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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
26/01/2012 - 18:29
Suisse: Le président de Neuchâtel arrêté
Quelques heures après l'annonce du dépôt de bilan de Neuchâtel Xamax, le propriétaire du club a été arrêté par les autorités du pays. Le Tchétchène Bulat Chagaev été placé en détention pour gestion déloyale, à l'issue de l'audition passée jeudi après-midi chez le procureur de Genève, précise, entre autres, le quotidien helvétique Le Matin.
Suisse: Le président de Neuchâtel arrêté
Quelques heures après l'annonce du dépôt de bilan de Neuchâtel Xamax, le propriétaire du club a été arrêté par les autorités du pays. Le Tchétchène Bulat Chagaev été placé en détention pour gestion déloyale, à l'issue de l'audition passée jeudi après-midi chez le procureur de Genève, précise, entre autres, le quotidien helvétique Le Matin.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Fitch abaisse la note de cinq pays de la zone euro, dont l'Italie et l'Espagne
L'agence d'évaluation financière Fitch a abaissé vendredi la note de l'endettement à long terme de cinq pays de la zone euro, dont l'Italie et l'Espagne.
La note de l'Italie a été abaissée de deux crans à "A-", celle de l'Espagne de deux crans à "A", celle de la Belgique d'un cran à "AA", celle de la Slovénie de deux crans à "A" et celle de Chypre d'un cran à "BBB-".
Fitch avait mis sous surveillance les notes de ces cinq pays à la mi-décembre, en plus de celle de l'Irlande qui a été confirmée à "BBB+".
Toutes ces notes s'accompagnent d'une "perspective négative", ce qui signifie que Fitch envisage de les abaisser encore.
L'agence a invoqué dans un communiqué "la détérioration marquée des perspectives économiques", au moment où de plus en plus d'économistes tablent sur une année de récession ou au mieux de stagnation pour ces pays en 2012.
à lire aussi
dans actualité :
Dette
Fitch abaisse la note de cinq pays de la zone euro, dont l'Italie et l'Espagne
notation
Fitch abaisse la note de cinq pays de la zone euro
Or "du point de vue de Fitch, la crise de la zone euro ne sera résolue que quand il y aura une reprise économique généralisée. Il est évident que de nouvelles réformes substantielles seront nécessaires pour assurer la stabilité économique et financière, y compris une intégration budgétaire plus importante", a ajouté l'agence.
S'ajoutent des "inquiétudes spécifiques à certains pays": la divergence entre baisse de l'activité et hausse des taux d'intérêt en Italie, "une dégradation importante des perspectives économiques et budgétaires en Espagne", et la santé fragile du secteur bancaire à Chypre et en Slovénie.
"Un 'éclatement' de la zone euro ne peut pas être complètement écarté", d'après Fitch, même si l'agence salue les progrès faits par la zone au fil des sommets et se dit persuadée que "les dirigeants européens feront fructifier ces engagements lors du sommet" de l'Union europénne le 30 janvier.
Elle estime que les Etats européens devraient continuer à souffrir sur les marchés de la dette.
"En l'absence d'une plus grande clarté quant à la structure finale d'une zone euro fondamentalement réformée, l'approche graduelle adoptée par les hommes politiques pour réformer le système continuera à être ponctuée par des épisodes de volatilité financière grave, engendrant un coût économique et financier important qui érodera la solvabilité des Etats", a écrit Fitch.
Fitch n'avait pas touché à la dette de l'Italie (qui était à "A+" depuis 2006) et de la Belgique ("AA+" depuis 2002) depuis le début de la crise de la dette en zone euro.
En revanche, elle avait déjà abaissé celle de Chypre à deux reprises en 2011, celle de la Slovénie en septembre 2011 et celle de l'Espagne en octobre 2011.
Fitch note "AAA" (la note maximale) six pays de la zone euro: Allemagne, Autriche, Finlande, France, Luxembourg et Pays-Bas.
L'agence d'évaluation financière Fitch a abaissé vendredi la note de l'endettement à long terme de cinq pays de la zone euro, dont l'Italie et l'Espagne.
La note de l'Italie a été abaissée de deux crans à "A-", celle de l'Espagne de deux crans à "A", celle de la Belgique d'un cran à "AA", celle de la Slovénie de deux crans à "A" et celle de Chypre d'un cran à "BBB-".
Fitch avait mis sous surveillance les notes de ces cinq pays à la mi-décembre, en plus de celle de l'Irlande qui a été confirmée à "BBB+".
Toutes ces notes s'accompagnent d'une "perspective négative", ce qui signifie que Fitch envisage de les abaisser encore.
L'agence a invoqué dans un communiqué "la détérioration marquée des perspectives économiques", au moment où de plus en plus d'économistes tablent sur une année de récession ou au mieux de stagnation pour ces pays en 2012.
à lire aussi
dans actualité :
Dette
Fitch abaisse la note de cinq pays de la zone euro, dont l'Italie et l'Espagne
notation
Fitch abaisse la note de cinq pays de la zone euro
Or "du point de vue de Fitch, la crise de la zone euro ne sera résolue que quand il y aura une reprise économique généralisée. Il est évident que de nouvelles réformes substantielles seront nécessaires pour assurer la stabilité économique et financière, y compris une intégration budgétaire plus importante", a ajouté l'agence.
S'ajoutent des "inquiétudes spécifiques à certains pays": la divergence entre baisse de l'activité et hausse des taux d'intérêt en Italie, "une dégradation importante des perspectives économiques et budgétaires en Espagne", et la santé fragile du secteur bancaire à Chypre et en Slovénie.
"Un 'éclatement' de la zone euro ne peut pas être complètement écarté", d'après Fitch, même si l'agence salue les progrès faits par la zone au fil des sommets et se dit persuadée que "les dirigeants européens feront fructifier ces engagements lors du sommet" de l'Union europénne le 30 janvier.
Elle estime que les Etats européens devraient continuer à souffrir sur les marchés de la dette.
"En l'absence d'une plus grande clarté quant à la structure finale d'une zone euro fondamentalement réformée, l'approche graduelle adoptée par les hommes politiques pour réformer le système continuera à être ponctuée par des épisodes de volatilité financière grave, engendrant un coût économique et financier important qui érodera la solvabilité des Etats", a écrit Fitch.
Fitch n'avait pas touché à la dette de l'Italie (qui était à "A+" depuis 2006) et de la Belgique ("AA+" depuis 2002) depuis le début de la crise de la dette en zone euro.
En revanche, elle avait déjà abaissé celle de Chypre à deux reprises en 2011, celle de la Slovénie en septembre 2011 et celle de l'Espagne en octobre 2011.
Fitch note "AAA" (la note maximale) six pays de la zone euro: Allemagne, Autriche, Finlande, France, Luxembourg et Pays-Bas.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
22,85%
Un taux record.
L’Espagne comptait
à la fin 2011 près de
5,3 millions de chômeurs,
soit un taux de 22,85%,
le plus élevé depuis
le 1er trimestre 1995
Un taux record.
L’Espagne comptait
à la fin 2011 près de
5,3 millions de chômeurs,
soit un taux de 22,85%,
le plus élevé depuis
le 1er trimestre 1995
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Georges Plassat prend les rênes du géant Carrefour en difficulté
Pressenti depuis plusieurs mois pour remplacer Lars Olofsson à la tête de Carrefour, Georges Plassat a été nommé dimanche directeur général du numéro deux mondial en difficulté de la distribution.
"Georges Plassat a été nommé directeur général de Carrefour avec pouvoirs exécutifs. Il prendra ses fonctions le 8 mars", selon ces sources.
L'actuel dirigeant du groupe, le Suédois "Lars Olofsson, restera président jusqu'à la prochaine assemblée générale du groupe mi-juin au cours de laquelle M. Plassat sera nommé PDG", ont-elles ajouté alors que le conseil d'administration du groupe se poursuivait.
Un communiqué sera publié lundi matin avant l'ouverture de la Bourse à Paris.
Sollicité par l'AFP, Carrefour n'a pas souhaité faire de commentaires.
M. Plassat, 61 ans et charismatique PDG du groupe d'habillement et de chaussures Vivarte (André, Caroll, Kookaï, La Halle aux chaussures, Naf Naf, Chevignon...) prend les rênes du distributeur dans un contexte difficile.
Piloté depuis début 2009 par M. Olofsson, le groupe a publié cinq avertissements sur résultats en l'espace d'un an, le dernier remontant à octobre. Autant de revers pour ses principaux actionnaires, le fonds Colony Capital et Groupe Arnault, qui ont vu fondre leur mise de départ.
Approché une première fois l'an dernier, Georges Plassat avait refusé de prendre le groupe en main.
Mais les derniers résultats publiés par la société, mi-janvier, n'ont fait qu'accroître les inquiétudes des investisseurs.
Le premier employeur privé de France a vu ses ventes stagner l'année dernière à 91,5 milliards d'euros. Il a aussi revu à la baisse sa prévision de résultat opérationnel pour 2011.
Les négociations entre Carrefour et M. Plassat portaient notamment sur la participation de ce dernier dans Vivarte.
"Cette question a été réglée", a-t-on appris de mêmes sources.
Pleins pouvoirs
M. Plassat avait investi plusieurs dizaines de millions d'euros dans le rachat de Vivarte aux côtés des fonds d'investissement Charterhouse, Sagard et Chequers dans le cadre d'un LBO (un rachat par endettement).
Et la société, qui a réalisé un chiffre d'affaires de plus de 3 milliards d'euros sur l'exercice 2009/2010, voyait d'un mauvais oeil le départ de son emblématique patron.
Le Figaro avait indiqué la semaine dernière que M. Plassat avait obtenu que son actuel bras droit, Antoine Metzger, reprenne les commandes. Il a aussi négocié d'avoir les pleins pouvoirs chez Carrefour "pour mener à bien sa stratégie", d'après le quotidien.
Ancien dirigeant de Casino, déjà passé par Carrefour en Espagne, Georges Plassat est un fin connaisseur du secteur de la distribution et a la réputation de savoir redresser des entreprises en difficulté.
De quoi rassurer les marchés financiers qui critiquaient depuis plusieurs mois la stratégie de M. Olofsson.
Ce nouveau venu dans la distribution, qui voulait "réenchanter" les hypermarchés, n'a pas réussi à redresser Carrefour, malgré les nombreux chantiers lancés.
Le groupe de 410.000 salariés n'a cessé de perdre des parts de marché dans l'Hexagone face à ses rivaux Casino et Leclerc, son nouveau concept d'hypermarchés "Planet" n'ayant pas convaincu.
Les mauvaises nouvelles se sont enchaînées même dans les pays émergents considérés comme très porteurs.
Pressenti depuis plusieurs mois pour remplacer Lars Olofsson à la tête de Carrefour, Georges Plassat a été nommé dimanche directeur général du numéro deux mondial en difficulté de la distribution.
"Georges Plassat a été nommé directeur général de Carrefour avec pouvoirs exécutifs. Il prendra ses fonctions le 8 mars", selon ces sources.
L'actuel dirigeant du groupe, le Suédois "Lars Olofsson, restera président jusqu'à la prochaine assemblée générale du groupe mi-juin au cours de laquelle M. Plassat sera nommé PDG", ont-elles ajouté alors que le conseil d'administration du groupe se poursuivait.
Un communiqué sera publié lundi matin avant l'ouverture de la Bourse à Paris.
Sollicité par l'AFP, Carrefour n'a pas souhaité faire de commentaires.
M. Plassat, 61 ans et charismatique PDG du groupe d'habillement et de chaussures Vivarte (André, Caroll, Kookaï, La Halle aux chaussures, Naf Naf, Chevignon...) prend les rênes du distributeur dans un contexte difficile.
Piloté depuis début 2009 par M. Olofsson, le groupe a publié cinq avertissements sur résultats en l'espace d'un an, le dernier remontant à octobre. Autant de revers pour ses principaux actionnaires, le fonds Colony Capital et Groupe Arnault, qui ont vu fondre leur mise de départ.
Approché une première fois l'an dernier, Georges Plassat avait refusé de prendre le groupe en main.
Mais les derniers résultats publiés par la société, mi-janvier, n'ont fait qu'accroître les inquiétudes des investisseurs.
Le premier employeur privé de France a vu ses ventes stagner l'année dernière à 91,5 milliards d'euros. Il a aussi revu à la baisse sa prévision de résultat opérationnel pour 2011.
Les négociations entre Carrefour et M. Plassat portaient notamment sur la participation de ce dernier dans Vivarte.
"Cette question a été réglée", a-t-on appris de mêmes sources.
Pleins pouvoirs
M. Plassat avait investi plusieurs dizaines de millions d'euros dans le rachat de Vivarte aux côtés des fonds d'investissement Charterhouse, Sagard et Chequers dans le cadre d'un LBO (un rachat par endettement).
Et la société, qui a réalisé un chiffre d'affaires de plus de 3 milliards d'euros sur l'exercice 2009/2010, voyait d'un mauvais oeil le départ de son emblématique patron.
Le Figaro avait indiqué la semaine dernière que M. Plassat avait obtenu que son actuel bras droit, Antoine Metzger, reprenne les commandes. Il a aussi négocié d'avoir les pleins pouvoirs chez Carrefour "pour mener à bien sa stratégie", d'après le quotidien.
Ancien dirigeant de Casino, déjà passé par Carrefour en Espagne, Georges Plassat est un fin connaisseur du secteur de la distribution et a la réputation de savoir redresser des entreprises en difficulté.
De quoi rassurer les marchés financiers qui critiquaient depuis plusieurs mois la stratégie de M. Olofsson.
Ce nouveau venu dans la distribution, qui voulait "réenchanter" les hypermarchés, n'a pas réussi à redresser Carrefour, malgré les nombreux chantiers lancés.
Le groupe de 410.000 salariés n'a cessé de perdre des parts de marché dans l'Hexagone face à ses rivaux Casino et Leclerc, son nouveau concept d'hypermarchés "Planet" n'ayant pas convaincu.
Les mauvaises nouvelles se sont enchaînées même dans les pays émergents considérés comme très porteurs.
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STMictroelectronics : deux semaines supplémentaires de chômage technique2 contributions Publié le lundi 30 janvier 2012 à 15H16
Après les deux semaines de chômage partiel que le site de Rousset a vécu en fin d'année dernière, une mesure du même ordre a été envisagée pour le courant du mois de mars et annoncée lors d'un comité d'entreprise extraordinaire. La direction explique que le niveau des stocks est trop importants. De son côté, la CGT dénonce cette pratique et explique "qu'elle s'oppose à l'utilisation du chômage partiel comme mesure d'ajustement". Elle demande donc aux services de l'Etat de ne pas donner son accord à cette mesure. Ironie du sort, le sujet a été abordé par Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée. le Président a souhaité la négociation d'accords de compétitivité dans les entreprises, afin qu'elles puissent s'adapter à leur marché.
Après les deux semaines de chômage partiel que le site de Rousset a vécu en fin d'année dernière, une mesure du même ordre a été envisagée pour le courant du mois de mars et annoncée lors d'un comité d'entreprise extraordinaire. La direction explique que le niveau des stocks est trop importants. De son côté, la CGT dénonce cette pratique et explique "qu'elle s'oppose à l'utilisation du chômage partiel comme mesure d'ajustement". Elle demande donc aux services de l'Etat de ne pas donner son accord à cette mesure. Ironie du sort, le sujet a été abordé par Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée. le Président a souhaité la négociation d'accords de compétitivité dans les entreprises, afin qu'elles puissent s'adapter à leur marché.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
CA IRA PLUS VITE
DOMENICO peux tu me dire plutot qui en france a gardé son triple A à part toi et moi
, Mise à jour : lundi 30 janvier 2012 20:54
L'Ile-de-France et Paris perdent leur triple A pour Standard and Poor's
La région Ile-de-France et la Ville de Paris ont perdu lundi leurs notes "triple A", les meilleures, qui ont été abaissées d'un cran par l'agence de notation Standard and Poor's (SP) dans la foulée de la dégradation de la note de la France le 13 janvier.
"Le cadre institutionnel et financier des collectivités locales françaises ne leur permet pas d'être notées au-dessus de l'Etat" français, explique SP dans deux communiqués distincts.
L'agence SP a abaissé d'un cran, de AAA à AA+, la note de référence à long terme de la région Ile-de-France et celle de la Ville de Paris, une note qui leur permettait d'emprunter aux meilleurs taux.
Elle a assortie cet abaissement d'une perspective "négative", ce qui signifie que les notes de ces deux collectivités pourront être abaissées dans un délai d'un à deux ans.
Ces abaissements résultent "d'une action similaire sur la note de la République française" le 13 janvier, quand SP avait abaissé d'un cran, de AAA à AA+ la note de la France, rappelle SP.
Pour autant, SP considère que la "qualité de crédit indicative" de la région reste "la plus élevée".
SP voit comme principale "contrainte" pour l'Ile-de-France une "faible flexibilité sur ses recettes" et pour la Ville de Paris un "ambitieux programme d'investissement de la mandature".
Dans un communiqué, Jean-Paul Huchon, président PS de la Région IdF, et sa première vice-présidente, Marie-Pierre de la Gontrie (PS), voient dans la décision de l'Agence la conséquence de la baisse de la note de la France. Ils constatent "l'aspect mécanique de la méthode utilisée par Standard and Poor's, selon laquelle une collectivité locale ne peut être notée au dessus de son Etat souverain".
Dans le même temps, ils se félicitent que SP "reconnaisse la spécificité de la région par rapport à l'Etat en maintenant la meilleure note possible pour ce qui est de la qualité de crédit".
Soulignant que la décision de l'agence de dégrader la note de Paris "s’inscrit logiquement dans la suite de la perte de la notation AAA de la France", le maire de la capitale, Bertrand Delanoë (PS), "regrette que la Ville subisse ainsi les conséquences de la mauvaise gestion gouvernementale des finances de l’Etat".
"Cette issue est d’autant plus regrettable et injuste" que SP relève que la qualité de crédit intrinsèque de Paris reste au niveau maximal, "soulignant sa très bonne situation financière", poursuit-il.
Le 13 janvier, lors de sa revue des pays de la zone euro, SP avait privé la France de son triple A historique.
Cette dégradation avait été suivie par celle de plusieurs institutions et entreprises publiques, parmi lesquelles l'opérateur historique de l'électricité EDF, sa filiale RTE, et le groupe ferroviaire SNCF.
SP a aussi abaissé d'un cran, le 24 janvier, les notes de trois grands groupes bancaires français Société Générale, Crédit Agricole et BPCE et privé de son "triple A" la Caisse des dépôts, bras armé financier de l'Etat
DOMENICO peux tu me dire plutot qui en france a gardé son triple A à part toi et moi
, Mise à jour : lundi 30 janvier 2012 20:54
L'Ile-de-France et Paris perdent leur triple A pour Standard and Poor's
La région Ile-de-France et la Ville de Paris ont perdu lundi leurs notes "triple A", les meilleures, qui ont été abaissées d'un cran par l'agence de notation Standard and Poor's (SP) dans la foulée de la dégradation de la note de la France le 13 janvier.
"Le cadre institutionnel et financier des collectivités locales françaises ne leur permet pas d'être notées au-dessus de l'Etat" français, explique SP dans deux communiqués distincts.
L'agence SP a abaissé d'un cran, de AAA à AA+, la note de référence à long terme de la région Ile-de-France et celle de la Ville de Paris, une note qui leur permettait d'emprunter aux meilleurs taux.
Elle a assortie cet abaissement d'une perspective "négative", ce qui signifie que les notes de ces deux collectivités pourront être abaissées dans un délai d'un à deux ans.
Ces abaissements résultent "d'une action similaire sur la note de la République française" le 13 janvier, quand SP avait abaissé d'un cran, de AAA à AA+ la note de la France, rappelle SP.
Pour autant, SP considère que la "qualité de crédit indicative" de la région reste "la plus élevée".
SP voit comme principale "contrainte" pour l'Ile-de-France une "faible flexibilité sur ses recettes" et pour la Ville de Paris un "ambitieux programme d'investissement de la mandature".
Dans un communiqué, Jean-Paul Huchon, président PS de la Région IdF, et sa première vice-présidente, Marie-Pierre de la Gontrie (PS), voient dans la décision de l'Agence la conséquence de la baisse de la note de la France. Ils constatent "l'aspect mécanique de la méthode utilisée par Standard and Poor's, selon laquelle une collectivité locale ne peut être notée au dessus de son Etat souverain".
Dans le même temps, ils se félicitent que SP "reconnaisse la spécificité de la région par rapport à l'Etat en maintenant la meilleure note possible pour ce qui est de la qualité de crédit".
Soulignant que la décision de l'agence de dégrader la note de Paris "s’inscrit logiquement dans la suite de la perte de la notation AAA de la France", le maire de la capitale, Bertrand Delanoë (PS), "regrette que la Ville subisse ainsi les conséquences de la mauvaise gestion gouvernementale des finances de l’Etat".
"Cette issue est d’autant plus regrettable et injuste" que SP relève que la qualité de crédit intrinsèque de Paris reste au niveau maximal, "soulignant sa très bonne situation financière", poursuit-il.
Le 13 janvier, lors de sa revue des pays de la zone euro, SP avait privé la France de son triple A historique.
Cette dégradation avait été suivie par celle de plusieurs institutions et entreprises publiques, parmi lesquelles l'opérateur historique de l'électricité EDF, sa filiale RTE, et le groupe ferroviaire SNCF.
SP a aussi abaissé d'un cran, le 24 janvier, les notes de trois grands groupes bancaires français Société Générale, Crédit Agricole et BPCE et privé de son "triple A" la Caisse des dépôts, bras armé financier de l'Etat
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
ANG
Portsmouth : comptes gelés, salaires impayés
Les comptes bancaires de Portsmouth, qui n'avait pas payé 1,9 millions d'euros d'impôts, ont été gelés à la demande des autorités britanniques. Par conséquent, la formation anglaise n'a pu payer ses joueurs. Le club, qui évolue en deuxième division, «espère obtenir un ordre du tribunal afin que ses comptes ne soient plus gelés pour pouvoir payer ses salariés et ses fournisseurs», a-t-il indiqué sur son site officiel, ajoutant que «cela devrait prendre quelques jours».
Portsmouth : comptes gelés, salaires impayés
Les comptes bancaires de Portsmouth, qui n'avait pas payé 1,9 millions d'euros d'impôts, ont été gelés à la demande des autorités britanniques. Par conséquent, la formation anglaise n'a pu payer ses joueurs. Le club, qui évolue en deuxième division, «espère obtenir un ordre du tribunal afin que ses comptes ne soient plus gelés pour pouvoir payer ses salariés et ses fournisseurs», a-t-il indiqué sur son site officiel, ajoutant que «cela devrait prendre quelques jours».
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
78%
Les Français, bien que majoritairement
satisfaits de leurs services publics locaux (78%),
le sont de moins en moins (-12 points en 4 ans),
selon un sondage BVA pour IGD et la presse
régionale. En Paca et en Corse, la satisfaction
ne se chiffremême qu’à 69%.
Les Français, bien que majoritairement
satisfaits de leurs services publics locaux (78%),
le sont de moins en moins (-12 points en 4 ans),
selon un sondage BVA pour IGD et la presse
régionale. En Paca et en Corse, la satisfaction
ne se chiffremême qu’à 69%.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
EditoRisques
Le 31/01/2012 à 16h47 par Pierre Mathis
Il n’est pas toujours facile de suivre Nicolas Sarkozy dans ce qu’il faut bien appeler sa campagne présidentielle. La décision d’imposer aux partenaires sociaux deux mois de négociationsautour d’un principedestiné à “détricoter”les 35 heures maintenantse télescope totalement avec le calendrierde la campagne.
Mais dans quel but ? Améliorer la compétitivité des entreprises, pourrait-on répondreen feignant d’ignorerles impératifs politiques. L’élection, pourtant, avance belet bien et l’initiative confirme simplementque Nicolas Sarkozya l’intention de jouer jusqu’au bout la carte du président courageux, vent debout dans la tempête. Au passage, il remobilise ses propres troupessur un sujet “clivant”,les fameuses 35 heures.Mais pour Nicolas Sarkozy, le risque est énorme : pour les salariés, un système plaçant l’accord d’entreprise avant la loi est une remise en cause fondamentaledu droit du travailà la française.Et surtout, ce projet “compétitivité emploi” signifie l’enterrementen grande pompedu “travailler pluspour gagner plus”.Et dire qu’en casd’échec, probable,des négociations entre partenaires sociaux,il pourrait intégrer le programme du candidat Sarkozy version 2012
REFRAIN
.Il n’est pas toujours facile de suivre Nicolas Sarkozy dans ce qu’il faut bien appeler sa campagne présidentielle. La décision d’imposer aux partenaires sociaux deux moisde négociations autour d’un principe destiné à “détricoter” les 35 heures maintenant se télescope totalement avec le calendrier de la campagne.
Mais dans quel but ? Améliorer la compétitivité des entreprises, pourrait-on répondre en feignant d’ignorer les impératifs politiques. L’élection, pourtant, avance bel et bien et l’initiative confirme simplement que Nicolas Sarkozya l’intention de jouer jusqu’au bout la carte du président courageux, vent debout dans la tempête.
Au passage, il remobilise ses propres troupes sur un sujet “clivant”, les fameuses 35 heures.Mais pour Nicolas Sarkozy, le risque est énorme : pour les salariés, un système plaçant l’accord d’entreprise avant la loi est une remise en cause fondamentale du droit du travail à la française.
Et surtout, ce projet “compétitivité emploi” signifie l’enterrement en grande pompe du “travailler plus pour gagner plus”. Et dire qu’en cas d’échec, probable, des négociations entre partenaires sociaux,il pourrait intégrer le programme du candidat Sarkozy version 2012.
Le 31/01/2012 à 16h47 par Pierre Mathis
Il n’est pas toujours facile de suivre Nicolas Sarkozy dans ce qu’il faut bien appeler sa campagne présidentielle. La décision d’imposer aux partenaires sociaux deux mois de négociationsautour d’un principedestiné à “détricoter”les 35 heures maintenantse télescope totalement avec le calendrierde la campagne.
Mais dans quel but ? Améliorer la compétitivité des entreprises, pourrait-on répondreen feignant d’ignorerles impératifs politiques. L’élection, pourtant, avance belet bien et l’initiative confirme simplementque Nicolas Sarkozya l’intention de jouer jusqu’au bout la carte du président courageux, vent debout dans la tempête. Au passage, il remobilise ses propres troupessur un sujet “clivant”,les fameuses 35 heures.Mais pour Nicolas Sarkozy, le risque est énorme : pour les salariés, un système plaçant l’accord d’entreprise avant la loi est une remise en cause fondamentaledu droit du travailà la française.Et surtout, ce projet “compétitivité emploi” signifie l’enterrementen grande pompedu “travailler pluspour gagner plus”.Et dire qu’en casd’échec, probable,des négociations entre partenaires sociaux,il pourrait intégrer le programme du candidat Sarkozy version 2012
REFRAIN
.Il n’est pas toujours facile de suivre Nicolas Sarkozy dans ce qu’il faut bien appeler sa campagne présidentielle. La décision d’imposer aux partenaires sociaux deux moisde négociations autour d’un principe destiné à “détricoter” les 35 heures maintenant se télescope totalement avec le calendrier de la campagne.
Mais dans quel but ? Améliorer la compétitivité des entreprises, pourrait-on répondre en feignant d’ignorer les impératifs politiques. L’élection, pourtant, avance bel et bien et l’initiative confirme simplement que Nicolas Sarkozya l’intention de jouer jusqu’au bout la carte du président courageux, vent debout dans la tempête.
Au passage, il remobilise ses propres troupes sur un sujet “clivant”, les fameuses 35 heures.Mais pour Nicolas Sarkozy, le risque est énorme : pour les salariés, un système plaçant l’accord d’entreprise avant la loi est une remise en cause fondamentale du droit du travail à la française.
Et surtout, ce projet “compétitivité emploi” signifie l’enterrement en grande pompe du “travailler plus pour gagner plus”. Et dire qu’en cas d’échec, probable, des négociations entre partenaires sociaux,il pourrait intégrer le programme du candidat Sarkozy version 2012.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
CETTE EUROPE LA ON EN VEUT PAS DE CES 2 DEUX LA ................
LA CORRUPTION NON LA LIBERTE D EXPRESSION OUI
NOUS DESOBEISSONS A LEURS DIKTATS FINANCIERS
ILS SONT A VOMIR............
L'Union européenne signe le traité ACTA
Le traité ACTA (Anti-Counterfeiting Trade Agreement) a été signé hier par l’Union européenne. Il prévoit de renforcer les outils de lutte contre la contrefaçon, notamment sur Internet. Il est vivement dénoncé par les organisations de défense des libertés numériques.
C’est à Tokyo que l’Union européenne a ratifié ce traité déjà signé par huit pays au début du mois d’octobre : Australie, Canada, Corée du Sud, Japon, Nouvelle-Zélande, Maroc, Etats-Unis et Singapour. Parmi ses buts figurent le renforcement et l’harmonisation des outils juridiques permettant de lutter contre le téléchargement illégal et la vente de contrefaçon en ligne.
Les ayants droit pourront ainsi obtenir des fournisseurs d’accès à Internet (FAI) des informations sur des personnes soupçonnées de contrefaçon. Négocié depuis ses débuts dans le plus grand secret, le texte s’est toutefois édulcoré au fur et à mesure de ses versions. Il comptait par exemple imposer aux FAI la mise en place d’une surveillance de leur réseau ; cette mesure a été depuis abandonnée.
Le Parlement européen doit encore le valider
Mais plusieurs contestations arrivent des défenseurs des libertés sur Internet aussi bien sur son contenu que sur la manière dont il a été négocié. Jamais les parties concernées n’ont par exemple rendu compte de leurs travaux aux élus européens. Le monde de la médecine s’est également ému d’une possibilité de voir la production des médicaments génériques rendues plus difficile à cause de ce texte.
Pour être définitivement adopté, le texte devra toutefois être voté par le Parlement européen. Généralement celui-ci se range à l’avis des commissions chargées d’examiner ce genre de traité
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Luyindula se lâche
Le 02/02/2012 | Mis à jour le 02/02/2012 08:27:00
Sous contrat jusqu'en juin avec le PQSG et toujours en conflit ouvert avec le club, Peguy Luyindula n'y va pas par quatre chemins dans les colonnes du mensuel So Foot , à paraître vendredi : « C'est comme si je n'existais pas aux yeux du PSG. Les mecs, s'ils avaient pu me pisser dessus, ils m'auraient pissé dessus (...). Ils n'ont pas arrêté de m'humilier, de me faire des petits coups en douce. » Selon le joueur, le nouveau directeur général du club, lean-Claude Blanc, aurait «e nvoyé une lettre à tous les clubs pour bien me la mettre. Une lettre dans laquelle il est dit, en gros, que j'orchestre une campagne médiatique anti-PSG et que je suis blessé depuis huit mois.»
Le 02/02/2012 | Mis à jour le 02/02/2012 08:27:00
Sous contrat jusqu'en juin avec le PQSG et toujours en conflit ouvert avec le club, Peguy Luyindula n'y va pas par quatre chemins dans les colonnes du mensuel So Foot , à paraître vendredi : « C'est comme si je n'existais pas aux yeux du PSG. Les mecs, s'ils avaient pu me pisser dessus, ils m'auraient pissé dessus (...). Ils n'ont pas arrêté de m'humilier, de me faire des petits coups en douce. » Selon le joueur, le nouveau directeur général du club, lean-Claude Blanc, aurait «e nvoyé une lettre à tous les clubs pour bien me la mettre. Une lettre dans laquelle il est dit, en gros, que j'orchestre une campagne médiatique anti-PSG et que je suis blessé depuis huit mois.»
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Froid : faites-vous attention à votre consommation de chauffage ?
Vous êtes le premier votant, les résultats seront disponible prochainement. Voir les résultats
Oui73 % Oui
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18 210 votesVoir les résultatsRetour aux votesRéponses: 68 505
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Comment sortir du rouge ?
02/02/2012 12:11:54
Olivier Ferrand (Terra Nova) et Philippe Diallo (UCPF).
Au moment où les pertes du football européen se creusent dangereusement («une bombe» selon l'UEFA), nous croisons les analyses et les propositions d'un dirigeant et d'un expert français. Supprimer les transferts payants ? Instaurer un "salary cap" ? Leurs réponses.
Le bilan publié par l'UEFA le 25 janvier donne le vertige : de 1,2 milliard d'euros en 2009, les pertes des 734 clubs européens de D1 ont augmenté de 33 % en 2010 pour atteindre 1,6 milliard, nouveau record. Comment sortir de cette spirale ? Le "fair-play financier"(*) de Michel Platini y suffira-t-il ? Ou faut-il aller plus loin : plafonner les salaires, réformer les transferts, s'inspirer des sports américains ? Les réponses de Philippe Diallo, directeur général de l'Union des clubs professionnels français (UCPF, "patronat" des clubs) et d'Olivier Ferrand, président de la fondation Terra Nova, think tank « proche de la gauche sociale-démocrate ». «Comment en est-on arrivé là ? - Philippe Diallo. La première explication porte sur la dégradation générale de l'économie des Etats européens qui n'épargne pas les clubs de football. Une deuxième explication de fond remonte à l'arrêt Bosman (1995). La reconnaissance (légitime) de la libre circulation des joueurs en Europe sans harmonisation sociale et fiscale ni mesures d'accompagnement leur a brutalement ouvert les frontières. La concurrence entre clubs a logiquement multiplié les transferts et fait exploser la masse salariale. - Olivier Ferrand. L'inflation des salaires pose en effet un grave problème structurel : les clubs n'arrivent plus à couvrir leurs dépenses, même quand leurs revenus augmentent (+6% en 2010). D'où un recours à trois expédients : le surendettement, qui est favorisé par la transformation des contrats de joueurs en actifs financiers, inscrits au bilan des clubs ; les plus-values financières sur les transferts, qui conduisent à la création d'une bulle spéculative de type "subprimes" ; et l'arrivée de mécènes sans exigence de rentabilité qui faussent l'équilibre économique du foot.
La situation française est-elle plus enviable que la moyenne européenne ? - P.D. Oui. Pendant que les pertes en Europe ont dérapé, le football français a réduit son déficit de plus de la moitié, de -130 millions d'euros à -60 millions environ. Nos clubs sont dans une situation délicate mais font de longue date des efforts de rigueur, sous la surveillance de la DNCG (Direction nationale de contrôle de gestion). Les salaires ont d'ailleurs déjà commencé à baisser. La France du foot est aussi beaucoup moins endettée que ses voisines : 100 millions contre plus de 10 milliards au total en Angleterre, en Espagne et en Italie ! - O.F. La France a la chance d'avoir pris les devants - ce qui lui a coûté cher en résultats dans les Coupes d'Europe ! La DNCG n'a pas empêché l'endettement des clubs mais leur surendettement. Leur problème est plutôt de ne pas être chez eux dans leurs stades. Terra Nova propose que les municipalités propriétaires apportent ces actifs aux clubs, sous forme d'entrée à leur capital. Une façon aussi de conserver le lien entre le football professionnel et son identité locale. Le modèle économique du Paris-SG change-t-il la donne en France ? - P.D. Il est trop tôt pour le dire. Le PSG est en phase d'investissements, d'où le déséquilibre financier actuel, normal pour toute entreprise à ce stade de son développement. Son objectif à moyen terme est, grâce à ses performances sportives, de générer des recettes permettant d'équilibrer son budget voire de générer des profits. - O.F. La stratégie du Qatar - respectable - est de booster son image à travers ses investissements dans le sport. Mais QSI n'a pas de réel objectif de rentabilité au PSG. La masse salariale du club a déjà augmenté de 40% ! Le transfert de Pastore est surévalué (42 millions) et nourrit la bulle.
Le "fair-play financier" est-il suffisant ? - P.D. Il faut saluer l'UEFA pour cette initiative à laquelle la France n'est pas étrangère puisque la DNCG lui a servi de modèle. Mais imposer les mêmes règles à 53 associations est très complexe. L'appui de l'Europe sera nécessaire notamment pour appliquer les sanctions prévues à partir de 2013. Que se passerait-il si la justice civile, saisie par les clubs épinglés, déjugeait les décisions de l'UEFA ? - O.F. Heureusement que Platini est là pour porter une volonté de régulation. Si le football arrive à dégonfler sa bulle en douceur, il lui devra une fière chandelle. Mais il faudra aller plus loin.
Plafonner les salaires des joueurs ? - P.D. Le "salary cap" est séduisant mais pas une baguette magique. Déjà, le plafonnement des salaires n'aurait de sens qu'au niveau international. Et comment l'appliquer : à chaque salaire ou à la masse salariale en tenant compte des disparités fiscales et sociales en Europe ? Cette formule est en outre inspirée des sports américains qui sont des ligues fermées, sans accession/relégation. Veut-on appliquer ce système en Europe ? J'observe d'ailleurs que l'application de ce type de dispositions aux Etats-Unis n'a pas empêché un lock-out cet été dans la NBA. - O.F. Le coeur du problème est le salaire, il faut donc s'y attaquer. Le plafonnement est une bonne solution. On peut combiner encadrement de la masse salariale globale (par exemple autour de 60% du budget des clubs contre parfois jusqu'à 90% aujourd'hui), et une individualisation, comme dans le football américain. Une application à l'échelle de l'Europe, qui est au coeur de l'économie du football, pourrait suffire, avant généralisation dans un deuxième temps. Supprimer le prix des transferts ? - P.D. L'argent des transferts participe à l'équilibre du budget des clubs. Les en priver brutalement conduirait à des faillites. Il est aussi un moyen de redistribution entre petits et grands pays, entre petits et grands clubs. Prenez Gameiro qui rapporte 13 millions à Lorient en rejoignant le PSG. En tout état de cause, il faudrait un mécanisme de solidarité de substitution. Une idée plus modeste
limiter le nombre de transferts lors du mercato d'hiver à un ou deux joueurs. Cela limiterait les mutations, d'éventuelles déstabilisations et renforcerait l'équité sportive. - O.F. Les Etats-Unis ont supprimé les transferts payants. En Europe, ce marché spéculatif finance les déficits et les salaires mais donne des signes de stagnation. S'il se retourne, le foot court au krach systémique ! Supprimer le prix du transfert, c'est permettre aux clubs moyens de ne plus être évincés par les effets de la bulle sur le prix des joueurs. Donc de conserver ou d'attirer des joueurs de niveau international et de bâtir leur économie sur leur propre destin sportif.» Recueilli par Jean LE BAIL (*) Les clubs n'étant pas parvenus à l'équilibre financier (davantage de dépenses que de revenus) pourraient être sanctionnés à partir de la saison 2013-2014 et même être exclus des compétitions européennes dès 2014-2015
02/02/2012 12:11:54
Olivier Ferrand (Terra Nova) et Philippe Diallo (UCPF).
Au moment où les pertes du football européen se creusent dangereusement («une bombe» selon l'UEFA), nous croisons les analyses et les propositions d'un dirigeant et d'un expert français. Supprimer les transferts payants ? Instaurer un "salary cap" ? Leurs réponses.
Le bilan publié par l'UEFA le 25 janvier donne le vertige : de 1,2 milliard d'euros en 2009, les pertes des 734 clubs européens de D1 ont augmenté de 33 % en 2010 pour atteindre 1,6 milliard, nouveau record. Comment sortir de cette spirale ? Le "fair-play financier"(*) de Michel Platini y suffira-t-il ? Ou faut-il aller plus loin : plafonner les salaires, réformer les transferts, s'inspirer des sports américains ? Les réponses de Philippe Diallo, directeur général de l'Union des clubs professionnels français (UCPF, "patronat" des clubs) et d'Olivier Ferrand, président de la fondation Terra Nova, think tank « proche de la gauche sociale-démocrate ». «Comment en est-on arrivé là ? - Philippe Diallo. La première explication porte sur la dégradation générale de l'économie des Etats européens qui n'épargne pas les clubs de football. Une deuxième explication de fond remonte à l'arrêt Bosman (1995). La reconnaissance (légitime) de la libre circulation des joueurs en Europe sans harmonisation sociale et fiscale ni mesures d'accompagnement leur a brutalement ouvert les frontières. La concurrence entre clubs a logiquement multiplié les transferts et fait exploser la masse salariale. - Olivier Ferrand. L'inflation des salaires pose en effet un grave problème structurel : les clubs n'arrivent plus à couvrir leurs dépenses, même quand leurs revenus augmentent (+6% en 2010). D'où un recours à trois expédients : le surendettement, qui est favorisé par la transformation des contrats de joueurs en actifs financiers, inscrits au bilan des clubs ; les plus-values financières sur les transferts, qui conduisent à la création d'une bulle spéculative de type "subprimes" ; et l'arrivée de mécènes sans exigence de rentabilité qui faussent l'équilibre économique du foot.
La situation française est-elle plus enviable que la moyenne européenne ? - P.D. Oui. Pendant que les pertes en Europe ont dérapé, le football français a réduit son déficit de plus de la moitié, de -130 millions d'euros à -60 millions environ. Nos clubs sont dans une situation délicate mais font de longue date des efforts de rigueur, sous la surveillance de la DNCG (Direction nationale de contrôle de gestion). Les salaires ont d'ailleurs déjà commencé à baisser. La France du foot est aussi beaucoup moins endettée que ses voisines : 100 millions contre plus de 10 milliards au total en Angleterre, en Espagne et en Italie ! - O.F. La France a la chance d'avoir pris les devants - ce qui lui a coûté cher en résultats dans les Coupes d'Europe ! La DNCG n'a pas empêché l'endettement des clubs mais leur surendettement. Leur problème est plutôt de ne pas être chez eux dans leurs stades. Terra Nova propose que les municipalités propriétaires apportent ces actifs aux clubs, sous forme d'entrée à leur capital. Une façon aussi de conserver le lien entre le football professionnel et son identité locale. Le modèle économique du Paris-SG change-t-il la donne en France ? - P.D. Il est trop tôt pour le dire. Le PSG est en phase d'investissements, d'où le déséquilibre financier actuel, normal pour toute entreprise à ce stade de son développement. Son objectif à moyen terme est, grâce à ses performances sportives, de générer des recettes permettant d'équilibrer son budget voire de générer des profits. - O.F. La stratégie du Qatar - respectable - est de booster son image à travers ses investissements dans le sport. Mais QSI n'a pas de réel objectif de rentabilité au PSG. La masse salariale du club a déjà augmenté de 40% ! Le transfert de Pastore est surévalué (42 millions) et nourrit la bulle.
Le "fair-play financier" est-il suffisant ? - P.D. Il faut saluer l'UEFA pour cette initiative à laquelle la France n'est pas étrangère puisque la DNCG lui a servi de modèle. Mais imposer les mêmes règles à 53 associations est très complexe. L'appui de l'Europe sera nécessaire notamment pour appliquer les sanctions prévues à partir de 2013. Que se passerait-il si la justice civile, saisie par les clubs épinglés, déjugeait les décisions de l'UEFA ? - O.F. Heureusement que Platini est là pour porter une volonté de régulation. Si le football arrive à dégonfler sa bulle en douceur, il lui devra une fière chandelle. Mais il faudra aller plus loin.
Plafonner les salaires des joueurs ? - P.D. Le "salary cap" est séduisant mais pas une baguette magique. Déjà, le plafonnement des salaires n'aurait de sens qu'au niveau international. Et comment l'appliquer : à chaque salaire ou à la masse salariale en tenant compte des disparités fiscales et sociales en Europe ? Cette formule est en outre inspirée des sports américains qui sont des ligues fermées, sans accession/relégation. Veut-on appliquer ce système en Europe ? J'observe d'ailleurs que l'application de ce type de dispositions aux Etats-Unis n'a pas empêché un lock-out cet été dans la NBA. - O.F. Le coeur du problème est le salaire, il faut donc s'y attaquer. Le plafonnement est une bonne solution. On peut combiner encadrement de la masse salariale globale (par exemple autour de 60% du budget des clubs contre parfois jusqu'à 90% aujourd'hui), et une individualisation, comme dans le football américain. Une application à l'échelle de l'Europe, qui est au coeur de l'économie du football, pourrait suffire, avant généralisation dans un deuxième temps. Supprimer le prix des transferts ? - P.D. L'argent des transferts participe à l'équilibre du budget des clubs. Les en priver brutalement conduirait à des faillites. Il est aussi un moyen de redistribution entre petits et grands pays, entre petits et grands clubs. Prenez Gameiro qui rapporte 13 millions à Lorient en rejoignant le PSG. En tout état de cause, il faudrait un mécanisme de solidarité de substitution. Une idée plus modeste
limiter le nombre de transferts lors du mercato d'hiver à un ou deux joueurs. Cela limiterait les mutations, d'éventuelles déstabilisations et renforcerait l'équité sportive. - O.F. Les Etats-Unis ont supprimé les transferts payants. En Europe, ce marché spéculatif finance les déficits et les salaires mais donne des signes de stagnation. S'il se retourne, le foot court au krach systémique ! Supprimer le prix du transfert, c'est permettre aux clubs moyens de ne plus être évincés par les effets de la bulle sur le prix des joueurs. Donc de conserver ou d'attirer des joueurs de niveau international et de bâtir leur économie sur leur propre destin sportif.» Recueilli par Jean LE BAIL (*) Les clubs n'étant pas parvenus à l'équilibre financier (davantage de dépenses que de revenus) pourraient être sanctionnés à partir de la saison 2013-2014 et même être exclus des compétitions européennes dès 2014-2015
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Les négociations sur les accords dits de
compétitivité-emploi, voulus par Nicolas Sarkozy
pour accroître la flexibilité du temps de travail et
des salaires, débuteront le 17 février. Le chef de
l'État a appelé dimanche soir les syndicats et le
patronat à négocier d'ici à deuxmois un accord
national interprofessionnel
4 ANS ET 10 MOIS.ON NE FAIT RIEN
2 MOIS DE HUSSARDS AVEC LES ELECTIONS
compétitivité-emploi, voulus par Nicolas Sarkozy
pour accroître la flexibilité du temps de travail et
des salaires, débuteront le 17 février. Le chef de
l'État a appelé dimanche soir les syndicats et le
patronat à négocier d'ici à deuxmois un accord
national interprofessionnel
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
03/02/2012 - 23:04
Eydelie: "Le football français a besoin de spectacle"
Impliqué dans l'affaire VA-OM, Jean-Jacques Eydelie est en train de passer son DEPF (Diplôme d’entraîneur professionnel français) auprès de la Direction technique nationale. Dans une interview publiée sur Football-Mag, l’ancien milieu regrette néanmoins le "monde très fermé" du football français: "Cette FFF, cette DTN, ne représentent pas les valeurs de mon football ni celle de l’académie Guillou que j’ai connues ensuite… Ces gens-là font ce qu’ils veulent, ils renvoient l’image qu’ils ont envie de donner, ce n’est pas mon problème." Eydelie milite "plutôt pour un football contemporain, un football spectacle plus ouvert que ce qui est proposé aujourd’hui à la FFF et à la DTN" et pense que le football français a besoin "d’ouverture, de jeu, de spectacle, de quelque chose de bien plus vivant et de plus agréable
Eydelie: "Le football français a besoin de spectacle"
Impliqué dans l'affaire VA-OM, Jean-Jacques Eydelie est en train de passer son DEPF (Diplôme d’entraîneur professionnel français) auprès de la Direction technique nationale. Dans une interview publiée sur Football-Mag, l’ancien milieu regrette néanmoins le "monde très fermé" du football français: "Cette FFF, cette DTN, ne représentent pas les valeurs de mon football ni celle de l’académie Guillou que j’ai connues ensuite… Ces gens-là font ce qu’ils veulent, ils renvoient l’image qu’ils ont envie de donner, ce n’est pas mon problème." Eydelie milite "plutôt pour un football contemporain, un football spectacle plus ouvert que ce qui est proposé aujourd’hui à la FFF et à la DTN" et pense que le football français a besoin "d’ouverture, de jeu, de spectacle, de quelque chose de bien plus vivant et de plus agréable
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Qui a dit : "Je veux, si je suis élu président de la république, que d’ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d’y mourir de froid. Parce que le droit à l’hébergement, je vais vous le dire, c’est une obligation humaine.
Mes chers amis, comprenez-le bien : si on n’est plus choqués quand quelqu’un n’a pas de toit lorsqu’il fait froid et qu’il est obligé de dormir dehors, c’est tout l’équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix qui s’en trouvera remis en cause."
la reponse Nicolas Sarkozy
Mes chers amis, comprenez-le bien : si on n’est plus choqués quand quelqu’un n’a pas de toit lorsqu’il fait froid et qu’il est obligé de dormir dehors, c’est tout l’équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix qui s’en trouvera remis en cause."
la reponse Nicolas Sarkozy
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
DOMENICO TELEPHONE A SARKOV qu'il aillle recuperer l'oseille
06/02/2012 08:36 | Un berger de 65 ans plombe les finances grecques
Les ministres des Finances de la zone euro, ont fait savoir samedi à la Grèce qu'ils ne pouvaient donner leur feu vert à la restructuration de sa dette détenue par le secteur privé en l'absence de garanties sur le dispositif jugé nécessaire à l'octroi d'un deuxième plan d'aide international. Entre autres mesures, le gouvernement d'Athènes a pourtant mis en place un mécanisme pour récupérer l'argent que lui doivent certains citoyens. Au mois de janvier, une liste nominative de plus de 4 000 personnes a été publiée. Au total, elles devraient à l'État près de 30 milliards d'euros. Depuis la publication de cette liste, la plupart de personnes arrêtées pour ce motif ont été libérées sous caution ou condamnées à de faibles peines. Près de 500 font encore l'objet d'un mandat d'arrêt. Le journal grec Ethnos a annoncé, dimanche 5 février, avoir retrouvé l'un des principaux débiteurs de l'État grec, un homme qui devrait à lui seul, selon les calculs du ministère des finances, pas moins de 10,8 millions d'euros. Il s'agit de Stelios Parasyris, un berger crétois de 65 ans, qui possède une cinquantaine de moutons et, assure-t-il, pas beaucoup d'argent. L'État grec affirme que Parasyris a frauduleusement empoché 30 millions de drachmes, soit près de 88 000 euros, en 1995.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Grèce: un des principaux débiteurs de l'Etat est... un berger sans le sou
Une femme guide un troupeau de moutons en Grèce Paris Papaioannou AFP/Archives
Partager Un berger crétois sans le sou est l'un des principaux débiteurs de l'Etat grec si l'on en croit une liste officielle, a rapporté dimanche un journal grec pour illustrer la difficulté qu'aura Athènes à récupérer l'argent qui lui est dû.
Stelios Parasyris, âgé de 65 ans, avait frauduleusement empoché, il y a 17 ans, 30 millions de drachmes, l'équivalent de 88.000 euros, mais entre amendes, pénalités et intérêts, il devrait maintenant à l'Etat, selon la liste publiée le mois dernier par le ministère des Finances, 10,8 millions d'euros.
"Si tous les gens sur la liste sont aussi pauvres que moi, je ne vois guère d'avenir pour ce pays", a déclaré au journal Ethnos ce père de cinq enfants et propriétaire d'une cinquantaine de moutons, qui affirme avoir déjà remboursé l'équivalent de trois fois ce qu'il avait détourné.
Le ministère a nommé publiquement en janvier plus de 4.000 personnes et 6.000 sociétés (dont la plupart n'existent plus) qui à eux tous doivent à l'Etat plus de 30 milliards d'euros.
Près de 500 personnes font l'objet d'un mandat d'arrêt pour ce motif, mais la plupart de ceux qui ont été arrêtés ont été libérés sous caution ou condamnés à des peines minimes.
La dette publique de la Grèce s'élève à plus de 350 milliards d'euros.
Une femme guide un troupeau de moutons en Grèce Paris Papaioannou AFP/Archives
Partager Un berger crétois sans le sou est l'un des principaux débiteurs de l'Etat grec si l'on en croit une liste officielle, a rapporté dimanche un journal grec pour illustrer la difficulté qu'aura Athènes à récupérer l'argent qui lui est dû.
Stelios Parasyris, âgé de 65 ans, avait frauduleusement empoché, il y a 17 ans, 30 millions de drachmes, l'équivalent de 88.000 euros, mais entre amendes, pénalités et intérêts, il devrait maintenant à l'Etat, selon la liste publiée le mois dernier par le ministère des Finances, 10,8 millions d'euros.
"Si tous les gens sur la liste sont aussi pauvres que moi, je ne vois guère d'avenir pour ce pays", a déclaré au journal Ethnos ce père de cinq enfants et propriétaire d'une cinquantaine de moutons, qui affirme avoir déjà remboursé l'équivalent de trois fois ce qu'il avait détourné.
Le ministère a nommé publiquement en janvier plus de 4.000 personnes et 6.000 sociétés (dont la plupart n'existent plus) qui à eux tous doivent à l'Etat plus de 30 milliards d'euros.
Près de 500 personnes font l'objet d'un mandat d'arrêt pour ce motif, mais la plupart de ceux qui ont été arrêtés ont été libérés sous caution ou condamnés à des peines minimes.
La dette publique de la Grèce s'élève à plus de 350 milliards d'euros.
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
BIEN SUR ILS APPAUVRISSENT LES PAUVRES ET NE TOUCHENT PAS AUX RICHES
LES MINISTRES ET ELUS ..CONNAISSENT PAS LA CRISE EUX
Déficit budgétaire de l'Etat de 90,8 milliards d'euros en 2011 mercredi 08 février 2012 à 09H05
Le déficit du budget de l'Etat français s'est établi à 90,8 milliards d'euros en 2011 contre 148,8 milliards en 2010, selon le ministère du Budget. Ce déficit est inférieur de plus de 4,5 milliards d'euros à la prévision budgétaire, ce qui doit permettre de ramener le déficit public en deçà de l'objectif de 5,7% du PIB fin 2011.
PARIS (Reuters) - Le déficit du budget de l'Etat français s'est établi à 90,8 milliards d'euros en 2011 contre 148,8 milliards en 2010, selon les données publiées mercredi par le ministère du Budget.
Ce déficit est inférieur de plus de 4,5 milliards d'euros à la prévision budgétaire, ce qui doit permettre de ramener le déficit public en deçà de l'objectif de 5,7% du PIB fin 2011.
Le déficit de l'Etat est la principale composante du déficit public, qui comprend aussi les comptes sociaux et ceux des collectivités locales. La France s'est engagée à réduire le déficit public à 4,5% du PIB fin 2012 pour revenir en 2013 à la limite européenne de 3%.
En 2011, le déficit public aura été de 5,4% et peut-être même 5,3% du PIB au lieu de 5,7% envisagé en loi de finances, a déclaré fin janvier le président Nicolas Sarkozy.
La ministre du Budget, Valérie Pécresse avait quant à elle déjà annoncé que le déficit de l'Etat s'était établi à 90,8 milliards d'euros en 2011.
La baisse du déficit d'une année sur l'autre s'explique par "une excellente maîtrise des dépenses (diminution en valeur des dépenses) ; un dynamisme des recettes, entièrement consacré à la réduction du déficit ; l'extinction d'opérations exceptionnelles survenues en 2010", écrit le ministère dans son communiqué.
Le solde du budget général s'est amélioré de 58 milliards d'euros d'une année sur l'autre en décembre.
Les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 365,4 milliards contre 425,7 milliards un an plus tôt.
Les recettes (nettes des remboursements et dégrèvements) s'établissent à 275,2 milliards d'euros contre 274,9 milliards.
Les recettes fiscales nettes sont en hausse de 6,5% par rapport à 2010 (hors effet de la réforme de la taxe professionnelle) à 255 milliards d'euros.
La charge de la dette a été de 46,3 milliards d'euros en 2011.
Le gouvernement prévoit de baisser le déficit public à 2% du PIB fin 2014, 1% fin 2015 et d'atteindre l'équilibre en 2016 pour la première fois depuis 1974.
Le candidat socialiste à l'élection présidentielle, François Hollande, actuellement en tête des sondages, s'est lui aussi engagé à ramener le déficit à 3% en 2013. Il prévoit d'équilibrer les comptes publics en 2017.
LES MINISTRES ET ELUS ..CONNAISSENT PAS LA CRISE EUX
Déficit budgétaire de l'Etat de 90,8 milliards d'euros en 2011 mercredi 08 février 2012 à 09H05
Le déficit du budget de l'Etat français s'est établi à 90,8 milliards d'euros en 2011 contre 148,8 milliards en 2010, selon le ministère du Budget. Ce déficit est inférieur de plus de 4,5 milliards d'euros à la prévision budgétaire, ce qui doit permettre de ramener le déficit public en deçà de l'objectif de 5,7% du PIB fin 2011.
PARIS (Reuters) - Le déficit du budget de l'Etat français s'est établi à 90,8 milliards d'euros en 2011 contre 148,8 milliards en 2010, selon les données publiées mercredi par le ministère du Budget.
Ce déficit est inférieur de plus de 4,5 milliards d'euros à la prévision budgétaire, ce qui doit permettre de ramener le déficit public en deçà de l'objectif de 5,7% du PIB fin 2011.
Le déficit de l'Etat est la principale composante du déficit public, qui comprend aussi les comptes sociaux et ceux des collectivités locales. La France s'est engagée à réduire le déficit public à 4,5% du PIB fin 2012 pour revenir en 2013 à la limite européenne de 3%.
En 2011, le déficit public aura été de 5,4% et peut-être même 5,3% du PIB au lieu de 5,7% envisagé en loi de finances, a déclaré fin janvier le président Nicolas Sarkozy.
La ministre du Budget, Valérie Pécresse avait quant à elle déjà annoncé que le déficit de l'Etat s'était établi à 90,8 milliards d'euros en 2011.
La baisse du déficit d'une année sur l'autre s'explique par "une excellente maîtrise des dépenses (diminution en valeur des dépenses) ; un dynamisme des recettes, entièrement consacré à la réduction du déficit ; l'extinction d'opérations exceptionnelles survenues en 2010", écrit le ministère dans son communiqué.
Le solde du budget général s'est amélioré de 58 milliards d'euros d'une année sur l'autre en décembre.
Les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 365,4 milliards contre 425,7 milliards un an plus tôt.
Les recettes (nettes des remboursements et dégrèvements) s'établissent à 275,2 milliards d'euros contre 274,9 milliards.
Les recettes fiscales nettes sont en hausse de 6,5% par rapport à 2010 (hors effet de la réforme de la taxe professionnelle) à 255 milliards d'euros.
La charge de la dette a été de 46,3 milliards d'euros en 2011.
Le gouvernement prévoit de baisser le déficit public à 2% du PIB fin 2014, 1% fin 2015 et d'atteindre l'équilibre en 2016 pour la première fois depuis 1974.
Le candidat socialiste à l'élection présidentielle, François Hollande, actuellement en tête des sondages, s'est lui aussi engagé à ramener le déficit à 3% en 2013. Il prévoit d'équilibrer les comptes publics en 2017.
bienvenou- Admin
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
Y a pas que les clubs !
Le gouvernement révise la dette publique à la hausse pour 2012
LEMONDE.FR avec AFP | 08.02.12 | 11h50
>http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/02/08/le-gouvernement-revise-la-dette-publique-a-la-hausse-pour-2012_1640311_1471069.html#ens_id=1170028<
La dette publique de la France gonflera davantage que prévu, à 89,1 % du produit intérieur brut (PIB) en 2012 contre 88,3 % attendus jusqu'ici, et atteindra un pic à 89,3 % en 2013, selon les prévisions du gouvernement actualisées en marge du collectif budgétaire présenté mercredi 8 février en conseil des ministres.
Dans ses précédentes prévisions, le gouvernement tablait sur un reflux de la dette dès l'an prochain à 88,2 %
Ce reflux est désormais repoussé d'un an, à 2014, avec une dette à 88,3 % du PIB, qui descendrait ensuite progressivement à 86,2 % en 2015 (contre 84,9 % précédemment prévus) et 83 % en 2016 (au lieu de 81,8 %).
Le gouvernement confirme en revanche ses engagements de réduction du déficit public : 4,5 % du PIB cette année, 3 % l'an prochain et un retour à l'équilibre budgétaire prévu pour 2016.
Ces révisions prennent en compte la dégradation de la conjoncture ainsi que l'aide financière apportée aux Etats en difficulté de la zone euro, via la création d'un fonds de secours permanent, le Mécanisme européen de stabilité (MES).
La France va verser dès 2012 une première part de capital de 6,6 milliards d'euros à ce MES, ce qui n'alourdit pas son déficit public, pour des raisons comptables, mais gonfle sa dette publique. D'autres versements sont prévus au cours des trois années suivantes. Le ministère du budget fait valoir que, sans le versement de cette aide, la dette publique aurait commencé à refluer comme prévu en 2013.
VOTE AU PARLEMENT
La France est le premier pays à engager le processus de ratification de ce MES, censé voir le jour le 1er juillet, même si le vote définitif revient désormais au Parlement.
La transcription en droit français de la création du MES est intégrée dans un projet de loi de finances rectificative présentée en conseil des ministres. Elle traduit les décisions des derniers sommets européens d'avancer d'un an, à la mi-2012, la mise en place de ce fonds de secours pour les Etats de la zone euro en difficulté financière, qui sera doté, à terme, de 500 milliards d'euros.
Le MES sera abondé par les pays membres de l'Union monétaire en différentes étapes, au prorata de leur poids économique.
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Le gouvernement révise la dette publique à la hausse pour 2012
LEMONDE.FR avec AFP | 08.02.12 | 11h50
>http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/02/08/le-gouvernement-revise-la-dette-publique-a-la-hausse-pour-2012_1640311_1471069.html#ens_id=1170028<
La dette publique de la France gonflera davantage que prévu, à 89,1 % du produit intérieur brut (PIB) en 2012 contre 88,3 % attendus jusqu'ici, et atteindra un pic à 89,3 % en 2013, selon les prévisions du gouvernement actualisées en marge du collectif budgétaire présenté mercredi 8 février en conseil des ministres.
Dans ses précédentes prévisions, le gouvernement tablait sur un reflux de la dette dès l'an prochain à 88,2 %
Ce reflux est désormais repoussé d'un an, à 2014, avec une dette à 88,3 % du PIB, qui descendrait ensuite progressivement à 86,2 % en 2015 (contre 84,9 % précédemment prévus) et 83 % en 2016 (au lieu de 81,8 %).
Le gouvernement confirme en revanche ses engagements de réduction du déficit public : 4,5 % du PIB cette année, 3 % l'an prochain et un retour à l'équilibre budgétaire prévu pour 2016.
Ces révisions prennent en compte la dégradation de la conjoncture ainsi que l'aide financière apportée aux Etats en difficulté de la zone euro, via la création d'un fonds de secours permanent, le Mécanisme européen de stabilité (MES).
La France va verser dès 2012 une première part de capital de 6,6 milliards d'euros à ce MES, ce qui n'alourdit pas son déficit public, pour des raisons comptables, mais gonfle sa dette publique. D'autres versements sont prévus au cours des trois années suivantes. Le ministère du budget fait valoir que, sans le versement de cette aide, la dette publique aurait commencé à refluer comme prévu en 2013.
VOTE AU PARLEMENT
La France est le premier pays à engager le processus de ratification de ce MES, censé voir le jour le 1er juillet, même si le vote définitif revient désormais au Parlement.
La transcription en droit français de la création du MES est intégrée dans un projet de loi de finances rectificative présentée en conseil des ministres. Elle traduit les décisions des derniers sommets européens d'avancer d'un an, à la mi-2012, la mise en place de ce fonds de secours pour les Etats de la zone euro en difficulté financière, qui sera doté, à terme, de 500 milliards d'euros.
Le MES sera abondé par les pays membres de l'Union monétaire en différentes étapes, au prorata de leur poids économique.
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domenico belli- Messages : 2494
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Re: CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION
domenico belli a écrit:Y a pas que les clubs !
Le gouvernement révise la dette publique à la hausse pour 2012
LEMONDE.FR avec AFP | 08.02.12 | 11h50
>http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/02/08/le-gouvernement-revise-la-dette-publique-a-la-hausse-pour-2012_1640311_1471069.html#ens_id=1170028<
La dette publique de la France gonflera davantage que prévu, à 89,1 % du produit intérieur brut (PIB) en 2012 contre 88,3 % attendus jusqu'ici, et atteindra un pic à 89,3 % en 2013, selon les prévisions du gouvernement actualisées en marge du collectif budgétaire présenté mercredi 8 février en conseil des ministres.
Dans ses précédentes prévisions, le gouvernement tablait sur un reflux de la dette dès l'an prochain à 88,2 %
Ce reflux est désormais repoussé d'un an, à 2014, avec une dette à 88,3 % du PIB, qui descendrait ensuite progressivement à 86,2 % en 2015 (contre 84,9 % précédemment prévus) et 83 % en 2016 (au lieu de 81,8 %).
Le gouvernement confirme en revanche ses engagements de réduction du déficit public : 4,5 % du PIB cette année, 3 % l'an prochain et un retour à l'équilibre budgétaire prévu pour 2016.
Ces révisions prennent en compte la dégradation de la conjoncture ainsi que l'aide financière apportée aux Etats en difficulté de la zone euro, via la création d'un fonds de secours permanent, le Mécanisme européen de stabilité (MES).
La France va verser dès 2012 une première part de capital de 6,6 milliards d'euros à ce MES, ce qui n'alourdit pas son déficit public, pour des raisons comptables, mais gonfle sa dette publique. D'autres versements sont prévus au cours des trois années suivantes. Le ministère du budget fait valoir que, sans le versement de cette aide, la dette publique aurait commencé à refluer comme prévu en 2013.
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SAUF SI SARKOV ET SA BANDE DEGAGE
bienvenou- Admin
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