SUPPORTERS ...ALLEZ L'OM

Les supporters sur les nerfs
AMBIANCE Afin de prévenir un contexte hostile, le club a reçu les représentants des groupes, hier soir. La cassure est profonde


S’ils ont soutenu leur équipe jusqu’à la dernière seconde,àMonaco, les supporters ont ensuite violemment exprimé leur

ras-le-bol. Seules des victoires  pourront recoller les morceaux. À commencer dès ce soir. 
ÀLouis-II, où ils étaient exactement
1 312, ils sont restés muets.
L’espace de cinqminutes après le
coupd’envoi donné par André-PierreGignac
et Florian Thauvin, les supporters
olympiens, assis, ont tenu à montrer
leur ras-le-bol par une grève des encouragements.
Avant de pousser leur équipe
jusqu’à l’ultime seconde, en dépit du
triste spectacle offert sur le terrain par
leurs ’protégés’, puis de les raccompagner
aux vestiaires sous une volée
d’insultes. "Onne pourra pas nous reprocher
quoi que ce soit, insiste l’un d’eux.
Nous, on a rempli notre rôle. Après..."
La cassuren’a jamais semblé aussi importante
entre l’OM et ses supporters.
Que ce soit les "officiels", regroupés au
sein d’une des neuf associations reconnuespar
le club, ou des anonymes, apparentés
à la majorité silencieuse. Celle-ci
ne donne pas (régulièrement) de la voix.
Mais leurmécontentement est le plus visible.
Car ce sont bien ces supporters-là
qui garnissent les travées duVélodrome,
et dont l’absence fut remarquée en coupe
de France, contre Nice. Si l’OMa pu
recenser au final 8 000 spectateurs, ce
n’es t qu’aux pr i x d’une vague
d’invitations de dernière minute; seules
3 000 entrées payantes ont en effet été
comptabilisées...
Des tensions avec
André-Pierre Gignac
Cemalaisene semble pourtant absolument
pas perçu au sein du club. Cécité
feinte ou perte totale du sens des réalités?
À voir les visages radieux, hier au
centre Robert Louis-Dreyfus, la seconde
hypothèse semble à première vue tenir
la corde. "C’est simple : je n’ai plus
d’amour pour cette équipe, déplore un
abonné quadragénaire. Pour l’entité
OM, oui. Mais pas pour ces dirigeants,
pas pour cette politique sportive. Chaque
jour, on sombre un peu plus dans le ridicule.
Ça devient n’importe quoi et ça me
rend triste."
En haut lieu, cependant, on craint le
pire, surtout pour une équipe dont l’état
d’esprit a une fâcheuse tendance à se liquéfier
alors qu’elle a très souvent évolué
dans un contexte globalement serein.
Alors personne ne souhaite voir ce
qui se passerait dans un Vélodrome
ouvertement hostile... Réclamée après
OM-Nice, une réunion entre représentants
des associations et les joueurs s’est
ainsi tenue hier soir, avec pour cadre la
cafétéria de La Commanderie. À la demande
express du club, la plupart des
groupes estimant le timing mauvais.
L’espace d’une heure, de 19h30 à
20h30, l’ensemble de l’effectif pro de
l’OM,mais également tout le staff technique
jusqu’à Vincent Labrune, a fait face
aux chefs d’orchestre des virages. Enfin,
surtout Steve Mandanda, Souleymane
Diawara, Mathieu Valbuena et André-
Pierre Gignac. "On se demandait ce
que certains faisaient là, lanceundes acteurs
de ce meeting. En fait, c’était à
l’image de ce qu’on voit sur le terrain,
avec des mecs transparents et d’autres
qui ne comprennent rien..."
Le ton est même monté une poignée
de minutes avec Gignac, au sujet de sa
prise de bec avec un jeune supporter
contre Reims. Une tension si palpable
qu’un dirigeant, souhaitant calmer les
ardeurs d’APG, s’est vu envoyer sur les
roses sous les yeuxmédusés de tous...
"On a eu droit à un discours bien rodé,
qui disait en substance ’On a besoin de
vous’, dévoile un représentant de groupe.
On a quand même pu crever quelques
abcès mais onadumal à sentir qu’il
va se passer quelque chose. La vérité viendra
du terrain. Mais ça aurait été plus
constructif d’avoir cette réunion un peu
plus tôt, au moment de l’éviction de
Baup, par exemple."
Ce soir, certains groupes maintiendront
une grève des encouragements.
D’autres pousseront leur équipe "tant
que l’espoir existe. Mais c’était prévu
avant la réunion". Quelques-uns fomentent
déjà des actions en cas de scénario
catastrophe. Et beaucoup déserteront
les tribunes, qu’on annonce peu garnies.
D’autant qu’il devrait encore pleuvoir
sur le stade Vélodrome, dont on a
découvert, lors de la précédente venue
de Valenciennes, que la toiture fuyait.
"Le championnat commence demain",
a lancé hier Diawara aux supporters. Il
serait temps, étant donné qu’il ne reste
plus que ça aux Olympiens. Pour qui la
reconquête de ses fans semble plus ardue
que le gainde la troisième place

SUPPORTERS
Le déplacementàParis boycotté? Dans unmois, presque jour pour jour (1er ou2mars), l’OM
ira défier l’armada parisienne au Parc des Princes.
Un rendez-vous évidemment particulier et qui devrait
être sujet à des mesures pointues pour encadrer le déplacement
des supporters olympiens.
Si tant est qu’ils se rendent dans l’enceinte du PSG. Actuellement,
la tendance est en effet à un boycott pur et
simple de ce PSG-OM.
Une éventualité sans rapport aucun avec la situation de
défiance actuelle entre les groupes des virages et l’équipe
olympienne.
Les supporters marseillais protestent essentiellement
contre le tarif prohibitif - 35¤ la place, le prix d’un billet en
parcage visiteur étant habituellement compris entre 8 et
15 ¤ - et les conditions de réception au Parc. "Tout s’est très
bien passé l’année dernière, où on s’y est rendu trois fois,
détaille-t-on au sein des South Winners. Mais on ne peut
plus accepter toutes les conditions qui nous sont imposés,
que ce soit les tarifs ou l’interdiction simple de bâcher au
Parc..."
Un boycott qui viendrait dans la droite lignée des autres
groupes ultras de France, qui en ont déjà fait de même. En
ce sens, même une aide financière de l’OM serait repoussée.
Au PSG, on suit la situation en se frottant les mains: un
parcage visiteur vide, c’est autant de places remises sur le
marché au prix fort...

La réunion demardi, avec les
supporters, ne semble pas avoir
marqué les esprits
dans les rangs olympiens Par le biais de plusieurs banderoles, les supporters des deux virages ont fait passer des messages aux joueurs.
Mais au final, c’est plutôt l’indifférence qui dominait hier dans les tribunes, malgré la victoire.

AMBIANCE Tribunes désertées, contexte tendu,
encouragements timides


Un club dont l’image reste indissociable
de celle de ces supporters. Un club dont la
simple évocation inspire la passion, la ferveur.
Les images d’un Vélodrome comble et
incandescent sont ancrées dans lamémoire
de tous les passionnés de foot. Un décalage
réel avec celle que renvoie aujourd’hui
l’OM. Ce n’est pas qu’une questionde résultat.
C’est avant tout un état d’esprit.

Findumercato
Donc on espère que le seul Brice
Dja Djédjé saura mettre fin à
la crise à l’OM... C’est lui donner
beaucoup de pouvoir. Toutefois,
je ne pense pas que Jérémie
Al i adièr e , ou même
n’importe quel autre joueur,
aurait pu aider l’OM dans les
difficultés que rencontre le
club. Le plus important
aujourd’hui est de redonner envie
aux spectateurs de soutenir
leur équipe au Vélodrome.

LesoutienduVél’
Ce n’est toujours pas l’idylle entre les supporters et
les Olympiens, aucun tifo n’étant déployé lors de l’entrée des
deux équipes. Mais conscients de l’enjeu de la rencontre, les
Virages ont poussé jusqu’à la dernière seconde les troupes de
José Anigo, qui ont ainsi évolué dans un climat serein. Du
côté du Virage Sud, toujours
vide dans sa partie
basse, les Ultras demandaient
"Et maintenant,
avec la manière". Peine
perdue. Un brin a salué
le nul concédé

OM-TFC : ce que vous en avez pensé

A l'issue du match nul décevant de l'OM face à Toulouse (2-2) hier soir au Vélodrome, nombreux sont les Provençaunautes qui regrettent les unités perdues par les hommes de José Anigo dans la course au podium.

"Le contrat est non rempli, il nous manque deux points", assène mesmots35, qui poursuit : "C'est vraiment dans les têtes que ça se joue chez nos joueurs". Un constat partagé par gaba. "Matches après matches, on se fait manger au milieu de terrain. Valenciennes puis Toulouse, sont venus jouer au Vélodrome comme s'ils étaient chez eux (…) Nous, tout ce qu'on sait faire, c'est défendre, acculés devant nos buts, en train de courir dans le vide".

D'autres en revanche préfèrent ne pas accabler les Olympiens, à l'image de philaudevie. "On a les joueurs pour finir sur le podium", affirme-t-il. Avant d'ajouter : "Mais qui va les faire progresser ? L'OM a le staff le plus ridicule de la Ligue 1".

Mais si certains se montrent indulgents à l'égard des partenaires de Steve Mandanda, l'optimiste n'est pas à l'ordre du jour pour une majorité d'internautes alors que l'OM s'apprête à enchainer un troisième match consécutif à domicile le week-end prochain. "On gagne contre Valenciennes, on fait match nul contre Toulouse et on perd contre Bastia", conclut lepolonais.

OM-Bastia : les mitigés

A 1h30 du coup d'envoi de la rencontre, vous n’êtes pas totalement sereins quant aux chances de victoire des Marseillais face à Bastia. Vous êtes en effet 52% à tabler sur un succès des hommes de José Anigo, 19% d’entre vous s’attendent à une rencontre serrée qui se soldera par un match nul. 28% des sondés pensent en revanche que les partenaires de Steve Mandanda ne seront pas à la hauteur. Qu’en pensez-vous ?

Antilles: "Pas
un clasico Pour Philippe Briot, chef du
service des sports de France-Antilles,
ce ne sera pas un sommet.
"Pour les supporters, c’est un
vrai tournant dans la saison
mais ça ne vaut pas un classico
P S G - OM . E t même s i
Saint-Étienne est bien placé ces
dernières saisons au classement,
pour les footballeurs, l'OM est
largement au-dessus, au niveau
des cadors, type Paris, Monaco
et Lyon.
"Le match ne fait pas lever les
foules, ni les passionne vraiment.
Il n'y a pas énormément
de supporters stéphanois ici. Les
Guadeloupéens sont plus marseillais
ou parisiens. PSG ou
OM, c'est la grande dominante !
Les autres équipes comme
Saint-Étienne, Bordeaux ou même
Monaco sont bien en retrait
dans le coeur des Guadeloupéens.
"Les supporters de l’OMregardent
en principe chez eux entre
potes ou en famille même s’il y a
effectivement le café de l'OM."

Nlle Calédonie: Vert solitaire,
Marseillais engroupe aucafé Lionel Sabot est journaliste à RRB,
l’une des plus importantes radios de
Nouvelle Calédonie. Au moment de ASSE-
OM, il sera 7h du matinàNouméa et
il aura fini de présenter l’édition matinale
du journal. "Je verrai sans doute une
partie du match au studio avec des collègues,
mais après je dois accompagner les
enfants pour la rentrée des classes; donc,
je l’enregistrerai et je le regarderai tranquillement
à la maison. C’est le type de
match que j’aime bien voir seul, car il me
renvoie à mes racines. Lorsque je vois
l’usine, derrière Geoffroy-Guichard, ça
me rappelle mon grand-père qui y travaillait",
explique ce trentenaire, installé
au bout dumonde et qui reste attaché
au Forez par l’intermédiaire du foot.
"Les Verts, c’est mon patrimoine, je me
souviens encore du 5-0, avec Alex et Aloisio,
l’éloignement renforce encore mon
appartenance à ma ville d’origine. J’ai
souffert, pendant toutes ces années où
Sainté jouait en L2 ou en bas de tableau !
Le match contre l’OM, c’est le grand
match de l’année après le derby face à
Lyon, incomparable en termes
d’implication. Nous sommes quelques
supporters stéphanois sur la Caillou,
mais moins que les Marseillais."
Philippe Amiel fait partie de ces nombreux
Marseillais de Nouméa. Ce quinquagénaire,
CTR de handball et fils de
l’ancien président de la fédération française,
se déclare "olympien, avant d’être
marseillais. Pour moi, Marseille c’est
d’abord l’OM, que j’ai supporté pendant
quatre ans depuis le Japon et maintenant
à Nouméa. Je reviens deux fois par
an et je ne manque jamais d’aller au Vélodrome."
"En Calédonie, le PSGaunpeu la cote,
parce qu’Antoine Kombouaré y a joué et
entraîné, mais les supporters y sont
moins présents que nous. Quant à Monaco,
ça n’existe même pas. les supporters
des Verts, il y a en a aussi, mais les
cafés d’ici sont tous tenus par des Sudistes,
de Montpellier ou Marseille; alors,
évidemment, on se retrouve plus facilement
autour des matches. Avec les 9 ou
10 heures de décalage horaire, les rencontres
de 17 ou 18h ne nous arrangent pas.
On met le réveil à 2h du mat’ et on le regarde
à la maison. Avec les copains, on
échange des SMS, pour ne pas réveiller
nos compagnes . Dimanche contre
Saint-Étienne, 21h, c’est royal ! Ça fait
7h du matin à Nouméa, on va se retrouveràLaCase
ou au Art Café, à laBaie des
Citrons, on est chez nous !"

ASSE-OM: 990
places pour
les Marseillais Les conditions du déplacement
des supporters olympiens,
dimanche soir au stade
Geoffroy-Guichard ont
été détaillées hier après-midi
au cours d’une réunion à
l a P r é f e c t u r e d e
Saint-Étienne. Si le match a
été classé en niveau "protégé
3", les supporters olympiens
pourront soutenir
leurs couleurs sans contrainte
particulière, tambours,
bâches et autre mégaphones
étant acceptés. Au total,
l’OM dispose de 990 places
pour ses supporters; un
parcage qui devrait afficher
complet, 8 bus et 10 minibus
étant déjà programmés.
23 stadiers assureront
l’encadrement.

ASSE-OM : Les internautes confiants
Publié le Dimanche 16/02/2014 à 19H16

A 1h45 du coup d'envoi de la rencontre, vous êtes plutôt sereins quant aux chances de victoire des Olympiens à Saint-Etienne. Vous êtes en effet 44% à tabler sur un succès des hommes de José Anigo, 23% d’entre vous s’attendent à une rencontre serrée qui se soldera par un match nul. 33% des sondés pensent en revanche que les partenaires de Steve Mandanda ne seront pas à la hauteur. Qu’en pensez-vous ?

Les supporters vont porter plainte

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Placés en garde à vue dimanche, pour des violences présumées en marge de la rencontre entre Saint-Etienne et Marseille (1-1), les dix-sept supporters de l'OM relâchés ce lundi comptent bien porter plainte. «Nous avons passé douze heures en garde à vue pour rien. Notre minibus a été pris pour un autre, a expliqué Christian Cataldo, président de l'association les Dodgers. Il y avait deux femmes avec nous qui ont été choquées. D'autres ont perdu une journée de travail ou un rendez-vous pour une embauche. Face à une telle incompétence, nous allons donner des suites.» Après cette erreur de la police, qui a filmé à bord d'un hélicoptère de surveillance l'agression de Stéphanois par des supporters qui descendaient d'un minibus, une dizaine d'individus sont toujours recherchés.

Incidents à Saint-Etienne : les Dodger's en colère
Publié le Lundi 17/02/2014 à 18H03

Interpellés puis placés en garde à vue dans la nuit de dimanche à lundi à l'issue du match à Saint-Etienne, les neuf supporters des Dodger's (sept hommes et deux femmes) ont regagné Marseille ce lundi. Epuisés et très en colère. "On a fait douze heures de garde à vue pour rien, tonne Christian Cataldo, président de l'association du virage Nord. Quand la police nous a arrêtés, on aurait dit qu'on était des terroristes dangereux. Le procureur de Saint-Etienne s'est emparé de l'histoire et en a fait une affaire personnelle. Puis, ce matin, le commandant du commissariat nous a présenté ses plus plates excuses. En arriver là, c'est grave."

Certains membres, notamment les deux femmes qui ont été menottées et transférées au commissariat de Firminy, ont été choqués par ce qu'ils ont vécu. Les Dodger's comptent donner suite à cette affaire. Ils pourraient porter plainte prochainement.

Les sifflets
contre Morel
Remplacé à la 71e minute de jeu
par Mario Lemina, le Lorientais
a reçu un tombereau de sifflets
pour agrémenter sa sortie du terrain.
Juste avant, il venait de
manquer un contrôle, en marchant
sur le ballon, alors qu’il a
livré un match correct. Cela ne
méritait certainement pas une
telle bronca, qui plus est àdomicile,
devant ses propres supporters...

Anigo : «Des sifflets honteux»
22/02 20h55 - Football, L1
L'entraîneur de Marseille José Anigo a déploré samedi les sifflets adressés par le public du Stade Vélodrome à son arrière gauche Jérémy Morel : «Je n'ai pas aimé et aucun joueur n'a aimé. Il a été très bon à Saint-Etienne et ce soir il a fait un bon match. Il a le droit de rater un geste en fin de match. Je trouve lamentable la position des gens à propos de Morel. C'est honteux quand on est supporteur de l'OM de siffler son joueur comme ça.» 

OM-Lorient : ce que vous en avez pensé
Marseille / Publié le Dimanche 23/02/2014 à 12H13

A l'issue de la précieuse victoire de l'OM, hier soir au Vélodrome (1-0), nombreux sont les Provençaunautes qui fustigent la qualité du jeu proposé par les hommes de José Anigo.

"On a gagné au score mais on a perdu dans la manière... On ne progresse pas quoi !", lâche un Pepito amer. "Trois points et rien d'autre à retenir", ajoute lepolonais.

D'autres internautes trouvent cependant les critiques envers l'OM exagérées, à l'image de Berliner. "Je vous trouve dur. On n'a pas beaucoup marqué, c'est clair, mais on a eu droit à une "bonne" prestation offensive. Sans un grand match d'Audard, on en marque plus !", défend-t-il.

Quant à bibi13, il préfère se projeter avec optimisme sur le Classique, dimanche prochain, au Parc des Princes. "Il faut arrêter de croire que le PSG est invincible. Ils peuvent très bien passer à côté de leur match. Sur une rencontre, tout est possible!".

Bonjour à tous. depuis le début de la saison jamais les joueurs cadres de l'OM n'ont été performants au même moment. Payet et Gignac enchaînent désormais les bons matches, Valbuena et Ayew reviennent petit à petit à leur niveau d'avant la trève, N'Koulou à celui de la saison dernière.

Que les imbéciles qui ont sifflé Morel, ( qui a fait un bon match) sifflent plutot Thauvin, qui n'a pas fait une seule bonne passe, et qui ne joue que pour lui !!! Mais qu'est ce que vous lui trouvez a ce rigolo !! un jeu perso, toujours mal placé, et qui a couté 15 M d'euro !!! on a vendu de bons attaquants, et on achète des nuls... ah oui : "il faut attendre pour Thauvin", "il sera bon plus tard" ??? quand ??? dans 10 ans ??? pffffffffffffff

Decazeville. OM 12 : inscriptions pour le match OM-Nice

 25/02/2014 à 08:10



Decazeville. OM 12 : inscriptions pour le match OM-Nice




La section Yankee d’OM 12, le Club des supporters marseillais, poursuit ses sorties. Le prochain déplacement de l’association est prévu pour le choc de la Côte d’Azur : OM-Nice. Il se déroulera le vendredi 7 mars, à 20 h 30 (pendant les vacances scolaires, l’occasion d’en profiter avec les contraintes horaires en moins). Le départ se fera à 12 heures de Decazeville. Inscriptions et renseignements au 06 21 96 56 44. Par ailleurs, l’association OM 12 remercie toutes les personnes qui sont venues jouer à son quine, ceux qui ont aidé, ainsi que tous les commerçants ayant apporté leur soutien.

SUPPORTERS
Les Olympiens seront soutenus L’an dernier, le 24 février, les supporters olympiens garnissaient
les tribunes du Parc des Princes

Le doute planait depuis plusieurs
semaines. Hier, après
concertation et plusieurs échanges
téléphoniques, les groupes
de supporters de l’OM, à
l’exception des Ultras et
peut-être des Fanatics, ont finalement
décidé de ne pas boycotter
le déplacement à Paris, dimanche.




Le Parc des Princes résonnera
donc des chants marseillais.
"On ne va pas leur laisser
le parcage pour que le PSG
vende ces places 80¤ à des footix
(sic)", grince le responsable
d’une association. Reste à savoir
si les 400 places allouées à
l’OM trouveront preneur. Impossible
de se prononcer en
l’état. Les forces de l’ordre demeurent
sur leurs gardes, craignant
notamment les éventuelles
actions d’éclat de certains
fans dans l’enceinte parisienne.
Pour rappel, les supporters
olympiens protestent contre le
coût de la place (50 euros) et les
conditions de réception au stade.
Si, à l’aller, le PSG avait affrété
spécialement un avion pour
sécuriser le voyage de ses fans,
ceux de l’OM monteront à Paris
par la route et à leurs frais. Le
club du président Labrune ne
leuroctroiera aucune aideparticulière.
Une attitude qui étonne
certains, vu l’enjeu autour
de cette rencontre et ce qu’elle
symbolise. Par ailleurs, une réunion
de sécurité a lieu jeudi à
11h au Parc des Princes. L’OM
sera représenté par GuyCazadamont.

PSG - OM : les Olympiens seront soutenus
Marseille / Publié le Mardi 25/02/2014 à 10H13


Le doute planait depuis plusieurs semaines. Hier, après concertation et plusieurs échanges téléphoniques, les groupes de supporters de l'OM, à l'exception des Ultras et peut-être des Fanatics, ont finalement décidé de ne pas boycotter le déplacement à Paris, dimanche.

Le Parc des Princes résonnera donc des chants marseillais. "On ne va pas leur laisser le parcage pour que le PSG vende ces places 80 € à des footix (sic)", grince le responsable d'une association.

Reste à savoir si les 400 places allouées à l'OM trouveront preneur. Impossible de se prononcer en l'état. Les forces de l'ordre demeurent sur leurs gardes, craignant notamment les éventuelles actions d'éclat de certains fans dans l'enceinte parisienne.

Pour rappel, les supporters olympiens protestent contre le coût de la place (50 euros) et les conditions de réception au stade. Si, à l'aller, le PSG avait affrété spécialement un avion pour sécuriser le voyage de ses fans, ceux de l'OM monteront à Paris par la route et à leurs frais.

Le club du président Labrune ne leur octroiera aucune aide particulière. Une attitude qui étonne certains, vu l'enjeu autour de cette rencontre et ce qu'elle symbolise. Par ailleurs, une réunion de sécurité a lieu jeudi à 11 h au Parc des Princes. L'OM sera représenté par Guy Cazadamont.

OM: Pas de boycott des supporters à Paris

Seuls les Ultras, voire les Fanatics, ne seront pas du déplacement des supporters marseillais à Paris ce dimanche, dans le cadre de la 27e journée de L1. Après maintes réunions, les différentes associations phocéennes ont décidé de ne pas boycotter la rencontre, malgré un coût de la place jugé prohibitif (50 euros) et des conditions de déplacement loin d’être optimales. "On ne va pas leur laisser le parcage pour que le PSG vende ces places 80 euros à des footix (sic)", souffle le responsable d'une association relayé par La Provence. 400 supporters de l’OM pourraient donc monter sur la capitale ce week-end.

300 supporters marseillais attendus





L'OM a annoncé la présence de 250 à 300 supporters, dimanche au Parc des Princes (21h00), encadrés par huit stadiers. Le quota pourrait devenir plus important d'ici dimanche dans la limite des 400 autorisés.

Sur les 400 billets à disposition
de l’OM pour ce clasico, seule
la moitié a trouvé preneur. Ce
soir, 196 supporters prendront
ainsi place dans le parcage d’un
Parc des Princes bourré jusqu’au
périph’. Un chiffre qui n’est pas
surprenant, plusieurs associations
ayant décidé soit de boycotter
le voyage à Paris, soit de ne
pasmonter, ce qui revient aumême,
au final. Le prix élevé des places
(50 euros pour un coût total
estimé à 100euros) et les conditions
du déplacement ont refroidi
certains leaders, quand bien
même plusieurs de leurs adhérents
étaient enclins à les accepter.
Hier soir, aucune crainte particulière
n’entourait cette migration. Avant d’être escortée jusqu’à
l’enceinte de la Porte d’Auteuil, la délégation des fidèles olympiens
sera prise en charge à un péage situé en banlieue parisienne;
chaque individu recevra alors une contremarque. Celle-ci sera
échangée contre le ticket du match, à l’arrivée au Parc, une zone
ultra-sécurisée

L’HISTOIRE

Supporters: pas de pétards

ni de fumis... mais un zizi!





Ils étaient 198 à garnir le parcage visiteur



du Parc des Princes





En football, sur la pelouse comme dans les tribunes,



il n’y a pas de sentiments, seulement des



centimètres. L’adage s’est encore vérifié dimanche



soir après la défaite olympienne face au PSG



(2-0). Car, si l’OMn’a pas tenu ladistance au Parc



des Princes, les supporters olympiens, eux,



étaient derrière leur équipe jusqu’au bout. Pas



tous, forcément, puisque certaines associations



de fans -comme les Ultras ou les Yankee, entre



autres- avaient décidé de boycotter le déplacement



à Paris, à la fois en raison des tarifs pratiqués





(50¤) et des contraintes de sécurité. Ils







étaient malgré tout près de 200 (198 exactement,



dont des MTP, des South Winners et des Dodgers)



à donner de la voix. Et pour les remercier de



ce soutien indéfectible, à peine quatre joueurs



les ont salués.



En termes de sécurité, le bilan de la soirée est



resté léger,même si celle-ci avait été classéeà risques.



Elle fut surtout placée sous lehaut patronage



de Manuel Valls, le premier flic de France



ayant suivi le match de l’intérieur, à côté de Nasser



Al-Khelaïfi et non loin de Nicolas Sarkozy. Côté



parisien, trois fans ont donc été interpellés



pour des motifs allant de la consommation de



stupéfiants à l’outrage; côté marseillais, RAS



comme on dit dans le jargon. Ou presque. La délégation



olympienne s’est en effet comportée



dans les règles de l’art (policier), n’utilisant ni pétards



ni fumigènes, à la différence de leurs ennemis



jurés.



Tous, à l’exception d’un irréductible -dont on



taira le groupe d’appartenance- qui était à deux



doigts (si l’on ose dire) de se faire attraper par la



patrouille. Et pour cause: une fois que le coup de



sifflet final a retenti, alors que l’enceinte parisienne



se vidait et que le parcage marseillais patientait



avant de quitter le stade, un supporter de



l’OMa tout simplement baissé son pantalon. Ni



une, ni deux, le petit oiseau est donc sorti. Sans



doute une envie pressante de montrer comment



Mère nature l’a doté. Ou, plus trivialement,



l’expression d’un dégoût assumé, celui de voir le



PSG damer le pion à l’OMpour les dix prochaines



années. Une façon de hurler son désespoir,



comme on dirait "Mon vier, madame Olivier",



mais avec les gestes à l’appui.



Le hic, c’est qu’il s’agit là d’un délit. Celui dit



d’exhibition sexuelle, qui est réprimé par l’article



222-32 du Code pénal et puni par un an





d’emprisonnement ainsi que 15000¤ d’amende.







Fort heureusement pour lui, les autorités ont été



prises... de court! Selon quelques indiscrétions,



la photo dudit fidèle, immortalisé par les forces



de l’ordre, souligne tout de même à quel point la



fraîcheur francilienne avait réduit... sa détermination.





"Tout tout tout / Vous saurez tout sur le zizi /



Levrai, le faux / Le laid, le beau / Le dur, le mou /



Quia ungrandcou/ Le gros touffu / Lep’tit joufflu /



Le grand ridé /Le mont pelé / Tout tout tout tout /







Jevous dirai tout sur le zizi", chantait Pierre Perret







avec son tube jamais éculé.



C’était oublier un peu trop vite les exhibitionnistes



marseillais.