CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF

CM 2014 : Eric Abidal et Joao Moutinho adversaires en barrages ?
par Yannick Pelayo
© Photo : ASM FC - Stéphane Senaux
La France d'Eric Abidal et le Portugal de Joao Moutinho se sont imposés 3-0 pour leur dernier match de la phase de groupes (Zone Europe) des qualifications pour la Coupe du Monde 2014. Ils seront peut-être adversaires en barrages...

Eric Abidal et Bleus se sont imposés 3-0 contre la Finlande ce mardi soir au Stade de France (buts de Ribery, Giroud et Benzema). Dans le même temps, Joao Moutinho et le Portugal ont dominé le Luxembourg sur le même score. Hélas, l'Espagne, victorieuse de la Géorgie (2-0) et la Russie, qui a réalisé un match nul contre l'Azerbaidjan (1-1) ont assuré leur première place des Groupes I et F, contraignant français et portugais à passer par les barrages pour valider leur ticket pour le Brésil. Le Portugal étant tête de série, contrairement à la France, les deux nations qui s'étaient rencontrées en demi-finale de la Coupe du Monde 2006 pourraient bien se croiser à nouveau sept ans plus tard. Voici la composition de ces barrages dont le tirage au sort sera effectué lundi 21 octobre à 14h00

Chapeau 1 (têtes de série)
Portugal
Croatie
Grèce
Ukraine

Chapeau 2
Suède
France
Islande
Roumanie

Coupe du Monde 2014 FIN «Une France extraordinaire»
Mika-Matti Paatelainen n'a pas été avare en éloges après le match perdu par sa Finlande contre la France (0-3).

Mixu Paatelainen, le sélectionneur de la Finlande, s'est égosillé en vue au Stade de France. (Reuters)










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Le sélectionneur de la Finlande Mika-Matti Paatelainen a été très impressionné par la prestation des Bleus (victoire 3-0) ce vendredi au Stade de France. «Il faut donner du crédit à la victoire de la France, a-t-il dit. Ils ont fait un très beau match et marqué un magnifique but (celui de Ribéry). Il faut vraiment féliciter cette extraordinaire équipe. Elle a fait un match exemplaire.»
 
Le technicien scandinave trouve même que le jeu déployé par les Bleus était très perturbant. «Si on regarde aujourd’hui le jeu de la France, il est plus diversifié que celui de l’Espagne. Les Français ont été très forts offensivement, il nous a été difficile de faire face à leurs attaques.» Et il a conclu par un joli compliment à son homologue Didier Deschamps. «La façon dont il a fait progresser cette équipe est impressionnante. Ce jeu doit vous donner toutes les chances de passer les barrages.»

La Suède ne sera pas tête de série en barrages

En l'absence de Zlatan Ibrahimovic, la Suède n'a pas réussi à contenir l'Allemagne mardi à Solna, la Mannschaft décrochant à cette occasion sa neuvième victoire en dix rencontres lors des ces éliminatoires (3-5). Özil (45e), Götze (53e) et Schuerrle, auteur d'un triplé (57e, 66e et 76e), ont confirmé la domination allemande dans ce groupe C. La Suède, qui a marqué par Hysen (6e et 69e) et Kacaniklic (42e), a perdu l'occasion d'être tête de série à l'occasion du tirage au sort des barrages de la zone Europe qui sera effectué lundi à Zurick au siège de la Fifa. Résultat, Ibrahimovic et ses compatriotes, comme la France, pourraient être opposés à la Grèce, au Portugal, à la Croatie ou à l'Ukraine pour une place au Brésil.

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Créé le 15/10/2013 - 23:30
La France fixée sur ses adversaires potentiels en barrages

La dernière journée des éliminatoires de la zone Europe à la Coupe du monde 2014 a livré son verdict. Après les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique et la Suisse, quatre autres nations ont décroché leur billet pour le Brésil: l'Espagne, tenante du titre, l'Angleterre, la Russie et la Bosnie, qui s'invite pour la première fois à cette grande messe mondiale. Huit autres équipes en passeront par les barrages, dont l'équipe de France, deuxième du groupe I derrière l'Espagne malgré sa victoire contre la Finlande (3-0). La France ne sera pas tête de série à l'occasion du tirage au sort effectué lundi prochain à Zurich au siège de la Fifa. Comme la Suède de Zlatan Ibrahimovic, l'Islande et la Roumanie, qui a finalement devancé la Turquie dans son groupe, les Bleus auront le choix entre quatre adversaires: la Grèce (deuxième du groupe G derrière la Bosnie), le Portugal (deuxième du groupe F derrière la Russie), la Croatie (deuxième du groupe A derrière la Belgique) et l'Ukraine (deuxième du groupe H derrière l'Angleterre).

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Créé le 16/10/2013 - 00:00
Nasri préfère l'Ukraine ou la Grèce

"On avait pour objectif de gagner les deux matches. C'est fait, qui plus est sans prendre de but", s'est félicité Samir Nasri à l'issue de la victoire de l'équipe de France contre la Finlande mardi au Stade de France (3-0). Un résultat qui n'évite pas aux Bleus un passage par la case barrages pour espérer rejoindre le Brésil et disputer la Coupe du monde 2014. Quatre équipes seront proposées à la France lundi lors du tirage au sort de la zone Europe: la Grèce, le Portugal, la Croatie et l'Ukraine. Et le milieu de terrain de Manchester City, qui a évolué dans le couloir droit contre les Finlandais, a sa préférence: "Je préfère qu'on joue l'Ukraine ou la Grèce, même si les deux autres équipes ne me font pas peur, car le Portugal et la Croatie ont de grandes individualités. On a vu lors de l'Euro que la Croatie pouvait élever son niveau de jeu." Et l'ancien Marseillais de prévenir ses coéquipiers à propos du double rendez-vous qui attend les Bleus en novembre (15 et 19). "Les barrages, ce sont des matches à part. Si on veut aller au Brésil, il ne faudra pas se mettre de pression inutile et prendre ces matches comme les autres", a-t-il conclu.

Le moral pour les barrages
VICTOIRE 3-0 devant la Finlande, 13 buts en trois matches et un surcroît de confiance pour les 15 et 19 novembre

Stade de France (Saint-Denis).
Mi-temps: 1-0.
Arbitre : M. Koukoulakis (GRE)
Buts: Ribéry (, Toivio (76 c.s.c.), Benzema (87)
Avertissements - France : Debuchy (46), Evra
(60). Finlande: Ring (73).
France: Lloris (cap) - Debuchy, Koscielny, Abidal,
Evra - Nasri (Rémy, 71), Pogba, Valbuena, Matuidi
(Cabaye, 70), Ribéry - Giroud (Benzema, 81).
Entraîneur: Didier Deschamps.
Finlande : Mäenpää - Arkivuo, Pasanen, Halsti,
Lampi - Ring, Eremenko, Tainio (cap) (Toivio, 64) -
Hetemaj, Pukki (Furuholm, 86), Hämäläinen (Riski,
79).
Entraîneur: Mixu Paatelainen

Franck Ribéryamis ses partenaires sur les bons rails en ouvrant le score en tout début de match hier face à la Finlande.
Après les succès face au Belarus et contre l’Australie, la France confirme son regain de forme avant les barrages


On n’attendait pas de miracle,
pas de victoiregéorgienneenEspagne
qui aurait qualifié les
Bleus pour le Brésil. Mais aumoins fallait-
il pour les Bleus ne pas laisser le
moindre regret, en effectuant leur part
de boulot.
Ils y sont parvenus. 3-0, c’est net et
sans bavure. Cela n’empêchera pas la
France d’avoir recours aux barrages
pour tenter de se qualifier pour la coupe
du monde. Avec le risque de tomber
sur un os comme la Croatie ou le
Portugal.
Mais 3-0, cela vient rompre avec de
mauvaises habitudes de pingrerie passée.
L’équipedeFrance se remetàmarquerdes
buts: quatre au Bélarus, six face
à l’Australie, trois face à la Finlande.
Pas des cadors, mais pour ce qui
concerne la Finlande, elle perd rarement
sur un écart aussi large. Elle avait
même obtenu le nul en Espagne, en
étant longtempsmenée 1-0.
Hier, les joueurs du nord de
l’Europe ont espéré réussir le même
coup; après un départ tonitruant, les
Bleus ont en effet réduit leur cadence
et laissé à leurs adversaires des espaces
dans l’axe, que Hamalainen ou Puki
ont bien failli exploiter. Une bonne
sortie de Lloris, un bon retour de Evra
ont permis d’avorter le doute. Il faut
souhaiter que faceà un rival plus coriace,
en barrages, les Bleus évitent toute
largesse coupable. Mais il faut espérer
aussi qu’ils se montreront aussi efficaces
et aussi généreux.
Evidemment, il a fallu encore un
coup de Ribéry pour décanter la situation.
Une frappe de mule pour lancer
le match avant la dixièmeminute. Et il
a encore falluunpassement de jambes
de Ribéry et un centre au premier poteau
pour que Benzema inscrive son
deuxième but en deuxmatches, cloturant
la marque de la plus belle façon.
Mais entre-temps, les occasions
n’ont pasmanqué: coupde tête de Valbuena,
tir de Nasri sur un poteau, un
jeu très actif sur les côtés, avecdes latéraux
percutants, Evra réalisant l’un
des matches les plus convaincants en
bleu, avec des centres parfaits pour
Valbuena ou Cabaye, Debuchy
s’exerçant brillament à la reprise de volée
avant d’offrir, la balle du 2-0.
Mais l’importance de Giroud, faux
auteur du deuxième but, marqué par
Toivio contre son camp, ne peut être
passée sous silence. Pivot combatif,
ses partenaires ont toujours pu compter
sur lui, il était en place.
Ce fut plus délicat de distinguer Valbuena
de Nasri, dont on ne peut pas
dire qu’i ls se sont marché sur les
pieds, Nasri réussissant encore un bon
match. Mais c’est après sa sortie que
Valbuena, totalement libéré, a offert
des avant-dernières passes décisives
Debuchy et Ribéry sur les 2-0 et 3-0. Sujet
de méditation pour Deschamps. Il
a unmois devant lui.

Accueil / Sports / Foot

Barrages : Croatie, Portugal, Grèce ou Ukraine pour les Bleus ?

Publié le mercredi 16 octobre 2013 à 09H34





Les groupes européens ont rendu leur verdict. Et l'équipe de France, en dépit de son large succès, ne sera pas tête de série lors du tirage au sort des barrages, lundi, à Zurich. La Croatie, le Portugal (de Cristiano Ronaldo), la Grèce et l'Ukraine devanceront les Bleus dans le classement Fifa qui sera publié demain et seront donc têtes de série. La France, la Suède, l'Islande et la Roumanie composeront l'autre chapeau ; le Danemark, plus mauvais deuxième, est éliminé.

Le tirage au sort diffusé en direct sur L'Équipe 21







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Le tirage au sort des barrages de la zone Europe pour la Coupe du monde 2014, où l'adversaire de la France sera notamment connu, sera diffusé en direct lundi prochain sur L'Équipe 21. Les Bleus affronteront le Portugal, la Grèce, la Croatie ou l'Ukraine.

s / Foot

COUPE DU MONDE 2014 TIRAGE AU SORT DES BARRAGES AUJOURD'HUI (14H)
Les Bleus croisent les doigts

Marseille / Publié le lundi 21 octobre 2013 à 06H42





L'équipe de France retient son souffle. Elle connaîtra aujourd'hui son adversaire en barrages du Mondial-2014 lors du tirage au sort effectué à Zurich (14h). Didier Deschamps et ses hommes ont un souhait : éviter de croiser la route du Portugal de Cristiano Ronaldo, les 15 et 19 novembre.
Les Bleus, qui ont bouclé le groupe I à la 2e place derrière l'Espagne, sont victimes de leur piètre 21e place au classement Fifa et n'ont pas été désignés parmi les quatre têtes de série (Portugal, Croatie, Grèce, Ukraine). En quatre ans, la France a perdu beaucoup de son prestige. Elle doit donc se contenter du 2e chapeau, en compagnie de nations moyennes (Islande, Roumanie, Suède).
Le Portugal, l'épouvantail
Les Portugais font figure d'épouvantails et possèdent les capacités pour briser le rêve des Français. Certes, la Selecçao a été indigne de son rang au cours de sa campagne qualificative, clôturée derrière la Russie dans la poule F. Mais avec Ronaldo, Moutinho, Nani, Coentrao ou Pepe, elle a de solides arguments à faire valoir. Un double duel entre Ronaldo et Franck Ribéry, à quelques semaines de la désignation du Ballon d'Or, donnerait même au choc une saveur particulière.
La Croatie, le mal en point
La Croatie peut compter sur deux belles individualités, le meneur du Real Madrid Luka Modric et l'attaquant du Bayern Munich Mandzukic. Mais la sélection aux damiers est en pleine crise après trois défaites et un nul qui ont poussé le sélectionneur Igor Stimac à la démission.
La Grèce, la fausse bonne pioche
La France a encore en mémoire sa défaite en quart de finale de l'Euro-2004 face aux Hellènes (1-0). En cas de retrouvailles avec eux, elle devra se montrer patiente tout en gérant l'atmosphère électrique qu'imposeront les bouillants supporteurs locaux.
L'Ukraine, le bon souvenir
Avec les Ukrainiens, le passé récent invite plutôt à l'optimisme. Les Bleus, alors dirigés par Laurent Blanc, n'avaient pas connu trop de soucis à les dominer sur leur sol au 1er tour de l'Euro-2012 (2-0 à Donetsk), un an après un large succès en amical, toujours à la Donbass Arena (4-1).

L’équipe de France retient son souffle.
Elle connaîtra aujourd’hui son adversaire
en barrages du Mondial-2014
lors du tirage au sort effectué à Zurich
(14h). Didier Deschamps et ses hommes
ont un souhait: éviter de croiser la
route du Portugal de Cristiano Ronaldo,
les 15 et 19novembre.
Les Bleus, qui ont bouclé le groupe I
à la 2eplace derrière l’Espagne, sont
victimes de leur piètre 21eplace au classement
Fifa et n’ont pas été désignés
parmi les quatre têtes de série (Portugal,
Croatie, Grèce, Ukraine). En quatre
ans, la France aperdu beaucoup de
son prestige. Elle doit donc se contenter
du 2e chapeau, en compagnie de nations
moyennes (Islande, Roumanie,
Suède).
❚ Le Portugal, l’épouvantail
L e s P o r t u g a i s f o n t f i g u r e
d’épouvantails et possèdent les capacités
pour briser le rêve des Français.
Certes, la Selecçao a été indigne de son
rang au cours de sa campagne qualificative,
clôturée derrière la Russie dans
la poule F. Mais avec Ronaldo, Moutinho,
Nani, Coentrao ou Pepe, elle a de
solides arguments à faire valoir. Un
double duel entre Ronaldo et Franck
Ribéry,àquelques semaines de la désignation
du Ballon d’Or, donnerait même
au choc une saveur particulière.
❚ La Croatie, le mal en point
La Croatie peut compter sur deux
belles individualités, le meneur du
Real Madrid Luka Modric e t
l’attaquant du Bayern Munich Mandzukic.
Mais la sélection aux damiers
est en pleine crise après trois défaites
et un nul qui ont poussé le sélectionneur
Igor Stimac à la démission.
❚ La Grèce, la fausse bonne pioche
La France a encore en mémoire sa
défaite en quart de finale de
l’Euro-2004 face aux Hellènes (1-0). En
cas de retrouvailles avec eux, elle devra
se montrer patiente tout en gérant
l ’ a t m o s p h è r e é l e c t r i q u e
qu’imposeront les bouillants supporteurs
locaux.
❚ L’Ukraine, le bon souvenir
Avec les Ukrainiens, le passé récent
invite plutôt à l’optimisme. Les Bleus,
alors dirigés par Laurent Blanc,
n’avaient pas connu trop de soucis à
les dominer sur leur sol au 1er tour de
l’Euro-2012 (2-0 à Donetsk), un an
après un large succès en amical, toujours
à laDonbass Arena (4-1).

La France affrontera l'Ukraine
L'équipe de France a eu de la chance au tirage puisqu'elle affrontera l'Ukraine en barrages de qualifications pour le Mondial 2014.

L'Ukraine de Yarmolenko affrontera les Bleus en barrages. (L'Equipe)










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Lors du barrage de qualification au Mondial 2014, dont le tirage au sort a été effectué ce lundi par l'ancien Rennais Alexander Frei, l'équipe de France sera opposée à l'Ukraine. Un bon tirage puisque cette dernière ne s'est jamais imposée en quatre participations aux barrages. «On ne pouvait pas tomber sur pire», titrent déjà les médias locaux. «Ce ne sera pas simple», prévient Didier Deschamps. Le match aller aura lieu le 15 novembre en Ukraine, tandis que le retour se tiendra quatre jours plus tard au Stade de France.

L'Ukraine n'a jamais battu la France en sept rencontres
A l'occasion de la phase de groupes, les Bleus avaient terminé à la deuxième place du groupe I derrière l'Espagne malgré une seule défaite en huit rencontres. De leur côté, les Ukrainiens (20es au classement FIFA) n'avaient pas pu dépasser l'Angleterre. Avec une seule défaite au compteur, ils n'avaient encaissé que quatre buts et en avaient marqué... 28 ! En sept duels contre la France, l'Ukraine n'a jamais gagné (3 nuls, 4 défaites).


Il y a quatre ans, les Français avaient aussi disputé les barrages et avaient éliminé l'Irlande sur un but de William Gallas, trouvé au coeur de la surface adverse par Thierry Henry, qui avait contrôlé le ballon de la main.

Coupe du Monde 2014 Le Portugal de Cristiano Ronaldo affrontera la Suède de Zlatan Ibrahimovic
Le tirage au sort des barrages de la Coupe du monde 2014 a été effectué ce lundi après-midi. Il a accouché d'un choc entre le Portugal et la Suède. Cette dernière aura l'avantage de recevoir au match retour.

Cristiano Ronaldo et Zlatan Ibrahimovic se sont déjà croisés cette saison, lors d'un amical entre le Real Madrid et le PSG. Leurs deux prochains rendez-vous seront d'une toute autre importance. (L'Equipe)










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Le tirage au sort :
Ukraine - France
Portugal - Suède
Grèce - Roumanie
Islande - Croatie
Matches aller le 15 novembre chez la première équipe nommée ; matches retour le 19 novembre

Cristiano Ronaldo disait vouloir éviter la France lors des barrages du Mondial brésilien. La star de l'équipe du Portugal a été servie, mais pas gâtée, lors du tirage au sort effectué lundi après-midi au siège de la FIFA. L'attaquant du Real Madrid et ses coéquipiers de la Seleccion devront en effet affronter la Suède. Se profile donc un duel au sommet entre Ronaldo et Zlatan Ibrahimovic. Les deux équipes avaient déjà été opposées lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2010. Leurs deux confrontations, en octobre 2008 et mars 2009 (celle-ci sans '"Ibra"), se sont conclues sur des matches nuls vierges de but (0-0). Le Portugal et la Suède, qui aura l'avantage de jouer le match retour à domicile le 19 novembre, devront cette fois se départager.

Novice à ce niveau de la compétition, l'Islande va elle affronter la Croatie. Dans le viseur : la première participation de son histoire à une phase finale de Coupe du monde. La tâche ne sera pas facile, avec un chaud déplacement au match retour, même si les Croates ont traversé une (petite ?) zone de turbulences durant la fin de ces éliminatoires. Niko Kovac a été nommé sélectionneur en remplacement d'Igor Stimac, démissionnaire. Alors que les Bleus semblent avoir hérité du tirage le moins compliqué (l'équipe de France affrontera l'Ukraine), le quatrième et dernier match mettra aux prises la Grèce et la Roumanie. Les Grecs, champions d'Europe en 2004, n'ont pas réussi à doubler la Bosnie pour la première place de leur groupe. Les Roumains, eux, ont fait en sorte d'assurer cette place de barragiste derrière une indétrônable équipe des Pays-Bas dans le groupe E.

Mondial 2014 : la France va-t-elle se qualifier contre l'Ukraine ?
Oui
43%
Non
50%
Ne se prononce pas
7%

LES PROVENCAUTES PAS COOL

/ Foot

BARRAGES - MONDIAL
Pas de quoi chanter victoire

Marseille / Publié le Mardi 22/10/2013 à 05H10

Ukraine - France, avec retour à Paris : un tirage favorable, mais méfiance...


Les Bleus de Ribéry retrouveront l'Ukraine, qu'ils avaient battu en juin 2012 (0-2).
Photo AFP



Être tête de série n'aurait finalement pas servi à grand-chose pour l'équipe de France lors de ce tirage des barrages à la coupe du monde 2014. Si les Bleus avaient gagné une place, l'Ukraine en aurait perdu une et on aurait pu avoir droit à la même double confrontation entre les deux équipes.
"Sur le papier, ça aurait pu être pire, dit Didier Deschamps. Mais l'Ukraine n'est pas là par hasard non plus. Elle était tête de série et reste sur sept matches sans défaite. Elle ne prend pas beaucoup de buts, c'est un collectif, donc, méfiance."
Ça aurait pu être pire, effectivement, si la France avait tiré le Portugal avec match retour à Lisbonne. Là, le retour au stade de France, comme en 2009 face à l'Eire, c'est un atotu dont se réjouit le président de la FFF. Quand il s'était élevé contre le mode de désignation des têtes de série et l'injustice du calcul du classemnt FIFA, il avait positionné la France en victime virtuelle, ce dont l'instance internationale ne veut pas. Le potentiel de droits TV que représente notre pays rend sa présence souhaitable.
Si la hiérarchie est favorable à l'Ukraine, les statistiques plaident pour les Bleus, à la fois pour l'ordre des matches, les échecs répétés de l'Ukraine en barrages et les derniers résultats de la France face à cette équipe. Notamment la victoire obtenue à Donestk, en juin 2012, lors de l'Euro, après un terrible orage qui avait retardé d'une heure le coup d'envoi. Deux buts de Ménez et Cabaye ont permis à l'équipe de Laurent Blanc de remporter son premier et dernier match lors d'un tournoi final, depuis la demi-finale de la coupe du monde 2006 face au Portugal. Ce dernier succès face à l'Ukraine reste une vraie référence pour le football français. Un match gagné sans Patrice Évra, dont les récentes déclarations d'autant plus intempestives qu'elles émanent de celui qui a rendu les Bleus impopulaires, n'ont, semble-t-il, pas beaucoup ému le président la FFF. Même s'il s'apprête à le recevoir à la Fédé. Mais pas forcément pour le sanctionner. "La Fédération doit passer par une commission, quelle qu'elle soit. Si on devait choisir, ce serait celle de l'éthique plutôt. Mais on doit discuter avec lui. Je préfère m'engager sur rien parce que c'est quelqu'un que j'aime bien", a estimé Noël Le Graët.
Le sélectionneur, lui, a parlé de dérapage. Mais quand on dérape, on peut finir dans le décor et entraîner les autres avec. À l'heure actuelle, volonté de calmer le jeu en façade, mais sanctionner ensuite ou inconscience de l'impact, que peut avoir le comportement du plus détesté des Bleus ?
L'équipe de France n'avait pas besoin de ce comportement puéril au moment où elle va jouer son avenir immédiat sur deux fois 90 minutes.
À Kiev, où elle va rencontrer des conditions de jeu sans doute difficiles (en 2007, il neigeait lors d'Ukraine-France en novembre). Au stade de France, les Bleus, même invaincus face aux Ukrainiens, ont toujours souffert. Et on ne mesure pas encore leur capacité à s'extraire de la pression du quitte ou double qui avait bien failli leur coûter très cher en 2009 contre la République d'Irlande, comme en 2011 contre la Bosnie. Le pire a été évité sur le papier, mais il est toujours possible sur le terrain.

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les barrages
Ukraine - France
Portugal - Suède
Grèce - Roumanie
Islande - Croatie
Matches aller : 15 novembre
retour : 19 novembre

Ukraine - France : des frissons quand même...
mardi 22 octobre 2013 ZURICH (SUI)
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL Vincent Duluc

Taras Mikhalik et Olivier Giroud lors du premier tour de l'Euro 2012. (Photo Richard Martin/L'Équipe)









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En héritant de l'Ukraine, avec match retour au Stade de France, les Bleus ont bénéficié du meilleur tirage possible. Ce qui ne signifie pas que ce sera facile, mi-novembre, dans le froid automnal de l'est de l'Europe.

Ils ne risquent pas de lever les bras et d'entamer un tour d'honneur, mais c'est exactement le tirage au sort qu'ils auraient choisi : en héritant de l'Ukraine, le moins redoutable de leurs quatre adversaires possibles sur le papier, et en s'assurant de disputer le match retour au stade de france pour la qaulif au bresil

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