LES DIRIGEANTS

Dans un entretien avec Sud-Ouest, Jean Tigana s'en prend une nouvelle fois à Michel Platini. « Je suis fâché avec lui, dit-il, parce que je n'admets pas qu'il ait pu soutenir la candidature de Domenech en 2004, alors qu'il m'avait toujours dit qu'il le trouvait mauvais. Mais voilà, Platini est devenu un politique... »

Rappelons que Michel Platini expliquait récemment
qu'il avait soutenu Tigana en 2004...ce que l'intéressé ne semble donc pas croire un seul instant !

la FFF
Le successeur d'Alain Resplandy-Bernard est connu. Ce mercredi, Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football (FFF), et le comité exécutif de la FFF ont validé la nomination d'Alain Christnacht au poste de directeur général de la Fédération. Il prendra ses fonctions le 1er septembre prochain.

Âgé de 64 ans, Alain Christnachtn est conseiller d'Etat depuis 2002. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris et licencié en sciences économiques, ancien élève de l'Ecole Nationale d'Administration (1973), il a occupé plusieurs postes de sous-préfet (Isère, Midi-Pyrénées ou encore Nouvelle-Calédonie) et des fonctions aux ministères de l'Economie et des Finances, de l'Outre-Mer, de la Défense. Il a fait la connaissance de Noël Le Graët lorsqu'il était préfet des Côtes-d'Armor (1994 à 1997) et que l'actuel président FFF était maire de Guingamp.

Les regrets habitaient le camp français, hier soir, au moment de
revenir sur l’élimination en demi-finale face aux Américaines. Des
regrets surtout attisés par la prestation globale, les Bleues ayant
davantage possédé le ballon (55%contre 45%) et plus tiré au but
que leurs adversaires (25 frappes dont 17 cadrées pour la France ;
11 dont 6 cadrées pour les États-Unis). La Suédoise Pia Sundhage,
à la tête de la sélection américaine, n’a pas manqué de souligner
au micro d’Eurosport que "la France a très bien joué. Nous avons
gagné ce match avec le coeur, car par moments, les jambes étaient
lourdes".
Mais elles ne l’étaient pas suffisamment pour empêcher le rouleau
compresseur américain de se mettre en marche. "Nous avons
eu notre chance et, à l’exception d’une entame difficile, nous
avons bien joué. Je suis satisfait du jeu produit. Mais ces Américaines
sont tellement puissantes ! Passez-moi l’expression, mais ce
sont des monstres, des Goldorak. Après le troisième but, nous
avons été obligés d’aller de l’avant. Les filles ont fait ce qu’elles
ont pu", a expliqué le patron des Bleues, Bruno Bini.
❚ Bompastor: "Terminer en beauté"
L’expérimentée Sonia Bompastor (132 sélections) qui, par son
but, a permis aux siennes d’entretenir l’espoir, voit déjà plus loin.
"Après ce match, il y a des regrets, de la déception, d’autant que
sur l’ensemble du match, nous avons produit du beau football.
Mais les USA se sont montrés plus réalistes que nous. Après avoir
égalisé à 1-1, nous nous sommes procurés d’autres occasions et je
croyais vraiment que nous allions prendre le dessus mentalement.
Et puis, ce troisième but nous tue… J’espère que nous aurons notre
revanche. Il y avait la place. En tout cas, nous avons montré
que l’on pouvait rivaliser avec les meilleures. Nous allons vite
nous reconcentrer car il nous reste encore le match pour la troisième
place. Nous voulons terminer cette coupe du monde en beauté."
"On ne lâchera rien, ce n’est pas dans nos habitudes", promet
Bruno Bini.

BINI PLUS TETU QU UNE MULE TU MEURS


CM (F)
Bini : «Une vraie cote de sympathie»

Bruno Bini, le sélectionneur de l'équipe de France féminine, a jugé que la popularité des Bleues était «une sorte de phénomène sociologique» et, en dépit de la défaite face à la Suède (1-2) dans le match pour la 3e place, a quitté la conférence de presse en assurant: «la vie est belle !». (Photo Reuters)

«Bruno, comment expliquer cette défaite ?
On a essayé encore une fois de faire du jeu, mais il y a des choses qu'on ne maîtrise pas. C'était bien jusqu'à ce que le public se comporte comme un public de garçons. Sonia Bompastor ne méritait vraiment pas ça. Ca a déstabilisé l'équipe, pas Sonia, qui a été admirable comme d'habitude. Sonia c'est la grande classe. Mais ce n'est pas le foot que j'aime.

Il y a eu des faits de jeu contraires...
Quand sur la même action vous perdez deux joueuses, c'est compliqué. On perd 2-1, alors que globalement on fait le jeu. Il y a un corner en bois. Le but est sensationnel mais bon... C'est le foot.

«21 filles ordinaires avec un coach ordinaire»

Le foot féminin français va-t-il décoller ?
Ca bouge parce que les médias ont bougé. On a eu une vraie cote de sympathie, les gens se sont identifiés à cette équipe. C'est une sorte de phénomène sociologique. Dans une société où les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres, où il n'y a pas beaucoup de boulot, les Français ont vu 21 filles simples se mettre minables jusqu'au bout. Ils ont vu 21 filles ordinaires avec un coach ordinaire, ça leur a bien plu.

Qu'a-t-il manqué à votre équipe ?
On finit sur deux défaites où il y avait la place. C'est ça l'expérience, il faut payer pour voir. Mais c'est aussi qu'elles étaient cuites. Elles ont joué avec beaucoup de coeur mais à un moment c'est un problème de fraîcheur. Il faut retenir la qualification pour les JO. Si l'Allemagne avait été en finale, ce match aurait été décisif pour la qualification pour les JO et tu joues tout sur un corner en bois... Je me serais pendu.

L'avenir est prometteur...
On a emmagasiné de l'expérience, on va continuer à bosser.
Mais rien ni personne ne pourra m'enlever le bonheur que j'ai eu pendant cette compétition
. Et rien ni personne ne pourra me faire changer d'avis sur les choix que j'ai faits
. Rien ni personne ne m'empêchera de travailler dans la sérénité.


C'était bien mais ça ne finit pas bien. Mais dans un an il y a les JO. Je vois le président (de la FFF Noël Le Graët, ndlr) mardi. On va voir comment faire encore bouger les choses.»

Comme cela était évoqué il y a une dizaine de jours, François Blaquart, le directeur technique national, devrait être maintenu à son poste. Le DTN, au coeur de la polémique dans l'affaire des quotas, sera reçu par Noël le Graët mardi. Le président de la FFF va le confirmer dans ses fonctions, avec néanmoins quelques aménagements. Blaquart ne s'occuperait plus que de la politique de formation fédérale, l'ensemble des sélections autres que l'équipe de France A étant supervisé par un cadre de la DTN, qui sera soit Philippe Bergeroo soit Francis Smerecki.

Mombaerts aux anges 14/11/2011 à 23:50

Bilan comptable, jeu proposé, individualités... Erick Mombaerts a dit lundi sa satisfaction après le succès des Bleuets (2-0) sur la Slovaquie.

Erick Mombaerts peut lever le pouce : ses Bleuets sont pour l'instant reçus cinq sur cinq.
Le sélectionneur de l'équipe de France Espoirs Erick Mombaerts, s'est dit « très satisfait » de la victoire acquise lundi contre la Slovaquie (2-0) en qualifications pour l'Euro 2013 ( groupe 9 ). Il a souligné que ce nouveau succès met les Bleuets « pas loin des barrages avec 15 points en cinq matches et une différence de buts très positive » (douze buts inscrits, aucun concédé). Seul bémol, sans conséquence : « On peut juste regretter ce soir qu'on ait un peu manqué de fraîcheur physique. » Le technicien a également relevé la prestation de ses défenseurs centraux, Mangala et Varane, « deux garçons exceptionnels » et buteurs à Angers . « Ils jouent dans deux grands clubs. Mangala est quasiment titulaire à Porto, en tout cas il aligne les très bonnes performances. Ils sont tous les deux très jeunes, quand on pense que Raphaël (Varane, joueur du Real Madrid) a 18 ans... Ce sont deux garçons exceptionnels. »

«Garder le contact jusqu'en juin»
Les Bleuets se retrouveront pour un match amical en février puis à partir de juin pour les trois derniers matches qualificatifs (Lettonie, Kazakhstan, Slovaquie) avant les (très probables) barrages en octobre 2012 pour l'accession à la phase finale de l'Euro 2013 en Israël. Comment gérer ce délai ? « Je vais aller voir (les joueurs) en club. On va essayer de garder le contact, de leur fixer des objectifs , détaille Mombaerts. C'est important qu'ils jouent en club. Mon rôle, c'est de les accompagner, d'aller les voir, de les encourager, afin qu'ils gardent le contact avec la sélection et que sous le maillot de leur club il y ait toujours celui de l'équipe nationale

Une note accablante pour le staff de l'EDFLe 18/01/2012 | Mis à jour le 18/01/2012 10:57:00


Marino Faccioli directeur administratif de l'équipe de France, est l'auteur du mail.
ON s'est procuré une note interne rédigée par le staff des Bleus visant à éviter aux mutins de Knysna une sanction trop lourde.

Nouvel épisode du feuilleton Knysna. Alors qu'on le croyait définitivement clos après la qualification pour l'Euro 2012, L'E révèle l'existence d'une note interne de la FFF datant du 19 août 2010 et détaillant les moyens à employer pour que les «mutins» échappent aux sanctions. Dans un mail, envoyé deux jours après l'énonciation des sanctions et adressé au président de l'époque Fernand Duchaussoy et au directeur général Jacques Lambert, Marino Faccioli (directeur administratif de l'équipe de France) évoque trois axes pour réduire les sentences prononcées.

D'abord, il préconise que les joueurs concernés - Anelka (18 matches), Evra (5), Ribéry (3) et Toulalan (1) - « fassent appel dès le 23 août 2010 » pour reporter la sanction vers les matches amicaux de novembre et février et réduire ainsi le préjudice pour l'équipe, « que Laurent Blanc ne les sélectionne pas pour les deux matches de septembre (Biélorussie et Bosnie) » et que « la commission d'appel ne les convoque pas avant le match de la Roumanie ». Ensuite, il considère que « le rapport des instructeurs désignés par la FFF a été extrait du rapport de la commission "spéciale" dont l'identité juridique n'existe pas dans le règlement disciplinaire ». Enfin, il demande à « des personnalités importantes du football (exemple : Aimé Jacquet, Michel Hidalgo, Guy Roux) d'exprimer que l'intérêt supérieur du football français n'a pas été respecté puisque l'équipe de France devra se priver de certains cadres pour défendre ses chances de qualification à l'Euro 2012 » et que les joueurs concernés « déclarent être disposés à faire leur mea culpa auprès du monde amateur en acceptant de faire des travaux d'intérêt général ».

Jacquet, Roux et Hidalgo ont bien publié « une lettre ouverte » pour que les sanctions soient levées mais n'ont pas été entendus par le conseil fédéral. Duchaussoy assure lui être resté sourd aux demandes de Faccioli et « avoir expliqué à Laurent (Blanc) le fonctionnement de la fédération pendant une heure. Il a très bien compris que cela ne marchait pas comme ça et n'est jamais revenu à la charge ». Quand à Lambert : « J'étais plutôt favorable à des sanctions dures. La note était conforme à ce que le sélectionneur avait exprimé. Il souhaitait passer à autre chose. Ce n'est pas si grave que ça ».

Rédaction

Et voilà que l'on reparle de Knysna...

Enfermé à double-tour dans l'un des tiroirs de la Fédération Française de Football, le dossier concernant les mutins de Knysna est réapparu mercredi sur le devant de la scène après que L'Equipe se soit procuré une note interne visant à réduire les sanctions de certains joueurs de l'équipe tricolore. Un plan qui est resté sans suite mais qui pourrait fragiliser un peu plus le statut de Laurent Blanc.

Laurent Blanc a certainement connu des débuts d'année beaucoup plus enchanteurs. Déjà déstabilisé par Noël Le Graët, qui refuse de prolonger son contrat d'ici le prochain Championnat d'Europe, le sélectionneur de l'équipe de France a revu surgir de derrière les fagots un dossier qu'il aurait bien voulu garder secret. A peine nommé à la tête de la sélection tricolore, Blanc et son staff auraient fait pression sur la Fédération Française de Football et l'ancien président Fernand Duchaussoy pour que les "mutins de Knysna" (Evra, Ribéry, Toulalan), "investigateurs de la fameuse grève du bus", soient moins durement sanctionnés. L'Equipe s'est en effet procuré une note interne de la FFF détaillant les stratagèmes pour réduire les sentences prononcées.

"Trois axes d'action" sont ainsi évoqués. Le premier préconisait la "confusion des peines", le directeur administratif Marino Faccioli voulant s'appuyer sur un tour de passe-passe juridique pour espérer diminuer l'importance de la sanction. Le deuxième volet de ce plan de bataille reposait sur la "communication externe" et demandait notamment l'aide de figures du football français (Jacquet, Hidalgo, Roux) pour critiquer ces suspensions. Ce que les intéressés ont fait en écrivant une "lettre ouverte" au nom de l'intérêt supérieur du football français. Enfin, le dernier point de cette méthode peu scrupuleuse consistait à ce que les joueurs concernés, "fassent appel dès le 23 août 2010", pour reporter la sanction vers les matches amicaux de novembre et février. Plutôt bien vu !

Sauf que l'état-major de la FFF n'a pas suivi les arguments déployés par les nouveaux responsables de l'équipe de France et que les sanctions ont été maintenues. "Après cette note, j'ai expliqué à Blanc le fonctionnement de la Fédération pendant une heure, a affirmé Duchaussoy, qui est resté sourd face aux volontés du successeur de Raymond Domenech. Il a très bien compris que cela ne marchait pas comme ça. Ensuite, il n'est jamais revenu à la charge sur ce dossier. Cela n'a eu aucune influence sur les décisions prises." Peut-être, mais voilà que ce nouvel épisode ne va pas vraiment arranger les affaires de Laurent Blanc. Ni celles du football français.


Ils sont réellement aussi bons que nos politiques !

18/01/2012 - 19:02


EdF-Lizarazu:
"Le Graët prend un risque"


Bixente Lizarazu a réagi ce mercredi sur le site internet du Parisien concernant la reconduction ou non de Laurent Blanc à la tête de l'équipe de France. "Je ne peux pas dire que la prise de position de Noël Le Graët me surprenne vraiment. Depuis son élection à la présidence de la Fédération française de football, il a voulu montrer qu'il est le patron. Et je ne vois pas comment on pourrait le lui reprocher alors que ses prédécesseurs ne prenaient pas toujours leurs responsabilités. Maintenant, Noël Le Graët prend le risque de perdre Laurent Blanc. Car Laurent aura forcément des offres de clubs, français ou étrangers, avec un engagement sur le moyen terme de deux ou trois ans. On va ensuite s'interroger pour savoir si cette situation peut nuire au comportement des Bleus pendant l'Euro." Lundi soir sur l'EquipeTV, le patron de la Fédération française de football (FFF), Noel Le Graët, a rappelé que le contrat de Laurent Blanc sera négocié après l'Euro.

Bah, s'il devait nous quitter pour une destination moins tri colores, je pense que La squadra de France ne tournerait pas plus mal...
Je parle foot Champagne, petits fours, et jolies hotesses !

Il en reste ?

domenico belli a écrit:Et voilà que l'on reparle de Knysna...

Enfermé à double-tour dans l'un des tiroirs de la Fédération Française de Football, le dossier concernant les mutins de Knysna est réapparu mercredi sur le devant de la scène après que L'Equipe se soit procuré une note interne visant à réduire les sanctions de certains joueurs de l'équipe tricolore. Un plan qui est resté sans suite mais qui pourrait fragiliser un peu plus le statut de Laurent Blanc.

Laurent Blanc a certainement connu des débuts d'année beaucoup plus enchanteurs. Déjà déstabilisé par Noël Le Graët, qui refuse de prolonger son contrat d'ici le prochain Championnat d'Europe, le sélectionneur de l'équipe de France a revu surgir de derrière les fagots un dossier qu'il aurait bien voulu garder secret. A peine nommé à la tête de la sélection tricolore, Blanc et son staff auraient fait pression sur la Fédération Française de Football et l'ancien président Fernand Duchaussoy pour que les "mutins de Knysna" (Evra, Ribéry, Toulalan), "investigateurs de la fameuse grève du bus", soient moins durement sanctionnés. L'Equipe s'est en effet procuré une note interne de la FFF détaillant les stratagèmes pour réduire les sentences prononcées.

"Trois axes d'action" sont ainsi évoqués. Le premier préconisait la "confusion des peines", le directeur administratif Marino Faccioli voulant s'appuyer sur un tour de passe-passe juridique pour espérer diminuer l'importance de la sanction. Le deuxième volet de ce plan de bataille reposait sur la "communication externe" et demandait notamment l'aide de figures du football français (Jacquet, Hidalgo, Roux) pour critiquer ces suspensions. Ce que les intéressés ont fait en écrivant une "lettre ouverte" au nom de l'intérêt supérieur du football français. Enfin, le dernier point de cette méthode peu scrupuleuse consistait à ce que les joueurs concernés, "fassent appel dès le 23 août 2010", pour reporter la sanction vers les matches amicaux de novembre et février. Plutôt bien vu !

Sauf que l'état-major de la FFF n'a pas suivi les arguments déployés par les nouveaux responsables de l'équipe de France et que les sanctions ont été maintenues. "Après cette note, j'ai expliqué à Blanc le fonctionnement de la Fédération pendant une heure, a affirmé Duchaussoy, qui est resté sourd face aux volontés du successeur de Raymond Domenech. Il a très bien compris que cela ne marchait pas comme ça. Ensuite, il n'est jamais revenu à la charge sur ce dossier. Cela n'a eu aucune influence sur les décisions prises." Peut-être, mais voilà que ce nouvel épisode ne va pas vraiment arranger les affaires de Laurent Blanc. Ni celles du football français.


Ils sont réellement aussi bons que nos politiques !

c'est pas aussi bon que de la politique
c'est REELLEMENT DE LA POLITIQUE AVEC DU POUVOIR DE L"ARGENT DES AVANTAGES
ET D AILLEURS ILS RESTENT SOURDS A TOUTE AFFAIRE QUI POURRAIT DESTABILISER LEUR FONDATION

EXEMPLE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION
ON NE TOUCHE A RIEN DE PEUR QUE L"EDIFICE S 'EBRANLE ...............car la soupe est GRASSE

01/02/2012 - 08:13
FFF: Gaëtane Thiney intègre la DTN
Gaëthane Thiney, l'une des cadres de l'équipe de France féminine de Bruno Bini, a intégré mardi la Direction technique nationale, annonce la FFF (Fédération française de football). L'attaquante de Juvisy sera, à 26 ans, "chargée du développement du football féminin en milieu scolaire". En parallèle, elle continuera évidemment de mener de front sa vie sportive puisqu'elle figure notamment dans la liste des joueuses retenues chez les Bleues pour affronter les Pays-Bas, en match amical, le 12 février prochain à Nîmes.

01/02/2012 - 11:39
Espoirs Le staff entre la Belgique et la France
Le 28 février prochain, l'équipe de France Espoirs accueille, à Cannes, l'Italie en match amical. Avant cette rencontre, le staff technique des Bleuets en profite pour observer un maximum de joueurs sélectionnables. Ainsi, ce mercredi, Erick Mombaerts, le sélectionneur national, espère voir Steven-Joseph Monrose à l'oeuvre pour le match de Coupe de Belgique entre Mons et Courtrai. Samedi, Sylvain Matrisciano, préparateur des gardiens de but, assistera à la rencontre de la 22e journée de Ligue 1 entre Dijon et Valenciennes, alors que dimanche, il supervisera l'opposition entre Sochaux et le Losc Lille Métropole. Michel Robles, l'un des adjoints de Mombaerts, sera également sur le pont dimanche, pour assister à Caen-Auxerre en Normandie.

a fusionner

DÉLICAT DEPUIS 20 ANS, SUR LES SIX DERNIERS SÉLECTIONNEURS, SEUL JACQUES SANTINIACOMMENCÉ PAR UNE VICTOIRE
Retour sur leur premier match officiel en compétition

Tâche délicate pour Didier Deschamps
à l’occasion de son premier
match officiel à la tête des Bleus,
après le nul sans saveur contre
l’Uruguay (0-0).
On le constate ci-dessous: depuis
vingt ans, sur ses six prédécesseurs,
un seul a débuté victorieusement. Et
si on remonte plus loin, on voit que
Michel Platini (19 novembre 1988,
qualif du Mondial 90, défaite en Yougoslavie
3-2), Michel Hidalgo (9 octobre
76, qualif du Mondial 78, nul en
Bulgarie 2-2), Stefan Kovacs (12 octobre
74, qualif de l’Euro 76, défaite en
Belgique 2-1) ou Henri Guérin
(25 avril 1964, qualif à l’Euro 64, revers
contre la Hongrie 1-3) n’ont pas
fait mieux.
Georges Boulogne avait commencé
par un succès en Norvège (3-1 le
10 septembre 69), mais il avait pris
l’équipe en cours et la France, déjà
battue deux fois, était éliminée.
Dans l’ère moderne, avant Santini,
seul Henri Michel a démarré victorieusement
(13 octobre 1984, qualif
du Mondial 86, victoire au Luxembourg
4-0). Auparavant, quand la
France jouait moins de matches,
Louis Dugauguez (17 septembre 67,
qualif de l’Euro 68, succès 4-1 en Pologne,
pour l’autre) avait bien commencé,
lui

Football: Guy Ferrier fait sa tournée Publié le vendredi 30 novembre 2012 à 21H19



Le sélectionneur de l'équipe de France féminine U17 de football championne du monde, Guy Ferrier, est de passage dans les Alpes du Sud ce week-end. Demain après-midi, il assistera aux assemblées générales du District des Alpes et de l'Amicale des éducateurs du football alpin à Sisteron. Ami avec Michel Berbèche (cadre technique départemental), qui faisait partie de son staff en Azerbaïdjan, il n'a pas hésité à venir visiter le District 04-05. Cet après-midi, La Provence a pu rencontrer en exclusivité le champion du monde au Centre Regain à Sainte-Tulle. Le technicien de 61 ans a confié cette expérience mondiale avec "ses" filles et sa vision du football féminin : "ça joue sans calculer à préserver un résultat. Cela n'empèche pas la performance et un suspense fantastique." Pour lui, il faut faire tomber les barrières pour que l'essor féminin se poursuive : "On doit faire comprendre que le football est un plaisir, que ce n'est pas déshonorant pour une fille de taper dans un ballon".