LES DIRIGEANTS

Pourquoi pas
président de l'Olympique lyonnais, Jean-Michel Aulas, a suggéré que Fernand Duchaussoy et Frédéric Thiriez co-président la Fédération française de football dans l'attente de l'organisation des états généraux du football français. Dans un communiqué, il a également expliqué que «la démission de Jean-Pierre Escalettes ne doit pas occulter le fond de la situation actuelle qui n'est pas de son seul fait et qui pourrait d'ailleurs entraîner une démission collective du Conseil fédéral».

«Il s'agit d'un problème de gouvernance et d'organisation structurelle de l'équipe de France qui dépasse donc largement la question des hommes en place. Dans l'attente de l'organisation des états généraux du football français, il est important de rebâtir sur une synergie entre les amateurs et les professionnels», a ajouté M. Aulas, également vice-président de la LFP

Moi ni je l'achete encore moins ne le liis

jean mimi je me nourris du futur qui s'annonce meilleur
et ne vois plus l'interet de parler de ce passé si sombre


06/07/2010 -
Equipe de France Larqué sort un livre sur l'échec des Bleus
Jean-Michel Larqué, l'un des plus sévères opposants à Raymond Domenech depuis des années, n'a pas tardé pour tenter de faire son beurre
sur l'échec de l'équipe de France lors de la Coupe du monde 2010
. Le consultant de TF1 sort un livre mercredi sur les coulisses du naufrage des Bleus, intitulé Les Secrets du fiasco et publié aux éditions Le Toucan. Un ouvrage dans lequel l'ancien Vert revient sur les tristes épisodes qui ont émaillé le parcours des Bleus en Afrique du Sud et dans lequel il n'a pas manqué l'occasion de tacler l'ancien sélectionneur des Bleus.
à n'acheter sous aucun pretexte m^me soldé

dans la vie active à 48 ans on est vieux
le foot est un cas à part

61 et 67 ans de nouveaux contrats

Houllier enfonce Domenech 31/07/2010




Gérard Houllier, directeur technique national, n'apprécie guère Raymond Domenech (Photo Presse-Sports). Il le confirme dans l'interview qui accompagne son portrait ce samedi dans L'Equipe Mag : «C'est moi qui l'ai recruté à la DTN ! On avait des relations courtoises. Durant la période d'avant Mondial, j'ai essayé de le rencontrer, il n'est jamais venu me voir. Je lui en veux de ne pas m'avoir impliqué. Il a voulu travailler comme ça, qu'il assume.»

Il précise ensuite que s'il a soutenu le sélectionneur en 2008, après l'échec de l'Euro austro-suisse, c'était avant tout pour ne pas gêner la candidature de la France à l'Euro 2016. Il dit aussi que s'il avait eu autorité sur Domenech, «les choses se seraient passées autrement» et ajoute : «dans le bus, j'aurais trouvé les mots».
Ses sentiments envers Domenech amènent Houllier à la conclusion suivante : «Je lui en veux surtout d'avoir fait plonger tout le monde. Car, ce que l'on vit, ce n'est pas une crise de la FFF, mais une crise de l'équipe de France. Rendez vous compte, il n'a même pas dit "bravo" pour l'Euro 2016. Jamais un retour. Mais bon... Sur le plan humain, c'est un mec bien ; sur le plan professionnel, il aurait dû partir

apres le fiasco du vaccin contre la grippe
le fiasco des bleus
elle doit porter laa schoumoune

LE COUP DE MAIN
Zidane va aider Laurent Blanc

Zinedine Zidane est loin d’être insensible
aux problèmes de l’équipe de
France. Mieux, l’ancien génie du footballfrançais estime avoir un rôle à
jouer, au moment où son ami Laurent
Blanc prend la sélection en main après le fiasco sud-africain. "Je serailà avec Laurent Blanc, le 1er septembre.
J’espère que ça servira à quelquechose, car j’ai des choses à dire aux
joueurs", a déclaré Zizou, hier, enmarge du match de France 98 au profit
des sinistrés de la tempête Xynthiaet des intempéries dans le Var. Pour
l’anecdote, France 98 a remporté cetterencontre de gala face à une sélection européenne (4-2).

JLOUIS agacé BON JAI UNE CARTE A JOUER
EN EFFET

LORSQUE LES VIEUX TROUVENT DU BOULOT

Houllier retrouve le terrain
Gérard Houllier va bien quitter la DTN pour devenir le manager d'Aston Villa. La FFF et le club anglais l'ont confirmé.


en vert nous avons rajouté une note personnelle pleine d'espoir

Gérard Houllier de retour en Angleterre
C'était un secret de polichinelle. Gérard Houllier va bien quitter la Direction technique nationale pour devenir le manageur d'Aston Villa. Fernand Duchaussoy, 67 ans le président de la FFF, l'a expliqué mercredi sur RTL : «Je vais effectivement le laisser partir à Aston Villa car son salaire va plus que doubler ». Le club basé à Birmingham l'a confirmé dans la foulée sur son site internet. «Il a déjà coaché en Premier League et a un projet pour faire progresser notre équipe avec les joueurs déjà présents. Ces deux conditions étaient capitales. Il partage nos valeurs», a déclaré Paul Faulkner, directeur exécutif des Villans.

«C'est un ami de longue date pour lequel j'ai beaucoup d'admiration. C'est une décision tout à fait personnelle de Gérard Houllier qui sur les conseils de nico leblanc va travailler jusqu'à plus de 70 ans », a ajouté Duchaussoy, qui avait déjeuné avec le DTN à son retour de Sarajevo avec les Bleus. Selon Duchaussoy le repas est bien evidemment pris en charge par la fff cela va de soi e
, Gérard Houllier lui a dit «qu'il désirait vivre une nouvelle aventure du terrain. C'est sa motivation principale et que c'est une occasion unique de revivre les sensations du passé».

Gérard Houllier, 63 ans , va donc effectuer un retour dans le football anglais puisqu'il avait déjà dirigé Liverpool de 1998 à 2004. Il n'a plus entraîné une équipe depuis son départ de Lyon en 2007. Le nom de son successeur à la DTN n'est pas connu. «Je suis fier de rejoindre ce club historique. C'est dur de quitter la FFF mais je ne pouvais pas refuser l'approche d'un club dont j'ai toujours admiré la philosophie sur et en dehors du terrain», s'est enthousiasmé le technicien français.
d'apres nos dernieres infos monsieur escalette 75 ans pourrait devenir son adjoint

SOUS ENTENDU EN FRANCE Y A RIEN
SURTOUT LE FRIC N EST PAS LE MEME
IL A FAIM . ..LOSEILLE DONNE DE L"APPETIT
CES GENS LA ME DEGOUTENT
LE SENS DU PAYS NE CONNAISSENT PAS
LORSQUE LA PATRIE EST EN DANGER ..IL SE TIRE
CARTON ROUGE HOUILLER

Houllier : «Il y a tout ici»
Le désormais ex-DTN du football français a été présenté vendredi officiellement aux médias comme nouveau manager des Villans. Il «a faim».

Après l'officialisation, mercredi soir, de son arrivée pour trois saisons à Aston Villa, Gérard Houllier a été présenté vendredi à la presse anglaise. Mais, le désormais ex-DTN du football français ne sera pas sur le banc des Villans ce lundi (21h00) à Stoke City lors de la 4e journée de la Premier League. Il endossera pour la première fois son costume de manager général d'Aston Villa le samedi 18 septembre lors de la réception de Bolton (5e journée).

«Je suis heureux, je suis fier, j'ai faim, je suis en pleine santé et je ne peux pas attendre pour venir, a-t-il lâché comme premiers mots à Birmingham. Ils (les dirigeants de la FFF) pourraient me faire rester trois mois, mais je suis en train de négocier pour partir beaucoup plus tôt. J'ai reçu plusieurs offres, mais il me semblait qu'Aston Villa aime faire les choses en équipe. J'aime aussi travailler en équipe et je sens que nous allons avancer dans le même bateau, a-t-il poursuivi. Il y a tout ici : la même vision des choses, du talent et de la qualité, des supporters. C'est une nouvelle ère, en termes d'entraînement et d'habitudes, en termes de tout. Je suis pleinement conscient que la concurrence est plus dure maintenant qu'en 2004, mais c'est passionnant.»

FO PAS CHARRIER

LES RESULTATS DE L"EDF SONT LES CONSEQUENCES DU FIASCO INTERNE DE LA FFF ,DE SES MAUVAIS CHOIX
ET DES QUERELLES INTESTINES DE POUVOIR

RENE NE TE TROMPE PAS DE CIBLE ..MERCI

Crise à la FFF - René Charrier : "Les joueurs sont oubliés" jeudi 21 octobre 2010 à 17H58
Alors que les critiques s'accumulent à l'encontre de Fernand Duchaussoy, président par intérim de la FFF, René Charrier en a rajouté une couche ce jeudi après-midi. Membre du Conseil fédéral représentant la famille des joueurs, l'ex-gardien olympien (1974-77 et 1978-1980) regrette que ces derniers "ne soient pas associés aux décisions prises" à la Fédération.

"Il se passe des choses qui ne nous conviennent pas, regrette l'ancien international, joint cet après-midi par La Provence. On a le sentiment que les familles sont sous-représentées, ce qui n'était pas le cas auparavant. Nous ne sommes pas contents de la tournure des événements."

À une semaine des états généraux du football (28-29 octobre), souhaités par Nicolas Sarkozy après le fiasco de la Coupe du monde, le climat est chaotique du côté du 87, boulevard de Grenelle, siège de la Fédé. "Nous sommes sceptiques par rapport à ces états généraux, ajoute Charrier. On ne sait pas très bien ce qu'il va véritablement en sortir. Quand on refait l'histoire, on s'aperçoit que tout ça n'est que la conséquence de l'échec de l'équipe de France...

LORSQUE LES DIRIGEANTS NE SONT PAS A LA HAUTEUR
ON VOIT CE QUI SE PASSE

BACHELOT YADE ESCALETTE DOMENECH
CHACUN DANS UN GENRE DIFFERENT

Rama Yade a incité les Bleus à tenir leurs engagements en ce qui concerne leurs primes de la Coupe du monde, c'est à dire de les reverser au football amateur comme annoncé au départ. , la secrétaire d'Etat aux Sports est revenue sur les déclarations d'Alou Diarra ce mardi, qui annonçait que l'équipe de France souhaitait les offrir à des associations caritatives.

«Ils avaient pris des engagements et le président de la République avait été très clair à ce moment-là, en encourageant les joueurs à reverser ces primes de telle sorte que le football amateur puisse bénéficier de crédits et de subventions supplémentaires. Je pense que les choses vont se calmer. Les joueurs, dans ce que j'en entends, n'ont absolument pas l'intention de créer la moindre polémique. Je les invite à rencontrer la Fédération pour s'entendre et trouver les moyens d'aider le football amateur. C'est dommage que nous repartions sur des polémiques de ce genre, le foot français n'en a pas besoin au moment où il se reconstruit.

ELLE PARLE POUR RIEN DIRE

barça1 le 9 novembre à 22:25
En gros elle ne veut pas que ça soit versé à des oeuvres caritatives mais que ça reste à la fédé, sacré Rama.
Ok ils ont décidé de ne rien touché, mais ils ont le droit de décider où cet argent ira.

Nadinois le 9 novembre à 21:15
ça ne résoud pas le problème Rama !

fanom62 le 9 novembre à 19:40
c clair elle a rien a faire la elle sert a rien!!!

DEJA QU IL CONTINUAIT A SOUTENIR RAYMOND
IL A QUITTE LES BLEUS PALES POUR UN CHALLENGE SOIT DIT DISANT EXCITANT
LA IL EST DEVENU COMPLETEMENT VILAIN

1 janvier 2011
Pires: «Houllier pas en danger»
Apparu à cinq reprises sous ses nouvelles couleurs, Robert Pires livre son explication sur la mauvaise passe que traverse Aston Villa.

Robert Pires croit toujours que Gérard Houllier est l'homme de la situation à Aston Villa.
Apparu à cinq reprises sous ses nouvelles couleurs, Robert Pires livre son explication sur la mauvaise passe que traverse Aston Villa et donne les solutions pour s'en sortir.

«Robert Pires, comment expliquez-vous la mauvaise passe que traverse actuellement Aston Villa ?
Le club est en grands travaux. Avec l'arrivée de Gérard Houllier, il a fallu tout reconstruire. La mayonnaise Houllier ne prend pas - encore - et ça se voit sur le terrain. Nous ne gagnons plus et nous nous rapprochons dangereusement de la zone de relégation. Le coach doit refaire ses preuves.

Que manque-t-il à Gérard Houllier pour parvenir à relancer la machine ?
Il arrive au club avec une culture différente de celle de son prédécesseur : la culture française. Il faut que les joueurs s'adaptent au nouveau rythme de travail. Ils ont laissé s'installer une certaine routine et doivent reprendre l'habitude de s'entraîner plus longtemps, plus durement. Mais ça, ils ont du mal à l'accepter...

On sait les relations tendues entre Houllier et Dunn notamment. Peut-on parler de malaise dans le vestiaire ?
Je ne peux pas cacher qu'il y a une rupture avec certains joueurs
avec lesquels Gérard Houllier n'entretient pas les meilleures relations possibles. Cette mauvaise ambiance, on la ressent dans le vestiaire et je peux vous assurer que tout le monde est à cran.
Je sens de la démotivation, mais c'est normal étant donné la situation. Nous avons cinq mois pour nous réveiller et ne pas descendre. On n'a plus le choix !

Avec seulement trois victoires en quatorze rencontres, Gérard Houiller est-il en danger ?
Il est clair que le bilan comptable est faible et ne plaide pas en sa faveur. Néanmoins, je reste persuadé que Gérard n'est pas en danger. Il a le soutien du président et n'a donc pas de souci à se faire. Le club est en phase de reconstruction. Ça prendra juste un peu plus de temps que prévu.

Gérard Houllier peut-il en revanche perdre le soutien de ses propres joueurs?
Ce n'est pas dans notre intérêt de le lâcher. Il ne dépend que de nous, joueurs, de nous sortir de cette galère et de retrouver notre niveau. Si certains veulent lâcher le coach, c'est leur problème, mais ils n'auront rien compris !

Et dimanche Chelsea qui se profile à l'horizon...
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, c'est peut-être le moment pour affronter Chelsea. Les Blues viennent de perdre à Arsenal et puis nous, on connaît notre parcours. Cela peut je pense nous aider à jouer sans pression, à nous libérer pour enfin essayer de produire du jeu. Si on perd, les gens diront que c'est normal. Alors qu'à l'inverse, un succès pourrait pleinement contribuer à relancer la machine.»

CONSULTANT TU TE BALADES TU PEUX CRITIQUER A LOISIRS

ET EN PLUS TU TE GOINFRES EN SALAIRES
ALORS QUE DTN OU ENTRAINEUR
TU EN PRENDS PLEIN LA POIRE

TOUS LES JOURS

Le vice-président de la Fédération française de football (FFF), Christian Teinturier, s'est déplacé à Nantes, en ce début d'année, afin d'y rencontrer Raynald Denoueix
Le dirigeant de la Fédération voulait discuter formation avec l'ancien entraîneur des Canaris. C'était aussi une occasion de sonder l'intéressé au sujet du poste de directeur technique national (DTN), occupé provisoirement par François Blaquart. Mais cette possibilité ne semble toujours pas l'intéresser

Ligue d'Aquitaine : le président en minorité
Dix-huit des vingt-neuf membres du bureau directeur ont voté la défiance à Joël Léonard hier soir. Un avertissement sans frais.


Prolongations hier soir au siège de la LFA au Bouscat (Gironde) : entrés en comité de direction à 17 h 30, les membres en sont ressortis plus de quatre heures après…

C'est que se jouait une dure partie entre ces dirigeants à la tête de près de 100 000 licenciés. Il y a deux semaines, 18 des 29 membres du bureau (dont plusieurs présidents de districts) avaient quitté la salle pour protester contre l'annonce du prochain départ de Jean-Pierre Fage, le directeur général. « Départ volontaire et d'un commun accord » selon le président landais Joël Léonard, « licenciement déguisé » selon Jean-Michel Larqué, président du district des Pyrénées-Atlantiques et meneur de la fronde (il était excusé hier).



Par ce casus belli, les contestataires stigmatisaient une gestion jugée trop autocratique du président. Hier, 18 des 29 dirigeants présents ont voté la défiance au président (8 la confiance, 3 bulletins blancs) et, dans des proportions proches, au secrétaire général et au trésorier adjoint.

« Nous ne voulons pas que des têtes tombent », résumait après coup Jean-Pierre Dubédat, président du district Sauternes et Gaves, soulignant les qualités de « bosseur » du président Léonard. « Mais un changement d'attitude quant à la gouvernance de la LFA, c'est-à-dire que les élus n'aient pas l'impression de servir à rien. »

M. Léonard devrait donc rester en poste, au moins jusqu'aux élections de juin. Contacté hier soir, il a préféré s'accorder une nuit de réflexion avant de s'exprimer.

district de provence
fff
ligue auqitaine
le ral bol des dirigents

trop de corruptions partout
argent et pouvoir dans le foot

François Blaquart nommé Directeur technique national

Publié le 25.02.2011, 16h24


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Le président de la Fédération française de football, Fernand Duchaussoy, a annoncé la désignation au poste de Directeur technique national (DTN) de François Blaquart, qui assurait cette fonction par intérim depuis le mois d'octobre. "Nous avons mis un terme à l'intérim de François Blaquart", a déclaré M. Duchaussoy à l'issue de la réunion du Conseil fédéral, estimant que cette désignation était "un point important pour la stabilisation de la fédération". Parmi les axes de travail qu'il compte mettre en oeuvre, le DTN a évoqué la nécessité de "privilégier l'intelligence de jeu par rapport à la technique et surtout à l'aspect athlétique" et de mettre en valeur "le joueur-équipier plus que le talent pur

CHAQUE FOIS QUE QUELQU UN ARRIVE DANS UN BOULOT
IL PARLE COMME SI SES PREDECESSEURS S ETAIENT TOURNE LES POUCES
DS LE FOOT OU DANS LES ENTREPRISES
ALORS EN POLITIQUE N EN PARLONS PAS ... ILS PRETENDENT QUE RIEN AVAIT ETE FAIT

UNE BONNE TETE DE POLITICARD BLANCARD



Blaquart : «Un énorme chantier»
DTN par intérim, François Blaquart a été confirmé dans ses fonctions vendredi. Son principal chantier : la formation.

C'est désormais officiel : François Blaquart est le nouveau DTN du foot français. Celui qui occupait le poste par intérim depuis octobre dernier et le départ de Gérard Houllier à Aston Villa a été confirmé dans ses fonctions ce vendredi par Fernand Duchaussoy. Il s' est d'ailleurs exprimé dans les colonnes de Vestiaires, le magazine consacré aux éducateurs de football, sur l'épineux problème de la formation. «Après 98, tout le monde a dit que le foot français était magnifique, que tout allait bien. Résultat, on n'a pas bougé pendant six-huit ans.» Il est donc temps de s'attaquer au projet de réforme. «C'est un énorme chantier, dit-il. Depuis longtemps, nous souhaitons dédramatiser l'action de certification, qui sera différée, pour valoriser l'action de formation.» Actuellement, 19 000 éducateurs passent les brevets fédéraux. Le DTN espère en attirer 10 000 de plus mais il réclame de l'appui : «On a besoin aujourd'hui d'une réelle volonté politique pour appréhender la pratique différemment. Ce n'est pas à la DTN mais à l'ensemble des acteurs du football, de porter cette ambition sportive.» Un message clairement adressé à toutes les composantes de la FFF. De quoi donner raison au président de la FFF, Fernand Duchaussoy, qui estime que «c'est un vrai soldat et un vrai professionnel de la technique», qui a précisé que la décision de le nommer avait été prise «à l'unanimité du Conseil fédéral moins une abstention

HENRI EMILE
LE RETOUR

William Mitrano : « Noël Le Graët ferait un bon président »
Football vendredi 01 avril 2011
À la veille de la mise en place de l’équipe dirigeante à la FFF, William Mitrano exprime son attirance de voir Noël Le Graët (photo) président de la « Fédé »
OUEST FRANCE
Dans une interview accordée à nos confrères de La Dépêche du Midi, ce matin, William Mitrano, ancien président de la ligue Midi-Pyrénnées, donne son avis sur le futur président de la Fédération française de football, à la veille de la mise en place de la nouvelle équipe dirigeante de la FFF. Entre Fernand Duchaussoy et Noël Le Graët, celui-ci préfère le président du club En Avant de Guingamp : « J’ai eu Noël Le Graët en face de moi, à l’époque (en 2008 N.D.L.R.), dans des discussions âpres. Mais il ferait un bon président, oui, loyal et compétent, et il saurait faire l’équilibre entre nos deux mondes (amateurs et pros N.D.L.R.), lui… »

● Barbet à la tête de la LFA. Bernard Barbet a été élu hier président
de la Ligue de football amateur, qu’il dirigeait par intérim
depuis décembre dernier

Le président de la Fédération française de football (FFF) Fernand Duchaussoy s'est réjoui du vote de la réforme de la gouvernance samedi.



« Cette assemblée est-elle allée au-delà de vos espérances ?
J'ai toujours été inquiet, ceux qui étaient contre la réforme se sont beaucoup exprimés. J'ai beaucoup travaillé, beaucoup de personnes ont circulé dans les ligues pour expliquer la réforme et sa philosophie. On était arrivé au bout d'un processus, même s'il y a eu des victoires avec ce système, on a été champions du monde et d'Europe. Mais la gouvernance était à revoir, on a déconnecté l'exécutif du contrôle: on n'a pas inventé l'eau chaude, mais on a eu le courage politique de se rénover

Vous sentez-vous conforté, et avec l'envie de continuer ?
Conforté peut-être, mais surtout réconforté. Il y a la confiance de l'assemblée fédérale, du monde professionnel et amateur. J'ai été le président porteur de cette réforme, même si beaucoup ont travaillé dans l'ombre. Ca me donne envie de continuer jusqu'au 18 juin (date de la prochaine élection du président, ndlr). Il est indispensable d'avoir une équipe, personnellement je n'ai contacté personne. Je n'attendrai pas le 17 mai pour me prononcer (date limite pour le dépôt des candidatures, ndlr), ce sera clair en avril. Aujourd'hui je pars de zéro, certains ont probablement un peu d'avance sur moi. Moi, je me suis consacré corps et âme à cette réforme

Qu'est-ce qui pourrait vous pousser à ne pas être candidat ?
Le sentiment d'avoir fait mon travail et tracé la voie pour une nouvelle façon de fonctionner. Ma volonté était d'arriver aujourd'hui, c'est une étape fondamentale dans mon parcours associatif

Qu'est-ce qui pourrait vous pousser à être candidat ?

Cette réforme n'est pas encore entrée en application. Il faut des ajustements et la terminer fin 2012. Cela peut être extrêmement motivant de terminer la réforme
Noël Le Graët, qui pourrait être candidat, serait-il un bon président ?
Ce n'est pas à moi de le dire, mais aux électeurs. Il y a plein de gens capables de faire de bons présidents. Avant d'être désigné comme président intérimaire, j'ai vu dans la presse plein de noms, Guy Roux, Campora, Tapie, Benoît XVI (rires). J'espère avoir fait mon boulot quand même. Noël peut faire un bon président de la Fédération, bien sûr, ça ne veut pas dire que je ne peux pas en faire un bon

La campagne électorale ne risque-t-elle pas de diviser la FFF ?
Je l'espère sereine et fourmillant d'idées. On a beaucoup trop parlé de la gouvernance, qui n'est pas une préoccupation majeure de ceux qui prennent une licence pour jouer au foot. C'est l'image du foot qui est importante, on essaie de la restaurer à travers cette équipe de France qui a une autre allure qu'il y a quelques mois. La campagne électorale, c'est le risque de la démocratie. Si c'est pour présenter des idées, pas de problème, si c'est des affrontements malsains, ça peut poser un problème».