DIDIER DESCHAMPS , ENTRAINEUR DE L'EDF

L’entraîneur olympien sera le parrain du 30e Tournoi international de Cabriès, catégorie U15, qui se déroulera du jeudi 13 au dimanche 16 mai. Didier Deschamps succède ainsi à Jean-Pierre Papin (2009) et Samir Nasri (2008), et devrait assister à la cérémonie d’ouverture de ce rendez-vous incontournable dans la région. Dix équipes, dont cinq étrangères, seront en lice pour tenter de succéder à la JS Kabylie, vainqueur de la précédente édition.

Deschamps : "Rien n'est acquis"
517 contributions Publié le vendredi 23 avril 2010 à 19H34

Toujours aussi serein, l'entraîneur olympien n'oublie pas de maintenir ses hommes sous pression


"On ne doit pas penser que c'est acquis, on a encore tout à aller chercher", tempère Didier Deschamps au sujet de la course au titre.

Photo Franck Pennant


Jovial, détendu et toujours aussi chambreur avec ses hommes lors de la séance d'entraînement, Didier Deschamps respire la tranquillité. Seule la chaleur dégagée par les spots peut faire illusion : "Il fait chaud ici... Ne dites pas que j'ai la pression, c'est juste la lumière qui me fait cet effet", lâche le coach olympien au sujet de son front rougi, sourire en coin. Mais, au-delà de la décontraction apparente, "DD" reste fidèle à sa ligne de conduite : prendre les matches les uns après les autres et, ensuite, tirer le bilan en fin de saison. Sans oublier de maintenir ses hommes sous pression... Morceaux choisis.

Vous recevez Saint-Etienne ce dimanche. C'est un match important pour la course au titre...
Didier Deschamps : C'est une nouvelle étape. L’objectif est de gagner pour rester maître chez nous, au Vélodrome, et de prendre les points le plus rapidement possible.

L'engouement autout de l'OM peut-il être dangereux dans cette fin de saison ?
D.D. : Ce qui est sûr, c'est que je ne peux pas contrôler l'engouement. L'effervescence populaire est là. Tant qu'elle n'a pas d'emprise sur le groupe, ça va. Cela fait partie de mon boulot d'être vigilant sur tous ces aspects. On ne doit pas penser que c'est acquis; on a encore tout à aller chercher.

Justement, sentez-vous votre groupe résister à cette pression ambiante ?
D.D. : Ils ne sont pas euphoriques. Là, il y a eu une longue semaine. Ils ont pu profiter des jours de repos; certains l'ont très bien fait... (sourire). On s'est remis au travail pour préparer au mieux ce match contre les Verts.

"Certains l'ont très bien fait" : c'est à dire ?
D.D. : Ils ont profité... Ils ont eu droit à deux jours et demi donc ils ont eu le temps.

Vous évoquez ceux qui se sont rendus à Paris ?
D.D. : Non, non. Je ne sais pas où ils sont allés, je n'avais de puce GPS ! (rire) Chacun fait ce qu'il veut, où il veut, avec qui il veut. Mais si je leur donne des jours de repos et qu'ils viennent à La Commanderie, je m'inquiéterai un petit peu ! Ils décompressent. Après la série de matches, ils en avaient besoin.

Revenons au jeu. N'est-ce pas un match piège ? Saint-Etienne a besoin de points, Galtier connaît le stade Vélodrome et Marseille...
D.D. : Oui, mais il ne sera pas sur le terrain ! (sourire) De toute façon, aucun match n'est simple. On l'a vu à Boulogne. Jouer l'OM, c'est toujours particulier. Ce ne sera pas un match simple. Les Verts ne viendront pas là pour se balader, ils auront à coeur de faire un bon résultat. On le sait. A nous de maîtriser le sujet. Après, mathématiquement, ils ont une marge de huit points d'avance sur Le Mans. Si Lille s'impose contre les Manceaux, les Stéphanois auront une belle bouffée d'oxygène. De là à dire que cela modifiera les plans de Christophe Galtier...

Les résultats des concurrents directs de l'OM peuvent-ils influencer vos joueurs ?
D.D. : Je ne pense pas... et je ne l'espère pas. Peu importe ce que font les autres équipes. A nous de l'emporter pour passer un bon week-end.

Êtes-vous satisfait, pour l'instant, de la manière dont le groupe gère ce statut de leader ?
D.D. : Globalement, oui. Même si tout n'a pas été parfait, ça a été excellent dans les résultats. Notamment avec la série de cinq matches en 14 jours. On ne pouvait pas faire mieux. Après, le contenu a été bon, moins bon, voire pas bon par période : mais c'est impossible de tout maîtriser.


Parvenez-vous, vous et les joueurs, à prendre du plaisir au-delà de la pression qui entoure le club ?
D.D. : Heureusement qu'il y a du plaisir. Je ne sais pas ce que l'on fait là sinon. C'est en jouant et en gagnant qu'on se fait plaisir. Donc les joueurs en prennent et moi aussi, même si il y a une remise en question très rapide ensuite.

Êtes-vous plus nerveux en cette fin de saison ?
D.D. : Non. Je suis relativement tranquille. D'ailleurs, il vaut mieux que je ne sois pas stressé car j'aurais du mal à transmettre de la sérénité à mes joueurs. Le plus important concerne les joueurs, leur façon d'appréhender le match. Et puis, de toute façon, il y a suffisamment de joueurs d'expérience pour tempérer tout ça.

Avez-vous d'ores et déjà réussi votre saison ?
D.D. : Non. On a gagné la coupe de la Ligue : ça, on ne pourra pas nous l'enlever. Maintenant, il reste cinq matches. On fera le bilan à la fin...

Jovial, détendu et toujours aussi chambreur
avec ses hommes, Didier Deschamps
respire la tranquillité. Seule la chaleur dégagée
par les projecteurs en salle de presse
peut faire illusion : "Il fait chaud ici... Ne dîtes
pas que j'ai la pression, c'est juste la lumière
qui me fait cet effet", lâche le coach
olympien au sujet de son front rougi, sourire
en coin. Mais, au-delà de la décontraction
bien palpable, "DD" reste fidèle à sa ligne de
conduite. Sans oublier de maintenir ses hommes
sous pression...
Ces derniers ont pu souffler en début de
semaine. Royal, l’entraîneur marseillais leur
a accordé deux jours de repos au lendemain
du déplacement à Boulogne/Mer. Une aubaine
pour les organismes et les esprits après
un marathon de cinq rencontres en 14 jours.
Aussi, si la plupart des joueurs a rallié Marseille
avec le bus de l’équipe, sept d’entre
eux (Abriel, Cheyrou, Cissé, Diawara, Mandanda,
Niang et Rool) ont effectué une halte
parisienne.
"Ils ont pu profiter. Certains l’ont même
très bien fait." Mais encore? "Ah non, je ne
savais pas qu’ils étaient à Paris. Je ne leur ai
pas mis de puce "GPS" dessus !", assure-t-il
dans un éclat de rires, comme pour balayer les
comparaisons avec Guy Roux... "Chacun fait ce
qu'il veut, où il veut, avec qui il veut. Mais si je
leur donne des jours de repos et qu'ils viennent
à La Commanderie, je m'inquiéterais un petit
peu ! Ils décompressent."
Dans ce groupe où l’osmose prédomine, la
gestion humaine demeure finalement un élément
substantiel. Et dans cet exercice, DD
avoue apprendre chaque jour. "Depuis le début
de saison, cela m’arrive fréquemment de recadrer
mes hommes. Ce n’est pas forcément lié
au contexte ou à la situation dans laquelle on
se trouve. Cela peut aussi concerner ce qu’ils
peuvent vous dire et qui ne s’avère pas très judicieux."
En ligne de mire : Stéphane Mbia.
Pour rappel, le Camerounais avait reconnu
se rendre au concert de la chanteuse Rihanna,
mercredi soir au Dôme de Marseille, plutôt que
de regarder la demi-finale de Ligue des champions
entre le Bayern et Lyon. "Ils disent ce
qu’ils veulent. Je peux leur faire une réflexion,
leur donner un conseil. En tout cas, je ne leur
écris pas des phrases qu’ils doivent vous répéter.
Vous vous en apercevriez. D’ailleurs, je ne
serais pas allé au concert de Rihanna (rires).
"Rien ne m’embête, c’est un détail. C’est juste
que des personnes du monde du foot peuvent
lire ça. Après, j’en ai connu qui ne connaissaient
même pas les joueurs qu’ils allaient affronter.
Ça ne les a pas empêches de gagner
des titres importants. Simplement, ils se taisaient.
Je pense vraiment que toutes les vérités
ne sont pas bonnes à dire..."
Jean-

DESCHAMPS PEU DISERT SUR PLATINI...
Interrogé hier sur la sortie de Michel Platini dans nos colonnes, à propos
de Raymond Domenech, l’entraîneur olympien n’a pas voulu en
rajouter. "Si c’est lui qui le dit, a glissé DD dans un sourire. Il a le droit
de dire ce qu’il veut, c’est le président de l’UEFA. Mais je lis..."
◗ ... ET SUR L’AFFAIRE DE PROXÉNÉTISME
Dans la foulée, Didier Deschamps a refusé de commenter l’affaire de
proxénétisme qui secoue l’équipe de France et surtout Franck Ribéry.
"Cela relève de la sphère privée, a lâché le coach marseillais. Moins
les médias en parlent, mieux c’est."


EN DIRECT DU CENTRE D’ENTRAÎNEMENT ROBERT LOUIS-DREYFUS
GESTION
Deschamps : "Pas de puce GPS sur mes joueurs"
Concentré dans la course au titre,
DD suit avec attention le comportement
de ses hommes. /

le dernier quart d'heure il a failli avaler la spatule qu'il avait dans la bouche

Didier Deschamps : «C'est très bien, l'essentiel c'est le résultat même si ça n'a pas été facile car il y avait une équipe de Saint-Etienne de qualité, qui a joué et cherché à marquer des buts, chose que je l'avais vue moins faire, notamment sur le dernier match à domicile. On a fait une bonne première mi-temps, le regret, c'est que l'on a eu des occasions que l'on n'a pas saisies. Après, en deuxième mi-temps, on a souffert même si on est resté solide. On a eu du mal à ressortir les ballons et on a été mis souvent sous pression. On est à la première place avec cinq points d'avance mais c'est dur pour tout le monde. J'ai vu Auxerre cet après-midi, même s'ils ont gagné 3-0, ça n'a pas été simple. Et puis, on a vu Boulogne et St Etienne, quand ils rencontrent Marseille, il y a un enthousiasme, une générosité plus importante».

Deschamps : "Le calendrier a été compliqué cette saison"
Publié le jeudi 29 avril 2010 à 07H20


Interrogé, hier, sur les nombreuses requêtes visant à reprogrammer des matches en Ligue 1, Didier Deschamps a fait part de sa position sur le sujet. "Cela ne m'agace pas spécialement, a-t-il dit. Ce n'est pas moi qui fixe les matches. C'est l'affaire des diffuseurs. Ils nous disent de jouer un vendredi, eh bien, on joue ce jour-là. Pareil si c'est un dimanche. C'est comme ça. Chacun fait ce qu'il veut."

L'entraîneur olympien a cependant reconnu qu"'il y a des choses qui peuvent être discutables. On peut évoquer l'équité. Il y a des différences, ça, c'est sûr. Lorsqu'elles sont favorables, on en parle moins ; quand elles ne le sont pas, on entend davantage de réactions. De toute façon, le calendrier a été compliqué durant toute la saison avec la somme d'impondérables que l'on a connu. Et il le sera jusqu'au bout."

IL ME FAIT PENSER A UN COQ BATAILLEUR AVEC SA CRETE ..DD



Deschamps : «Une bonne opération»

Même s'il se refuse toujours à parler de titre, Didier Deschamps a avoué que ce point pris à Auxerre était une bonne affaire comptable pour l'OM, qui garde cinq points d'avance.

«Didier Deschamps, satisfait ou déçu par ce nul ?
Nous avons pris un bon point face à une belle équipe d'Auxerre. On a affronté une formation de haut niveau. On a quand même eu les occasions les plus franches, même s'il faut bien reconnaître qu'Auxerre s'en est procuré quelques unes. On a fait un match solide contre une formation qui nous a fait mal cette saison. C'est la seule qui nous a pris quatre points.

Mais pour le titre, ça sent bon quand même non ?
Disons que ça ne sent pas mauvais... On reste à la même place. C'est une étape de plus. Au mieux, on pouvait repartir avec un avantage plus conséquent. Mais bon, c'est une bonne opération pour nous.


Le match est resté assez fermé. Qu'avez-vous apprécié de vos joueurs ?
Je suis satisfait de notre maîtrise lors de la première période. Auxerre est une équipe pas facile à jouer et on ne voulait pas se faire prendre en contre. Pour cela, on avait pris des mesures de précautions. Auxerre n'est pas là par hasard. Ils ont notamment une belle densité physique. C'est quand même la seule équipe contre qui nous n'avons pas marqué de but en deux rencontres.

Vos attaquants ont paru émoussés...
Ils ont eu quelques occasions. Brandao en a eu deux en deuxième période. Mamadou (Niang) et Lucho s'en sont procurées aussi en première. Lors d'un match comme ça, c'est dur d'en avoir. Et puis, si nous avons été émoussés, les autres attaquants en face ont dû vous paraître tout autant. Franchement, Auxerre, c'est du solide.

Qu'avez-vous pensé de l'arbitrage ?
Ce n'était pas facile par rapport à ce qui a été dit avant le match. Il ne faut pas chercher des suspicions. Il n'y a pas besoin d'en avoir. L'arbitre a été bon et il n'y a aucun doute à avoir sur son intégrité, même s'il peut se tromper.

Il s'est quand même trompé sur Brandao (victime d'un coup sur Hengbart et non averti) ?
Ha bon ? Je n'ai pas vu. L'arbitre peut se tromper. Il s'est peut-être aussi trompé sur Pedretti. Mais je suis incapable de juger. Je n'ai pas revu les images.

Didier Deschamps a évoqué son avenir, indiquant qu'il honorerait sa deuxième année de contrat à Marseille
) : «Ce qui m'intéresse, c'est le moyen ou le long terme.


En remportant la Coupe de la Ligue, on a mis fin à une anomalie. En Ligue des champions, on ne peut pas se contenter de faire de la figuration. C'est important, aussi, que Marseille retrouve ses couleurs sur la scène internationale.» Une décision qui devrait ravir les supporters phocéens, à qui DD va très probablement offrir le titre de Ligue 1, attendu depuis 18 ans sur la Canebière

EXORCISME

''Rennes va tenter un coup au Vélodrome''
04/05/2010

TROP MALIN CE DD




http://www.laprovence.com/video/%27%27Rennes+va+tenter+un+coup+au+V%C3%A9lodrome%27%27/iLyROoafv53J



Didier Deschamps garde le souvenir d'un match aller très accroché à Rennes (1-1) et s'entend à une nouvelle partie difficile ce mercredi au stade Vélodrome contre les hommes de Frédéric Antonetti. Un sentiment partagé par Laurent Bonnart, persuadé que les Bretons vont vendre chèrement leur peau pour retarder le sacre olympien

Franchement je l'aime bien DD,
mais Brandao à la place de HBA et Kaboré à la place de cheyrou, ca commence à me gonfler, pourvu que le grand zgeg se barre en fin de saison, il ne fout plus rien depuis 10 matchs, et cheyrou est bien plus technique et porté vers l'avant que kaboré

esperons qu'il ait raison
le titre est plus important que nos considérations

DD : «Une énorme satisfaction»

Didier Deschamps savoure. Pour sa première saison à la tête de l'OM, le technicien a guidé ses troupes jusqu'au doublé Championnat-Coupe de la Ligue.

«Didier Deschamps, cette fois vous pouvez enfin le dire...
On est champion!

Et quel effet ça fait ?
Évidemment c'est une énorme satisfaction même si je suis encore dans la retenue. Le mérite en revient d'abord aux joueurs, parce que ce sont eux les acteurs. C'était une aventure extraordinaire. Une belle victoire pour tous le club, tous les salariés. Ce n'était pas évident mais on y est arrivé c'est le résultat de neuf mois de travail... Quand on voit le stade dans cet état, c'est fantastique. C'est une joie différente qu'en tant que joueur. C'est une grosse satisfaction d'avoir pu faire ce doublé.

Quand on voit dans les tribunes une banderole qui dit quot;Deschamps comme joueur ou comme entraîneur tu fais notre bonheurquot;, qu'est-ce qu'on ressent ?
On m'a parlé de cette banderole, mais je ne l'ai pas vue. Un des aspects qui m'a fait accepter ce challenge c'est les moments que j'ai connu ici en tant que joueur. J'ai fais un choix affectif quand je suis allé quot;renvoyer l'ascenseurquot; à la Juve. Il y avait ce sentiment là aussi en venant à Marseille. Et je pense que j'ai fait le bon choix. C'est formidable de voir une enceinte aussi joyeuse. Il n'y a que le sport qui vous offre des moments pareils.

Avez-vous craint que Rennes gâche la fête ?
Rennes est une équipe de qualité, on l'a vu notamment en première mi-temps. Mais je crois que l'enjeu nous a aussi un peu tétanisé. A la mi-temps j'ai dit à mes joueurs qu'il fallait se lâcher, et ne pas avoir de regrets. Ils ont réussi à le faire.

A quel moment avez-vous senti que vous pouviez gagner le titre ?
Je n'ai jamais douté du potentiel de mon équipe ni de la qualité de mes joueurs. On a fait une bonne première partie de saison mis à part Auxerre qui nous plombe tout avant Noël. Après je pense que notre élimination contre Benfica nous a permis d'être champion. On est resté longtemps caché à la 2e place, mais on a vraiment fait la différence quand on a remporté ces cinq matches en quatorze jours.

Et maintenant vous visez la coupe d'Europe ?
Soyons sérieux ! Il faut avoir de l'ambition mais il faut aussi des moyens. La saison prochaine sera encore plus difficile, je le sais bien. Il faudra donc renforcer cet effectif.


Cette saison déjà vous avez obtenu pratiquement ce que vous souhaitiez en matière de recrutement...
J'ai dit que je remerciais Jean-Claude Dassier et Vincent Labrune de m'avoir fait confiance. Les résultats me donnent raison. Pour la saison prochaine, vous pouvez faire circuler tous les noms que vous voulez. Moi, les noms, je les ai dans ma tête.

En quoi Marseille est-il un club à part comme vous le répétez souvent ?
Si ce club a connu une disette aussi longue, il y a sans doute des raisons. Les équipes qui jouent contre nous se transcendent toujours, les stades sont pleins partout où on va, pour y réussir il faut la culture de la gagne et beaucoup de sérieux et de travail.

Il devait y avoir une sacrée ambiance dans les vestiaires...
Et ce n'est pas fini ! Demain je vais récupérer quelques fantômes mais ce n'est pas grave

JE VOUS DIS PAS LE SALAIRE
QUE L'OM VA LUI PROPOSER POUR RESTER.........




Je suis très fier d’être là et d’avoir pu donner du plaisir et de voir le stade comme ça en ébullition. Pour les gens qui n’ont pas connu ça, l’OM qui gagne des trophées, c’est génial. Je ne sais pas danser sur la table, je suis mauvais danseur, pour l’instant je suis toujours dans la retenue. J’ai connu ça en tant que joueur en tant qu’entraîneur, la joie est un peu plus contenue mais c’est une grosse satisfaction d’avoir pu remporter ce titre à Marseille.

LUI L"ANCIEN DEMI DEFENSIF DE DEVOIR ...
LOGIQUE QU" IL PRIVILEGIE L"ASPECT DEFENSIF

OM - Deschamps : Pourquoi ça marche ?




C'est notamment dans sa gestion des cas Ben Arfa et Valbuena que Deschamps a été très intelligent.
Marseille champion de France, c'est avant tout la victoire de Didier Deschamps. L'entraîneur olympien a su prendre les bonnes décisions tout au long de la saison.

Didier Deschamps a su insuffler à son équipe la culture de la gagne. Tout le monde le reconnaît: la victoire de l'OM est avant tout la sienne. L'entraîneur marseillais, choisi par Pape Diouf, ne s'est jamais leurré sur l'ampleur de la tâche. «Je savais que ce ne serait pas facile, et ça ne s'est pas fait tout seul.» Le début de saison difficile, il l'avait certainement envisagé mais il n'avait sans doute pas programmé tous ces changements de dirigeants en peu de temps, les blessures de Lucho et la forme fluctuante de nombreux joueurs. Il n'a pourtant rien lâché, ni de ses convictions, ni de ses principes. L'esprit de compétiteur se travaille tous les jours à l'entraînement. Ce fut fait. «L'état d'esprit a mis du temps à être commun mais on y est arrivé. Les joueurs au fil des matchs se sont identifiés à un projet commun.»

Sa réussite s'est dessinée en seconde partie de saison. Et c'est dans sa gestion du groupe qu'il fut le plus remarquable. Il a, dès le début janvier, relancé Valbuena et Ben Arfa. Bon nombre d'entraîneurs auraient mangé leur chapeau plutôt que de revenir sur leurs premières déclarations. Le quot;Petitquot; ne montrait pas, selon l'ancien champion du monde, un comportement professionnel. Mais dès qu'il est revenu à de meilleurs sentiments, Valbuena a eu de nouveau sa chance comme Ben Arfa. Deschamps n'a jamais dévié de sa règle: ceux qui le méritent sont alignés en match. Il a dû aussi gérer quelques choix délicats ces dernières semaines. En préférant notamment Kaboré à Cheyrou, l'un des meilleurs dans les premiers mois de l'exercice, il savait qu'il allait le mettre en difficulté pour une éventuelle place en sélection. «Si je devais faire mes choix sur l'affectif, je n'aurais jamais fait jouer Mathieu. Mais je ne fonctionne pas comme ça. Je les fais toujours pour le bien de l'équipe.» La fin de saison lui a donné cent fois raison.

Deschamps, enfin, a su rééquilibrer l'équipe par des choix judicieux, sans tenir compte des ego des uns et des autres. Il a formé un axe central très solide en repositionnant Mbia en défense. C'est sans doute l'un de ses meilleurs choix et la clé de ce renouveau. Il a permis à l'OM de s'appuyer sur un trio très complémentaire, avec Cissé qui a libéré le secteur offensif. Deschamps renoue ainsi avec la tradition marseillaise d'une base défensive forte d'où part la construction de toute une équipe

Didier Deschamps : «Je suis très fier de ce qu'ils ont réalisé. Il y a eu beaucoup de coeur, de jeu, de générosité. Ils ont joué le jeu. Les Lillois aussi. Ce soir, on a vu un champion qui n'a rien lâché. Nous perdons dans les arrêts de jeu. Tant mieux pour les Lillois. On a joué un vrai match de foot, dans l'état d'esprit, on n'a pas fait de cadeau. (...) On préparera sérieusement le dernier match à domicile. On va faire en sorte que la fête soit belle. Il ne peut rien nous arriver de toute façon. Je vais préparer ce match pour le gagner. Quoi qu'il arrive, ça n'enlèvera rien à tout ce qu'on a fait cette saison. C'est une énorme fierté d'avoir gagné ce doublé et surtout ce titre de champion. C'est quelque chose d'exceptionnel

L’INTERVIEW de Didier Deschamps
"Je ne veux pas aller devant le conseil de l’éthique..."

Dehors, les feux d’artifice crépitent. En
ce dernier match de la saison au Stadium
Nord, Didier Deschamps fait son
entrée dans la salle de presse. Malgré
l’excellent comportement de son équipe,
l’entraîneur olympien apparaît passablement
agacé. Les décisions de l’arbitre,
M. Fautrel, ont été pour le moins déconcertantes
et "DD" ne l’a pas caché,
hier soir, à l’issue du match.
❚ Quel jugement portez-vous sur la prestation
de vos joueurs ?
Je suis très fier de ce qu’ils ont réalisé. On a
joué le jeu. Il y a beaucoup de coeur et de
générosité. Ensuite, à vous de commenter
ce qui s’est passé... Moi, je ne vais pas m’y
risquer, sinon, on va me suspendre. On perd
dans les arrêts de jeu, alors que l’on a joué
très longtemps à dix. Après avoir acquis le
titre mercredi, mes joueurs étaient
peut-être un peu fatigués. Mais ils ont eu un
comportement exemplaire aujourd’hui.
❚ Le rendement de votre équipe fait taire
en tout cas les critiques qui commençaient
à s’élever sur sa réelle motivation en
cette fin de saison...
On a vu le champion qui a tout fait pour disputer
un match de compétition. Il n’a rien lâché.
Mais cela n’a pas suffi. Tant mieux pour les Lillois.
Je ne discute pas leur victoire. Ils la méritent.
❚ L’expulsion de Steve Mandanda vous reste
visiblement en travers de la gorge.
Était-elle justifiée ?
Ça, c’est à vous de le dire. Il y a des règles,
après, je ne vais pas m’aventurer là-dedans,
autrement... Je n’ai pas envie d’aller devant le
conseil de l’éthique.
❚ Il y a eu le même fait de jeu à Valenciennes,
avec Lyon. Mais le gardien de l’OL, Hugo
Lloris, n’a pas été expulsé, lui. Qu’est-ce que
cela vous inspire ?
Je ne sais pas. Je n’avais pas l’écran sous les
yeux, évidemment. J’étais concentré dans mon
match. Je pense qu’il y a une règle. On fait des
réunions en début de saison, où les entraîneurs
prennent le temps de se déplacer à Paris
pour discuter avec les arbitres, et on nous dit
qu’à partir du moment où la trajectoire de la
balle va vers l’extérieur, il n’y a pas faute.
En revanche, si elle va vers l’intérieur et qu’il y
a possibilité de marquer, c’est carton rouge. À
vous de juger si la balle allait vers le but et si
Gervinho pouvait marquer.
❚ Il vous reste encore un match à disputer
face à Grenoble samedi prochain au stade Vélodrome.
Qu’en attendez-vous ?
Nous allons faire en sorte que la fête soit belle.
De toute façon, il ne peut rien nous arriver. Je
vais préparer ce match-là pour le gagner. Ensuite,
on passera à la célébration du travail accompli
tout au long de la saison.

LE COMMENTAIRE sur les Olympiens préconvoqués
Deschamps: "C’est une
récompense pour eux"

Il y a une semaine, au lendemain
de leur sacre, les champions
de France étaient apparus
bien fatigués après une nuit à célébrer
le titre. Décontractés, libérés,
ils s’étaient entraînés sur un
mode mineur, masquant leurs petits
yeux derrière une paire de lunettes
noires. Hier après-midi,
pour la reprise de l’entraînement
après trois jours complets de repos,
l’heure était encore un peu à
la détente, même s’ils veulent
mettre un point d’honneur à boucler
le championnat sur une victoire
devant Grenoble, samedi,
au Vélodrome. Baky Koné a ainsi
pénétré sur le terrain avec un parasol
dans les mains, tandis que
Taye Taiwo a vidé un grand seau
d’eau sur Mathieu Valbuena dans
un remake du 5 mai lorsque le
"Petit" avait arrosé tout le monde
au champagne.
Le cheveu mouillé, Valbuena
est, alors, parti dans un grand
éclat de rire. Préconvoqué pour
la coupe du monde, l’attaquant
olympien est en train de vivre
une fin de saison de rêve. On l’a
vu ainsi détendu au cours des divers
exercices. Tout comme Hatem
Ben Arfa, autre membre de
la désormais fameuse liste des
30. Suspendu samedi après avoir
été expulsé contre Lille, Steve
Mandanda a commencé par opérer
dans le champ, laissant son
suppléant Andrade se préparer
avec Laurent Spinosi pour cette
ultime échéance en club. Mais
c’est bien pour être dans la cage
que l’ancien Havrais a été retenu
par Raymond Domenech!
Trois Olympiens dans la pré-liste
du sélectionneur... Didier Deschamps
a fait part, hier, de sa satisfaction
: "Je suis content pour
eux, a-t-il déclaré en conférence
de presse. Pour chacun, il s’agit
d’un objectif, même si pour Steve,
c’était pratiquement acquis.
Pour Mathieu et Hatem, cela récompense
leur travail. C’est une
très bonne chose pour l’OM. Maintenant,
c’est une liste de 30; il
faudra attendre la sélection définitive.
J’espère que nos trois
joueurs y seront."
Pour Lucho Gonzalez, c’est déjà
réglé. Le meilleur passeur de
la Ligue 1 ne figure pas parmi les
30 Argentins préconvoqués par
Diego Maradona. Hier, il a semblé
touché par cette décision. Interrogé
à ce sujet, Gabriel Heinze,
cadre de la sélection albiceleste,
s’est dit "triste" pour son coéquipier.
En une semaine,El Comandante
sera passé de l’euphorie
au dépit.

DIDIER ET LOLO ONT MONTE CE STRATAGEME ... POUR L "ANNONCER LE PLUS VITE

RAYMOND DEVRAIT NOUS QUITTER AVANT DIMANCHE.....16
POUR MONTER
UNE PIECE DE THEATRE AUX FOLIES BERGERE BON VENT




Deschamps confirme pour Blanc
Didier Deschamps a vendu la mèche lors du Forum-L'Equipe-SFR de Charles Biétry : Laurent Blanc sera bien le successeur de Raymond Domenech.




Didier Deschamps a reconnu que son ami, Laurent Blanc, sera bien le prochain sélectionneur.
Didier Deschamps a vendu la mèche lors du Forum de jeudi :

Laurent Blanc sera bien le successeur de Raymond Domenech à la tête de l'équipe de France.

C'était un secret de polichinelle.
Didier Deschamps a confirmé ce jeudi, lors d"un Forum que Laurent Blanc sera bien le prochain sélectionneur de l'équipe de France. «C'est très bien, c'est un très bon choix, a reconnu l'entraîneur de l'OM,
très proche de son homologue des Griondins de Bordeaux.

«Lolo, c'est différent. On est ami, donc on parle de tout et depuis bien longtemps. Donc on a parlé de ça, mais c'est entre nous, a-t-il poursuivi. C'est entre deux amis, deux anciens joueurs et entraîneurs maintenant. On en a discuté». Et l'entraîneur de reconnaître implicitement qu'ils en avaient parlé avec leur agent, Jean-Pierre Bernès : «On a des personnes en commun aussi qui nous conseillent». La fin d'un long suspense.

Mercato : Deschamps va passer à l'attaque
mercredi 19 mai 2010 à 07H08

En se séparant de plusieurs joueurs, le technicien de l'OM redessinerait son potentiel offensif autour d'un grand buteur.


Pour des raisons différentes, Ben Arfa, Brandao, Morientes et Koné sont appelés à changer d'air.



Le mercato estival n'a pas encore ouvert ses portes. Il ne sera officiellement lancé que dans trois semaines. Mais on sait d'ores et déjà que Didier Deschamps va s'attaquer à un nouveau chantier : offensif, celui-ci, après avoir fait l'effort sur le secteur défensif à son arrivée à l'été 2009. Plusieurs joueurs pourraient migrer rapidement sous d'autres cieux.

Premier candidat au départ, Fernando Morientes. L'Espagnol a traversé la saison comme une âme en peine. Il lui reste un an de contrat et on voit mal comment un joueur si bien rémunéré pourrait encore suivre les matches en tribunes... Les deux parties pourraient discuter très vite d'une séparation en bon terme. A moins que Nando ne décide de partir en grand seigneur.

Bakari Koné devrait également changer d'air, comme nous vous l'annoncions hier. L'international ivoirien est en contact avancé avec un club qatari. Il pourrait d'ailleurs être le premier Olympien à être officiellement transféré et rapporter quelques subsides à l'OM. Brandao, qui s'apprête à célébrer ses 30 ans, n'est pas non plus un gage d'avenir. Au contraire de Hatem Ben Arfa qui réclame davantage de temps de jeu, ce que Deschamps ne peut pas lui garantir. A ce jour, le club n'est pas vendeur.

Côté arrivées, le Rennais Jimmy Briand pourrait répondre favorablement aux avances de l'OM dès l'ouverture du mercato. Mais il ne devrait pas être l'unique recrue offensive, puisque les dirigeants se sont mis en quête d'un avant-centre, capable d'amener à lui tout seul (ou presque) l'OM au-delà de la phase de poule en Ligue des champions...

Deschamps : "Champion, ce n’est pas un hasard"
8 contributions Publié le vendredi 21 mai 2010 à 07H18

Pour l’entraîneur olympien, le titre, c’est la récompense d’un travail de toute l’année


Après cette magnifique mais éprouvante saison, Didier Deschamps a besoin de prendre du recul et de se ressourcer auprès de ses proches.

Photo Guillaume Ruoppolo


Il était le seul à savoir. Le seul à avoir déjà goûté au succès à Marseille. Le seul à avoir déjà vécu la folie des défilés vers le Vieux-Port. Car, même si le dernier titre de champion, gagné en mai 1993, a été retiré en septembre, Didier Deschamps avait profité pleinement de la joie populaire du printemps qui entourait, submergeait même les Olympiens, à la fois champions de France et d’Europe. Il avait déjà été champion en 1990 et 1992, mais ces titres-là n’avaient pas du tout été célébrés avec autant de faste. Alors, aujourd’hui, il goûte de nouveau au succès, pour sa première saison à l’OM comme entraîneur. L’occasion de faire le point sur ses sentiments au moment où il décompresse.

C’est votre premier titre en tant qu’entraîneur...
Didier Deschamps : Non. Le premier a été la coupe de la Ligue avec Monaco (2003); champion de Serie B avec la Juve (2007), ça représentait beaucoup. Comme disait Pape (Diouf), il n’y a pas d’échelle de valeur dans la joie et dans le bonheur que l’on procure aux gens.

Un championnat, c’est une vraie consécration...
D.D. : Oui. Champion, ce n’est pas un hasard. Surtout à Marseille. Si je suis venu ici, c’est qu’il y avait aussi un côté sentimental, comme à la Juve.

Vous connaissiez l’OM d’il y a vingt ans, mais vous avez dû découvrir un autre club...
D.D. : J’avais une idée de l’extérieur. Et le club s’était développé, dans les infrastructures. Si ce club n’avait rien gagné depuis 17 ans, avec de très bons joueurs, de très bons entraîneurs, ça ne venait pas que du terrain mais de détails mis bout à bout. J’ai dû m’adapter et d’autres personnes ont dû s’adapter à moi. Il y avait de mauvaises habitudes à corriger. Dans le but unique d’aller vers l’excellence, avoir le meilleur contexte pour que les joueurs aient les meilleures performances.

Vous aviez quitté une équipe au sommet, mais un club sans structures. Avez-vous eu aussi de bonnes surprises à ce niveau-là ?
D.D. : Je n’étais pas revenu depuis 1994. En voyant tout ça, j’ai dit : "Oui, désormais, l’OM fait partie des grands clubs."Les hommes passent, mais les moyens et les structures restent.

On a tout de suite voulu vous opposer à José Anigo...
D.D. : On oppose toujours les gens en place à ceux qui arrivent. Mais l’important, que l’on s’apprécie ou pas, c’est que tout le monde ait un rôle précis, soit professionnel dans l’intérêt du club. Parce que c’est l’intérêt de chacun. Si nous sommes champions, le grand mérite en revient d’abord aux joueurs, mais c’est la victoire de tout un club.

Pour ne pas perdre cet acquis, allez-vous essayer de ne pas trop bouleverser votre effectif ?
D.D. : Je ne veux pas changer pour changer, mais pour améliorer. Cela dépendra des moyens. Je ne veux pas de joueurs en plus, mais des joueurs qui apportent un plus. Si on repart avec les mêmes, il est très probable que nous n’obtiendrons pas les mêmes résultats. Au bout d’un moment, il est dur de tirer le maximum de ceux qui ne jouent pas. On doit franchir un palier sur le plan européen aussi.

Ultime question : à quand le port du costume sur le banc en Ligue 1, comme en Ligue des champions ?
D.D. : Je suis partisan du costume à chaque rencontre. À l’italienne. Mais là aussi, nous devons progresser. Quand nous aurons des costumes dignes de ce nom, je le mettrai régulièrement.

On finit par un tacle...
D.D. : Petite chose, petit détail. Comme pour les conférences de presse des joueurs : je demande à ce qu’ils représentent le club, pas en portant des débardeurs ou des chaînes de vélo

En repartant avec les
mêmes, il est très probable
que l’on n’obtienne pas
les mêmes résultats."

DD"Si j’appelle un joueur "Truc"
comme le faisait Goethals,
ça va faire scandale
à la une des journaux."

DD A CONCONCTE CE PROGRAMME .......

ET SI DD RECONSTITUAIT LA PAIRE MAGIQUE DES ANNEES 2000 A MONACO
COMME AU BON VIEUX TEMPS
TITI........../TREZEGOAL


Mercat'OM : Trezeguet, la nouveauté du jour

jeudi 03 juin 2010 à 10H52


Après Diego Forlan hier, c'est au tour de David Trezeguet d'animer l'actualité olympienne. Proche de Didier Deschamps, avec qui il a joué en Bleu et qu'il a eu comme entraîneur, "Trezegoal" constituerait une piste sérieuse pour "DD". Dans son édition du jour, Le Parisien - Aujourd'hui en France évoque l'intérêt croissant du coach marseillais pour le buteur franco-argentin