LOLO BLANC, ANCIEN ENTRAINEUR DE L'EDF

THIERRY ROALND LE COMMENTATEUR EST SUR LE DECLIN IL A PLUS DE 70 ANS LE PAUVRE N BOUGRE
faut pas lui en vouloir ( je crois que meme jeune il etait plutot ds les choux

Blanc : «Il fallait que ça tourne»




Valbuena peut féliciter Benzema, lequel a libéré les Bleus
Après deux défaites, Laurent Blanc a enfin connu les joies de la victoire contre la Bosnie-Herzégovine (2-0), mardi soir. Ce succès «peut être le début de quelque chose de bien», a-t-il déclaré après le match.

«Laurent Banc, il s'agit de votre première victoire en tant que sélectionneur. Que ressentez-vous ?
Après la Biélorussie, j'avais dit aux joueurs qu'ils n'avaient, malheureusement, pas su traduire les bonnes choses qu'on avait pu voir pendant le stage, que c'était dommage. Ce soir, on ne peut plus le dire. Ils ont été irréprochables non seulement dans le jeu, mais aussi au niveau de l'état d'esprit. On a été récompensés. Avant le match, on s'était dit qu'il fallait au moins ramener un point. Finalement, on en a pris deux de plus. Je suis très heureux, mais on n'était pas non plus dans le désespoir. Après notre défaite au Stade de France (0-1), j'avais lu que c'était «catastrophique». Ce soir, je ne vais pas dire que c'est fantastique. Mais ça peut être le départ de quelque chose de bien.

La clé du match a-t-elle été de priver la Bosnie de ballons ?
On s'attendait à être malmenés offensivement. L'objectif, c'était de barrer la relation entre les milieux de terrain et les attaquants bosniaques. C'est pour cette raison qu'on avait décidé de muscler le milieu de terrain, pour qu'ils ne se trouvent pas dans la facilité. Ça a été une clé, mais ce n'est pas la seule. On a aussi été très bons dans l'utilisation du ballon. Contrairement à vendredi soir, on s'est très vite projetés vers l'avant. Le fait d'évoluer plus bas nous a permis de créer plus d'espaces, de prendre la profondeur. C'est ce qu'aime Karim (Benzema).

Justement, un mot sur sa prestation.
Même si on sait qu'il n'est pas encore en totale possession de ses moyens, il reste un joueur important. Il fait partie de ceux qui ont le potentiel pour marquer des buts. Dans ce groupe, à part lui, il n'y en a pas tellement. Il a fait perdre confiance à notre adversaire en même temps qu'il nous a fait du bien.

Avez-vous douté à la mi-temps lorsque le score en était encore à 0-0 ?
On a encore pu se rendre compte combien il est difficile de marquer des buts... A la mi-temps, j'ai dit aux joueurs de ne pas se satisfaire de ce qu'ils avaient fait. Le minimum, c'était de faire la même chose, voire aller de l'avant parce qu'on n'avait pas ouvert le score. Après le but, j'ai senti les joueurs en confiance. On s'était fixés pour objectif de ne pas prendre de buts. C'est très bien. Il fallait que ça tourne».

Bosnie-Herzégovine - France
Blanc : "Cette victoire va leur donner confiance"
Laurent Blanc, sélectionneur de l'Equipe de France
a tenu ce mercredi après-midi une conférence de presse au siège de la Fédération Française de Football
afin de revenir sur les deux premiers matches des Bleus dans les éliminatoires de l'Euro UEFA 2012 contre la Biélorussie (défaite 1-0) et la Bosnie-Herzégovine (victoire 2-0).

VIDEO ... http://www.fff.fr/mediatheque/bleu/534770.shtml


Très satisfait de la production de ses protégés face aux Bosniens,
mardi soir à Sarajevo, l'entraîneur tricolore a livré une analyse toute en mesure
en soulignant que ce premier succès allait donner confiance à ses joueurs
mais qu'ils devaient encore acquérir de l'expérience internationale pour renouveler ce type de performance

Je vu le résumé du match :lol:Maintenant , Ils chantent la Marseillaise L'être humain est enormissime
Comment ,ils peuvent avoir le culot de chanter l'hymne nationale de la France pays après avoir cracher sur le maillot ,le pays et tout ce représente

Comme quoi hein !!!!!!

Réponse a la ALADIN
(mode Aladin OFF)
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas
(mode Aladin ON)

Réponse JUDESQUE
(mode JUDAS OFF)
Qui ca Ah oui !!!! bien sur
(mode JUDAS on)

Il parait qu'ils ne chantaient pas la marseillaise car ils ne connaissaient pas les paroles
mais pour 10 000 euros de prime pour une heure et demie
de travail je pense que certains chanteraient la traviatta ou je ne sais quel autre hymne national

d'ailleurs le fils de zizou risque de chanter à 50 % l'hymne espagnol

JUDAS a écrit:Je vu le résumé du match :lol:Maintenant , Ils chantent la Marseillaise L'être humain est enormissime
Comment ,ils peuvent avoir le culot de chanter l'hymne nationale de la France pays après avoir cracher sur le maillot ,le pays et tout ce représente

Comme quoi hein !!!!!!

Réponse a la ALADIN
(mode Aladin OFF)
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas
(mode Aladin ON)

Réponse JUDESQUE
(mode JUDAS OFF)
Qui ca Ah oui !!!! bien sur
(mode JUDAS on)

Il parait qu'ils ne chantaient pas la marseillaise car ils ne connaissaient pas les paroles
mais pour 10 000 euros de prime pour une heure et demie
de travail je pense que certains chanteraient la traviatta ou je ne sais quel autre hymne national

d'ailleurs le fils de zizou risque de chanter à 50 % l'hymne espagnol

Oh!!!! l'excuse en bois , ils ont cinq ans d'age mental pour sortir un truc pareil

laurent fignon etait consideré comme un intellectuel dans les pelotons de cyclistes en 1985
car parait il il avait le bac
mais je ne sais pas s'il était vert

JUDAS a écrit:

Il parait qu'ils ne chantaient pas la marseillaise car ils ne connaissaient pas les paroles
mais pour 10 000 euros de prime pour une heure et demie
de travail je pense que certains chanteraient la traviatta ou je ne sais quel autre hymne national

d'ailleurs le fils de zizou risque de chanter à 50 % l'hymne espagnol

Oh!!!! l'excuse en bois , ils ont cinq ans d'age mental pour sortir un truc pareil

Ou tout simplement le supporter français moyen est devenu moins et les autres truffes l'ont bien compris et que de ne pas aller dans le sens de vox populi =pan-pan cucul

pareil uatre sujet duchoissoy pretend que domench officiellement est licencié sans indemnites pour aller ds le sens de l'opinion vox populi
mais à mon sens il va toucher une bonne petite somme negociée avec nos ouailles apres un bon repas

aladin a écrit:pareil uatre sujet duchoissoy pretend que domench officiellement est licencié sans indemnites pour aller ds le sens de l'opinion vox populi
mais à mon sens il va toucher une bonne petite somme negociée avec nos ouailles apres un bon repas

Mieux que ca , Domenech va attaquer la FFF aux prudhommes et Duchossoy va négocier dans l'intérêt de la fede pour que cela coute moins cher
Et RAYMOND VA PRENDRE SES SOUS

bien evidemment negociations avec des repas pour 10 personnes à chaque fois
alors raymond
500 000 non
plus 1 million non plus
1, 500000 ca commence a y etre bien
et apres on apprendra que la fff perd de l'argent

table de negociation

LE COMMENTAIRE
Laurent Blanc: "Ce
groupe mérite d’être revu




Laurent Blanc est satisfait de ses hommes après le succès en Bosnie.
Mais il attend une confirmation

Laurent Blanc n’est pas dupe:
entre une défaite frustrante face
au Bélarus (0-1) et une victoire
pleine de maîtrise en Bosnie
(0-2), l'équipe de France n'est
pas soudainement passée de
l'enfer au paradis, et elle manque
encore cruellement d'expérience.
Et le sélectionneur des
Bleus de mettre tout le monde
en garde.
"Il y a une interprétation du
résultat et du contenu. En terme
de résultat, celui face au Bélarus
était une catastrophe. Dans
le contenu, il n'y avait pas à sauter
de joie, mais il y avait du positif
notamment au niveau individuel."
Laurent Blanc se réjouit
que ses jeunes joueurs aient acquis
un peu d'expérience internationale
indispensable à la
continuité des résultats, tout en
restant prudent. "On n'a pas encore
l’expérience, on va l'acquérir
et des résultats comme celui-
là font gagner du temps",
souligne le Président.
Celui-ci est particulièrement
satisfait de ses joueurs, de leur
implication et de leur intégration
dans un collectif. En creux
se dessinent les difficultés
qu’auront les absents, notamment
Franck Ribéry, sanctionné
pour son attitude en Afrique du
Sud, à retrouver une place dans
la sélection. "Le groupe a donné
satisfaction, il mérite d'être revu.
Les présents ont marqué des
points, a jugé Blanc. Les critères
de sélection vont être la qualité
individuelle mais les joueurs
vont devoir prendre conscience
qu’elles ne vont pas être suffisantes.
Il faut montrer un état
d'esprit capable de se fondre
dans un collectif", a-t-il insisté.
Avant de conclure : "On reste
en phase de construction, les difficultés
sont encore là, on en est
conscients"

Besoin de nouveaux critères»
Laurent Blanc a estimé ce mardi à Madrid qu'il fallait absolument changer la politique de détection des jeunes en France.




Laurent Blanc souhaiterait améliorer le système de détection des jeunes en France.(EQ)
Présent mardi à Madrid, dans le cadre de la neuvième conférence de l'UEFA pour les sélectionneurs, en présence de ses 52 homologues européens, Laurent Blanc a estimé qu'il fallait absolument changer la politique de détection des jeunes en France. Selon le sélectionneur des Bleus, c'est avant tout en améliorant ce système que l'équipe de France se mettra à l'abri d'une nouvelle déconvenue, comme celle vécue à la Coupe du monde 2010.

«Les critères de sélection en une seule fois (en France) étaient pour les grands joueurs, alors qu'en Espagne c'est le football qui compte, les qualités techniques, a déclaré l'ancien coach bordelais. Ces critères ne sont pas assez bons en France, nous avons besoin d'en changer. Des joueurs comme Xavi et Iniesta, en France, ils auraient du mal à passer à travers». Egalement interrogé sur la période faste actuellement traversée par l'Espagne, Blanc s'est montré assez élogieux envers la méthode appliquée par les dirigeants ibères. «Le football espagnol profite de la bonne santé de ses clubs (comme Barcelone), a-t-il expliqué. C'est un bon exemple à suivre pour toutes les nations du football.»

Pendant que le sélectionneur des Bleus, Laurent Blanc, assistera à Auxerre - Real Madrid (groupe G de C1), son adjoint, Alain Boghossian, sera, ce mardi (20h45), dans les tribunes de Stamford Bridge pour observer l'opposition entre Chelsea et l'Olympique de Marseille, comptant pour la deuxième journée du groupe F de la Ligue des champions

pour voir jouer 11jouuers potentiels

F.Malouda G.Kakuta N.Anelka
S.Mandanda Be.Cheyrou L.Rémy A.Gignac M.Valbuena
B.Pedretti
L.Diarra K.Benzema

MOI PERSO J EN CONNAIS UN MAUVAIS PREPARATEUR MENTAL

ASTROLOGUE RAYMOND L'UN CON PETANT
TU LUI DONNE UNE EQUIPE CHAMPIONNE DU MONDE IL EN FAIT DES GREVISTES





Laurent Blanc sait ce qu'il veut. Il souhaite plus de jeu après le fiasco de la Coupe du monde, il fait des choix qu'il explique en toute transparence et a déjà déclaré qu'en cas d'échec dans la course à l'Euro 2012, il quitterait ses fonctions. Le sélectionneur des Bleus veut également engager un préparateur mental, comme il l'a déclaré
.

«Je prends le temps de discuter avec les joueurs au petit-déjeuner, en faisant un billard... Il faut que ça se fasse de manière informelle, explique Blanc dans le JDD. Sinon, le joueur se renferme. Or ce qu'il va me dire est plus important que ce que j'ai à lui dire. On est les premiers préparateurs mentaux. Ce n'est pas le coeur de notre métier, mais ça le devient de plus en plus. D'ailleurs, je veux un préparateur mental pour l'équipe de France.»


«Il nous faut quelqu'un qui puisse aller à la rencontre des joueurs dans les clubs»

Qui pourrait remplir ce rôle ? «Je n'ai pas encore choisi, répond Blanc Ça m'occupe beaucoup. J'ai rencontré Jean-Marie Goyeneche qui a travaillé avec le XV de France. Je voulais déjà un préparateur à Bordeaux. Mais de manière individuelle, pas collective. Il nous faut quelqu'un qui puisse aller à la rencontre des joueurs dans les clubs. Quand ça devient tendance, beaucoup de gens se positionnent sur un créneau. Et pas que des compétents. Dans certains clubs, le préparateur mental faisait l'équipe au bout de deux mois...»

MOI AUSSI JE FAIS PARTIE DU MILIEU A LA CLAIRE FONTAINE J IRAIS ME DESALTERER


Euro2012: Laurent Blanc croit en son milieu de terrain
lundi 04 octobre 2010 à 19H25 CLAIREFONTAINE, Yvelines
- Rassuré sur l'état de santé d'Abou Diaby au début du rassemblement, lundi, de l'équipe de France de football, Laurent Blanc a laissé entendre qu'il continuerait à s'appuyer en grande partie sur les mêmes hommes samedi face à la Roumanie.

Diaby ne semblait pas trop souffrir de sa cheville touchée une nouvelle fois dimanche lors de la défaite d'Arsenal face à Chelsea (2-0) en arrivant lundi matin à Clairefontaine pour la préparation aux deux matches éliminatoires de l'Euro 2012, face à la Roumanie, et au Luxembourg mardi 12 octobre.

"Les nouvelles sont plutôt rassurantes. Il a mal à la cheville, mais rien d'inquiétant", a dit Laurent Blanc lors d'un point de presse.

Le milieu de terrain à trois composé de Diaby, du Bordelais Alou Diarra et du Rennais Yann M'Vila a joué un rôle important dans la victoire à Sarajevo, qui a relancé les Bleus après une défaite initiale au Stade de France face à la Biélorussie (1-0).

Et le sélectionneur n'a pas caché qu'il voulait faire confiance à ce trio, même avec le retour dans le groupe de deux valeurs sûres, Samir Nasri et Yoann Gourcuff.

"Le milieu de terrain a été une grande force en Bosnie", a-t-il dit, tout en reconnaissant que "personne n'est incontournable".

Laurent Blanc a estimé que cette configuration n'était pas si défensive que cela, et que Diaby notamment savait créer le danger en attaque.

"(L'entraîneur d'Arsenal Arsène) Wenger le fait jouer n°10 à Arsenal, c'est donc qu'il a des aptitudes offensives. C'est un garçon qui aime le jeu", a jugé le sélectionneur, en estimant que le Gunner avait, à 24 ans, et "peut-être plus rapidement que d'autres", le potentiel pour devenir un des cadres de l'équipe.

NE PAS SE FOCALISER SUR NASRI ET GOURCUFF

Laurent Blanc a incité les journalistes à "ne pas se focaliser" sur Nasri et Gourcuff, en n'excluant ni de les faire jouer tous les deux ensemble, ni à n'en faire jouer qu'un seul, ni à n'en faire jouer aucun.

Après avoir tressé des louanges à ses milieux de terrain actuels, le sélectionneur a été plus critique vis-à-vis de ses arrières latéraux, des postes pour lesquels, à droite comme à gauche, le football français n'est pas richement doté.

"On a pu s'apercevoir qu'au niveau solidité des latéraux, on n'a pas été performant", a-t-il fait remarquer.

Il a plus tard annoncé que le Lyonnais Anthony Réveillère, capable de jouer latéral aussi bien à droite qu'à gauche, avait été appelé pour pallier le forfait de Bacary Sagna blessé à une cuisse.

Plus généralement, Laurent Blanc a insisté sur le fait que l'ensemble du groupe issu du match en Bosnie avait un temps d'avance sur les autres.

"C'est logique. Il faut donc s'appuyer sur ce qui a été bon, et améliorer les autres points", a-t-il dit, en évoquant notamment l'efficacité offensive.

Une remarque destinée entre autres à Karim Benzema, qui est une nouvelle fois resté sur le banc du Real Madrid en championnat d'Espagne ce week-end et qui a suscité "l'agacement" du sélectionneur en faisant partie du groupe de retardataires au rendez-vous de Clairefontaine.

"Il n'a pas joué hier (dimanche) donc il aurait dû être à l'heure", a lâché Laurent Blanc; "Il y a eu du retard, on va régler le problème en interne", a ajouté, l'oeil noir, le sélectionneur, plus "Président" que jamais.

Blanc: «Ce n'est pas dangereux» 07/10/2010



Jeudi, en conférence de presse, Laurent Blanc a tenu à démystifier le rôle du «profileur» rencontré cette semaine par les Bleus. «Ne croyez pas qu'on s'est mis dans une pièce noire et qu'on s'est allongés sur un divan...»

BLANC VIENT D "ETRE PROFILE ...ET DEVIENT BRONZE ....



«Profileur.» Le terme, digne d'une série américaine, fait sourire Laurent Blanc. Le sélectionneur des Bleus parle plus volontiers d'un «préparateur mental». Mardi, les joueurs de l'équipe de France ont donc rencontré un personne censée «tirer un profil individuel de tous les joueurs, pour mieux les connaître». Une pratique que Blanc a tenu à démystifier : «On va y aller doucement, car dès qu'on parle de psychologie, de psychiatrie, ça fait peur, déplore-t-il. Mais ce n'est pas dangereux. Ne croyez pas qu'on s'est mis dans une pièce noire et qu'on s'est allongés sur un divan... Le profileur ne s'appelle pas Henry». Référence à Henry Chapier, qui recueillait les confidences de ses invités à la télévision... sur un divan.


Rami: «Je n'ai pas triché»
L'idée d'une assistance psychologique ne fait pas encore l'unanimité chez les joueurs de l'équipe de France. Mardi, Loïc Rémy et Samir Nasri n'avaient d'ailleurs pas caché leur scepticisme. Depuis, l'idée a fait son chemin. A écouter Blanc, «les joueurs se sont prêtés au jeu». «C'était nouveau pour moi mais c'était un bon moment, confirme Adil Rami. Il y avait des questions sur notre caractère, savoir si on s'estimait généreux. Les questions se ressemblent et les réponses aussi mais j'ai vraiment bien aimé. Je n'ai pas triché.»

Blanc : «Certains se cherchent toute leur vie»
Aux yeux de l'ancien coach bordelais, le recours à un «profileur» a des vertus bénéfiques. «Les joueurs disent qu'ils se connaissent. Mais certains ne se connaissent pas, même à 80 ans. Y en a qui se cherchent durant toute leur vie.» A écouter Blanc, le profileur est là pour les guider. «Mais on ne touche pas au sportif. La première personne qui touche à la psychologie des joueurs, c'est l'entraîneur. Mon rôle, c'est qu'ils soient compatibles pendant quatre-vingt-dix minutes.»

A BOIRE DOUCEMENT
ENTRE LE CAFE ET LE LAIT.............. DE CE MATIN
UN PUR DELICE
MOI EN TOUT CAS J" ADORE





Contre la Roumanie, samedi (21 heures) au Stade de France, le sélectionneur français Laurent Blanc espère surfer sur la dynamique de la victoire ramenée en septembre de Bosnie (2-0)

«Laurent Blanc, on a beaucoup parlé des blessures de Diaby et Alou Diarra tout au long de la semaine et, ainsi, du retour de Gourcuff, notamment. Qu'en est-il ?
Abou Diaby suit la séance avec nous, mais il n'est pas certain d'être titulaire, ce samedi. En revanche, Alou Diarra est quasi certain, la torsion de sa cheville va beaucoup mieux. Quant à la titularisation de Yoann Gourcuff, je crois que la presse m'a prêté des intentions qui n'étaient pas les miennes... Voilà.

Tous ces contretemps ne vous ont pas gêné pour faire l'équipe ?
Non, car c'est à chaque fois pareil. Il y a à chaque match une composition d'équipe à faire et un banc à fournir.

A quel niveau se situe la Roumanie par rapport à la Bosnie ?
Moi, je ne réfléchis pas comme ça. Chaque partie a son contexte et dans ce cadre-là, tout le monde a sa chance. La preuve ? La Biélorussie. La France était supérieure à cet adversaire, mais c'est elle qui est partie avec les trois points. Les Roumains ont dit qu'ils n'avaient pas peur des Bleus ? Qu'ils se rassurent, nous non plus, on n'a pas peur de la Roumanie. C'est la Bosnie qui est l'équipe la plus complète du groupe, mais là-bas, on a gagné parce que ce jour-là, on leur a été supérieur. Ce n'est pas plus difficile que ça. Chaque match a sa vérité.

Avez-vous en tête un schéma de jeu ?
Il ne varie pas d'un match à l'autre et en fonction de l'adversaire. On a peu de certitudes sinon quelques-unes, et on va circuler dessus. En tout cas, on a un système et on va s'appuyer dessus.


«Des jeunes joueurs qui ne connaissent pas bien le Stade de France...»

Qu'attendez-vous de cette rencontre ?
Trois points. Si on gagne et si on joue bien, je serais le plus heureux des hommes, mais le résultat est prioritaire. Vous savez que j'aime le beau football et qu'il n'y a que le beau jeu qui peut faire gagner, mais parfois...

C'est la première fois que les Bleus organisent la conférence de presse d'avant match au Stade de France et s'y entraînent. Pourquoi ?
J'ai un noyau important de jeunes joueurs qui ne connaissent pas bien le Stade de France, donc je veux qu'ils en prennent la mesure, du terrain, des vestiaires. Quand ce stade sera devenu leur jardin, quand ils compteront vingt ou trente sélections, nous resterons à Clairefontaine.

La victoire à Sarajevo, en septembre contre la Bosnie (2-0), a-t-elle fait oublier la défaite contre la Biélorussie (0-1) la semaine précédente au Stade de France ?
On a perdu, mais quatre jours plus tard, on a eu la chance de nous rattraper. Cela aurait pu être l'inverse, mais j'aime bien le scénario d'aujourd'hui, car on reste sur une dynamique.

Vous allez connaître les résultats du groupe dès ce vendredi. Ça modifie quelque chose ?
On devait tous jouer soi-disant aux mêmes heures et mêmes dates et les télés en ont décidé autrement... Maintenant, notre ambition et notre façon de nous préparer ne dépendront pas des résultats de ce soir.»

Blanc : «Quelque chose se crée
Laurent Blanc et Philippe Tournon (à gauche) quittent le stade tout sourire. (EQ)
Laurent Blanc a apprécié «l'état d'esprit» affiché par ses joueurs contre la Roumanie (2-0), samedi soir. C'est «la récompense» du travail réalisé durant la semaine, souligne-t-il.

«Laurent Blanc, si la match s'était arrêté à la 75e minute, que nous auriez-vous raconté ce soir ?
Je ne vais pas réfléchir à ce que j'aurais éventuellement pu raconter. Un match s'arrête à la 95e minute. Beaucoup de choses peuvent se passer d'ici-là, on est bien placés pour le savoir... Ça montre que l'équipe ne s'est pas découragée et qu'elle a toujours cru en la victoire. Cet état d'esprit me plaît beaucoup. Vendredi, vous me demandiez si c'était le onze de départ le plus difficile que j'avais à faire. La chose la plus difficile, ça a été de choisir 5 joueurs pour aller en tribunes. Vu la qualité des entraînements cette semaine, tout le monde aurait mérité d'être sur la feuille de match.

Même après le poteau roumain, votre équipe n'a jamais semblé paniquer. Est-ce une preuve de maturité?
Sur l'instant, oui. Sur l'avenir, nous verrons. Avant le match, j'avais dit que cette équipe manquait d'expérience. Un seul match ne peut pas combler ça. On a vécu une première période difficile contre une équipe rigoureuse, qui n'a pas pris de risques et qui nous a empêchés de se créer d'occasions franches. A la mi-temps, j'ai demandé aux joueurs d'être patients, de ne pas s'énerver. Je leur ai dit qu'il n'était pas interdit de gagner dans les 10 dernières minutes. Après la pause, le match s'est débridé. Eux comme nous, avons eu l'occasion d'ouvrir score. Ce qui a fait la différence, c'est la fraîcheur physique de ceux qui sont rentrés. C'est une très bonne chose.

Pourquoi avoir attendu la deuxième période pour prendre plus de risques ?
En première période aussi, les joueurs ont tenté, mais les espaces étaient très réduits, les lignes roumaines très serrées. Ça a été un match difficile. Les joueurs ont tout donné. Ils ont été récompensés, mais tout le monde est très fatigué.

Rémy et Gourcuff buteurs, Payet passeur décisif... C'est une victoire venue du banc ?
Oui, les matches, il faut les jouer à 14. C'est ce que j'ai dit aux joueurs. Ceux qui sont sortis ont fait ce que l'on attendait d'eux. Leurs remplaçants ont profité de leur travail. Je vous avais dit qu'on avait réalisé une belle semaine de travail. Avec la victoire, vous serez tous d'accord avec moi, mais je sais très bien que si on avait perdu, vous en auriez douté... C'est pourtant bien réel. Quelque chose est en train de se créer. A nous de garder cet état d'esprit parce que des périodes délicates, il y en aura. Pour l'instant, on savoure.

Grâce à ce succès, les Bleus prennent la première place du groupe. Comment percevez-vous cette position nouvelle ?
On est preneurs, même si on sait que les éliminatoires durent un certains temps. On va affronter le Luxembourg, ensuite il y aura deux matches amicaux, puis une longue coupure... Il faudra faire ce qu'il faut pour passer l'hiver au chaud.

Des changements sont-ils à attendre contre le Luxembourg ?
On verra. Il faudra prendre en considération la fraîcheur physique des uns et des autres. Si on sélectionne 23 joueurs, c'est dans cette optique. On va bien réfléchir à tout ça, mais ce n'est pas impossible qu'il y ait de nouveaux joueurs sur la pelouse mardi soir».

MERCI LOLO

DEMAIN CONTRE LE LUXEMBOURG
Des changements en perspective

LOLO NOUS FAIT UN ORGASME DE JOUEURS


C'est un sentiment assez grisant
pour un sélectionneur", s’est réjoui Laurent Blanc



Laurent Blanc ne l’a pas caché : il
a fortement apprécié la prestation
de sa troupe, samedi soir au
Stade de France. Mais le sélectionneur
ne devrait pas pour
autant reconduire la même équipe,
demain soir à Metz, contre le
Luxembourg. "On va bien réfléchir
à tout ça mais il ne serait
pas impossible qu'il y ait de nouveaux
joueurs sur le terrain", a assuré hier le "Président",
précisant également que les 5 joueurs qui étaient en tribunes
samedi (Carrasso, Cissokho, Diaby, Matuidi et Gameiro),
pourraient bien se retrouver dans le groupe, voire
titulaires pour certains. "J'ai un groupe de joueurs où
tout le monde peut jouer. C'est un sentiment assez grisant
pour un sélectionneur", s’est réjoui Laurent Blanc

MEFIANT MAIS RUSE

LE LUXEMBOURG JOUE A DOMICILE ENFIN PRESQUE

Blanc, méfiant quand même
Le Luxembourg a beau être étiqueté «adversaire le plus faible des Bleus», Laurent Blanc se méfie particulièrement de sa venue à Metz, mardi soir.

Laurent Blanc sait qu'il faudra marquer vite contre le Luxembourg pour se faciliter le match.
Pas de distinguo entre les adversaires. Même pour le Luxembourg, 116e nation FIFA, et lanterne rouge du groupe D avec zéro but marqué.


Avant la venue du Grand-Duché à Metz, Laurent Blanc a réfuté l'idée que la sélection de Luc Holtz constituait une proie facile. Son maître mot ? «Respect». Le sélectionneur a préparé ce rendez-vous avec le même sérieux que s'il s'agissait «de l'Angleterre ou du Brésil», les deux prochains adversaires des Bleus en amical. Au programme : lecture des rapports que lui ont adressé ses adjoints, visionnage de quelques vidéos, avant une autre séance, collective cette fois, prévue le jour du match. Blanc sait déjà tout de l'opposition qui l'attend mardi soir.

«Sauf bonne surprise», elle ne devrait pas être sensiblement différente de celle proposée par la Roumanie au Stade de France, samedi soir. A force de la pratiquer, Blanc connaît la recette à appliquer : «Percuter, partir de loin, se projeter rapidement vers l'avant, passer sur les côtés, mais surtout, marquer rapidement». Plus facile à dire qu'à faire. Excepté contre le Costa Rica, en mai dernier -et encore, ils avaient bénéficié d'un csc...-, les Bleus n'ont plus marqué le moindre but en première période depuis treize rencontres. Si le Luxembourg présente le profil idéal pour y remédier, Blanc replonge dans ses souvenirs de joueur pour faire part du «danger». Avec les Bleus, il a également connu des matches compliqués face à des adverses dits faciles. De mémoire : un Andorre-France enlevé à la dernière minute grâce à un but de Leboeuf, ou encore un match contre l'Albanie «arraché» grâce à une tête de Basile Boli.

ALLEZ LES BLEUS


«Ça arrive à toutes les nations, souligne-t-il. Quand tu n'ouvres pas le score au bon moment, que tu tombes contre une équipe qui défend bien, avec un bon gardien, et que le temps continue de défiler, eh bien tu t'énerves, tu ne fais plus les bons choix. C'est ce qu'on veut éviter». Le respect qu'il témoigne au Luxembourg se traduit dans la façon dont il a préparé ce match. Dans le onze qu'il alignera mardi soir également. Blanc n'est «pas là pour faire des cadeaux». Il ne profitera pas de cette rencontre pour procéder à des essais ou donner du temps de jeu à ce qui n'en ont pas eu. «Ce qui m'intéresse c'est gagner, insiste-t-il. Si on était à deux journées de la fin, avec 5 points d'avance sur le second, j'aurais sans doute procédé différemment». Ses Bleus n'en sont pas encore là.

LUCIDE LOLO ET REALISTE ...........

L'équipe de France n'est «pas au niveau» de l'Angleterre et du Brésil. Laurent Blanc est lucide. Avant ces deux matches amicaux, prévus le 17 novembre à Londres face à l'Angleterre, et le 9 février au Stade de France devant le Brésil, les Bleus ont encore du pain sur la planche. «Je vois déjà les titres : "On va savoir enfin ce que vaut l'équipe de France" : ça, je n'en ai rien à faire, a ainsi prévenu le sélectionneur national ce mercredi. Les deux amicaux vont être des matches pour essayer de progresser dans notre construction. On va les jouer avec beaucoup de plaisir et l'intention de faire des résultats. Mais on n'est pas au niveau de ces équipes, il faut se rendre à l'évidence.»

Concernant les Trois Lions, «même si c'est toujours compliqué d'aller jouer là-bas, il faut quand même reconnaître que ça fait un moment que l'Angleterre ne gagne plus rien, a avancé le champion du monde 1998. C'est un Championnat certes relevé, mais avec beaucoup d'étrangers. Jouer à Wembley un Angleterre-France, ça reste particulier, c'est des matches très plaisants à jouer». Quant au Brésil, Laurent Blanc a simplement estimé que cette nation faisait «partie des deux meilleures équipes du monde

on en profite ensuite pendant 3 mois ca va se calmer sur lui jusqu"en mars 2011 et le match au luxembourg

En conférence de presse ce mercredi, Laurent Blanc est revenu sur les performances de l'équipe de France, victorieuse de la Roumanie (2-0) et du Luxembourg (2-0). Le sélectionneur tricolore a également évoqué plusieurs cas individuels.


Les motifs de satisfaction sont nombreux pour Laurent Blanc et le sélectionneur national ne s'est pas privé de les mettre en avant. «Obtenir deux victoires, c'est la grosse satisfaction de ce stage. (...) L'objectif était qu'on arrive à bien vivre ensemble et c'est le cas pour l'instant. (...)
Je n'ai pas regardé le classement, mais au niveau comptable, ces neuf points sont un très bon acquis, a assuré le technicien tricolore. On est réalistes. On s'est attaqué à ce chantier après la Coupe du monde et des progrès restent encore à faire.»


Mention spéciale pour Payet et Gourcuff
Côté joueurs, Blanc a salué - entre autres -la bonne intégration de Dimitri Payet. «Il a fait un excellent début de saison et une excellente rentrée contre la Roumanie. On est très satisfaits de son comportement sur ce stage, a-t-il assuré. Mais je lui ai aussi dit que cela allait être difficile de continuer comme ça. Alors patience...»

Même son de cloche concernant Yoann Gourcuff qui, malgré un début de saison compliqué en club, garde toute la confiance du sélectionneur national : «On sait ce qu'il est capable de faire, c'est pour ça qu'on l'a appelé pour les deux matches. Il a besoin de retrouver une certaine joie de jouer. Et pendant ces dix jours, on a vu une personne heureuse.»

Malouda et Benzema ne l'inquiètent pas
Concernant Florent Malouda, Blanc, s'il a reconnu la baisse de forme du joueur de Chelsea, a assuré ne pas s'en inquiéter. «Il y a trois semaines, on était unanimes sur le fait que Flo était le meilleur joueur français. Ca arrive de rater des matches. Il n'était pas au mieux, mais il reste parmi les meilleurs joueurs français.» Même indulgence avec Karim Benzema à qui il souhaite donner un coup de main. «Même si on sait qu'il n'est pas au top physiquement, il a besoin d'enchaîner les matches et de prendre confiance. Et comme il ne joue pas assez en club, ça devient compliqué. A lui de résoudre ce problème et nous on va l'aider à le résoudre