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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
À propos des
nouveaux habitats d’Euroméditerranée.
"Ce ne sont pas ces opérations
spéculatives sur quelques
îlots qui vont changer le
fait que Marseille périclite à
une vitesse folle. Les quartiers
qui autrefois étaient populaires
se tiermondisent."
"Même si tu me paies, je ne
vais pas habiter là-bas. Bon
courage! Et si vous êtes proprios,
revendez vite
nouveaux habitats d’Euroméditerranée.
"Ce ne sont pas ces opérations
spéculatives sur quelques
îlots qui vont changer le
fait que Marseille périclite à
une vitesse folle. Les quartiers
qui autrefois étaient populaires
se tiermondisent."
"Même si tu me paies, je ne
vais pas habiter là-bas. Bon
courage! Et si vous êtes proprios,
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
MARGARITA ..EST DEMANDEE DE TOUTE URGENCE
SeaFrance : avec l'énergie du désespoir, un collectif se tourne vers Louis-Dreyfus Armateurs DFDS
Jusqu'ici silencieux, une centaine de salariés "non-syndiqués" de SeaFrance ont exprimé vendredi avec "l'énergie du désespoir" leur désir de voir se relancer le projet de reprise de la compagnie par Louis-Dreyfus Armateurs et DFDS, et surtout de sauvegarder leurs emplois.
"SeaFrance risque très probablement d'être liquidée. Nous souhaiterions pouvoir renouer le dialogue avec Louis-Dreyfus Armateurs DFDS", déclare Caroline Hayart, l'une des initiatrices du collectif.
Dans une salle de la ville de Calais, ses membres exposent leur démarche à quelques heures des échéances finales pour la compagnie de ferries : "préserver l'emploi" et tenter de trouver une alternative à la Scop (Société coopérative et participative) défendue par la CFDT, majoritaire chez SeaFrance.
Caroline Hayart déplore qu'une offre de reprise de LDA-DFDS qui proposait de conserver 500 à 620 emplois, et qui s'engageait à maintenir l'activité pendant au moins cinq ans ait été "enterrée". La CFDT avait refusé d'examiner la proposition.
"Si c'est une des solutions, il ne faut pas la laisser passer", dit Laurence Le Gonidec, salariée de SeaFrance depuis 22 ans, formant le voeu que le "SOS" soit entendu.
"C'est l'énergie du désespoir qui nous fait réagir", poursuit-elle devant ses collègues, plutôt attentistes.
"On espère être entendus au niveau du ministère des Transports", ajoute-t-elle, évoquant un "combat dans l'urgence", tout en se défendant d'être anti-CFDT ou anti-Scop.
Toutefois, Catherine Hayart craint que LDA-DFDS ne redépose pas d'offre d'ici à lundi. "Maintenant, à nous de nous faire entendre, c'est le moment où jamais. A nous d'entrer dans le jeu pour essayer de réamorcer un dialogue et de tenter de négocier".
"A nous d'essayer aujourd'hui d'obtenir des garanties pour nos emplois", poursuit-elle, souhaitant que les salariés qui souhaitent partir puissent le faire.
La démarche du collectif est de "renouer un dialogue avec tous les acteurs du dossier SeaFrance en réinstaurant un climat de confiance d'écoute et d'ouverture", poursuit-elle, en appelant aux "idées" et "suggestions" des salariés.
"On veut explorer toutes les pistes qui ne l'ont pas été jusqu'à maintenant", renchérit Françoise Monfregola, autre membre du collectif.
Hubert Saussereau met en avant une "démarche d'ouverture". Mais "on ne dit pas Amen à tout", dit-il en évoquant les offres de reclassement évoquées par le PDG de la SNCF Guillaume Pépy.
Françoise Monfregola, qui a eu au téléphone la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet, a affirmé que celle-ci "mettrait tout en oeuvre pour nous aider, (...) elle ne nous laissera pas tomber".
Nils Martin, un salarié anglais de SeaFrance à Douvres (Angleterre) résume : "Nous avons peut-être été oubliés dans ce qui c'est passé, maintenant, nous avons peut-être une occasion de dire +regardez, nous sommes là, nous faisons partie de l'avenir de SeaFrance+. Nous avons besoin de savoir ce qui se passe
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
08/01/2012 07:15 Le moral des Français au plus bas
Tendance
Le moral des Français au plus bas 5
À quatre mois de la présidentielle, un sondage Ifop révèle que la baisse des impôts est le dernier domaine pour lequel les Français (12 % - 4 points par rapport à septembre 2011) font confiance au gouvernement. C'est que les Français ont toujours le moral dans les chaussettes. Selon Ifop, il se maintient à un niveau « particulièrement bas », avec 65 % des sondés qui se disent pessimistes pour leur avenir et celui de leurs enfants.
Les hommes et les jeunes de moins de 35 ans restent parmi les catégories les plus confiantes en leur avenir (respectivement 42 % et 44 % de personnes se disant optimistes), les moins optimistes étant la catégorie des 50-64 ans (28 %).
Professions libérales et cadres, bien que majoritairement pessimistes, ont un degré d'optimisme (44 %) supérieur à la moyenne nationale, devançant les artisans et commerçants (40 %). Les ouvriers ne sont que 29 % à se déclarer confiants, juste devancés par les retraités (32 %).
Mais côté sensibilité politique, les sympathisants UMP (49 %) se montrent une nouvelle fois plus confiants que les sympathisants de gauche (32 %) ou du Modem (36 %).
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Taxe Tobin: la place financière de Paris s'indigne, le gouvernement persiste
La place financière française s'est insurgée dimanche contre le projet de Nicolas Sarkozy d'instaurer une taxe sur les transactions financières, sans ébranler la détermination du gouvernement à aller vite, quitte à faire cavalier seul en Europe.
Si elle n'était pas européenne, cette taxe "affaiblirait l'économie française" et serait "inappropriée", a affirmé l'association Paris Europlace, qui représente l'ensemble des acteurs de la finance française.
La présidente du Medef, Laurence Parisot, a abondé dans le même sens, estimant sur RFI que la mise en place de cette taxe serait un "mauvais coup" porté au financement de l'économie française et que cela aboutirait à "une délocalisation massive" des transactions. "Nous serions tous perdants", a-t-elle insisté
"Ce n'est pas parce que les financiers disent +non on ne veut pas être taxés+ qu'on va les écouter", a rétorqué Benoist Apparu, le secrétaire d'Etat au Logement, sur Radio J, assurant qu'un texte serait présenté en Conseil des ministres "probablement en février".
Selon Paris Europlace, cette taxe ne toucherait pas uniquement les transactions considérées comme spéculatives mais aussi les transactions réalisées par les investisseurs privés, les entreprises et les investisseurs institutionnels. Paris Europlace représente l’ensemble des acteurs de la place financière française: entreprises industrielles, y compris les PME, sociétés d’assurance, sociétés de gestion, banques et intermédiaires financiers.
Pensée en 1972 par l'économiste américain James Tobin et portée par les milieux altermondialistes et l'association Attac, la taxe contestée a fait un long chemin avant d'être reprise par le président Sarkozy, la chancelière Angela Merkel et la Commission européenne.
Cependant jusqu'ici le président français avait toujours repoussé l'idée d'une mise en place uniquement dans l'Hexagone.
Vendredi, Nicolas Sarkozy a suscité l'agacement de ses partenaires européens en déclarant que la France n'attendrait pas qu'ils trouvent un consensus pour mettre en oeuvre la taxe en France.
Pour Berlin, "le but est d'aboutir à l'instauration d'une taxe dans l'Union européenne", a déclaré le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert.
La Commission européenne a elle aussi rappelé la nécessité d'une "approche cohérente" tout comme le chef du gouvernement italien Mario Monti. Le Premier ministre britannique David Cameron est allé encore plus loin, réaffirmant son opposition à toute taxe... à moins qu'elle ne soit décidée au niveau mondial.
Ce débat intervient à moins de quatre mois des élections en France. Nicolas Sarkozy doit rencontrer lundi à Berlin la chancelière Angela Merkel pour harmoniser leurs positions avant un sommet européen à la fin du mois.
Au sein du Parti socialiste, les positions sont nuancées. Le député Arnaud Montebourg a déclaré dimanche sur France 3 : "Cette taxe, je vais la voter et je le (Nicolas Sarkozy) prends au mot". Mais le député Julien Dray a dit à la radio RCJ craindre que cette taxe soit "un gadget, quelque chose qui soit votée mais inapplicable, qui soit de l'ordre de la gesticulation".
Le président du MoDem, François Bayrou, candidat à la présidentielle, a proposé que la taxe serve au financement de la protection sociale
Quant à la candidate écologiste à la présidentielle, Eva Joly, elle s'est dite dimanche sur RMC "heureuse" que Nicolas Sarkozy se soit "rallié" à une idée défendue depuis longtemps par son camp.
Dominique de Villepin, candidat à l'Elysée au nom de République solidaire, a qualifié à Canal + de "stupide", de "très mauvaise idée" le projet d'une taxation des transactions financières en France seule.
Le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, a appelé la gauche et François Hollande "à soutenir publiquement et sans réserve" le projet "dans l'intérêt général des citoyens" français. "Nous ne pourrons pas continuer longtemps à louer les mérites de cette taxe sans la mettre en place", a-t-il ajouté dans un communiqué.
La place financière française s'est insurgée dimanche contre le projet de Nicolas Sarkozy d'instaurer une taxe sur les transactions financières, sans ébranler la détermination du gouvernement à aller vite, quitte à faire cavalier seul en Europe.
Si elle n'était pas européenne, cette taxe "affaiblirait l'économie française" et serait "inappropriée", a affirmé l'association Paris Europlace, qui représente l'ensemble des acteurs de la finance française.
La présidente du Medef, Laurence Parisot, a abondé dans le même sens, estimant sur RFI que la mise en place de cette taxe serait un "mauvais coup" porté au financement de l'économie française et que cela aboutirait à "une délocalisation massive" des transactions. "Nous serions tous perdants", a-t-elle insisté
"Ce n'est pas parce que les financiers disent +non on ne veut pas être taxés+ qu'on va les écouter", a rétorqué Benoist Apparu, le secrétaire d'Etat au Logement, sur Radio J, assurant qu'un texte serait présenté en Conseil des ministres "probablement en février".
Selon Paris Europlace, cette taxe ne toucherait pas uniquement les transactions considérées comme spéculatives mais aussi les transactions réalisées par les investisseurs privés, les entreprises et les investisseurs institutionnels. Paris Europlace représente l’ensemble des acteurs de la place financière française: entreprises industrielles, y compris les PME, sociétés d’assurance, sociétés de gestion, banques et intermédiaires financiers.
Pensée en 1972 par l'économiste américain James Tobin et portée par les milieux altermondialistes et l'association Attac, la taxe contestée a fait un long chemin avant d'être reprise par le président Sarkozy, la chancelière Angela Merkel et la Commission européenne.
Cependant jusqu'ici le président français avait toujours repoussé l'idée d'une mise en place uniquement dans l'Hexagone.
Vendredi, Nicolas Sarkozy a suscité l'agacement de ses partenaires européens en déclarant que la France n'attendrait pas qu'ils trouvent un consensus pour mettre en oeuvre la taxe en France.
Pour Berlin, "le but est d'aboutir à l'instauration d'une taxe dans l'Union européenne", a déclaré le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert.
La Commission européenne a elle aussi rappelé la nécessité d'une "approche cohérente" tout comme le chef du gouvernement italien Mario Monti. Le Premier ministre britannique David Cameron est allé encore plus loin, réaffirmant son opposition à toute taxe... à moins qu'elle ne soit décidée au niveau mondial.
Ce débat intervient à moins de quatre mois des élections en France. Nicolas Sarkozy doit rencontrer lundi à Berlin la chancelière Angela Merkel pour harmoniser leurs positions avant un sommet européen à la fin du mois.
Au sein du Parti socialiste, les positions sont nuancées. Le député Arnaud Montebourg a déclaré dimanche sur France 3 : "Cette taxe, je vais la voter et je le (Nicolas Sarkozy) prends au mot". Mais le député Julien Dray a dit à la radio RCJ craindre que cette taxe soit "un gadget, quelque chose qui soit votée mais inapplicable, qui soit de l'ordre de la gesticulation".
Le président du MoDem, François Bayrou, candidat à la présidentielle, a proposé que la taxe serve au financement de la protection sociale
Quant à la candidate écologiste à la présidentielle, Eva Joly, elle s'est dite dimanche sur RMC "heureuse" que Nicolas Sarkozy se soit "rallié" à une idée défendue depuis longtemps par son camp.
Dominique de Villepin, candidat à l'Elysée au nom de République solidaire, a qualifié à Canal + de "stupide", de "très mauvaise idée" le projet d'une taxation des transactions financières en France seule.
Le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, a appelé la gauche et François Hollande "à soutenir publiquement et sans réserve" le projet "dans l'intérêt général des citoyens" français. "Nous ne pourrons pas continuer longtemps à louer les mérites de cette taxe sans la mettre en place", a-t-il ajouté dans un communiqué.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Bagarre dans les couloirs du Chaudron
Le 08/01/2012 à 09:36
La fin du match a été très tendue à saint-Etienne, samedi soir. Juste après avoir donné la qualification à son camp lors des tirs au but , le Bordelais Henrique a asséné un coup de poing dans le dos de Florent Sinama-Pongolle, à l'entrée du tunnel amenant aux vestiaires, ce qui a déclenché une bagarre générale entre les deux équipes. Le défenseur girondin n'avait guère apprécié le coup de coude reçu de la
part de l'attaquant des verts durant la prolongation.
Le 08/01/2012 à 09:36
La fin du match a été très tendue à saint-Etienne, samedi soir. Juste après avoir donné la qualification à son camp lors des tirs au but , le Bordelais Henrique a asséné un coup de poing dans le dos de Florent Sinama-Pongolle, à l'entrée du tunnel amenant aux vestiaires, ce qui a déclenché une bagarre générale entre les deux équipes. Le défenseur girondin n'avait guère apprécié le coup de coude reçu de la
part de l'attaquant des verts durant la prolongation.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
09/01/2012 à 16:25 | © 2012 AFP
SeaFrance: stupeur et colère à l'annonce de la liquidation
SARKOZ A PART PARLER ........
Un homme agite un fumigène devant le tribunal de commerce de Paris, où se joue le sort de SeaFrance, le 9 janvier 2012 Les salariés de SeaFrance rassemblés devant le tribunal de commerce de Paris lundi ont laissé éclater leur colère, à la fois contre le gouvernement et la CFDT nationale, à l'annonce de la liquidation à venir de la compagnie transmanche de ferries.
Au silence pesant qui régnait dans l'attente de la décision du tribunal ont succédé les éclats de voix incriminant la CFDT nationale, "qui a coulé le truc depuis le début", ou encore le président Nicolas Sarkozy.
"C'est honteux, ce ne sont pas des syndicalistes! Qu'est-ce qu'ils ont fait pour nous?" ont demandé certains.
"Cela fait des années qu'on paie des timbres" de cotisations syndicales, "c'est pas joli-joli", commente avec amertume un salarié.
Une voix fuse: "Sarko, tu as sali la France."
LES PROMESSES N'ENGAGENT QUE CEUX QUI LES CROIENT
"Si Jeanne d'Arc a sauvé la France, pourquoi Sarkozy n'a-t-il pas sauvé SeaFrance", demandait une pancarte.
Pour Didier Capelle, responsable de la CFDT Maritime-Nord, les salariés auront "lutté jusqu'au bout". "Il y a un énorme décalage entre les discours et la réalité", note-t-il. Il dit partager avec Eurotunnel la volonté de "lutter contre le dumping social", faisant allusion au groupe danois DFDS, qui avait fait une offre de reprise avec Louis Dreyfus Armateurs et qui emploie des salariés roumains et hongrois.
"Dans CFDT, il y a un D qui veut dire démocratique, pas DFDS", souligne-t-il.
D'autres salariés, parfois accompagnés de leurs enfants, qui ont fait le voyage depuis Calais (Pas-de-Calais) en car, sont abattus et ne souhaitent pas parler. Certains pleurent.
"On est écoeuré. Tout ça, c'est des grosses magouilles politiques (...) Il y a des crapules en face de nous", lance, le visage grave, Bruno Landy, un responsable CFDT de SeaFrance et l'un des promoteurs du projet de Scop repoussé par le tribunal de commerce.
Ce dernier a opté lundi pour la liquidation définitive avec cessation d'activité de SeaFrance, faute d'offre "valable", pas même celle de la coopérative ouvrière (Société coopérative et participative, Scop).
Bruno Landy a annoncé que les salariés allaient "rencontrer Eurotunnel", l'exploitant du tunnel sous la Manche, candidat au rachat des navires de SeaFrance dans le but de les mettre ensuite à la disposition de la Scop.
Dominique, 20 ans chez SeaFrance, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille, a pour sa part peu d'espoir: "On est arrivé au bout. C'est encore plus horrible car on a eu une dernière lueur d'espoir", souligne-t-il.
"On les a vu déconstruire la boîte petit à petit. C'est un scandale", ajoute-t-il les larmes aux yeux, en ajoutant: "On est crevé, on est sur les nerfs."
"Et en plus, il va y avoir une chasse aux sorcières!" prédit ce cédétiste, tandis qu'autour de lui, les manifestants se préparent à regagner les autobus et prendre le chemin du retour, escortés par les forces de l'ordre.
Un de ses collègues, un quinquagénaire qui requiert l'anonymat, se demande "comment retrouver du boulot à (son) âge".
Pour lui, "les reclassements de la SNCF c'est du bidon". Il en veut pour preuve les licenciements de 2010: "La dernière fois sur 750 licenciés, il y a eu 11 reclassés, et en plus ils ont dû passer un concours."
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Des salariés de SeaFrance ont bloqué l'autoroute A1 au péage de Senlis
Quelque 300 salariés de SeaFrance, dont la justice venait d'annoncer la liquidation, ont bloqué durant une demi-heure lundi après-midi le péage de Senlis, sur l'autoroute A1 entre Paris et Lille, a constaté une journaliste de l'AFP.
A partir de 15H00, les salariés ont empêché les voitures de passer dans le sens Paris-Lille et ont gêné le passage dans l'autre sens, suscitant la colère de certains automobilistes, dont quelques-uns ont tenté de forcer le passage.
Ils ont mis à fin à leur action sauvage vers 15H30 et sont remontés dans leurs autobus, alors que d'importants bouchons commençaient à se former sur l'autoroute.
Furieux de la décision de liquidation prise par le tribunal de commerce de Paris, une partie des salariés qui s'étaient réunis devant le tribunal avaient choisi en début d'après-midi d'aller mener cette action au péage de Senlis.
"On est en train de bloquer le péage de Senlis dans les deux sens pour marquer notre mécontentement", avait expliqué Christophe, 27 ans, qui ne souhaite pas donner son patronyme.
"On est tous tétanisés par la décision. On n'a pas encore atterri. On se fait un petit peu voir", avait-il expliqué.
Arrivés à bord de sept bus, les protestataires ont bâti des barrages de fortune avec du matériel d'un chantier situé à proximité de la barrière, a constaté une journaliste de l'AFP
Quelque 300 salariés de SeaFrance, dont la justice venait d'annoncer la liquidation, ont bloqué durant une demi-heure lundi après-midi le péage de Senlis, sur l'autoroute A1 entre Paris et Lille, a constaté une journaliste de l'AFP.
A partir de 15H00, les salariés ont empêché les voitures de passer dans le sens Paris-Lille et ont gêné le passage dans l'autre sens, suscitant la colère de certains automobilistes, dont quelques-uns ont tenté de forcer le passage.
Ils ont mis à fin à leur action sauvage vers 15H30 et sont remontés dans leurs autobus, alors que d'importants bouchons commençaient à se former sur l'autoroute.
Furieux de la décision de liquidation prise par le tribunal de commerce de Paris, une partie des salariés qui s'étaient réunis devant le tribunal avaient choisi en début d'après-midi d'aller mener cette action au péage de Senlis.
"On est en train de bloquer le péage de Senlis dans les deux sens pour marquer notre mécontentement", avait expliqué Christophe, 27 ans, qui ne souhaite pas donner son patronyme.
"On est tous tétanisés par la décision. On n'a pas encore atterri. On se fait un petit peu voir", avait-il expliqué.
Arrivés à bord de sept bus, les protestataires ont bâti des barrages de fortune avec du matériel d'un chantier situé à proximité de la barrière, a constaté une journaliste de l'AFP
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Le déficit public en 2011 est "très probablement inférieur" à 5,7%, annonce Fillon
AFP - 09/01/2012 11:57
François Fillon a annoncé lundi que le déficit de l'Etat serait en 2011 "de 4 milliards inférieur à la dernière prévision", avec pour conséquence un déficit public "très probablement inférieur aux 5,7% du PIB" sur lesquels la France s'est engagée, lors de ses voeux à Matignon.
CA VEUT DIRE PLUS DE 100 MILLIARDS DE DEFICITS
QUEL BUDGET PEUT ETRE CONTENT DE SE METTRE AUTANT EN DEFICIT
AFP - 09/01/2012 11:57
François Fillon a annoncé lundi que le déficit de l'Etat serait en 2011 "de 4 milliards inférieur à la dernière prévision", avec pour conséquence un déficit public "très probablement inférieur aux 5,7% du PIB" sur lesquels la France s'est engagée, lors de ses voeux à Matignon.
CA VEUT DIRE PLUS DE 100 MILLIARDS DE DEFICITS
QUEL BUDGET PEUT ETRE CONTENT DE SE METTRE AUTANT EN DEFICIT
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
mercredi 11 janvier 2012 09:52
Début des soldes: Baroin espère que cela va "favoriser" la consommation
François Baroin, le ministre de l'Economie, a donné mercredi matin le coup d'envoi des soldes d'hiver dans les grands magasins boulevard Haussmann à Paris, et dit espérer que cela puisse "favoriser" la consommation "dans une période un peu morose".
il parle mais il en rien a foutre de nous
A PART LES ANDOUILLES A TROYES ..Y A QUOI
qui a dit dans la salle ......RIEN
Début des soldes: Baroin espère que cela va "favoriser" la consommation
François Baroin, le ministre de l'Economie, a donné mercredi matin le coup d'envoi des soldes d'hiver dans les grands magasins boulevard Haussmann à Paris, et dit espérer que cela puisse "favoriser" la consommation "dans une période un peu morose".
il parle mais il en rien a foutre de nous
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
talnormandieIl y a 16 minutes
pour favoriser la consommation il faudrait déjà que les français aient du travail et des revenus décents (salaires ou retraites).!!! pas besoin d'avoir fait l'ENA ou Polytechnique pour comprendre il me semble
RIVAROL 73Il y a 19 minutes
Nos politicards-cumulards en sont là ! Compter sur les soldes pour sauver le pays ! On ne peut pas dire que de la part d'un ministre des finances ça témoigne d'une grande visibilité .
comiosIl y a 24 minutes
Baroin , homme simple voir simplet, c'est le pays qui est en solde !!!!
bienvenou a écrit:mercredi 11 janvier 2012 09:52
Début des soldes: Baroin espère que cela va "favoriser" la consommation
François Baroin, le ministre de l'Economie, a donné mercredi matin le coup d'envoi des soldes d'hiver dans les grands magasins boulevard Haussmann à Paris, et dit espérer que cela puisse "favoriser" la consommation "dans une période un peu morose".
il parle mais il en rien a foutre de nous
A PART LES ANDOUILLES A TROYES ..Y A QUOI
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Petroplus annonce un accord provisoire avec ses prêteurs
Le groupe suisse Petroplus a annoncé mercredi avoir trouvé un "accord provisoire avec ses prêteurs", incluant l'obtention de fonds pour financer ses dépenses essentielles et garantir la sécurité des opérations dans les raffineries de Coryton (Grande-Bretagne) et d'Ingolstadt (Allemagne).
Cet accord permettra également aux parties de négocier un "amendement au Credit Revolving Facility qui devrait être complété durant la deuxième moitié de janvier 2012", indique la société dans un communiqué très court.
Le groupe suisse annonce par ailleurs qu'il est en négociation avec "une tierce partie concernant l'alimentation en pétrole brut et en matières premières pour les raffineries de Coryton et Ingolstadt".
Le 27 décembre, le premier raffineur indépendant en Europe avait annoncé qu'il s'était vu refuser une ligne de crédit de 1 milliard de dollars jugée "indispensable" au bon fonctionnement de ses opérations d'achat de brut. La situation était devenue critique depuis que le 5 janvier, la société avait indiqué que les banques avaient gelé toutes les lignes de crédit.
Ces difficultés financières ont provoqué la fermeture de certaines de ses raffineries en Europe. Le groupe a en effet décidé l'arrêt "temporaire" des raffineries de Petit-Couronne (France), Anvers (Belgique) et Cressier (Suisse) et le placement en "débit minimum" de celles de Coryton (Grande-Bretagne) et Ingolstadt (Allemagne).
Dans son communiqué, Petroplus fait le point sur ses installations: "Les raffineries de Petit Couronne et d'Anvers ont été arrêtées en toute sécurité", indique le groupe. "La raffinerie de Cressier devrait manquer de stocks de pétrole brut et commencer à être arrêtée la semaine prochaine", ajoute-t-il.
En France, les difficultés de Petroplus sont devenues une affaire politique: sept des candidats à l'élection présidentielle se sont rendus à la raffinerie de Petit-Couronne, qui emploie 550 salariés près de Rouen, dans l'ouest, où l'intersyndicale s'est félicite d'avoir contribué à installer le thème de la "désindustrialisation" dans la campagne électorale.
Petroplus opère sur un marché sinistré en raison des importantes surcapacités existant en Europe dans le secteur. Certains analystes n'ont d'ailleurs pas hésité à parler dès la fin décembre d'un "risque de faillite" accru et d'une "perte totale de la valeur des titres" en Bourse
Le groupe suisse Petroplus a annoncé mercredi avoir trouvé un "accord provisoire avec ses prêteurs", incluant l'obtention de fonds pour financer ses dépenses essentielles et garantir la sécurité des opérations dans les raffineries de Coryton (Grande-Bretagne) et d'Ingolstadt (Allemagne).
Cet accord permettra également aux parties de négocier un "amendement au Credit Revolving Facility qui devrait être complété durant la deuxième moitié de janvier 2012", indique la société dans un communiqué très court.
Le groupe suisse annonce par ailleurs qu'il est en négociation avec "une tierce partie concernant l'alimentation en pétrole brut et en matières premières pour les raffineries de Coryton et Ingolstadt".
Le 27 décembre, le premier raffineur indépendant en Europe avait annoncé qu'il s'était vu refuser une ligne de crédit de 1 milliard de dollars jugée "indispensable" au bon fonctionnement de ses opérations d'achat de brut. La situation était devenue critique depuis que le 5 janvier, la société avait indiqué que les banques avaient gelé toutes les lignes de crédit.
Ces difficultés financières ont provoqué la fermeture de certaines de ses raffineries en Europe. Le groupe a en effet décidé l'arrêt "temporaire" des raffineries de Petit-Couronne (France), Anvers (Belgique) et Cressier (Suisse) et le placement en "débit minimum" de celles de Coryton (Grande-Bretagne) et Ingolstadt (Allemagne).
Dans son communiqué, Petroplus fait le point sur ses installations: "Les raffineries de Petit Couronne et d'Anvers ont été arrêtées en toute sécurité", indique le groupe. "La raffinerie de Cressier devrait manquer de stocks de pétrole brut et commencer à être arrêtée la semaine prochaine", ajoute-t-il.
En France, les difficultés de Petroplus sont devenues une affaire politique: sept des candidats à l'élection présidentielle se sont rendus à la raffinerie de Petit-Couronne, qui emploie 550 salariés près de Rouen, dans l'ouest, où l'intersyndicale s'est félicite d'avoir contribué à installer le thème de la "désindustrialisation" dans la campagne électorale.
Petroplus opère sur un marché sinistré en raison des importantes surcapacités existant en Europe dans le secteur. Certains analystes n'ont d'ailleurs pas hésité à parler dès la fin décembre d'un "risque de faillite" accru et d'une "perte totale de la valeur des titres" en Bourse
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
NOTRE POLICE...EFFECTIFS EN BERNE
J'AI VU UN REPORTAGE TELE FRANCE 2 SUR LES EFFECTIFS DE POLICE DS LA REGION PARISIENNE
2 EME ARRONDISSEMENT COSSU TRANQUILLE
1 POLICIER POUR 130 HABITANTS ALORS QU IL Y PEU DE DELINQUANCE
LA COURNEUVE 1 POLICIER SUR 380 HABITANTS ALORS QUE LA DELINQUANCE EST TRES FORTE
LE MAIRE DE LA COURNEUVE
NOUS A FAIT VISITER UN NOUVEAU COMMISARIAT EN CENTRE VILLE TOUT NEUF LIVRE EN 2010 MAIS VIDE DE POLICIERS
AU BOUT DE 6 MOIS LA POLICE A EXPLIQUE
QU'IL N AVAIT PAS ASSEZ D "EFFECTIF POUR LOCCUPER
ALORS ............CELUI LA
CE SERA PAREIL IL SERA VIDE ET VOUS IRA COMME UN G(UE)...ANT
J'AI VU UN REPORTAGE TELE FRANCE 2 SUR LES EFFECTIFS DE POLICE DS LA REGION PARISIENNE
2 EME ARRONDISSEMENT COSSU TRANQUILLE
1 POLICIER POUR 130 HABITANTS ALORS QU IL Y PEU DE DELINQUANCE
LA COURNEUVE 1 POLICIER SUR 380 HABITANTS ALORS QUE LA DELINQUANCE EST TRES FORTE
LE MAIRE DE LA COURNEUVE
NOUS A FAIT VISITER UN NOUVEAU COMMISARIAT EN CENTRE VILLE TOUT NEUF LIVRE EN 2010 MAIS VIDE DE POLICIERS
AU BOUT DE 6 MOIS LA POLICE A EXPLIQUE
QU'IL N AVAIT PAS ASSEZ D "EFFECTIF POUR LOCCUPER
ALORS ............CELUI LA
CE SERA PAREIL IL SERA VIDE ET VOUS IRA COMME UN G(UE)...ANT
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Cure d'austérité draconienne pour Air France-KLM
Le premier transporteur aérien européen Air France-KLM a dévoilé jeudi un plan de redressement sur trois ans visant des économies supérieures à deux milliards d'euros via la réduction de la flotte, des investissements, un gel des embauches et une restructuration de l'activité moyen-courrier.
Le plan de la compagnie s'articule autour de mesures "immédiates" d'économies et d'un "plan de transformation" avec l'objectif d'un retour à l'équilibre, d'ici à 2014, de son activité moyen-courrier, qui a enregistré une perte de 700 millions d'euros en 2011.
Air France-KLM, qui doit diffuser ses résultats 2011 début mars, s'est fixé comme "objectif prioritaire" de réduire de deux milliards d'euros sa dette nette d'ici à 2014, pour la ramener à environ 4,5 milliards d'euros.
Pour cela, le groupe va réduire sa flotte et son programme d'investissements, sans toucher aux investissements liés à la sécurité.
Les investissements seront ainsi ramenés sous les cinq milliards d'euros sur les trois prochaines années, contre plus de six milliards en 2009-2011.
Dans le détail, la seule compagnie Air France a décidé de reporter la livraison qui doit lui être faite de trois avions moyen-courriers Airbus A320 de 2013 à 2015, d'un appareil long-courrier Boeing B777 de 2015 à 2016 et de deux super Jumbo A380 de 2014 à 2016. Les options prises pour 2 B77 ne seront par ailleurs pas exercées.
Pour réaliser plus d'un milliard d'économies immédiates, le groupe a décidé de geler les augmentations de salaires en 2012 et 2013 et de poursuivre le gel des embauches décidé en septembre, ce qui se traduira par le non-remplacement d'environ 800 salariés.
Le second volet du plan, qui sera détaillé en mai-juin, prévoit des mesures structurelles qui devraient également générer un milliard d'euros d'économies.
Pour améliorer sa productivité, la compagnie va ainsi dénoncer les accords collectifs existants en vue de réorganiser le travail du personnel navigant (pilotes, hôtesses et stewards) et au sol, ce qui aura des conséquences en matière d'emploi.
Le nouveau PDG Alexandre de Juniac a indiqué au cours d'une conférence de presse que le principe d'une renégociation des contrats avait été annoncé aux représentants du personnel : "notre sentiment est que cela a été accueilli avec sérénité, sang-froid", a-t-il dit.
Enfin, pour enrayer les pertes de son activité court et moyen-courrier (France et Europe), la compagnie n'exclut pas de recourir davantage à la sous-traitance "dans certains secteurs".
Le groupe prévoit également de couper certaines dessertes, mais s'est refusé à donner la liste pour des raisons commerciales.
De source interne à Air France, on indique que les efforts consentis par la seule compagnie française "sont très importants".
"En ce qui concerne les mesures immédiates, ce sont au total 330 millions d'économies liées au ralentissement des investissements avec le report des livraisons d'avions", a précisé cette source à l'AFP.
Le volet réduction de coûts et mesures conjoncturelles (réductions de coûts liées à la publicité, frais généraux de déplacement, de consulting, réduction des frais d'hébergement des équipages, hausse de la productivité dans l'activité maintenance) se chiffre à 410 millions d'euros, a encore souligné la même source.
Plusieurs syndicats ont indiqué être prêts à entrer dans une phase de renégociation des accords collectifs afin d'augmenter la productivité et ont manifesté leur inquiétude sur l'emploi.
"Face à la situation d'Air France, dont la gravité ne peut être ignorée et au-delà d'un immense gâchis, l'Unsa-Aérien conçoit que des mesures s'imposent", a ainsi écrit ce syndicat dans un communiqué.
Le premier transporteur aérien européen Air France-KLM a dévoilé jeudi un plan de redressement sur trois ans visant des économies supérieures à deux milliards d'euros via la réduction de la flotte, des investissements, un gel des embauches et une restructuration de l'activité moyen-courrier.
Le plan de la compagnie s'articule autour de mesures "immédiates" d'économies et d'un "plan de transformation" avec l'objectif d'un retour à l'équilibre, d'ici à 2014, de son activité moyen-courrier, qui a enregistré une perte de 700 millions d'euros en 2011.
Air France-KLM, qui doit diffuser ses résultats 2011 début mars, s'est fixé comme "objectif prioritaire" de réduire de deux milliards d'euros sa dette nette d'ici à 2014, pour la ramener à environ 4,5 milliards d'euros.
Pour cela, le groupe va réduire sa flotte et son programme d'investissements, sans toucher aux investissements liés à la sécurité.
Les investissements seront ainsi ramenés sous les cinq milliards d'euros sur les trois prochaines années, contre plus de six milliards en 2009-2011.
Dans le détail, la seule compagnie Air France a décidé de reporter la livraison qui doit lui être faite de trois avions moyen-courriers Airbus A320 de 2013 à 2015, d'un appareil long-courrier Boeing B777 de 2015 à 2016 et de deux super Jumbo A380 de 2014 à 2016. Les options prises pour 2 B77 ne seront par ailleurs pas exercées.
Pour réaliser plus d'un milliard d'économies immédiates, le groupe a décidé de geler les augmentations de salaires en 2012 et 2013 et de poursuivre le gel des embauches décidé en septembre, ce qui se traduira par le non-remplacement d'environ 800 salariés.
Le second volet du plan, qui sera détaillé en mai-juin, prévoit des mesures structurelles qui devraient également générer un milliard d'euros d'économies.
Pour améliorer sa productivité, la compagnie va ainsi dénoncer les accords collectifs existants en vue de réorganiser le travail du personnel navigant (pilotes, hôtesses et stewards) et au sol, ce qui aura des conséquences en matière d'emploi.
Le nouveau PDG Alexandre de Juniac a indiqué au cours d'une conférence de presse que le principe d'une renégociation des contrats avait été annoncé aux représentants du personnel : "notre sentiment est que cela a été accueilli avec sérénité, sang-froid", a-t-il dit.
Enfin, pour enrayer les pertes de son activité court et moyen-courrier (France et Europe), la compagnie n'exclut pas de recourir davantage à la sous-traitance "dans certains secteurs".
Le groupe prévoit également de couper certaines dessertes, mais s'est refusé à donner la liste pour des raisons commerciales.
De source interne à Air France, on indique que les efforts consentis par la seule compagnie française "sont très importants".
"En ce qui concerne les mesures immédiates, ce sont au total 330 millions d'économies liées au ralentissement des investissements avec le report des livraisons d'avions", a précisé cette source à l'AFP.
Le volet réduction de coûts et mesures conjoncturelles (réductions de coûts liées à la publicité, frais généraux de déplacement, de consulting, réduction des frais d'hébergement des équipages, hausse de la productivité dans l'activité maintenance) se chiffre à 410 millions d'euros, a encore souligné la même source.
Plusieurs syndicats ont indiqué être prêts à entrer dans une phase de renégociation des accords collectifs afin d'augmenter la productivité et ont manifesté leur inquiétude sur l'emploi.
"Face à la situation d'Air France, dont la gravité ne peut être ignorée et au-delà d'un immense gâchis, l'Unsa-Aérien conçoit que des mesures s'imposent", a ainsi écrit ce syndicat dans un communiqué.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
CA FAIT VRAIMENT PEUR TOUS CES REGROUPEMENTS
D’ici 2016, le Projet régional de santé prévoit la
fermeture "sèche" ou le regroupement de 28 services
hospitaliers de Paca. Sont concernés :
◗ RÉANIMATIONS
- Briançon (04): fermeture du service du centre
hospitalier (qui est actuellement la seule réanimation
de la ville).
- Aix (13): un des trois services va disparaître.
De bonne source, la réanimation du centre hospitalier
ne serait pas menacée.
-Marseille (13): 4 services fermés, ce qui ramènera
à 14 le nombre de réanimations sur la ville.
À ce jour, les unités menacées ne sont pas clairement
identifiées. De bonne source, aucune fermeture
ni regroupement ne sont attendus à
l’APHM. La réa de la clinique Vert-Côteau devrait
faire partie des sacrifiées.
- Aubagne (13): une réanimation supprimée
sur les deux qui existent actuellement. On ignore
s’il s’agit de celle du centre hospitalier ou de celle
de la clinique privée La Casamance.
- Draguignan (83): la réanimation du centre
hospitalier fusionne avec celle de Fréjus. Le plus
petit service, celui de Draguignan, devrait donc
disparaître.
- Nice (06): deux services menacés
- Grasse (06): l’unique réanimation de la ville
va fermer.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
L'Institut de la finance internationale (IIF) écrit dans un communiqué que, "en dépit des efforts des dirigeants grecs", la proposition des banques d'abandonner 50% de la dette de l'Etat grec en leur possession, "n'a pas abouti à une réponse ferme et constructive de la part de toutes les parties".
"Dans ces conditions, les discussions avec la Grèce [...] sont suspendues pour permettre une réflexion sur les bénéfices d'une approche volontaire" ajoute ce texte publié au nom de l'Américain Charles Dallara, directeur général de l'IIF, et du Français Jean Lemierre.
La notion "d'approche volontaire" fait référence à l'accord qui avait été conclu les 26 et 27 octobre entre les créanciers privés de la Grèce et les dirigeants de la zone euro. Les premiers s'étaient alors engagés à renoncer d'eux-mêmes à recouvrer environ 100 milliards d'euros sur leurs créances afin d'éviter une faillite désordonnée du pays.
Quelques minutes après l'annonce des banques, une source proche des négociations a dit à l'AFP à Athènes que celles-ci traversaient un état de tension "extrême", et que les parties impliquées devaient "prendre conscience de la très grave situation" pour "éviter le pire".
L'annonce des banques est tombée quelques heures après qu'une source gouvernementale grecque eut déclaré que les négociations allaient "se poursuivre, selon toute probabilité mercredi prochain".
La presse grecque rapportait vendredi que les négociations butent notamment sur les taux d'intérêt réclamés par les banques et jugés excessifs côté grec.
Selon le quotidien Kathimérini, les négociateurs représentant le secteur privé réclament pour les nouvelles obligations qu'ils recevront en échange de leurs anciens titres des taux d'intérêt autour de 5%, la partie grecque ne consentant, elle, qu'à une rémunération autour de 4%.
M. Dallara et Lemierre étaient vendredi à Athènes, où ils ont rencontré à plusieurs reprises le Premier ministre grec Lucas Papademos et son ministre des Finances, Evangelos Vénizélos, ces jours-ci.
"Nous espérons vraiment, pour le bien de la Grèce et de la zone euro, que la première, avec le soutien de la seconde, sera en mesure de renouer le dialogue de manière constructive avec le secteur privé avec pour objectif de mettre au point définitivement un accord d'échange de dette mutuellement acceptable, conformément à l'accord du 27 octobre", écrivent-ils.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Triple A : la gauche fustige "l'échec de Sarkozy", l'UMP en retrait
A exactement 100 jours de la présidentielle, la gauche a fustigé, avant même l'officialisation de la perte du triple A vendredi soir, l'"échec de la politique de Sarkozy", voire le "triple échec", l'UMP déplorant mezza voce "l'indécence de l'opposition à se réjouir".
La candidate du FN, Marine Le Pen, a estimé que la dégradation d'un cran de la note française par l'agence Standard & Poor's marquait "la fin du mythe du président protecteur". François Bayrou (MoDem) y a vu le "signe des années d'échec et de dérive".
Selon Mme Le Pen cela disqualifie "tous ceux qui, de Nicolas Sarkozy à François Hollande, en passant par François Bayrou, ont défendu et imposé" l'euro. Le candidat du Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, a lancé un appel à "résister" à "la guerre de la finance contre la France".
Mais c'est surtout le chef de l'Etat qui faisait office de cible.
"Cette perte du triple A sanctionne la politique suivie depuis 2007. M. Sarkozy restera le président de la dégradation de la France", a asséné la première secrétaire du PS, Martine Aubry, pour qui cette situation "a un seul responsable: M. Sarkozy".
Le candidat du PS a prévu de s'exprimer sur le sujet samedi matin.
La dégradation traduit "l'échec de la politique de Nicolas Sarkozy, de ses cadeaux fiscaux", a affirmé la candidate écologiste (EELV), Eva Joly, fustigeant les "mesures inutiles et contre-performantes" des politiques d'austérité qui "créent le malheur".
Sur le même mode, Jean-Marie Le Guen a évoqué "un triple échec pour Nicolas Sarkozy: échec de sa politique économique depuis cinq ans qui a mené la France dans cette situation", "échec de la gestion de la crise" et "échec social".
"La France est particulièrement visée parce qu'elle a accru sa dette de façon inconsidérée par un laxisme fiscal", a plaidé le député de Paris.
Face à ces attaques en règle, l'UMP a estimé dans un communiqué qu'il y avait "une certaine indécence à se réjouir de cette information alors que l'Europe toute entière traverse une crise sans précédent".
Officialisant l'information au 20H de France 2, le ministre de l'Economie François Baroin a souhaité "relativiser". Ce ne sont pas les agences de notation qui font la politique de la France", a-t-il clamé.
"C'est une mauvaise nouvelle", a admis le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino. Mais "il est quand même extraordinaire que Nicolas Sarkozy soit rendu responsable de tout!", a-t-il ajouté.
"La dégradation (...) ne constitue pas une surprise", selon le vice-président du conseil national de l'UMP Brice Hortefeux, dans un communiqué à l'AFP. "Cela rappelle la nécessité de poursuivre la politique engagée par Nicolas Sarkozy dans la réduction de la dette et la maîtrise des deficits. Cette décision rappelle utilement que toute proposition consistant à augmenter le nombre de fonctionnaires creusant ainsi le deficit serait plus que jamais contraire aux intérêts des Francais", poursuit M. Hortefeux.
Moins de clémence chez Christine Boutin, la candidate du Parti chrétien-démocrate, pour qui "Nicolas Sarkozy est maintenant au pied du mur". "Ce n'est plus le temps des mesurettes", a-t-elle réagi auprès de l'AFP.
Candidat du Nouveau Centre (NC), Hervé Morin a aussi appelé à "en finir avec les rustines", réclamant "des mesures d'économies immédiates".
Les Français "paient le prix cher d'un enlisement de longue date", a déclaré Dominique de Villepin (République solidaire), à l'image de François Bayrou.
Selon le candidat du MoDem, "c'est en réalité une double dégradation". A la fois de "notre note souveraine, qui va affecter la réputation de notre pays", mais aussi "par rapport à notre principal voisin, l'Allemagne", qui conserve son triple A, a-t-il relevé.
A exactement 100 jours de la présidentielle, la gauche a fustigé, avant même l'officialisation de la perte du triple A vendredi soir, l'"échec de la politique de Sarkozy", voire le "triple échec", l'UMP déplorant mezza voce "l'indécence de l'opposition à se réjouir".
La candidate du FN, Marine Le Pen, a estimé que la dégradation d'un cran de la note française par l'agence Standard & Poor's marquait "la fin du mythe du président protecteur". François Bayrou (MoDem) y a vu le "signe des années d'échec et de dérive".
Selon Mme Le Pen cela disqualifie "tous ceux qui, de Nicolas Sarkozy à François Hollande, en passant par François Bayrou, ont défendu et imposé" l'euro. Le candidat du Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, a lancé un appel à "résister" à "la guerre de la finance contre la France".
Mais c'est surtout le chef de l'Etat qui faisait office de cible.
"Cette perte du triple A sanctionne la politique suivie depuis 2007. M. Sarkozy restera le président de la dégradation de la France", a asséné la première secrétaire du PS, Martine Aubry, pour qui cette situation "a un seul responsable: M. Sarkozy".
Le candidat du PS a prévu de s'exprimer sur le sujet samedi matin.
La dégradation traduit "l'échec de la politique de Nicolas Sarkozy, de ses cadeaux fiscaux", a affirmé la candidate écologiste (EELV), Eva Joly, fustigeant les "mesures inutiles et contre-performantes" des politiques d'austérité qui "créent le malheur".
Sur le même mode, Jean-Marie Le Guen a évoqué "un triple échec pour Nicolas Sarkozy: échec de sa politique économique depuis cinq ans qui a mené la France dans cette situation", "échec de la gestion de la crise" et "échec social".
"La France est particulièrement visée parce qu'elle a accru sa dette de façon inconsidérée par un laxisme fiscal", a plaidé le député de Paris.
Face à ces attaques en règle, l'UMP a estimé dans un communiqué qu'il y avait "une certaine indécence à se réjouir de cette information alors que l'Europe toute entière traverse une crise sans précédent".
Officialisant l'information au 20H de France 2, le ministre de l'Economie François Baroin a souhaité "relativiser". Ce ne sont pas les agences de notation qui font la politique de la France", a-t-il clamé.
"C'est une mauvaise nouvelle", a admis le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino. Mais "il est quand même extraordinaire que Nicolas Sarkozy soit rendu responsable de tout!", a-t-il ajouté.
"La dégradation (...) ne constitue pas une surprise", selon le vice-président du conseil national de l'UMP Brice Hortefeux, dans un communiqué à l'AFP. "Cela rappelle la nécessité de poursuivre la politique engagée par Nicolas Sarkozy dans la réduction de la dette et la maîtrise des deficits. Cette décision rappelle utilement que toute proposition consistant à augmenter le nombre de fonctionnaires creusant ainsi le deficit serait plus que jamais contraire aux intérêts des Francais", poursuit M. Hortefeux.
Moins de clémence chez Christine Boutin, la candidate du Parti chrétien-démocrate, pour qui "Nicolas Sarkozy est maintenant au pied du mur". "Ce n'est plus le temps des mesurettes", a-t-elle réagi auprès de l'AFP.
Candidat du Nouveau Centre (NC), Hervé Morin a aussi appelé à "en finir avec les rustines", réclamant "des mesures d'économies immédiates".
Les Français "paient le prix cher d'un enlisement de longue date", a déclaré Dominique de Villepin (République solidaire), à l'image de François Bayrou.
Selon le candidat du MoDem, "c'est en réalité une double dégradation". A la fois de "notre note souveraine, qui va affecter la réputation de notre pays", mais aussi "par rapport à notre principal voisin, l'Allemagne", qui conserve son triple A, a-t-il relevé.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Pato, comme Beckham...
Le 13/01/2012 à 12:00 | Mis à jour le 13/01/2012 à 17:37
Le PSG a échoué dans son entreprise de faire venir David Beckham et Alexandre Pato. Outre des considérations sportives, les deux joueurs ont aussi écouté leur femme...
Pato et Beckham ont joué ensemble à l'AC Milan, sous les ordres d'Ancelotti.(EQ)
Paris est une ville attrayante, l'une des plus belles capitales du monde. L'architecture, la mode, la gastronomie, ça envoie ! En revanche, côté football, ça déçoit... Et ce malgré l'arrivée des Qataris à la tête du PSG. Avec l'argent qui coule à flots, Pastore, Sissoko, Matuidi, Ménez, Lugano, Sirigu, et dernièrement Maxwell ont renforcé un effectif bon sur le papier mais qui jusqu'à la saison dernière était incapable de rivaliser pour le titre. Mais les riches propriétaires ne veulent pas s'arrêter là. Après Carlo Ancelotti qui a pris les commandes du bolide, d'autres recrues prestigieuses devaient suivre. Elles sont toujours attendues. Certaines auraient déjà dû arriver. Comme David Beckham et Alexandre Pato. Malgré une cour assidue, des millions promis et un projet motivant, aucun des deux ne devrait pourtant fouler la pelouse du Parc des Princes cette saison.
Becks sous le soleil de Californie
Beckham et Pato, qui se sont croisés à l'AC Milan, ont finalement reculé. D'abord, les deux joueurs ont été séduits par le discours d'un Leonardo ambassadeur de charme. Mais de là à passer l'acte, il y a un pas de géant qu'ils n'ont pas franchi. Le tapis rouge était pourtant clairement déjà déroulé pour Becks, dont la venue était annoncée en grande pompe et avait suscité une belle effervescence... Seulement voilà, si Beckham le footballeur aurait vu d'un bon oeil une fin de carrière dans la capitale française, Carlo Ancelotti n'était pas convaincu de son apport. De quoi achever de convaincre un Beckham qu'il était préférable de rester à LA, que l'élégante Victoria n'envisageait pas, par ailleurs, de quitter.
Silvio et Barbara unis contre le PSG
Si le soleil de L.A. est précieux, en Italie, la famille l'est tout autant. Pour Pato , c'est le clan des Milanais qui l'a emporté. Sans compter que l'arrivée très compromise de Tévez a compliqué l'affaire, il est évident que l'attaquant brésilien n'était pas enclin à quitter comme ça sa blonde dulcinée, enracinée à Milan. Et pour cause. Pato s'est amouraché d'une certaine Barbara Berlusconi, dirigeante dans le club de son père, que l'on ne présente plus. Silvio, qui tient à sa fille et à son AC Milan plus que tout, a donc rassuré son futur gendre en lui préconisant de rester en Lombardie. Au Milan, on ne transige pas avec les ordres du Cavaliere . Pour des raisons sportives, sentimentales et familiales, Beckham et Pato ont donc fait une incroyable volte-face. Et le PSG se retrouve le "bec" dans l'eau. Deux revers pour Paris, une victoire pour Victoria et Barbara
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Est Républicain, Vosges Matin, DNA: nombreux départs et incertitude après le rachat
Cent-dix journalistes devraient quitter prochainement les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA), l'Est Républicain et Vosges Matin, une "véritable saignée" des rédactions en partie imputable selon les syndicats au climat d'incertitude régnant après leur rachat par le Crédit mutuel.
"L'Est Républicain, Vosges Matin et les DNA subissent une véritable saignée de leurs rédactions: 110 journalistes sont partis en clause de cession", affirment samedi les représentants syndicaux SNJ (majoritaires pour les journalistes) des trois journaux dans un communiqué.
Les journalistes avaient jusqu'au 31 décembre pour faire savoir s'ils souhaitaient bénéficier de cette clause, qui permet à un journaliste de quitter avec des indemnités son employeur lorsqu'il est cédé.
Quelque 55 journalistes sur 190 quitteraient les DNA (environ 30% des effectifs), une dizaine Vosges-Matin (20%) et une quarantaine l'Est Républicain (20%). Parmi les partants, beaucoup de journalistes approchant l'âge de la retraite, mais aussi des jeunes, et de nombreux cadres, chefs de service, responsables d'agence ou rédacteurs en chef adjoints.
Selon le SNJ, ces "départs massifs" ne s'expliquent pas seulement par l'effet d'aubaine permettant aux plus anciens de partir avec de confortables indemnités.
"Ils sont aussi pour partie la traduction d'un profond désarroi au sein de rédactions traumatisées. (...) Le silence qui entoure les projets éditoriaux du nouvel actionnaire et le climat d'opacité ajoutent à l'angoisse, un climat soigneusement entretenu pour démobiliser ceux qui croient encore à leur métier", explique le syndicat.
La Banque fédérative du Crédit mutuel (BFCM), déjà propriétaire de six titres, a acquis en novembre 2010 le groupe Est Républicain contrôlant les trois journaux. L'Autorité de la concurrence a donné son aval à l'opération en juillet, permettant ainsi la naissance du premier groupe de presse quotidienne régionale français.
Depuis, le nouveau président Michel Lucas ne s'est guère exprimé sur ses intentions, regrettent les représentants syndicaux.
"C'est le flou complet. Le directeur général Francis Hirn refuse d'expliquer quelle est sa feuille de route. Tout le monde navigue à vue. Actuellement on ne sait pas quelles personnes seront remplacées, quelles agences vont disparaître. On n'a aucune information", affirme un délégué CGT des DNA qui a souhaité conserver l'anonymat.
Selon les syndicats, réductions de pagination et renforts ponctuels devraient pallier dans l'immédiat le manque de rédacteurs, avant une réorganisation en profondeur des journaux.
"Ce qu'a dit le directeur général Pierre Wicker aux voeux, c'est +Nous allons mettre quatre ou six mois pour décider ce que nous allons faire, mais nous déciderons, et il se peut que nous chamboulions beaucoup de choses+", rapporte une déléguée SNJ de Vosges Matin.
Mutualisation des contenus et rapprochement des services devraient être au programme, dans les limites imposées par l'Autorité de la concurrence, qui a demandé le maintien de la diversité des contenus et de rédactions en chef dédiées pour les DNA et l'Est Républicain.
Le SNJ a exigé samedi le remplacement des 110 journalistes en partance. Il est peu probable qu'il soit entendu, alors que l'Est Républicain devrait accuser une perte d'exploitation de 4 millions d'euros en 2011, Vosges Matin et les DNA étant légèrement positifs, selon des sources syndicales.
Les directions des différents journaux et de la BFCM n'ont pas souhaité réagir.
Michel Lucas doit s'exprimer le 31 janvier devant les salariés des DNA.
Cent-dix journalistes devraient quitter prochainement les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA), l'Est Républicain et Vosges Matin, une "véritable saignée" des rédactions en partie imputable selon les syndicats au climat d'incertitude régnant après leur rachat par le Crédit mutuel.
"L'Est Républicain, Vosges Matin et les DNA subissent une véritable saignée de leurs rédactions: 110 journalistes sont partis en clause de cession", affirment samedi les représentants syndicaux SNJ (majoritaires pour les journalistes) des trois journaux dans un communiqué.
Les journalistes avaient jusqu'au 31 décembre pour faire savoir s'ils souhaitaient bénéficier de cette clause, qui permet à un journaliste de quitter avec des indemnités son employeur lorsqu'il est cédé.
Quelque 55 journalistes sur 190 quitteraient les DNA (environ 30% des effectifs), une dizaine Vosges-Matin (20%) et une quarantaine l'Est Républicain (20%). Parmi les partants, beaucoup de journalistes approchant l'âge de la retraite, mais aussi des jeunes, et de nombreux cadres, chefs de service, responsables d'agence ou rédacteurs en chef adjoints.
Selon le SNJ, ces "départs massifs" ne s'expliquent pas seulement par l'effet d'aubaine permettant aux plus anciens de partir avec de confortables indemnités.
"Ils sont aussi pour partie la traduction d'un profond désarroi au sein de rédactions traumatisées. (...) Le silence qui entoure les projets éditoriaux du nouvel actionnaire et le climat d'opacité ajoutent à l'angoisse, un climat soigneusement entretenu pour démobiliser ceux qui croient encore à leur métier", explique le syndicat.
La Banque fédérative du Crédit mutuel (BFCM), déjà propriétaire de six titres, a acquis en novembre 2010 le groupe Est Républicain contrôlant les trois journaux. L'Autorité de la concurrence a donné son aval à l'opération en juillet, permettant ainsi la naissance du premier groupe de presse quotidienne régionale français.
Depuis, le nouveau président Michel Lucas ne s'est guère exprimé sur ses intentions, regrettent les représentants syndicaux.
"C'est le flou complet. Le directeur général Francis Hirn refuse d'expliquer quelle est sa feuille de route. Tout le monde navigue à vue. Actuellement on ne sait pas quelles personnes seront remplacées, quelles agences vont disparaître. On n'a aucune information", affirme un délégué CGT des DNA qui a souhaité conserver l'anonymat.
Selon les syndicats, réductions de pagination et renforts ponctuels devraient pallier dans l'immédiat le manque de rédacteurs, avant une réorganisation en profondeur des journaux.
"Ce qu'a dit le directeur général Pierre Wicker aux voeux, c'est +Nous allons mettre quatre ou six mois pour décider ce que nous allons faire, mais nous déciderons, et il se peut que nous chamboulions beaucoup de choses+", rapporte une déléguée SNJ de Vosges Matin.
Mutualisation des contenus et rapprochement des services devraient être au programme, dans les limites imposées par l'Autorité de la concurrence, qui a demandé le maintien de la diversité des contenus et de rédactions en chef dédiées pour les DNA et l'Est Républicain.
Le SNJ a exigé samedi le remplacement des 110 journalistes en partance. Il est peu probable qu'il soit entendu, alors que l'Est Républicain devrait accuser une perte d'exploitation de 4 millions d'euros en 2011, Vosges Matin et les DNA étant légèrement positifs, selon des sources syndicales.
Les directions des différents journaux et de la BFCM n'ont pas souhaité réagir.
Michel Lucas doit s'exprimer le 31 janvier devant les salariés des DNA.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
j'avais deja anticipé en novembre 2011
Après la perte du AAA, Sarkozy demande "courage" et "sang froid" face à la crise
Deux jours après la dégradation de la note financière de la France, Nicolas Sarkozy a profité dimanche d'un hommage à Michel Debré pour appeler les Français au "sang froid" face à "l'épreuve" de la crise et justifier la poursuite des réformes.
Depuis l'annonce vendredi de la perte du AAA, le chef de l'Etat s'était gardé de tout commentaire. A charge pour le Premier ministre François Fillon et son gouvernement de dédramatiser la mauvaise nouvelle.
Mais, bombardé de toutes parts par la gauche, qui considère la sanction de l'agence de notation Standard and Poor's comme le symbole de "l'échec" de son mandat, Nicolas Sarkozy a rompu le silence dimanche, en célébrant à Amboise le 100e anniversaire de la naissance de Michel Debré, Premier ministre du général de Gaulle et "père" de la Constitution de la Ve République.
L'occasion, à trois jours d'un "sommet de crise" avec les partenaires sociaux à l'Elysée, d'appeler à "résister" et "se battre" face à la crise et, surtout, d'insister sur la nécessité de "réformer" en urgence le pays.
"Je parlerai aux Français à la fin du mois, je leur dirai les décisions importantes qu'il faut prendre sans perdre de temps", a-t-il déclaré, "je leur dirai que la crise peut être surmontée, pourvu que nous ayons la volonté collective et la force de réformer notre pays".
Le chef de l'Etat n'a pas précisé la forme ni la date de son intervention, où il doit annoncer le paquet ambitieux de réformes (TVA sociale, suppression des 35 heures, taxe financière...) qu'il proposera mercredi aux syndicats et veut faire voter au pas de charge avant la présidentielle.
aladin- Messages : 115038
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
ANGELA C"EST FINI.........PLACE A L ESPAGNE
POLANSKI VA SORTIR SON FILM LE BAL DES DEGRADES
lundi 16 janvier 2012 22:17
La crise de la dette au coeur du déplacement de Sarkozy à Madrid
Les dirigeants français Nicolas Sarkozy et espagnol Mariano Rajoy ont cherché lundi à minimiser l'impact de la dégradation de leurs pays par l'agence Standard & Poor's, appelant à réduire les déficits et relancer la croissance en pleine crise de la dette en zone euro.
"Nous sommes face à une crise sans précédent qui nous impose de réduire nos dépenses, de réduire notre déficit mais aussi de trouver le chemin d'une nouvelle croissance en résolvant nos problèmes de compétitivité", a estimé le président français devant la presse.
Dans cette période difficile, "la France veut continuer à travailler avec l'Espagne", a-t-il affirmé
ET PUISQUE NOUS N"AVONS PLUS D'ARGENT
ON SE DONNE LES UNS LES AUTRES DES MEDAILLES EN CHOCOLAT
dans la journée, Nicolas Sarkozy avait été fait chevalier de l'ordre de la Toison d'O
r, l'une des plus anciennes distinctions au monde (XVè siècle) par le roi Juan Carlos
POLANSKI VA SORTIR SON FILM LE BAL DES DEGRADES
lundi 16 janvier 2012 22:17
La crise de la dette au coeur du déplacement de Sarkozy à Madrid
Les dirigeants français Nicolas Sarkozy et espagnol Mariano Rajoy ont cherché lundi à minimiser l'impact de la dégradation de leurs pays par l'agence Standard & Poor's, appelant à réduire les déficits et relancer la croissance en pleine crise de la dette en zone euro.
"Nous sommes face à une crise sans précédent qui nous impose de réduire nos dépenses, de réduire notre déficit mais aussi de trouver le chemin d'une nouvelle croissance en résolvant nos problèmes de compétitivité", a estimé le président français devant la presse.
Dans cette période difficile, "la France veut continuer à travailler avec l'Espagne", a-t-il affirmé
ET PUISQUE NOUS N"AVONS PLUS D'ARGENT
ON SE DONNE LES UNS LES AUTRES DES MEDAILLES EN CHOCOLAT
dans la journée, Nicolas Sarkozy avait été fait chevalier de l'ordre de la Toison d'O
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