AULAS AULAS ... TROIS FOIS ...HELAS

Droits TV - Aulas joue la montre

«Mon intuition est qu'on n'est pas pressé». Jean-Michel Aulas a estimé jeudi qu'il n'y avait pas d'urgence à lancer l'appel d'offres sur les droits télévisés, jugeant
que «le plus tard sera le mieux». «Dans tous les pays d'Europe, les ressources sont à la hausse. Pourquoi se précipiter alors qu'on est sûr du produit ?»,
a interrogé le président de l'Olympique lyonnais jeudi.

Aulas lance
le choc !
Jusqu’ici, le prochain match
OM-OL n’avait pas donné lieu à
des attaques de part et d’autre.
Mais, hier, le président lyonnais,



Jean-Michel Aulas a ouvert le
feu. Revenant sur les critiques
formulées par les dirigeants de
l’OM à l’encontre de l’arbitre, à
Auxerre, "JMA" a lâché que
"l’OM a bien préparé le match
de dimanche. Je n’aimerais pas
être à la place de l’arbitre choisi
pour le match. Il va arriver dans
un contexte un peu paranoïaque.

Aulas : "Je n’ai pas dépassé les bornes"


Convoqué lundi par le conseil national
de l’éthique à la suite de
son coup de gueule face à un journaliste
de L’Equipe après ACA -
Lyon, Jean-Michel Aulas n’a pas
été sanctionné. Il a déclaré hier :
"À Avignon, on est dans le Midi !
Donc, on parle plus fort ! (sourire)
Mais je n’ai pas le sentiment
d’avoir dépassé les bornes.
D’ailleurs, j’ai été convoqué par
le Conseil national de l’éthique à
ce sujet, lundi, et dans sa sagesse,
cette commission a compris
ce qui s’était réellement passé et
ne m’a pas sanctionné."

LA JMA A CARREMENT A ESSAYE D EMBROUILLER TLM
LA PRESSION SUR LES ARBITRES
LEQUIPE DE LYON DECIMEE SURTOUT SA DEFENSE ...ET

LA REALITE EST LA

Si Cris semble bel et bien forfait - comme annoncé par l'OL lundi -
ce n'est plus le cas de Pape Diakhaté. Victime d'une tendinite à une cuisse, le défenseur sénégalais ne s'est pas encore entraîné cette semaine mais le club rhodanien espère l'avoir à sa disposition pour le déplacement à Marseille, ce dimanche.
Le cas d'Anthony Réveillère est encore plus rassurant pour Claude Puel. Contraint de céder sa place à la 50e minute du match contre Toulouse (2-0), en raison d'un coup reçu au mollet, l'arrière latéral droit est resté aux soins mardi. Mais Lyon est optimiste quant à sa participation.
Yoann Gourcuff poursuit quant à lui son travail de reprise. S'il vient à prendre part à la séance collective de ce mercredi, il serait alors fort probable de le voir retenu pour le déplacement dans la cité phocéenne

badaboum_in_bernabeu le 15 décembre à 18:22
ca sent la fausse feuille de match

lilianem1 le 15 décembre à 12:58
Dès le début on sait que c'est de l'intox, tout à fait le style de Lyon, ils ont tellement peur d'y aller.
En même temps c'est une bonne chose que Diakhaté puisse jouer pour l'OM. De même que Gourcuff, l'homme qui ralentit les actions et n'est oas très à l'aise dans les combats physiques. S'ils ont Diawara (CNSOF), FANNI DIAWARA HEINZE TAIWO, ça risque d'être musclé

ESSAYEZ DE GOBER CELLE LA
ELLE EST FAMEUSE...

C'est fait depuis jeudi, Rod Fanni est un joueur de Marseille. Un temps contacté par Jean-Michel Aulas, l'information avait surpris ou agacé, c'est selon. Le président lyonnais s'en est expliqué à l'occasion d'un face à face avec Jean-Claude Dassier



«Nous étions en contact avec Fanni l'an dernier et nous étions d'accord avec le joueur mais pas avec Rennes. Nous connaissions donc le niveau du contrat souhaité par Rod. Et comme nous sommes actuellement en train de renégocier un contrat avec Réveillère, nous avions besoin d'avoir un élément correspondant concernant un latéral droit international. Nous nous sommes donc renseignés et c'était conforme à l'an dernier», a expliqué le président

Transfert : les premiers mots de Rod Fanni mercredi 15 décembre 2010 à 20H33


Parti de Nantes en fin de journée, Rod Fanni vient de se poser
l'aéroport de Marseille-Provence. Attendu par l'OM, le défenseur né à Martigues a livré ses premiers mots

AULAS DIMANCHE AU VELODOME ON T 'ENC..E

OUI ANIGO A RAISON
QUAND IL DIT Anigo : "Fanni est un Marseillais dans l'âme"

Aulas : "La qualité technique déployée par les Lyonnais était bien supérieure" lundi 20 décembre 2010 à 08H5

Voici la réaction du président de Lyon, Jean-Michel Aulas, après le match nul hier au Vélodrome entre les Gones et l'OM : "On a assisté à une belle rencontre, entre deux grandes équipes qui méritent leur qualification pour les 8e s de finale de la Ligue des champions. Au vu des 90 minutes, on pouvait légitimement ambitionner de repartir de Marseille avec les trois points, même si l'égalisation n'est pas imméritée.

La qualité technique déployée par les Lyonnais était bien supérieure à celle de nos adversaires."

Même s'il estime que Lyon ne devrait pas être quatrième après «ce que l'on nous a fait subir depuis six mois», Jean-Michel Aulas est ravi de partir en vacances en étant aussi proche de la tête du classement, à un point de Lille. (Photo Presse-Sports)

«Jean-Michel Aulas, quel bilan faites-vous de cette première moitié de saison ?
Nous avons lu tellement de choses sur ce que nous aurions pu faire ou ce que nous n'avons peut-être pas fait... Le fait de se retrouver ici assez proche de la tête du Championnat confère à notre rencontre contre Auxerre un caractère sympathique. Le plaisir est immense et partir en vacances sans vous avoir revu (les médias), m'aurait plongé dans un désespoir intense. Je suis heureux que nous terminions sur une bonne note, avec un match qui m'a semblé meilleur que les premiers matches qui avaient entraîné des commentaires fleuris dans les supports médiatiques. Nous progressons. Il nous manquait encore beaucoup de joueurs (Ederson, Gourcuff, Toulalan, Cris). Nous ne méritons pas de nous retrouver à la quatrième place après ce que l'on nous a fait subir depuis six mois. Nous méritions d'être premiers, ce qui n'a d'ailleurs aucune importance à ce moment de la saison pour la suite. J'en avais rêvé. Cette première place nous tendait les bras depuis Marseille.

Quel est votre sentiment sur le but d'Auxerre ?
J'aurais vraiment voulu que l'arbitre ne se trompe pas sur le but d'Auxerre, qui était hors-jeu. Lorsqu'il y a un hors-jeu de quelques centimètres, c'est une histoire de gens qui ne voient pas bien comme aurait dit Bernard Lacombe. Je suis allé dire aux arbitres qu'il ne fallait plus qu'ils se trompent quand ils nous dirigeaient, mais comme cela se passe dans un bon climat, on va retenir la quatrième place à un point de la première, en espérant que cela soit moins dur pour l'OL sur la seconde moitié de Championnat. Je n'ai pas non plus apprécié l'action sur Miralem Pjanic sur laquelle la faute (de Grichting) aurait mérité le carton rouge alors que l'arbitre était à 1,50 m. Miré est blessé. Cet acte, lorsqu'il passera à la télévision, fera frémir les gens qui s'occupent de visionner les actions.

«La bonne décision a été de garder le groupe, où il y a de bons joueurs»
Espériez-vous un redressement aussi rapide ?
De toutes mes forces. Je ne pensais pas que la qualité du jeu et la confiance reviennent aussi vite. Bernard Lacombe et Claude Puel m'ont toujours soutenu en me disant que cela allait revenir. La bonne décision a été de garder le groupe, où il y a de bons joueurs. Nous avons une profondeur de banc qui n'existe pas dans les autres clubs français. Avec la sérénité retrouvée et les bons choix qui ont été faits, nous pouvons tout espérer sur la seconde moitié de saison. Si nous n'avions pas fait ces choix, nous ne serions sans doute pas là pour parler de la quatrième place et de l'ambition de gagner le titre dès cette année. Si nous étions dix-huitièmes, je ne manierais pas l'ironie de cette manière. C'est aussi grâce aux médias qui ont attiré l'attention sur un certain nombre de choses qui devaient être prises en compte. Dans l'essentiel, on est quand même d'accord (avec les médias).

Selon vous, quel est le moment clé de la remontée ?
Le troisième but à Nancy a été très important car Nancy (le 1er octobre) était revenu à 2-2 et nous étions ballottés de manière importante. C'est un élément du redressement, mais on a eu aussi le cran d'aller dialoguer avec les supporters après la défaite contre Saint-Etienne pour éviter la cassure et être dans une situation rédhibitoire qui aurait été de faire quelque chose dont je n'avais pas envie: changer d'entraîneur. Notre équipe sera capable de battre n'importe qui quand elle aura retrouvé tous ses absents.»


BONNE ANNEE JEAN MIMI ET FAIS NOUS RIRE EN 2011
AVEC TON AMI MOUSTACHE

AL ZEIMHER LE GUETTE
FO L" EXCUSER IL SAIT PLUS COMPTER JUSQU A 7
IL DIT AVOIR MONTRE 4....

- L1 - Lyon - Aulas : «De l'enfer au paradis»

Jean-Michel Aulas estime que son équipe est passée de « l'enfer au paradis » entre la défaite de l'aller contre l'ASSE (0-1) et le succès de ce samedi lors du 101e derby rhônalpin (4-1).

«Ce soir, mon président est heureux», a lâché Claude Puel dans un grand sourire. Et c'est vrai que Jean-Michel Aulas était rayonnant après la victoire des Lyonnais lors du derby à Geoffroy-Guichard (4-1). «Nous revenons de l'enfer, représenté par cette défaite lors de l'aller au bout de laquelle notre classement était terrible (NDLR : 18e). Mais passer de l'enfer au paradis, c'est beau. Je pense à Claude Puel et aux joueurs qui ont fait un match de grande qualité, dans un contexte très difficile», a expliqué le président des Gones. Cette victoire, en tout cas, permet à Lyon de rêver encore au titre : «C'est toujours notre objectif mais cela ne veut pas dire qu'on va l'atteindre... Il y a encore des possibilités mais il y a des équipes mieux placées que nous. »

Grand prince, Jean-Michel Aulas a aussi mis en avant les Verts : «L'ASSE a de nouveau démontré ses qualités. Je souhaite que Saint-Etienne termine sur le podium, si nous sommes un peu plus haut ! Pour la région, c'est formidable d'avoir deux équipes et donc un derby de ce niveau. Je suis très heureux que le football français soit au top ici. Mais ce soir, Lyon était meilleur.» Gesticulant en tribune officielle, le président de l'OL a beaucoup fait parler de lui. «J'ai d'abord eu peur parce qu'un individu est venu vers moi avec quelque chose de noir dans la main, je croyais que c'était un objet contondant. Vérification faite, c'était une Playstation pour faire écho à ma déclaration après l'aller (NDLR : «Les Stéphanois jouent la Ligue des champions à la Playstation, nous on la joue depuis douze ans !»), a-t-il déclaré. Et puis ensuite, j'ai été insulté, alors je me suis retourné et j'ai fait le signe 4 avec ma main comme le nombre de buts marqués par l'OL ce soir. J'ai réagi en passionné. On dit souvent que les dirigeants du foot français ne le sont pas ou plus, mais ce n'est pas vrai.

● Les nouvelles provocations
d’Aulas. Le président lyonnais
n’a pas le triomphe modeste. Samedi,
après le succès contre
Saint-Étienne (1-4), Aulas a
chambré le public stéphanois en
lui rappelant le score avec ses
mains. Puis, après avoir reçu un
colis, il a lancé avoir "eu peur
qu’il explose en plein vol... comme
Saint-Étienne".

Le dérapage d’Aulas fait des vagues
publié le 15.02.2011 02h01


Jean-Michel Aulas en compagnie du maire de Lyon, Gérard Collomb. Le président lyonnais est calme. Mais ça ne durera pas... /
Les chroniqueurs font la leçon au président de l’OL. François Rochebloine s’étrangle de colère


Quatre buts : il n’y avait nul besoin d’en rajouter côté lyonnais après le derby. Mais allez faire comprendre cela au premier fan du club, Jean-Michel Aulas. Les quatre doigts qu’il a brandis au public à la fin de la partie ne rehaussent pas son honneur même s’il se justifia dans les couloirs parlant d’une réponse à des provocations « Si quelqu’un m’insulte, j’ai le droit de lui casser la gueule ».

Un président de club qui plus est européen, doit rester au-dessus de la mêlée. Après avoir qualifié de trait humour sa réflexion sur des Stéphanois jouant l’Europe sur PlayStation, il aurait pu aussi apprécier qu’on vienne lui remettre une console de jeu en tribune ?

Ce ne fut pas le cas et pour expliquer sa colère, Aulas parla d’un tic-tac laissant croire à un danger. Mais, le danger, ce n’était que le ridicule, souligné par Guy Carlier dans une tribune sur Europe 1 : « Le chroniqueur a parlé de hooligane sévère, de voyous des tribunes officielles, d’un récidiviste justifiant sa couardise, d’un tic-tac dans la tête, de parrain du foot français ».

Des mots très durs que ne put pas trouver François Rochebloine, étranglé d’indignation devant une caméra après la rencontre « C’est quoi ça ? Aulas ne respecte rien ».

Ce dérapage pas très olympien a fait débat. Marco Simone a regretté sur Canal Plus « Ce n’est pas classe et ça ne sert à rien » avant que Pierre Menes ne renchérisse « C’est un manque de fair-play absolu. Je ne suis pas nostalgique de Tapie et Bez, je ne le serai pas de cet Aulas. On ne peut pas demander aux supporters de bien se comporter ensuite. C’est dangereux »

Et Bernard Caïazzo de s’interroger « Mourinho a dû se demander dans quel monde il était tombé ». Il faut dire que le président lyonnais n’a pas fait dans la dentelle enfonçant le clou là où ça fait mal, parlant d’un Saint-Etienne qui avait explosé en vol ».

Personne ne put l’arrêter, pas même ses proches tentant d’étouffer une joie bien maladroitement exprimée.

On mettra tout cela sur la peur rétrospective d’une défaite qui aurait mis son équipe à dix longueurs de Lille, sur la nécessité d’une qualification pour la champion’s League, sur le soulagement. Aulas avait su trouver la manière pour motiver ses joueurs. Il trouva les mots (peut-être les chiffres) pour les remercier.

LE ROI DU MICRO ET DE L "INTOX

UN DES RARES PRESIDENTS QUE LON VOIT PLUS QUE L E NTRAINEUR

20 février 2011
Aulas n'y croit pas pour Lisandro
Lisandro manquera le 8e de finale aller de C1 contre le Real Madrid, mardi. Jean-Michel Aulas estime son absence à «une dizaine de jours».




Jean-Michel Aulas
Touché aux ischio-jambiers, Lisandro manquera vraisemblablement la réception du Real Madrid, mardi soir. Jean-Michel Aulas assure que sa blessure n'est pas la conséquence d'un mouvement d'humeur.

Jean-Michel Aulas s'est fait une raison. A moins d'un miracle, Lisandro ne sera pas rétabli pour la réception du Real Madrid, mardi soir, en 8e de finale aller de la Ligue des champions. «Je crains qu'il ne soit pas là», nous a confié le président de l'Olympique lyonnais. L'attaquant argentin souffre d'une blessure aux ischio-jambiers. Il repassera une IRM de contrôle lundi matin, mais selon les premières estimations, il sera éloigné des terrains «une dizaine de jours». Sa participation au choc contre Lille, cinq jours plus tard, est également compromise.

Sur les circonstances de cette blessure, Jean-Michel Aulas a catégoriquement nié la version selon laquelle Lisandro se serait blessé sur un mouvement d'humeur. Depuis vendredi soir, la rumeur circulait que l'Argentin se serait fait mal en manifestant son mécontentement lorsque Claude Puel lui a annoncé qu'il serait remplaçant contre Nancy. «Vous y croyez vraiment à cette histoire ?, interroge le dirigeant lyonnais. Si vous y croyez, c'est que vous prenez Lisandro pour un bêta. Je peux vous assurer que ça ne s'est pas produit dans ces circonstances-là».

S'il n'a pas assisté à la scène, Jean-Michel Aulas s'est renseigné auprès de ses joueurs dans la foulée du succès contre Nancy (4-0). «Cette histoire n'est pas réaliste. Je n'en crois pas un mot, et ce n'est pas ce qui m'a été dit à l'intérieur du club, assure-t-il. Je connais Lisandro, et d'une manière générale, je crois ce que me dit Bernard Lacombe (son conseiller, NDLR). Bernard m'a démenti complètement cette chose-là». Le président lyonnais insiste : «On est dans le cadre d'une blessure classique». Elle tombe de toute façon au plus mauvais moment...

Dans un entretien accordé au mensuel «Lyon Capitale», Jean-Michel Aulas, le président de Lyon a affirmé que son entraîneur, Claude Puel, n'était pas certain d'aller au terme de son contrat, qui se termine en Juin 2012. «Non, ce n'est pas une certitude. Il a un contrat de quatre ans. Je l'ai signé en toute connaissance de cause», a-t-il expliqué M. Aulas.

Selon une question posée par le journal, «Claude Puel pense que JMA ne serait pas prêt à lui proposer une prolongation». «Oui, il a raison de le dire. Aujourd'hui, nous avons un certain nombre de points de passage qui sont difficiles, que ce soit avec la presse ou une partie du public. On m'a suffisamment reproché de lui avoir fait signer un contrat de quatre ans, trop long pour les grands clubs. En l'état actuel des choses, il a raison d'affirmer cela», a répondu Aulas.

Une saison «très difficile au plan de l'image»

L'homme fort de l'OL a estimé que «la saison était très difficile au plan de l'image». «Il est encore trop tôt pour établir un bilan objectif. Nous ne méritons pas toutes ces attaques médiatiques mais c'est à la fin du bal que l'on paie les musiciens. Il est vrai que la saison n'est pas bonne au plan des résultats mais à l'inverse, nous réussissons plutôt pas mal en Ligue des champions», a-t-il ajouté. (Avec AFP)
Tags : Ligue 1DéclarationLyonClaude PuelRéactions (23 commentaires)muscletonjeu le 25 février à 06:29
Puel s'en va c'est certain, on le savait depuis le début de l'année
rorose le 25 février à 03:02
le non renouvellement de contrat des entraineurs est une specialite lyonnaise.rappellons-nous le depart des precedents.

UN STRATAGEME POUR DECONCENTRER NOS OLYMPIENS
ON NE TOMBE PAS DS LE PANNEAU DD

LIGUE 1 ● Puel songe à partir. Officiellement, Claude Puel est sous
contrat avec l’OL jusqu’en 2012. Mais hier, Jean-Michel Aulas a assuré
qu’il n’était pas sûr de le prolonger. "Je suis d'accord avec le
président, dans la mesure où effectivement, en fin de saison, je pourrais
éventuellement décider de m'arrêter et d'aller voir ailleurs", a lâché
Claude Puel, hier après-midi. À la veille d’affronter Lille, l’ambiance
est électrique du côté lyonnais...

A PRENDRE AU TROISIEME DEGRE................

Droits TV - Aulas veut aller vite

Alors que le président de la LFP, Frédéric Thiriez, a annoncé il y a peu que l'appel d'offres pour les droits télévisuels de la Ligue 1 allait être lancé au printemps, le président de l'OL, Jean-Michel Aulas, espère, lui, que cela va aller encore plus vite : «Il faut aller très très vite pour lancer l'appel d'offres. On a la fréquence de la TNT (pour la chaîne C Foot, ndlr). Je pense que Canal va vers une introduction en Bourse et ils ont besoin de savoir s'ils auront plus de foot ou moins de foot pour bien vendre leur introduction en Bourse. Comme on est ami de Canal+, c'est bien d'accélérer les choses dans un souci de valorisation de Canal+ pour son introduction en Bourse», estime le président de Lyon, qui n'a toutefois pas indiqué quel serait le montant idéal pour ces droits. Pour rappel, ils avaient été vendus contre d'offres

CNE -
. Le CNE a en revanche clos le dossier concernant Jean-Michel Aulas, qui avait stigmatisé le dispositif de sécurité de Saint-Etienne-Lyon (0-4) après avoir reçu «quelque chose qui ressemble à un objet assez agressif. On se dit qu'il y a des fuites dans l'accès à la tribune officielle. N'importe qui n'accède pas à cette tribune. J'ai eu peur car j'ai cru que c'était un objet contondant» (pour rappel, il s'agissait d'une console de jeu).

OL - Aulas : «Un gros coup sur la tête»




Jean-Michel Aulas ne veut pas dresser un constat définitif en vue du titre.
N'ayant pas réussi à renouer avec la victoire après leur élimination en Ligue des champions, les joueurs de Lyon, très déçus, ne se sont pas exprimés après le nul contre Rennes (1-1).

Les apparences étaient bien trompeuses, samedi soir, à Gerland. L'OL n'avait beau avoir concédé que le nul face à Rennes (1-1), l'atmosphère d'après-match laissait pourtant croire que le club venait d'encaisser la pire défaite de sa saison.

Bafétimbi Gomis et sa valise à roulettes qui rasent les murs, Aly Cissokho qui s'énerve après un journaliste au micro tendu, aucun joueur lyonnais qui n'accepte de s'exprimer... L'affaire est tendue. Claude Puel se montre, quant à lui, expéditif au micro, et

Jean-Michel Aulas s'auto-invite à la tribune en urgence pour excuser ses ouailles : «S'ils n'étaient pas déçus après ce résultat, ce ne serait pas normal. Il y a une grande déception. Quand vous menez ce match avec beaucoup d'occasions, et que vous vous effondrez en deuxième mi-temps, c'est qu'il y a eu un peu trop d'efforts dans la gestion de la semaine. Il faut être humain et imaginer que cette déception est suffisamment forte pour ne pas qu'ils viennent l'exprimer.»

Claude Puel s'y était résolu, en ouverture, avec concision : «C'est très dur de concéder deux points sur cette pelouse. Surtout qu'on a fait une belle première période. On n'a pas su corser l'addition en deuxième. On a fait un match avec de l'investissement, de la qualité mais il nous a manqué de continuer à faire le jeu en deuxième mi-temps. On s'est mis en fragilité alors qu'on avait la maîtrise, on a perdu quelque peu le fil.» Pour son président, c'est surtout le manque de réalisme et de jambes qu'il fallait mettre en avant. «On n'a pas été capables de mettre les buts, et Rennes a mieux terminé physiquement que nous, a repris quot;JMAquot;. Quand vous jouez à Madrid, que vous rentrez à quatre heures du matin le lendemain, et que vous jouez le samedi un match décisif pour le titre, c'est plus compliqué...

Les craintes que nous avions se sont confirmées. On a été très pénalisés par ce deuxième match en trois jours. Tant mieux pour Rennes, mais sur la vue globale du match, on méritait de passer.»

Les perspectives de fin de saison, on ne s'en cache toutefois pas côté lyonnais, rétrécissent à vue d'oeil. «Six points c'est beaucoup, le titre ne s'est pas envolé mais le pourcentage de chances d'être champion est moins grand», reconnaissait Claude Puel.
Jean-Michel Aulas poursuivait dans cette analyse purement mathématique, avant d'essayer de redresser la barre : «On a pris un gros coup sur la tête. Jouer à onze contre dix et prendre un but à la 86e, c'est à pleurer de rage. On a ce soir moins de perspectives de réussite pour le titre qu'on aurait eues si on avait battu Rennes, ce qui était largement à notre portée. On est très fiers d'être 3es du Championnat ce soir. A cinq minutes près, on était 2es. Il faut avoir la lucidité de ne pas tirer des analyses définitives.» La trêve internationale va donc laisser le temps à l'OL de les peaufiner

OL - Aulas : «Puel restera a priori»

Interrogé dimanche sur Canal+, Jean-Michel Aulas a déclaré que son entraîneur Claude Puel effectuerait quot;a prioriquot; la saison prochaine sa dernière année de contrat. «Il lui reste une année de contrat (la saison prochaine), il n'y aucune raison, a priori, que les choses ne se perpétuent pas pour la dernière année de contrat», a expliqué président de l'Olympique lyonnais.

Remporter le titre de champion conditionne-t-il l'avenir de Puel ? Aulas réfute cette thèse : «C'est prématuré de l'évoquer, il n'y a jamais eu d'obligation pour un entraîneur de gagner un titre. Aujourd'hui on a un staff qui fonctionne plutôt bien. Faire troisième, second (du Championnat), être qualifiés tout le temps pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, ce n'est pas si déshonorant», a-t-il confié sur le sujet.

FAITES GAFFE
LES FEMININES DE L OM ARRIVENT

FÉMININES● Les Lyonnaises encore
championnes de France. Les filles de l’OL,
parmi lesquelles la Marseillaise Louisa
Necib, ont décroché leur 5e titre consécutif
de championne de France hier en allant
s’imposer à Montpellier (0-1). À noter
que Jean-Michel Aulas avait fait le déplacement.

Foot. L'indécrottable mauvaise foi de Monsieur Aulas

Malgré une intervention appréciée par le Kop Nord, Jean-Michel Aulas n'avait pas réussi à calmer complètement la grogne des supporteurs lyonnais le soir de la défaite, face à Saint-Etienne.
Le Progrès de Lyon
Ligue 1. Devant la presse après la rencontre, le président lyonnais a semé la suspicion,et distillé ses remarques perfides. Extraits.


L'Olympique Lyonnais doit tout ou presque à Jean-Michel Aulas de ce qu'il est devenu. Mais si le club a une image si peu valorisante au niveau national, c'est aussi en grande partie par l'antipathie que dégage son président. Samedi soir, après la rencontre, le président lyonnais s'est invité en salle de presse. En grande pompe. Comme il le fait souvent quand il lui prend de venir distiller quelques « vérités ». Il en profite régulièrement pour lâcher quelques perfidies, au prix d'une mauvaise foi qu'on lui connaît désormais trop bien. Et dans ces moments il n'épargne personne. Presse, arbitres, adversaire, voir même son entraîneur. Propos commentés.


1. « Il n'est pas sûr que Rennes puisse prendre beaucoup de points à l'extérieur en jouant comme ça. »


Noyé au milieu d'un long monologue, le propos aurait pu passer inaperçu. Mais il n'était pas innocent. Il est rare, car jugé inconvenant, qu'un président émette un commentaire désobligeant sur la qualité de jeu de son adversaire. Jean-Michel Aulas, lui, s'exonère souvent de cette pudeur. Après les Verts qui « ne connaissent la Ligue des Champions que sur Playstation », ou encore, le doute pesant sur l'issue du match Valenciennes - Lille, en raison « des bonnes relations (entre les deux clubs) qui font quelquefois un peu jaser », le patron de l'OL n'hésite pas à minimiser le mérite d'un adversaire. Rennes vient pourtant de lui prendre un point à Gerland. Comme il en a d'ailleurs pris six autres à Montpellier et à Toulouse.


2. « Le calendrier nous fait jouer tous les trois jours, le mercredi à Madrid et le samedi contre Rennes. Cela a été très pénalisant. »


Sur le fond on ne peut pas lui donner tort. Mais, quand une équipe est qualifiée en ligue des Champions, c'est son triste sort de jouer deux matches par semaine. Jean-Michel Aulas regrettait que le match n'ait pas été programmé le dimanche. Outre qu'il ne disait rien les années précédentes quand tout allait bien, il oublie que les deux diffuseurs, Orange et Canal+ se partagent les deux affiches du week-end, et que Lyon-Rennes était l'une d'entre elles. Au moment de percevoir la manne des droits télés, on ne l'entend pas souvent se plaindre d'être très souvent diffusé.


3. « J'étais mal placé et je ne suis pas compétent, mais je me souviens qu'on se posait la même question à propos du but encaissé ici contre Saint-Etienne, et qui nous coûte la défaite, et qu'il s'agit du même arbitre, M.Gautier. »


Aigri par le résultat du soir, Jean-Michel Aulas n'a pas tardé à charger la barque de l'arbitre. Très peu inspiré certes, M. Gautier est passé à côté de son match, mais c'est surtout Lyon qui en a profité. Car si le président de l'OL estime que le coup franc décisif des Rennais n'avait pas lieu d'être, il ne dit évidemment rien sur le penalty oublié sur Montaño, la très grosse faute de Pjanic sur le même Montaño, ni sur l'exclusion de ce même Montaño, suite à une simulation grossière de Lovren. En revanche, là encore il n'hésite pas à semer la suspicion sur l'intégrité morale de l'arbitre. C'est tellement plus simple.


4. « Je ne sais pas quel est votre pedigree pour pouvoir porterun jugement sur un joueurde cette qualité... »


À un confrère expérimenté qui lui demandait son avis sur les prestations « incolores » de Yoann Gourcuff, ces derniers temps, le président lyonnais, en fidèle chien de troupeau a sorti les dents pour protéger son cheptel. Louable sur le fond, mais pourquoi le faire par le mépris systématique. Sous-entendu : « Vous n'avez pas été joueur de haut niveau, vous ne pouvez pas juger ». Donc fermez-là.

L1 - Lyon - Lloris, Aulas pas insensible

La réaction inhabituelle d'Hugo Lloris à l'issue du nul (2-2) concédé par Lyon à Nice ne restera pas sans lendemain. Jean-Michel Aulas compte s'en servir «pour poser un certain nombre de problèmes». «Je trouve qu'elle est tellement spontanée et désynchronisée par rapport à ce qu'il dit d'habitude, qu'il faut la prendre en compte», a souligné le président lyonnais sur Infosport. D'ordinaire impassible, le gardien de l'OL et des Bleus a perdu ses nerfs au coup de sifflet final de Nice-Lyon, dimanche. Sur le chemin des vestiaires, les caméras de Foot + l'ont filmé hurlant : «On se chie dessus ! Il y en a ras le c .. ! C'est quoi ça ? P... de m... !».

BEN C EST SIMPLE
HUGO JOUE DANS UN CLUB ..PLUS FAIBLE QUE SON PROPRE NIVEAU

LIGUE1 ●Incidents Nice - Lyon: Gioria en remet une couche. L’entraîneur
adjoint de Nice, Frédéric Gioria, est revenu sur son altercation
dans les couloirs du stade du Ray avec Jean-Michel Aulas,
après Nice - OL (2-2). Gioria a déclaré : "Ce qui me gène beaucoup,
c'est que M. Aulas, qui est un grand président, dénigre les gens. Il est
arrogant, il agresse verbalement les arbitres. Il avait un regard fou,"
a expliqué Gioria sur RMC.

Aulas : "Je vois l'OM au-dessus de Lille à l'arrivée"
mardi 05 avril 2011 à 20H31


Dans un entretien accordé à RMC, ce mardi, le président de l'Olympique lyonnais reconnaît pour la première fois que son club est décroché de la course au titre. Jean-Michel Aulas place même l'OM devant le Losc.

"Aujourd’hui, Lille a plus de chances d’être champion que Lyon et Marseille aussi, estime "JMA". On fera le point dans trois matchs. Lille sera allé à Monaco, aura reçu Bordeaux et aura joué à Nice (en demi-finales de la coupe de France, ndlr). Rien ne dit qu’il y aura encore huit points d’écart. Marseille, je les mets probablement au-dessus de Lille à l’arrivée. On est toujours en course pour une 12e qualification de suite en Ligue des champions. Il n’y a pas non plus le feu au lac."