SUPPORTERS DES BLEUS

"Jeter le bébé avec l’eau du bain"
Vrais connaisseurs, ils ont tous regardé le
match. Sans illusions. Jean-Louis Bianco, député
PS de Digne, avait déjà signé une pétition demandant
à ce que la prime de 5 millions d’euros promise
à l’équipe de France soit reversée au monde
amateur. "Pour l’image de la France, c’est catastrophique,
souffle celui qui fut porte-parole du gouvernement
sous Mitterrand. Nous avions, avec
notre équipe métissée, une bonne cote de sympathie
dans le monde. Tout est à refaire." Ulcéré, le
député UMP marseillais Renaud Muselier voit
dans le feuilleton des Bleus, ses défaites, ses insultes,
sa grève de millionnaires, "un vrai discrédit,
des dégâts considérables pour nos relations internationales.
Il faut que les politiques donnent des
signes forts en faisant en sorte de tout changer."
Des politiques qui, à l’image de la ministre des
Sports, Roselyne Bachelot, se voient contraints
de réagir. "Il y a un problème réel de responsabilités,
assure le député européen MoDem, Jean-Luc
Bennahmias. Le ministère des Sports aurait dû taper
du poing sur la table il y a un an au moins. Il
faut tout remettre à plat." Reste à savoir dans
quelle mesure. La fédération française devra rendre
des comptes. "Ce sera l’occasion de réfléchir
sur le sport de haut niveau, remarque Jean-Marc
Coppola, conseiller régional PCF. Ces résultats
sont aussi ceux d’une politique marchande du
sport. L’argent est concentré pour quelques-uns
au détriment du foot amateur et des jeunes. Notre
responsabilité se situe au niveau des valeurs."
Partagés entre l’envie de "jeter le bébé avec
l’eau du bain, de régénérer totalement" (Muselier)
et le souhait "d’encadrer beaucoup mieux la gestion"
(Coppola), les politiques s’attendent à quelques
lendemains délicats. "Il faut pourtant penser
à l’Euro 2016, en France", souligne Bennahmias.
Bianco compte lui sur l’OM "qui reste un
étendard de valeurs sociales", pour redorer le blason
du foot français.







"On est la risée dumonde entier"
Les chefs d’entreprise ne sont pas tendres avec
l’équipe de France. Dont ils considèrent, unanimement,
"qu’elle a franchi les limites de l’indécence".
Un constat qui a poussé certains sponsors à
revoir leur position. Mais un constat qui perturbe
aussi ceux des décideurs qui, bien que n’étant
que spectateurs, redoutent à présent un impact
sur l’image du pays à l’étranger. "Je déjeunais tout
à l’heure avec des responsables de zone. Ils m’ont
justement raconté comment ils étaient l’objet de
railleries de la part de leurs interlocuteurs", rapporte
Alain Tricolet, le président du groupe Genoyer,
spécialisé dans la production et le négoce
de matériels destinés à l’industrie pétrolière. "J’ai
moi-même eu un interlocuteur italien qui m’a demandé,
un peu moqueur, ce que je pensais de tout
cela. Ce n’est pas méchant, c’est vrai, mais on sent
bien qu’on nous pointe du doigt. Ce d’autant que
la France est un pays discuté. On dit souvent de
nous que nous donnons des leçons, qu’on est arrogant.
Cela ne va pas arranger les choses. Mais je ne
pense pas que cela aura un impact sur les affaires.
Le foot peut aider, mais il ne fait pas tout. Loin de
là". "Il vaut mieux être du côté des gagnants que de
celui des perdants", assène Régis Arnoux, le président
de CIS. Une entreprise qui assure l’hébergement
et la restauration sur les chantiers hors de
France. "On ne nous imputera pas le comportement
de l’équipe, mais on est la risée du monde entier.
On se ridiculise. Je reçois en ce moment les directeurs
des pays, on évite de parler de football !
C’est triste que tout cela. Le problème, c’est que le
spectacle donné peut contribuer à des amalgames.
Surtout pour nous qui travaillons dans des pays
où le niveau de vie est loin de celui de nos joueurs !"
"Je n’ai pas eu de réflexion ou de commentaire",
indique Hervé Balladur, à la tête de la société de
transit maritime HBI. "Mais pour moi, ce qui s’est
passé est quelque part le reflet du malaise social de
la France".

Elimination des Bleus : "une profonde tristesse" pour Deschamps
Publié le jeudi 24 juin 2010 à 19H31


Interrogé par La Provence, l'entraîneur olympien Didier Deschamps a fait part de son sentiment personnel après l'élimination prématurée de l'équipe de France lors de la coupe du monde en Afrique du Sud : "Je suis très attaché à ce maillot. Il m’a tant apporté durant toute ma carrière. Je ressens donc une profonde tristesse, confie le champion du monde 1998 et d’Europe 2000. Je suis triste de voir ce qui s’est passé."

Pour autant, l'ancien capitaine des Bleus ne souhaite pas alimenter le débat : "Je ne suis là pour juger ni les joueurs, ni l’entraîneur, ni les dirigeants. Je ne veux vraiment pas tirer sur l’ambulance. Je ne peux faire que le constat et il fait très mal sur un plan national. Il est aussi très important que le football français soit crédible au niveau international. Là, on a perdu énormément de crédibilité aux yeux du monde entier. Car il s’agit d’une compétition retransmise à travers la Planète. Dès lors, forcément, ça met un gros coup sur la tête."

quand evra parle de haine de raymond envers les journalistes

et quand on voit cequi suit on se dit qu'il etait persuadé que l'équipe de france lui appartenait comme sa petite entreprise artisanale
pauvre fff qui a donné les clefs du camion à un chauffard déficient mental

juste avant le Mondial, Raymond Domenech et son staff avaient formulé
un ensemble d'ordres que devaient suivre les joueurs en Afrique du Sud.
L'ex-sélectionneur aurait ainsi demandé aux hommes qui assuraient la sécurité des 23
de veiller à ce qu'aucun d'entre eux ne signe d'autographe la veille d'un match !
Motif d'une telle démarche : ne pas les déconcentrer.
c"est du n'importe quoi et la fff elle intervenait comment sur la com

LA GREVE AURA ETE LE SEUL MOYEN DE BOUSCULER TOUT CE FOUTU FATRAS FRANCAIS ADMINISTRATIF
IL ME SEMBLE QUE L"ENSEMBLE DU CONSEIL FEDERAL DOIT DEMISSIONNER DEMAIN

bienvenou a écrit:quand evra parle de haine de raymond envers les journalistes

et quand on voit cequi suit on se dit qu'il etait persuadé que l'équipe de france lui appartenait comme sa petite entreprise artisanale
pauvre fff qui a donné les clefs du camion à un chauffard déficient mental

juste avant le Mondial, Raymond Domenech et son staff avaient formulé
un ensemble d'ordres que devaient suivre les joueurs en Afrique du Sud.
L'ex-sélectionneur aurait ainsi demandé aux hommes qui assuraient la sécurité des 23
de veiller à ce qu'aucun d'entre eux ne signe d'autographe la veille d'un match !
Motif d'une telle démarche : ne pas les déconcentrer.
c"est du n'importe quoi et la fff elle intervenait comment sur la com

pas que moi qui le pense

la veille du conseil fédéral, qui entérinera la démission de Jean-Pierre Escalettes de son poste de président de la Fédération française de football, ça s'agite en coulisses. Tour d'horizon de la suite possible des événements.

Jean-Pierre Escalettes ne sera plus président de la Fédération Française de Football (FFF) vendredi. Il remettra sa démission au conseil fédéral qu'il a convoqué ce jour-là. Sera-t-il le seul à quitter son poste ? Certains, qui se sentent aussi responsables que leur président du lamentable spectacle offert par les Bleus en Afrique du Sud, pourraient l'imiter à titre individuel. Mais une démission collective et solidaire du conseil fédéral est aussi dans l'air. Ce jeudi, les membres issus du monde amateur du conseil fédéral vont en débattre entre eux, ceux issus du monde pro aussi. Pour adopter une position commune ?

Une mise sous tutelle ? Impensable
Une démission collective avec effet immédiat est exclue. Devant le vide juridique qui s'en suivrait, la FFF risquerait de se retrouver mise sous tutelle par les pouvoirs publics. Impensable ! Mais le conseil fédéral pourrait bien choisir dès ce vendredi de remettre sa démission à l'assemblée fédérale élective qui serait convoquée pour le mois de septembre. Jusque-là, ledit conseil expédierait les affaires courantes, après avoir choisi parmi les membres du bureau de la FFF celui qui assurerait l'intérim de Jean-Pierre Escalettes dans les fonctions présidentielles.

Quatre noms se détachent pour succéder à Escalettes

Aujourd'hui, quatre noms se détachent pour occuper le fauteuil présidentiel bientôt vacant : Fernand Duchaussoy (le président de la Ligue amateur), Bernard Desumer (le trésorier de la FFF), Christian Teinturier et Noël Le Graët (vice-présidents de la FFF). Les uns consultent, les autres s'interrogent, les tractations sont en cours... Et bien des positions peuvent encore changer.

allez il faut repartir à la reconquete des supporters des bleus
et aimer notre équipe
quoi de plus beau

Caïds
J'ai travaillé comme enseignant
dans le milieu carcéral
pendant quatre ans, en particulier
avec les jeunes majeurs
et mineurs délinquants. Je
constate que la culture des
caïds des quartiers a gagné même
l'équipe de France de foot,
en tout cas sur quelques éléments
dont les journaux ont retracé
les tristes "exploits".
Comme les délinquants, ils affichent
le même goût de l'argent
vite et facilement gagné,
le mépris des valeurs traditionnelles,
le refus de l'intégration,
haine de l'intelligence et de la
réussite scolaire (d'où le rejet
de G o u r c u f f ) , c u l t u r e
bling-bling (grosses bagnoles
et jet-set), vocabulaire primaire
et vulgarité , etc. Quel
contraste avec les joueurs de
rugby!
JacquesCavelier, Robion
Luxe
Ils aiment le luxe, quelquefois
aussi la luxure. Ils ont
pour principal repère leurs salaires
mirobolants. Ils pratiquent
un constant décalage
entre leurs discours et leurs actes,
au point de transformer
leur excès de confiance en
abus de confiance. Bien sûr, ils
adoptent la posture de la solidarité,
de l’unité. Mais ils sont
si éloignés du peuple et des
réalités de la vie, que leur nombrilisme
supplante volontiers
l’intérêt général. Par bonheur,
il ne s’agit que des joueurs de
l’équipe de France de football.
Ces agissements n’assombrissent
donc guère les... riantes
perspectives d’avenir de notre
pays.
RenéROBERT, Aiguille
Drapeau
À l'instar des Américains accrochons
notre drapeau sur
toutes nos maisons, tous nos
balcons. Ne soyons pas patriotes
seulement pour la coupe
du monde mais à tous les instants
de notre vie : pour notre
fierté et l’honneur de ceux qui
sont tombés et tombent encore
aujourd’hui pour nos couleurs
!
Gilbert Beziat, par courriel

aladin a écrit:allez il faut repartir à la reconquete des supporters des bleus
et aimer notre équipe
quoi de plus beau

RADICAL
FAIRE TABLE RASE ET RECONSTRUIRE...

Le Brésilien Juninho a eu des mots très durs envers le sélectionneur qui a été limogé ce dimanche. Pour l'ex- Lyonnais, cela ne fait aucun doute : Dunga est «le premier responsable» de l'élimination de la Seleçao, en quarts de finale de la Coupe du monde. Après la défaite face au Pays-Bas (1-2), l'ancien auriverde (40 sélections, 6 buts) s'est dit «déçu mais pas surpris», «Cette équipe était bancale», affirme Juninho, qui reproche notamment la non-sélection de Ronaldinho qui, «même à 70%, est meilleur que la plupart de tous les autres». Juni déplore aussi la tactique utilisée par Dunga : «C'est regrettable d'avoir renié notre style. Il n'y avait pas de créateurs. Plusieurs joueurs n'étaient pas à leur poste. En Coupe du monde, ça ne pardonne pas. Dunga a commis beaucoup d'erreurs.»

«Il faut tout changer»
En fin connaisseur du football hexagonal, le septuple champion de France avec l'OL fait le parallèle avec Raymond Domenech : «Ils se ressemblent. Dunga aime bien le conflit, il s'en nourrit. Sa communication a été catastrophique.
Il a instauré une énergie négative autour de la Seleçao. Il a fait comme Domenech et s'est retrouvé dans la posture du "seul contre tous".
» Et comme de nombreux joueurs l'ont fait en France, il préconise des mesures radicales : «Il faut tout changer pour préparer le Mondial 2014, chez nous. Changer l'entraîneur, la commission technique, le service médical, les attachées de presse. On ne peut pas rester comme ça.» Pour l'entraîneur, c'est chose faite, puisque Dunga a été remercié dimanche

. Pour le reste, comme en France, cela risque de prendre plus de temps.

EDF TOP DU TOP ...BIEN EVIDEMMENT EN FRANCE DU FOOT Y A PAS MIEUX

LOLO VA NOUS REDONNER LA LUMIERE ET RANIMER NOTRE FLAMME
..ENFIN ALLAIS JE DIRE


«Pour moi (...) l'équipe de France c'est le top du top». L'ère de l"arrogant est officiellement révolue.
Laurent Blanc a passé ce mardi matin son premier grand oral en tant que sélectionneur de l'équipe de France. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça fait du bien... à tout le monde. «Constat ou aveu ? Je suis très fier d'être là», lâche-t-il. Un soulagement donc pour Laurent Blanc mais également pour les joueurs, désormais sous la direction d'un véritable patron, ce qui manquait cruellement depuis le départ de Zinedine Zidane en 2006. Un soulagement aussi pour les journalistes qui devraient enfin avoir des réponses concrètes et sans langue de bois. Bref, l'optimisme est de rigueur après cette première conférence de presse de l'ancien président des Bleus.

«Restaurer la confiance»
Les attentes sont nombreuses autour du «messie» tricolore. Et forcément, Laurent Blanc devra rapidement y répondre. Mais il faudra encore faire preuve d'un peu de patience pour en savoir un peu plus sur ses intentions et futurs projets. L'ancien entraîneur des Girondins de Bordeaux n'a pour le moment pas parlé tactique ni dévoilé les noms des joueurs qui formeront l'ossature de sa sélection. Blanc veut construire une équipe qui «subira le moins possible» et «imposera sa façon de jouer aux adversaires». Il veut également placer l'équipe de France rapidement «sur de bons rails», «ranimer la flamme», et «restaurer la confiance» et «l'affectif à l'intérieur du groupe».

«Respect et faire respecter l'équipe de France»
Il ne s'est pas non plus étendu sur l'attitude pathétique des Bleus pendant le Mondial en Afrique du sud, préférant tourner la page. Seulement «indigné par certains comportements» avec Domenech, il imposera «rigueur et discipline, et personne ne sera exonérée de ce critère de choix, qu'il s'appelle Pierre, Paul ou Jacques.» S'il n'a pas dévoilé la composition complète de son staff, car «des réflexions sont encore en cours», Laurent Blanc a cependant confirmé les noms de Jean-Louis Gasset, Alain Boghossian, Marino Faccioli (direction administratif), Henri Emile (coordinateur sportif) et Philippe Tournon (chef de presse) pour imposer le «respect et surtout faire respecter l'équipe de France».

Premier examen pour le nouveau sélectionneur le 5 août prochain à Oslo, en amical face à la Norvège. Une chose est sûre, Laurent Blanc a «beaucoup d'ambitions sportives».


ENFIN
ON VA REFAIRE PEUR
AU LIEU DE FAIRE ...RIRE

IL N "Y A QUE LE CONSEIL FEDERAL QUI N A PAS VU ARRIVER LA PATATE CHAUDE

BIEN SUR IL FALLAIT METTRE LAURENT BLANC EN JANVIER 2010
RIEN QUE POUR LEUR MANQUE DE DISCERNEMENT ILS DEVRAIENT TOUS DEMISSIONNER
SAUF CELUI QUI VOULAIT L"ENLEVER

Chris Waddle Ça a transformé la France en sujet de rigolade.
Comment une grande nation de football comme
la France, qu’on voyait atteindre les quarts, a-t-elle
pu en arriver là ? Qu’un ou deux joueurs disent
qu’ils n’aiment pas l’entraîneur, ça peut passer,
mais pas une telle accumulation! Laurent Blanc
va devoir affirmer : "C’est ainsi et pas autrement !
Je veux des joueurs qui veulent jouer pour la France".
D’ailleurs, il aurait fallu le mettre en place
avant le tournoi. Personne n’est plus grand que la
France, aucun joueur, aucun coach.

J"ai regardé avec assiduité les 90 minutes

Faux départ pour les Bleus
Malgré un but de Ben Arfa,
l’équipe de France s’est inclinée (2-1)
hier soir en Norvège pour la première de Laurent Blanc.

CULTURE DE LA GAGNE
IMAGE FORTE DU FOOT FRANCAIS
mercredi 1 septembre 2010 00:11
Le «plaisir» d'avoir Zidane
Zinédine Zidane passera la journée de mercredi avec l'équipe de France. Les joueurs sont déjà conquis par l'initiative de Laurent Blanc.


A l'invitation de Laurent Blanc, Zinedine Zidane passera la journée de mercredi avec les joueurs de l'équipe de France. Le nouveau sélectionneur des Bleus compte instaurer régulièrement des rencontres entre les anciens internationaux et la génération actuelle. Un rendez-vous qui promet. « Ça me fera plaisir de le voir et je pense que le plaisir sera partagé, a confié Blanc ce mardi à Clairefontaine. Je crois que ceux qui seront présents auront un grand plaisir à le voir. » Blanc souhaite que Zidane transmette son extraordinaire vécu, sa culture de la gagne et le respect du maillot bleu. « On sait tous ce qu'il a fait durant sa carrière, certains ne connaissent pas l'homme, a souligné le Cévenol. L'homme est très intéressant aussi. On va le côtoyer dans un contexte très particulier, très intime. Ce sera intéressant pour nous et pour lui aussi j'espère. »

Si Zidane donnera de la voix, l'ancien numéro 10 des Bleus pourrait bien en profiter pour s'immiscer dans les petits jeux à l'entraînement. « Il n'est pas prévu que ce soit une journée ludique mais plutôt une séance technique », a confirmé Blanc, qui ne tarit pas d'éloges sur Zizou l'enchanteur. Soufflé par sa technique encore intacte, le président lui a rendu un bel hommage. « Techniquement, il est fort, on l'a vu à Nantes. Ce qu'il fait, c'est exceptionnel. Il a une relation avec le ballon qui est formidable et ça il l'aura toute la vie. C'est beau». Le milieu Yann Mvila pense pour sa part que Zidane « est encore meilleur » que les Bleus actuels.

Le Rennais a hâte de partager cette journée avec un tel monument. « Ce sera un grand moment pour tout le monde, a-t-il ajouté. C'est le meilleur joueur de tous les temps pour certains, pour moi aussi. » Louis Saha avait, lui, marqué son premier but en équipe de France sur une passe de Zidane. Autant dire que ce cadeau ne s'oublie pas : « Ce sont des moments forts dans la tête», a confié l'attaquant d'Everton. Pour Hugo Lloris, Zidane fait partie « des joueurs qui ont gagné avec la sélection, qui ont apporté énormément au football français, qui ont une connaissance du haut niveau, une culture de la gagne. » Zidane n'est pas encore à Clairefontaine que sa venue est déjà un plébiscite. -

FAIS GAFFR LOLO C EST DEUX ESPIONS BELARUSSES DU KAJIBI

L’HISTOIRE
Olga et Yann, deux hymnes à l’amour


Yann et Olga, ici devant la Forteresse de Brest,
fiers d’assister à ce 1er France-Bélarus




L’UEFA et son président Michel Platini ont-ils
reçu un faire-part de mariage pour le vendredi
17septembre, au pays des Abers, en Bretagne ?
Car en désignant le Bélarus comme l’un des cinq
adversaires des Bleus, le hasard a bien fait les
choses pour... Yann et Olga. Réunis ce soir, pour
la première fois au Stade de France à l’occasion
d’un match de football, ils s’apprêtent à vibrer à
chaque note des hymnes. Lui le Marseillais, elle
la fille de Minsk; lui le supporter de l’OM, fidèle
du virage Sud au Vélodrome jusqu’en 2003 et
son départ à Paris, elle pour qui le ballon rond
se résume à quelques souvenirs du Dinamo et de
la coupe du Monde, "universelle" ; lui l’ingénieur
de recherche, chef de projet dans un grand groupe
du secteur de l’énergie, elle la traductrice interprète
(français, russe, allemand, biélorusse -
"la langue la plus mélodieuse après l’italien" -,
et anglais, ouf !).
Ce soir, plus que jamais ils ne feront qu’un.
"Bien sûr que j’attends beaucoup du renouveau
de l’équipe de France version Laurent Blanc,
mais c’est aussi l’occasion de parler du Bélarus,
de faire la promotion de ce pays à travers des
reportages, espère Yann, passé par la Roseraie à
Endoume, Marseilleveyre, Thiers et l’Ensspicam
(aujourd’hui Centrale Marseille) à Saint-Jérôme.
J’aimerais une victoire des Bleus, mais pas sur
un score fleuve. Un joueur bélarusse ? Alexander
Hleb, l’ancien d’Arsenal ; les autres..."
Pour Olga - "Volha" en version originale -, être
spectatrice d’une rencontre entre ses deux pays
de coeur suscite chez elle un sentiment de fierté,
cinq ans après ses premiers pas en France.
C’était à La Tremblade, en Charentes-Maritimes,
pendant six mois, avant de mettre à son tour
le cap sur la capitale, direction La Sorbonne. Là,
loin du collège linguistique de Minsk, elle a choisi
de se spécialiser dans la traduction juridique et financière
; une activité qu’elle entend développer à
présent via sa petite entreprise.
En attendant, elle se délecte des souvenirs de
Marseille, des Calanques "si blanches face à la mer
bleue turquoise", de la Corniche "indescriptible" ;
et, inévitablement, de ce 17 septembre 2006, jour
de leur rencontre au Palais du Luxembourg, lors
des Journées du Patrimoine. Une visite que ni Olga,
ni Yann ne sont près d’oublier ; celle, ce soir, du Stade
de France non plus. Allô "Platoche", t’es libre

LES SPONSORS DE
L EDF CHANGENT

CITROEN REMPLACE TOYOTA
ET LE PMU SUPPORTE LES BLEUS


SACHEZ QU ILS LE FONT CAR ILS ESPERENT AVOIR DES RETOURS SUR INVESTISSEMENT



LE CREDIT AGRICOLE EST DEVENU PARTENAIRE DE TOUS LES FOOTBALL ET PLUS DES BLEUS
CAR IL AVAIT PEUR DE PLONGER AVEC LES BLEUS

LES VRAIS SUPPORTERS C LES PURS ET DURS COMME NOUS ...
SANS ARGENT SANS ARGENT DU BEURRE ET SANS REPROCHES

MOI QUI VOULAIT ALLER VOIR UN MATCH DE L"EDF
ENTRE OCTOBRE 2010 ET MAI 2011
POUR FAIRE UN REPORTAAGE
LE CALENDRIER EST FORTEMENT BIZARRE
il reste 4 matchs a domicile et du 12 octobre 2010 au 8 octobre 2011 aucun
je pense que je ferais celui du luxembourg en mars 2011


sam 09/10/2010 FRANCE ROUMANIE 21h00
mar 12/10/2010 FRANCE LUXEMBOURG 21h00
sam 26/03/2011 LUXEMBOURG FRANCE 21h00
sam 04/06/2011 BELARUS FRANCE 21h00
sam 03/09/2011 ALBANIE FRANCE 21h00
mar 06/09/2011 ROUMANIE FRANCE 21h00
sam 08/10/2011 FRANCE ALBANIE 21h00
mar 11/10/2011 FRANCE BOSNIE 21h00

Le message de Just Fontaine aux Bleus
Après Zidane, il devait se rendre demain auprès du onze de France mais il a dû «déclarer forfait».



Ce n'est que partie remise pour «Justo», incomparable conteur, qui . Victime d'un petit problème de santé il y a 15 jours, Just Fontaine ne pourra pas honorer l'invitation de Laurent Blanc. Partie remise. Voici ce qu'il voulait dire aux Bleus.

Un mois après la visite de Zinédine Zidane, à l'occasion des matches contre la Biélorussie et la Bosnie en septembre dernier, Just Fontaine devait être l'invité d'honneur de Laurent Blanc et des Bleus, demain à Clairefontaine.Un voyage que le recordman indéboulonnable des buts inscrits pendant une seule Coupe du monde (13 en 1958) prenait très au serieux mais qu'il ne pourra pas effectuer.

Justo, que vous est-il arrivé?

«J'ai eu un petit AVC (accident vasculaire cérébral) il y a 15 jours... Je ne me suis rendu compte de rien, simplement j'étais un peu fatigué et j'ai passé un scanner de contrôle qui vient de révéler le «pépin»... J'ai commencé un traitement et je vais bien mais je dois effectuer quelques examens complémentaires ce qui m'empêche de me rendre à Clairefontaine»

Que vouliez-vous dire aux joueurs de l'équipe de France?

« Je voulais leur parler du maillot, de la fierté à le porter. Leur dire de se lâcher et de ne pas se mettre la pression. À l'époque, un journaliste avait écrit de moi que Fontaine c'est 20 % de talent et 80 % de sueur, et j'ai pris ça comme un compliment ! En Suède, j'avais toujours le maillot trempé ».

C'est bien de faire appel aux anciens…

« C'est sympa de la part de Laurent Blanc, oui. Et je pense effectivement qu'il y a toujours quelque chose à apprendre des anciens. En plus j'ai été président du syndicat des joueurs, et c'est bien que ceux d'aujourd'hui se rappellent que les vieux c… se sont battus pour eux ».

Vous n'aviez pas peur tout de même que certains ne sachent pas qui vous êtes ?

« Ils savent qui je suis, tout de même ! Mais je préfère effectivement qu'ils se souviennent du président du syndicat des joueurs que du meilleur buteur de la Coupe du monde. Parce que je vous garantis que ce fut plus facile pour moi de mettre treize buts en un Mondial que de faire aboutir le contrat à temps qui existe encore aujourd'hui ! Avant 1986, il n'y avait que deux pays dans le monde qui l'avait, l'Espagne parce que le gouvernement l'avait décrété, et la France, grâce au syndicat des joueurs au début des années soixante ».

Vous alliez bien leur en raconter quelques-unes, tout de même…

« À mon avis, ils m'attendaient plus pour les blagues que pour les conseils footballistiques! J'allais quand même leur parler de football, d'autant que j'allais avoir des tête-à-tête avec les attaquants. Mais ils ont déjà pris un bon tournant avec la victoire en Bosnie, et j'espère qu'ils vont continuer ! »


Le chiffre : 13
buts> Coupe du monde 1958. Chiffre magique pour Just Fontaine et record qu'il a établi, à jamais et pour toujours, lors de la Coupe du monde 1958 en Suède. 3 buts contre le Paraguay, 2 contre la Yougoslavie, 1 contre l'Ecosse, 2 contre l'Irlande Nord, 1 contre le Brésil en demi-finale et 4 contre l'Allemagne lors du match pour la 3ème place.

Bleus - Les supporters répondent présent

Le site Internet de la FFF indique qu'il ne reste plus que trois mille billets pour France-Roumanie ce samedi soir (21h00). Ces places sont toujours disponibles dans les points de vente habituels ainsi qu'au guichet billetterie du Stade de France (à des prix allant de 20 à 100 euros). La barre des 80 000 spectateurs pourrait être atteinte, soit presque la capacité maximale de l'enceinte dyonisienne (un peu plus de 81 000 spectateurs).


EN REALITE 79300 SPECTATEURS ....
.....

LOLO RECONCILIE LA FRANCE AVEC LES BLEUS ..
PAUVRE TARTUFFE DE DOMENECH DANS SON COIN

L’ENTRAÎNEMENT
Bain de foule à Enghien



Hier matin, les vainqueurs de la Roumanie sont restés aux
soins,
Laurent Blanc privilégiant la récupération. Ceux qui ont
peu ou pas joué samedi ont quant à eux pris la direction du
Stade de France pour un léger entraînement. Les Bleus rejoindront
Metz aujourd’hui, afin de préparer leur deuxième match
en quatre jours, demain face au Luxembourg

2500 a wembley
ca peut etre interessant de se rapprocher d eux pour un reportage photos

MOI OUI
UN ADVERSAIRE PARAIT FAIBLE LORSQUE LOPPOSITION EST FORTE
PRIVES DE BALLONS NOS AMIS SO BRITISH ONT PARU EMPRUNTES


les provençaunautes pas vraiment convaincus par les Bleusjeudi 18 novembre 2010 à 17H08
Les Bleus de Laurent Blanc ont-ils franchi une nouvelle étape dans leur reconstruction en allant s'imposer mercredi soir face à l'Angleterre à Wembley (2-1) ?
Oui, selon 40% des Provençaunautes.
Mais non pour 54% qui pensent que cette sélection anglaise était trop diminuée pour livrer une opposition sérieuse.