LOLO BLANC, ANCIEN ENTRAINEUR DE L'EDF

TOUS DERRIERE LOLO

ENTIEREMENT D ACCORD AVEC BLANC

LES RESPONSABLES ON LES CONNAIT

C LES DIRIGEANTS DE LA FFF
QU ILS DEMISSIONNENT TOUS ENT ON EN PARE PLUS

ON NE PEUT PAS ENLEVER CES 5 JOUEURS 2 OU 3 MATCHS C DE LA FOLIE CE SONT 5 PARMI LES 15 MEILLEURS DE FRANCE TOUT SIMPLEMENT

SE TIRER UNE BALLE DANS LE PIED APRES
S" ETRE TIRE UNE BALLE DANS LA TETE EN GARDANT RAYMOND ...BRAVO MESSIEURS



Alors que le Conseil fédéral a demandé vendredi à la commission de discipline de
sanctionner Abidal, Evra, Anelka, Toulalan et Ribéry
, Laurent Blanc s'est plaint de cette décision alors qu'il a déjà écarter les 23 présents à Knysna pour le match amical contre la Norvège (Photo Presse-Sports). «Cette décision m'a parue juste dans la mesure où je pense que les 23 sont responsables, a-t-il dit samedi sur Orange Sport. Dans les 23, les responsabilités sont un peu plus grandes pour certains. (...) Le problème, c'est que tout le monde est d'accord pour dire qu'il faut en finir avec cet épisode de l'Afrique du Sud, mais j'ai l'impression qu'on ne veut pas en finir, qu'on cherche les responsables, qu'on nomme des gens pour enquêter alors qu'on sait très bien ce qu'il s'est passé en Afrique du Sud».

«Les gens sont bien gentils de dire qu'il faut sanctionner les joueurs,
qu'il faut même ne plus les appeler chez les Bleus.
Mais la seule chose qui compte c'est les victoires
, et les victoires tu les obtiens avec les meilleurs joueurs, et il y en avait en Afrique du Sud», a-t-il déclaré

commentaires de supporters bleus

Hidalgo4ever le 8 août à 04:05
Il apparait maintenant clairement que le Conseil Federal est le principal adversaire des Bleus. Il s'agit du premier tour eliminatoire.
Apres avoir elimine le Conseil federal, les bleus pourront penser a l'EURO 2012.

guy0764 le 8 août à 03:50 Vive la France! Bonjour la galere

VOILA LES BLEUS SONT A OSLO

GAIS DANS LES INTERVIEWS
SIGNANT DES AUTOGRAPHES AUX SUPPORTERS
A L"ECOUTE DU NOUVEAU COACH



LE FOOT C UN JEU TOUT SIMPLEMENT
ELLE EST PAS BELLE LA VIE

ALLEZ LES BLEUS





Norvège-France
Les Bleus à Oslo
L'Equipe de France a quitté son camp de base de Clairefontaine (Yvelines)
ce mardi matin à 8h30 en bus direction l'aéroport du Bourget (Seine Saint-Denis) afin d'embarquer pour Oslo.

Après 2h20 de vol, la délégation française emmenée par le Président Fernand Duchaussoy
est arrivée en Norvège
Puis, Hatem Ben Arfa et les Bleus ont été transférés en bus vers l'Holmenkollen Park Hôtel Rica (photo à droite) où ils ont été chaleureusement accueillis par Clément d'Antibes et ses proches.


LAURENT BLANC EN CONFERENCE DE PRESSE ...VIDEO
http://www.fff.fr/mediatheque/bleu/534320.shtml


Blanc : "Se montrer déterminé"
Lundi après-midi à Clairefontaine, Laurent Blanc s'est prêté au jeu des quesions-réponses en conférence de presse. Découvrez des extraits de ses propos à trois jours de Norvège-France à Oslo.
LE COQ SUR LE TORSE..IL FAUT QU "IL RETROUVE SES VERTUS


En route, les Tricolores ont eu l'occasion d'apercevoir l'Ullevaal Stadium.
Une enceinte qu'ils découvriront en détail à partir de 17h30
pour le traditionnel entraînement de veille de match

CA Y EST ..ON A UN PROBLEME DE TAILLE ET DE FROID

JUDAS PREND UN BILLET POUR OSLO RAPIDOS

.....................CAREW 1M95 ...............NASRI 1M78

Blanc et le problème de taille
A la veille de son premier match à la tête des Bleus, Laurent Blanc se méfie de la taille des Norvégiens : «Dans les airs, on sera forcément battu».




Laurent Blanc s'inquiète de la grande taille des Norvégiens et des problèmes qu'ils vont posé dans le domaine aérien.
A la veille de son premier match à la tête de l'équipe de France, Laurent Blanc se méfie particulièrement de la taille des joueurs norvégiens. «Dans les airs, on sera forcément battu».

Les connaissances de Laurent Blanc sur la sélection norvégienne se limitent à son style de jeu. Les prénoms et noms des joueurs que les Bleus affronteront mercredi à Oslo, il ne les connaît pas «et ça n'a rien de surprenant». «Je pense que mon homologue norvégien est dans le même cas de moi». Lors des séances vidéo, la dernière lundi matin, le sélectionneur de l'équipe de France s'est surtout attaché à étudier le système de jeu des joueurs d'Egil Olsen. «Ça ne sera pas deux oppositions de style, mais presque», annonce-t-il.

En remontant dans ses souvenirs et à ses précédentes confrontations contre la Norvège du temps où il était joueur, Blanc ne note pas de différences fondamentales entre ce que les Scandinaves proposaient il y a 15 ans et la façon dont ils devraient jouer mercredi. «Ils étaient déjà très grands, plaisante-t-il. Autant, voire plus que moi». De tête, le technicien cite un 0-0 concédé «ici-même» au mois de juillet 95 et un 3-3 à Marseille trois ans plus tard. «Ils avaient déjà les mêmes atouts. On avait éprouvé beaucoup de difficultés pour les contrer dans les airs».

Chat échaudé ne craignant pas l'eau froide, Blanc a son idée sur la tactique à mettre en place pour rivaliser avec «l'arme fatale» des Norvégiens. Outre une vigilance accrue sur les coups de pied arrêtés et les touches, le technicien souhaite que ses joueurs développent «un jeu à terre, dans les intervalles». «C'est le meilleur moyen de mettre notre adversaire en difficulté et de gagner le match. Si on n'y arrive pas, on aura des problèmes. Si on essaie de jouer comme les Norvégiens, on aura énormément de problèmes. Dans les airs, on sera forcément battu». Les Bleus sont prévenus. -

la France a besoin de se relancer en Norvège PARDI !!!

LOLO LUCIDE SANS LANGUE DE BOIS ...

Blanc : «Pas rempli l'objectif»




Laurent Blanc COSTARD CRAVATE MOUILLE
a débuté par une défaite à Oslo.




Premier match à la tête de l'équipe de France et première défaite. S'il a apprécié le jeu produit par son équipe contre la Norvège (1-2), Laurent Blanc sait que seul le résultat importe. «La déception est de taille».

«Laurent Blanc, quels enseignements tirez-vous de cette rencontre ?
Beaucoup de choses. A chaud, je suis satisfait du jeu produit par l'équipe. Même s'ils ont eu peu de temps, les joueurs ont respecté que ce qui avait été mis en place, ils se sont procurés des occasions, ils ont eu la possession de balle... Maintenant, on sait très bien que c'est le résultat qui définit le reste. De ce point de vue-là, la déception est de taille.

Peut-on parler de défaite encourageante ?
Il n'y a jamais de défaite encourageante. Quand on prépare un match, c'est toujours pour le gagner. Après, comme je l'ai dit, la production fait qu'on aurait pu espérer un meilleur score. Sans une erreur technique, le résultat aurait pu être beaucoup plus encourageant. On méritait mieux.

L'opposition proposée par la Norvège vous a-t-elle surpris ?
Non, la Norvège a joué le match que l'on attendait d'elle. Ce soir, c'était une équipe qui était en meilleure forme physique que l'équipe de France. Malgré tout, on les a privés de beaucoup de ballons, on n'est pas rentré dans leur jeu, on a posé le jeu à terre et je crois qu'on a réussi à leur poser pas mal de problèmes. Il aurait simplement fallu un peu plus de concentration. Les joueurs n'ont pas été capables de maintenir ce score de 1-0 assez longtemps pour pouvoir gagner.

Vous avez évolué dans deux systèmes de jeu. Y en a-t-il un qui vous a plus davantage que l'autre ?
On peut trouver des satisfactions dans les deux, mais il faut reconnaître que le deuxième système (le 4-2-3-1) a un peu plus favorisé le jeu de la Norvège. Le premier (le 4-4-2 en losange) leur a posé plus de problèmes.

Avant la rencontre, vous déclariez que la défense était un secteur «à bâtir». Êtes-vous satisfait de son comportement ?
Quand on prend deux buts, c'est difficile d'être satisfait. On aurait pu faire mieux au niveau de la concentration, notamment sur le premier but. Sur le deuxième, c'est ce que j'ai dit aux joueurs, c'est bien d'avoir le ballon, mais il ne faut pas faire d'erreurs techniques. Si vous perdez un ballon au milieu alors que vos deux défenseurs axiaux s'écartent pour proposer des solutions, vous ne pouvez plus revenir. C'est ce qui est passé. Malgré la défaite, il y a des enseignements positifs.

Certains joueurs ont-ils marqué des points ?
Je ne vais pas citer de noms. Vous le savez comme moi, beaucoup de joueurs débutaient ce soir au niveau international. Je les ai sentis timorés au début, mais ils sont progressivement rentrés dans leur match. Dans l'ensemble, sans rentrer dans les détails, je suis content de leur prestation. Ils ont eu le bon état d'esprit.

En reverra-t-on certains contre la Biélorussie, le 3 novembre ?
Patientez, vous verrez bien. Mais oui, je pense qu'il y en aura certains qui seront de nouveau présents.

En dehors de ce match, quel bilan faites-vous de ces trois jours de stage ?
C'était trop court. Il y avait beaucoup de choses à voir. On n'a pas eu suffisamment de temps pour tout préparer dans les détails. Il fallait parler aux nouveaux joueurs, mettre un système en place,... Beaucoup de choses en peu de temps. On y est presque arrivé, mais au niveau du résultat, on n'a pas rempli l'objectif».

en costard trempe il ma fait de la peine

pa dargent pour lui payer un imper la fédé
dommage la defaite moi cette equipe jeune ma bien plu

le service météo de la fff
prevoyait grand beau temps à kryschna et à oslo

TOUS DERRIERE LOLO BLANC ET LES BLEUS
MAIS QUE C "EST DUR MON DIEU
ON VA ENCORE SOUFFRIR

Blanc : «Pas la situation idéale» 18/08/2010

Suite aux décisions de la commission fédérale de discipline de la Fédération Française de Football (FFF)
de suspendre quatre joueurs de l'équipe de France (Anelka, 18 matches ; Evra 5 matches ; Ribéry 3 matches ; Toulalan 1 match)
après les faits survenus lors de la Coupe du monde en Afrique du Sud,
Laurent Blanc a livré sa réaction, via un communiqué publié ce mercredi sur le site de la FFF.
«Je prends acte... en sachant qu'elles sont encore susceptibles d'appel,
a déclaré le sélectionneur de l'équipe de France. Je ferai donc mes choix pour les prochains dans le cadre qui m'est, ou me sera, ainsi imposé.»

«J'espérais trouver fin août une situation apurée»
«Ce n'est évidemment pas la situation idéale pour un football français
qui aurait besoin de tous ses atouts au moment d'aborder les qualifications à l'Euro 2012, a poursuivi Laurent Blanc. J'espérais trouver fin août une situation apurée
et la page sud-africaine définitivement tournée après qu'ait été prise, sur ma proposition, une sanction collective qui m'apparaissait à la fois nécessaire et suffisante.
Ce n'est pas le cas et il ne sert à rien d'épiloguer.
Notre seul souci, mon staff et moi, est désormais de constituer le meilleur groupe possible
pour les échéances de début septembre face au Belarus et à la Bosnie-Herzégovine
en espérant le voir afficher cet esprit d'initiative, cette volonté d'aller de l'avant et
de faire le jeu, qui se sont manifestés à Oslo.»

LOLO LES MAINS LIEES
ESPERONS QUE NON

ÉQUIPEDEFRANCE● Les
sanctions pas transformées. Les
suspensions infligées à Anelka,
Evra, Ribéry et Toulalan ne seront
pas transformées en travail
d’intérêt général, a précisé
hier la FFF.
"Seul un appel (qui
n’est pas suspensif) peut permettre
un nouvel examen des faits",
a précisé la fédération.

APPAREMMENT CONFIRMATION LES ANES NE FERONT JAMAIS DES CHEVAUX DE COURSE
ESCALETTE PEUT DORMIR TRANQUILLES SA SUCCESSION EST ASSUREE DANS LA CONTINUITE.............

ÉQUIPE DE FRANCE
Sanctions : Laurent Blanc ne comprend pas


des anes impossible à comprendre

Le nouveau sélectionneur des Bleus n’a pas digéré
les sanctions prises à l’encontre de Nicolas Anelka
(18 matches de suspension), Patrice Evra (5 matches),
Franck Ribéry (3 matches) et Jérémy Toulalan
(1 match) suite à la grève d’entraînement lors
du Mondial sud-africain.
Laurent Blanc a exprimé son incompréhension hier
soir, sur le plateau de Stade 2. "Il faudrait que ces
gens-là (ceux de la commission de discipline de la
FFF, ndlr) m’expliquent leurs critères. Sur le fond,
ça ne me dérange pas. C’est sur la forme. Ce qui
s’est passé en Afrique est grave. D’après ce que je
sais c’est un acte collectif. Je veux qu’on m’explique
pourquoi on a pris ces décisions. Pour l’instant,
on ne me l’a pas expliqué. J’aimerais bien aussi
qu’on m’explique pourquoi Nicolas Anelka a pris
18 matchs

Bleus : La liste dévoilée jeudi

Jeudi à 11 heures, Laurent Blanc dévoilera au siège de la FFF la liste des joueurs retenus pour les deux premiers matches de l’équipe de France comptant pour les éliminatoires de l’Euro 2012.
L’équipe de France recevra la Biélorussie le vendredi 3 septembre et se rendra en Bosnie-Herzégovine le mardi 7 septembre


23 DU MONDIAL
Gardiens (3) : Hugo Lloris (Lyon), Steve Mandanda (Marseille), Cédric Carrasso (Bordeaux)
Défenseurs ( : William Gallas (Arsenal/ANG), Eric Abidal (FC Barcelone/ESP), Bakary Sagna (Arsenal/ANG), Patrice Evra (Manchester United/ANG), Gaël Clichy (Arsenal/ANG), Marc Planus (Bordeaux), Anthony Réveillère (Lyon), Sébastien Squillaci (FC Séville/ESP)
Milieux de terrain (5) : Abou Diaby (Arsenal/ANG), Alou Diarra (Bordeaux), Yoann Gourcuff (Bordeaux), Florent Malouda (Chelsea/ANG), Jérémy Toulalan (Lyon)
Attaquants (7) : Nicolas Anelka (Chelsea/ANG), Djibril Cissé (Panathinaïkos/GRE), André-Pierre Gignac (Toulouse), Sidney Govou (Lyon), Thierry Henry (FC Barcelone/ESP), Franck Ribéry (Bayern Munich/ALL), Mathieu Valbuena (Marseille)

22 D OSLO

Gardiens : Stéphane Ruffier (Monaco), Nicolas Douchez (Rennes). Défenseurs : Mamadou Sakho (PSG), Philippe Mexès (AS Roma), Adil Rami et Mathieu Debuchy (Lille), Benoît Trémoulinas (Bordeaux), Aly Cissokho (Lyon), Rod Fanni (Rennes). Milieux : Charles N'Zogbia (Wigan), Yann M'Vila (Rennes), Blaise Matuidi (Saint-Etienne), Moussa Sissoko (Toulouse), Lassana Diarra (Real Madrid), Yohan Cabaye (Lille), Samir Nasri (Arsenal). Attaquants : Guillaume Hoarau (PSG), Jérémy Ménez (AS Roma), Jimmy Briand (Lyon), Karim Benzema (Real Madrid), Loïc Rémy (Nice), Hatem Ben Arfa (OM).

ON ENLEVE LES 2 BLESSES
Aly Cissokho (Lyon),Djibril Cissé (Panathinaïkos/GRE),
ET LES 4 SUSPENDUS
Nicolas Anelka (Chelsea/ANG),Franck Ribéry (Bayern Munich/ALL), , Patrice Evra (Manchester United/ANG), Jérémy Toulalan (Lyon)
1 CELUI QUI A EU UN ROUGE AU MONDIAL
Yoann Gourcuff (Bordeaux),
LES 3 ARRETS DE CARRIERE EN EDF DECLAREES OU PRESUMEES
William Gallas (Arsenal/ANG),Sidney Govou (Lyon),Thierry Henry (FC Barcelone/ESP),

23+22=45 -2-4-1-3=35

FAUDRA RETIRER 12 NOMS LOLO

ON AURA LA LISTE A 11 HEURES MAIS JE SERAIS PAR MONT ET PAR VAUX
DOMENICO JUDAS MERCI DE ME SUPPLEER POUR LA NOTER ICI

Confronté à de nombreuses blessures et suspensions, Blanc devra faire face à des choix délicats. Opposé aux sanctions prononcées par la commission de discipline de la FFF à l'encontre de Nicolas Anelka (18 matches de suspension), Patrice Evra (5), Franck Ribéry (3) et Jérémy Toulalan (1), le Cévenol devra également se passer des services de Samir Nasri (genou gauche), Aly Cissokho (déchirure cuisse droite), Moussa Sissoko (adducteurs), Marc Planus (genou droit) et Djibril Cissé (jambe gauche). Sans oublier la suspension pour deux rencontres de son ancien maître à jouer sur les bords de la Garonne : Yoann Gourcuff.

Entre retours, confirmations et nouveautés ?

Laurent Blanc sera ainsi privé de meneur de jeu de métier et devra probablement élaborer une animation offensive de nouveau inédite. Ce sera sans Ben Arfa, parti au clash avec les dirigeants marseillais et dont la présence n'est plus d'actualité. Pour le poste d'attaquant, le sélectionneur national devrait encore puiser allégrement dans le groupe emmené à Oslo (Benzema, Hoarau, Rémy, Ménez, Briand). Seul Gignac pourrait refaire son apparition après la déroute sud-africaine. Gameiro, absent en Norvège en raison d'une entorse à la cheville droite, est quant à lui très susceptible d'obtenir sa première convocation chez les grands

AU MOINS IL PARLE FOOT COMPOSITION PLACE DES JOUEURS

SON DISCOURS EST COHERENT ET IL N"ELUDE AUCUNE QUESTION
ROYAL NOTRE LOLO ON LUI SOUHAITE DE REUSSIR
même si ce sera difficile sans ribery evra toulalan anelka



Le sélectionneur de l'équipe de France Laurent Blanc a répété jeudi qu'il n'y avait pas, à ses yeux, de «cadres incontournables» en bleu et que les deux matches contre le Bélarus et la Bosnie (3 et 7 septembre), coup d'envoi des éliminatoires de l'Euro 2012, devaient lui permettre de constituer un «noyau dur». (Photo Presse-Sports)

«Pourquoi n'avoir convoqué que 21 joueurs et y a-t-il des joueurs qui pourraient rejoindre la sélection entre les deux matches ?
La liste peut éventuellement changer, évoluer. Je ne l'espère pas, cela voudrait dire qu'il y a des blessés. On a eu assez de problèmes pour faire cette liste. Quand il y a deux matches, cela fait neuf jours de stage, il peut y avoir beaucoup de joueurs sur le banc ou en tribunes. Si des joueurs le font deux fois de suite, ce n'est pas la meilleure manière de se préparer et d'être satisfait de sa sélection. Le joueur qui fait banquette vendredi et mardi, il n'est pas forcément heureux. L'idéal est d'emmener 18 joueurs.

Avez-vous été gêné par les sanctions prises par la FFF pour bâtir la liste ?
Je n'avais pas le choix. Il y avait des joueurs qui ne pouvaient pas faire partie de la liste. J'ai confiance en ces joueurs. On a essayé d'être cohérent. J'avais dit qu'il y avait des joueurs en Norvège qui seraient présents contre le Bélarus et la Bosnie, c'est le cas.

Comment expliquez-vous l'absence de Toulalan ?
Jérémy est suspendu (contre le Bélarus, ndlr), c'est quand même un élément important. Mais avec son entraîneur (Claude Puel), il a décidé de changer de poste, ce qui n'est pas anodin, je suis bien placé pour le savoir. Si un jour il doit retrouver l'équipe de France, ce doit être à son poste actuel et je pense qu'à ce poste-là, il n'est pas encore incontournable. Il faut un certain temps d'adaptation, ce n'est pas le même poste. On va le suivre, il a une expérience en équipe de France qui n'est pas négligeable. On va voir s'il devient le meilleur à son poste, ce qui n'est pas le cas actuellement.

«Je suis à la recherche de cadres...»
Abidal et Gallas ne sont également pas convoqués...
Abidal joue en défense centrale en ce moment, l'année dernière il a joué à gauche. Je veux voir où il va se stabiliser, après je verrai s'il est le meilleur à son poste. Quant à Gallas, il a mis un certain temps pour trouver un club, il n'est pas dans les meilleures conditions physiques pour ces deux matches.

Pourquoi avoir convoqué pour la première fois Gameiro et avoir rappelé Saha ?
Gameiro est jeune, il aurait eu sa chance en Norvège s'il n'avait pas été blessé. Il aime prendre les espaces et c'est un garçon sur lequel on a toujours un oeil. Contre le Bélarus à domicile, il va falloir se créer des occasions cela peut être une solution intéressante. Louis Saha m'a toujours beaucoup plu. Il a souvent été blessé mais s'il peut enchaîner une saison sans blessures, il est intéressant au niveau déplacement et il a cette capacité de marquer des buts.

Quel rapport entre le temps de jeu et la présence en équipe de France ?
C'est plus facile d'être titulaire en club. Mais dans la nouvelle construction de ce groupe, je n'appellerai que les joueurs qui évoluent à leur poste. Je suis à la recherche de cadres. Il faut que le joueur joue, qu'il ait un temps de jeu conséquent et il ne peut être sélectionné en équipe de France qu'au poste où il joue en club. En ce moment, on n'a pas la possibilité de s'appuyer sur un noyau indiscutable en équipe de France. Pour moi, il n y'a pas de cadres incontournables mais on va essayer de dessiner les contours d'un noyau dur pour les matches futurs.

Allez-vous modifier la hiérarchie des gardiens ?
J'ai une hiérarchie mais je ne vous la dirai pas. Nous aurons une discussion avec les gardiens.»

INTELLIGENT DROIT DANS LES YEUX HUMBLE SIMPLE ET LOGIQUE
MERCI LOLO
ON A ENVIE D "AVOIR DE FRISSONS POUR REGARDER TON EQUIPE ..NOTRE EQUIPE DE FRANCE


Laurent Blanc a passé un nouvel examen de passage devant la presse ce jeudi, lors de l'annonce des 21 joueurs retenus pour le début des éliminatoires de l'Euro 2012 (Biélorussie, le 3 septembre, Bosnie-Herzégovine, le 7).

Après une première conférence de presse difficile et stressante, une deuxième à blanc pour un match amical, c'était l'occasion de comparer le style du nouveau sélectionneur avec celui de son devancier, Raymond Domenech. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que le contraste est saisissant. Un exemple parmi d'autres : lors de l'annonce de la liste des joueurs retenus. Alors que Domenech ne se donnait pas la peine de la lire et laissait les journalistes se débrouiller, l'ancien entraîneur des Girondins prend le temps d'épeler le nom de chaque joueur, même s'il lutte sur le prénom de Diaby, qui devient «Vassilili» au lieu de Vassiriki. L'assurance devant les médias, c'est d'ailleurs une des différences notables entre les deux hommes. Fort de son aisance, Raymond Domenech se permettait d'être arrogant avec son auditoire. Rien de tout ça chez Laurent Blanc. Avec sa diction hésitante, sa voix feutrée, il répond toujours avec respect et dans les yeux.

Blanc n'esquive aucune question
Une question ne lui plait pas ? Pas de souci. Pendant que Domenech haussait les épaules et refusait de répondre, Laurent Blanc tente d'abord une blague - souvent un bide - pour masquer son agacement, puis il prend le temps de s'expliquer. C'est notamment le cas sur les absents de cette liste. Toulalan : «Son entraîneur a décidé de changer de poste et je pense qu'à ce poste-là, il n'est pas encore incontournable». Abidal : «Il joue en défense centrale en ce moment, l'année dernière il a joué à gauche. Je veux voir où il va se stabiliser, après je verrai s'il est le meilleur». Gallas ? «Il a mis un certain temps pour trouver un club, il n'est pas dans les meilleures conditions physiques pour ces deux matches». Soit des explications claires et précises en rapport avec le terrain, ce dont l'ancien sélectionneur, souvent vague dans ses justifications, était incapable.


Blanc esquive la tactique
En revanche, les deux hommes se rejoignent sur un point : la tactique. A l'instar de Domenech, Laurent Blanc a refusé de donner des précisions sur le sujet. Non par incompétence, mais pour éviter de donner ses indications aux futurs adversaires. «S'ils savent aujourd'hui comment on va jouer, ils auront dix jours pour se préparer. J'attends d'avoir mon groupe pour travailler le schéma de jeu que j'ai en tête. Il faut être logique dans sa réflexion et dans ses choix». La logique, une dernière différence entre ces deux-là. -

1 ER SEPTEMBRE J MOINS 2



En l'absence de Gourcuff, suspendu deux matches
, de Nasri, blessé
, et de Ribéry, puni par la FFF QUI NOUS TIRE UNE BALLE DANS LE PIED DU FOOT FRANCAIS ,

Laurent Blanc a reconnu mardi qu'il allait devoir «positionner» l'équipe de France «autrement» lors des deux rencontres des éliminatoires de l'Euro 2012 contre le Belarus, vendredi, et la Bosnie, le 7 septembre.

«Qu'est ce qui est le plus difficile quand on n'a qu'une semaine de préparation avant un match ?
Ce n'est même pas une semaine, c'est cinq-six jours. Tout est difficile. On n'a pas le temps. Si vous voulez travailler quelque chose et que vous ne voulez pas que cela apparaisse à la une des journaux, vous devez le faire à huis clos. Or il n'y a que cet après-midi que l'on peut travailler tactiquement. Cela ne fait qu'une séance pour travailler un match. Cela devient vraiment très peu.

Est-ce qu'un retour de Toulalan au milieu, rendu possible par le transfert de Diakhaté à Lyon, vous intéresserait ?
Je suis impatient de voir. C'est un garçon qu'on suit comme d'autres. C'est paradoxal, parce qu'il a une grande expérience internationale mais je le répète et ce sera la dernière fois, quand on fait un choix de poste, il faut en assumer les éventuelles conséquences.

Mais Toulalan est-il plus intéressant au milieu ou en défense ?
Les deux mais vu qu'il a un acquis et une expérience plus importante au milieu, on connaît plus de choses sur lui au milieu de terrain, pour l'instant.

Est-ce urgent de trouver rapidement une charnière centrale ?
Il me semble que oui. Une équipe est composée d'une épine dorsale et celle-ci comprend le gardien, les deux sentinelles, le meneur de jeu selon le schéma dans lequel vous jouez et la pointe. Pour assurer sa base défensive, il faut trouver une charnière centrale complémentaire, efficace, performante aussi bien dans le domaine défensif que dans la construction. Ce n'est pas facile. Et puis il faut donner du temps aux gens pour se connaître. Le paradoxe, c'est qu'on n'a pas le temps. On a fait des choix et on espère qu'ils vont s'avérer payants.

«Alou (Diarra) peut remplir ce rôle de capitaine»
Ne pas avoir de meneur de jeu de métier, c'est dommage ou cela permettra de tester un nouveau système ?
C'est dommage. Tous les joueurs qui améliorent le jeu de ton équipe et le jeu des joueurs sont intéressants et importants. Mais je ne peux pas remplacer un meneur de jeu par quelqu'un qui n'est pas meneur de jeu. Il va falloir compenser et positionner l'équipe autrement.

La rotation va continuer pour le capitanat ?
Si d'ici vendredi il y a quelqu'un qui émerge de par sa personnalité, son charisme et qu'il est incontournable par son état d'esprit, il sera capitaine. Mais là aussi, il faut du temps. On cherche les cinq-six joueurs à qui on pourrait éventuellement confier le rôle de capitaine. Mais ne vous inquiétez pas. Vendredi, il y aura un capitaine. Est-ce qu'il le sera sur le long terme ? On verra.

Le fait d'avoir connu Diarra en tant que capitaine à Bordeaux peut-il influer sur votre décision ?
Le contexte est différent. Alou fait partie des gens que je connais bien, plus que d'autres. Je sais qu'il peut remplir ce rôle-là en club. Le capitaine sera important dans l'état d'esprit mais il devra être incontournable sur le terrain. Alou peut éventuellement remplir ce rôle.

Malouda peut-il être également un futur capitaine ?
Il fait partie des gens comme Alou, des joueurs qui ont le plus d'expérience au niveau du nombre de sélections et aussi de l'âge. En ce moment, il est bien dans tous les sens du terme. Il est depuis deux-trois saisons un cadre incontournable chez les Blues (à Chelsea, ndlr). C'est un candidat logique.

Un gardien peut-il être capitaine ?
Je n'ai pas de réticence. Un gardien a le jeu devant lui. Il peut voir certaines choses que d'autres ne peuvent pas voir mais c'est vrai qu'il est un peu loin pour intervenir ou alors il faut une grosse, grosse voix.»

jeudi 2 septembre 2010 23:41



«Laurent Blanc, on s'en fout»
Pour son retour au Stade de France, dix ans après l'avoir quitté, le nouveau sélectionneur a assuré, jeudi, n'avoir qu'une obsession : gagner.




Laurent Blanc veut «transposer sa sérénité et ses certitudes» à l'équipe.
Laurent Blanc va mettre ses sentiments de côté. Pour son retour au Stade de France, dix ans après l'avoir quitté, le nouveau sélectionneur a assuré, jeudi, n'avoir qu'une obsession : battre la Biélorussie.

«Laurent Blanc, vous vous étiez plaint en Norvège du manque de temps dont vous disposiez pour préparer ce match. Cette fois, avez-vous réussi à mettre en place ce que vous souhaitiez ?
Oui, parce qu'on a eu un peu plus de temps, mais guère plus. L'UEFA a pris la décision de faire jouer les matches le mardi et le vendredi. Le seul problème dans tout ça, c'est que le jour du rassemblement, lui, reste le même. A l'arrivée, on perd un jour de travail. Dans notre position, on l'aurait bien pris. Pour l'instant, on n'a effectué qu'une seule séance constructive, celle de mardi. Même si tout le monde est logé à la même enseigne, quand on est une équipe en reconstruction, une séance de plus, ça peut avoir son importance.

Dix ans après l'avoir quitté, vous allez retrouver le Stade de France. Est-ce un moment particulier pour vous ?
Demain, l'émotionnel, il faudra le mettre dans la poche et fermer la poche. Ce qui compte, c'est de se préparer du mieux possible. Ce match est très important parce qu'il va conditionner le reste. On l'aborde avec un maximum d'ambition et de motivation. Il faudra se donner les moyens de le gagner.



Vous ne l'abordez donc pas à la manière d'un nouveau joueur qui découvrirait cet environnement ?
Non, c'est tout à fait différent. Et si j'ose dire, même si c'est le cas, il faut juguler le problème. Demain (vendredi), ce n'est pas moi qui vais jouer. Laurent Blanc, on s'en fout. Ce qui compte, c'est l'équipe de France. Ne nous trompons pas d'objectif. L'objectif, c'est que l'équipe de France gagne. Moi, mon rôle, c'est de transposer ma sérénité et mes certitudes à l'équipe. Dieu sait à quel point elle en a besoin.

Craignez-vous que vos joueurs puissent être paralysés par l'évènement ?
Les joueurs ne me semblent pas paralysés. Après, il y aura le contexte : c'est un début de compétition, au Stade de France avec plus de monde que ce que l'on pensait. J'espère que le public sera, au fil du match, derrière l'équipe. Les joueurs savent ce que l'on attend d'eux : un comportement, un état d'esprit... J'espère qu'ils y ajouteront des qualités footballistiques.

Vous évoquiez vos certitudes. Concernent-elles votre charnière centrale Rami-Mexès ?
Oui et je sais que vous l'attendez au tournant. Cette semaine, on a pu travailler sur et en dehors du terrain grâce à la vidéo. Il lui faut encore du temps et ce n'est qu'à travers les matches et les performances qu'on y arrivera. Ça commence demain (vendredi). Malgré tout, même s'ils ne se connaissent pas beaucoup, je reste persuadé que ce sont deux joueurs qui peuvent être très complémentaires.

Sous l'ère Domenech, la défense encaissait beaucoup de buts sur coups de pied arrêtés. Est-ce un point que vous avez spécifiquement travaillé ?
Oui, les coups de pieds sont prévus au programme, notamment aujourd'hui (jeudi). On va les travailler défensivement et offensivement parce qu'on a également moyen de mettre des buts de cette manière. Il y aura un état d'esprit à avoir, mais pas seulement. Si tu marques quelqu'un qui mesure 20 centimètres de plus que toi, c'est difficile. Il faudra mettre de la taille. Demain (vendredi), il y en aura devant et derrière.





Signeriez-vous pour prendre quatre points lors de ces deux matches ?
Je ne signe pour rien. Je prends les matches les uns après les autres. En fonction du résultat du premier, celui du deuxième peut vous satisfaire ou pas. Je vous répondrai quand je connaîtrai le résultat du premier.»

1Ne craignez-vous pas que le passé
pèse sur les joueurs ?
Le passé ne m’intéresse pas. J’estime
que cette semaine, les joueurs ont eu,
c’est une certitude, envie de venir à
Clairefontaine. Je les ai félicités pour
l’état d’esprit et leur comportement et
maintenant reste le plus important,
c’est de le traduire sur le terrain.
2À titre personnel, aurez-vous la
même pression que lorsque vous
étiez joueur, quasiment dix ans jour
pour jour après votre dernière sélection
?
C’est tout à fait différent et même si c’était le cas, je pense pouvoir
régler et juguler le problème. Demain, ce n’est pas moi qui vais jouer,
Laurent Blanc on s’en fout. L’objectif est que l’équipe de France gagne.
Le sélectionneur doit transmettre un maximum de sérénité à
l'équipe. Demain, l’émotionnel il va falloir le mettre dans la poche et
fermer la poche. Mon émotion sera basée sur la motivation de gagner
ce match.
3Cette semaine, après l’entraînement, vous avez demandé aux
joueurs de ramasser leurs bouteilles d’eau. Est-ce par souci
d'éducation ? Et leur avez-vous évoqué le fait de chanter ou non la
Marseillaise ?
Il y a des choses mises en place sur un terrain de football qui sont
valables dans la vie de tous les jours et il me semble normal que des
joueurs qui utilisent des bouteilles pour se désaltérer s’en préoccuppent
à la fin de l'entraînement. Quant à la Marseillaise, on en parle
beaucoup, les gens sont très sensibles sur ce sujet... Personnellement,
j’ai incité les joueurs à la chanter et je leur ai donné les paroles.
Maintenant chacun est libre de faire comme il veut. Ils connaissent
ma façon de penser. Quand on connaît la Marseillaise, on la chante

PAS BESOIN DE DIRE CE QU "IL RESSENT
DEUX MATCHS CONTRE DES EQUIPES MINUSCULES
ET DEUX DEFAITES
CETTE IMAGE RESUME TOUT
NOUS SOMMES AVEC TOI LOLO

Blanc redéfinit ses priorités
Le revers biélorusse semble avoir convaincu Laurent Blanc de délaisser temporairement son projet de jeu. L'efficacité primera en Bosnie.



La défaite concédée contre la Biélorussie, vendredi, semble avoir convaincu Laurent Blanc de délaisser temporairement son projet de jeu. En Bosnie, les Bleus devront ramener au moins un point. Peu importe la manière .

L'équipe de France ne tombera pas tous les jours sur une équipe aux velléités offensives quasi inexistantes, repliée la majeure partie du temps dans son camp. Pour autant, son revers concédé d'entrée contre la Biélorussie (0-1) ne l'autorise pas à «fanfaronner». L'appel à l'humilité lancé par Laurent Blanc a pris tout son sens vendredi soir au Stade de France. «Dans le contexte actuel, je ne vois pas quelqu'un annoncer qu'on va en Bosnie pour gagner», a-t-il lancé samedi. Abou Diaby, qui n'était pas au courant des paroles prononcées un peu plus tôt par le sélectionneur, l'a fait, lui, avec ce bémol : par les temps qui courent, ramener un point d'un déplacement chez le leader du groupe D ne serait pas non plus une mauvaise opération. «Ce serait même un très bon résultat», ose le milieu de terrain d'Arsenal.

Dans l'esprit et les mots de Laurent Blanc, l'impératif de résultat semble avoir pris le dessus sur le projet de jeu qu'il souhaite instaurer. N'est pas Barcelone -sa référence- qui veut. Contre la Bosnie-Herzégovine, l'ancien entraîneur des Girondins entend «muscler» le jeu tricolore. Il s'en justifie : «Le beau jeu, c'est une philosophie. La nécessité, c'est le résultat. Oui, on va jouer, mais on ne va pas non plus là-bas pour prendre le jeu à notre compte». Contre la Biélorussie, ses joueurs ont tenté de le faire en vain. Embouteillage dans l'axe, manque de vivacité dans les transmissions et à l'approche des vingt derniers mètres, les Bleus n'ont «pas assez pris de risques» à son goût. Ils se sont comportés comme de bons élèves : «appliqués et disciplinés», décrit Florent Malouda. «Mais à un moment, il faut savoir lâcher les chevaux.»

Le climat «hostile» auquel ils seront confrontés en Bosnie pourrait néanmoins inciter les Bleus à adopter une autre stratégie. La prestation livrée par Alexander Hleb et ses équipiers vendredi soir a donné des idées. Malouda évoque même un possible «exemple à suivre». «Ils étaient venus pour chercher un nul. Quand ils ont vu qu'ils pouvaient ouvrir certaines brèches, ils se sont dit pourquoi pas et ils ont marqué.» «Mais on ne va pas non plus rester à attendre derrière pour procéder en contre, nuance Diaby. La Bosnie est une équipe qui joue, ça va nous libérer des espaces». Une certitude, l'équipe de France ne se rendra pas là-bas avec l'étiquette de favori. «Aujourd'hui, les premiers, ce sont eux, insiste Malouda. Ils font la course en tête. Ça sera un bon moyen pour nous de s'étalonner». Pourvu qu'ils ne ramènent pas les Bleus à leur médiocrité. -

les medias avancent celle là
lolo va til faire la m^meme

équipes probables du match Bosnie - France,
comptant pour les éliminatoires de l'Euro 2012 (groupe D), mardi à Sarajevo (21H00).

Bosnie : Hasagic - Mujdza, Spahic, Nadarevic, Ibricic - Rahimic, Misimovic, Pjanic, Lulic - Ibisevic, Dzeko. Sélectionneur: Safet Susic

France :
................... Lloris -
Sagna, Mexès, Rami, Clichy -
....Mvila, A. Diarra, Diaby -
Valbuena, Benzema.Malouda,
Sélectionneur: Laurent Blanc

MERCI LOLO
IL NOUS REHABILITE DANS LE JEU DANS L" ETHYQUE ET DANS LES RESULTATS
BOSNIE 0 FRANCE 2
APRES UNE BELLE PARTIE ET LE RETOUR ATTENDU DE BENZEGOAL COMME BUTEUR DECLENCHEUR

bienvenou a écrit:MERCI LOLO
IL NOUS REHABILITE DANS LE JEU DANS L" ETHYQUE ET DANS LES RESULTATS
BOSNIE 0 FRANCE 2
APRES UNE BELLE PARTIE ET LE RETOUR ATTENDU DE BENZEGOAL COMME BUTEUR DECLENCHEUR

Je suis tomber par accident sur la fin du match , quelle bande de faux cul sur M6 Je suis quasiment sur qu'ils ont taillé l'EDF pendant tout le match et qu'ils ont sorti la brosse a reluire des le 1 er but
Il parait aussi que les français ont subi un bombardement Bosniaque d'une rare violence bouh !!! Platoch ne va pas être content