CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Euro 2012. France-Suède : les Bleus doivent confirmer
groupe d. Dernier match ce soir à Kiev (20h45), contre la Suède déjà éliminée.
Très présent depuis le début de l'Euro, Ribéry peut-il souffler ce soir? Pas sûr du tout.../
En poussant les comptes d'apothicaire jusqu'à leur limite, chacun sait donc que la France peut perdre ce soir contre la Suède par un but d'écart et se qualifier, malgré tout, pour les quarts de finale de l'Euro.
Ben oui.
Mais, franchement, ça la ficherait mal, pour une formation en reconquête et en progrès, qui laisse augurer de lendemains un peu plus souriants que tous les hiers qu'elle nous a fait endurer…
La France de Laurent Blanc doit tenir compte d'un certain nombre de paramètres, avant de se jeter à l'assaut des Vikings.
Ne pas prendre le carton jaune qui te prive d'un quart de finale (sont concernés Mexès, Debuchy et Ménez). Mais ce serait modifier la défense à 50 %.
Ne pas négliger les vingt-quatre heures supplémentaires de récupération qu'offre la première place du groupe (le deuxième joue samedi soir). Vue la chaleur qui règne en Ukraine, c'est à ne pas négliger.
Ne pas oublier que ledit deuxième se coltinera l'Espagne tenante du titre en quarts. Pas facile, ce serait mieux d'attendre la finale…
Ne pas oublier, enfin, que certains joueurs ont peut-être besoin de souffler, de se régénérer. Dans le genre Ribéry, au hasard. Pas sûr du tout.
Laurent Blanc risque en effet de balayer tout ça quand il va rappeler à tout le monde que les Bleus ne sont pas encore en quarts, et qu'affronter la Suède est tout sauf une péripétie.
Sur la lancée de ses dernières rencontres, l'équipe de France a donc le devoir de passer l'obstacle suédois, en y mettant la forme, en convainquant, et en confirmant tout le bien que l'on pense d'elle depuis quelques mois.
La Suède n'est pas et ne peut pas être un obstacle insurmontable. Elle est un rendez-vous, à ne pas négliger mais pas à redouter, sur une route qu'il est prévu d'agrandir cette semaine.
Car la seule idée de se dire qu'il y a un après, et qu'il peut être magnifique, est à ce point fascinant qu'ils n'ont pas le droit de passer à côté, de décevoir.
Même quand, surtout quand l'adversaire envoie les louanges, comme l'a fait Kim Kallstroem hier en conférence de presse : « Pour moi, la France est la meilleure équipe de notre groupe, l'une des plus belles du tournoi. Quant à Laurent Blanc, il est l'homme qu'il fallait à la tête de cette équipe. Les joueurs et le public français le respectent beaucoup pour la carrière qu'il a eue. Je l'ai rencontré plusieurs fois quand il était à Bordeaux. Il cherche à pratiquer un beau football. Il a beaucoup d'expérience sur le plan tactique. »
Celle qui le ferait, peut-être, procéder à quelques aménagements ce soir. Du genre Mvila à la place d'un Cabaye pourtant rétabli, d'un Alou Diarra qui a peut-être le besoin de souffler ? Toutes les possibilités sont offertes au sélectionneur français, dont le groupe est parfaitement malléable, propice à toutes les astuces tactiques. Y compris celle de ne pas changer une équipe qui gagne.
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
MI TEMPS
SUEDE 0-0 FRANCE
ANGLETERRE 0-0 UKRAINE
bon on continue a souffrir
bienvenou- Admin
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
L'équipe de France boucle le premier tour sur une défaite face à la Suède (2-0). Les Bleus sont quand même qualifiés pour les quarts de finale. Deuxièmes derrière l'Angleterre (1-0 contre l'Ukraine), ils affronteront l'Espagn
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Un peu de colère» 20/06/2012 00:44:01
Les Bleus ont fait part de leur déception après la défaite contre la Suède, qui ne les prive cependant pas des quarts de finale. Giroud a avoué qu'il y a eu un coup de gueule dans le vestiaire.
Si les Bleus ont assumé devant les médias leur défaite concédée contre la Suède (0-2), l'explication aurait été vive dans le vestiaire. «Il y a eu un coup de gueule», a lâché Giroud.
«C'est quand même bizarre de se qualifier après une défaite». En une phrase, Olivier Giroud a résumé le sentiment général. Battue par la Suède (0-2) mardi soir, l'équipe de France disputera les quarts de finale de l'Euro contre l'Espagne. «Une consolation», estime Karim Benzema, malgré tout lucide : «Si on veut faire quelque chose dans cet Euro, on ne pourra pas reproduire ce genre de match». Si Laurent Blanc assure qu'il «aurait signé» pour un tel dénouement il y a deux ans quand il a pris les rênes des Bleus, le non match livré par son équipe et la «déception» qu'elle a engendré ont ramené les Tricolores sur terre, quatre jours après un succès prometteur contre l'Ukraine (2-0).
Dans les vestiaires, l'explication aurait été musclée entre joueurs
Devant les micros, les Bleus ont joué le jeu. Malgré ce revers, tous se sont arrêtés pour faire part de leur sentiment. Dans l'ensemble ressort le constat «de s'être fait marcher dessus physiquement», souligne Samir Nasri. De ne tout simplement «pas avoir été à la hauteur», embraye Mathieu Debuchy. Dans les vestiaires, en revanche, l'explication aurait été musclée. Pas avec Laurent Blanc. «Il ne nous a rien dit», assure le Lillois, tandis que le Citizen concède : «Le coach nous a dit qu'on avait fait preuve d'insuffisances». Mais plutôt entre joueurs. Dans la foulée du match, au micro de M6, Olivier Giroud a vendu la mèche : «Il y a eu un coup de gueule dans le vestiaire. On s'est dit les choses à chaud. J'espère qu'on se remettra en questions».
Dans les couloirs du stade Olympique de Kiev, l'attaquant de Montpellier est revenu sur cette déclaration. «Il y avait un peu de colère, a-t-il souligné. Maintenant, il va falloir essayer de se dire les choses un peu plus à froid, en étant un peu plus réfléchi. Quand tu dis les choses à chaud, tu dis souvent des bêtises». Interrogé à ce sujet, Laurent Blanc a immédiatement éteint l'incendie. «Vous savez, quand vous êtes habitués à avoir de bons résultats et que tout d'un coup il y en a un mauvais, c'est compréhensible qu'il y ait de la frustration, que la tension soit palpable. Ce soir, on est déçu, les joueurs, le staff. Ça fait partie de la vie d'un vestiaire. Il va falloir retourner au calme». Dès samedi, les Bleus ont rendez-vous avec l'Espagne.
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Euro 2012
20/06/12 15:41
Des arbitres italiens pour Espagne-France
Nicola Rizzoli sera l'arbitre principal du quart de finale de l'Euro 2012 entre l'Espagne et la France de samedi à la Donbass Arena de Donetsk (20h45). Il sera assisté par Renato Faverani et Andrea Stefani le long des lignes de touche. Gianluca Rocchi et Paolo Tagliavento seront les arbitres additionnels positionnés au niveau des buts
20/06/12 15:41
Des arbitres italiens pour Espagne-France
Nicola Rizzoli sera l'arbitre principal du quart de finale de l'Euro 2012 entre l'Espagne et la France de samedi à la Donbass Arena de Donetsk (20h45). Il sera assisté par Renato Faverani et Andrea Stefani le long des lignes de touche. Gianluca Rocchi et Paolo Tagliavento seront les arbitres additionnels positionnés au niveau des buts
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
DE SOURCE SURE LES BLEUS SE SONT LAISSES BATTRE PAR LA SUEDE
POUR DECONTRACTER LES SPANISH..
MAIS LA PRESSE NE L A PAS VU
Euro/France: couleur bleu électrique
La France est enfin parvenue à passer le cap symbolique du premier tour en phase finale, mais la défaite mardi contre la Suède (2-0) à l'Euro-2012 a montré les failles béantes des Bleus avant le choc samedi contre l'Espagne en quart de finale et créé une atmosphère électrique dans le vestiaire.
La prestation catastrophique de l'équipe de France a totalement gâché ce qui aurait dû être une délivrance pour une nation encore sous le choc du traumatisme de Knysna et des deux fiascos de l'Euro-2008 et du Mondial-2010.
"Les vieux démons" ont ainsi refait surface, selon les mots de Florent Malouda, qui a fustigé mercredi l'"attitude" et "l'état d'esprit" de ses coéquipiers et évoqué cette sensation désagréable d'un "retour en arrière".
L'explication musclée entre plusieurs joueurs après le coup de sifflet final, avec entre autres Ribéry et Benzema, est le signe tangible de cette frustration.
"Ca a un peu chauffé parce que tous les joueurs ont eu le sentiment que tout le monde n'avait pas tout donné. Pour gagner les matches, il faut les jouer et bien jouer. Ca prouve qu'il y a de la réaction, de l'action et un peu d'électricité. J'espère qu'il y en aura contre l'Espagne et à bon escient", a expliqué le sélectionneur Laurent Blanc.
Ces échanges vifs font forcément remonter de douloureux souvenirs à la surface, deux ans quasiment jour pour jour après les insultes proférées par Nicolas Anelka à l'endroit de Raymond Domenech et la fameuse grève de l'entraînement qui les avait suivies.
Malouda ne s'est pas empêché d'y faire clairement allusion.
"Après ce qu'on a réussi et accompli depuis deux ans et l'Afrique du Sud, notre présence à l'Euro et notre qualification pour les quarts de finale, le fait de ne pas avoir joué en équipe fut un choc et une très grande déception. Il ne faut pas pointer du doigt untel et untel et avoir une vraie discussion. Critiquer, c'est bien mais si on ne corrige pas les choses, avec l'adversaire qui arrive samedi, l'addition pourrait être salée", a indiqué le joueur de Chelsea.
Mais le contexte est aujourd'hui différent de celui de Knysna, les Bleus étant qualifiés pour les quarts de finale et la réaction véhémente de certains joueurs s'apparentant plus à un sursaut d'orgueil qu'à un clash susceptible de faire exploser le groupe comme en 2010.
Blanc a ainsi souhaité très vite replacer l'aspect technique au centre de la conversation durant sa conférence de presse de lendemain de match.
"Il faudra trouver plusieurs ressorts pour faire un exploit et battre l'Espagne. Hier, ça a été une sale soirée pour les joueurs, pour le staff technique. On ne faisait pas ce qu'il fallait pour gagner ce match", a commenté le sélectionneur, pour qui le salut des Bleus passera encore une fois par "le jeu".
Mais Blanc a aussi avoué ne pas avoir encore cerné les limites de son équipe, capable de dominer outrageusement l'Ukraine devant son public (2-0) avant de s'écrouler mentalement, physiquement et techniquement quatre jours plus tard contre des Suédois déjà éliminés.
"Le jeu de l'Espagne est efficace et spectaculaire. Il faudrait se tourner vers ça, mais en ce qui nous concerne, on n'y est pas vraiment, on est loin de ça", a-t-il admis.
Se pose en filigrane la question du profil des joueurs de l'équipe de France, qui regorge de talents individuels mais dont l'addition au sein d'un collectif reste à parfaire. Avec sur le banc des accusés Samir Nasri, cloué au pilori pour sa propension à ralentir le jeu.
"Il faudrait trouver des joueurs qui jouent simplement à la manière espagnole, ça s'appelle l'intelligence de jeu et c'est une qualité de plus en plus rare chez un footballeur. Ce serait effectivement plus efficace d'avoir ce genre de joueurs que ceux qui font des exploits individuels", a affirmé sans équivoque Laurent Blanc.
.
POUR DECONTRACTER LES SPANISH..
MAIS LA PRESSE NE L A PAS VU
Euro/France: couleur bleu électrique
La France est enfin parvenue à passer le cap symbolique du premier tour en phase finale, mais la défaite mardi contre la Suède (2-0) à l'Euro-2012 a montré les failles béantes des Bleus avant le choc samedi contre l'Espagne en quart de finale et créé une atmosphère électrique dans le vestiaire.
La prestation catastrophique de l'équipe de France a totalement gâché ce qui aurait dû être une délivrance pour une nation encore sous le choc du traumatisme de Knysna et des deux fiascos de l'Euro-2008 et du Mondial-2010.
"Les vieux démons" ont ainsi refait surface, selon les mots de Florent Malouda, qui a fustigé mercredi l'"attitude" et "l'état d'esprit" de ses coéquipiers et évoqué cette sensation désagréable d'un "retour en arrière".
L'explication musclée entre plusieurs joueurs après le coup de sifflet final, avec entre autres Ribéry et Benzema, est le signe tangible de cette frustration.
"Ca a un peu chauffé parce que tous les joueurs ont eu le sentiment que tout le monde n'avait pas tout donné. Pour gagner les matches, il faut les jouer et bien jouer. Ca prouve qu'il y a de la réaction, de l'action et un peu d'électricité. J'espère qu'il y en aura contre l'Espagne et à bon escient", a expliqué le sélectionneur Laurent Blanc.
Ces échanges vifs font forcément remonter de douloureux souvenirs à la surface, deux ans quasiment jour pour jour après les insultes proférées par Nicolas Anelka à l'endroit de Raymond Domenech et la fameuse grève de l'entraînement qui les avait suivies.
Malouda ne s'est pas empêché d'y faire clairement allusion.
"Après ce qu'on a réussi et accompli depuis deux ans et l'Afrique du Sud, notre présence à l'Euro et notre qualification pour les quarts de finale, le fait de ne pas avoir joué en équipe fut un choc et une très grande déception. Il ne faut pas pointer du doigt untel et untel et avoir une vraie discussion. Critiquer, c'est bien mais si on ne corrige pas les choses, avec l'adversaire qui arrive samedi, l'addition pourrait être salée", a indiqué le joueur de Chelsea.
Mais le contexte est aujourd'hui différent de celui de Knysna, les Bleus étant qualifiés pour les quarts de finale et la réaction véhémente de certains joueurs s'apparentant plus à un sursaut d'orgueil qu'à un clash susceptible de faire exploser le groupe comme en 2010.
Blanc a ainsi souhaité très vite replacer l'aspect technique au centre de la conversation durant sa conférence de presse de lendemain de match.
"Il faudra trouver plusieurs ressorts pour faire un exploit et battre l'Espagne. Hier, ça a été une sale soirée pour les joueurs, pour le staff technique. On ne faisait pas ce qu'il fallait pour gagner ce match", a commenté le sélectionneur, pour qui le salut des Bleus passera encore une fois par "le jeu".
Mais Blanc a aussi avoué ne pas avoir encore cerné les limites de son équipe, capable de dominer outrageusement l'Ukraine devant son public (2-0) avant de s'écrouler mentalement, physiquement et techniquement quatre jours plus tard contre des Suédois déjà éliminés.
"Le jeu de l'Espagne est efficace et spectaculaire. Il faudrait se tourner vers ça, mais en ce qui nous concerne, on n'y est pas vraiment, on est loin de ça", a-t-il admis.
Se pose en filigrane la question du profil des joueurs de l'équipe de France, qui regorge de talents individuels mais dont l'addition au sein d'un collectif reste à parfaire. Avec sur le banc des accusés Samir Nasri, cloué au pilori pour sa propension à ralentir le jeu.
"Il faudrait trouver des joueurs qui jouent simplement à la manière espagnole, ça s'appelle l'intelligence de jeu et c'est une qualité de plus en plus rare chez un footballeur. Ce serait effectivement plus efficace d'avoir ce genre de joueurs que ceux qui font des exploits individuels", a affirmé sans équivoque Laurent Blanc.
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Le jeu et les joueurs. Quand les Bleus avancent en reculant
Publié le 21/06/2012 à 06:00
Euro 2012 Football « Relâchements » dans la préparation, match raté dans les grandes largeurs et qualification malgré tout. Avant d’affronter les champions du monde, les Bleus ont fait un pas en arrière au niveau de leur investissement. A eux de réagir avec fierté samedi.
Florent Malouda, reconnaît que Laurent Blanc avait pourtant tiré la sonnette d’alarme la veille à l’entraînement
Au lendemain de la qualification plus qu’heureuse des Bleus pour les quarts de finale de l’Euro, personne n’a entonné l’hymne à la joie entre Kiev et Donetsk. Les compagnes reparties au pays, Blanc et ses hommes ont repris l’avion et leurs quartiers à Kircha où ils résideront au moins jusqu’à dimanche. L’énorme gâchis, malgré l’excitation d’un quart de finale face aux champions d’Europe et du monde, prédomine, loin du sentiment du devoir accompli qui avait suivi le match contre l’Ukraine (2-0).
Un pas en avant, un pas en arrière, voilà une étrange façon d’avancer et pourtant, les Bleus ont bel et bien franchi une étape en obtenant ce droit – on allait dire cette autorisation – de rejouer samedi dans une Donbass Arena qui reste leur vraie maison ukrainienne. Les joueurs se sont-ils vus trop beaux avant une formalité espérée contre la Suède ? Oui. Laurent Blanc lui-même ne prend pas de gants. « On ressent certaines choses la veille d’un match, et là toute la journée et à l’entraînement, j’avais senti un relâchement. Des fois, après un recadrage il y a une réaction, là cela n’a pas été le cas. »
Florent Malouda, entré en jeu face à la Suède, levait le voile lui aussi hier : « On a eu cette impression la veille et c’était énervant. Le coach a arrêté l’entraînement, pour dire qu’il sentait de la nonchalance, qu’on ne préparait pas ce match pour le gagner. On était en ville, on avait un match à faire et on allait le faire… Mais là on est à l’Euro, on ne va pas à Punta Cana en claquettes. Dans l’exigence, on ne peut pas aller en dessous d’un certain niveau. Ce n’est pas un hasard si on est retombé dans certains travers. » L’état d’esprit n’y était pas et cela s’est traduit le lendemain sur le terrain, sans que l’appel du sélectionneur, qui répétait depuis des jours que tout restait à faire pour se qualifier, n’ait été entendu. Lui aussi se sent responsable de la défaite, même s’il ne veut rien jeter de la série d’invincibilité de 23 matches qui l’a précédée. Clichy avait évoqué après l’Ukraine, « les choix gagnants » du sélectionneur, mardi, ils ont été perdants.
Le maintien de Méxes alors qu’il risquait une suspension pour les quarts de finale, allait dans le sens de la continuité, mais le Milanais lui a rendu un drôle de merci. « Le responsable, c’est lui avant tout, assène Blanc. Il prend un carton évitable, il était très loin de son but. S’il l’avait pris pour une faute près de la surface, on n’aurait pas les mêmes regrets. »
L’autre grande affaire tourne autour de Nasri, dont le crédit semble illimité, malgré un vague sens collectif. Après la « célébration » de son but contre l’Angleterre, le voilà encore dans le conflit, avec ses coéquipiers cette fois. Blanc lui voue sa confiance, mais cela pourrait se retourner contre lui. Sur le terrain, l’apport de Ben Arfa a été moyennement convaincant, et il y a de la concurrence. « Si les principaux changements ont eu lieu sur ce côté droit, c’est parce qu’on a tendance à jouer à gauche, là où tout le monde veut aller. » Et Valbuena, lui, a-t-il été demandé ? « Il peut offrir sur ce match (contre l’Espagne), une opportunité. »
La grande question est de savoir maintenant quel sera le visage des Bleus contre l’ogre espagnol.
Ils veulent se convaincre qu’il est mieux de l’aborder en outsider, qu’il faut être prêt à courir après le ballon, l’intercepter et jouer au mieux chaque opportunité. Avec un état d’esprit irréprochable, ça peut passer, mais il va falloir bosser pour ça.
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
L'ANALYSE
Zidane: "L’Espagne
favoritemais Zinédine Zidane fait de l’Espagne sa favorite pour le quart de finale
contre les Bleus, demain à Donetsk: "L’Espagne est favorite mais il
faut jouer le match. Et là, on ne sait pas ce qu’il peut se passer, c’est la
beauté du football", a-t-il affirmé à la radio Cope. "Nous savons tous
que le favori est l’Espagne, non seulement pour ce match, mais aussi
pour l’Euro. On entend beaucoup dire que l’Espagne ne joue pas bien
ou qu’elle joue sans N.9 ou je ne sais quoi encore, mais ils savent très
bien où ils vont et où ils veulent aller", a ajouté l’ancien joueur du
Real Madrid lors dans un entretien téléphonique depuis la France.
"En 2006, nous étions remontés contre les médias espagnols"
"Les Espagnols auront la possession du ballon, c’est leur façon de
jouer et ils le font bien. Les Français le savent. Et il faudra voir ce qu’il
se passe au milieu de terrain", a poursuivi Zidane, aujourd’hui
conseiller du président du Real Madrid Florentino Perez. "Je pense
que vous (la presse espagnole, ndlr) êtes durs avec l’Espagne. Ils ne
jouent pas si mal que cela. Bien sûr, ils peuvent joueur mieux, mais il y
a un adversaire qui est bon et qui veut gagner", a-t-il expliqué.
Enfin, interrogé sur l’équipe qu’il préférerait voir en demi-finale, le
Français a répondu: "Vous savez bien qui je supporte". "Mais ce n’est
pas important. L’important est que nous voyions un bon match. France
et Espagne se doivent de faire un bon match pour se qualifier", a
poursuivi Zizou. Le Français est aussi revenu sur les deux éliminations
des Espagnols par les Français en quart de finale de l’Euro 2000 et en
8e de finale du Mondial 2006.
"L’Espagne est aujourd’hui plus forte. Peut-être qu’en 2006, nous
étions remontés par ce que les médias espagnols avaient dit sur nous
(les "vieux Français", ndlr). Nous voulions leur prouver que nous pouvions
les battre.
Zidane: "L’Espagne
favoritemais Zinédine Zidane fait de l’Espagne sa favorite pour le quart de finale
contre les Bleus, demain à Donetsk: "L’Espagne est favorite mais il
faut jouer le match. Et là, on ne sait pas ce qu’il peut se passer, c’est la
beauté du football", a-t-il affirmé à la radio Cope. "Nous savons tous
que le favori est l’Espagne, non seulement pour ce match, mais aussi
pour l’Euro. On entend beaucoup dire que l’Espagne ne joue pas bien
ou qu’elle joue sans N.9 ou je ne sais quoi encore, mais ils savent très
bien où ils vont et où ils veulent aller", a ajouté l’ancien joueur du
Real Madrid lors dans un entretien téléphonique depuis la France.
"En 2006, nous étions remontés contre les médias espagnols"
"Les Espagnols auront la possession du ballon, c’est leur façon de
jouer et ils le font bien. Les Français le savent. Et il faudra voir ce qu’il
se passe au milieu de terrain", a poursuivi Zidane, aujourd’hui
conseiller du président du Real Madrid Florentino Perez. "Je pense
que vous (la presse espagnole, ndlr) êtes durs avec l’Espagne. Ils ne
jouent pas si mal que cela. Bien sûr, ils peuvent joueur mieux, mais il y
a un adversaire qui est bon et qui veut gagner", a-t-il expliqué.
Enfin, interrogé sur l’équipe qu’il préférerait voir en demi-finale, le
Français a répondu: "Vous savez bien qui je supporte". "Mais ce n’est
pas important. L’important est que nous voyions un bon match. France
et Espagne se doivent de faire un bon match pour se qualifier", a
poursuivi Zizou. Le Français est aussi revenu sur les deux éliminations
des Espagnols par les Français en quart de finale de l’Euro 2000 et en
8e de finale du Mondial 2006.
"L’Espagne est aujourd’hui plus forte. Peut-être qu’en 2006, nous
étions remontés par ce que les médias espagnols avaient dit sur nous
(les "vieux Français", ndlr). Nous voulions leur prouver que nous pouvions
les battre.
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Battre l’Espagne
mission
impossible?
TACTIQUE Dominés en possession de balle,
les Bleus devront courir pour la récupérer,
être rapides et efficaces en contre
Face à la Roja, la Croatieamis "beaucoup de coeur et de solidarité" dixit Laurent Blanc. Un engagement qui n’a pas suffi puisque l’Espagne s’est imposée 1-0.
"Accepter de courir,
beaucoup courir,
énormément courir."
LAURENT BLANC
Un j o u r ou l ’ a u t r e ,
l’Espagne perdra lors
d’un grand tournoi. Un
jour ou l ’ autr e, comme
l’Allemagne de 1972-74 ou la
France de 1998-2000, son règne
prendra fin. C’est le lot de toutes
les équipes, nationales comme
de clubs: même pour les
meilleures, l’usure ou un jour
sanspeuventempêcher de réussir
un triplé historique. Pas dit
que ce soit demain.
Alors, battre l’Espagne à Donetsk,
est-ce mission impossible
pour les Bleus? Sûrement
pas. Au-delà du dicton, impossible
n’est pas français. Mais ce
serait un exploit. "C’est un football
qui me plaît , dit Laurent
Blanc, admiratif. Non seulement
plaisant mais efficace ;
avec une base de joueurs qui se
connaissent très bien, des garanties
dans le jeu."
Qui a battu l’Espagne dans
les grandes compétitions? La
France en 2006, avec Zidane,
Vieira, Henry, en jouant en
contre et face à une Roja (3-1)
pas encore dominatrice. La
Suisse (1-0) en 2010. À dix derrière,
avec 20% de possession
de balle, 1 occasion contre 27,
et un coup de bol de la taille du
lac Léman. Ce qui n’a pasempêché
les vaincus de devenir
champions du monde et les
vainqueurs de ne pas passer le
premier tour. Et si on étend le
bilan au Barça en Ligue des
champions, c’est l’Inter en
2010 et Chelsea en 2012 qui
l’ont maté, sans avoir le ballon
non plus.
"Si vous pensez que vous allez
être supérieur dans le domaine
du jeu, vous commettez une erreur,
prévient Laurent Blanc. Si
on joue sur la possession de balle
et si on réussit à l’avoir plus
que l’Espagne, ce sera vraiment
un exploit. Mais la possession
ne garantit pas la victoire."
Boghossian: "À nous de
mettre des grains de sable"
Le dilemme est le suivant: accepter
la domination ou chercher
à faire mieux? "J’ai regardé
l’Espagne contre la Croatie (1-0)
et l’Italie (1-1), deux équipes qui
lui ont posé des problèmes, même
si tout est relatif ", poursuit
l’entraîneur français.
"L’Espagne n’a pas perdu
mais elle a été accrochée, on
n’avait plus l’habitude de voir
ça", ajoute Alain Boghossian,
qui raconte que le staff des
Bleus a "travaillé tard dans la
nuit sur la vidéo, pour disséquer
leur jeu, les matches récents,
pour être plus pointus et déterminer
quelle sera notre tactique
contre eux. Nous avons des idées
et nous allons essayer de les mettre
en pratique."
"La Croatie a mis beaucoup
de coeur et de solidarité, joué à
la mort, explique Blanc. L’Italie
a essayé de jouer son propre jeu.
J’espère que la France choisira
cette solution." "Je ne peux pas
donner les grandes lignes, prévient
Bogho.Ànous de les élaborer,
de mettre des grains de sable,
des pierres dans la machine
pour l’enrayer."
On comprend toutefois très
bien ce que veut faire le staff
français: bloquer la circulation
et accélérer dès la récupération,
contrer en trois passes."Il
faudra mentalement accepter
de courir, beaucoup courir, énormément
courir, bloquer les espaces,
même s’ils arrivent toujours
à les trouver. Avoir de la vitesse
et de la profondeur, voilà
l’équation."
Tel est le résumé de la recette
de Laurent Blanc. Courir après
le ballon, avant de courir avec.
"Il faut se préparer à courir, dès
l’entame du match, ajoute Boghossian.
Le haut niveau ne permet
pas d’être médiocre. Retrouver
la cohésion technique entre
tous les joueurs offensifs."
"Contre la Suède aussi, ça
aurait fait du bien, si on avait
plus couru pour attraper le ballon,
abonde cependant Florent
Malouda qui a maté le Barça
avec Chelsea et l’Espagne en
2006. Pas seulement courir,
mais le faire en étant disciplinés,
car ils créent des espaces
par une grande intelligence de
déplacement. Et leur poser des
problèmes quand vous avez le
ballon car ils ont tellement
l’habitude de l’avoir qu’il faut
en profiter."
Onpeut donc imaginer un milieu
travailleur avec Diarra, Cabaye
et Malouda, et deux flèches,
Ménez et Ribéry autour
de Benzema pour "jouer à fond
et concrétiser les quelques opportunités",
dit bien Laurent Blanc.
mission
impossible?
TACTIQUE Dominés en possession de balle,
les Bleus devront courir pour la récupérer,
être rapides et efficaces en contre
Face à la Roja, la Croatieamis "beaucoup de coeur et de solidarité" dixit Laurent Blanc. Un engagement qui n’a pas suffi puisque l’Espagne s’est imposée 1-0.
"Accepter de courir,
beaucoup courir,
énormément courir."
LAURENT BLANC
Un j o u r ou l ’ a u t r e ,
l’Espagne perdra lors
d’un grand tournoi. Un
jour ou l ’ autr e, comme
l’Allemagne de 1972-74 ou la
France de 1998-2000, son règne
prendra fin. C’est le lot de toutes
les équipes, nationales comme
de clubs: même pour les
meilleures, l’usure ou un jour
sanspeuventempêcher de réussir
un triplé historique. Pas dit
que ce soit demain.
Alors, battre l’Espagne à Donetsk,
est-ce mission impossible
pour les Bleus? Sûrement
pas. Au-delà du dicton, impossible
n’est pas français. Mais ce
serait un exploit. "C’est un football
qui me plaît , dit Laurent
Blanc, admiratif. Non seulement
plaisant mais efficace ;
avec une base de joueurs qui se
connaissent très bien, des garanties
dans le jeu."
Qui a battu l’Espagne dans
les grandes compétitions? La
France en 2006, avec Zidane,
Vieira, Henry, en jouant en
contre et face à une Roja (3-1)
pas encore dominatrice. La
Suisse (1-0) en 2010. À dix derrière,
avec 20% de possession
de balle, 1 occasion contre 27,
et un coup de bol de la taille du
lac Léman. Ce qui n’a pasempêché
les vaincus de devenir
champions du monde et les
vainqueurs de ne pas passer le
premier tour. Et si on étend le
bilan au Barça en Ligue des
champions, c’est l’Inter en
2010 et Chelsea en 2012 qui
l’ont maté, sans avoir le ballon
non plus.
"Si vous pensez que vous allez
être supérieur dans le domaine
du jeu, vous commettez une erreur,
prévient Laurent Blanc. Si
on joue sur la possession de balle
et si on réussit à l’avoir plus
que l’Espagne, ce sera vraiment
un exploit. Mais la possession
ne garantit pas la victoire."
Boghossian: "À nous de
mettre des grains de sable"
Le dilemme est le suivant: accepter
la domination ou chercher
à faire mieux? "J’ai regardé
l’Espagne contre la Croatie (1-0)
et l’Italie (1-1), deux équipes qui
lui ont posé des problèmes, même
si tout est relatif ", poursuit
l’entraîneur français.
"L’Espagne n’a pas perdu
mais elle a été accrochée, on
n’avait plus l’habitude de voir
ça", ajoute Alain Boghossian,
qui raconte que le staff des
Bleus a "travaillé tard dans la
nuit sur la vidéo, pour disséquer
leur jeu, les matches récents,
pour être plus pointus et déterminer
quelle sera notre tactique
contre eux. Nous avons des idées
et nous allons essayer de les mettre
en pratique."
"La Croatie a mis beaucoup
de coeur et de solidarité, joué à
la mort, explique Blanc. L’Italie
a essayé de jouer son propre jeu.
J’espère que la France choisira
cette solution." "Je ne peux pas
donner les grandes lignes, prévient
Bogho.Ànous de les élaborer,
de mettre des grains de sable,
des pierres dans la machine
pour l’enrayer."
On comprend toutefois très
bien ce que veut faire le staff
français: bloquer la circulation
et accélérer dès la récupération,
contrer en trois passes."Il
faudra mentalement accepter
de courir, beaucoup courir, énormément
courir, bloquer les espaces,
même s’ils arrivent toujours
à les trouver. Avoir de la vitesse
et de la profondeur, voilà
l’équation."
Tel est le résumé de la recette
de Laurent Blanc. Courir après
le ballon, avant de courir avec.
"Il faut se préparer à courir, dès
l’entame du match, ajoute Boghossian.
Le haut niveau ne permet
pas d’être médiocre. Retrouver
la cohésion technique entre
tous les joueurs offensifs."
"Contre la Suède aussi, ça
aurait fait du bien, si on avait
plus couru pour attraper le ballon,
abonde cependant Florent
Malouda qui a maté le Barça
avec Chelsea et l’Espagne en
2006. Pas seulement courir,
mais le faire en étant disciplinés,
car ils créent des espaces
par une grande intelligence de
déplacement. Et leur poser des
problèmes quand vous avez le
ballon car ils ont tellement
l’habitude de l’avoir qu’il faut
en profiter."
Onpeut donc imaginer un milieu
travailleur avec Diarra, Cabaye
et Malouda, et deux flèches,
Ménez et Ribéry autour
de Benzema pour "jouer à fond
et concrétiser les quelques opportunités",
dit bien Laurent Blanc.
bienvenou- Admin
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Euro 2012 : l’Espagne, faux modèle
22/06/2012, 11 h 05
C’est un souvenir cuisant, vu de l’autre côté des Pyrénées, mais qui commence à jaunir, quand même. L’Espagne battue lors d’un match a élimination directe, dans une phase finale ? Il faut remonter au Mondial 2006, en 8e de finale, pour en retrouver trace. Face aux Français (3-1), bien sûr, à une époque où Ribéry faisait ses débuts et Zidane ses adieux. Autrement dit à une autre époque.
Prétendre que les Bleus d’aujourd’hui connaissent la parade, sur la seule foi du passé, relève néanmoins d’une vue de l’esprit à laquelle personne ne songe à se hasarder. Deux jours après le non-match face à la Suède (0-2), "se convaincre qu’on peut battre l’Espagne peut même faire sourire", rappelle Laurent Blanc.
"Mettre des grains de sable, puis des pierres dans cette machine superbement huilée"
Alain Boghossian, adjoint de Laurent Blanc
Demain soir, face à des Espagnols devenus depuis à la fois champions du monde, d’Europe et du mouvement perpétuel, les Bleus n’auront pas les faveurs du pronostic. C’est peu de le dire et c’est à la fois leur faiblesse et leur force, dans la certitude qu’ils vont devoir jouer contre nature, cette fois, pour espérer passer. Et encore...
La "meilleure équipe du monde", selon le sélectionneur français, est en effet quelque chose d’un modèle à suivre pour les Bleus, en temps ordinaire et le reflet de tout ce qu’il ne faudra pas faire contre eux, demain. "On les a beaucoup pris en exemple dans notre façon de jouer, relève Malouda, dans notre volonté d’avoir la conservation et la maîtrise du ballon, de jouer au sol..."
C’est la marque de fabrique Blanc, mais insister dans cette voie serait parfaitement suicidaire, cette fois, tant les deux nations n’évoluent plus au même niveau. "Il faut tendre vers ça, bien sûr, admet Laurent Blanc. Mais on n’y est pas encore, loin de là."
Plutôt que de rivaliser dans une forme de comparaison perdue d’avance, les Bleus vont devoir contrecarrer, "mettre des grains de sable puis des pierres pour enrayer cette machine superbement huilée", comme le dit de manière imagée Alain Boghossian, l’un des adjoints du sélectionneur.
Les pistes existent, bien sûr et le modèle, cette fois, se situe entre la Croatie et l’Italie, adversaires au premier tour d’une Espagne pas toujours souveraine (victoire 1-0 et nul 1-1). "J’ai vu ces deux matches, dit Blanc. La Croatie a préféré défendre, l’Italie a tenté de jouer son jeu et les deux ont eu leur chance."
Cela dessine une tendance : "Être collectivement très compact, avec des lignes très resserrées et une base défensive solide, détaille Laurent Koscielny, qui se tient prêt. Et à la récupération, vite se projeter vers l’avant avec nos joueurs capables de faire la différence à tout moment."
Cela indique une exigence, surtout : "Il va falloir être capable, mentalement, d’accepter de courir, de beaucoup courir, d’énormément courir, insiste le sélectionneur. Pour fermer les espaces au maximum derrière, même s’ils en trouveront toujours et pour trouver de la vitesse et de la profondeur devant."
Cela demande "du cœur, une solidarité incroyable", pointe encore le Gardois. Tout ce qui a manqué, en somme, contre la Suède. Pour des Bleus à la fois revanchards, au regard de leur dernière sortie, et parfaitement outsiders, les conditions de l’exploit sont peut-être réunies. Ils n’auront "rien à perdre". Raison de plus pour tout donner
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Uneaffairedecoeur
DÉFI Pour battrel’Espagne,N.1mondial depuis quatre ans, lesBleus doivent sesurpasser. Et grandir
Ménez préféré
à Nasri?Àmoins
que Valbuena crée
la surprise...
Benzema n’a toujours pas trouvé le chemin des filets depuis le début de l’Euro. Et si c’était pour ce soir, face à ses "amis" espagnols ?
"Benzema-Ribéry ?
Elle est meilleure,
notre attaque."
IKERCASILLAS
Au revoir Zinedine Zidane
! Au revoir Zinedine
Zidane !
Chanté avec un charmant accent
espagnol (qui donnait
"Oréboir sinedin’ sidan’"), ce refrain
avait été la bande-son de
la journéedu27 juin 2006àHanovre.
Pour les supporters espagnols,
la confrontation entre
les Bleus et la Roja, c’était Zidane
contre le Real et le Barça. Zizou
leur avait répondu au revoir,
mais c’est eux qui étaient
partis.
Karim Benzema saura-t-il se
montrer à la hauteur de
l’héritage, ce soir à la Donbass
Arena?
Iker Casillas a commencé :
"Benzema-Ribéry ? Elle est
meilleure, notre attaque."
"Le principal danger c’est Benzema,
l’un des attaquants les
plus dangereux du monde", a
pourtant lancé Victor Valdes,
gardien du Barça.
"Karim, c’est le Roi Lion, ajoute
Alvaro Arbeloa, le latéral madridista.
Nous sommes bien placés
pour savoir à quel point, il
est bon et joue avec sa tête."
Alors, certes, Benzema ne
jouera pas seul;mais comme le
rappelle Alain Boghossian,
c’est important de flamber
contre le pays où on évolue en
club.
"Il est frustré de ne pas avoir
marqué. Le meilleur cadeau
qu’on puisse lui faire, sachant
qu’il va rentrer en Espagne, c’est
de l’aider à revenir la tête haute,
qu’il force le respect de ses coéquipiers",
a d’ailleurs ajouté
Florent Malouda.
Il faut bien comprendre que
p l u s o n a p p r o c h e d e
l’échéance, plus l’influence des
grands joueurs se fait sentir. Le
premier tour est derrière.
Les matches par K.-O. sont
là. Cristiano Ronaldo a qualifié
le Portugal. Ce n’est pas un hasard.
Reste à savoir de quelle taille
est Benzema et si celui de ce
soir sera celui du Real (32 buts
en 52 matches officiels).
Or, dans ce match, on sait
très bien que l’Espagne va
avoir le ballon. Et que pour la
battre, il faudra compter, sur
un coup de pied arrêté, ou sur
un contre. Et l’équipe de France
pourrait être bâtie pour évoluer
ainsi : "Jouer compact"
comme le dit Blanc, courir, récupérer,
donner et tenter des
contres à fond, en cinq-six secondes.
Une tactique qui
condamne les quatre touches
de balle en moyenne de Samir
Nasri et favorise la profondeur,
la vitesse, de Ménez, Ribéry, ou
la surprise Valbuena, et doit
profiter à Benzema, qui, cette
fois-ci, n’aura pas besoin de décrocher
pour échapper à une
défense regroupée. Car , au
contraire, il y aura des espaces.
Les Espagnols auraient préféré
affronter l’Angleterre ou
l’Ukraine que la France.
Ils savent qu’elle peut leur poser
des problèmes si elle parvient
à jouer son football. "Pendant
les 30% du temps où nous
aurons le ballon", précise Laurent
Blanc, qui veut prendre le
style espagnol pour modèle.
"En ce qui nous concerne, on n’y
est pas encore, loin de là. Ce
qu’ils font, c’est les yeux fermés."
"Mais sincèrement, sur ce
match-là, je n’ai rien à leur dire,
je n’ai pas de soucis pour la
motivation de mes joueurs."
Pour une fois, la France n’est
pas favorite. Mais les Bleus,
pour entrer dans l’histoire du
football français et dans le
coeur des Français, devront
d’abord montrer qu’ils en ont
un, eux-mêmes. Un coeur énorme
et du culot.
DÉFI Pour battrel’Espagne,N.1mondial depuis quatre ans, lesBleus doivent sesurpasser. Et grandir
Ménez préféré
à Nasri?Àmoins
que Valbuena crée
la surprise...
Benzema n’a toujours pas trouvé le chemin des filets depuis le début de l’Euro. Et si c’était pour ce soir, face à ses "amis" espagnols ?
"Benzema-Ribéry ?
Elle est meilleure,
notre attaque."
IKERCASILLAS
Au revoir Zinedine Zidane
! Au revoir Zinedine
Zidane !
Chanté avec un charmant accent
espagnol (qui donnait
"Oréboir sinedin’ sidan’"), ce refrain
avait été la bande-son de
la journéedu27 juin 2006àHanovre.
Pour les supporters espagnols,
la confrontation entre
les Bleus et la Roja, c’était Zidane
contre le Real et le Barça. Zizou
leur avait répondu au revoir,
mais c’est eux qui étaient
partis.
Karim Benzema saura-t-il se
montrer à la hauteur de
l’héritage, ce soir à la Donbass
Arena?
Iker Casillas a commencé :
"Benzema-Ribéry ? Elle est
meilleure, notre attaque."
"Le principal danger c’est Benzema,
l’un des attaquants les
plus dangereux du monde", a
pourtant lancé Victor Valdes,
gardien du Barça.
"Karim, c’est le Roi Lion, ajoute
Alvaro Arbeloa, le latéral madridista.
Nous sommes bien placés
pour savoir à quel point, il
est bon et joue avec sa tête."
Alors, certes, Benzema ne
jouera pas seul;mais comme le
rappelle Alain Boghossian,
c’est important de flamber
contre le pays où on évolue en
club.
"Il est frustré de ne pas avoir
marqué. Le meilleur cadeau
qu’on puisse lui faire, sachant
qu’il va rentrer en Espagne, c’est
de l’aider à revenir la tête haute,
qu’il force le respect de ses coéquipiers",
a d’ailleurs ajouté
Florent Malouda.
Il faut bien comprendre que
p l u s o n a p p r o c h e d e
l’échéance, plus l’influence des
grands joueurs se fait sentir. Le
premier tour est derrière.
Les matches par K.-O. sont
là. Cristiano Ronaldo a qualifié
le Portugal. Ce n’est pas un hasard.
Reste à savoir de quelle taille
est Benzema et si celui de ce
soir sera celui du Real (32 buts
en 52 matches officiels).
Or, dans ce match, on sait
très bien que l’Espagne va
avoir le ballon. Et que pour la
battre, il faudra compter, sur
un coup de pied arrêté, ou sur
un contre. Et l’équipe de France
pourrait être bâtie pour évoluer
ainsi : "Jouer compact"
comme le dit Blanc, courir, récupérer,
donner et tenter des
contres à fond, en cinq-six secondes.
Une tactique qui
condamne les quatre touches
de balle en moyenne de Samir
Nasri et favorise la profondeur,
la vitesse, de Ménez, Ribéry, ou
la surprise Valbuena, et doit
profiter à Benzema, qui, cette
fois-ci, n’aura pas besoin de décrocher
pour échapper à une
défense regroupée. Car , au
contraire, il y aura des espaces.
Les Espagnols auraient préféré
affronter l’Angleterre ou
l’Ukraine que la France.
Ils savent qu’elle peut leur poser
des problèmes si elle parvient
à jouer son football. "Pendant
les 30% du temps où nous
aurons le ballon", précise Laurent
Blanc, qui veut prendre le
style espagnol pour modèle.
"En ce qui nous concerne, on n’y
est pas encore, loin de là. Ce
qu’ils font, c’est les yeux fermés."
"Mais sincèrement, sur ce
match-là, je n’ai rien à leur dire,
je n’ai pas de soucis pour la
motivation de mes joueurs."
Pour une fois, la France n’est
pas favorite. Mais les Bleus,
pour entrer dans l’histoire du
football français et dans le
coeur des Français, devront
d’abord montrer qu’ils en ont
un, eux-mêmes. Un coeur énorme
et du culot.
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
LES QUATRE PRÉCÉDENTS
Unestat’ favorable auxBleus
Michel Platini, en 1984.
MICHEL PLATOCHE...A JAMAIS
Quatre matches, trois victoires
et un nul. Le bilan des
confrontations entre la France
et l’Espagne dans un grand tournoi
est largement à l’avantage
des Bleus.
"Enfin une stat qui nous est favorable",
sourit Laurent Blanc.
"Mais c’était d’autres générations,
d’autres joueurs, répond
Sergio Ramos; aujourd’hui, il y a
des jeunes, des anciens, chacun
a un nouveau match à vivre."
Retour sur ces quatre rencontres...
❚ Euro 84 (finale) :
France 2 - Espagne 0
27 juin 1984, Parc de Princes.
Buts: Platini (57’), Bellone (91’).
C’est le tout premier trophée des
Bleus, avec le but de Platini et
l’inoubliable erreur d’Arconada
sur coup franc.
❚ Euro 96 (phase de groupe) :
France 1 - Espagne 1
15 juin 1996, Elland Road Leeds
Buts: Djorkaeff (48’) pour la France,
Caminero (85’) pour l’Espagne.
Les Bleus tiennent leur victoire,
mais une mésentente entre Deschamps
et Lizarazu permet à Caminero
d’égaliser à cinq minutes
de la fin. Zinédine Zidane joue,
mais il n’est pas à 100%.
❚ Euro 2000(quart de finale) :
France 2- Espagne 1
25 juin 2000, Bruges.
Buts: Zidane (32’), Djorkaeff
(44’) pour la France, Mendieta
(38’ s.p.) pour l’Espagne
Penalty raté par Raul à l’ultime
seconde.
❚ Mondial 2006 (huitième de
finale):
Espagne 1- France 3
27 juin 2006, Hanovre.
Buts : Villa (27’ s.p.) pour
l’Espagne.
Ribéry (41’), Vieira (83’), Zidane
(91’) pour la France.
Unestat’ favorable auxBleus
Michel Platini, en 1984.
MICHEL PLATOCHE...A JAMAIS
Quatre matches, trois victoires
et un nul. Le bilan des
confrontations entre la France
et l’Espagne dans un grand tournoi
est largement à l’avantage
des Bleus.
"Enfin une stat qui nous est favorable",
sourit Laurent Blanc.
"Mais c’était d’autres générations,
d’autres joueurs, répond
Sergio Ramos; aujourd’hui, il y a
des jeunes, des anciens, chacun
a un nouveau match à vivre."
Retour sur ces quatre rencontres...
❚ Euro 84 (finale) :
France 2 - Espagne 0
27 juin 1984, Parc de Princes.
Buts: Platini (57’), Bellone (91’).
C’est le tout premier trophée des
Bleus, avec le but de Platini et
l’inoubliable erreur d’Arconada
sur coup franc.
❚ Euro 96 (phase de groupe) :
France 1 - Espagne 1
15 juin 1996, Elland Road Leeds
Buts: Djorkaeff (48’) pour la France,
Caminero (85’) pour l’Espagne.
Les Bleus tiennent leur victoire,
mais une mésentente entre Deschamps
et Lizarazu permet à Caminero
d’égaliser à cinq minutes
de la fin. Zinédine Zidane joue,
mais il n’est pas à 100%.
❚ Euro 2000(quart de finale) :
France 2- Espagne 1
25 juin 2000, Bruges.
Buts: Zidane (32’), Djorkaeff
(44’) pour la France, Mendieta
(38’ s.p.) pour l’Espagne
Penalty raté par Raul à l’ultime
seconde.
❚ Mondial 2006 (huitième de
finale):
Espagne 1- France 3
27 juin 2006, Hanovre.
Buts : Villa (27’ s.p.) pour
l’Espagne.
Ribéry (41’), Vieira (83’), Zidane
(91’) pour la France.
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Bleus :
Lemerre : «Devant une page blanche»Sélectionneur de l'équipe de France pendant l'Euro 2000 et la Coupe du monde 2002, Roger Lemerre déplore la défaite concédée contre la Suède (0-2) et l'explication entre joueurs qui a suivi. Il estime malgré tout les Bleus «capables» de poser des problèmes à l'Espagne samedi (20h45) en quarts de finale.Roger Lemerre était le sélectionneur des Bleus à l'Euro 2000, lorsqu'ils avaient éliminés l'Espagne en quarts de finale
«Roger Lemerre, l'explication entre joueurs après Suède-France peut-elle être un mal pour un bien ?
Quand on joue un Championnat d'Europe, ça se gagne aussi dans la tête. C'est dommageable, mais retenons l'essentiel. Si les joueurs peuvent faire abstraction de ce qui s'est passé contre la Suède, on aura plus de chances de l'emporter. Le talent, on l'a. Il faut simplement que chacun se mette au service de l'autre. Je lisais dans L'Équipe qu'on était presque à égalité avec l'Espagne au niveau des passes, de la possession de balle. Notre équipe est à la hauteur, elle est compétitive. Sa place n'est pas usurpée.
«Sur le plan individuel, avec les Nasri, Cabaye, on n'a rien à envier aux Espagnols. Mais sur le plan collectif, il y a un petit manque.»Faut-il vraiment faire abstraction ou au contraire, ne pas oublier pour éviter que cela se répète ?
Les grands champions ne doivent jamais douter. Moi, ce qui m'a chagriné, c'est que la France allait faire un sans-faute, qu'elle allait crescendo et que tout d'un coup, on a eu le sentiment que les démons revenaient. Contre une équipe déjà éliminée, il fallait faire plus, ne pas se faire bousculer, hisser son niveau de jeu. Aujourd'hui, on se retrouve devant un page blanche, on ne sait pas trop quoi penser.
Quels sont les motifs d'espoir ?
On a les qualités pour pouvoir les jouer. Dans les 23 rencontres qu'on n'a pas perdues, on a toujours eu une possession de balle supérieure à nos adversaires. Sur le plan individuel, avec les Nasri, Cabaye, on n'a rien à envier aux Espagnols. Mais sur le plan collectif, dans le devoir de prise de décision, dans la volonté de mettre son partenaire dans la meilleure position, il y a un petit manque. Ce n'est pas naturel, mais on est capable. L'Espagne ressemble beaucoup à Barcelone, mais ce n'est pas Barcelone. Pour moi, la différence va se faire au niveau du gardien. Si je devais miser, ce serait sur la France, mais je me suis déjà beaucoup trompé» (rires).
bienvenou- Admin
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
J'ai peur pour ce soir...
Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Tommy Allez l'O.M a écrit:J'ai peur pour ce soir...
on a tout à gagner
je crois pas qu'on puisse prendre une rouste comme l'irlande
à part ca c'est tout benef
on est dans le top 8 EUROPEEN
bienvenou- Admin
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
bienvenou a écrit:Tommy Allez l'O.M a écrit:J'ai peur pour ce soir...
on a tout à gagner
je crois pas qu'on puisse prendre une rouste comme l'irlande
à part ca c'est tout benef
on est dans le top 8 EUROPEEN
Tu crois au miracle?
Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Tommy Allez l'O.M a écrit:bienvenou a écrit:Tommy Allez l'O.M a écrit:J'ai peur pour ce soir...
on a tout à gagner
je crois pas qu'on puisse prendre une rouste comme l'irlande
à part ca c'est tout benef
on est dans le top 8 EUROPEEN
Tu crois au miracle?
oui
ALLEZ LES BLEUS
bienvenou- Admin
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
J'y crois pas... Regarde ça ça rappelle de bons souvenirs : https://www.youtube.com/watch?v=bGCm7ueA_xE
Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
et oui ca fait du bienTommy Allez l'O.M a écrit:J'y crois pas... Regarde ça ça rappelle de bons souvenirs : https://www.youtube.com/watch?v=bGCm7ueA_xE
ce 1er but de ribery avec les bleus
merci
je signe de suite pour un autre 3 A 1 pour nous
bienvenou- Admin
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
bienvenou a écrit:et oui ca fait du bienTommy Allez l'O.M a écrit:J'y crois pas... Regarde ça ça rappelle de bons souvenirs : https://www.youtube.com/watch?v=bGCm7ueA_xE
ce 1er but de ribery avec les bleus
merci
je signe de suite pour un autre 3 A 1 pour nous
Magnifiques souvenirs, puis ce but de ZIDANE à la fin...
Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Tommy Allez l'O.M a écrit:bienvenou a écrit:et oui ca fait du bienTommy Allez l'O.M a écrit:J'y crois pas... Regarde ça ça rappelle de bons souvenirs : https://www.youtube.com/watch?v=bGCm7ueA_xE
ce 1er but de ribery avec les bleus
merci
je signe de suite pour un autre 3 A 1 pour nous
Magnifiques souvenirs, puis ce but de ZIDANE à la fin...
6 ans deja
c'est la derniere defaite de l'espagne en compet officielle tableau final
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Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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