AULAS AULAS ... TROIS FOIS ...HELAS

Aulas prêt à accueillir Chamakh
Lundi, le président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, s'est déclaré prêt «à accueillir à bras ouverts» Marouane Chamakh, attaquant de Bordeaux, désireux de quitter les Girondins et actuellement en contact avec des clubs anglais.«Quand je vois que même Chamakh
souhaite s'en aller mais que l'on autoriserait un départ en Angleterre mais peut-être pas en France, c'est regrettable car nous serions prêts à l'accueillir à bras ouverts» a confié le président de l'OL en marge de la présentation à la presse de Michel Bastos et Aly Cissokho. Aulas en a par ailleurs profité pour dénoncer la «volonté maladive» des clubs français d'empêcher les transferts importants en France, «au mépris de la gestion de leur club et de l'intérêt de leurs joueurs. C'est dommage.»

Jean-Michel Aulas a ajouté qu' «il devrait être possible, comme dans les autres championnats européens (...), de favoriser l'arrivée des meilleurs joueurs dans les clubs qui peuvent leur permettre de s'exprimer totalement»,

espérant que «les autres clubs français apprennent à jouer cocorico.»A la recherche d'un attaquant supplémentaire, l

'OL est actuellement en négociation avec Toulouse et Nice pour les transferts éventuels d'André-Pierre Gignac et Loïc Rémy. Le club rhodanien a formulé des offres avoisinant les 15 millions d'euros pour chacun des deux attaquants mais doit faire face aux refus des dirigeants des deux clubs de se séparer de leurs buteurs.Du côté des départs, le défenseur ghanéen John Mensah, recruté il y a un an, pourrait quitter l'OL tandis que l'arrière brésilien Cleber Anderson, dont le prêt à Cruzeiro se termine, pourrait migrer vers d'autres cieux.


Quant au défenseur international italien Fabio Grosso, mis en concurrence sur le couloir gauche avec les arrivées de Bastos et Cissokho, il ne sait toujours pas où il jouera la saison prochaine. Le joueur semble désireux de rester à Lyon, qui d'ailleurs n'a pas reçu d'offre le concernant, malgré l'intérêt supposé de clubs italiens

Verbatim
Lyon et Marseille sont les deux clubs les plus puissants actuellement dans le football français.Jean-Michel Aulas, le président de l'OL. (AFP) (01/08/09)

POUR UNE VERITE C UNE VERITE

Les interventions de Jean-Michel Aulas sont devenues suffisamment rares pour être soulignées. Mais après la démonstration lyonnaise mercredi devant Anderlecht (5-1), il aurait été étonnant que le président de l'OL ne se montre pas devant les médias. Parmi les sujets évoqués par "JMA", évidemment la réussite des recrues offensives en ce début de saison, l'occasion de se féliciter des choix sportifs du club. Aulas a mis en avant «tous les risques courus par le club pour arracher Lisandro Lopez à Porto à des niveaux que certains ont trouvé excessifs (NDLR : 24 millions d'euros plus bonus) mais ce jour-là, Barcelone avait proposé une offre de 30 millions d'euros».


Ajouté aux arrivées de Michel Bastos, Bafé Gomis et Ali Cissokho, l'investissement lyonnais a dépassé les 70 millions d'euros. «Quand on l'a réalisé, c'était pour disposer d'une équipe de haut niveau technique, justifie Aulas. On a fait un bon recrutement et s'il faut continuer à recruter, au travers des besoins de l'entraîneur, on le fera.» Le président de l'OL pense-t-il à un avant-centre supplémentaire et/ou à l'arrivée de Patrick Vieira revenue dans les discussions ces derniers jours à Lyon ?

«C'est à Claude (Puel) de voir, répond-il, mais on fera tout ce qu'il faut pour aller au bout de nos idées, c'est à dire bien sûr se qualifier pour la Ligue des champions, mais aussi aller le plus loin possible dans cette épreuve et retrouver le titre de champion de France.»

Puel, lui, ne semble pas enclin à renforcer son groupe. «Il est homogène, il y a un très bon état d'esprit», indique le coach lyonnais, forcément satisfait de la capacité d'adaptation de ses recrues. «On a tout pour faire une bonne saison et penser à jouer.» Désormais à l'OL, le boss s'appelle bien Claude Puel.

L'Olympique Lyonnais a démenti «avec la plus grande fermeté» le montant des salaires de Claude Puel (231 000 euros net mensuels) et de Lisandro (425 000 euros net mensuel) publiés dans les colonnes de L'Equipe, jeudi, estimant que ces chiffres sont «très supérieurs à la réalité».

L EQUIPE ET FRANCE FOOTBALL BONNET BLANC ET BLANC BONNET ..MEME GROUPE

Platini prend Aulas à contre-pied
07/11/2009 -

Décidément, la suppression du droit à l’image collectif n’en finit plus de faire parler. Voté à l’Assemblée Nationale, ce projet vise à mettre fin à l’un des principaux avantages fiscaux dont les sportifs de haut niveau avaient droit en France. Jean-Michel Aulas est immédiatement monté au front, expliquant qu’une telle mesure obligerait l’OL à ne pas prolonger Govou et Clerc et à céder d’autres éléments clés de son effectif.

Mais tout le monde ne va pas dans le même sens. Selon le président de l’UEFA Michel Platini, cela n’aura aucun impact sur le football hexagonal, comme il l’affirme dans L’Équipe Magazine : « Ca ne fragilisera pas le football français. Les meilleurs partiront s’ils ont envie de partir, parce que, de toute manière, ils gagneront plus à l’étranger. Benzema est parti et pourtant son club le faisait bénéficier de ces avantages que les députés veulent supprimer, non ? Et puis comment faire accepter au public que des gars qui gagnent des millions puissent bénéficier d’avantages non accessibles aux salariés ordinaires ? Désolé, ça ne marche plus ». Voilà qui a le mérite d’être clair.

NON JEAN MIMI 7 OK
PAS 5 A 2 MAIS PLUTOT 3 A 4




Garcia : «Formidable»
«Génial», «formidable», Rudi Garcia n'a pas manqué de qualificatifs au moment d'évoquer l'incroyable retour du LOSC contre Lyon (4-3), dimanche soir. Menés 0-2, puis 1-3, les Dogues s'en «sont sortis» parce qu'ils ont «continué à jouer», a souligné l'entraîneur lillois. «On sentait à la mi-temps que le match n'était pas terminé. Tout le monde a été excellent, au niveau du jeu et de l'état d'esprit». «On se disait qu'en mettant un but on pouvait mettre le feu», abonde Mavuba.

Les «deux extraterrestres lyonnais avec Lisandro qui nous a fait très mal et Lloris qui a retardé l'échéance» ainsi que la mauvaise entame de match lilloise n'augurait pourtant en rien un tel scénario. «Mais j'ai une équipe qui a appris de ses erreurs, fait remarquer Garcia. Le match à Valence nous a servi.». Jeudi, en Europa Ligue, les Dogues avaient également été menés dès la deuxième minute de jeu, avant de s'incliner 3-1. «On paie notre entame encore une fois», note Mavuba. Moins cher qu'en Espagne, pourrait-il ajouter.

Pour le capitaine du LOSC comme pour son entraîneur, ce match doit servir pour «la suite de la saison». «Ca fait pas mal de points qu'on engrange, se félicite-t-il. En dehors de Montpellier (0-2), on est régulier. On a prouvé qu'on pouvait battre n'importe qui. Le championnat est très serré. Tout le monde peut battre tout le monde. Si on gagne des matches on peut vite basculer dans l'autre partie de tableau. Ca passe par une victoire à Saint-Etienne
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OUF PUEL PAS MENACE
QUOIQUE....
AULAS ...IL MANIGANCE QUELQUECHOSE RIEN QU A VOIR SA TETE


CE POURRAIT ETRE LE NOUVEAU COACH
SI D "AVENTURE LYON N EST PAS CHAMPION 2 ANNEES DE SUITE...........


Défait dimanche soir (3-4, 16e journée de Ligue 1), l'Olympique Lyonnais piétine depuis plus d'un mois en Championnat (trois nuls et une défaite). Mais Jean-Michel Aulas n'est pas inquiet. «Pour le moment, il y a une insatisfaction », a reconnu, ce lundi en marge d'une assemblée générale de l'OL, le président lyonnais. « Mais il n'y a pas de malaise. On va s'organiser pour réfléchir et trouver la solution. On a toujours su redresser la barre.»

«Puel n'est pas menacé»
Et pour mener le navire rhodanien, Jean-Michel Aulas compte sur Claude Puel. «Claude (Puel) était très affecté par cette défaite (à Lille, 3-4)», a souligné le président lyonnais. «Il donne le meilleur de lui-même. Il travaille beaucoup. Il a, je crois, fait tout ce qu'il fallait pour préparer son équipe pour cette rencontre. Et non, il n'est pas menacé. Je l'ai déjà dit qu'il allait aller jusqu'au terme de son premier contrat de quatre ans avec l'OL. Il n'y a pas l'ombre d'une réflexion sur ce sujet.»


A MOINS QUE CA SOIT LUI

tres tres ETONNANTE SUGGESTION

La situation actuelle des Bleus et tous les problèmes qui en découlent ont donné une idée à Jean-Michel Aulas
président de l'Olympique Lyonnais, qui se verrait bien manager le sélectionneur de l'équipe de France, Raymond Domenech. « Je rêverais d'avoir une mission comme ça, celle de remettre à son bon niveau l'équipe de France. Il faut monter une opération commando, a lâché Aulas au micro d'Europe 1 Foot. Il y a urgence, j'adorerais faire ça. Je suis vice-président de la Ligue. Mais je ne fais pas partie du Club France et je le regrette. Je pense pouvoir apporter une expérience de ving-deux ans du monde professionnel. Je suis un peu vexé

Aulas : « Pas de panique »
Au moment d'évoquer l'ampleur du mal lyonnais, Claude Puel a fait du Claude Puel. Sur la bordée de sifflets qui a accompagné la sortie des Lyonnais après leur défaite contre Bordeaux (0-1) : « C'est normal que le public manifeste, notre parcours n'est pas à la hauteur de ce qu'on doit attendre de Lyon. » Sur le fait qu'une partie réclame sa démission. « C'est toujours le cas dans ce genre de situation. » De manière générale, dans les déclarations suivant cette nouvelle défaite, Lyon a fait du Lyon.

Quelques minutes après la conférence de l'entraîneur, son président intervenait pour parler du sort de son protégé. «Ce n'est pas le débat, a tout de suite tranché Jean-Michel Aulas. Les joueurs ont besoin de confiance, le club de sérénité. Ce ne sont pas les remarques dans les médias ou quelques déclarations de supporters malheureux qui peuvent faire changer les choses. Claude est un excellent entraîneur. Evidemment il n'y aura aucune adaptation de l'organisation avant la fin de la saison. » Aulas indique ne pas avoir pris de décision par rapport au mercato et justifie sa présence de plus en plus régulière devant les médias. « Je suis là pour montrer aux joueurs qu'il n'y a pas de panique. Il n'y a pas de problème de joueurs entre eux, pas de problème entre les joueurs et le coach, pas de problème entre le coach et le président. »

Malgré tout, tout ne va pas bien dans le meilleur des mondes. En L1, l'OL reste sur cinq matches sans victoire et accuse désormais huit longueurs de retard sur les Girondins. « Il faut se resituer dans un contexte de longue course poursuite, poursuit JMA. Ce sera difficile. Mais ce n'est pas en baissant les bras qu'on gère un club. Pour l'OL, ce serait une erreur. Donc on va se remettre en question, resserrer les rangs derrière Claude Puel. Cette défaite, ce n'est pas la fin du monde. » Qu'en disent les joueurs ? Parmi eux, seul Kim Källström s'est présenté, assez dépité, mais pas vraiment inquiet. « Ce qui est inquiétant, c'est de ne pas avoir gagné depuis pas mal de matches », souligne le Suédois, pour qui le match contre Bordeaux « s'est joué sur un détail car on a fait jeu égal ». « Il nous a manqué la confiance pour aller au bout de nos actions, sur des derniers gestes », complète Puel. Mais Lyon doit avant tout penser à des considérations mathématiques, plus concrètes.

« Huit points, ça fait beaucoup », avoue Källström. « Il faut penser avant tout au prochain match, pas sur ce qui va se passer en mai. » Il ne voit pas cinquante solutions : « il faut se remettre au travail », insiste le Lyonnais. « Il faut croire en nous car on a le potentiel pour se lâcher, affirme son entraîneur. C'est plus facile à dire qu'à réaliser mais il faut garder cet état d'esprit. » Mercredi, l'OL reçoit Boulogne. L'accueil du public s'annonce des plus glaciales mais Puel voit dans cet enchaînement une bonne chose : « On n'a pas le temps de baisser les têtes. » « On va faire en sorte d'ici là de se retrouver un moral », conclut Aulas.

AULAS JOUE LES PARATONNERRES



Aulas attend des «révoltés»
C'est peu de dire que, depuis que son équipe s'enfonce dans le marasme, Jean-Michel Aulas occupe la scène médiatique. Déjà présent, dimanche soir, après la défaite devant Bordeaux (0-1), le président lyonnais est revenu ce lundi après-midi en conférence de presse. Quelques minutes plus tôt, il a rencontré ses joueurs, dont il convient que les «performances intrinsèques sont en dessous des attentes».



Au cours de cette «petite réunion de famille», Aulas a tenu, selon lui, «un discours positif et rassembleur». Il en a surtout profité pour mettre «les joueurs devant leur responsabilité». Il attend d'eux qu'ils adoptent «un esprit de révolte» jusqu'au 23 décembre, date du dernier match avant la trêve. «Ce doit être le match de la rébellion disputé par une équipe de révoltés», insiste Aulas, qui poursuit : «Le caractère, on ne le change pas. En revanche, l'envie et la détermination collective, ça, on peut le changer.» Pour se rassurer, il s'appuie sur la performance de ses joueurs à Liverpool. Lesquels ont été attentifs. «Si lui (Aulas) l'a senti, il y avait peut-être besoin de cette réunion. Il a été écouté, cela doit resolidariser le groupe», indique ainsi Rémy Vercoutre.

Ce groupe, Aulas lui trouve des excuses d'avoir été battu par les Girondins, dimanche soir. «Bordeaux est, avec la Fiorentina, la meilleure équipe que j'ai vu jouer à Gerland cette saison», justifie-t-il. Certes, mais - et le président lyonnais en convient - Boulogne, qui se présente mercredi, «ce n'est pas le même standing». Accepterait-il un nouveau faux pas de ses joueurs ? «Aujourd'hui, je ne l'imagine pas car je pense que les choses ont été bien comprises par les joueurs», assure le boss de l'OL. En attendant de voir l'impact de son omniprésence sur les résultats sportifs, celui-ci continue de défendre Claude Puel. «Les demandes de démission du public n'étaient pas adressées directement à l'entraîneur. Je les prends pour moi et j'en tiendrai évidemment compte dans le futur, mais en ce qui me concerne.»

AVEC TREIZE POINTS DE RETARD LE TITRE S ENVOLE T IL POUR LYON




Déçu mais loin d'être abattu après la défaite des siens face à Montpellier (1-2), le président lyonnais Jean-Michel Aulas a volé au secours de son entraîneur, Claude Puel. Mais le boss est réaliste : « Ce n'est pas avec l'équipe de ce soir que nous pourrons battre le Real Madrid ou revenir sur Bordeaux. »

« Jean-Michel Aulas, quel est votre sentiment après cette nouvelle déception ?
C'est effectivement un non match. Malgré les qualités de cette équipe de Montpellier très supérieure à l'OL ce soir. Les joueurs avaient dit vouloir être présents mais ils n'ont pas été capables de se surpasser. Ils ont fait tout ce qu'ils ont pu mais la lassitude physique entraîne une lassitude mentale. Montpellier avait bénéficié d'un jour de récupération supplémentaire par rapport à nous. Ce qui fait de la peine, c'est que nous n'avons pas pu réagir après le 2e but de Montpellier et que tout de suite après l'égalisation, il y a eu cette erreur de marquage absolument incroyable. C'est un peu à l'image de ces (derniers) matches ratés.

Confortez-vous encore Claude Puel ?
La question n'est pas que je le conforte ou pas. Si je le conforte, on va dire que je le mets en danger et si je ne le conforte pas, on dira que j'ai changé d'avis. Claude est comme moi. Il fait le maximum. Il prend ses responsabilités en cherchant des solutions. Nous avons quinze jours pour réfléchir et bien analyser. Les dirigeants sont là pour prendre les décisions les plus lourdes et avec sang froid. Ce n'est pas en insultant entraîneur et président que l'on résout les problèmes. Si c'était un problème d'entraîneur, j'aurais assumé ma responsabilité. Aujourd'hui, c'est un problème de qualité physique des joueurs qui rejaillit sur les matches. Il n'y a pas cet enthousiasme qui permet de relancer la mécanique. Claude Puel est fragilisé dans les journaux mais pas au sein du club. S'il suffit aussi de changer le médecin et le préparateur physique, imaginez bien que nous le ferions. La solution est plus difficile à trouver.

Comment espérez-vous la suite de la saison ?
Nous sommes tous peinés. Ce n'est pas la peine de se faire plus mal qu'on a mal. Ce n'est pas avec l'équipe de ce soir que nous pourrons battre le Real Madrid ou revenir sur Bordeaux. L'objectif reste d'être dans le haut du tableau. Je ferai ce que je pense devoir faire. Je reste très informé de l'intérieur et de ce qui se passe, il faut être patient et responsable. Il n'y y a pas de drame, le football est un jeu fait de compétition. Je suis là pour résoudre les problèmes, tirer les bilans et atteindre les objectifs. Nous ne sommes pas totalement à notre place mais les solutions ne sont pas dans les changements d'entraîneurs ou les insultes

Aulas soutient Puel
Après la défaite de Lyon, mercredi soir à Gerland face à Montpellier (2-1), Jean-Michel Aulas a de nouveau apporté son soutien à son entraîneur Claude Puel, cible des critiques du public. «La question n'est pas que je le conforte ou pas, explique le président de l'OL. Si je le conforte, on va dire que je le mets en danger et si je ne le conforte pas, on dira que j'ai changé d'avis. Claude est comme moi. Il fait le maximum. Il prend ses responsabilités en cherchant des solutions. Nous avons quinze jours pour réfléchir et bien analyser. Les dirigeants sont là pour prendre les décisions les plus lourdes et avec sang froid. Ce n'est pas en insultant entraîneur et président que l'on résout les problèmes. Si c'était un problème d'entraîneur, j'aurais assumé ma responsabilité.»

Aulas pointe du doigt les carences de son équipe, seulement 6e au classement et à treize points du leader Bordeaux. «Aujourd'hui, c'est un problème de qualité physique des joueurs qui rejaillit sur les matches. Il n'y a pas cet enthousiasme qui permet de relancer la mécanique. Claude Puel est fragilisé dans les journaux mais pas au sein du club. S'il suffit aussi de changer le médecin et le préparateur physique, imaginez bien que nous le ferions. La solution est plus difficile à trouver

Dans une interview accordée à RMC, Jean-Michel Aulas est revenu sur le mercato de l'Olympique Lyonnais. Le président du club rhodanien s'est notamment montré très enthousiaste d'avoir pu enrôler Dejan Lovren. «Je le voulais absolument», a-t-il déclaré. En revanche, l'OL n'a pas réussi à faire revenir Loïc Rémy, du moins pour le moment. L'attaquant de l'OGC Nice avait reçu une offre sérieuse de Rennes, mais Lyon a répondu en formulant une contre-proposition avec «plus d'un million d'écart annuel par rapport à l'offre rennaise», dixit Aulas qui a assuré que «Rémy avait envie de revenir». Quant à Ederson, qui avait demandé à partir, Lyon a reçu «une offre de Rennes et une de la Lazio, qui n'était pas complète sur le plan des garanties financières.»

Enfin, le boss de l'OL a également indiqué que son club avait «gardé une participation de 20 % sur Hatem Ben Arfa, car on croit en lui.»

L’AFFAIRE à propos de la programmation d’Auxerre-OM demain
Jean-Michel Aulas: "Ça va être chaud avec Frédéric Thiriez!"


Hier soir, il était à Umea, en Suède,
pour assister à la demi-finale retour de la
Ligue des champions féminine disputée
par les Lyonnaises (0-0 ; 3-2 à l’aller). Mais
le président de l’OL, Jean-Michel Aulas sera
de retour en France dès aujourd’hui
pour prendre part à la réunion du "Big
Four" français à Paris, répondant à l’invitation
de Frédéric Thiriez comme ses homologues
de l’OM (Jean-Claude Dassier),
de Bordeaux (Nicolas de Tavernost) et du
PSG (Robin Leproux).
À écouter le dirigeant rhodanien, joint à
quelques minutes du match hier, celui-ci ne
fera pas le déplacement pour rien. Entre
autres sujets : la programmation d’Auxerre-
OM demain soir. Pour lui, "les règles de
l’équité ne sont pas du tout respectées avant
le match OL-AJA du mercredi 5 mai car les
Auxerrois vont bénéficier de cinq jours de récupération
alors que nous n’en aurons que
trois après notre rencontre à Montpellier
fixée ce dimanche. Cela compte forcément. Si
elle bat l’OM, l’AJA sera favorisée dans la
course au titre et nous, nous serons pénalisés
en vue des places européennes."
Hier, la Commission des compétitions de la
LFP a cependant maintenu AJA-OM à demain.
L’Olympique Lyonnais a aussitôt fait appel.
"L’argument de la Ligue n’est pas recevable
car il se réfère à des impératifs télévisuels
(partage des retransmissions entre Canal +
et Orange), explique Aulas. Je suggère plutôt
que le match Auxerre-OM soit fixé samedi même
si la finale de la coupe de France a lieu ce
jour-là. Ce n’est quand même pas notre faute
si les instances élaborent des réglements qui
les arrangent. Ce n’est pas sérieux. En fait,
j’ai le sentiment que la LFP ne verrait pas
d’un mauvais oeil le sacre d’Auxerre en Ligue
1. Sans être péjoratif, loin s’en faut, l’AJA
fait partie des clubs populaires et on sait très
bien que ceux-là sont largement favorables
au président de la Ligue."
La réunion du jour avec le président Thiriez
promet d’être animée. "Ça va être
chaud!", a même annoncé Aulas, hier.

AUALS ...AULIC

LIGUEDESCHAMPIONS ● Aulas mauvais perdant? Le président
de l’OL a eu du mal à digérer l’élimination de son équipe par
le Bayern mardi. Et sur Europe 1 hier, il s’est montré dubitatif au
sujet d’Olic, auteur des trois buts bavarois à Gerland. Il a dû "avoir
ce qu’il faut" pour courir "plus longtemps que tout le monde". Sans
doute une allusion cachée au contrôle positif du Croate en 2004...

LA VEILLE IL NOUS DIT QUA VEC SON TRESOR DE GUERRE 170 M€ IL S EN FOUT
DE LA Ligue des champions

ET LA IL MONTRE LE CONTRAIRE
20 PATATES C BEAUCOUP..

TROIS FOIS HELAS


Lyon - Aulas pique sa crise




Jean-Michel Aulas était furieux après l'arbitre Stéphane Bré.
Jean-Michel Aulas est entré dans une colère noire, samedi soir après le match entre Valenciennes et Lyon (2-2). Comme les images de Canal + l'ont montré, le président lyonnais a reproché de façon très bruyante à l'arbitre de la rencontre, Stéphane Bré, d'avoir sifflé un penalty en faveur de VA en fin de match (transformé par Cohade à la 81e) qui donnait à ce moment-là l'avantage aux Nordistes, et d'en avoir oublié un en faveur de son équipe. « A Bordeaux l'année dernière, on perd sur une erreur de M. Bré ! Ce soir encore, M. Bré nous pénalise sur un penalty inexistant. A l'arrivée, c'est 20 millions d'écart », a enragé Aulas sous les caméras de Canal.

«Je suis un peu en colère car l'arbitrage n'a pas été exemplaire, a ensuite réagi Aulas sur le site de l'OL. On va dire que quand on ne gagne pas un match on revient toujours sur ces choses là mais ce soir malheureusement ça nous rappelle le match à Bordeaux la saison passée. C'était le même arbitre que ce soir... Je ne suis pas persuadé qu'il y avait penalty sur l'action d'Hugo (Lloris). En revanche, je suis persuadé qu'il y a penalty sur le fauchage du pied de Lisandro. Je suis persuadé aussi qu'il doit y avoir une expulsion de Bisevac quand il frappe Lisandro au passage. L'arbitrage n'a pas été cohérent. Trop c'est trop. »

AUALS trouve que bordeaux dans l'affaire blanc a été complaisant
le roi pour mette de l'huile sur le feu entreles girondins et la fff

Jean-Michel Aulas, le président lyonnais a égratigné le comportement de la FFF concernant la succession de Raymond Domenech dans le colonnes de L'Equipe de mercredi, et trouve que les Girondins auraient dû être plus fermes.
Jamais à court de déclarations sur ses pairs, le président lyonnais Jean-Michel Aulas a fait une petite sortie contre la Fédaration et son président, Jean-Pierre Escalettes dans L'Equipe de mercredi. Le dirigeant rhodanien se réjouit certes de la nomination de Laurent Blanc au poste de sélectionneur, mais selon lui, «si ça avait été avec Lyon, les choses ne se seraient pas passées comme ça pour les indemnités.»
«Il s'est passé quelque chose»
Les Girondins, qui demandent une compensation financière de près de deux millions d'euros pour «racheter» la dernière année de contrat de leur entraîneur auraient beaucoup trop perdu selon M. Aulas dans l'affaire : «À la trêve, ils avaient 10 points d'avance sur l'OM et 14 sur nous. Ils ont une bonne équipe, un bon entraîneur et un bon président. Il s'est bien passé quelque chose.»

Entre les lignes, le président de l'OL fait clairement comprendre qu'il ne se serait pas laissé faire et s'étonne ouvertement de la manière de faire de la FFF. «Je reste toujours surpris que l'on annonce le nouveau sélectionneur avant la Coupe du monde. À ce moment-là, pourquoi ne pas envoyer Laurent Blanc en Afrique du Sud avec Raymond ?» Humour présidentiel ou non, cette situation a toutefois particulièrement profité aux Lyonnais qui ont achevé le championnat avec 8 points d'avance sur Bordeaux et un billet pour une onzième Ligue des Champions de rang, sans oublier qu'en quart de finale de cette même compétition, l'OL a sorti... les Girondins

COME CHAQUE ETE HELAS VA FAIRE SON MARCHE EN FRANCE ET EN LIGUE 1

DU MOINS LE PRETEND IL

PRENDRE DES JOUEURS OU SEMER LA ZIZANIE DS SES CONCURRENTS C SA SPECIALITE ..

01/06/2010 09:38
«Prêt à reprendre Ben Arfa»
Jean-Michel Aulas a, lundi soir, évoqué les transferts qui devraient agiter l'Olympique Lyonnais cet été. Joueur par joueur, il fait le point.




Jean-Michel Aulas a fait un point sur les probables transferts qui agiteront l'OL cet été
Détendu et souriant, Jean-Michel Aulas a pris le temps, lundi soir, d'évoquer les transferts qui devraient agiter l'Olympique Lyonnais cet été. Joueur par joueur, le président de l'OL fait le point.

Jimmy Briand : «C'est la priorité de Claude Puel. Ce n'est pas encore fait, car de toute façon, rien ne se fera avant le 8 juin (date d'ouverture du mercato). Il a envie de venir.»

Stéphane Mbia : «S'il y quelqu'un que je devais prendre à Marseille, c'est lui. C'est le type de joueur qui nous a manqués cette saison. En tout cas, c'est le Marseillais qui a le plus de potentiel.»

Yoann Gourcuff : «On va signer un milieu costaud qui coûtera entre 15 et 20 millions d'euros. Ça peut être lui. De toute manière, ce sera un gros bras. On en a quelques uns en tête. Pour Gourcuff, j'ai vu son contrat et il a une clause de départ maximum à 25 millions d'euros. S'il veut partir au mois d'août alors on cassera la tirelire.»

Loïc Rémy : «Normalement, il va signer à Rennes. Mais nous allons essayer de faire jouer notre clause qui nous permet d'être prioritaires par rapport à d'autres clubs. Que Jimmy Briand et lui viennent, ce n'est pas impossible.»

01/06/2010 09:38
«Prêt à reprendre Ben Arfa»
Jean-Michel Aulas a, lundi soir, évoqué les transferts qui devraient agiter l'Olympique Lyonnais cet été. Joueur par joueur, il fait le point.




Jean-Michel Aulas a fait un point sur les probables transferts qui agiteront l'OL cet été
Détendu et souriant, Jean-Michel Aulas a pris le temps, lundi soir, d'évoquer les transferts qui devraient agiter l'Olympique Lyonnais cet été. Joueur par joueur, le président de l'OL fait le point.

Jimmy Briand : «C'est la priorité de Claude Puel. Ce n'est pas encore fait, car de toute façon, rien ne se fera avant le 8 juin (date d'ouverture du mercato). Il a envie de venir.»

Stéphane Mbia : «S'il y quelqu'un que je devais prendre à Marseille, c'est lui. C'est le type de joueur qui nous a manqués cette saison. En tout cas, c'est le Marseillais qui a le plus de potentiel.»

Yoann Gourcuff : «On va signer un milieu costaud qui coûtera entre 15 et 20 millions d'euros. Ça peut être lui. De toute manière, ce sera un gros bras. On en a quelques uns en tête. Pour Gourcuff, j'ai vu son contrat et il a une clause de départ maximum à 25 millions d'euros. S'il veut partir au mois d'août alors on cassera la tirelire.»

Loïc Rémy : «Normalement, il va signer à Rennes. Mais nous allons essayer de faire jouer notre clause qui nous permet d'être prioritaires par rapport à d'autres clubs. Que Jimmy Briand et lui viennent, ce n'est pas impossible.»


01/06/2010 09:38
«Prêt à reprendre Ben Arfa»
Jean-Michel Aulas a, lundi soir, évoqué les transferts qui devraient agiter l'Olympique Lyonnais cet été. Joueur par joueur, il fait le point.




Jean-Michel Aulas a fait un point sur les probables transferts qui agiteront l'OL cet été
Détendu et souriant, Jean-Michel Aulas a pris le temps, lundi soir, d'évoquer les transferts qui devraient agiter l'Olympique Lyonnais cet été. Joueur par joueur, le président de l'OL fait le point.

Jimmy Briand : «C'est la priorité de Claude Puel. Ce n'est pas encore fait, car de toute façon, rien ne se fera avant le 8 juin (date d'ouverture du mercato). Il a envie de venir.»

Stéphane Mbia : «S'il y quelqu'un que je devais prendre à Marseille, c'est lui. C'est le type de joueur qui nous a manqués cette saison. En tout cas, c'est le Marseillais qui a le plus de potentiel.»

Yoann Gourcuff : «On va signer un milieu costaud qui coûtera entre 15 et 20 millions d'euros. Ça peut être lui. De toute manière, ce sera un gros bras. On en a quelques uns en tête. Pour Gourcuff, j'ai vu son contrat et il a une clause de départ maximum à 25 millions d'euros. S'il veut partir au mois d'août alors on cassera la tirelire.»

Loïc Rémy : «Normalement, il va signer à Rennes. Mais nous allons essayer de faire jouer notre clause qui nous permet d'être prioritaires par rapport à d'autres clubs. Que Jimmy Briand et lui viennent, ce n'est pas impossible.»




Guillaume Hoarau : «Il a un profil intéressant. Mais on ne cherche pas vraiment dans ce secteur. Surtout que Frédéric Piquionne va revenir et que sa cote a grimpé ces derniers mois.»Hatem Ben Arfa : «Je suis prêt à le reprendre, s'il veut revenir.» Mamadou Niang : «C'est lui qui nous a appelés l'été dernier pour venir. Depuis, Marseille lui a fait un contrat en or. C'est donc difficile pour nous cet été.»


Guillaume Hoarau : «Il a un profil intéressant. Mais on ne cherche pas vraiment dans ce secteur. Surtout que Frédéric Piquionne va revenir et que sa cote a grimpé ces derniers mois.»Hatem Ben Arfa : «Je suis prêt à le reprendre, s'il veut revenir.» Mamadou Niang : «C'est lui qui nous a appelés l'été dernier pour venir. Depuis, Marseille lui a fait un contrat en or. C'est donc difficile pour nous cet été.»



Guillaume Hoarau : «Il a un profil intéressant. Mais on ne cherche pas vraiment dans ce secteur. Surtout que Frédéric Piquionne va revenir et que sa cote a grimpé ces derniers mois.»Hatem Ben Arfa : «Je suis prêt à le reprendre, s'il veut revenir.» Mamadou Niang : «C'est lui qui nous a appelés l'été dernier pour venir. Depuis, Marseille lui a fait un contrat en or. C'est donc difficile pour nous cet été.»

AB
RAVO JMA
JOUUEUR DE 2 EME ZONE EN FIN DE CARRIERE
VA DS UN CLUB DE 2 EME ZONE POUR UNE POINEE DE CERISES
LE NEZ FIN


près le Mexicain Pablo Barrera, West Ham a enregistré vendredi une nouvelle signature avec l'arrivée de Frédéric Piquionne. L'Olympique Lyonnais a officialisé le départ de son attaquant pour 1,2 millions d'euros, auxquels pourront s'ajouter jusqu'à 400 000 euros de bonus. Piquionne, âgé de 31 ans, était arrivé à l'OL en août 2008. Il n'avait pas convaincu et avait rejoint Portsmouth en prêt la saison passée.

«Ce championnat que j'adore»
L'ancien Monégasque avait manifesté sa volonté de poursuivre sa carrière de l'autre côté de la Manche. Il est exaucé. «Ça a mis un peu de temps. Mais finalement cela s'est fait. Je remercie d'ailleurs le président, Jean Michel Aulas ainsi que Bernard Lacombe de m'avoir permis de signer où je voulais, s'est-il réjoui sur RMC. J'ai eu pas mal de touches en Angleterre. Je me suis donné les moyens la saison dernière de me faire un nom en Angleterre. (...) Je savais que j'avais le jeu pour l'Angleterre. Cela me soulage de revenir dans ce championnat que j'adore.»

«Essayer de faire encore mieux»
Chez les Hammers, Piquionne retrouvera Avram Grant, son entraîneur à Pompey. Forcément, cela a joué dans son arrivée à Londres. «C'est une bonne chose. Il voulait absolument que je le rejoigne. C'est toujours valorisant», a-t-il ajouté, avant de prendre de soin de préciser ses ambitions. «La meilleure saison possible serait de terminer dans le top10. J'espère personnellement continuer sur ma lancée de la fin de la saison dernière. Je connais mieux le football anglais. Je vais essayer de faire encore mieux.»

HELAS AULAS APPAREMMENT IL NE SAIT COMPTER QUE JUSQU"A SEPT



A trois jours de la reprise de la Ligue 1, Jean-Michel Aulas, le président de l'Olympique Lyonnais
, tient avant tout à reconquérir un titre de champion de France qui lui échappe depuis deux saisons.

En vacances depuis quelques jours dans son fief estival à Saint-Tropez, Jean-Michel Aulas n'a pas manqué une miette de la préparation estivale de ses protégés. Après deux saisons vierges de trophée, le président rhodanien a ciblé un objectif prioritaire. «On a surtout parlé du Championnat, c'est l'objectif numéro un, révèle ainsi JMA dans Le Parisien de ce mercredi. Nous venons de jouer une demi-finale de Ligue des champions et de faire douze podiums d'affilée en Ligue 1, ce n'est pas pour rien. Mais on a vraiment envie du titre.»

«Le club est en progression»
Mais Claude Puel, qui n'a toujours pas offert un trophée aux Rhodaniens depuis son arrivée sur le banc en 2008, est-il vraiment l'homme de la situation ? «Claude a amené l'équipe à la troisième place puis à la deuxième place du Championnat dans les années de transition, analyse Aulas. L'année dernière, on a eu le bonheur de jouer cette demi-finale de Ligue des champions pour la première fois dans l'histoire de l'OL, donc le club est en progression.» Confiant sur l'avenir, le boss de l'OL estime d'ailleurs que «le Lyon des trois ou cinq prochaines années sera le meilleur qui ait existé». Premier élément de réponse dès samedi, face à Monaco, pour l'ouverture de la saison 2010-2011.