FRANCK RIBERY, LE KAISER

Ribéry : «Ça fait plaisir»
Le 03/12/2011 à 21:45 | Mis à jour le 03/12/2011 à 21:46

Auteur d'un doublé samedi contre le Werder Brôme (4-1), son deuxième consécutif après celui réalisé en Ligue des champions face à Villarreal (3-1) , Franck Ribéry avait le sourire après la partie. «Ça fait plaisir, a déclaré l'international français du Bayern Munich. Brême est toujours une équipe difficile à affronter mais on a bien joué, on a été agressif et on s'est lancé à l'attaque très vite. Maintenant on a encore deux matches (avant la trêve) à Stuttgart et contre Cologne et on veut vraiment les gagner». L'ancien Marseillais s'est aussi expliqué sur l'action de son deuxième but, ou contrairement aux apparences, il n'aurait pas grillé la politesse à son compère Mario Gomez pour marquer dans la cage vide. «Je n'ai pas pris le ballon à Mario mais j'étais mieux placé et je lui ai dit de laisser passer le ballon» , a-t-il ajouté, lui qui totalise désormais 8 buts et 9 passes décisives

Auteur de son troisième doublé de la saison, Ribéry a rendu au Bayern Munich son fauteuil de leader .(REUT)
Quand Ribéry va, tout va pour le Bayern. Auteur d'un doublé samedi face à une équipe du Werder Brême (4-1) dépassée par la vitesse du Français, ''Kaiser Franck'' est actuellement dans une forme incroyable : en 15 rencontres, l'international a inscrit 8 buts et délivré 9 passes décisives, ce qui fait de lui le meilleur joueur de la Bundesliga actuellement. Il est impliqué dans 44% des réalisations de son équipe cette saison. Ribéry prévient quand même : il ne pourra pas jouer toute la saison sur ce rythme. « J'ai joué tous les matches depuis le début de la saison et à part deux trois rencontres au cours desquelles j'ai été moins bon, j'ai toujours répondu présent. Parfois, c'est difficile d'enchaîner ». Le Français pourra même regretter qu'Arjen Robben ait un égo plus grand que le sien : après avoir provoqué un deuxième pénalty en toute fin de match, le Néerlandais a privé l'ancien Marseillais d'un éventuel triplé. Le public de Munich lui ne s'y est pas trompé, la standing ovation était bien réservée à Franck Ribéry dont la performance de haut niveau a permis à son club de renouer avec la victoire en championnat , après deux revers consécutifs.

Ribéry apte contre Cologne ?
Le 13/12/2011 à 19:23

Touché à une cuisse contre Stuttgart ( 2-1 ), dimanche, Franck Ribéry devrait être en mesure de tenir sa place contre Cologne, vendredi. Les résultats des examens médicaux passés par l'international français auraient été rassurants, rapporte le site du quotidien allemand TZ. Reste à savoir si son entraîneur Jupp Heynckes prendra le risque de l'aligner à l'occasion de ce dernier match de l'année à l'Allianz Arena. Avec neuf passes décisives, Ribéry est actuellement le meilleur passeur de la Bundesliga.

Ribéry doit 3 millions à son ex-agent
Le 16/12/2011 à 15:56

Franck Ribéry a été condamné vendredi à verser 3 millions d'euros à son ancien agent Bruno Heiderscheid. Statuant sur une demande introduite par l'avocat de M. Heiderscheid, la 17e chambre civile du tribunal d'arrondissement du Luxembourg a estimé qu'en « ne procédant pas au versement des commissions auxquelles l'agent avait droit, du temps où Ribéry jouait à l'OM, le joueur avait manqué à l'une de ses obligations contractuelles ». « Je suis content car j'ai affaire en face de moi à des gens qui se considèrent au-dessus des lois» , a déclaré le plaignant. « La bataille continue pour la deuxième procédure », a-t-il ajouté puisque la justice doit également statuer sur une commission de 3,5 millions d'euros réclamée par M. Heiderscheid, correspondant au transfert du milieu international français de Marseille au Bayern Munich en 2007

Ribéry agace toujours les Français

Selon un sondage réalisé pour le magazine VSD, Franck Ribéry est le sportif qui agace le plus les Français. Le milieu de terrain du Bayern Munich arrive en tête avec 69%, devant son compère Karim Benzema (35%) et l'entraîneur de l'OM, Didier Deschamps (26%).

Ce sondage a été réalisé du 30 novembre au 7 décembre par Harris Interactive auprès de 1 001 personnes représentatives de la population de 18 ans et plus. Ribéry l'avait déjà ''emporté'' l'an passé.

Ribéry triste pour Kombouaré

Actuellement au Qatar avec le Bayern Munich, Franck Ribéry s'est dit «triste» pour Antoine Kombouaré, remercié par le PSG et remplacé fin décembre par Carlo Ancelotti. «Je suis un peu triste pour Antoine Kombouaré, a souligné le milieu offensif français. Il a fait du très bon travail au PSG. Paris n'avait pas été dans les trois premiers depuis longtemps. Partir comme ça, en étant premier, ce n'est jamais facile mais je lui souhaite beaucoup de chance pour la suite.»

«Maintenant, le PSG a beaucoup d'objectifs, ils peuvent faire quelque chose de bien et ils ont pris un entraîneur de très haut niveau», a ajouté Ribéry qui estime que Jérémy Ménez, désormais sous les ordres d'Ancelotti, saura «gérer la pression». «Je connais mon pote Jérémy. Je suis content pour lui, il fait de bonnes choses au PSG. J'espère qu'il va continuer comme ça.»

je vois pas d'ou ribery a pu connaitre kombouaré
si quellqu"un peut me tuyauter

Moi non plus mdr

Tommy Allez l'O.M a écrit:Moi non plus mdr

il ,ne l'a jamais eu comme coach et n'est pas passé dans les memes clubs que kombouaré

là je suis sec de chez sec

aladin a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:Moi non plus mdr

il ,ne l'a jamais eu comme coach et n'est pas passé dans les memes clubs que kombouaré

là je suis sec de chez sec

vous voyez le mal partout ,Franck est un affectif et puis ca ne mange pas de pain d'essayer de bien se faire voir ...

J'ai cru un moment qu'il avait réussit a passer son permis de conduire

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:Moi non plus mdr

il ,ne l'a jamais eu comme coach et n'est pas passé dans les memes clubs que kombouaré

là je suis sec de chez sec

vous voyez le mal partout ,Franck est un affectif et puis ca ne mange pas de pain d'essayer de bien se faire voir ...

J'ai cru un moment qu'il avait réussit a passer son permis de conduire

mais non je cherchais a connaitre leur lien direct ou indirect
sans mal ;tu as raison il veut se mettre dans le camp des gens qui regrettent kombouaré

ah bon il a pas le permis pourtant sa zahia il la conduisait bien

05/01/2012 11:46 - Modifié le 05/01/2012 à 11:48 | avec Agence
Ribéry ouvre un bar à chicha à Boulogne-sur-Mer


Franck Ribéry. DDM
6
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Il avait depuis longtemps envie d'investir dans sa ville natale et ce n'est pas par le biais du football qu'il a décidé de se lancer. L’international Franck Ribéry vient en effet d'ouvrir un café au concept original à Boulogne-sur-Mer, dans le Nord. Le "O'Shahiz", contraction des prénoms des deux filles du couple Ribéry Shahinez et Hizya, propose des boissons sans alcool et la possibilité de fumer la chicha, ce mélange de tabac et d'arômes disposé dans des narguilés.

"Je souhaitais un concept différent de ce que l'on trouve habituellement", confie Franck Ribéry à La Voix du Nord. Avec cet établissement, le footballeur tente peut-être de faire oublier ses mésaventures du Zaman Café de Paris, où il avait été mis en contact avec une certaine Zahia...

bienvenou a écrit:05/01/2012 11:46 - Modifié le 05/01/2012 à 11:48 | avec Agence
Ribéry ouvre un bar à chicha à Boulogne-sur-Mer


Franck Ribéry. DDM
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Il avait depuis longtemps envie d'investir dans sa ville natale et ce n'est pas par le biais du football qu'il a décidé de se lancer. L’international Franck Ribéry vient en effet d'ouvrir un café au concept original à Boulogne-sur-Mer, dans le Nord. Le "O'Shahiz", contraction des prénoms des deux filles du couple Ribéry Shahinez et Hizya, propose des boissons sans alcool et la possibilité de fumer la chicha, ce mélange de tabac et d'arômes disposé dans des narguilés.

"Je souhaitais un concept différent de ce que l'on trouve habituellement", confie Franck Ribéry à La Voix du Nord. Avec cet établissement, le footballeur tente peut-être de faire oublier ses mésaventures du Zaman Café de Paris, où il avait été mis en contact avec une certaine Zahia...

Un modèle d’intégration le Francky Bar sans alccol et chicha a volonté avec un p'tit peu de shit pour détendre la jeunesse de Boulogne

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:05/01/2012 11:46 - Modifié le 05/01/2012 à 11:48 | avec Agence
Ribéry ouvre un bar à chicha à Boulogne-sur-Mer


Franck Ribéry. DDM
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Il avait depuis longtemps envie d'investir dans sa ville natale et ce n'est pas par le biais du football qu'il a décidé de se lancer. L’international Franck Ribéry vient en effet d'ouvrir un café au concept original à Boulogne-sur-Mer, dans le Nord. Le "O'Shahiz", contraction des prénoms des deux filles du couple Ribéry Shahinez et Hizya, propose des boissons sans alcool et la possibilité de fumer la chicha, ce mélange de tabac et d'arômes disposé dans des narguilés.

"Je souhaitais un concept différent de ce que l'on trouve habituellement", confie Franck Ribéry à La Voix du Nord. Avec cet établissement, le footballeur tente peut-être de faire oublier ses mésaventures du Zaman Café de Paris, où il avait été mis en contact avec une certaine Zahia...

Un modèle d’intégration le Francky Bar sans alccol et chicha a volonté avec un p'tit peu de shit pour détendre la jeunesse de Boulogne

ben wuiii
et zahia sera à la caisse loin de la salle

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:05/01/2012 11:46 - Modifié le 05/01/2012 à 11:48 | avec Agence
Ribéry ouvre un bar à chicha à Boulogne-sur-Mer


Franck Ribéry. DDM
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Il avait depuis longtemps envie d'investir dans sa ville natale et ce n'est pas par le biais du football qu'il a décidé de se lancer. L’international Franck Ribéry vient en effet d'ouvrir un café au concept original à Boulogne-sur-Mer, dans le Nord. Le "O'Shahiz", contraction des prénoms des deux filles du couple Ribéry Shahinez et Hizya, propose des boissons sans alcool et la possibilité de fumer la chicha, ce mélange de tabac et d'arômes disposé dans des narguilés.

"Je souhaitais un concept différent de ce que l'on trouve habituellement", confie Franck Ribéry à La Voix du Nord. Avec cet établissement, le footballeur tente peut-être de faire oublier ses mésaventures du Zaman Café de Paris, où il avait été mis en contact avec une certaine Zahia...

Un modèle d’intégration le Francky Bar sans alccol et chicha a volonté avec un p'tit peu de shit pour détendre la jeunesse de Boulogne

ben wuiii
et zahia sera à la caisse loin de la salle

Un bar montant ?

bar montant


Laure a vingt-cinq ans, peu de perspectives et un problème d’alcoolisme. La nuit venue, elle discute avec une interlocutrice imaginaire, « la solitude », et se sent mourir d’ennui. Fascinée de longue date par la « féminité au service des hommes »que symbolisent selon elle les bordels, elle se fait "hôtesse" dans un "bar montant".


L’héroïne traverse un parcours initiatique, confrontée au mensonge perpétuel — maquerelles, "filles" et "clients" mentant à qui mieux mieux pour tirer le plus de profit les uns des autres — et au besoin destructeur de mesurer sa "valeur". Elle qui sort d’une relation où elle s’est parfois sentie « abandonnée sur la route comme un clébard lâché par ses maîtres », elle découvre dans la prostitution qu’elle a « un prix », des compétences insoupçonnées : « un vrai métier, hôtesse, ce n’est pas donné à tout le monde de savoir s’occuper des barjots » ; se pense « transformée en guerrière, en battante, en Femme ».

Au fil de mésaventures cruelles ou absurdes, rendues plus digestes grâce à l’humour noir toujours présent, Laure met à jour la réalité sous la pacotille, ausculte les représentations sexistes qui pourrissent les relations entre les hommes et les femmes, le "bar montant" faisant office de lentille grossissante.

S’apercevant bientôt qu’elle ne gagne que « juste assez d’argent pour continuer à [se] prostituer », elle flaire des motifs moins évidents que "l’appat du gain" à l’exercice de son "métier".
Elle se demande pourquoi elle et ses compagnes d’infortune sont « si tolérantes avec les clients » et si peu exigentes pour elles-mêmes : « on tombe vraiment amoureuse de n’importe quoi ». Violée par un "client", elle se sent « dépassée par les événements », se reproche d’exagérer le crime dont elle est victime, ne parvient qu’à réclamer que l’agresseur mette « un préservatif (…) ce consentement insensé me mortifie. »

C’est cet « insensé » que Mélanie Muller travaille, la soumission à l’arrogance des "clients" qui choisissent "l’hôtesse" de préférence aux "putes du trottoir", car « en payant dix fois plus ils s’imaginent avoir droit à dix fois plus » ; la violence de ce "droit" qu’ils s’arrogent, qui fait se recroqueviller Laure au fond d’elle-même, « comme si je n’étais plus là et qu’une autre prenait le relais (…) s’occupe de tout (…) s’empare de ma vie. »

Hôtesse est ainsi une habile réflexion sur les mécanismes qui rendent possibles l’asservissement, travesti en "consentement" et s’imposant bientôt comme seul horizon possible : « Je crois que l’on devient prostituée comme on devient alcoolique. D’abord on s’imagine être libre, diriger la manoeuvre (…) très vite on se laisse submerger par des diktats incompréhensibles (…) on perd le contrôle ».

bienvenou a écrit:bar montant


Laure a vingt-cinq ans, peu de perspectives et un problème d’alcoolisme. La nuit venue, elle discute avec une interlocutrice imaginaire, « la solitude », et se sent mourir d’ennui. Fascinée de longue date par la « féminité au service des hommes »que symbolisent selon elle les bordels, elle se fait "hôtesse" dans un "bar montant".


L’héroïne traverse un parcours initiatique, confrontée au mensonge perpétuel — maquerelles, "filles" et "clients" mentant à qui mieux mieux pour tirer le plus de profit les uns des autres — et au besoin destructeur de mesurer sa "valeur". Elle qui sort d’une relation où elle s’est parfois sentie « abandonnée sur la route comme un clébard lâché par ses maîtres », elle découvre dans la prostitution qu’elle a « un prix », des compétences insoupçonnées : « un vrai métier, hôtesse, ce n’est pas donné à tout le monde de savoir s’occuper des barjots » ; se pense « transformée en guerrière, en battante, en Femme ».

Au fil de mésaventures cruelles ou absurdes, rendues plus digestes grâce à l’humour noir toujours présent, Laure met à jour la réalité sous la pacotille, ausculte les représentations sexistes qui pourrissent les relations entre les hommes et les femmes, le "bar montant" faisant office de lentille grossissante.

S’apercevant bientôt qu’elle ne gagne que « juste assez d’argent pour continuer à [se] prostituer », elle flaire des motifs moins évidents que "l’appat du gain" à l’exercice de son "métier".
Elle se demande pourquoi elle et ses compagnes d’infortune sont « si tolérantes avec les clients » et si peu exigentes pour elles-mêmes : « on tombe vraiment amoureuse de n’importe quoi ». Violée par un "client", elle se sent « dépassée par les événements », se reproche d’exagérer le crime dont elle est victime, ne parvient qu’à réclamer que l’agresseur mette « un préservatif (…) ce consentement insensé me mortifie. »

C’est cet « insensé » que Mélanie Muller travaille, la soumission à l’arrogance des "clients" qui choisissent "l’hôtesse" de préférence aux "putes du trottoir", car « en payant dix fois plus ils s’imaginent avoir droit à dix fois plus » ; la violence de ce "droit" qu’ils s’arrogent, qui fait se recroqueviller Laure au fond d’elle-même, « comme si je n’étais plus là et qu’une autre prenait le relais (…) s’occupe de tout (…) s’empare de ma vie. »

Hôtesse est ainsi une habile réflexion sur les mécanismes qui rendent possibles l’asservissement, travesti en "consentement" et s’imposant bientôt comme seul horizon possible : « Je crois que l’on devient prostituée comme on devient alcoolique. D’abord on s’imagine être libre, diriger la manoeuvre (…) très vite on se laisse submerger par des diktats incompréhensibles (…) on perd le contrôle ».

Tu b(r)oie du noir ?
un bar montant en Corse s'appelle un Caboulot

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:bar montant


Laure a vingt-cinq ans, peu de perspectives et un problème d’alcoolisme. La nuit venue, elle discute avec une interlocutrice imaginaire, « la solitude », et se sent mourir d’ennui. Fascinée de longue date par la « féminité au service des hommes »que symbolisent selon elle les bordels, elle se fait "hôtesse" dans un "bar montant".


L’héroïne traverse un parcours initiatique, confrontée au mensonge perpétuel — maquerelles, "filles" et "clients" mentant à qui mieux mieux pour tirer le plus de profit les uns des autres — et au besoin destructeur de mesurer sa "valeur". Elle qui sort d’une relation où elle s’est parfois sentie « abandonnée sur la route comme un clébard lâché par ses maîtres », elle découvre dans la prostitution qu’elle a « un prix », des compétences insoupçonnées : « un vrai métier, hôtesse, ce n’est pas donné à tout le monde de savoir s’occuper des barjots » ; se pense « transformée en guerrière, en battante, en Femme ».

Au fil de mésaventures cruelles ou absurdes, rendues plus digestes grâce à l’humour noir toujours présent, Laure met à jour la réalité sous la pacotille, ausculte les représentations sexistes qui pourrissent les relations entre les hommes et les femmes, le "bar montant" faisant office de lentille grossissante.

S’apercevant bientôt qu’elle ne gagne que « juste assez d’argent pour continuer à [se] prostituer », elle flaire des motifs moins évidents que "l’appat du gain" à l’exercice de son "métier".
Elle se demande pourquoi elle et ses compagnes d’infortune sont « si tolérantes avec les clients » et si peu exigentes pour elles-mêmes : « on tombe vraiment amoureuse de n’importe quoi ». Violée par un "client", elle se sent « dépassée par les événements », se reproche d’exagérer le crime dont elle est victime, ne parvient qu’à réclamer que l’agresseur mette « un préservatif (…) ce consentement insensé me mortifie. »

C’est cet « insensé » que Mélanie Muller travaille, la soumission à l’arrogance des "clients" qui choisissent "l’hôtesse" de préférence aux "putes du trottoir", car « en payant dix fois plus ils s’imaginent avoir droit à dix fois plus » ; la violence de ce "droit" qu’ils s’arrogent, qui fait se recroqueviller Laure au fond d’elle-même, « comme si je n’étais plus là et qu’une autre prenait le relais (…) s’occupe de tout (…) s’empare de ma vie. »

Hôtesse est ainsi une habile réflexion sur les mécanismes qui rendent possibles l’asservissement, travesti en "consentement" et s’imposant bientôt comme seul horizon possible : « Je crois que l’on devient prostituée comme on devient alcoolique. D’abord on s’imagine être libre, diriger la manoeuvre (…) très vite on se laisse submerger par des diktats incompréhensibles (…) on perd le contrôle ».

Tu b(r)oie du noir ?
un bar montant en Corse s'appelle un Caboulot

ce mot caboulot m'inspire cette image
mal a la tete

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:bar montant


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C’est cet « insensé » que Mélanie Muller travaille, la soumission à l’arrogance des "clients" qui choisissent "l’hôtesse" de préférence aux "putes du trottoir", car « en payant dix fois plus ils s’imaginent avoir droit à dix fois plus » ; la violence de ce "droit" qu’ils s’arrogent, qui fait se recroqueviller Laure au fond d’elle-même, « comme si je n’étais plus là et qu’une autre prenait le relais (…) s’occupe de tout (…) s’empare de ma vie. »

Hôtesse est ainsi une habile réflexion sur les mécanismes qui rendent possibles l’asservissement, travesti en "consentement" et s’imposant bientôt comme seul horizon possible : « Je crois que l’on devient prostituée comme on devient alcoolique. D’abord on s’imagine être libre, diriger la manoeuvre (…) très vite on se laisse submerger par des diktats incompréhensibles (…) on perd le contrôle ».

Tu b(r)oie du noir ?
un bar montant en Corse s'appelle un Caboulot

ce mot caboulot m'inspire cette image
mal a la tete

Je pensais mal ...ailleurs

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:bar montant


Laure a vingt-cinq ans, peu de perspectives et un problème d’alcoolisme. La nuit venue, elle discute avec une interlocutrice imaginaire, « la solitude », et se sent mourir d’ennui. Fascinée de longue date par la « féminité au service des hommes »que symbolisent selon elle les bordels, elle se fait "hôtesse" dans un "bar montant".


L’héroïne traverse un parcours initiatique, confrontée au mensonge perpétuel — maquerelles, "filles" et "clients" mentant à qui mieux mieux pour tirer le plus de profit les uns des autres — et au besoin destructeur de mesurer sa "valeur". Elle qui sort d’une relation où elle s’est parfois sentie « abandonnée sur la route comme un clébard lâché par ses maîtres », elle découvre dans la prostitution qu’elle a « un prix », des compétences insoupçonnées : « un vrai métier, hôtesse, ce n’est pas donné à tout le monde de savoir s’occuper des barjots » ; se pense « transformée en guerrière, en battante, en Femme ».

Au fil de mésaventures cruelles ou absurdes, rendues plus digestes grâce à l’humour noir toujours présent, Laure met à jour la réalité sous la pacotille, ausculte les représentations sexistes qui pourrissent les relations entre les hommes et les femmes, le "bar montant" faisant office de lentille grossissante.

S’apercevant bientôt qu’elle ne gagne que « juste assez d’argent pour continuer à [se] prostituer », elle flaire des motifs moins évidents que "l’appat du gain" à l’exercice de son "métier".
Elle se demande pourquoi elle et ses compagnes d’infortune sont « si tolérantes avec les clients » et si peu exigentes pour elles-mêmes : « on tombe vraiment amoureuse de n’importe quoi ». Violée par un "client", elle se sent « dépassée par les événements », se reproche d’exagérer le crime dont elle est victime, ne parvient qu’à réclamer que l’agresseur mette « un préservatif (…) ce consentement insensé me mortifie. »

C’est cet « insensé » que Mélanie Muller travaille, la soumission à l’arrogance des "clients" qui choisissent "l’hôtesse" de préférence aux "putes du trottoir", car « en payant dix fois plus ils s’imaginent avoir droit à dix fois plus » ; la violence de ce "droit" qu’ils s’arrogent, qui fait se recroqueviller Laure au fond d’elle-même, « comme si je n’étais plus là et qu’une autre prenait le relais (…) s’occupe de tout (…) s’empare de ma vie. »

Hôtesse est ainsi une habile réflexion sur les mécanismes qui rendent possibles l’asservissement, travesti en "consentement" et s’imposant bientôt comme seul horizon possible : « Je crois que l’on devient prostituée comme on devient alcoolique. D’abord on s’imagine être libre, diriger la manoeuvre (…) très vite on se laisse submerger par des diktats incompréhensibles (…) on perd le contrôle ».

Tu b(r)oie du noir ?
un bar montant en Corse s'appelle un Caboulot

ce mot caboulot m'inspire cette image
mal a la tete

Je pensais mal ...ailleurs

pour frequeter assidumment ces lieux
il faut d'abord etre mal dans sa tete provoqué par un mal etre ailleurs

Trop c'est trop et comme l'a lui-même déclaré Franck Ribéry lors de ses excuses après les affaires "Zahia" et "Afrique du Sud" : "y'a eu des choses qui z'ont été dites qui m'ont beaucoup fait de mal." Bref, il en a marre marre et marre qu'on le prenne pour plus bête que ses pieds, le Francky. D'autant plus que ce sont ses pieds, justement, qui l'ont rendu célèbre dans le milieu du ballon rond, alors, faudrait voir à bien réfléchir dedans la tête !

Après le procès intenté par Zinédine Zidane à Christophe Alévêque, qui avait déclaré que l'ancienne star du football était "con comme une b***", c'est au tour du joueur du Bayern de s'en prendre au chroniqueur Guy Carlier. Retour sur cette affaire judiciaire des plus importantes : en novembre dernier, dans FHM, Guy Carlier se laisse un peu aller, avec la verve acérée qu'on lui sait : "Si, intellectuellement, Zidane était au même niveau que son jeu balle au pied, ce serait Dieu, forcément. Non, il cache derrière sa timidité bienvenue un vide intellectuel abyssal. Mais bon, de là à dire, comme Christophe Alévêque, qu'il est con comme une b***... Il est couillon de dire ça de Zidane, parce que, après, que reste-t-il dans la langue française pour qualifier Ribéry ?" Ah ah, bien senti. Sauf pour l'intéressé qui a peu goûté à ce trait humoristique sans appel. L'affaire sera donc jugée. Guy Carlier, cité par Gala, a réagi à cette décision du joueur de foot. Loin de calmer ses ardeurs, il a ainsi tenté le coup du sombrero en balançant un sévère : "Quand on voit Ribéry débarquer comme une racaille sur le plateau de TF1, en claquettes, au moment de l'Afrique du Sud et balbutier trois conneries, incapable de prononcer une phrase construite, je dis qu'il devrait se traîner lui-même en justice! Il s'insulte lui-même. Il dit lui-même: Regardez comme je suis con."

Zizou était peut être lui aussi pas très malin ......Mais a la différence de l'autre saucisson de Francky , il savait éviter de passer pour un con

on ne lui demande que de bien jouer pour l'equipe de france point barre

si on sonde les tribunes de supporters de foot ou certains forums de france de navarre ou de corse
nous aurons du mal avec le manque flagrant de culture de la majorité
et n'en parlons pas de l'orthographe si nous nous essayons à leur donner 3 lignes à écrire ..............

alors les journalistes avant d'aller toujours les critiquer
certains devraient aller balayer devant leurs portes
et ds leurs placards on va trouver des billets volés et des cadavres de dossiers sur eux

21/02/2012 - 18:31
Ribéry: "Faire quelque chose à l'Euro"
Dans un entretien accordé à RTL et diffusé mardi soir, Franck Ribéry s'est livré sur "ces derniers mois difficiles", marqués par l'affaire Zahia et le fiasco des Bleus en Afrique du Sud. Le milieu du Bayern, qui admet être "de nouveau un homme heureux", évoque aussi l'actualité de l'équipe de France: "C'est sûr qu'il y a beaucoup de choses à améliorer. Je pense que l'équipe joue de mieux en mieux. Le groupe vit bien, il y a une bonne ambiance. On veut vraiment réussir à faire quelque chose à l'Euro, je le sens. A nous aussi de ne pas se mettre trop de pression, de jouer notre jeu et de bien préparer les matches avant l'Euro."

ALLEMAGNE● Franck Ribéry
s’offre un doublé. L’ancien Olympien
a permis au Bayern Munich
de décrocher la victoire face
à Schalke 04, en marquant
par deux fois face à un candidat
direct au titre. Cette victoire permet
aux Bavarois de pointer à la
2e place de la Bundesliga

bienvenou a écrit:ALLEMAGNE● Franck Ribéry
s’offre un doublé. L’ancien Olympien
a permis au Bayern Munich
de décrocher la victoire face
à Schalke 04, en marquant
par deux fois face à un candidat
direct au titre. Cette victoire permet
aux Bavarois de pointer à la
2e place de la Bundesliga

Un doublé a Zahia Aller Franck frotte frotte la CB

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:ALLEMAGNE● Franck Ribéry
s’offre un doublé. L’ancien Olympien
a permis au Bayern Munich
de décrocher la victoire face
à Schalke 04, en marquant
par deux fois face à un candidat
direct au titre. Cette victoire permet
aux Bavarois de pointer à la
2e place de la Bundesliga

Un doublé a Zahia Aller Franck frotte frotte la CB

ca te tente pas si tu veux ce sera 100 euros pour toi t'iyes un ami