DIDIER DESCHAMPS , ENTRAINEUR DE L'EDF

UNE DEFENSE KABORE NDIAYE TAIWOO

PAUVRE DD CONFRONTE A DES CHOIX ....

Coéquipier de Didier Deschamps en équipe de France et à l’Olympique de Marseille, Fabien Barthez n’est pas du tout étonné de la réussite de ce dernier comme entraîneur. Commentant la désignation du coach de l’OM comme étant celui de l’année en Ligue 1, l’ancien gardien de but de Marseille et des Bleus a reconnu qu’il avait toujours compris que Deschamps allait faire une belle carrière de technicien.



« Didier a toujours été proche des entraîneurs. Il voulait toujours en savoir plus. Il avait ce truc en lui. En plus, sur le terrain, il était présent. Quand quelque chose n'allait pas, tu voyais qu'il avait son analyse. Il ne pouvait que devenir entraîneur. C'est un des rares joueurs qui a eu la possibilité de rebondir tout de suite après sa carrière de joueur, à celle d'entraîneur. Ce n'est pas évident », explique Fabien Barthez, qui a lui décidé de couper avec le milieu du football après sa retraite sportive

Jeudi 16 Décembre 2010 à 11:20

Deschamps doute des forfaits lyonnais

Alors que le site officiel des Gones annonce avec quasi certitude les forfaits de Cris, Diakhaté, et Toulalan, (voir par ailleurs) le coach olympien, Didier Deschamps n’est pas dupe. «Tu sais, quand on annonce les forfaits le lundi, pour un match le dimanche… », a-t-il ironiquement répondu à Manu Amoros, lors de l’émission les Experts OM, sur OMtv. Un coup d’intox de la part de l’état-major lyonnais ? Réponse ce dimanche lors du choc entre les deux olympiques.


Vers un ticket Lovren-Gonalons ?

Décimée par les blessures, la charnière centrale lyonnaise doit d’ores et déjà faire face aux futures absences de Cris et Toulalan, pour le choc face à l’OM, mais aussi au possible forfait de Diakhaté. Si ce coup du sort venait à être confirmé, Claude Puel pourra notamment compter sur le duo Gonalons-Lovren pour protéger l’arrière-garde des Gones, comme le confirment nos confrères du quotidien Le Progrès. Un tandem novateur, qui pourra notamment faire valoir quelques arguments au niveau de la relance, le premier nommé étant à la base un milieu de terrain de formation


A MOINS QUE CE SOIT PUEL LUI MEME QUI JOUE EN DEFENSE CENTRALE

Fanni sans la moindre transition
LIGUE 1 Le néo-Olympien jouera dans l’axe contre Lyon. À moins que la suspension de Diawara soit levée aujourd’hui

Heureusement, Deschamps a, lui, été rassuré par sa défense, avec sa recrue Rod Fanni titulaire en charnière centrale au côté de Gaby Heinze. «Je nous ai trouvés performants sur le plan défensif, même si la charnière a eu peu de temps pour s'habituer. Pour Rod, ce n'était pas facile mais il a déjà montré tout son potentiel. Avec le temps, il sera encore plus performant.» Cette plaidoirie ne cache pas la mauvaise comptabilité olympienne. Avec seulement trois points pris en quatre matches, le club phocéen est, à défaut d'être largué, presque à l'arrêt. «D'un point de vue comptable, ça fait peu en ce moment, reconnaît Deschamps. On prend un point, on n'avance pas beaucoup. La fatigue est un peu pour tout le monde, pour toutes les équipes. Quand on joue la Coupe d'Europe forcément, il y a de la fatigue. Mais je ne vais pas me cacher derrière ça.» Allez, encore un match à Brest et la trêve sera bienvenue pour l'OM

Deschamps : "Il y avait la place pour gagner"
lundi 20 décembre 2010 à 07H21




Voici l'analyse de Didier Deschamps après le match nul des Olympiens hier soir contre Lyon au stade Vélodrome :

- Quel jugement portez-vous sur ce match ?
"On a eu la malchance d'encaisser un but en première mi-temps, alors que nous avions connu un gros temps fort durant la première demi-heure de jeu. Or, nous ne sommes pas parvenus à marquer. On s'est bien ressaisi en deuxième mi-temps où nous avons eu plusieurs opportunités pour l'emporter. Au final, le bilan comptable n'est pas forcément satisfaisant. Sur les derniers matches, nous avons seulement engrangé 3 points. On n'avance pas beaucoup. C'est d'autant plus dommageable qu'il y avait la place de gagner ce soir. Or, ce n'est pas toujours l'équipe qui le mérite le plus qui gagne".

- Avez-vous senti vos joueurs émoussés ?
"La fatigue, elle est des deux côtés. Quand on enchaîne les matches de championnat et de coupe d'Europe, c'est le lot à payer. Mais je ne me cache pas derrière ça. Nous avions les moyens de gagner ce soir malgré tout".

- Qu'avez-vous pensé de votre défense ?
"Elle a été plutôt performante. J'avais aligné une charnière centrale qui avait peu de temps de jeu en commun. Or, Rod (Fanni) s'est montré très convaincant. Ce n'était pourtant pas facile pour lui. Mais il a prouvé qu'il avait beaucoup de potentiel, comme nous le savions. Avec le temps, ça ira de mieux en mieux."


dimeli20/12/2010 à 09h16
sans buteur , il est difficile de gagner des matchs !! et quand taiwo fait du taiwo ......... comment gagner contre lyon ?


nao13013 20/12/2010 à 08h57
Quand je vois le match de GIGNAC, le prix qu'on l'a payé 16 millions et le salaire qu'il touche plus la belle Lamborghini noir à plus 250 000 milles €, je suis dégoûté de ne plus avoir un BEN ARFA à 12 millions avec une GOLF VI, nombre de passe décisive ainsi les matchs qui fond qu'on gagne le championnat, je le regrette vraiment. Car on s'ennuie de voir cette OM inoffensif.


pentangle
20/12/2010 à 08h36 | 1A ce rythme, si on attrape l'Europa League, c'est un miracle... pas d'attaque (à part celle du cirque Pinder), une tactique désolante, un milieu hasardeux, une défense pas encore au point.... il n'y a que le gardien qui est au niveau et va sans aucun doute partir vers un grand club cet été... nous nous sommes vus plus grand et plus beau alors que nous sommes finalement plus faibles... j'ai beau rester optimiste et garder espoir, cette équipe est pitoyable de par ses erreurs, ses melons sur dimensionnés, ses égos extra larges et ses dirigeants qui devraient diriger une équipe de curling.
17 ans de disette , 3 titres.... et maintenant, le désert ?...


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"Il y avait la place
pour gagner

1Quel jugement portez-vous sur ce match?
"On a eu la malchance d’encaisser un but en première
mi-temps, alors que nous avions connu un gros
temps fort durant la première demi-heure. Or, nous
ne sommes pas parvenus à marquer. On s’est bien ressaisi
ensuite et nous avons eu plusieurs opportunités
pour l’emporter. Au final, le bilan comptable n’est
pas forcément satisfaisant. Sur les derniers matches,
nous avons seulement engrangé 3 points. On n’avance
pas beaucoup. C’est d’autant plus dommageable
qu’il y avait la place de gagner ce soir. Or, ce n’est pas
toujours l’équipe qui le mérite le plus qui gagne".
2Avez-vous senti vos joueurs émoussés?
"La fatigue, elle est des deux côtés. Quand on
enchaîne les matches de championnat et de coupe
d’Europe, c’est le lot à payer. Mais je ne me cache pas
derrière ça."
3Qu’avez-vous pensé de votre défense ?
"Elle a été plutôt performante. J’avais aligné
une charnière centrale qui avait peu de temps de jeu
en commun. Or, Rod (Fanni) s’est montré très convaincant.
Il a prouvé qu’il avait beaucoup de potentiel,
comme nous le savions. Avec le temps, ça ira de
mieux en mieux.

RENNES ..PERDU 2 PTS
NICE PERDU 1 PT
AUXERRE RIEN PERDU
LYON RIEN PERDU
BREST PERDU 2 PTS

VOILA IL MANQUE REEL 4 POINTS

Brest - Marseille : 0-0
Didier Deschamps (entraîneur de Marseille) : «Ce soir, on a patiné dans tous les sens du terme. Quatre nuls et quatre points sur quinze points possibles, ce n'est pas un bon rythme, heureusement les autres non plus n'avancent pas. C'était très difficile pour nous, étant donné l'état du terrain, et les organismes étaient très fatigués. On était face à équipe dynamique, pleine d'agressivité, on a été en souffrance. Ce soir, je considère qu'on a gagné un point. Il y a une fatigue générale qui est compréhensible après cinq mois de compétition et des matches tous les 3-4 jours. On sortait d'un match difficile contre Lyon. Je ne cherche pas d'excuse, mais il y avait une trop grande majorité de joueurs dont les jambes ne répondaient pas. On perdait les duels, on avait un peu moins de vitesse dans les transmissions. L'adversaire avait mis au repos trois de ses titulaires, Brest sur le plan athlétique était bien mieux que nous ce soir. D'habitude on se crée des occasions mais ce soir en cherchant bien, on doit en avoir... (il réfléchit) une et demie ? Nous n'avons pas assez de percussion pour gagner ce match. Mais vu que les autres équipes ne gagnent pas ou perdent, on est encore en vie avant la deuxième partie de la saison. On a eu un départ catastrophique avec deux défaites pour les deux premiers matches en août. Puis on a vu des choses intéressantes d'abord en terme de résultats, puis on a fait de meilleurs matches. Mais paradoxalement, pas de résultat. Je trouve qu'on a fait de bonnes prestations, à Nice ou contre Lyon par exemple. Mais au final, on prend 4 points sur 15 possibles et ce n'est pas suffisant.»

Deschamps : "On a gagné un point..."
20 contributions Publié le mercredi 22 décembre 2010 à 21H50




Didier Deschamps a dû souffler en prenant connaissance des résultats de ses principaux rivaux dans la course au titre. Interrogé à l'issue de la rencontre contre Brest, le coach olympien regrette les nombreux points perdus en route. Mais n'est pas mécontent quant au résultat final du match. "On ne va pas vite. Heureusement, nos concurrents directs vont au même rythme que nous. Cela a été très difficile pour nous à cause de l'état du terrain. Les 24 heures de récupération en moins ont du compter aussi. On a vraiment été en souffrance.
Ce soir, je considère que l'on a gagné un point."
OM BIEN FATIGUE.

Son équipe de départ était très logique,
c’est la blessure de Fanni
qui a tout perturbé.
Les remplaçants ont amené un petit
plus. Il n’a pas réussi à calmer
ses joueurs.

En dessous de ce que l’on est capable de faire »
22-12-2010


Si le début de saison a été compliqué pour l’Olympique de Marseille, son entraîneur Didier Deschamps le juge jusqu’ici pas foncièrement mauvais. Les premiers objectifs sont tenus. Photo SCL’entraîneur phocéen Didier Deschamps, qui se verrait bien poursuivre avec l’OM dans son futur stade, revient sur le début de saison dans un entretien accordé à la Marseillaise.


Dans quel état d’esprit êtes-vous, cinq mois après un début de saison que vous avez abordé, un peu contrarié ?
Je n’étais pas contrarié. C’est qu’on a eu un été très compliqué avec les départs de certains joueurs et notamment celui de Niang, notre capitaine et meilleur buteur, qui s’est fait la veille du premier match ; les arrivées tardives aussi… Forcément, ça nous a un peu plombée le début de saison. Commencer par deux défaites, ce n’est pas le départ idéal surtout après la saison qu’on venait de réaliser. C’est ce qui a été un peu difficile et a eu de grandes répercussions dans le vestiaire.


A votre arrivée, l’inter saison aussi avait été compliqué...
Pour d’autres raisons, plus extra sportives avec un changement d’organigramme.


Malgré cela, vous semblez pourtant vouloir vous inscrire à plus ou moins long terme ici…
Oui. Entraîner cette équipe dans le nouveau stade est une idée qui me plait.


Ce genre de tempête plutôt régulière à Marseille, ça ne vous freine donc pas ?
C’est compliqué de partout. Le métier d’entraîneur est compliqué. C’est clair que je ne m’attendais pas à avoir, après la saison qu’on avait faite, un été aussi compliqué. J’étais persuadé, et je me suis trompé, que "Mamad" ne partirait pas. Après, ça a déclenché pleins de choses mais c’est sûr qu’on aurait pu s’éviter tout ça.


Avec la réfection du stade, le club aura moins de revenus durant quelques saisons, donc moins de possibilités d’investir dans le sportif. Ca ne vous gêne pas non plus ?
Oui je sais. Mais de toute façon la crise touche le football aussi, même si il y a encore des moyens qui sont là. C’est clair qu’on va vers des saisons ou ce sera plus compliqué sur le plan économique. Ce n’est pas quelque chose qui me fait sourire mais je suis bien obligé de faire avec : le sportif et l’économique sont très liés. On fera un point à la fin de la saison même si il y a des prévisionnels. Mais tout dépendra de comment on finira cette saison.


L’année dernière vous arriviez. Qu’est-ce qui change dans la manière de gérer un groupe que l’on a déjà mené vers le succès ?
Il y a une continuité. L’ossature du groupe est restée, même si le secteur offensif a beaucoup bougé. Or l’animation offensive est le plus difficile à travailler : le relationnel passeur receveur pour arriver à ce que l’on a eu l’an passé, un peu en première, beaucoup en deuxième, notamment dans la relation Lucho/Niang, ça ne se fait pas du jour au lendemain. Des joueurs avec de la qualité sont arrivés mais cela passe par une acclimatation dans " le contexte marseillais ". Malgré tout, en terme de points on doit faire mieux mais je n’oublie pas qu’on est en 1/2 finale de la coupe de la Ligue, et qu’on s’est qualifié, pour la première fois depuis longtemps, en 8e de finale de la Champion’s League. Mais pour le championnat en deuxième partie il faudra engranger beaucoup plus de points que ça.


En championnat justement, le fait que plusieurs équipes soient à la lutte, c’est un avantage ou un inconvénient ?
Presque toutes les équipes ont connu des problèmes, Lyon en tête. Malgré tout, même si Lille a ce match en retard, même si on dit d’une équipe comme Paris qu’elle fait un bon championnat, ils ne sont que trois points devant nous. Et nous sommes en dessous de ce que l’on est capable de faire. On pourrait être mieux ! Mais on est encore en course sur tout et le championnat est encore long. En première partie, il faut toujours bien se positionner, ensuite en janvier, février, mars il faut engranger puis c’est la dernière ligne droite. Je pense qu’il y aura une lisibilité différente au mois de mars.


En Ligue des champions, le 8e était un objectif de la saison…
Oui, on l’avait affiché !


C’est un aboutissement ?
Non, c’est une étape supplémentaire. C’est bien sur le plan sportif, et pour les retombées qu’il peut y avoir. Maintenant, même si on a un gros en face de nous, il y a l’ambition de se battre pour entrer en quarts.


Paradoxalement, l’équipe n’est-elle pas aujourd’hui moins performante que l’an passé..
Celle de la deuxième partie de saison oui. Mais on n’était pas en 8e.


Celle de la première partie vous ne la jugez pas au-dessus ?
On avait plus ou moins les mêmes difficultés. Il y avait eu des blessures importantes, celle de Lucho notamment. On avait passé les deux premiers mois sans Diawara et Mbia pour différentes raisons. Là on ne les a pas pour d’autres. On est dans le même schéma.
Lucho, pas toujours utilisé à son meilleur poste dans l’animation, semble en dedans…
Lui non. Il est à cinq buts et trois passes décisives. L’an dernier à la trêve il n’avait pas ces stats là, il les avait bien améliorées en deuxième partie. Après, la passe il l’a toujours, mais il faut trouver cette complémentarité avec les attaquants.


En quoi c’est plus dur de travailler le relationnel offensif que la mise en place défensive ?
Défensivement, c’est du B.A-BA. Du positionnement, savoir bien coulisser les uns par rapport aux autres. Devant c’est sentir quand le passeur est libre, pouvoir se mettre en mouvement, faire le bon appel, intérieur plutôt qu’extérieur etc…. C’est s’adapter à la situation. Défensivement, il y a des principes et toutes les équipes peuvent les appliquer. Après c’est de la technique individuelle.


Un dernier mot sur les erreurs d’arbitrages. Vous vous dites quoi ? C’est la loi des série, ça s’équilibre à la fin…
Non. Ça s’équilibre…non. Une erreur plus une erreur, ça fait deux pour moi. C’est comme ça, c’est dur. Le sentiment d’injustice c’est ce qui est le plus dur à passer qu’on soit joueur ou entraîneur. Il faut faire avec même si on n’en a pas eu que des défavorables : Je crois en l’honnêteté des arbitres malheureusement ça leur arrive de se tromper.

27 décembre 2010
La peu OU PROU crédible piste Deschamps
Le nom de l'entraîneur de Marseille est cité par la presse anglaise pour prendre les rênes de Liverpool en janvier.
GERETS POURRAIT LE REMPLACER ..

Didier Deschamps réaffirme sa volonté de «s'inscrire dans la durée» à Marseille. Refroidi par le départ de Niang, l'entraîneur de l'OM est résolu à faire avec les moyens du bord.

Didier Deschamps l'affirme haut et fort : l'entraîneur de l'OM souhaite «s'inscrire dans la durée» à Marseille. «Je suis là. Quand je parle d'être l'entraîneur de l'OM dans le nouveau stade, c'est sincère. Cette perspective me plaît. Maintenant, 2014, c'est très loin dans mon métier. J'ai aussi dit ça pour que l'on comprenne que je ne suis pas un vagabond. Je l'ai prouvé l'été dernier, je pouvais partir (à Liverpool).» «Lucide», «plus flexible», l'ancien international, âgé de 42 ans, a appris à faire avec les moyens du bord. Quitte à ravaler ses principes et sa fierté. «Quand j'ai commencé comme entraîneur, j'étais catégorique. Je disais que ma liberté n'avait pas de prix. Je n'aurais pas dû dire ça, même si je peux le penser. Ça veut dire qu'un dirigeant n'a pas d'emprise sur son entraîneur, et qu'éventuellement, si j'en ai marre, je me casse. Je ne suis pas comme ça. Avec la maturité, j'arrive à prendre du recul pour aller à l'essentiel.»

L'essentiel ? «C'est d'anticiper pour ne pas se retrouver dans l'urgence.» Cet été, l'OM a vécu «quelque chose de lourd» en laissant filer Mamadou Niang. «Sincèrement, je ne l'avais pas envisagé. C'était inconcevable pour moi. Si j'avais pensé que c'était possible, j'aurais réfléchi pour me retourner.» Deschamps assure que l'équipe qu'il a actuellement sous la main «est compétitive». Que «le potentiel est là». Mais il note que «(nos) rivaux», à savoir Lille, Lyon et Paris, «ont gardé les mêmes joueurs et en ont ajouté des meilleurs».

«Après l'épisode "Mamade", tout peut arriver»
DD dit assez clairement qu'il n'a pas l'intention de recruter cet hiver. «Qu'est-ce qu'on va avoir ? Un mec qui ne joue pas ailleurs ? Et il va s'impliquer sur cinq mois ? Ce mercato ne sert qu'à corriger, en se projetant sur la saison suivante. Un vrai renfort aurait un coût élevé.» En revanche, il sait déjà que «la comptabilité décidera de tout» en matière de recrutement l'été prochain. «On fera le bilan en fin de saison pour savoir où on va sportivement et financièrement (...) Certains joueurs sont en fin de contrat, d'autres peuvent avoir envie de partir. C'est un rapport de force. Après l'épisode "Mamade" (Niang), tout peut arriver.»

Le départ de son capitaine et buteur l'a visiblement vacciné. Un brin fataliste, Deschamps conclut: « Dans les grands clubs européens, les joueurs ne vont pas au clash. Les clubs sont plus forts. En France, le joueur va au bras de fer car il sait qu'il a neuf chances sur dix d'arriver à ses fins.»

il veut etre entraineur avec le toit du velodrome

avoir un toit c'est important on n'est plus sdf
MERCI DD

DD//OM UN MARIAGE D" AMOUR





5 janvier 2011
Deschamps veut voir plus loin
Didier Deschamps réaffirme vouloir s'inscrire dans la durée à l'OM. Il parle aussi attaque, mercato...

Dans un long entretien , Didier Deschamps réaffirme vouloir s'inscrire dans la durée à l'OM. Il est également question des problèmes offensifs, du mercato... Ext

« La saison passée à Toulouse, il ne s'est presque pas entraîné. Il ne faisait que jouer. Il est parti à la Coupe du monde blessé, n'a pratiquement pas fait de préparation (...) Il doit se nourrir de sa première partie de saison pour être plus performant. De toute façon, si on veut atteindre nos objectifs, l'efficacité des deux attaquants axiaux est indispensable. (...) Ils doivent être à vingt-cinq buts à deux. Pour le moment, il y a un déficit. »

« (...) Ce mercato ne sert qu'à corriger, en se projetant sur la saison suivante. Un vrai renfort aurait un coût élevé. On a pu réagir à la blessure d'Azpilicueta en prenant Rod (Fanni, recruté à Rennes pour 4 ME et deux ans et demi). Sinon, on n'était pas bien. Je ne vais pas empiler les joueurs. D'autant que ceux dont je dispose n'ont pas évolué à leur meilleur niveau jusqu'ici. »

« Quand je parle d'être l'entraîneur de l'OM dans le nouveau stade, c'est sincère. Cette perspective me plaît. Maintenant, 2014, c'est très loin dans mon métier. J'ai aussi dit ça pour que l'on comprenne que je ne suis pas un vagabond. Je l'ai prouvé l'été dernier, je pouvais partir (à Liverpool). Je souhaite m'inscrire dans la durée.»

Deschamps : "La chance d'être à l'OM"
jeudi 06 janvier 2011 à 07H17

La rencontre avec l'entraîneur olympien au terme de chaque stage est une tradition. Bon an, mal an, Didier Deschamps se plie à ce rendez-vous loin de Marseille, des sollicitations médiatiques abondantes, parfois oppressantes.

Didier Deschamps reste concentré sur les objectifs de la saison.
Entre le repas d’hier midi et une partie de paddle sur les installations de la Manga Club, ralliées en VTT avec Nicolas Déhon, Antonio Pintus et Jean-Georges Cellier, Didier Deschamps a pris trois quarts d’heure pour évoquer l’actualité de l’OM pour La Provence. Le début de saison, son avenir qu’il aborde sur la pointe des pieds, les améliorations à apporter au club : la discussion a été orientée sur ces trois thèmes.

- Quand on termine l’année de manière boiteuse, comme cela a été le cas de votre équipe, passe-t-on les fêtes à cogiter ?
D.D. : Pas spécialement. Dans l’analyse, il faut décomposer ce début de saison, le départ de Mamad’, les mauvais débuts, les quatre points pris sur la fin, un contenu qui n’a pas toujours été mauvais non plus quoi qu’on en dise. Ce n’est pas suffisant. On pourrait être beaucoup plus avancé que la saison dernière. On a gagné LE match important qu’il fallait, puisque le club est en 8es de finale. Je ne cogite pas. Il y a une réflexion individuelle, générale, par rapport à chaque joueur. Elle prend en compte aussi les changements importants dans le secteur offensif.

- Justement, pensiez-vous que la reconstruction de l’animation offensive prendrait autant de temps ?
D.D. : C’est celle qui en prend le plus. Si vous dites reconstruction, cela signifie qu’il y a eu destruction ! C’est la problématique. La complicité de Mamad’ avec Brandao et Lucho ne se recrée pas avec facilité. Cela ne remet pas en cause la qualité des joueurs arrivés. Mais on a souvent joué avec deux voire trois éléments nouveaux. Il faut d’abord trouver des automatismes avant d’envisager la complicité. Elle peut arriver, comme ne jamais venir. Il y a parfois des incompatibilités aussi.

- Avoir été élu entraîneur de l’année vous a-t-il réconforté ?
D.D. : C’est une satisfaction. Joueur, je ne courais pas après les distinctions individuelles. Je préfère être sacré avec le club. Je suis entraîneur pour cela. Je ne me considère pas comme le meilleur, mais j’ai la chance d’être à l’OM avec une équipe que je savais dès le départ être en mesure de jouer la gagne. C’est pour cela que je me suis engagé.

- La situation risque d’évoluer avec les travaux du stade. Le club ne pourra peut-être pas investir à la fin de la saison. C’est une problématique. D.D.: Cela vous inquiète-t-il pour faire évoluer votre équipe ?
D.D. : Il y a aura des comptes à faire en temps voulu. L’aspect économique dictera la conduite sportive. Il y a aussi l’intervention de Margarita Louis-Dreyfus qui peut modifier ou pas la donne. L’essentiel est de savoir. Si on est informé en temps voulu, on peut anticiper la réflexion plutôt que travailler dans l’urgence.

- Si le club est contraint de vendre, cela peut-il vous amener à reconsidérer votre avenir à l’OM ?
D.D. : Je ne me positionne pas ainsi. Aucun entraîneur ne s’inscrit sur le long terme, c’est impossible. On ne peut pas parler de la saison prochaine, sans savoir à quelle place l’équipe terminera. (...) Mais je ne suis pas venu à Marseille pour faire un coup et partir à droite à gauche.

- Vous parliez d’anticipation précédemment. Anticiper ne revient-il pas aussi à s’intéresser aux joueurs libres dans les prochains mois ?
D.D. : Si c’est pour prendre des joueurs, on peut toujours les prendre, par dizaines. En général, la qualité a toujours un prix. Libre, libre... Il y a certains postes où l’on peut prévoir, d’autres non, car nul ne sait qui souhaitera nous quitter au terme de la saison. Si j’avais su que Mamad’ partait, j’aurais anticipé. Quand on est mis devant le fait accompli, on travaille dans l’urgence et il n’est pas conseillé d’agir ainsi.

- Aimeriez-vous faire évoluer certaines choses au club ?
D.D. : Toujours. Le club a grandi structurellement. Je vise l’exigence et le professionnalisme, tout simplement parce que je le suis avec moi-même. J’attends beaucoup, parfois peut-être trop. J’ai été habitué à cette façon de vivre. Il y a encore une bonne marge de progression

Deschamps : "Beaucoup de convictions et d'ambitions" vendredi 07 janvier 2011 à 14H22

L'entraîneur olympien passe en revue les forces en présence avant le 32e de finale de la coupe de France, ce dimanche, entre Evian-Thonon-Gaillard et l'OM.


Fini la trêve hivernale et le stage de préparation, l'OM et Didier Deschamps se replongent dans le quotidien de la compétition.

L'heure de la reprise a sonné. Et, dès dimanche, l'OM renoue avec la compétition pour le 32e de finale de la coupe de France. Annecy, où les hommes de Didier Deschamps affronteront Evian-Thonon-Gaillard, est donc la prochaine étape olympienne. Avant de retrouver Bernard Casoni sur le banc de touche adverse, le coach marseillais passe en revue les forces en présence. Et donne les premières indications pour 2011...

Comment appréhendez-vous cette nouvelle année ?
Didier Deschamps : On va entamer la deuxième partie de saison avec beaucoup de convictions et d'ambitions car les quatre objectifs (championnat, Ligue des champions, coupe de France et coupe de la Ligue) sont toujours devant nous. A nous de faire en sorte d'être plus performants qu'on ne l'a été, surtout en Ligue 1...

Vous reprenez avec la coupe de France ce dimanche...
D.D. : C'est une compétition comme une autre. Quand on commence, c'est pour aller le plus loin possible. Là, c'est le match de reprise après la trêve hivernale. C'est compliqué car on se retrouve face à une équipe du niveau inférieur qui attend son exploit. Même si ce n'est pas notre priorité dans la saison, l'équipe et les joueurs alignés iront à Annecy pour s'imposer.

Qui sera le gardien de l'OM contre Evian-Thonon-Gaillard ?
D.D. : On ne va pas tourner autour du pot : Andrade gardera les buts. Steve Mandanda a beaucoup joué, Elinton a besoin de temps de jeu. C'est simplement un choix afin que mes deux gardiens se sentent concernés.

Edouard Cissé et Rod Fanni sont-ils opérationnels ?
D.D. : Ils sont en phase de reprise. Ils ont retrouvé l'entraînement collectif depuis hier. On verra bien pour dimanche mais je ne prendrai aucun risque avec eux deux.

Que pouvez-vous nous dire sur la formation haut-savoyarde ?
D.D. : C'est une équipe joueuse et bien organisée collectivement, qui pratique un jeu long et direct. Il y a moins de densité physique que chez certaines écuries de Ligue 1 mais Evian s'appuie sur beaucoup de joueurs qui ont évolué à l'échelon supérieur. Ce sera un contexte particulier car le stade sera plein et la pelouse risque de se dégrader rapidement.

Une élimination serait une contre-performance ?
D.D. : Ce n'est pas encore le cas. Mais si ça le devenait, oui, ce serait une contre-performance car on est opposés à une équipe de Ligue 2. Le risque est là. On le sait. C'est déjà arrivé par le passé et certaines formations venaient de beaucoup plus loin...

Que ressentez-vous avant de retrouver votre ancien compère, Bernard Casoni, sur le banc adverse ?
D.D. : Cela me fait plaisir de le retrouver mais ça ne nous rajeunit pas ! (rires) Je suis content que ça marche pour lui et j'espère qu'il pourra retrouver la Ligue 1 le plus vite possible. Il ne me reste que des bons souvenirs avec Bernard, notamment des parties de cartes et de boules mémorables

Deschamps : «Evian a été réaliste»

Didier Deschamps n'a pas cherché d'excuse après la défaite de son équipe contre Evian (1-3). Trop de largesse défensive et un manque de réalisme chronique ont coûté la qualif' à son équipe.

Didier Deschamps, entraîneur de Marseille : «Nous avons eu les occasions et nous n'avons pas marqué. Ils nous plantent sur leurs deux premières occasions. C'est devenu alors plus compliqué mais nous avions débuté comme il le fallait. Nous avons fait preuve d'un peu de largesses défensivement, mais dans le jeu nous avons eu les opportunités. Nous avons quand même encaissé trois buts. C'est trop pour espérer se qualifier. Nous avons pris un contre de 100 mètres. L'adversaire a été très réaliste. Nous avons effectué un gros travail athlétique, comme la plupart des clubs de Ligue 1, pour les grosses échéances qui nous attendent dans les prochaines semaines et peut-être avons-nous manqué de fraîcheur sur la fin de match. Sur des terrains comme celui-là, cela devient difficile pour jouer au football mais il faut s'adapter»

.

DIDIER DESCHAMPS
"Perdre n’est jamais
une bonne chose"

❚ Comment analysez-vous cette élimination ?
Nous sommes tombés face à un adversaire très
réaliste, qui était surmotivé par l’ambiance et l’adversaire
qu’il affrontait. Quand vous commencez
le match avec deux buts de retard, forcément, ça
devient plus compliqué. Ensuite, les occasions, on
les a eues. Si nous avions réussi à égaliser, ça
aurait pu être un tout autre match. C’est vrai que
nous avons manqué de fraîcheur à la fin. Mais je le
répète, les occasions, on a réussi à se les procurer.
❚ Votre équipe a complètement raté sa première
période. Vous attendiez-vous à une remise en
route aussi difficile ?
C’était un match de reprise, avec pas mal de décalage
dans le niveau de préparation des joueurs.
Nous savions très bien qu’en venant ici, il y avait
un risque d’élimination, d’autant qu’il nous manquait
pas mal de joueurs. L’état du terrain n’a pas
arrangé les choses mais les conditions étaient les
mêmes pour notre adversaire aussi.
❚ Compte tenu du calendrier, cette élimination
peut-elle être considérée comme un mal
pour un bien ?
Tout d’abord, perdre un match, ce n’est jamais
une bonne chose. Et on n’était pas venus ici avec
dans l’idée de perdre. Maintenant, on sait ce qu’il
nous reste à faire et les échéances qui nous attendent,
à commencer dès la semaine prochaine
contre Bordeaux. On savait très bien qu’on ne
pourrait pas être compétitifs sur tous les tableaux.

Deschamps : «Evian a été réaliste»
Didier Deschamps n'a pas cherché d'excuse après la défaite de son équipe contre Evian (1-3), conscient de la largesse défensive de ses troupes.

Didier Deschamps conscient des lacunes affichées contre Evian.
Didier Deschamps n'a pas cherché d'excuse après la défaite de son équipe contre Evian (1-3). Trop de largesse défensive et un manque de réalisme chronique ont coûté la qualif' à son équipe.

Didier Deschamps, entraîneur de Marseille : «Nous avons eu les occasions et nous n'avons pas marqué. Ils nous plantent sur leurs deux premières occasions. C'est devenu alors plus compliqué mais nous avions débuté comme il le fallait. Nous avons fait preuve d'un peu de largesses défensivement, mais dans le jeu nous avons eu les opportunités


LUI PARLE DE LARGESSES DEFENSIVES ET NDIAYE DIT QU"ILS ONT FAIT LE MAXIMUM
FAUDRAIT ACCORDER LES VIOLONS
EST CE LE MAX OU LE MIN

Ce n'est pas suffisant"
jeudi 13 janvier 2011 à 19H46


Didier Deschamps n'est pas dupe. L'entraîneur olympien est parfaitement conscient des lacunes de son équipe et des problèmes que celle-ci traverse actuellement pour empocher des points. Le bilan des derniers matches le chagrine tout particulièrement. "En termes de résultat, ce n’est pas suffisant, nous avons pris quatre points sur quinze possibles lors des derniers matches. Forcément ce n’est pas suffisant et c’est logique qu’il y ait des équipes devant nous", a admis DD sur l'antenne d'OMtv.

Et d'ajouter : COMPRENNE QUI POURRA

On aurait pu perdre le championnat sur la première partie.
On ne peut pas le gagner sur la première partie.
En deuxième, on peut le gagner et on ne l’a pas perdu".

alagachon
14/01/2011 à 07h36 salut
parler pour ne rien dire, ce n'est plus du foot ça, c'st de la politique...........a moins que ce ne soit écrire pour ne rien écrire, juste un article pour faire un article.
demain tout le monde l'aura oublié !!

Deschamps : "On a repris la bonne route"
7 contributions Publié le dimanche 16 janvier 2011 à 23H05


Didier Deschamps peut souffler. Interrogé par Canal + au coup de sifflet final du match OM-Bordeaux, le technicien olympien s'est montré satisfait par ses hommes. "Cela a été un peu plus dur en seconde période, même si on a eu l'occasion de marquer le troisième qui aurait pu nous permettre d'être plus tranquille. C'est bien d'avoir repris goût à la victoire face à un adversaire pas facile à jouer et avec beaucoup de densité physique. On a eu le bonheur de mettre deux buts en première période. On a repris la bonne route, estime "DD". On se complique à la récupération. On a tendance à trop porter la balle au lieu de faire une passe pour mettre le partenaire dans de bonnes conditions. Ensuite, il y a moins d'espaces. C'était important de gagner par rapport à notre parcours. Les autres ont gagné samedi alors jouer après tout le monde, ce n'est pas toujours une bonne chose. Le contrat est rempli. On va récupérer pour jouer une place en finale de Coupe de la Ligue à Auxerre."



tonin0767
exact, même si le match était pourri, seul compte les 3 points, alors arretez de faire les fines bouches !!!!!!!!!!! c'est bordeaux en face, et pas arles !!
A2RN
17/01/2011 à 08h44 On se reveille d un coup avec le feu d artifice, l om a gagne ah bon c est bien...Sans commentaires!

DD n'est qu'un porte bonheur...


bibi1316/01/2011 à 23h21
Une belle victoire un but de GIGI et de BRANDAO des joueurs tellement décrier ces derniers temps...
ALLEZ L'OM

LES 3 QUESTIONS à Deschamps
"Positif mais la
route est longue

❚ Vous êtes un entraîneur heureux ?
Oui, parce qu’il y a la victoire au bout même si ça
a été compliqué avec ce petit but d’avance. On
aurait pu faire mieux dans la maîtrise en seconde
période ; on perdait trop vite le ballon, sans la luci
dité de faire la bonne passe. L’adversaire a mi
beaucoup de densité physique. On regoûte à la vic
toire, ça faisait longtemps.
❚ Comme toutes les équipes de tête, vous avez
pris trois points.
Dans notre situation, il faut enchaîner les victoi
res. Jouer en dernier le week-end, garder le même
écart passait par un succès. C’est positif mais la
route est encore longue. C’est une constante d’être
maître chez soi, à domicile.
❚ Vous êtes rassurés par vos deux attaquants ?
Quand ce sont les attaquants qui marquent e
qu’on gagne, c’est toujours bon pour la confiance
Le public a toujours été exigeant. Brandao a inscri
un but du droit et en a raté un, qui est passé juste
au-dessus. Gignac à gauche, et Brandao dans l’axe
c’est une solution. Leur complémentarité est à tra
vailler. Gignac n’est pas un ailier, mais beaucoup
d’attaquants dits axiaux évoluent sur un côté

OM - «La victoire de tout un groupe»




Deschamps félicite Gignac pour son but. (EQ)
Didier Deschamps en a profité pour saluer la performance globale de son équipe, qui disputera la finale de la Coupe de la Ligue grâce à sa victoire en Bourgogne (2-0).

« Didier Deschamps, l'OM va disputer sa deuxième finale de Coupe de la Ligue consécutive...Vous me connaissez : pour moi, une finale est belle seulement si on la gagne. La Coupe de la Ligue, il ne faut pas la minimiser. Aller deux fois de suite en finale, ce n'est pas courant.
L'année dernière, nous l'avions remportée alors que le club n'avait plus gagné de titre depuis plusieurs années. Nous allons essayer de conserver notre titre. Et je n'espérais pas plus Montpellier, que nous rencontrerons une semaine plus tôt en Ligue 1, que le Paris SG.

La finale aura lieu dans trois mois (Ndlr : le 23 avril, au Stade de France). C'est loin. D'ici là, il y aura d'autres échéances.

Comment expliquez-vous les dix premières minutes difficiles de votre équipe ?Bien sûr, je préfèrerais que nous entamions les matches pied au plancher, car cela nous éviterait d'être mis en difficulté. Mais cette mise en route difficile n'est pas illogique, puisque nous avons joué trois jours avant ce match à Auxerre face à Bordeaux (2-1).

Que retenez-vous principalement de la performance de votre équipe ? La maîtrise générale et la réussite des attaquants, deux choses qui vont de pair. Hormis les dix premières minutes, je pense que nous avons fait un bon match, et que notre qualification est méritée. Ce n'est jamais facile de venir jouer à Auxerre. J'ai vu de bonnes choses, peut-être meilleures que dimanche contre Bordeaux.
C'est pour cela que j'avais reconduit quasiment la même équipe, puisque seul Mbia remplaçait Heinze, blessé.Contre Auxerre, Brandao et Gignac ont marqué... Ils avaient marqué contre Bordeaux. Ils confirment leur efficacité. C'est à eux de maintenir ce niveau de performance. Leur complémentarité est intéressante, mais elle peut être améliorée, grâce aux entraînements et aux matches.
Mais c'est avant tout la victoire de tout un groupe


.Mercredi soir, Lille a battu Nancy (3-0), et a accentué son avance au classement...Tant mieux pour eux. Ils ont désormais trois points de plus. Ils sont en tête, et c'est logique par rapport à leurs résultats. La chasse est ouverte, et pas seulement pour nous...

Didier Deschamps (entraîneur de Marseille): «Se qualifier deux fois de suite pour une finale, ça n'arrive pas tout le temps, surtout ici où le dernier match avait été dur. Mais ce soir, on a su montrer une efficacité défensive alors que notre récupération avait été courte depuis dimanche. Les joueurs ont confirmé ce soir qu'ils avaient beaucoup de caractère, de lucidité et pour moi c'est une grosse satisfaction. Maintenant il y aura beaucoup d'échéances avant la finale, qui sera jouée dans trois mois. Mais c'est un vrai bonheur pour nos supporters qui vont remonter au Stade de France. On fera tout pour renouveler la victoire de l'an passé. Ce soir, j'ai vu de bonnes choses, de bonnes dispositions de mon équipe comme dimanche dernier où tout le monde n'était pas d'accord avec mon point de vue. L'association Brandao-Gignac a encore été efficace mais il y a beaucoup de joueurs autour d'eux qui l'ont été tout autant et c'est une victoire de tout un groupe.»