CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF

Foot - Bleus :
«Pas en victimes»S'il ne veut «pas galvauder» le match amical face au Japon le 12 octobre prochain, Didier Deschamps a conscience que la rencontre la plus importante sera celle face à l'Espagne quatre jours plus tard. «Il faut qu'on ait l'objectif de leur poser des problèmes», insiste-t-il.Pour Deschamps, l'équipe de France est capable de poser des problèmes à l'Espagne.

«Didier Deschamps, comment gérer les temps de jeu des uns et des autres face au Japon alors que se profile un déplacement important en Espagne, quatre jours plus tard ?
C'est une bonne réflexion que j'ai depuis un moment. Entre aujourd'hui (jeudi) et lundi, jour du rassemblement, certains joueurs auront joué trois matches dans la semaine. On fera un point à ce moment-là. Ce match contre le Japon, je ne veux pas le galvauder et le prendre par dessus la jambe, mais le match décisif, c'est l'Espagne.

Cette équipe d'Espagne vous semble-t-elle plus prenable qu'à une certaine époque ?
Le constat est là : personne n'a réalisé ce qu'ils ont réalisé. Aujourd'hui, c'est la meilleure nation européenne et mondiale. Même s'il leur manque des joueurs (Puyol notamment), même s'ils ont changé pendant l'Euro en jouant sans véritable attaquant axial, ils ont été efficaces, et ils ont gagné. Je suis convaincu qu'on va rencontrer une équipe de très haut niveau, qui a des automatismes. Mais on ne va pas aller là-bas en victimes, en pensant qu'on ne peut pas réaliser quelque chose de bien.

Comment faire pour la contrarier ?
Il est un peu tôt pour parler de stratégie, mais il faudra limiter l'influence de certains joueurs et leur capacité à avoir le ballon. Ça ne sert à rien de lutter pour la possession de balle, mais il ne faudra pas faire que défendre. Il faut qu'on ait l'objectif de leur poser des problèmes. Il faudra être très bons dans l'utilisation du ballon.
«La valeur de Lloris est là. Attendons de voir ce qu'il se passera»Karim Benzema est en grande forme en ce moment. C'est une bonne nouvelle, non ?
Au moins, vous ne me poserez plus de questions là-dessus (rires). Mais bon, vous en trouverez d'autres... Moi, je n'avais aucune inquiétude. Il y a des périodes où les attaquants sont moins efficaces. Hier (mercredi), il a marqué un but magnifique (contre l'Ajax). C'est important pour sa confiance. Karim fait partie des meilleurs attaquants européens. Quand il est titulaire ou quand il entre en jeu, il apporte toujours quelque chose. L'équipe de France a besoin de ses qualités et de son talent.

Ferait-il un bon capitaine ?
Son niveau footballistique ne se discute pas. C'est une forme de leader par rapport à ce qu'il représente sur le terrain. Il a fait beaucoup d'efforts, il est exemplaire dans la préparation et de la vie de groupe, même si ce n'est pas toujours l'image qu'on lui a accolé. Voilà, aujourd'hui, Hugo (Lloris) est un bon capitaine. Il peut continuer de l'être ce qui ne veut pas dire que je ne peux pas choisir ponctuellement ou sur une période plus longue un joueur de champ.

Depuis votre succès face à la Biélorussie, Lloris n'a joué qu'un seul match avec Tottenham. Est-ce un problème ?
Il en reste un ce soir, et un autre dimanche. Pourquoi ne pourrait-il pas jouer les deux ? Je ne veux pas me poser un problème là où il n'en existe pas. La valeur d'Hugo, elle est là. Attendons de voir ce qu'il se passera.»

Équipe de France de Football
Les premières photos des Bleus à Clairefontaine.

Arrivée à Clairefontaine
Les Bleus ont pris leurs quartiers au Chateau de Clairefontaine. Objectif bien préparer le match amical de vendredi face au Japon pour arriver au top mardi 16 en espagne pour LE match de ce stage.

Mondial. Octobre rouge pour les Bleus
Les Tricolores pensent moins au match amical contre le Japon, qu'à celui, officiel contre l'Espagne.

Benzema et Ribéry, les hommes en forme. /

L'équipe de France a débuté hier à Clairefontaine son stage préparatoire avec en point de mire le premier grand rendez-vous de l'ère Deschamps en Espagne, mardi prochain, choc au sommet et surtout test ultime pour les Bleus dans les qualifications au Mondial-2014.

La tête à Madrid
Malgré un amical programmé contre le Japon, vendredi au Stade de France, tous les esprits sont tournés vers la rencontre face aux champions du monde et d'Europe espagnols. Invaincus depuis la prise de fonctions de Didier Deschamps et en tête de leur poule avec deux succès en deux rencontres, les Bleus sauront dans dix jours s'ils peuvent raisonnablement espérer se qualifier directement pour la Coupe du Monde ou s'ils devront se contenter de rester dans l'ombre des Espagnols et en passer par les barrages.

Quatre mois après l'élimination en quart de finale de l'Euro-2012 par ces mêmes Espagnols, Deschamps aura aussi l'occasion de marquer sa différence avec son prédécesseur Laurent Blanc, qui avait lamentablement échoué sur le plan tactique. Cette nouvelle équipe de France est-elle déjà capable d'un exploit retentissant ou possède-t-elle les mêmes limites que la bande de Blanc ? La préparation du voyage à Madrid sera en tout cas au cœur du stage avec le risque de voir la petite mise en jambes contre les Japonais se transformer en une aimable partie d'entraînement pour éviter une blessure mal-venue.

Eclaircie chez les Bleus
Le week-end des internationaux français a dû rassurer Deschamps : l'état de ses troupes n'est pas aussi catastrophique que redouté. Le capitaine Lloris a enfin disputé un match de championnat d'Angleterre avec Tottenham, Giroud a ouvert son compteur-buts avec Arsenal en Premier League alors que Benzema a offert une passe décisive à Ronaldo lors du clasico. Même Evra y est allé de son but avec MU à Newcastle.

Mais la meilleure nouvelle provient de Munich où Ribéry n'en finit pas de flamber. Auteur d'un doublé en Bundesliga, le Bavarois, meilleur Bleu contre le Belarus, est de nouveau redevenu l'arme offensive N.1 de l'équipe de France.

Un milieu qui fait peur
Privé de Mavuba et de Diaby, Didier Deschamps a dû enregistrer une nouvelle défection dimanche avec Lassana Diarra, touché au dos et remplacé par Chantôme. Autant dire que son milieu sera particulièrement amoindri pour défier les stars espagnoles, seul Cabaye pouvant se prévaloir d'une petite expérience internationale (18 sélections), au contraire de Capoue (2), Matuidi (6), Gonalons (3), Sissoko (6) et Chantôme (1re convocation).

Le bon moment pour affronter l'Espagne ?
Cette équipe d'Espagne est-elle prenable ? Vu le fossé qui sépare les deux nations et l'état du milieu de terrain français, les Bleus n'ont quasiment aucune chance de ramener un bon résultat de Madrid. Si l'effectif de l'Espagne a de quoi faire frémir, quelques signes peuvent toutefois donner des idées aux Français. Les joueurs de Vicente Del Bosque se sont faits peur en septembre avec une victoire à l'arrachée contre la Géorgie (1-0). Pour couronner le tout, le sélectionneur espagnol doit se passer des services de ses deux défenseurs Piqué et Puyol, blessés.

. Un calendrier favorable?

Alors que la France va pouvoir tranquillement se lancer dans une sorte de revue d'effectif contre le Japon, l'Espagne devra se coltiner un déplacement officiel au Belarus, son 2e match sur la route du Brésil. Après le succès étriqué obtenu en Géorgie (1-0), la Roja aura une obligation de résultat avant d'accueillir les Bleus, ce qui est loin d'être "un désavantage" pour Deschamps: "L'Espagne va faire un déplacement. Même s'ils sont largement supérieurs sur le papier, c'est un match officiel et on ne sait jamais ce qui peut se passer".

.

Bleus
Avec Koscielny et Sakho dans l'axe

Didier Deschamps l'a confirmé. L'équipe de France jouera bien vendredi, en amical contre le Japon, avec Koscielny et Sakho dans l'axe de la défense. Epaulés par Debuchy à droite et Clichy à gauche, les deux axiaux évolueront pour la première fois ensemble. Sakho s'apprête donc à fêter une quatrième titularisation de rang en autant de matches depuis l'arrivée du nouveau sélectionneur.

En revanche, il s'agira de la première cape sous l'ère Deschamps du défenseur d'Arsenal, finalement opérationnel après un choc au genou droit mercredi à l'entraînement. La triplette Sissoko-Capoue-Matuidi occupera elle le milieu de terrain au sein d'un 4-3-3, alors que Ménez, Giroud et Benzema seront chargés d'animer l'attaque. L'avant-centre madrilène devrait ainsi évoluer sur le côté gauche et laisser l'axe à l'ancien Montpelliérain.


Les équipes probables :
FRANCE : Lloris (cap.) - Debuchy, Sakho, Koscielny, Clichy - Capoue, Matuidi, Sissoko - Ménez, Giroud, Benzema.
JAPON : Kawashima - Uchida, Yoshida, Konno, Nagatomo - Hasebe (cap.), Endo - Kiyotake, Kagawa, Inui - Havenaar.

(également suspendu5matches
par la LFP, ça fait beaucoup pour
ce jeune garçon talentueux qui
devrait se calmer) et la blessure
de Rio Mavuba, il est bon qu’il
puisse tester la charnière Koscielny
(remis d’une petite blessure)-
Sakho, avec Capoue en sentinelle,
au cours d’une "répétition",
commeil dit. "Ce n’est pas spécialement
la charnière qu’on suivra
à la loupe, mais sans tirer des
conclusions hâtives."
Pas de conclusion non plus
sur le choix de Clichy plutôt
qu’Evra, qui pourrait être inversé
mardi. Au milieu et en attaque
aussi, les absences de Cabaye,
touché aux abdos et de Ribéry,
laissé au repos, qui font le
bonheur de Sissoko et Ménez,
ne sont que passagères.
D’autant que le sélectionneur
l’a annoncé, il effectuera six arrangements
: "Certains à la
mi-temps, d’autres à l’heure de
jeu, c’est programmé."
Tout cela est calculé en vue
de la rencontre de mardi à Madrid.
Pour profiter de ce match
amical au maximum pendant
que "l’Espagne va faire un déplacement.
Même s’ils sont largement
supérieurs sur le papier,
c’est un match officiel et on ne
sait jamais ce qui peut se passer."
Aux Français de faire en sorte
qu’il ne leur arrive rien de fâcheux,
de leur côté, contre le Japon.
"On aura certainement peu
d’espaces, avec une équipe regroupée,
dit Deschamps. Mais
on y est assez régulièrement
confrontés. La pression, on va la
mettre. Mais ce n’est pas qu’une
équipe défensive. Elle a des éléments
devant, qui sont capables
d’être dangereux

Du souci à se faire… A MOINS QUE C ETAIT POUR DECONTRACTER L ESPAGNE


Karim Benzema et les Bleus devront progresser pour inquiéter l'Espagne.
A quatre jours de se déplacer en Espagne, l’équipe de France ne s’est pas rassurée en s’inclinant face au Japon (0-1) ce vendredi, en match amical au Stade de France. Les Bleus, stériles en attaque, ont été cueillis par un contre japonais en toute fin de rencontre. Ce sera dur face aux champions du monde et d’Europe.


Les Bleus avaient sans doute déjà la tête à l’Espagne à l’heure d’affronter le Japon pour une rencontre vraiment trop amicale. C’est en tout cas à souhaiter car ils n’ont guère forcé face à des Nippons qui n’ont pas montré grand-chose mais qui ont eu l’immense mérite de trouver l’ouverture en toute fin de match sur l’une de leurs rares opportunités (0-1). Un but qui vient noircir sensiblement une soirée qui n’était déjà pas bien belle. Car si les Tricolores ont globalement eu la possession du ballon, le manque de mouvements, et donc de solutions, aura été criant.

Et quand ils ont su se procurer des semblants d’opportunités, ils n’ont pas vraiment fait preuve de réalisme comme sur ces frappes de Giroud (4e et 14e), Ménez (5e), Debuchy (18e) ou Benzema (7e, 24e et 27e). Le premier vrai frisson qui a parcouru le Stade de France est intervenu suite à l’accélération de Benzema qui a éliminé son vis-à-vis mais croisé un peu trop sa frappe (31e). C’est encore le Madrilène qui s’est distingué d’un coup franc, obtenu par Ménez, détourné par Kawashima, le portier japonais.

Le peps de Ribéry
Si les Bleus ont rejoint leur vestiaire sous les sifflets nourris, c’est sans doute que le public s’est ennuyé ferme. Dans ces conditions, la charnière Sakho-Koscielny n’a pas eu grand-chose à faire tandis que Sissoko et Ménez ont essayé d’apporter un peu de fluidité. Pas de quoi pavoiser cependant… Cela n’a pas empêché Deschamps de remplacer à la pause Benzema, Matuidi et Debuchy par Valbuena, Chantôme et Jallet. Comme pour l’annonce de son équipe de départ, le sélectionneur a tenu parole au sujet du temps de jeu de ses troupes.

Cabaye et Ribéry n’étaient pas dans le onze, Benzema n’aura disputé que 45 minutes. Logique en vue de l’Espagne. Des changements qui ont guère modifié la physionomie ni le rythme de la rencontre. Lloris, qui avait largement eu le temps de se refroidir, a tout de même joué à se faire peur sur une frappe pourtant anodine (55e)… Cela aura eu le mérite de le réveiller. C’est bien tombé bien car le Japon montrant enfin le bout de son nez, Deschamps a réagi de suite en lançant Gonalons et surtout un Ribéry très applaudi (68e). Malgré tout, la faiblesse du jeu collectif est restée trop présente.

Dans ces conditions, seules les tentatives individuelles auraient pu s’avérer salvatrice. Cela aurait pu être le cas sur ce pressing tout terrain d’un Clichy parti de son flanc gauche pour récupérer le ballon plein axe, avant de servir Ribéry qui a donné à Giroud, trop collectif (71e). Ribéry a cependant décidé de mettre à profit ces quelques minutes, il est passé entre deux adversaires avant de frapper (74e). Mais c’est finalement Havenaar qui a mis le feu dans la défense et a obligé Clichy à dégager en catastrophe (75e). Prémonitoire.

Un contre meurtrier
Un sursaut défensif avant une action enfin intéressante pour les Bleus. Giroud a tenté un retourné, Gomis, qui venait de remplacer un Chantôme touché, s’est jeté au deuxième poteau et a marqué (78e). Un but refusé pour une position de hors-jeu. Ribéry, encore lui, a ensuite essayé de secouer le cocotier d’une nouvelle frappe (79e). Le Boulonnais a une nouvelle fois prouvé qu’il avait du feu dans les jambes et qu’il est bien indispensable à une équipe de France qui a ronronné jusqu’à son entrée en jeu, qui a fait du bien à toute l’équipe.

Il s’en est fallu de peu pour que Giroud (87e) et Valbuena (88e) ne trouvent la faille. A trop se découvrir, les Bleus ont fini par le payer en se faisant surprendre par un contre meurtrier conclu par Konno (89e)… Avant ce but tardif, ce galop d’essai était déjà loin d’être concluant. Sans idée, les Tricolores ont montré quelques faiblesses défensives inquiétantes. Mardi prochain, au stade Vicente-Calderon, les Bleus seront sans doute autrement mobilisés. Il faudra au moins cela pour éviter le pire face à une Roja qui, elle, n’a pas fait de détails en Biélorussie (4-0).

LES PTIS SUISSES L ONT FAIT
ALORS POURQUOI PAS NOUS

France-Espagne, l'impossible défi?. Publié le mardi 16 octobre 2012 à 07h01 - 1.

Après leur défaite en amical vendredi face au Japon (0-1), Ribéry, Valbuena et les Bleus sont dans le flou avant de défier les Espagnols.Epa/Maxppp

. Face à l’invincible armada espagnole, l’équipe de France devra réaliser un exploit si elle veut ramener au moins un point du stade Vincente-Calderon, à Madrid. Coup d’envoi à 21 heures

L'équipe de France est au pied de l'Everest. Ce soir, à Madrid, elle s'est fixée comme objectif de ne pas perdre. Laisser s'envoler la Roja en tête du groupe I, c'est la promesse de ne plus jamais la rattraper. Or, si les Bleus veulent caresser l'espoir de décrocher leur billet pour la Coupe du monde 2014 au Brésil, ramener un point voire trois (rêvons un peu) de la capitale espagnole, peut être utile.

Oui mais voilà, rivaliser avec l'Espagne en 2012 relève de la science-fiction. Les Bleus en savent quelque chose, eux qui ont été surclassés il y a à peine quatre mois en quart de finale de l'Euro à Donetsk (2-0).

Deschamps : « Je ne fais pas de cauchemars »

Dénominateur commun de tous les adversaires de la Roja, ce sentiment d'impuissance rejaillira-t-il au stade Vincente-Calderon où l'Espagne est toujours invaincue ? Didier Deschamps ne le souhaite pas. Hier, lors de la conférence de presse d'avant-match, un journaliste lui a demandé s'il ne craignait pas une déculottée dans ses pires cauchemars. « Je ne fais pas de cauchemars, lui a répondu le sélectionneur des Bleus. Je préfère rêver. Les rêves, en général, ça se passe bien. Mais ce n'est pas la réalité. »

La réalité, malheureusement, est plus inquiétante. Les Bleus se présentent à Madrid quatre jours après s'être inclinés à domicile face au Japon (0-1) en amical. La réalité, c'est aussi qu'on avance toujours des choix tactiques pour contrer la sélection espagnole, mais qu'à la fin….

« On devra être capables de bien défendre collectivement, ose tout de même Didier Deschamps. On doit aussi être capables de bien ressortir le ballon et être efficaces quand on aura des situations. » Face à l'armada espagnole, on attendra donc de Benzema, Ribéry et consorts qu'ils disputent le meilleur match de leur carrière avec le maillot bleu. Tout simplement.

« Karim et Franck doivent tirer le groupe vers le haut dans les grands matches », appuie « DD ».

Pas besoin de longs discours pour comprendre que la mission des Tricolores s'annonce périlleuse. Mais si les Bleus échappent à la défaite à Madrid, Didier Deschamps et ses hommes pourront peut-être y voir les prémices d'un avenir plus reluisant. Pour son cinquième match à la tête de l'équipe de France, le technicien basque ne rêve que de ça.




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Les équipes probables

Espagne : Casillas (cap) - Arbeloa, Busquets, Ramos, Jordi Alba - Xavi, Xabi Alonso, Iniesta - D. Silva, Fabregas, Pedro.

France : Lloris (cap) - Debuchy, Koscielny, Sakho, Evra - Gonalons, Cabaye, Matuidi - Ménez, Benzema, Ribéry.
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Créé le 16/10/2012 - 22:56
CM 2014: La France arrache le nul face à l'Espagne !
L’équipe de France a arraché le match nul face à l’Espagne, mardi à Madrid, lors de la 4e journée des éliminatoires pour la Coupe du monde 2014 (1-1). Dominés en première période, les Bleus ont encaissé un but de Sergio Ramos (25e), avant de voir l’arbitre refuser injustement un but de Ménez, pour un hors-jeu imaginaire (39e), et Lloris sortir un penalty de Fabregas (43e). Plus saignants en deuxième période, les hommes de Didier Deschamps ont d'abord pêché dans le dernier geste, avant de voir Giroud égaliser de la tête, dans le temps additionnel (90e+4). Avec ce résultat, les deux équipes restent donc en tête du groupe I, avec sept points.
YEAHHHHHHHH ALLEZ LES BLEUS

POINT MERITE

Espagne-France: «En étant gourmand, on peut dire qu’on aurait pu gagner», selon Didier Deschamps
FOOTBALL - Coaching parfait pour l'ancien entraîneur de l'OM...
A le voir déambuler avec un sourire immense se baladant d’une oreille à l’autre, Didier Deschamps donnait vraiment l’impression d’un type qui a réussi son coup. Et ce fut le cas, puisqu’il est l’architecte du match nul des Français (1-1) en Espagne. «En étant gourmand, on peut dire qu'on pouvait gagner», se permet le sélectionneur des Bleus. Qui remarque bien vite aussi «qu’à une minute trente de la fin, on était en train de perdre aussi».

Un résultat qui aurait été particulièrement injuste pour l’équipe de France, malgré une première mi-temps très compliquée. Mais ça aussi, Deschamps l’avait anticipé. «On n’arrivait pas à basculer de la défense à l’attaque. Mais sur la 2e mi-temps, on s’est plus libéré, on a eu plus d’occasions», raconte «DD», qui a également réussit son coaching avec les entrées probantes de Valbuena, Sissoko et Giroud.

Mais plus que ces changements, c’est visiblement son discours à la pause qui a permis aux Bleus de rester la tête hors de l’eau. «Il nous a remobilisés. Il nous a dit de ne pas lâcher et qu’on pouvait revenir», raconte Mamadou Sakho. Une version confirmée par l’intéressé lui-même. «Il y avait un peu d'énervement parce que les joueurs ont su que le but annulé était valable. Il y a eu des décisions un peu discutables mais il fallait garder son calme. Le plus important c'était de continuer à bien travailler collectivement», raconte Deschamps. Et avec l’équipe de France, ce n’est pas toujours le plus facile.

bienvenou a écrit:

13 qualifiés pour cette CM 2014
EUROPE - Deuxième Tour - "BARRAGES CONTINENTAUX"
Les huit meilleurs deuxièmes se retrouveront au Deuxième Tour
et s'affronteront dans le cadre de quatre confrontations en aller et retour.
Les matches auront probablement lieu les 15 et 19 novembre 2013.
Les quatre vainqueurs seront qualifiés pour la Coupe du Monde de la FIFA 2014™ainsi que les 9 premeirs des 9 groupes .

Undéclic pour tout lemonde
ÉLIMINATOIRES MONDIAL 2014
La performance des Bleus face à l’Espagne peut devenir une référence

Calendrier France
Saison 2012/13

Résultats / Calendrier
February 2012
29/02/12 20h45 Match amical Match V
Allemagne 1 - 2 France Direct
May 2012
27/05/12 21h00 Match amical Match V
France 3 - 2 Islande Direct
31/05/12 21h00 Match amical Match V
France 2 - 0 Serbie Direct
June 2012
05/06/12 21h00 Match amical Match V
France 4 - 0 Estonie Direct
11/06/12 18h00 Euro 2012 1 ere N
France 1 - 1 Angleterre Direct
15/06/12 18h00 Euro 2012 2 eme V
Ukraine 0 - 2 France Direct
19/06/12 20h45 Euro 2012 3 eme D
Suède 2 - 0 France Direct
23/06/12 20h45 Euro 2012 1/4 d D
Espagne 2 - 0 France Direct
August 2012
15/08/12 21h00 Match amical Tour N
France 0 - 0 Uruguay Direct
September 2012
07/09/12 20h30 Qualifications CM2014 Europe 1 ere V
Finlande 0 - 1 France Direct
11/09/12 21h00 Qualifications CM2014 Europe 2 eme V
France 3 - 1 Biélorussie Direct
October 2012
12/10/12 21h00 Match amical Tour D
France 0 - 1 Japon Direct
16/10/12 21h00 Qualifications CM2014 Europe 4 eme N
Espagne 1 - 1 France Direct
November 2012
14/11/12 20h45 Match amical Tour Italie 0 - 0 France
February 2013
06/02/13 20h45 Match amical Tour France 0 - 0 Allemagne
March 2013
22/03/13 21h00 Qualifications CM2014 Europe 6 eme France 0 - 0 Géorgie
26/03/13 21h00 Qualifications CM2014 Europe 7 eme France 0 - 0 Espagne
September 2013
06/09/13 20h00 Qualifications CM2014 Europe 10 em Géorgie 0 - 0 France
10/09/13 20h00 Qualifications CM2014 Europe 11 em Biélorussie 0 - 0 France
October 2013
15/10/13 21h00 Qualifications CM2014 Europe 13 em France 0 - 0 Finlande

Les Bleus doivent
confirmer Madrid

Italie - France : Valbuena et Gomis offrent la victoire aux Bleus (2-1)4 contributions Tweet Publié le mercredi 14 novembre 2012 à 22H46


L'équipe de France a battu l'Italie 2-1 (1-1) en match amical, ce soir à Parme. Les Italiens avaient ouvert la marque par l'attaquant de l'AC Milan Stephan El Shaarawy (35e). Mais l'Olympien Mathieu Valbuena, auteur d'un excellent match, a répliqué dans la foulée (37e) d'un tir puissant en pleine lucarne avant que Bafétimbi Gomis ne donne l'avantage aux Bleus en seconde période (67e).



ne nous emballons pas c'est qu'un match amical

Un geste de magie, un instant de
grâce. En 90 minutes plus le
temps additionnel, on n’y a pas
toujours droit. Seulement des esquisses
parfois. Et puis, hier soir à Parme, c’est
arrivé: ces deux secondes où le temps
est suspendu, où on retient son souffle
en se demandant ce qui va se produire,
sans même espérer que la conclusion
de cette chorégraphie improvisée sera
si belle.
Et puis, ça se produit et on a envie de
hurler de plaisir, de remercier et de féliciter
Mathieu Valbuena pour nous
avoir offert ce but. Ce slalom, ce léger
retour vers l’intérieur pour ouvrir
l’angle et la trajectoire parfaite, limpide,
à lapuissance et à lacourbe suffisantes
pour que le ballon s’en aille, non
point mourir mais scintiller à l’intérieur
des filets de Sirigu.
Il y a des joueurs nés avec une cuillère
d’argent à la bouche. Tout leur a toujours
été donné, tout leur est toujours
arrivé et on leur prête sans cesse un talent
qu’ils ne justifient qu’à doses homéopathiques.
Et puis, il y en a qui doivent
toujours prouver. Qui prouvent et
prouvent encore, et à qui on demande
toujours de s’imposer, parce qu’on leur
mesure la confiance.
Que ses perfs et son but lui
octroyent un nouveau statut...
Mathieu Valbuena est de ceux-là. Ou
était. Car on peut légitimement espérer
que sa performance et son but, hier à
Parme, vont lui octroyer un statut nouveau.
Celui que Laurent Blanc lui avait
refusé, soit par excès de prudence, soit
pour convenir à d’autres joueurs influents.
Didier Deschamps aussi avait
hésité. Valbuena titulaire en amical
contre l’Uruguay, ne l’avait plus été ensuite.
Et puis, l’ancien entraîneur de
l’OM a décidé, le soir d’Espagne-France,
de redonneràMathieu, qu’il avait fini
par apprécier à Marseille, un rôle de
neuf et demi, meneur de jeu, peu importe
le terme. Dans la dernière demi-heure,
à Madrid, l’équipe de France en
avait été transformée.
Hier soir, l’expérience s’est poursuivie.
Concluante. Pour ce but, évidemment.
Car il y a des gens, et Valbuena en
fait partie, qui ont le chic pour marquer
des buts inoubliables. Celui-là restera
dans les mémoires. Mais jusque-là, le
petit Girondin (rejeté en son temps par
le centre de formation de Bordeaux
pour sa trop petite taille) avait déjà été
le meilleur Français.
Le seul, avec l’impeccable Matuidi, à
cadrer une frappe, à initier des mouvements
collectifs, à presser, à permuter
avec ses trois attaquants. Alors, évidemment,
on a eu une pensée émue pour
Élie Baup, quand, à une minute de la
pause, Mathieu s’est écroulé, victime
d’un coup.
Q u e l q u e s h e u r e s p l u s t ô t ,
l’entraîneur olympien tirait la sonnette
d’alarme pour son meilleur joueur, à la
limite de la casse physique. Didier Deschamps
connaît bien le problème, mais
avec un Diaby en cristal et un Nasri en
pénitence, il n’a pas d’autre solution
qu’un Gourcuff en reconstruction.
Il aurait dû le lancer plus vite et épargner
Valbuena, comme il l’a fait avec Ribéry
et Giroud dont les dirigeants et entraîneurs
sont moins conciliants avec le
staff tricolore. Aujourd’hui, c’est pourtant
Mathieu qui mérite enfin de ne
plus être considéré comme un joker accidentel.
Il a tout d’un grand.

Lavérité, ceserapourmars
FRANCE Il faudra confirmer lespromessesdeParme, en éliminatoiresduMondial contre laGéorgie et l’Espagne

Uruguay - France en juin 2013

Les Bleus se rendront à Montevideo, début juin 2013, afin d'y disputer un match amical face à l'Uruguay, a annoncé mardi Oscar Tabarez, le sélectionneur de l'équipe uruguayenne. «On m'a appelé pour me demander la date. (...) Ce sera le 4 ou le 5» au stade Centenario, a précisé Tabarez à la chaîne de télévision uruguayenne Tenfield.

«Pour les supporters, pour notre histoire, c'est important qu'une équipe de ce calibre vienne à Montevideo», a ajouté celui qui a mené l'Uruguay à la 4e place du Mondial 2010 et à la victoire en Copa America l'année passée. Le précédent amical entre les deux équipes (0-0) s'est joué en France, le 15 août dernier, pour le premier match de Didier Deschamps à la tête des Bleus