoir passé un long moment hier au club de foot de Rocheville, le sélectionneur des Bleus, Laurent Blanc, a été reçu par Michèle Tabarot, député-maire du Cannet, en présence, de gauche à droite, de Patrick Tambay, Alain Boghossian, Bruno Bellone et Christian Lopez.





Une des nombreuses photos de famille prise tout au long de la journée en compagnie des jeunes footballeurs de l’ES Cannet-Rocheville et de Laurent Blanc

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16 décembre 2010
«Sur une dynamique positive»
Laurent Blanc a profité des Etoiles du Sport pour dresser un bilan de ses premiers mois à la tête des Bleus. Il cherche toujours son leader.




Laurent Blanc devant la presse.
Laurent Blanc a profité des Etoiles du Sport pour dresser un bilan de ses premiers mois à la tête des Bleus. Il cherche toujours de la confiance, un joueur d'exception et un leader.

«Laurent Blanc, quel premier bilan dressez-vous de vos premiers mois à la tête des Bleus?
C'est un peu tôt pour faire un bilan. La défaite contre la Biélorussie qui n'était pas méritée, a permis de rebondir et d'aller gagner en Bosnie. Cette victoire nous a redonné beaucoup de confiance et depuis lors, on est sur une dynamique positive. On reste sur quatre victoires. Malheureusement, on ne reprendra la compétition qu'en mars, on a disputé deux matches amicaux de prestige mais qui rapportent zéro point dans les éliminatoires. Mais il faut essayer de bien les préparer et de les gagner pour avoir de la confiance supplémentaire.

La confiance est une donnée capitale?
Si on veut repartir et être compétitif, ce qu'on n'est pas actuellement par rapport aux meilleures équipes mondiales, l'équipe a besoin de confiance. Ce sont des jeunes joueurs et des joueurs qui ont connu un réel traumatisme en juin. Lors de ces deux prochaines années, il faut accumuler beaucoup de confiance et j'espère que deux ou trois joueurs vont s'affirmer comme joueurs d'exception dans un grand club français ou étranger. Cela pourrait nous aider.

Quels sont les joueurs traumatisés?
Ce sont surtout les joueurs qui évoluent en France. Vous y êtes un peu pour quelque chose. En France, cela a été le sujet numéro 1 des vacances d'été. A juste titre ou pas. Mais les joueurs étrangers ont bénéficié de plus de facilités pour surmonter ce qui s'était passé en Afrique du Sud. Quand vous jouez à Arsenal ou Barcelone, on ne parle plus de ça.

Yoann Gourcuff peut-il être le joueur d'exception?
Lui et d'autres. Les joueurs du milieu sont des joueurs importants car ils font bien jouer l'équipe. Dans les générations précédentes, tous les joueurs d'exception, Platini ou Zidane, occupaient le même poste. Ils sont en mesure de vous faire gagner et de faire bien jouer l'équipe. N'oublions que nos joueurs sont encore très jeunes. A 22-23 ans, Zidane et Platini n'avaient pas fait tout ce qu'ils ont accompli dans le foot. On est exigeants avec ces jeunes joueurs, mais il ne faut pas oublier leur marge de progression.

Ce leader peut être le capitaine. Avez-vous pris votre décision sur le capitanat?
Non. On prendra du temps. Apparemment, ce n'est pas gênant de changer de capitaine. L'important est de gagner des matches. Certains joueurs s'affirment dans ce rôle-là. On fera un choix, mais je juge que ce n'est pas très important pour l'instant. Il faudra en désigner un à la fin de la première saison des éliminatoires. Trouver un capitaine, c'est facile. Trouver un bon capitaine, ce n'est pas si facile. Il faut un peu de temps.

ÉQUIPE DE FRANCE
Blanc : "Lloris est le N.1" Présent à La Plagne, où il est invité aux Étoiles
du Sport, Laurent Blanc a tenu à préciser
sa pensée concernant la hiérarchie des
gardiens de but. Et pour cause : le sélectionneur
des Bleus a désigné Steve Mandanda
comme meilleur gardien français lors de sa
contribution à l'élection du meilleur joueur
tricolore 2010 de France Football, paru
hier. "Steve a été champion de France avec
l'OM et il a permis à Marseille de gagner ce
titre. Il a réalisé de belles performances en ramenant des points décisifs.
Ce vote récompense sa saison, explique le "Président" à 3 jours du choc
OM-OL. Cela n'a rien à voir avec le classement des gardiens de l'équipe de
France. Lloris est le numéro un. C'est clair, net et précis."
En tout cas, le patron des Bleus en saura davantage encore sur le niveau
de forme de ses deux gardiens lors d’OM-OL, un match au cours duquel ils
seront supervisés par son adjoint Jean-Louis Gasset, présent au Vélodrome,
dimanche.

"Il existe encore un traumatisme"
RENCONTRE Laurent Blanc évoque pour nous ses six premiers mois à la tête de Bleus toujours marqués par le fiasco

Il fait du bon boulot je trouve !

BIEN SUR
IL EST INTELLIGENT
RESPECTUEUX ET RESPECTE

c'est un grand monsieur du foot francais
pas comme ce clochard de domench

je sais pas si la france gagnera la coupe du monde 2014
mais on va etre moins ridicule qie les 6 ans avec dommenech le farceur

Exact ! Un bon quart de finale de l'Euro 2012 serait deja très bien !

olympien13 a écrit:Exact ! Un bon quart de finale de l'Euro 2012 serait deja très bien !

OUI CE SERAIT UNEXCELLENT 1 ER RESULTAT POUR LUI
DEJA SE QUALIFIER ET ENSUITE CELA

Oui et puis ce que j'apprécie chez lui, c'est qu'il a l'intention de proposer du jeu, ce qui n'était pas le cas avant avec "l'autre clando" comme on dit à Marseille mdr. Et puis il appelle de nouveaux joueurs et n'exclut pas d'en rappeler c'est bien .

meme anelka il le rappelera s'il le soug haite pour l'euro 2012

BONNE ANNEE LOLO ET MERCI

● Les Bleus pour le Brésil connus le 3 février. C’est le jeudi 3 février, à
14 heures, que Laurent Blanc dévoilera sa première sélection de l’année,
pour le prestigieux match amical face au Brésil (9 février au Stade
de France). La rencontre se disputera d’ores et déjà à guichets fermés.

17 janvier 2011
Blanc n'oublie pas Ribéry
Le sélectionneur des Bleus va suivre de près l'évolution de la blessure de Franck Ribéry avant de prendre une décision en vue de France-Brésil.

En marge de la conférence de presse de présentation du nouveau maillot de l'équipe de France, le sélectionneur Laurent Blanc a évoqué le cas de Franck Ribéry, blessé ce week-end en Championnat, en vue du match amical contre le Brésil. «Il faut voir l'évolution de sa blessure et quand il reprendra avec son club (Bayern Munich). On fera après un choix cohérent vis-à-vis de Franck», a expliqué le sélectionneur. «J'ai des nouvelles. Elles sont plus rassurantes que celles que l'on avait annoncées au moment de la blessure. On va voir comment elle va évoluer. J'espère que le diagnostic effectué dimanche va être le bon, à savoir une semaine de repos avant une reprise en douceur sur le terrain.»Le sélectionneur tricolore est brièvement revenu sur l'année difficile du milieu de terrain du Bayern, qui n'a toujours pas retrouvé l'équipe de France depuis le fiasco de la Coupe du monde 2010 : «La chose principale pour lui, c'est qu'il retrouve son intégrité physique. L'année 2010 a été très dure pour lui, au niveau footballistique et au niveau privé. Il avait hâte de recommencer une année nouvelle, or il s'avère qu'il reprend par une blessure. Ce n'est pas la meilleure manière de réattaquer une saison mais il faut faire avec.»

BLEUS LA SÉLECTION POUR FRANCE-BRÉSIL DÉVOILÉE À 14H
Laurent Blanc et le casse-tête Evra
Patrice Evra de retour chez
les Bleus ?

Les fantômes de Knysna n’ont
toujours pas été chassés. Ils ressurgissent
même à la moindre
occasion, venant hanter les réflexions
de Laurent Blanc lorsque
se profile la plus insignifiante
des échéances internationales.
France - Brésil ; l’affiche de ce
match amical a pourtant de l’allure.
Et quand elle a pour cadre
le Stade de France, elle ravive forcément
une flopée de souvenirs
surgie d’un autre temps. Presque
d’outre-tombe.
Mais à moins d’une semaine
du coup d’envoi de cette rencontre
de gala (mercredi 9 février),
c’est encore et toujours Knysna
qui occupe les esprits, reléguant
bien loin dans les têtes les coups
de boule légendaires de Zizou.
Knysna et ses mutins. Knysna
et ses bannis. Encore et toujours
eux. En dehors de Nicolas Anelka,
tous ont purgé leur sentence.
Mais un seul focalise l’attention
: Patrice Evra.
Car si Jérémy Toulalan peine à
surmonter le cauchemar
sud-africain, si Franck Ribéry ne
parvient pas à sortir de l’infirmerie
du Bayern Munich, le capitaine
de la désastreuse campagne
estivale est désormais sélectionnable.
Un état de fait que n’a pas
manqué de remarquer Chantal
Jouanno, la ministre des Sports :
"Il n’a pas défendu les valeurs du
sport qui sont celles, aussi, de la
République. Je suis certaine qu’il
y a d’autres talents en France qui
attendent qu’on leur donne leur
chance pour écrire une nouvelle
histoire". Le message est clair :
non au retour du Mancunien
chez les Bleus.
Une ingérence qui dérange
Laurent Blanc. "Elle a le droit de
dire ce qu’elle pense. Pour ma
part, je me sens tout à fait libre
de mes choix,maréponse sera faite
jeudi au moment de publier
ma liste."
Alors Evra, le come-back? Pas
si évident que ça. Car avec Éric
Abidal, titulaire indiscutable sur
le flanc gauche de la défense du
Barça, et Gaël Clichy, le sélectionneur
des Bleus a des choix
sportifs à faire valoir. Autant dire
que si le nom d’Evra figure
aujourd’hui dans sa liste, c’est
davantage d’un message fort
dont il s’agira qu’un choix purement
sportif.
Mais ce n’est pas le seul casse-
tête auquel est confronté le
Cévennol. Entre les blessures de
Nasri et de Valbuena, la méforme
chronique de Yoann Gourcuff
et les états d’âme de Dimitri
Payet, le secteur offensif suscite
de nombreuses interrogations.
Cela pourrait profiter à Jérémy
Ménez, Yohan Cabaye, voire aux
Parisiens Guillaume Hoarau et
Clément Chantôme. Côté olympien,
si Steve Mandanda semble
incontournable, Loïc Rémy, Rod
Fanni et André-Pierre Gignac espèrent
prendre part au prestigieux
rendez-vous.
S.A.
Annonce de la sélection en direct à partir de 14h.
BLEUS LA SÉLECTION POUR FRANCE-BRÉSIL DÉVOILÉE À 14H

ALLEZ NOS BLEUS


Blanc : «Être à la hauteur»
Mercredi prochain, les Bleus se frotteront au Brésil,
«l'une des deux meilleures équipes au monde», dixit Laurent Blanc.

Laurent Blanc estime que le match contre le Brésil sera une préparation parfaite pour la rencontre contre le Luxembourg.

«Laurent Blanc, comment avez-vous vécu cette longue pause internationale ?
Mieux que si nos derniers résultats nous avaient été défavorables (sourires). Ça a été période longue, très longue, trop longue. Je l'ai déjà dit, je me répète, mais le calendrier international est incohérent. J'ai regardé le mois de février. La Ligue des champions et les télés vont se régaler... Est-ce qu'il y aura une harmonie un jour ? J'espère.... En tout cas, ça me fait plaisir de vous retrouver. Pourquoi ? Parce que ça annonce un match. De retrouver les joueurs sur terrain gazonné, c'est ce qu'un sélectionneur recherche avant tout.

Doit-on se présenter ce France-Brésil comme un match de gala ou bien comme un match de préparation au Luxembourg-France du mois de mars ?
Les deux. J'aurai l'occasion de le dire aux joueurs, mais on n'a pas tant l'occasion que ça de jouer le Brésil dans une carrière. En général, c'est surtout pendant les phases finales de la Coupe du monde. A mon sens, c'est l'une des deux meilleures équipes au monde. Ça sera difficile, ils ont une multitude de bons joueurs... Je les ai regardés contre l'Argentine. Ils ont été très bons même s'ils ont perdu sur un exploit de Messi. Bien que ça vous fasse rigoler, c'est une bonne préparation dans la perspective du Luxembourg. Ça peut augmenter notre capital confiance sur le plan individuel et collectif. Encore faut-il qu'on soit à la hauteur...

L'année dernière, à la même époque, le match amical contre l'Espagne avait viré à la catastrophe...
Se mesurer à ce qui se fait de mieux, c'est à mon sens le meilleur moyen de progresser. On aurait pu jouer contre des Nations plus loin au classement FIFA, mais après vous nous auriez reprocher de faire des résultats contre ces équipes-là... Vous le savez, notre philosophie, c'est d'avoir le ballon, le Brésil aussi, et en général, quand il l'a, il ne le lâche pas. Ça va nous permettre de nous jauger. Ce que je regrette simplement, c'est qu'il n'y aura quasiment pas de préparation. J'aurais aimé avoir plus de temps...»

C "EST LA QU" IL A SU QU" IL DEVIENDRAIT LE COACH DE L"EDF
Blanc raconte son 12 juillet 1998
Expulsé face à la Croatie, Laurent Blanc ne jouera pas la finale de la Coupe du monde 1998. Mais il en sera acteur. l'actuel sélectionneur des Bleus
raconte ces quatre jours qui vont asseoir sa stature de «Président».
Extraits.

«Ça va être vite fait : je ne l'ai pas joué. Voilà. Alors, au revoir !» Oui, Laurent Blanc, expulsé en demi-finales face à la Croatie (2-1), n'a pas disputé la finale de la Coupe du monde 1998 contre le Brésil (3-0). Cela reste une vraie blessure. Mais le libéro a joué un rôle dans la préparation du sacre mondial des Bleus.
«A un moment donné, et le plus rapidement, il faut se dire qu'il n'y a pas de retour en arrière possible, et, donc, il faut se rendre utile à l'équipe, explique l'actuel sélectionneur des Bleus.

C'est ce que j'ai fait toute la journée du 12 juillet, et avant (...). J'ai eu les nerfs de ne pas jouer la finale, mais je me suis projeté dans ce match, malgré tout. Dans un autre rôle, que je me suis inventé.....
MERCI LOLO

IL A RAISON QD IL DIT QUE L 'EDF N' EST PAS IMPORTANTE
EN FRANCE POUR LES INSTITUTIONS
SEULEMENT 2 JOURS DE PREPA
LA ON VOIT LOLO PENDANT 3 JOURS DE CONFERENCES
PUIS ENCORE JEUDI LE DEBRIEF ..

ET PUIS VENDREDI
CA PART AUX OUBLIETTES ..

ALORS QU' AU BRESIL

MAIS LAISSONS LE DIRE


Blanc : «Prendre des risques»
Laurent Blanc sait que France-Brésil offrira une vraie bataille pour la maîtrise du jeu. Il encourage ses joueurs «à croire en leurs qualités».




Le sélectionneur français estime que «le Brésil est LA nation du football».
Laurent Blanc sait que France-Brésil, mercredi, offrira une vraie bataille pour la maîtrise du jeu. Il encourage ses joueurs «à croire en leurs qualités».

«Laurent Blanc, un France- Brésil au Stade de France, c'est émotionnellement très fort non ?
Il y a des souvenirs qui remontent à la surface. Mais tous les France-Brésil sont des matches particuliers. Ceux qui en ont joué s'en souviennent toute leur vie. Le Brésil, c'est LA nation du foot. Alors quand on a la chance de les rencontrer et de les battre... Après, en ce qui concerne l'émotionnel, je ne vois que le lieu. Depuis 1998, les équipes ont bien changé, les sélectionneurs ne sont plus les mêmes... Une fois le coup d'envoi donné, le match prendra le dessus.

Êtes-vous d'accord si on dresse un parallèle entre la France et le Brésil, deux équipes en reconstruction ?
J'ai entendu : ?'Le Brésil, on ne sait pas ce que ça va donner...'' D'accord, ils ont de beaucoup de jeunes joueurs, mais les trois quarts, on les connaît quand même très bien. L'un joue à l'Inter, les autres à Barcelone, l'Inter, Chelsea ou l'AC Milan... Contrairement à nous, ils ont la possibilité de construire avec les meilleurs. On n'en est pas encore là.



Que pensez-vous de cette nouvelle génération ?
Au Brésil, chaque décennie, ils sortent une génération extraordinaire. Ce n'est pas pour rien qu'ils ont cinq étoiles sur le maillot. Quand je dis que c'est LA terre du football, c'est parce qu'il y a énormément de très très bons joueurs là-bas. Je ne me fais pas de souci pour le Brésil. Il restera dans le gotha mondial.

Qu'attendez-vous de vos joueurs mercredi ?
On a la même philosophie de jeu que la Brésil. Après, est-ce qu'on aura la possibilité de la mettre en pratique ? Les Brésiliens n'aiment pas défendre et courir après le ballon. Ça se comprend parce que ce sont des artistes dans l'âme. A nous de nous montrer très bons techniquement, et de ne pas se contenter de notre maîtrise, si on l'a. Il faudra aussi prendre des risques pour se montrer dangereux dans les trente derniers mètres. Les joueurs doivent croire en leurs qualités.

La maîtrise du jeu passera-t-elle par un milieu de terrain renforcé ?
Quand vous renforcez votre milieu de terrain, ce n'est pas dit que derrière, vous ayez le ballon. Ce n'est pas une vérité. On joue à Paris, à domicile. Vous ne comprendriez pas que je monte une équipe de déménageur. Ça voudrait dire qu'on accepte de ne pas avoir le ballon... Même si ça ne sera pas évident, il faudra essayer de jouer avec nos valeurs, nos atouts et notre philosophie. Tout du moins, avec l'envie de la mettre en application...»

MOI JE LE PREFERE SURVET EDF BLEU


Beaucoup de positif»
Même si tout n'a pas été parfait, loin de là, contre le Brésil (1-0), le sélectionneur Laurent Blanc a été satisfait du comportement de ses troupes.

Laurent Blanc a apprécié la performance de Karim Benzema.
Même si tout n'a pas été parfait, loin de là, contre le Brésil, mercredi en amical (1-0), le sélectionneur des Bleus Laurent Blanc a été satisfait du comportement de ses troupes.

«Laurent Blanc, qu'avez-vous pensé de cette rencontre ?
Quand tu gagnes, tu es satisfait. Le fait d'avoir joué à onze contre dix a été plus facile pour nous. Après, dans le contenu, j'ai aimé ce que j'ai vu. Il y avait une intention de jeu, on a voulu rivaliser avec les Brésiliens, notamment dans la possession du ballon. Je retiens beaucoup de positif.

L'équipe de France a battu l'Angleterre et le Brésil. Cela a quelle valeur pour vous ?
Pour notre objectif, la qualification à l'Euro 2012, ces deux victoires ne rapportent rien. Mais ces deux matches doivent nous permettre de capitaliser de la confiance pour les joueurs et le collectif. La suite, ce sont des matches de qualification et il faudra qu'on s'en serve énormément.

Que retenez-vous de la prestation de Karim Benzema ?
Il a marqué un but qui nous a fait gagner. Et il aurait pu en marquer plus. Chaque fois qu'il touche le ballon, il est dangereux, très dangereux même. Karim a réalisé un grand match ce soir.

Philippe Mexès a été élu homme du match. Comment l'avez-vous trouvé ?
Forcément quand la victoire est au bout, les productions individuelles sont meilleures. Le bloc défensif a été solide. La défense a réalisé un grand match. Adil (Rami) aussi a été bon. Et Hugo (Lloris) a réussi la parade qu'il fallait.

Jérémy Ménez a été actif et plus efficace que d'habitude. Est-ce aussi votre avis ?
Il a été décisif sur le but. Il est capable de grandes choses et on le sait. Je l'ai senti un peu timoré en début de match. Je tiens à dire que ce n'était pas sa seconde chance, contrairement à ce qui a été dit ou écrit. C'est un garçon de talent, il joue dans un grand club et il a un potentiel énorme. Mais il doit s'améliorer.

Quant à Yoann Gourcuff, il est sorti sous les sifflets. Ils étaient justes ou sévères ?
Sa prestation m'a plu, il a été au diapason de l'équipe. Il s'est rendu disponible, a montré de l'envie mais il a raté des choses. Le niveau qui est le sien à la base ne va pas revenir d'un coup de baguette magique. Il doit faire plus. Il travaille

Laurent Blanc : "Il est sûr que le fait d'avoir
joué à onze contre dix a rendu les choses plus
faciles mais, dans le contenu, j'ai aimé ce que
j'ai vu. Mais pour les matches importants de
l'Euro, il faudra qu’on se serve de ces victoires-
là qui doivent nous donner un capital
confiance. J'estime que Karim a réalisé un
grand match. Le bloc défensif commence à
être très performant.

Stade de France.
Mi-temps: 0 - 0.
Arbitres : Wolfgang Stark (All).
Spectateurs : 79 712.
But : Benzema (54).
Avertissement - France: Ménez (67). Brésil : Robinho (64).
Expulsion - Brésil : Hernanes (40).
France: Lloris - Sagna, Rami, Mexès, Abidal - A. Diarra (cap.), M’Vila (Diaby , 60) -
Ménez (Rémy, 69), Gourcuff (Cabaye, 86), Malouda - Benzema (Gameiro, 86).
Sélectionneur : Laurent Blanc.
Brésil : Julio César - Daniel Alves, David Luiz, Thiago Silva, André Santos - Leiva,
Elias (André, 88), Hernanes - Renato (Jadson, 58), Pato (Hulk, 85), Robinho (cap.,
Sandro, 70).
Sélectionneur : Mano Menezes