EUROMEDITERRANEE ...VA CHANGER LE VISAGE DE MASSILIA

"Laissez Le Petit Pavillon tranquille !"
"La priorité, l'urgence, c'est la protection des calanques à partir
du Mont-Rose inclus. Donc arrêtons de lanterner et mettons
en oeuvre l'outil nécessaire qu’est le Parc national des Calanques.
Par contre concernant Le Petit Pavillon, sa situation est
certes bancale administrativement, mais il est là depuis si longtemps.
À mon avis il faut le laisser tranquille." Ulysse
À propos de la possible fermeture, réclamée par la préfecture, du restaurant
située sur la Corniche Kennedy.
"Il ne gêne personne"
"Voilà 160 ans que Le Petit
Pavillon est là
et il n’a jamais gêné personne.
Il suffit d'un technocrate
pour rayer un des petits plaisirs
des Marseillais. En revanche,
on laisse tranquille
le Cercle des nageurs. Et on
veut construire un hôtel sur
le site de Giraudon aux Catalans.
Tout cela ne paraît pas
très logique. Le Petit Pavillon n'a sans doute pas les appuis politiques
nécessaires." Tifou013

Marseille-Provence 2013 : Chougnet nommé directeur général
Publié le lundi 18 avril 2011 à 14H00


Le conseil d'administration de l'association Marseille-Provence 2013 s'est réuni aujourd'hui pour procéder à de nouvelles nominations. Ainsi, Jean-François Chougnet, ancien commissaire général de l'année du Brésil en France en 2005 et directeur du musée collection Berardo à Lisbonne, a été nommé directeur général de l'association, tandis que Bernard Latarjet occupera le poste de conseiller du président et du directeur général.

Les deux hommes participeront au prochain conseil d'administration le 9 juin à Aix-en-Provence

OUI MAIS QUAND
BEN PEUCHERE FILOU ...A PAQUES

LES CRS DEVAIENT ETRE REQUISITIONNES DEPUIS 17 H

COMME DAB



La fête sur le Vieux-Port, quelques débordements aussi...
Publié le samedi 23 avril 2011 à 23H38

La fête sur le Vieux-Port après la victoire de l'OM
Ce soir, des centaines de Marseillais sont descendues sur le Vieux-Port pour fêter la victoire en coupe de la Ligue, la deuxième en deux saisons. Les familles côtoient les touristes de passage à Marseille dans une bonne ambiance.

Cependant, comme à chaque nouveau titre de l'OM, quelques débordements et tensions sont à noter. Ainsi, des personnes en voiture, passant devant les terrasses bondées, juste après le coup de sifflet final, ont vu leur véhicule submergé par des jeunes qui tentaient de les tirer en dehors.

MAIS L" OM RESTERA AU CENTRE DU COEUR DE MASSILIA

Ils sont à la fois une curiosité
et le supplément d’âme de
Notre-Dame-de-la-Garde,
témoignages fervents de la foi
que les Marseillais éprouvent
pour leur Bonne Mère.
Qu’ils soient peints, sculptés,
gravés ou assemblés, les
ex-voto sont intimement liés à
l’histoire séculaire de ce site sacré.
"Il s’agit d’une tradition qui
remonte au XIVe siècle", explique
ainsi Magali Chapus, en
charge de leur inventaire depuis
2007. Historienne de l’art,
la jeune femme précise que les
premiers dons d’action de grâce
répertoriés dans les registres
"étaient faits en nature ou en petits
objetscomme des peaux de
moutons, des représentations en
cire, des sculptures en bois..."
De ces ex-voto originels, il ne
subsiste aujourd’hui aucun vestige,
juste une trace écrite. "Pendant
la Révolution, rappelle Magali
Chapus, la chapelle qui existait
alors a été vidée et l’ensemble
des objets vendus par lots.
Nous savons qu’à l’époque, les
murs étaient déjà recouverts
d’ex-voto. Mais nous n’en avons
retrouvé aucun. Le plus ancien
que nous possédons remonte à
la fin du XVIIIe."
Passée cette période trouble
pour la foi et l’Église, la tradition
reprit de plus belle. Deux
siècles plus tard, elle demeure
bien vivante. "Contrairement à
beaucoup d’autres lieux, comme
par exemple la basilique Notre-
Dame-de-Fourrevière, à
Lyon, Notre-Dame-de-la-Garde
continue de recevoir de nombreux
ex-voto", assure l’historienne
de l’art, qui en enregistré
37 nouveaux dons d’objets
pour la seule année 2010. "Entre
le tiers et la moitié sous forme
de plaques de marbre gravées,
précise-t-elle, le reste en
créations originales, tableaux,
sculptures, maquettes d’avions
ou de bateaux..."
C’est toujours pour implorer
la Vierge Marie ou la remercier
de sa bienveillance que les Marseillais
-et les autres - n’ont jamais
interrompu cette tradition
de l’offrande.
La plupart des ex-voto racontent
ainsi une histoire très personnelle,
souvent douloureuse,
parfois miraculeuse : une longue
lutte contre la maladie, une
guerre meurtrière traversée
sans blessure grave, un terrible
accident dont on croit avoir réchappé
grâce à l’intervention divine,
un naufrage qui emporte
un bateau en épargnant son
équipage... des milliers de témoignages
écrits ou imagés
dont Magali Chapus s’évertue
actuellement à préciser l’origine,
du nom du donateur jusqu’à
l’auteur de l’oeuvre.
Dans les réserves de la basilique,
où s’entassent déjà près de
2500 ex-voto, la jeune femme
dispose d’un stock quasi inépuisable
d’histoires à reconstituer.
Et des années de travail pour savoir
et comprendre cette dynamique
de la reconnaissance si
présente à Marseille.
Qui se cache derrière la barboteuse
et les chaussons de bébé
déposés au début du XXe siècle
? Ce fantassin dont l’épouse
avait confié la photo aux bons
soins de la Bonne Mère en avril
1917 a-t-il survécu à la Grande
Guerre ? À qui appartenaient
ces dizaines de croix de la Légion
d’honneur suspendues en
arc de cercle autour de l’autel ?
Qu’est devenu le Saint-Cyrien
qui avait offert une plume de
son Casoar en entrant dans la
carrière militaire ?
Pour l’historienne, l’enjeu est
moins de réécrire cette multitude
d’aventures individuelles
que de compléter le premier inventaire
des ex-voto de Notre-
Dame-de-la-Garde, réalisé
par Félix Reynaud entre 1976 et
1993 (lire ci-contre), principalement
sur le fonds du XIXe siècle.
Avec, en toile de fond, le projet
de musée de la basilique, qui
devrait ouvrir ses portes début
2013, alors que Marseille inaugurera
son titre de capitale européenne
de la culture.
Deux espaces devraient être
consacrés aux ex-voto dans ce
futur lieu de mémoire et d’histoire

PAGNOL ET MASSILIA A TOUT JAMAIS

Concertation publique du projet Vieux-Port7 contributions Publié le jeudi 28 avril 2011 à 16H03


Les réunions de concertation publiques relatives au projet Vieux-Port débuteront avec la réunion de lancement vendredi 6 mai dès 18h, à l'auditorium du Palais du Pharo à Marseille (7e).

Trois réunions publiques succéderont au lancement. Elles se tiendront de 18h30 à 20h30 les mercredis 11 mai au Dock des Suds (2e), 18 mai à l'Espace Julien (6e) et 25 mai au théâtre du Gymnase (1er

ZOOM SUR ...
Le Centre de Marseille dispose
aussi de grandes superficies

Le marché disparate de ce
vaste secteur est
essentiellement composé
d'immeubles anciens ou
rénovés


Le cours Lieutaud, artère du centre de Marseille, avec ses immeubles classiques.

Le centre de Marseille est recherché par des acquéreurs qui investissent dans les studios avec vue sur la ville.




Un appartement de 143 m² s'est
dernièrement vendu pour
233.000 euros, sur le début du
cours Lieutaud, du coté de la Canebière.
Situé au quatrième étage
avec ascenseur, il dispose de
quatre chambres et d'un séjour
avec cuisine séparée.


Les rares constructions neuves
que l'on aperçoit sur le cours Lieutaud
ne «changent pas la physionomie
de l'habitat du Centre de
Marseille», indique Gilles Michel
de Chabannes, en considérant
que ce secteur s'étend du 1er au
6e arrondissement (Réformés, Canebière
vers Castellane en passant
par le cours Lieutaud). Il reste
essentiellement composé d'immeubles
anciens ou rénovés. Notamment
parce que la densité de
son architecture oblige le plus souvent
à « détruire si l'on veut
construire » et que face à l'attrait
pour le Sud de la cité, des biens situés
plus au Nord n'ont pas été
transformés de la même manière
qu'à Sainte-Anne, par exemple,
où d'anciennes propriétés bourgeoises
ont disparu au profit de
constructions neuves. Ce quartier
recèle ainsi des grandes superficies
à des prix attractifs. Comme
sur une partie du cours Lieutaud
(de la passerelle jusqu'à Castellane),
qui a d'ailleurs « longtemps
été l'un des secteurs les plus chics
de Marseille » et dispose d'immeubles
rénovés de style Haussmannien
avec des appartements de
plus de 100m², situés à l'étage de
bureaux (de 1750 à 2200¤ le m²).
Cependant le Centre est vaste et
son marché disparate. Lorsque
l'on redescend le cours Lieutaud
en direction de la Canebière, on ret
r o u v e d e s « t y p i q u e s
marseillais » (T2-3) dans les rues
perpendiculaires (de 1700¤ jusqu'à
2300¤ le m² pour ceux en bon
état). Tandis que vers les Réformés,
on aperçoit des appartements
assez bourgeois (environ
2400¤ le m²), souvent habités par
les commerçants locaux.
Et au milieu…le Vieux-port. Ce
secteur si convoité pour ses biens
avec vue, du côté de la mairie (jusqu'à
7000¤ le m²). Mais également
pour l'habitat varié que l'on trouve
sur l'autre versant, comme celui
de la rue Sainte ou du cours
Pierre-Puget. Situés à deux minutes
du port et des rues commerçantes,
ces artères sont particulièrement
prisées pour leur « cadre
de vie agréable » et le choix qu'elles
laissent entre du typique marseillais
et des 200m² avec vue sur
le cours d'Estienne-d'Orves (jusqu'à
3500¤ le m²). Elles dissimulent
aussi des hôtels particuliers
aux prestations insoupçonnables,
au même titre que les rues avoisinant
la Préfecture