LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
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banjo
bienvenou
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
LE TROPHÉE
Début de grogne sur les tarifs
Le dimanche 1er août, à 21h au stade Vélodrome, l’OM organise le premier
trophée Robert Louis-Dreyfus, à lamémoire de son ancien actionnaire.
Si le trophée pourrait être dévoilé dans le courant de la semaine prochaine,
ce rendez-vous est appelé à s’inscrire dans la durée et à devenir,
pourquoi pas, un tournoi international lorsque le stade aura été modernisé.
Il servira encore de présentation de l’équipe aux supporters, une semaine
avant la reprise du championnat. Une bonne initiative finalement.
Cette soirée à un coût. Si le club table sur une recette prévisionnelle en
billetterie d’environ 1M¤, il devra s’acquitter d’une indemnité de déplacement
au club de Valence, comme cela est de coutume lorsque l’on invite
un club étranger pour des rencontres amicales. Le club espagnol réclame
entre 150 et 200000 M¤ et souhaite que les frais d’hébergement soient
pris en charge dès la veille au soir.
Il est rappelé que la carte d’abonnement ne donne pas d’accès gratuit à
ce rendez-vous. Chaque spectateur devra s’acquitter d’un droit d’entrée.
Les tarifs pratiqués font d’ailleurs grincer les dents de nombreux supporters,
lesquels se sont plaints auprès de notre rédaction de leur caractère
excessif pour un match amical : "45¤ en Ganay Centre, c’est aussi cher
qu’une rencontre de championnat et quand même excessif pour une
rencontre amicale, alors que nous ne savons pas si le recrutement de
l’OM sera terminé", grogne André J., dans un mail adressé à notre
rédaction. L’OM rentabilise…
Denotre envoyé spécial à Port-du-Crouesty, T.M.
Les tarifs : Virage : 15¤, Ganay Latérale Haute: 35¤, Ganay Centre : 45¤, Jean-Bouin
latérale : 45¤, Jean-Bouin Centre : 50¤, Balcon/honneur: 60¤, Prestige : 80¤
bienvenou- Admin
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
L'OM sera amoindri 26/07/2010
Le Trophée des champions entre le Paris Saint-Germain et l'Olympique de Marseille, mercredi à Radès (Tunisie), approche à grand pas. Pour cette rencontre, Didier Deschamps devra se passer de Mamadou Niang, Brandao et Jordan Ayew, tous suspendus. Stéphane Mbia et Gabriel Heinze, en phase de reprise, ne seront pas sur la pelouse. A noter en revanche la convocation d'André Ayew, de retour après un Mondial sud-africain réussi avec le Ghana.
Le groupe marseillais :
Mandanda, Andrade -
Azpilicueta, Diawara, Mango, M'Bow, N'Diaye, Sabo, Taiwo, Hilton
- Abriel, Ben Arfa, Cheyrou, Cissé, Ndoumbou, Lucho, Kaboré, Valbuena -
A. Ayew, Samassa
Le Trophée des champions entre le Paris Saint-Germain et l'Olympique de Marseille, mercredi à Radès (Tunisie), approche à grand pas. Pour cette rencontre, Didier Deschamps devra se passer de Mamadou Niang, Brandao et Jordan Ayew, tous suspendus. Stéphane Mbia et Gabriel Heinze, en phase de reprise, ne seront pas sur la pelouse. A noter en revanche la convocation d'André Ayew, de retour après un Mondial sud-africain réussi avec le Ghana.
Le groupe marseillais :
Mandanda, Andrade -
Azpilicueta, Diawara, Mango, M'Bow, N'Diaye, Sabo, Taiwo, Hilton
- Abriel, Ben Arfa, Cheyrou, Cissé, Ndoumbou, Lucho, Kaboré, Valbuena -
A. Ayew, Samassa
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
DEPUIS QUE J AI OUVERT CETTE CAVERNE AUX TROPHEES CA POURRAIT FAIRE 3 TROPHEES
L’IMAGE Hexagoal voyage
Le trophée remis au club sacré champion de France a pris l’avion. Nous
l’avons découvert dans le hall de l’aviation générale à Marignane, où
Guy Cazadamont le surveillait de près.
Le directeur de la sécurité
de l’OM a refusé
qu’Hexagoal soit
transporté dans la
soute. L’objet est
monté à bord avec
l’équipe est rangé
dans les compartiments
à bagages. Il
s e r a p r é s e n t é
aujourd’hui comme
la coupe de France
emmenée par le PSG
L’IMAGE Hexagoal voyage
Le trophée remis au club sacré champion de France a pris l’avion. Nous
l’avons découvert dans le hall de l’aviation générale à Marignane, où
Guy Cazadamont le surveillait de près.
Le directeur de la sécurité
de l’OM a refusé
qu’Hexagoal soit
transporté dans la
soute. L’objet est
monté à bord avec
l’équipe est rangé
dans les compartiments
à bagages. Il
s e r a p r é s e n t é
aujourd’hui comme
la coupe de France
emmenée par le PSG
bienvenou- Admin
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
L’OM étrenne son
titre sans pression
Pas de tension ce soir en Tunisie (20h45), où les joueurs marseillais
affronteront le PSG pour le Trophée des Champions
BON JE FAIS UN PEU DE PLACE POUR LE RANGER
titre sans pression
Pas de tension ce soir en Tunisie (20h45), où les joueurs marseillais
affronteront le PSG pour le Trophée des Champions
BON JE FAIS UN PEU DE PLACE POUR LE RANGER
bienvenou- Admin
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
T.des champions - «Si Hatem était régulier...»
Didier Deschamps et son OM ont remporté le Trophée des champions mercredi soir.
Vainqueur du Trophée des champions avec Marseille, Didier Deschamps est revenu sur la non-titularisation d'Hatem Ben Arfa. Entré en cours du match, le milieu offensif olympien a créé le danger. Son entraîneur estime qu'il ne peut pas faire mieux, pour l'instant. «Sa régularité, c'est la grande question. Il a le potentiel... Il voulait participer à ce match. Mais j'ai préféré le faire rentrer comme joker, je sais qu'il est capable de faire des choses, il l'a fait sur deux ou trois actions. Commencer un match, sur le plan athlétique, c'est difficile actuellement pour lui. S'il est capable de faire en 90 minutes ce qu'il fait en 20 minutes, ça change beaucoup de choses...», a déclaré le coach marseillais. Ce dernier est satisfait du trophée ramené par les siens : «C'est dans la continuité de la saison dernière. C'est une bonne chose de gagner, même si ç'a été un match serré qui aurait pu basculer d'un côté ou de l'autre. Il y a eu une bonne qualité de jeu, de bonnes opportunités, mais pas de but parce qu'il y avait deux bons gardiens. On a eu les bonnes dispositions qu'on avait la saison dernière, chercher à jouer avec calme et maîtrise, avec des joueurs qui n'étaient pas à 100% sur le plan athlétique. Les joueurs qui ont joué, en particulier Samassa, ont fait du bon boulot. L'important c'est de continuer à gagner».
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
Marseille commence fort ! 28/07/2010
TRES FORT ZERO A ZERO
GAGNER SANS ETRE BON LA C" EST TRES FORT
Au terme d'une rencontre terne dans l'ensemble mais animée sur la fin, l'Olympique de Marseille a remporté la quinzième édition du Trophée des champions
en dominant le Paris-SG (0-0, 5-4 t.a.b.),
ce mercredi, en Tunisie.
Exilé du côté de Radès, en Tunisie, l'Olympique de Marseille a remporté «à domicile» le premier Trophée des champions de son histoire. Devant près de 55 000 spectateurs acquis à leur cause, les champions de France en titre ont pris le meilleur sur le Paris-SG, à l'issue de la séance de tirs au but (0-0, 5-4 t.a.b.). A égalité parfaite au terme des 90 minutes de jeu, les deux formations ont prolongé le suspense jusqu'au bout. Tour à tour, Luyindula (87e), en bonne position dans la surface, N'Diaye (89e), d'une déviation sur le poteau, et Kezman (90e+2), contré par Hilton, ont pourtant bien eu l'occasion de marquer avant la fin du temps réglementaire. Et si Samassa avait une belle carte à jouer avec les absences de Niang et Brandao, l'ancien Manceau n'a absolument rien fait pour convaincre Deschamps d'en faire un titulaire à la pointe de l'attaque marseillaise.
Trois trophées pour l'OM en 2010
Sous le regard de Laurent Blanc, le nouveau sélectionneur des Bleus, présent dans les tribunes du Stade du 7 novembre, c'est Edouard Cissé, auteur du dernier tir au but, qui a symboliquement offert la victoire à sa formation devant ses anciens partenaires. L'OM réalise ainsi un début de saison idéal après une série de matches amicaux guère convaincante (deux succès et deux défaites). Seul bémol de cette soirée pour le club provençal : la blessure de Souleymane Diawara, touché à la cuisse gauche sur une course anodine et très certainement privé de la reprise. Déjà vainqueurs du Championnat de France et de la Coupe de la Ligue, les Phocéens ont soulevé leur troisième trophée en 2010. De très bon augure donc, à dix jours de l'ouverture du Championnat et de la réception de Caen au Vélodrome
TRES FORT ZERO A ZERO
GAGNER SANS ETRE BON LA C" EST TRES FORT
Au terme d'une rencontre terne dans l'ensemble mais animée sur la fin, l'Olympique de Marseille a remporté la quinzième édition du Trophée des champions
en dominant le Paris-SG (0-0, 5-4 t.a.b.),
ce mercredi, en Tunisie.
Exilé du côté de Radès, en Tunisie, l'Olympique de Marseille a remporté «à domicile» le premier Trophée des champions de son histoire. Devant près de 55 000 spectateurs acquis à leur cause, les champions de France en titre ont pris le meilleur sur le Paris-SG, à l'issue de la séance de tirs au but (0-0, 5-4 t.a.b.). A égalité parfaite au terme des 90 minutes de jeu, les deux formations ont prolongé le suspense jusqu'au bout. Tour à tour, Luyindula (87e), en bonne position dans la surface, N'Diaye (89e), d'une déviation sur le poteau, et Kezman (90e+2), contré par Hilton, ont pourtant bien eu l'occasion de marquer avant la fin du temps réglementaire. Et si Samassa avait une belle carte à jouer avec les absences de Niang et Brandao, l'ancien Manceau n'a absolument rien fait pour convaincre Deschamps d'en faire un titulaire à la pointe de l'attaque marseillaise.
Trois trophées pour l'OM en 2010
Sous le regard de Laurent Blanc, le nouveau sélectionneur des Bleus, présent dans les tribunes du Stade du 7 novembre, c'est Edouard Cissé, auteur du dernier tir au but, qui a symboliquement offert la victoire à sa formation devant ses anciens partenaires. L'OM réalise ainsi un début de saison idéal après une série de matches amicaux guère convaincante (deux succès et deux défaites). Seul bémol de cette soirée pour le club provençal : la blessure de Souleymane Diawara, touché à la cuisse gauche sur une course anodine et très certainement privé de la reprise. Déjà vainqueurs du Championnat de France et de la Coupe de la Ligue, les Phocéens ont soulevé leur troisième trophée en 2010. De très bon augure donc, à dix jours de l'ouverture du Championnat et de la réception de Caen au Vélodrome
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
ET UN
ET DEUX
ET TROIS
TROPHEES EN 2010
Taye Taiwo soulève le Trophée des champions. C'est la première fois que l'OM s'impose dans cette compétition.
LE PLUS DUR RESTE A VENIR
REDESCENDRE SUR TERRE
L'OM déjà champion ! mercredi 28 juillet 2010 à 23H01
Le club olympien a battu son rival parisien, ce mercredi soir à Radès, et s'adjuge pour la première fois de son histoire le Trophée des champions.
Champion de France en titre et vainqueur de la coupe de la Ligue, l'OM entame la saison 2010-2011 avec un trophée ! Et sans briller. Vainqueurs du PSG au bout du suspense, les Olympiens doivent leur salut à Steve Mandanda, élu homme du match grâce à ses arrêts décisifs pendant les tirs au but (5-4). Car les hommes de Didier Deschamps ont tremblé jusqu'au bout, finissant le temps réglementaire à égalité avec leurs rivaux parisiens. Avant d'exploser de joie avec l'ultime réalisation d'Edouard Cissé, qui offre à l'OM son premier Trophée des champions.
Mais que dire de cette rencontre délocalisée à Radès, en banlieue de Tunis (Tunisie), et disputée dans le stade du 7-Novembre ? Pas grand chose car les deux formations sont encore en pleine préparation. En manque d'attaquants avec les suspensions de Brandao, Niang et Jordan Ayew, les Olympiens ont souffert pour conclure leurs occasions. L'envie de Mathieu Valbuena et d'André Ayew n'a pas suffi pour débloquer la situation, Mamadou Samassa échouant à chacune de ses tentatives.
Les Marseillais se sont même posé quelques questions avant la pause, au moment où Souleymane Diawara a dû quitter ses partenaires sur blessure. Heureusement, Steve Mandanda a tenu la baraque, multiplié les interventions et conservé ses cages inviolées. Les débats ont ensuite commencé à s'animer avec l'entrée de Hatem Ben Arfa, peu après l'heure de jeu, en remplacement de Valbuena. Accélérations, frappes lointaines, l'ancien Lyonnais a offert un récital aux 55 000 spectateurs qui avaient pris place en tribunes. Puis, plus rien. A l'image de ses deux saisons avec le club olympien.
Les deux équipes se sont donc dirigées vers les tirs au but. Si Lucho a manqué sa réalisation, Gnabouyou, lui, n'a pas vacillé. "Edou" s'est ensuite chargé de parachever la victoire de l'OM. Capitaine d'un soir, Taye Taiwo pouvait bondir dans tous les sens et embrasser ses coéquipiers avant de soulever le trophée. La saison vient à peine de commencer que l'OM est déjà champion...
ET DEUX
ET TROIS
TROPHEES EN 2010
Taye Taiwo soulève le Trophée des champions. C'est la première fois que l'OM s'impose dans cette compétition.
LE PLUS DUR RESTE A VENIR
REDESCENDRE SUR TERRE
L'OM déjà champion ! mercredi 28 juillet 2010 à 23H01
Le club olympien a battu son rival parisien, ce mercredi soir à Radès, et s'adjuge pour la première fois de son histoire le Trophée des champions.
Champion de France en titre et vainqueur de la coupe de la Ligue, l'OM entame la saison 2010-2011 avec un trophée ! Et sans briller. Vainqueurs du PSG au bout du suspense, les Olympiens doivent leur salut à Steve Mandanda, élu homme du match grâce à ses arrêts décisifs pendant les tirs au but (5-4). Car les hommes de Didier Deschamps ont tremblé jusqu'au bout, finissant le temps réglementaire à égalité avec leurs rivaux parisiens. Avant d'exploser de joie avec l'ultime réalisation d'Edouard Cissé, qui offre à l'OM son premier Trophée des champions.
Mais que dire de cette rencontre délocalisée à Radès, en banlieue de Tunis (Tunisie), et disputée dans le stade du 7-Novembre ? Pas grand chose car les deux formations sont encore en pleine préparation. En manque d'attaquants avec les suspensions de Brandao, Niang et Jordan Ayew, les Olympiens ont souffert pour conclure leurs occasions. L'envie de Mathieu Valbuena et d'André Ayew n'a pas suffi pour débloquer la situation, Mamadou Samassa échouant à chacune de ses tentatives.
Les Marseillais se sont même posé quelques questions avant la pause, au moment où Souleymane Diawara a dû quitter ses partenaires sur blessure. Heureusement, Steve Mandanda a tenu la baraque, multiplié les interventions et conservé ses cages inviolées. Les débats ont ensuite commencé à s'animer avec l'entrée de Hatem Ben Arfa, peu après l'heure de jeu, en remplacement de Valbuena. Accélérations, frappes lointaines, l'ancien Lyonnais a offert un récital aux 55 000 spectateurs qui avaient pris place en tribunes. Puis, plus rien. A l'image de ses deux saisons avec le club olympien.
Les deux équipes se sont donc dirigées vers les tirs au but. Si Lucho a manqué sa réalisation, Gnabouyou, lui, n'a pas vacillé. "Edou" s'est ensuite chargé de parachever la victoire de l'OM. Capitaine d'un soir, Taye Taiwo pouvait bondir dans tous les sens et embrasser ses coéquipiers avant de soulever le trophée. La saison vient à peine de commencer que l'OM est déjà champion...
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
OM: et 1, et 2
et 3 trophées!
AprèslaCoupedelaLigueetlechampionnatdeFrance,lesjoueursmarseillaisontremportéhiersoirenTunisieleTrophéedesChampionsfaceauPSG,auxtirsauxbuts/
Le soleil se lève à Radès
TROPHÉE DES CHAMPIONS Vainqueur aux tirs au but du PSG, l’OM remplit sa vitrine et commence bien la saison
Après la coupe de la Ligue et le titre de champion, les Olympiens s’offrent un 3e titre en 2010!
Cissé n’a pas lâché
le morceau, surfant
sur la vague de la
culture de la gagne.
L’OM quitte la Tunisie avec
une nouvelle ligne sur son
palmarès, un nouveau trophée.
Les dirigeants le déposeront
ce matin dans la vitrine la
plus complète de France. C’est
un premier rayon de soleil dans
une nouvelle saison dont on attend
encore monts et merveilles.
Au-delà du résultat, la soirée
revêt une forme de tristesse
avec la blessure musculaire de
Diawara. Elle aurait été plus ennuyante
si Lucho n’avait pas résisté
au tacle de Sakho. Une hérésie
: comment peut-on laisser
traîner un pied sur la base d’un
genou et s’en sortir avec un simple
avertissement ? Sakho est un
boucher, pour ne pas écrire un
imbécile de première catégorie,
pour oser de tels gestes à cette
période de la saison.
Loin de la perfection technique
et de la saveur généralement
attendue lors des grandes
occasions, ce Trophée a servi de
base pour affiner les organisations
tactiques de deux styles opposés.
Le PSG a exercé rapidement
un pressing assez haut,
contraignant les deux joueurs
de couloirs offensifs olympien
(Valbuena et André Ayew) à s’appliquer
défensivement. Dès
qu’ils ont eu le ballon, les Parisiens
ont systématiquement
cherché la profondeur, obligeant
Mandanda à affirmer son
autorité en intervenant dans les
pieds à deux reprises, lors des
quatre premières minutes.
Et les Olympiens dans tout
ça?Un peu plus diesel, plus économes
voire gestionnaires de
leurs efforts, ils ont pris leur
temps pour entrer dans une partie,
un peu anesthésiée par une
température élevée. L’OM a tenté
de monopoliser le ballon, de
donner de la vie au milieu, et a
commencé à y parvenir lorsque
les Parisiens, en difficulté pour
répéter les efforts, ont relâché le
pressing au-delà de la 20eminute.
Mais l’approche olympienne
dans la partie terminale de l’animation
offensive a manqué de
spontanéité, de vitesse. À ce
jour, ce regard ne doit pas être
accablant alors que tous les travaux
préparatoires n’ont pas encore
été conduits dans ce domaine.
L’OM s’est réfugié derrière
quelques tirs lointains, comme
un prétexte d’impuissance, de
manque d’imagination, sans
grande réussite non plus.
La première vibration est cependant
venue sur une longue
touche d’Azpilicueta, une véritable
spécialité qui deviendra une
arme, reprise de la tête par Samassa,
le ballon terminant sa
course légèrement au-dessus
de la transversale de Coupet.
L’entrée en jeu de Ben Arfa a
ajouté un peu de piment à un
plat très peu épicé jusqu’alors.
Dès son premier ballon, Hatem
a entrepris une opération de séduction,
pour offrir un peu de
bonheur à ses compatriotes frustrés
de le voir sur le banc au
coup d’envoi. Dans une période
où la possession de balle s’est
équilibrée, Hatem a essayé
avant de s’essouffler, trop pressé
de bien faire.
Entre la frappe trop haute de
Luyindula, le poteau trouvé par
Leyti N’diaye, les occasions ont
dans l’ensemble été équilibrées.
Les tirs au but représentent
une fin moins prenante
qu’une finale de Coupe de France.
Cissé, dernier tireur, n’a pas
lâché le morceau, surfant sur la
vague de la culture de la gagne.
Elle transpire d’une saison sur
l’autre. Ça aussi, c’est réjouissan
et 3 trophées!
AprèslaCoupedelaLigueetlechampionnatdeFrance,lesjoueursmarseillaisontremportéhiersoirenTunisieleTrophéedesChampionsfaceauPSG,auxtirsauxbuts/
Le soleil se lève à Radès
TROPHÉE DES CHAMPIONS Vainqueur aux tirs au but du PSG, l’OM remplit sa vitrine et commence bien la saison
Après la coupe de la Ligue et le titre de champion, les Olympiens s’offrent un 3e titre en 2010!
Cissé n’a pas lâché
le morceau, surfant
sur la vague de la
culture de la gagne.
L’OM quitte la Tunisie avec
une nouvelle ligne sur son
palmarès, un nouveau trophée.
Les dirigeants le déposeront
ce matin dans la vitrine la
plus complète de France. C’est
un premier rayon de soleil dans
une nouvelle saison dont on attend
encore monts et merveilles.
Au-delà du résultat, la soirée
revêt une forme de tristesse
avec la blessure musculaire de
Diawara. Elle aurait été plus ennuyante
si Lucho n’avait pas résisté
au tacle de Sakho. Une hérésie
: comment peut-on laisser
traîner un pied sur la base d’un
genou et s’en sortir avec un simple
avertissement ? Sakho est un
boucher, pour ne pas écrire un
imbécile de première catégorie,
pour oser de tels gestes à cette
période de la saison.
Loin de la perfection technique
et de la saveur généralement
attendue lors des grandes
occasions, ce Trophée a servi de
base pour affiner les organisations
tactiques de deux styles opposés.
Le PSG a exercé rapidement
un pressing assez haut,
contraignant les deux joueurs
de couloirs offensifs olympien
(Valbuena et André Ayew) à s’appliquer
défensivement. Dès
qu’ils ont eu le ballon, les Parisiens
ont systématiquement
cherché la profondeur, obligeant
Mandanda à affirmer son
autorité en intervenant dans les
pieds à deux reprises, lors des
quatre premières minutes.
Et les Olympiens dans tout
ça?Un peu plus diesel, plus économes
voire gestionnaires de
leurs efforts, ils ont pris leur
temps pour entrer dans une partie,
un peu anesthésiée par une
température élevée. L’OM a tenté
de monopoliser le ballon, de
donner de la vie au milieu, et a
commencé à y parvenir lorsque
les Parisiens, en difficulté pour
répéter les efforts, ont relâché le
pressing au-delà de la 20eminute.
Mais l’approche olympienne
dans la partie terminale de l’animation
offensive a manqué de
spontanéité, de vitesse. À ce
jour, ce regard ne doit pas être
accablant alors que tous les travaux
préparatoires n’ont pas encore
été conduits dans ce domaine.
L’OM s’est réfugié derrière
quelques tirs lointains, comme
un prétexte d’impuissance, de
manque d’imagination, sans
grande réussite non plus.
La première vibration est cependant
venue sur une longue
touche d’Azpilicueta, une véritable
spécialité qui deviendra une
arme, reprise de la tête par Samassa,
le ballon terminant sa
course légèrement au-dessus
de la transversale de Coupet.
L’entrée en jeu de Ben Arfa a
ajouté un peu de piment à un
plat très peu épicé jusqu’alors.
Dès son premier ballon, Hatem
a entrepris une opération de séduction,
pour offrir un peu de
bonheur à ses compatriotes frustrés
de le voir sur le banc au
coup d’envoi. Dans une période
où la possession de balle s’est
équilibrée, Hatem a essayé
avant de s’essouffler, trop pressé
de bien faire.
Entre la frappe trop haute de
Luyindula, le poteau trouvé par
Leyti N’diaye, les occasions ont
dans l’ensemble été équilibrées.
Les tirs au but représentent
une fin moins prenante
qu’une finale de Coupe de France.
Cissé, dernier tireur, n’a pas
lâché le morceau, surfant sur la
vague de la culture de la gagne.
Elle transpire d’une saison sur
l’autre. Ça aussi, c’est réjouissan
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
LA 21E SÉRIE DE TIRS AU BUT
DE L’HISTOIRE DE L’OM
..........Les neuf défaites...........
- 1970
1er tour de la coupe des villes
de foire, à Marseille contre Trnava.
- 1971
Demi-finale de la Coupe
de France, à Rennes.
- 1980
32es de finale de la Coupe
de France, à Cannes.
- 1991
Finale de la coupe d’Europe des
clubs champions, à Bari contre
l’Étoile Rouge de Belgrade.
- 1994
Quart de finale de la Coupe
de France, à Marseille,
contre Montpellier.
- 1996
Demi-finale de la Coupe de France,
à Marseille contre Auxerre.
- 1999
16es de finale de la coupe
de la Ligue, à Caen contre Lens.
- 2002
8es de finale de la Coupe
de France, au Parc, contre le PSG.
- 2007
Finale de la Coupe de France, au
Stade de France contre Sochaux.
.........Les douze victoires..........
- 1972
Demi-finale de la Coupe de France,
à Marseille, contre Reims.
- 1985
32es de finale de la Coupe
de France, à Senlis
contre Saint-Quentin.
- 1994
32es de finale de la Coupe
de France, à Brive.
16es de finale de la Coupe
de France, à Monaco.
- 1995
32es de finale de Coupe de France,
à Sochaux.
- 2001
16es de finale de coupe de la Ligue,
à Marseille, contre Montpellier.
- 2004
32es de finale de la Coupe
de France, à Marseille, contre
Strasbourg.
- 2005
1er tour de la coupe de l’UEFA,
à Marseille, contre Beerschot
Anvers.
- 2007
8es de finale de coupe de la Ligue,
à Marseille, contre Metz.
- 2009
32es de finale de la Coupe
de France, à Besançon.
16es de finale de la coupe de l’UEFA,
à Enschede contre Twente.
- 2010
Trophée des champions,
à Radès contre le PSG.
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
ET DE 4 TROPHEES EN 2010
FAUDRA QUE JE DEMANDE A MON VOISIN MICHEL
DE ME CONSTRUIRE UNE ETAGERE DE PLUS
l'OM s'impose grâce à Ben Arfa (1-0) le dimanche 01 août 2010
Au terme d'une rencontre riche en occasions de but, l'OM a battu Valence grâce à un joli but signé Hatem Ben Arfa et s'est adjugé le premier Trophée Robert Louis-Dreyfus. Didier Deschamps a profité de ce match pour effectuer une large revue d'effectif à une semaine du coup d'envoi de la saison face à Caen, au stade Vélodrome.
Le festival pyrotechnique appelé à clôturer la soirée du Trophée Robert Louis-Dreyfus a connu quelques défaillances. Un problème d'électricité a considérablement retardé son départ, au point que plus d'une demi-heure après le coup de sifflet final, aucune étincelle n'avait éclairé la nuit du stade Vélodrome
Heureusement, il ne pleuvait pas. On se console comme on peut. Cela a valu quelques bordées de sifflets à l'organisation. En terme de mise en place pyrotechnique, les supporters en connaissent un rayon !
Les festivités avaient débuté depuis 18 heures aux alentours du stade Vélodrome en marge du Trophée Robert Louis-Dreyfus. Les Olympiens entrent sur la pelouse les uns après les autres sous les applaudissements du public présent. Mamadou Niang, en bon capitaine, est arrivé en premier avec Hexagoal sous les bras. Taye Taiwo lui a emboîté le pas avec la coupe de la Ligue , avant que Lucho Gonzalez n'apparaisse avec le Trophée des champions
FAUDRA QUE JE DEMANDE A MON VOISIN MICHEL
DE ME CONSTRUIRE UNE ETAGERE DE PLUS
l'OM s'impose grâce à Ben Arfa (1-0) le dimanche 01 août 2010
Au terme d'une rencontre riche en occasions de but, l'OM a battu Valence grâce à un joli but signé Hatem Ben Arfa et s'est adjugé le premier Trophée Robert Louis-Dreyfus. Didier Deschamps a profité de ce match pour effectuer une large revue d'effectif à une semaine du coup d'envoi de la saison face à Caen, au stade Vélodrome.
Le festival pyrotechnique appelé à clôturer la soirée du Trophée Robert Louis-Dreyfus a connu quelques défaillances. Un problème d'électricité a considérablement retardé son départ, au point que plus d'une demi-heure après le coup de sifflet final, aucune étincelle n'avait éclairé la nuit du stade Vélodrome
Heureusement, il ne pleuvait pas. On se console comme on peut. Cela a valu quelques bordées de sifflets à l'organisation. En terme de mise en place pyrotechnique, les supporters en connaissent un rayon !
Les festivités avaient débuté depuis 18 heures aux alentours du stade Vélodrome en marge du Trophée Robert Louis-Dreyfus. Les Olympiens entrent sur la pelouse les uns après les autres sous les applaudissements du public présent. Mamadou Niang, en bon capitaine, est arrivé en premier avec Hexagoal sous les bras. Taye Taiwo lui a emboîté le pas avec la coupe de la Ligue , avant que Lucho Gonzalez n'apparaisse avec le Trophée des champions
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
L’OM maîtrise le FC Valence 1-0
Enbattant Valence hier soir auVélodrome, les Marseillais se rassurent
avant l’ouverture duchampionnat contre Caen
samedi prochain
Enbattant Valence hier soir auVélodrome, les Marseillais se rassurent
avant l’ouverture duchampionnat contre Caen
samedi prochain
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
BON LE PROCHAIN TROPHEE
IL FAUDRA ATTENDRE AVRIL OU MAI 2011
CAR AUCUN NE SE DISTRIBUE AVANT
Lucho et ses partenaires ont pris goût aux titres et aux trophées. Tout autant que les supporters de ce club, plus que jamais prompts à s’enflammer en ce début de saison 2010-2011.
Comment l’OM pourrait-il ne pas gagner ce
match-là ? En l’abordant ainsi, en croyant
qu’il suffit à un champion de se présenter
sur son terrain, dans un stade quasiment plein
pour battre un promu (fût-il lui même champion
...de Ligue 2).
Les voyants sont tellement verts qu’on cherche
ce qui pourrait perturber la première étape de ce
championnat. Et l’excès de facilité, l’excès de
confiance sont précisément les dangers immédiatement
identifiables.
Après, il y a les fruits de la passion, de l’excès, la
rançon du succès. Depuis six jours, on ne parle
que de la volonté de départ manifestée par Mamadou
Niang, d’un bras de fer en coulisses, qui
ne devrait pas l’empêcher de porter le brassard
de capitaine ce soir et, espérons-le, de marquer
ses premiers buts de la saison, malgré la présence
de dirigeants de Fenerbahçe, hier à Marseille.
Et la rumeur Drogba, que tout le monde a vu quelque
part, ces derniers jours, c’est encore une grosse
louche de crème sur le gâteau olympien
Ajoutons-y les absences de Diawara, Heinze et
Brandao, ennuyeuses mais pas insurmontables,
d’autant que les "Mondialistes" s’approchent
d’un degré de forme suffisant. "Ils ne sont pas encore
à 100%", précise Didier Deschamps, mais ils
ont encore progressé depuis le Trophée des
champions. Aucune équipe ne peut être à 100% à
la reprise ; c’est 100% du moment, mais il faut un
minimum de matches, de compétition pour tourner
à un régime plus élevé."
Le Trophée des champions, tiens, voilà encore
un élément perturbateur. L’OM est resté dix-sept
ans sans rien gagner, il vient de réussir un doublé
inédit dans son histoire : Coupe de la Ligue-
Championnat et le voici déjà enrichi d’un
trophée, celui des champions, avant même que
la nouvelle saison ne commence!
Alors, évidemment, on peut s’imaginer que
l’OM va tout bouffer, que personne ne va lui résister.
Ce qui ne sera pas le cas. La résistance s’organise.
Lyon, Bordeaux, Lille, voire PSG, Monaco,
sont des candidats au titre ou à la Ligue des champions
; Auxerre, Montpellier ou Toulouse peuvent
venir troubler le bon ordonnancement du
haut du tableau. Le nouveau défi de l’OM sera de
résister à la pression, de faire aussi bien, sinon
mieux. En Ligue des champions, si le tirage est
favorable, mais surtout en championnat.
"On sait bien que c’est notre objectif prioritaire,
ajoute Didier Deschamps. Maintenir ce niveau,
c’est plus difficile que d’y arriver."
Il y a un an, l’OM avait un handicap par rapport
à Bordeaux, c’était de reconstruire une équipe;
aujourd’hui, ce n’est plus le cas ; mais ça réduit
la mansuétude que l’on a pu avoir ; comme
le souligne l’entraîneur, l’OM n’a pas de marge.
"Au départ, nous avons moins d’incertitudes
que l’an passé. Les joueurs se connaissent sur le
terrain et en dehors. Ce n’est pas la garantie du
succès. L’équipe est compétitive, elle l’a prouvé. Elle
peut l’être plus."
Enfin, il y a l’adversaire. Prompt à jouer les trouble-
fête."Les Caennais n’ont rien à perdre ; ils
sont sur la continuité de la L2, ça peut être un exploit
pour eux, et ce n’est pas une équipe qui ferme,
ils ne viendront pas la fleur au fusil, mais ne
se contenteront pas de défendre."
Bref, si on allait parier, on miserait sur l’OM,
mais comme les champions de France ne gagneront
pas tous leurs matches à domicile, chaque
rencontre sera à la hauteur de la première : un
nouveau défi...
IL FAUDRA ATTENDRE AVRIL OU MAI 2011
CAR AUCUN NE SE DISTRIBUE AVANT
Lucho et ses partenaires ont pris goût aux titres et aux trophées. Tout autant que les supporters de ce club, plus que jamais prompts à s’enflammer en ce début de saison 2010-2011.
Comment l’OM pourrait-il ne pas gagner ce
match-là ? En l’abordant ainsi, en croyant
qu’il suffit à un champion de se présenter
sur son terrain, dans un stade quasiment plein
pour battre un promu (fût-il lui même champion
...de Ligue 2).
Les voyants sont tellement verts qu’on cherche
ce qui pourrait perturber la première étape de ce
championnat. Et l’excès de facilité, l’excès de
confiance sont précisément les dangers immédiatement
identifiables.
Après, il y a les fruits de la passion, de l’excès, la
rançon du succès. Depuis six jours, on ne parle
que de la volonté de départ manifestée par Mamadou
Niang, d’un bras de fer en coulisses, qui
ne devrait pas l’empêcher de porter le brassard
de capitaine ce soir et, espérons-le, de marquer
ses premiers buts de la saison, malgré la présence
de dirigeants de Fenerbahçe, hier à Marseille.
Et la rumeur Drogba, que tout le monde a vu quelque
part, ces derniers jours, c’est encore une grosse
louche de crème sur le gâteau olympien
Ajoutons-y les absences de Diawara, Heinze et
Brandao, ennuyeuses mais pas insurmontables,
d’autant que les "Mondialistes" s’approchent
d’un degré de forme suffisant. "Ils ne sont pas encore
à 100%", précise Didier Deschamps, mais ils
ont encore progressé depuis le Trophée des
champions. Aucune équipe ne peut être à 100% à
la reprise ; c’est 100% du moment, mais il faut un
minimum de matches, de compétition pour tourner
à un régime plus élevé."
Le Trophée des champions, tiens, voilà encore
un élément perturbateur. L’OM est resté dix-sept
ans sans rien gagner, il vient de réussir un doublé
inédit dans son histoire : Coupe de la Ligue-
Championnat et le voici déjà enrichi d’un
trophée, celui des champions, avant même que
la nouvelle saison ne commence!
Alors, évidemment, on peut s’imaginer que
l’OM va tout bouffer, que personne ne va lui résister.
Ce qui ne sera pas le cas. La résistance s’organise.
Lyon, Bordeaux, Lille, voire PSG, Monaco,
sont des candidats au titre ou à la Ligue des champions
; Auxerre, Montpellier ou Toulouse peuvent
venir troubler le bon ordonnancement du
haut du tableau. Le nouveau défi de l’OM sera de
résister à la pression, de faire aussi bien, sinon
mieux. En Ligue des champions, si le tirage est
favorable, mais surtout en championnat.
"On sait bien que c’est notre objectif prioritaire,
ajoute Didier Deschamps. Maintenir ce niveau,
c’est plus difficile que d’y arriver."
Il y a un an, l’OM avait un handicap par rapport
à Bordeaux, c’était de reconstruire une équipe;
aujourd’hui, ce n’est plus le cas ; mais ça réduit
la mansuétude que l’on a pu avoir ; comme
le souligne l’entraîneur, l’OM n’a pas de marge.
"Au départ, nous avons moins d’incertitudes
que l’an passé. Les joueurs se connaissent sur le
terrain et en dehors. Ce n’est pas la garantie du
succès. L’équipe est compétitive, elle l’a prouvé. Elle
peut l’être plus."
Enfin, il y a l’adversaire. Prompt à jouer les trouble-
fête."Les Caennais n’ont rien à perdre ; ils
sont sur la continuité de la L2, ça peut être un exploit
pour eux, et ce n’est pas une équipe qui ferme,
ils ne viendront pas la fleur au fusil, mais ne
se contenteront pas de défendre."
Bref, si on allait parier, on miserait sur l’OM,
mais comme les champions de France ne gagneront
pas tous leurs matches à domicile, chaque
rencontre sera à la hauteur de la première : un
nouveau défi...
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
Qui
était le
champion?
Caen a mérité sa victoire sur unOMcomplètement amorphe (2-1).
Il y a de quoi se le prendre et se le mordre, le maillot.
Lucho et les Olympiens, battus par Caen 2 à 1, ont raté leurs débuts, hier à domicile
ly avait bien une équipe championne de France
sur le terrain et ce n’était pas celle qui
jouait en blanc mais plutôt celle qui portait
des maillots pour aller faire des travaux de nuit
sur l’autoroute. Comme quoi l’habit ne fait pas le
moine dans la religion du résultat.
Parce que Caen n’a pas volé son succès au Vélodrome
et aurait même pu le concrétiser plus vite.
Il l’a construit patiemment et aurait pu le voir
prendre des proportions plus larges. Sans le poteau
pour repousser une passe de Mollo et sans
la tête de Mbia pour dévier celle de Nivet en première
période, sans un retour de Azpilicueta et
un tacle sur Mollo en seconde, on n’aurait même
pas eu le dernier quart d’heure pour espérer un
renversement de situation.
Mais ce qui s’est passé, c’est encore pire, puisque
l’OM a réussi le plus dur, c’est-à-dire égaliser
sur une balle en cloche superbement dosée par
Ben Arfa et mise au fond par un Samassa parfait
sur le coup dans son contact gagné avec le défenseur,
dans son crochet sur le gardien et sur le petit
coup de patte final.
Mais l’OM s’est débrouillé pour encaisser encore
un but derrière avec un Mandanda coupable
sur le second comme sur le premier but.
Si le premier avait été la copie conforme de celui
encaissé à Lens contre le Costa Rica (le ballon
Puma est pourtant meilleur que le Jabulani), le
deuxième l’a vu cafouiller une reprise de la tête
au second poteau.
Mais bon, il n’a pas été le seul à se noyer hier
au sein d’une équipe chloroformée.
Comment en est on arrivé là ?
Par une lente dégradation du jeu olympien
qui, après des débuts patients, s’est enlisé dans
un faux rythme où tout le monde semblait attiré
par l’axe commele liquide par le goulot de la bouteille.
Mais en moins fluide.
LE JEU OLYMPIEN dans un faux rythme où
tout le monde était attiré par l’axe.
L’OM manquait de
profondeur en dépit de ce bon ballon de Niang
pour un Lucho bien lancé piquant son ballon
sans cadrer. L’OM manquait surtout de vitesse
dans les enchaînements et de jeu sur les cotés.
Or, quand Valbuena allait voir arriver un bon ballon
au point de penalty contré par un défenseur
caennais, il venait bel et bien d’Ayew sur la gauche.
À croire que les joueurs de l’OM ne s’en
étaient pas rendus compte. Ils allaient persévérer
dans leur jeu axial et mou.
Car, en plus, ils étaient battus dans l’attaque
du ballon. En dehors de quelques tacles de Cissé,
on ne retrouvait mêmepas l’engagement du Trophée
des champions. De fait, après un brin de timidité
initiale, Caen allait s’enhardir, à travers
ses deux joueurs excentrés, El Arabi et Mollo, qui
dominaient leur zone, surtout le premier nommé,
dont chaque repiquage au centre était un
coup de poignard dans le dos d’une défense que
Mbia tenait comme il pouvait. La défaite est
donc on ne peut plus logique et c’est le plus inquiétant.
C’est déjà arrivé. La dernière fois que
l’OM avait perdu son premier match, c’était
contre Bordeaux en 2005, et ces points avaient
manqué à l’arrivée. Mais en 1994, la défaite initiale
contre Le Mans n’avait pas empêché l’OM
d’être champion... de Division 2.
L’équipe olympienne a le temps d’oublier les
sifflets initiaux ; mais l’avertissement est réel :
pour conserver son titre, il faudra se retrousser
les manches.
était le
champion?
Caen a mérité sa victoire sur unOMcomplètement amorphe (2-1).
Il y a de quoi se le prendre et se le mordre, le maillot.
Lucho et les Olympiens, battus par Caen 2 à 1, ont raté leurs débuts, hier à domicile
ly avait bien une équipe championne de France
sur le terrain et ce n’était pas celle qui
jouait en blanc mais plutôt celle qui portait
des maillots pour aller faire des travaux de nuit
sur l’autoroute. Comme quoi l’habit ne fait pas le
moine dans la religion du résultat.
Parce que Caen n’a pas volé son succès au Vélodrome
et aurait même pu le concrétiser plus vite.
Il l’a construit patiemment et aurait pu le voir
prendre des proportions plus larges. Sans le poteau
pour repousser une passe de Mollo et sans
la tête de Mbia pour dévier celle de Nivet en première
période, sans un retour de Azpilicueta et
un tacle sur Mollo en seconde, on n’aurait même
pas eu le dernier quart d’heure pour espérer un
renversement de situation.
Mais ce qui s’est passé, c’est encore pire, puisque
l’OM a réussi le plus dur, c’est-à-dire égaliser
sur une balle en cloche superbement dosée par
Ben Arfa et mise au fond par un Samassa parfait
sur le coup dans son contact gagné avec le défenseur,
dans son crochet sur le gardien et sur le petit
coup de patte final.
Mais l’OM s’est débrouillé pour encaisser encore
un but derrière avec un Mandanda coupable
sur le second comme sur le premier but.
Si le premier avait été la copie conforme de celui
encaissé à Lens contre le Costa Rica (le ballon
Puma est pourtant meilleur que le Jabulani), le
deuxième l’a vu cafouiller une reprise de la tête
au second poteau.
Mais bon, il n’a pas été le seul à se noyer hier
au sein d’une équipe chloroformée.
Comment en est on arrivé là ?
Par une lente dégradation du jeu olympien
qui, après des débuts patients, s’est enlisé dans
un faux rythme où tout le monde semblait attiré
par l’axe commele liquide par le goulot de la bouteille.
Mais en moins fluide.
LE JEU OLYMPIEN dans un faux rythme où
tout le monde était attiré par l’axe.
L’OM manquait de
profondeur en dépit de ce bon ballon de Niang
pour un Lucho bien lancé piquant son ballon
sans cadrer. L’OM manquait surtout de vitesse
dans les enchaînements et de jeu sur les cotés.
Or, quand Valbuena allait voir arriver un bon ballon
au point de penalty contré par un défenseur
caennais, il venait bel et bien d’Ayew sur la gauche.
À croire que les joueurs de l’OM ne s’en
étaient pas rendus compte. Ils allaient persévérer
dans leur jeu axial et mou.
Car, en plus, ils étaient battus dans l’attaque
du ballon. En dehors de quelques tacles de Cissé,
on ne retrouvait mêmepas l’engagement du Trophée
des champions. De fait, après un brin de timidité
initiale, Caen allait s’enhardir, à travers
ses deux joueurs excentrés, El Arabi et Mollo, qui
dominaient leur zone, surtout le premier nommé,
dont chaque repiquage au centre était un
coup de poignard dans le dos d’une défense que
Mbia tenait comme il pouvait. La défaite est
donc on ne peut plus logique et c’est le plus inquiétant.
C’est déjà arrivé. La dernière fois que
l’OM avait perdu son premier match, c’était
contre Bordeaux en 2005, et ces points avaient
manqué à l’arrivée. Mais en 1994, la défaite initiale
contre Le Mans n’avait pas empêché l’OM
d’être champion... de Division 2.
L’équipe olympienne a le temps d’oublier les
sifflets initiaux ; mais l’avertissement est réel :
pour conserver son titre, il faudra se retrousser
les manches.
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
L’OM revient heureux à la maison
COUPE DE LA LIGUE Sans briller, les Olympiens ont éliminé hier Guingamp (1-0) et affronteront Monaco en quart
Ce sera donc Monaco ; au moment
où Paris a pris l’avantage
à Lyon dans la prolongation,
certains visages se sont figés. Était-il
seulement imaginable que le sort
s’acharne en désignant le PSG comme
adversaire de l’OM en quart de finale
de la coupe de la Ligue, soixante-
douze heures à peine après le clasico
en championnat dont on ne sait
toujours pas s’il se jouera ou non devant
les supporters marseillais ?...
Heureusement, le hasard a bien
fait les choses: l’OM recevra Monaco,
le mercredi 10 novembre. Un énorme
ouf de soulagement pour la LFP; à
l’instar du soupir de Didier Deschamps,
hier après-midi, après le succès
laborieux de son équipe face à
Guingamp (1-0).
Car s’il n’y a pas eu de surprise au
Roudourou, l’ogre marseillais (les Bretons
évoluent en National) n’avait
pas un immense appétit, se contentant
de croquer un Petit Poucet qui a
semé bien trop d’occasions pour espérer
aller plus loin.Un petit but aura
suffi, signé André Ayew de la tête, sur
un service parfait de son frère Jordan,
juste avant la mi-temps. Et voilà comment
les Olympiens restent dans la
course d’une compétition dont ils
n’ont pas fait une priorité, même s’ils
en sont les tenants du titre...
En même temps qu’ils ont franchi
ce tour - de chauffe? - à l’économie,
leur calendrier s’est, lui, considérablement
alourdi ; dans cette optique, le
roulement de l’effectif opéré par Deschamps
prend tout son sens. L’OM a
gagné à sa main sans Mandanda, ni
Heinze, ni Valbuena, ni Rémy, ni Gignac,
pendant que Lucho Gonzalez
et Diawara ne sont sortis du banc
qu’à l’heure de jeu, à la suite des blessures
de Cissé et Mbia. Autant d’éléments
qui seront présents samedi au
Vélodrome pour la venue de Rennes,
actuel leader. Des cadres sur lesquels
compte l’entraîneur marseillais pour
les futures échéances avec, en ligne
de mire, les voyages à Zilina et Paris
la semaine prochaine, puis les réceptions
de Monaco, donc, et Lens.
Le marathon n’est pas fini. Mais il
aurait pu tourner court, au vu des débuts
extrêmement poussifs des Olympiens:
Diallo, El Jadeyaoui et Giresse
ont fait passer un gros frisson dans le
dos d’Andrade au bout d’une demi-
heure. Soly s’est joint à son tour
cette joyeuse bande de maladroits en
seconde période, avant que Diawara
ne contre un ballon sur sa propre barre.
Un manque d’adresse évident, copié
par Brandao, incapable de convertir
de la tête un bon centre d’André
Ayew, qui aurait mis fin au suspense
juste après la pause...
Au lieu de ça, l’OM a géré son but
d’avance. Pas toujours avec maîtrise
mais avec la confiance d’un champion
de France, qui reste sur quatre
succès de rang malgré des manques
flagrants dans la construction. Cette
fois, le sauveur s’appelle Ayew, prénom
André. "Kaboré fait une touche
pour Jordan qui protège son ballon, se
sort du marquage et centre sur ma tête.
J’ai de la réussite, glisse le Ghanéen,
humble. Je suis content de la
performance de Jordan, d’autant que
c’est dur d’être dans le rythme quand
on ne joue pas souvent. Je ne vais pas
mentir, ça fait plaisir qu’on soit titulaire
tous les deux..."
Un but qui a soulagé et fait sourire
Deschamps. "Je pensais plutôt à un
centre d’André et à une tête de Jordan !
C’est Abedi, le papa qui a de la chance..."
Et l’OM, aussi, de se retrouver
en quart de finale, contre Monaco
INCONSTANT
Alors, ce tirage au sort ? Les acteurs
du foot qui maîtrisent mieux la langue
de bois que les ballons pour certains
ont pris l’habitude de le qualifier
de bon ou mauvais, une fois le
résultat enregistré... Autant dire
qu’avec Monaco comme adversaire
en quart de finale, la tendance ne
risque pas de s’inverser côté marseillais.
En effet l’équipe de Guy Lacombe
est sur courant alternatif
avec une rare... constance ! Un seul
succès en L1 (contre Auxerre), un nul
brillant au Vélodrome (2-2, où l’ASM
est depuis trois saisons invaincue) et
c’est tout... Aujourd’hui relégable, le
club de la Principauté voit son
match à Marseille coincé entre un
déplacement à Nancy et la venue
d’Arles-Avignon.
➔ Les quarts de finale qui se joueront
les 9 et 10 novembre :
OM - Monaco ...........................................le 10/11
Montpellier - Lille ...............................................
Valenciennes - PSG .............................................
Auxerre - Saint-Étienne
COUPE DE LA LIGUE Sans briller, les Olympiens ont éliminé hier Guingamp (1-0) et affronteront Monaco en quart
Ce sera donc Monaco ; au moment
où Paris a pris l’avantage
à Lyon dans la prolongation,
certains visages se sont figés. Était-il
seulement imaginable que le sort
s’acharne en désignant le PSG comme
adversaire de l’OM en quart de finale
de la coupe de la Ligue, soixante-
douze heures à peine après le clasico
en championnat dont on ne sait
toujours pas s’il se jouera ou non devant
les supporters marseillais ?...
Heureusement, le hasard a bien
fait les choses: l’OM recevra Monaco,
le mercredi 10 novembre. Un énorme
ouf de soulagement pour la LFP; à
l’instar du soupir de Didier Deschamps,
hier après-midi, après le succès
laborieux de son équipe face à
Guingamp (1-0).
Car s’il n’y a pas eu de surprise au
Roudourou, l’ogre marseillais (les Bretons
évoluent en National) n’avait
pas un immense appétit, se contentant
de croquer un Petit Poucet qui a
semé bien trop d’occasions pour espérer
aller plus loin.Un petit but aura
suffi, signé André Ayew de la tête, sur
un service parfait de son frère Jordan,
juste avant la mi-temps. Et voilà comment
les Olympiens restent dans la
course d’une compétition dont ils
n’ont pas fait une priorité, même s’ils
en sont les tenants du titre...
En même temps qu’ils ont franchi
ce tour - de chauffe? - à l’économie,
leur calendrier s’est, lui, considérablement
alourdi ; dans cette optique, le
roulement de l’effectif opéré par Deschamps
prend tout son sens. L’OM a
gagné à sa main sans Mandanda, ni
Heinze, ni Valbuena, ni Rémy, ni Gignac,
pendant que Lucho Gonzalez
et Diawara ne sont sortis du banc
qu’à l’heure de jeu, à la suite des blessures
de Cissé et Mbia. Autant d’éléments
qui seront présents samedi au
Vélodrome pour la venue de Rennes,
actuel leader. Des cadres sur lesquels
compte l’entraîneur marseillais pour
les futures échéances avec, en ligne
de mire, les voyages à Zilina et Paris
la semaine prochaine, puis les réceptions
de Monaco, donc, et Lens.
Le marathon n’est pas fini. Mais il
aurait pu tourner court, au vu des débuts
extrêmement poussifs des Olympiens:
Diallo, El Jadeyaoui et Giresse
ont fait passer un gros frisson dans le
dos d’Andrade au bout d’une demi-
heure. Soly s’est joint à son tour
cette joyeuse bande de maladroits en
seconde période, avant que Diawara
ne contre un ballon sur sa propre barre.
Un manque d’adresse évident, copié
par Brandao, incapable de convertir
de la tête un bon centre d’André
Ayew, qui aurait mis fin au suspense
juste après la pause...
Au lieu de ça, l’OM a géré son but
d’avance. Pas toujours avec maîtrise
mais avec la confiance d’un champion
de France, qui reste sur quatre
succès de rang malgré des manques
flagrants dans la construction. Cette
fois, le sauveur s’appelle Ayew, prénom
André. "Kaboré fait une touche
pour Jordan qui protège son ballon, se
sort du marquage et centre sur ma tête.
J’ai de la réussite, glisse le Ghanéen,
humble. Je suis content de la
performance de Jordan, d’autant que
c’est dur d’être dans le rythme quand
on ne joue pas souvent. Je ne vais pas
mentir, ça fait plaisir qu’on soit titulaire
tous les deux..."
Un but qui a soulagé et fait sourire
Deschamps. "Je pensais plutôt à un
centre d’André et à une tête de Jordan !
C’est Abedi, le papa qui a de la chance..."
Et l’OM, aussi, de se retrouver
en quart de finale, contre Monaco
INCONSTANT
Alors, ce tirage au sort ? Les acteurs
du foot qui maîtrisent mieux la langue
de bois que les ballons pour certains
ont pris l’habitude de le qualifier
de bon ou mauvais, une fois le
résultat enregistré... Autant dire
qu’avec Monaco comme adversaire
en quart de finale, la tendance ne
risque pas de s’inverser côté marseillais.
En effet l’équipe de Guy Lacombe
est sur courant alternatif
avec une rare... constance ! Un seul
succès en L1 (contre Auxerre), un nul
brillant au Vélodrome (2-2, où l’ASM
est depuis trois saisons invaincue) et
c’est tout... Aujourd’hui relégable, le
club de la Principauté voit son
match à Marseille coincé entre un
déplacement à Nancy et la venue
d’Arles-Avignon.
➔ Les quarts de finale qui se joueront
les 9 et 10 novembre :
OM - Monaco ...........................................le 10/11
Montpellier - Lille ...............................................
Valenciennes - PSG .............................................
Auxerre - Saint-Étienne
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
OM-Rennes : les Olympiens prêts à reprendre le pouvoir
Publiée par laprovence
le 29/10/2010 à 17:04:45
http://www.laprovence.com/video/OM-Rennes%2B%253A%2Bles%2BOlympiens%2Bpr%25C3%25AAts%2B%25C3%25A0%2Breprendre%2Ble%2Bpouvoir/iLyROoafZwTk/laprovence/sport
En cas de victoire contre le leader rennais, ce samedi au stade Vélodrome, l'OM subtiliserait la première place à son adversaire du soir et s'installerait dans un fauteuil qu'il n'a encore jamais occupé cette saison. Mais les hommes de Frédéric Antonetti, "candidats sérieux à l'Europe" selon Didier Deschamps, vendront cher leur peau : avec un collectif bien huilé, alliant "vitesse et physique", l'entraîneur olympien et son milieu de terrain Lucho Gonzalez s'entendent à un "match difficile
Publiée par laprovence
le 29/10/2010 à 17:04:45
http://www.laprovence.com/video/OM-Rennes%2B%253A%2Bles%2BOlympiens%2Bpr%25C3%25AAts%2B%25C3%25A0%2Breprendre%2Ble%2Bpouvoir/iLyROoafZwTk/laprovence/sport
En cas de victoire contre le leader rennais, ce samedi au stade Vélodrome, l'OM subtiliserait la première place à son adversaire du soir et s'installerait dans un fauteuil qu'il n'a encore jamais occupé cette saison. Mais les hommes de Frédéric Antonetti, "candidats sérieux à l'Europe" selon Didier Deschamps, vendront cher leur peau : avec un collectif bien huilé, alliant "vitesse et physique", l'entraîneur olympien et son milieu de terrain Lucho Gonzalez s'entendent à un "match difficile
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
ON VA GARDER AU CHAUD
DANS LA CAVERNE CET AVIS .. TRES INTERESSANT
AU CAS OU MARSEILLE SERAIT CHAMPION D "EUROPE
DANS LA CAVERNE CET AVIS .. TRES INTERESSANT
AU CAS OU MARSEILLE SERAIT CHAMPION D "EUROPE
bienvenou- Admin
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
L’OM entre à la Sorbonne
Le club signe pour trois ans un partenariat
académique dont l’objet autorise
un collège d’experts composé de
philosophes, managers, économistes
ou psychologues d’étudier le phénomène
OM. Les premiers travaux seront
présentés en mars à La Sorbonne.
le seul phénomene
tient à la personnalité et la diversité de la ville de MASSILIA
et de ses racines bien mediterranéeennes
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
NOUS ON VEUT ETRE LE PATRON MAIS AVOIR DES TROPHEES...
150 contre 1 : c’est la cote du 5-5 chez BETACLAC.FR pour
cet OM-Lyon (6-0 aussi d’ailleurs, c’est du 150/1).
Ça vaut le coup de mettre un euro dessus mais treize
mois après l’incroyable soirée de Gerland, on a du
mal à croire que les deux Olympiques soient en mesure
de nous resservir lemêmeplat, qui avait plu aux spectateurs
et moins aux entraîneurs.
"Je n’avais jamais dit que je n’étais pas content du
5-5, rectifie Claude Puel. Il y avait plus de frustration
chez Didier Deschamps. Nous avions montré des ressources
mentales pour revenir de 2-4 à 5-4. Si c’était resté
ainsi, ça aurait été encore plus beau."
Ce 5-5 nous avait beaucoup plu et il restera plus longtemps
dans les mémoires que le pathétique 0-0 de l’année
précédente qui avait poussé Bernard Lacombe à
partir à la mi-temps. Tout aussi atypique, car si entre
OM et OL (ou l’inverse en l’occurrence), on n’ouvre
pas toujours les vannes comme en novembre2009, il
est rare qu’on cadenasse à double tour. La démonstration
de force se fait généralement par le jeu.
Que l’OL vienne humilier l’OM et lui retirer le fauteuil
de leader sous les fesses (1-3 en avril 2009) ou que
l’OM assomme l’OL de deux coups de canon africains
signés Kaboré et Taiwo pour foncer vers le titre en
mars2010, on ne joue pas à Picsou contre Picsou entre
les deux clubs phares, clubs forts du foot français.
"Qui c’est le patron ?", c’est plutôt une bravade de
coqs de combat prêts à faire rouler les muscles sous le
maillot. Et même si celui de Lyon ressemble
aujourd’hui à celui de Metz, on sait bien qui est qui…
L’enjeu, c’est le titre
On a affaire aux deux équipes françaises encore qualifiées
en Ligue des champions, toutes deux soumises à
des tirages maousse costauds (Manchester United et
Real Madrid), deux Olympiques en embuscade derrière
le leader lillois, toujours considérées comme les
deux favorites principales au titre de champion.
"Nous sommes plus que Lyon dans l’obligation de gagner,
avec nos derniers résultats", dit Deschamps. L’essentiel,
c’est d’être bien positionnés à la trêve." "C’est à
Marseille que nous avons perdu le titre la saison dernière",
répond Puel.
Car même si on est encore loin de l’arrivée, le vrai
enjeu, entre l’OM et l’OL, c’est le titre. Le match de ce
soir ne vaut que trois points, mais entre les deux équipes,
ça fera trois points de différence. L’effet psychologique
peut aussi compter, le "signal fort" envoyé aux
autres prétendants.
Reste une altération aux enseignements que peut apporter
cette rencontre : entre un OM privé de Mbia,
Diawara, Cissé, Azpilicueta et Hilton, avec un Fanni
qui effectue ses débuts après trois entraînements et un
OL sans Toulalan, Cris, Ederson, avec un Gourcuff à
court de compétition, les deux candidats n’auront pas
toutes leurs armes sur le terrain. Mais ce n’est pas une
raison parce que les défenses sont amoindries, pour
croire que le 5-5 va devenir une habitude…
150 contre 1 : c’est la cote du 5-5 chez BETACLAC.FR pour
cet OM-Lyon (6-0 aussi d’ailleurs, c’est du 150/1).
Ça vaut le coup de mettre un euro dessus mais treize
mois après l’incroyable soirée de Gerland, on a du
mal à croire que les deux Olympiques soient en mesure
de nous resservir lemêmeplat, qui avait plu aux spectateurs
et moins aux entraîneurs.
"Je n’avais jamais dit que je n’étais pas content du
5-5, rectifie Claude Puel. Il y avait plus de frustration
chez Didier Deschamps. Nous avions montré des ressources
mentales pour revenir de 2-4 à 5-4. Si c’était resté
ainsi, ça aurait été encore plus beau."
Ce 5-5 nous avait beaucoup plu et il restera plus longtemps
dans les mémoires que le pathétique 0-0 de l’année
précédente qui avait poussé Bernard Lacombe à
partir à la mi-temps. Tout aussi atypique, car si entre
OM et OL (ou l’inverse en l’occurrence), on n’ouvre
pas toujours les vannes comme en novembre2009, il
est rare qu’on cadenasse à double tour. La démonstration
de force se fait généralement par le jeu.
Que l’OL vienne humilier l’OM et lui retirer le fauteuil
de leader sous les fesses (1-3 en avril 2009) ou que
l’OM assomme l’OL de deux coups de canon africains
signés Kaboré et Taiwo pour foncer vers le titre en
mars2010, on ne joue pas à Picsou contre Picsou entre
les deux clubs phares, clubs forts du foot français.
"Qui c’est le patron ?", c’est plutôt une bravade de
coqs de combat prêts à faire rouler les muscles sous le
maillot. Et même si celui de Lyon ressemble
aujourd’hui à celui de Metz, on sait bien qui est qui…
L’enjeu, c’est le titre
On a affaire aux deux équipes françaises encore qualifiées
en Ligue des champions, toutes deux soumises à
des tirages maousse costauds (Manchester United et
Real Madrid), deux Olympiques en embuscade derrière
le leader lillois, toujours considérées comme les
deux favorites principales au titre de champion.
"Nous sommes plus que Lyon dans l’obligation de gagner,
avec nos derniers résultats", dit Deschamps. L’essentiel,
c’est d’être bien positionnés à la trêve." "C’est à
Marseille que nous avons perdu le titre la saison dernière",
répond Puel.
Car même si on est encore loin de l’arrivée, le vrai
enjeu, entre l’OM et l’OL, c’est le titre. Le match de ce
soir ne vaut que trois points, mais entre les deux équipes,
ça fera trois points de différence. L’effet psychologique
peut aussi compter, le "signal fort" envoyé aux
autres prétendants.
Reste une altération aux enseignements que peut apporter
cette rencontre : entre un OM privé de Mbia,
Diawara, Cissé, Azpilicueta et Hilton, avec un Fanni
qui effectue ses débuts après trois entraînements et un
OL sans Toulalan, Cris, Ederson, avec un Gourcuff à
court de compétition, les deux candidats n’auront pas
toutes leurs armes sur le terrain. Mais ce n’est pas une
raison parce que les défenses sont amoindries, pour
croire que le 5-5 va devenir une habitude…
aladin- Messages : 115038
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
Quitter 2010 par la grande porte
mercredi 22 décembre 2010 à 07H20
Pour conclure en beauté une année, riche de trois titres, et se relancer, l'OM doit gagner à Brest
Franchement, ça ferait une grosse tache ! Remporter la même année la Coupe de la Ligue, le titre national et le Trophée des champions et finir sur une défaite, ce soir à Brest, constituerait une anomalie. N'y voyez là aucun dénigrement de cette courageuse et méritante formation bretonne, promue et battue à Lille, Paris, Rennes et Lyon ; mais pour l'OM, subir un nouveau revers pour l'ultime rendez-vous de 2010 et de la phase aller marquerait un gros coup d'arrêt. Avec seulement troispoints glanés sur les quatre dernières journées, la situation n'est pas vraiment au beau fixe.
Didier Deschamps, sans se trouver d'excuses, a rappelé lundi que son équipe avait changé de nombreux visages sur le plan offensif, là où ses concurrents avaient, eux, conservé tous leurs meilleurs éléments en y ajoutant "Nenê au PSG, Sow à Lille, Gourcuff et Briand à Lyon". Une piqûre de rappel à ceux qui s'impatientent, voire s'inquiètent du cruel manque de réalisme de l'attaque de l'OM.
bienvenou- Admin
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
Merci pour tout et vivement 2011!
LIGUE 1 Incapables d’honorer leur statut de champion,
les Olympiens ont tristement conclu l’année hier à Brest (0-0)
La France du foot a peur ! Ici
Brest, à vous Marseille ! Hier,
il n’y avait pas Roger Gicquel
pour rendre l’antenne depuis le stade
Francis-le-Blé. Mais la formule
du présentateur du journal télévisé
de TF1, restée célèbre dans le cadre
du crime horrible commis en
1976 par Patrick Henry, était hélas
d’actualité.
Sur un terrain en mauvais état, Olympiens et Brestois, ici Andre Ayew et Omar Daf, on livré un piètre spectacle
Une actualité certes et
heureusement plus légère, et davantage
fait d’hiver que fait divers...
Une pelouse indigne de la Ligue
1, des joueurs frigorifiés par un
vent glacial tourbillonnant, une
qualité (euh pardon, médiocrité)
technique atteignant des records,
des supporters criant leur passion
- "ici c’est Brest, ici c’est Brest !" -,
pour mieux oublier qu’ils avaient,
chèrement, payé leur place. Notamment
ceux pour qui la facture
s’était élevée jusqu’à 600¤au marché
noir !
Une addition salée, comme les
routes bretonnes menacées de chutes
de neige. Mais à ce rythme-là,
celle des droits télé lors de la future
négociation ne s’envolera pas. Car,
si, ni Brest ni l’OM n’ont gagné, le
football français, lui, a perdu sur
toute la ligne. Comme les Marseillais,
tenus en échec en Bretagne
(0-0), Lyon et Lille ont eux aussi
été freinés dans leur ascension,
pendant que Paris et Rennes ont
chuté. Un sacré casting de losers !
Face à un promu généreux mais
forcément limité avec un effectif
quasi identique à celui ayant accédé
au printemps en L1, le champion
de France n’a été que l’ombre
de lui-même. Et le problème est
que cela ne date pas d’hier. Rennes,
Nice, Auxerre, Lyon, Brest :
quatre points sur quinze possibles,
les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Avec ce nouveau résultat NUL (en
lettres capitales s’il vous plaît),
l’OM conserve sa place dans le top
5. Et quel top !
Comment espérer mieux qu’un
point lorsqu’on se crée une seule
vraie occasion de part et d’autre ?
Tir de Grougi sur l’extérieur du poteau
(32) côté brestois, frappe de
Lucho bien stoppée par Elana en
deux temps (68), côté marseillais,
et puis c’est tout !
Deux actions avec, à l’origine,
deux hommes clés de cette triste
soirée. D’abord Fanni, touché assez
sérieusement à la cuisse gauche
et contraint de quitter la pelouse,
après avoir oublié l’attaquant
breton au deuxième poteau; puis
Kaboré, son successeur dans le
couloir droit, auteur d’un centre
précis pour l’Argentin, quelques
minutes avant de recevoir deux
avertissements pour deux charges
trop rugueuses.
Et voilà comment le Burkinabé
est devenu le troisième joueur de
l’OM expulsé cette saison après Cissé
(à Bordeaux) et Mbia (à Auxerre).
Ce manque de lucidité s’explique
par la fatigue et la nervosité
qui animent les Olympiens en cette
fin d’année.
Nerveux et fatigués,
ils restent sur une série
de quatre points sur
quinze possibles
Ce ne sont pas les
seuls en Ligue 1, mais la France du
foot est en droit d’en attendre davantage,
eux qui l’ont régalée durant
le premier semestre de l’année.
Bon, alors merci pour tout et
vivement 2011!
LIGUE 1 Incapables d’honorer leur statut de champion,
les Olympiens ont tristement conclu l’année hier à Brest (0-0)
La France du foot a peur ! Ici
Brest, à vous Marseille ! Hier,
il n’y avait pas Roger Gicquel
pour rendre l’antenne depuis le stade
Francis-le-Blé. Mais la formule
du présentateur du journal télévisé
de TF1, restée célèbre dans le cadre
du crime horrible commis en
1976 par Patrick Henry, était hélas
d’actualité.
Sur un terrain en mauvais état, Olympiens et Brestois, ici Andre Ayew et Omar Daf, on livré un piètre spectacle
Une actualité certes et
heureusement plus légère, et davantage
fait d’hiver que fait divers...
Une pelouse indigne de la Ligue
1, des joueurs frigorifiés par un
vent glacial tourbillonnant, une
qualité (euh pardon, médiocrité)
technique atteignant des records,
des supporters criant leur passion
- "ici c’est Brest, ici c’est Brest !" -,
pour mieux oublier qu’ils avaient,
chèrement, payé leur place. Notamment
ceux pour qui la facture
s’était élevée jusqu’à 600¤au marché
noir !
Une addition salée, comme les
routes bretonnes menacées de chutes
de neige. Mais à ce rythme-là,
celle des droits télé lors de la future
négociation ne s’envolera pas. Car,
si, ni Brest ni l’OM n’ont gagné, le
football français, lui, a perdu sur
toute la ligne. Comme les Marseillais,
tenus en échec en Bretagne
(0-0), Lyon et Lille ont eux aussi
été freinés dans leur ascension,
pendant que Paris et Rennes ont
chuté. Un sacré casting de losers !
Face à un promu généreux mais
forcément limité avec un effectif
quasi identique à celui ayant accédé
au printemps en L1, le champion
de France n’a été que l’ombre
de lui-même. Et le problème est
que cela ne date pas d’hier. Rennes,
Nice, Auxerre, Lyon, Brest :
quatre points sur quinze possibles,
les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Avec ce nouveau résultat NUL (en
lettres capitales s’il vous plaît),
l’OM conserve sa place dans le top
5. Et quel top !
Comment espérer mieux qu’un
point lorsqu’on se crée une seule
vraie occasion de part et d’autre ?
Tir de Grougi sur l’extérieur du poteau
(32) côté brestois, frappe de
Lucho bien stoppée par Elana en
deux temps (68), côté marseillais,
et puis c’est tout !
Deux actions avec, à l’origine,
deux hommes clés de cette triste
soirée. D’abord Fanni, touché assez
sérieusement à la cuisse gauche
et contraint de quitter la pelouse,
après avoir oublié l’attaquant
breton au deuxième poteau; puis
Kaboré, son successeur dans le
couloir droit, auteur d’un centre
précis pour l’Argentin, quelques
minutes avant de recevoir deux
avertissements pour deux charges
trop rugueuses.
Et voilà comment le Burkinabé
est devenu le troisième joueur de
l’OM expulsé cette saison après Cissé
(à Bordeaux) et Mbia (à Auxerre).
Ce manque de lucidité s’explique
par la fatigue et la nervosité
qui animent les Olympiens en cette
fin d’année.
Nerveux et fatigués,
ils restent sur une série
de quatre points sur
quinze possibles
Ce ne sont pas les
seuls en Ligue 1, mais la France du
foot est en droit d’en attendre davantage,
eux qui l’ont régalée durant
le premier semestre de l’année.
Bon, alors merci pour tout et
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Re: LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM
QUESTIONS POUR REDEVENIR CHAMPIONS
DOSSIER PAGE 1
Questions pour un champion
MI-PARCOURS La première partie de la saison suscite plus d’interrogations
que de certitudes dans le camp olympien
DOSSIER PAGE 1
Questions pour un champion
MI-PARCOURS La première partie de la saison suscite plus d’interrogations
que de certitudes dans le camp olympien
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