INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
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aladin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
lundi 16 janvier 2012 12:05
Promesse de Sarkozy, la réforme de la dépendance enterrée - Terrains de campagne
Promise depuis plusieurs années et constamment reportée, la réforme de la dépendance, qui devait alléger le coût de la prise en charge des personnes âgées, est désormais officiellement enterrée pour cause de crise des finances publiques.
Evoquée depuis la canicule de 2003, puis promesse de Nicolas Sarkozy, cette ambitieuse remise à plat des aides aux personnes âgées a ensuite été repoussée plusieurs fois, jusqu'à l'organisation début 2011 d'un "débat public" qui devait aboutir à des mesures pour juillet, puis repoussées à septembre.
Mais le Premier ministre François Fion
a douché les derniers espoirs
fin août en renvoyant à "début 2012", rendant de fait impossible une réforme avant la présidentielle même si la ministre des Solidarités Roselyne Bachelot affirmait que la réforme n'était que "reportée".
Le 6 janvier, l'entourage de Mme Bachelot a confirmé qu'il n'y aurait pas de mesures avant les élections.
La réforme devait pourtant répondre à plusieurs problématiques qualifiées d'"urgentes" par le gouvernement, notamment le coût trop élevé de la prise en charge pour les particuliers et les départements ou les problèmes financiers de services à domicile.
Plus largement, une réforme de la dépendance devrait aussi améliorer la qualité de la prise en charge, en agissant par exemple sur l'attractivité des métiers médico-sociaux, la prévention de la dépendance, l'aménagement des logements...
Il s'agit de se préparer à l'augmentation du nombre de personnes dépendantes: plus d'1,15 million aujourd'hui, elles pourraient être 1,55 en 2030 puis 2,3 en 2060, selon des projections de l'Insee et de l'Ined (études démographiques).
A législation constante - en offrant le même niveau de services et d'aides qu'aujourd'hui -, les pouvoirs publics auront besoin de trouver 10 milliards d'euros supplémentaires en 2040.
Les pouvoirs publics (Etat, collectivités, Sécu...) consacrent déjà à la dépendance environ 25 milliards par an, les familles entre 7 et 10.
Actuellement, les personnes âgées dépendantes et leurs proches doivent débourser en effet de fortes sommes, entre 1.500 et 2.000 euros mensuels au minimum pour une place en établissement.
Et ce, malgré les aides, comme l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA, en moyenne 500 euros par mois environ), quand une retraite moyenne tourne aux alentours de 1.100 euros. Victime de son succès, l'APA coûte de plus en plus cher (5,5 milliards d'euros annuels), prenant à la gorge certains départements qui payent près de 70% de ces sommes.
Lassé par ces reports à répétition, le secteur de l'aide et de l'accueil aux personnes âgées se dit non seulement déçu mais pessimiste pour l'avenir.
Pour Pascal Champvert, président de l'AD-PA, (directeurs de services à domicile et d'établissements pour personnes âgées), "la décision d'abandonner cette réforme revient à tourner le dos à l'avenir". "Nombre de personnes âgées et leurs familles vont continuer à payer des sommes intolérables pour un hébergement en établissement", dénonce-t-il.
La déléguée générale du Synerpa (maisons de retraites privées) Florence Arnaiz-Maumé ne se fait aucune illusion à l'approche de la présidentielle.
"Les candidats pourront bien promettre une nouvelle réforme mais je pense qu'elle est enterrée pour au moins un an ou deux", vu l'état des finances publiques, juge-t-elle.
Chargée de la question au Parti socialiste, Charlotte Brun estime que l'enterrement de la réforme vient couronner "l'inaction" du gouvernement.
"Le débat de 2011 a donné l'illusion de l'action alors que pendant ce temps, la situation financière des familles et des services à domicile s'est aggravée", ajoute Mme Brun
Promesse de Sarkozy, la réforme de la dépendance enterrée - Terrains de campagne
Promise depuis plusieurs années et constamment reportée, la réforme de la dépendance, qui devait alléger le coût de la prise en charge des personnes âgées, est désormais officiellement enterrée pour cause de crise des finances publiques.
Evoquée depuis la canicule de 2003, puis promesse de Nicolas Sarkozy, cette ambitieuse remise à plat des aides aux personnes âgées a ensuite été repoussée plusieurs fois, jusqu'à l'organisation début 2011 d'un "débat public" qui devait aboutir à des mesures pour juillet, puis repoussées à septembre.
Mais le Premier ministre François Fion
a douché les derniers espoirs
fin août en renvoyant à "début 2012", rendant de fait impossible une réforme avant la présidentielle même si la ministre des Solidarités Roselyne Bachelot affirmait que la réforme n'était que "reportée".
Le 6 janvier, l'entourage de Mme Bachelot a confirmé qu'il n'y aurait pas de mesures avant les élections.
La réforme devait pourtant répondre à plusieurs problématiques qualifiées d'"urgentes" par le gouvernement, notamment le coût trop élevé de la prise en charge pour les particuliers et les départements ou les problèmes financiers de services à domicile.
Plus largement, une réforme de la dépendance devrait aussi améliorer la qualité de la prise en charge, en agissant par exemple sur l'attractivité des métiers médico-sociaux, la prévention de la dépendance, l'aménagement des logements...
Il s'agit de se préparer à l'augmentation du nombre de personnes dépendantes: plus d'1,15 million aujourd'hui, elles pourraient être 1,55 en 2030 puis 2,3 en 2060, selon des projections de l'Insee et de l'Ined (études démographiques).
A législation constante - en offrant le même niveau de services et d'aides qu'aujourd'hui -, les pouvoirs publics auront besoin de trouver 10 milliards d'euros supplémentaires en 2040.
Les pouvoirs publics (Etat, collectivités, Sécu...) consacrent déjà à la dépendance environ 25 milliards par an, les familles entre 7 et 10.
Actuellement, les personnes âgées dépendantes et leurs proches doivent débourser en effet de fortes sommes, entre 1.500 et 2.000 euros mensuels au minimum pour une place en établissement.
Et ce, malgré les aides, comme l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA, en moyenne 500 euros par mois environ), quand une retraite moyenne tourne aux alentours de 1.100 euros. Victime de son succès, l'APA coûte de plus en plus cher (5,5 milliards d'euros annuels), prenant à la gorge certains départements qui payent près de 70% de ces sommes.
Lassé par ces reports à répétition, le secteur de l'aide et de l'accueil aux personnes âgées se dit non seulement déçu mais pessimiste pour l'avenir.
Pour Pascal Champvert, président de l'AD-PA, (directeurs de services à domicile et d'établissements pour personnes âgées), "la décision d'abandonner cette réforme revient à tourner le dos à l'avenir". "Nombre de personnes âgées et leurs familles vont continuer à payer des sommes intolérables pour un hébergement en établissement", dénonce-t-il.
La déléguée générale du Synerpa (maisons de retraites privées) Florence Arnaiz-Maumé ne se fait aucune illusion à l'approche de la présidentielle.
"Les candidats pourront bien promettre une nouvelle réforme mais je pense qu'elle est enterrée pour au moins un an ou deux", vu l'état des finances publiques, juge-t-elle.
Chargée de la question au Parti socialiste, Charlotte Brun estime que l'enterrement de la réforme vient couronner "l'inaction" du gouvernement.
"Le débat de 2011 a donné l'illusion de l'action alors que pendant ce temps, la situation financière des familles et des services à domicile s'est aggravée", ajoute Mme Brun
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
IL NE MANQUE PAS D"AIR...............
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Rechute de Sarkozy dans les sondages après l'embellie de fin 2011
Après une embellie fin 2011, le président Nicolas Sarkozy, en recul de deux à deux points et demi dans les derniers sondages sur la présidentielle, cède à nouveau du terrain sur son principal rival François Hollande, tandis que Marine Le Pen et François Bayrou confortent leurs positions.
Crédité par l'Ifop de 26% des intentions de vote le 6 janvier, le chef de l'Etat, qui tarde à se déclarer candidat, est depuis en perte de vitesse, autour de 23-24%, nettement distancé par le candidat socialiste, à 28-30%. Selon les sondeurs, ce recul s'explique en partie seulement par la perte du triple A auprès de Standard and Poor's (SP).
"François Hollande continue à avoir les faveurs de l'opinion à un niveau exceptionnellement élevé", alors que Nicolas Sarkozy est à "un niveau faible", commente Brice Teinturier (Ipsos).
Selon un sondage de cet institut mardi, le champion PS écraserait le président sortant de 18 points au second tour (59% contre 41%). Le même jour, l'Ifop-Fiducial a donné un écart plus réduit, mais conséquent (57-43), identique à celui d'un sondage LH2 dimanche.
Les deux premières enquêtes ne confirment pas la poussée de Marine Le Pen relevée la semaine dernière. La présidente du Front national ne progresserait que de un point, à 18% (Ipsos) ou 20% (Ifop), un haut niveau toutefois pour la candidate d'extrême droite.
Quant au centriste François Bayrou, il est solidement installé à la 4e place, autour de 12-14%. De tous les prétendants, il est celui qui a le plus progressé depuis début décembre (cinq à sept points d'intentions de vote gagnés). Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) se tient bien (7,5%), contrairement à Eva Joly (EELV, 3%).
Les contre-performances sondagières de Nicolas Sarkozy "interrompent une dynamique de reconquête" qui l'avait vu passer à l'automne de 21 à 25,5% des intentions de vote chez Ipsos, relève M. Teinturier.
C'est dans l'électorat UMP que le chef de l'Etat régresse, selon Jean-François Doridot, de cet institut, au profit de François Bayrou.
La dégradation de la note de la dette par SP le 13 janvier n'est qu'une partie de l'explication. "Il y a vraiment un décalage entre le temps médiatique d'annonce d'une décision grave et le moment où ça modifie les comportements électoraux", affirme Frédéric Dabi (Ifop).
Pour Ipsos, le reflux présidentiel tient sans doute pour partie "au projet de TVA sociale, pas très populaire à droite", voire à celui de taxe Tobin, nettement plus apprécié à gauche qu'à droite.
Distancé par Hollande et Le Pen "dans les catégories de +la France du travail+ inquiète des conséquences de la crise", d'après M. Dabi, Nicolas Sarkozy "n'apparaît pas en situation d'arriver en tête au soir du 1er tour".
A 23,5% d'intentions de vote, le président-candidat tombe selon M. Doridot à un étiage "dangereux" qui le met sous la menace de Mme Le Pen, loin de son score du 22 avril 2007 (31,1%).
Concomitamment, sa cote de popularité chute. Elle a perdu six points en deux mois (BVA), deux en un mois (Ipsos), avec des taux d'approbation entre 32 et 34%. Nicolas Sarkozy "reperd les points gagnés en pleine crise aiguë après le référendum grec" avorté sur l'euro, note Gaël Sliman (BVA).
En revanche, selon les sondeurs, "il y a une dynamique Bayrou". S'il a franchi haut la main la barre des 10% d'intentions de vote, le phénomène demeure fragile, 27% seulement de ses électeurs se déclarant "sûrs de leur vote" selon Ipsos.
Le président du MoDem décolle en tout cas dans les enquêtes d'image. Apprécié à droite comme à gauche, il est désormais numéro un aux palmarès (Ipsos et BVA) des dirigeants politiques.
Après une embellie fin 2011, le président Nicolas Sarkozy, en recul de deux à deux points et demi dans les derniers sondages sur la présidentielle, cède à nouveau du terrain sur son principal rival François Hollande, tandis que Marine Le Pen et François Bayrou confortent leurs positions.
Crédité par l'Ifop de 26% des intentions de vote le 6 janvier, le chef de l'Etat, qui tarde à se déclarer candidat, est depuis en perte de vitesse, autour de 23-24%, nettement distancé par le candidat socialiste, à 28-30%. Selon les sondeurs, ce recul s'explique en partie seulement par la perte du triple A auprès de Standard and Poor's (SP).
"François Hollande continue à avoir les faveurs de l'opinion à un niveau exceptionnellement élevé", alors que Nicolas Sarkozy est à "un niveau faible", commente Brice Teinturier (Ipsos).
Selon un sondage de cet institut mardi, le champion PS écraserait le président sortant de 18 points au second tour (59% contre 41%). Le même jour, l'Ifop-Fiducial a donné un écart plus réduit, mais conséquent (57-43), identique à celui d'un sondage LH2 dimanche.
Les deux premières enquêtes ne confirment pas la poussée de Marine Le Pen relevée la semaine dernière. La présidente du Front national ne progresserait que de un point, à 18% (Ipsos) ou 20% (Ifop), un haut niveau toutefois pour la candidate d'extrême droite.
Quant au centriste François Bayrou, il est solidement installé à la 4e place, autour de 12-14%. De tous les prétendants, il est celui qui a le plus progressé depuis début décembre (cinq à sept points d'intentions de vote gagnés). Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) se tient bien (7,5%), contrairement à Eva Joly (EELV, 3%).
Les contre-performances sondagières de Nicolas Sarkozy "interrompent une dynamique de reconquête" qui l'avait vu passer à l'automne de 21 à 25,5% des intentions de vote chez Ipsos, relève M. Teinturier.
C'est dans l'électorat UMP que le chef de l'Etat régresse, selon Jean-François Doridot, de cet institut, au profit de François Bayrou.
La dégradation de la note de la dette par SP le 13 janvier n'est qu'une partie de l'explication. "Il y a vraiment un décalage entre le temps médiatique d'annonce d'une décision grave et le moment où ça modifie les comportements électoraux", affirme Frédéric Dabi (Ifop).
Pour Ipsos, le reflux présidentiel tient sans doute pour partie "au projet de TVA sociale, pas très populaire à droite", voire à celui de taxe Tobin, nettement plus apprécié à gauche qu'à droite.
Distancé par Hollande et Le Pen "dans les catégories de +la France du travail+ inquiète des conséquences de la crise", d'après M. Dabi, Nicolas Sarkozy "n'apparaît pas en situation d'arriver en tête au soir du 1er tour".
A 23,5% d'intentions de vote, le président-candidat tombe selon M. Doridot à un étiage "dangereux" qui le met sous la menace de Mme Le Pen, loin de son score du 22 avril 2007 (31,1%).
Concomitamment, sa cote de popularité chute. Elle a perdu six points en deux mois (BVA), deux en un mois (Ipsos), avec des taux d'approbation entre 32 et 34%. Nicolas Sarkozy "reperd les points gagnés en pleine crise aiguë après le référendum grec" avorté sur l'euro, note Gaël Sliman (BVA).
En revanche, selon les sondeurs, "il y a une dynamique Bayrou". S'il a franchi haut la main la barre des 10% d'intentions de vote, le phénomène demeure fragile, 27% seulement de ses électeurs se déclarant "sûrs de leur vote" selon Ipsos.
Le président du MoDem décolle en tout cas dans les enquêtes d'image. Apprécié à droite comme à gauche, il est désormais numéro un aux palmarès (Ipsos et BVA) des dirigeants politiques.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
PAS MAL CE QU IL DIT
mardi 17 janvier 2012 22:05
"Trop tard, trop court": Bayrou n'attend "pas grand chose" du sommet social
"Trop tard", "trop court": le président du MoDem et candidat à l'Elysée François Bayrou a déclaré mardi, lors d'une visite à Strasbourg, qu'il n'attendait "pas grand-chose" du sommet social de mercredi à l'Elysée, en réaffirmant son opposition à la TVA sociale.
"En vérité, je n'attends pas grand-chose parce que je pense que c'est trop tard, trop court" et "qu'on ne règle pas des questions comme ça en quelques heures, à quelques semaines d'une élection présidentielle", a déclaré le député des Pyrénées-Atlantiques.
Trop tard, trop court":
"Tant de précipitation n'est pas bonne conseillère. Ce que je prévois, c'est plus des blocages qu'autre chose. Ce n'est pas dans un tour de table de quelques demi-heures que vous réussissez (...) à régler des questions de cet ordre", a-t-il ajouté.
"Le partage de la responsabilité, pour ne pas dire la cogestion, ça demande du temps et beaucoup de compréhension de l'autre, ça n'est pas +installez-vous autour de la table, lisez-moi un papier et au revoir on s'en va+", a estimé le leader centriste.
François Bayrou a réaffirmé son opposition à la TVA sociale, qui consiste à augmenter la TVA pour baisser les charges sur le travail.
"La question des charges excessives sur les entreprises se pose, mais la TVA n'est pas la réponse, car c'est un impôt qui ne peut supporter qu'une hausse modérée", a-t-il déclaré.
Le candidat du MoDem à la présidentielle était à Strasbourg pour une visite dans les locaux du régime local d'assurance maladie d'Alsace-Moselle, un régime -- cas unique en France -- complémentaire à la sécurité sociale mais obligatoire.
Il y a vu un modèle, car cette caisse complémentaire, gérée par les représentants des salariés, "rapporte des prestations vraiment meilleures et plus intéressantes" et a connu un "excédent" en 2011, "à tel point que cette année les cotisations (salariales) ont baissé", passant de 1,6% à 1,5% en janvier 2012, a-t-il expliqué.
"Ca veut dire qu'il y a des possibilités d'amélioration de la santé en France, alors que tout le monde croit que le trou de la sécu est invincible et qu'on devrait toujours payer plus et avoir moins", a ajouté François Bayrou.
Président du conseil d'administration de ce régime local, Daniel Lorthiois a précisé que sur un budget annuel de 450 millions d'euros, l'excédent s'élevait à 23,5 millions, dont 18 dus à des "produits financiers".
"Je ne pense pas que ce soit généralisable" au reste de la France, a déclaré à l'AFP René Marbach, directeur du régime, "parce que ça veut dire 1,5 point de plus de cotisation pour tout le monde".
Mais pour François Bayrou, dans le reste de la France, "vous prenez une complémentaire, et cette complémentaire elle est très chère (...) Ici, cette cotisation est en effet obligatoire, mais elle vient en déduction de ce que vous devez ensuite payer pour une complémentaire
mardi 17 janvier 2012 22:05
"Trop tard, trop court": Bayrou n'attend "pas grand chose" du sommet social
"Trop tard", "trop court": le président du MoDem et candidat à l'Elysée François Bayrou a déclaré mardi, lors d'une visite à Strasbourg, qu'il n'attendait "pas grand-chose" du sommet social de mercredi à l'Elysée, en réaffirmant son opposition à la TVA sociale.
"En vérité, je n'attends pas grand-chose parce que je pense que c'est trop tard, trop court" et "qu'on ne règle pas des questions comme ça en quelques heures, à quelques semaines d'une élection présidentielle", a déclaré le député des Pyrénées-Atlantiques.
Trop tard, trop court":
"Tant de précipitation n'est pas bonne conseillère. Ce que je prévois, c'est plus des blocages qu'autre chose. Ce n'est pas dans un tour de table de quelques demi-heures que vous réussissez (...) à régler des questions de cet ordre", a-t-il ajouté.
"Le partage de la responsabilité, pour ne pas dire la cogestion, ça demande du temps et beaucoup de compréhension de l'autre, ça n'est pas +installez-vous autour de la table, lisez-moi un papier et au revoir on s'en va+", a estimé le leader centriste.
François Bayrou a réaffirmé son opposition à la TVA sociale, qui consiste à augmenter la TVA pour baisser les charges sur le travail.
"La question des charges excessives sur les entreprises se pose, mais la TVA n'est pas la réponse, car c'est un impôt qui ne peut supporter qu'une hausse modérée", a-t-il déclaré.
Le candidat du MoDem à la présidentielle était à Strasbourg pour une visite dans les locaux du régime local d'assurance maladie d'Alsace-Moselle, un régime -- cas unique en France -- complémentaire à la sécurité sociale mais obligatoire.
Il y a vu un modèle, car cette caisse complémentaire, gérée par les représentants des salariés, "rapporte des prestations vraiment meilleures et plus intéressantes" et a connu un "excédent" en 2011, "à tel point que cette année les cotisations (salariales) ont baissé", passant de 1,6% à 1,5% en janvier 2012, a-t-il expliqué.
"Ca veut dire qu'il y a des possibilités d'amélioration de la santé en France, alors que tout le monde croit que le trou de la sécu est invincible et qu'on devrait toujours payer plus et avoir moins", a ajouté François Bayrou.
Président du conseil d'administration de ce régime local, Daniel Lorthiois a précisé que sur un budget annuel de 450 millions d'euros, l'excédent s'élevait à 23,5 millions, dont 18 dus à des "produits financiers".
"Je ne pense pas que ce soit généralisable" au reste de la France, a déclaré à l'AFP René Marbach, directeur du régime, "parce que ça veut dire 1,5 point de plus de cotisation pour tout le monde".
Mais pour François Bayrou, dans le reste de la France, "vous prenez une complémentaire, et cette complémentaire elle est très chère (...) Ici, cette cotisation est en effet obligatoire, mais elle vient en déduction de ce que vous devez ensuite payer pour une complémentaire
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Voici le communiqué d’Arnaud MONTEBOURG en date de samedi relatif à la perte du triple A par la France :
Triple A – communiqué
A vouloir faire la politique des marchés financiers plutôt qu’avoir eu le courage de les combattre, c’est la France et les Français qui paient très cher cette politique irresponsable qui conduit notre pays à l’abaissement.
Un surendettement historique avec 612 milliards de dettes supplémentaires en 5 ans, une dette entre les mains de créanciers étrangers à 65%, 3 plans de rigueur dangereux et récessifs pour amadouer inutilement les marchés, la France ne peut que constater l’incompétence et l’irresponsabilité de ses dirigeants actuels, qui nous conduisent à la soumission économique et financière et à la perte progressive de souveraineté.
Le chemin du redressement que nous empruntons avec François Hollande passera par la mise au pas de la finance par des mesures très draconiennes contre le système financier et les banques, elle passera également par le désendettement du pays et l’assainissement des comptes publics en mettant fin aux innombrables cadeaux fiscaux aux plus fortunés qui ont conduit au surendettement de la République.
Ce chemin du redressement sera guidé par l’esprit de justice, il épargnera les classes moyennes et populaires des efforts excessifs auxquels elles viennent d’être soumises pendant ces dernières années. Depuis la crise, les plans de sauvetage et de renflouement sont pour les banques, les plans d’austérité et de rigueur sont toujours pour la population. Le moment est venu d’inverser nos priorités : la rigueur et la remise en ordre devront être désormais pour les banques, les marchés financiers, les comportements spéculatifs, les évadés fiscaux, les paradis fiscaux, et les agences de notation.
Arnaud Montebourg
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Luyindula attaque le PSG pour harcèlement
Toujours écarté du groupe professionnel, Peguy Luyindula a ouvert un nouveau chapitre de contestation face au Paris Saint-Germain, club avec qui il est sous contrat jusqu'à la fin de la saison.
l'attaquant de 32 ans a assigné Nasser al-Khelaifi, Leonardo, Jean-Claude Blanc et Antoine Kombouaré pour harcèlement moral, devant le tribunal correctionnel de Paris. Et ce, en citation directe.
Il réclame 6,4 millions d'euros au PSG pour les préjudices subis. Pour le moment, l'ancien Strasbourgeois, qui était apparu à 23 reprises la saison dernière en Ligue 1, ne peut pas s'entraîner avec l'équipe réserve. Il est actuellement en arrêt maladie. Le 8 février prochain, le tribunal des prud'hommes se prononcera sur la demande de résiliation de contrat effectuée par le joueur.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
wait and see
le 18/01/2012 à 14:49 | avec Agence
Sommet social : les mesures de Sarkozy, les réserves des syndicats
Le sommet social le 18 janvier 2012 à l'Elysée Le sommet social réunissant représentants des syndicats et du patronat à l’Élysée vient de s’achever avec l’annonce de mesures d’urgences pas le Président de la République. Dans un climat de crise sociale et de marasme économique, le chef de l’État a tenté de rassurer les partenaires sociaux à quelques mois des Présidentielles, "par des décisions fortes et rapides".
A commencer par le développement du chômage partiel dans les entreprises en difficulté. Pour Nicolas Sarkozy, "il faut tout faire pour éviter de couper le lien entre les salariés et leur entreprise", pour les "maintenir en activité" et pour les "former pendant leur temps libre forcé". D’après Jean-Claude Mailly, secrétaire national de FO, l’État devrait "mettre 100 millions d’euros supplémentaires pour le chômage partiel".
Autre mesure d’urgence : le redéploiement de crédits afin d’embaucher de nouvelles personnes à Pôle Emploi et permettre ainsi la prise en charge plus rapide des demandeurs d’emploi. Ces derniers se verront proposer, après plus de deux ans d’inactivité, soit une formation, soit un contrat aidé, marchand ou non marchand.
Réformes de la formation professionnelle et de la protection sociale
Par ailleurs, les petites entreprises qui font le pari de la jeunesse dans leur recrutement seront exonérées de charges sociales. Cette suppression pendant six mois des charges de l'embauche des jeunes de moins de 26 ans dans les TPE (très petites entreprises), qui figurait dans le rapport remis au président la semaine dernière par le député UMP Alain Joyandet, représente un coût de plus de 100 millions d'euros, selon l'Elysée.
Nicolas Sarkozy a également insisté sur plusieurs chantiers à venir, notamment une réforme radicale de la formation professionnelle et de la protection sociale. La création "d’un établissement dédié au financement de l’industrie" et des mesures "pour doper l’offre de logements dans notre pays" afin de "soutenir la croissance" sont également dans les tablettes du Président.
430 millions d'euros
Pour Laurence Parisot, ce sommet social est une réussite. La présidente du Medef se réjouit notamment de l’évocation de la TVA sociale, "un tabou" enfin débattu publiquement. Mais les mesures d’urgence de Nicolas Sarkozy ne font pas l’unanimité au sein des syndicats. Pour le numéro un de la CGT, les annonces faites par le chef de l’État "n’auront pas d’impact véritable sur l’emploi". Bernard Thibault estime qu’il "va falloir rester mobilisés parce qu'il n'y a pas d'annonces plus précises". Il a dit aboutir à "un constat de désaccord" sur l'idée, défendue par des organisations patronales et "reprise à plusieurs reprises par le président de la République", que "la véritable cause du chômage était le coût du travail trop élevé" en France.
De son côté, la CFDT, par la voix de François Chérèque, reste sur sa faim : "La CFDT avait demandé ce sommet social depuis 5 mois (...), il s'est tenu avec 5 mois de retard. (...) Nous avons obtenu quelques mesures utiles pour accompagner les entreprises et les salariés en difficulté, notamment sur le chômage partiel." Mais ces mesures ne vont pas assez loin : "Nous avons un flou total du gouvernement sur la réforme du financement de la protection sociale et sur les accords compétitivité-emploi." François Chérèque a d’ailleurs précisé que la CFDT "refuserait la TVA sociale".
L’ensemble des décisions prises par Nicolas Sarkozy devraient coûter 430 millions d’euros. Cet argent "sera financé par redéploiement pour ne pas accroître d'un centime le déficit de notre pays", a précisé le chef de l’État.
le 18/01/2012 à 14:49 | avec Agence
Sommet social : les mesures de Sarkozy, les réserves des syndicats
Le sommet social le 18 janvier 2012 à l'Elysée Le sommet social réunissant représentants des syndicats et du patronat à l’Élysée vient de s’achever avec l’annonce de mesures d’urgences pas le Président de la République. Dans un climat de crise sociale et de marasme économique, le chef de l’État a tenté de rassurer les partenaires sociaux à quelques mois des Présidentielles, "par des décisions fortes et rapides".
A commencer par le développement du chômage partiel dans les entreprises en difficulté. Pour Nicolas Sarkozy, "il faut tout faire pour éviter de couper le lien entre les salariés et leur entreprise", pour les "maintenir en activité" et pour les "former pendant leur temps libre forcé". D’après Jean-Claude Mailly, secrétaire national de FO, l’État devrait "mettre 100 millions d’euros supplémentaires pour le chômage partiel".
Autre mesure d’urgence : le redéploiement de crédits afin d’embaucher de nouvelles personnes à Pôle Emploi et permettre ainsi la prise en charge plus rapide des demandeurs d’emploi. Ces derniers se verront proposer, après plus de deux ans d’inactivité, soit une formation, soit un contrat aidé, marchand ou non marchand.
Réformes de la formation professionnelle et de la protection sociale
Par ailleurs, les petites entreprises qui font le pari de la jeunesse dans leur recrutement seront exonérées de charges sociales. Cette suppression pendant six mois des charges de l'embauche des jeunes de moins de 26 ans dans les TPE (très petites entreprises), qui figurait dans le rapport remis au président la semaine dernière par le député UMP Alain Joyandet, représente un coût de plus de 100 millions d'euros, selon l'Elysée.
Nicolas Sarkozy a également insisté sur plusieurs chantiers à venir, notamment une réforme radicale de la formation professionnelle et de la protection sociale. La création "d’un établissement dédié au financement de l’industrie" et des mesures "pour doper l’offre de logements dans notre pays" afin de "soutenir la croissance" sont également dans les tablettes du Président.
430 millions d'euros
Pour Laurence Parisot, ce sommet social est une réussite. La présidente du Medef se réjouit notamment de l’évocation de la TVA sociale, "un tabou" enfin débattu publiquement. Mais les mesures d’urgence de Nicolas Sarkozy ne font pas l’unanimité au sein des syndicats. Pour le numéro un de la CGT, les annonces faites par le chef de l’État "n’auront pas d’impact véritable sur l’emploi". Bernard Thibault estime qu’il "va falloir rester mobilisés parce qu'il n'y a pas d'annonces plus précises". Il a dit aboutir à "un constat de désaccord" sur l'idée, défendue par des organisations patronales et "reprise à plusieurs reprises par le président de la République", que "la véritable cause du chômage était le coût du travail trop élevé" en France.
De son côté, la CFDT, par la voix de François Chérèque, reste sur sa faim : "La CFDT avait demandé ce sommet social depuis 5 mois (...), il s'est tenu avec 5 mois de retard. (...) Nous avons obtenu quelques mesures utiles pour accompagner les entreprises et les salariés en difficulté, notamment sur le chômage partiel." Mais ces mesures ne vont pas assez loin : "Nous avons un flou total du gouvernement sur la réforme du financement de la protection sociale et sur les accords compétitivité-emploi." François Chérèque a d’ailleurs précisé que la CFDT "refuserait la TVA sociale".
L’ensemble des décisions prises par Nicolas Sarkozy devraient coûter 430 millions d’euros. Cet argent "sera financé par redéploiement pour ne pas accroître d'un centime le déficit de notre pays", a précisé le chef de l’État.
bienvenou- Admin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
L’emploi, dernière
chance de Sarkozy
Lors du "sommet de crise", hier,
le Président a fait des annonces
et évité les sujets qui fâchent
Sarkozy joueles pompiers
sur lefront del’emploi
CDDàPôleEmploi, exonérationde charges... etpas encore de TVAsociale
Des manifestations à Paris
Plusieurs milliers de personnes
ont manifesté hier à Paris pour dénoncer, à l'appel de la CGT, de
la FSU et de Solidaires, un sommet"antisocial convoqué pour la
forme". Plus nuancé, le numéro1 de la CFDT François Chérèque a
salué "les quelques mesures utiles"
du gouvernement, "même si
elles ne vont pas aussi loin quenous le souhaitions". Mais il a
aussi déploré "le flou total surles futures décisions" et répété son opposition à une augmentation
de la TVA. "Nous avons des réponses sur certains points", a
salué son collègue de FO Jean-Claude Mailly, avant de rappeler
son opposition à une TVA sociale
Àtrois mois de la présidentielle,
Nicolas Sarkozy a
annoncé hier lors d'un
"sommet de crise" des mesures
immédiates pour tenter d'endiguer
le chômage et reporté à la
fin janvier ses décisions sur les
sujets qui fâchent comme la
TVAsociale, fustigéepar les syndicats.
À l'issue de quatre heures
de discussions selon lui
"apaisées" avec les numéros 1
de cinqsyndicats et trois organisations
patronales, voici les
principales dispositions annoncées
par le chef de l'État pour
"faire face à une situation sur le
front de l'emploi extrêmement
préoccupante" qui nécessite, selon
Nicolas Sarkozy, "des décisions
fortes et rapides". 430 millionsd’euros
seront doncdébloqués
pour doper l'emploi des
jeunes, l'activité partielle et la
formationdes chômeurs.
◗ 1000 CDD À PÔLE EMPLOI
ET COUP DE POUCE À
L’EMPLOI DES JEUNES
Ces dispositions prévoient le
recrutement de 1000CDDàPôle
emploi. Pour doper l'emploi
des jeunes, le gouvernement a
décidé d'exonérer de charges
pendant six moins l'embauche
de jeunes dans les très petites
entreprises. M. Sarkozy a précisé
que cet effort serait financé
par "redéploiement" de crédits
déjà existants, pour éviter de
creuser les déficits, et qu’il pourrait
être "doublé" par le Fonds
social européen (150 millions
d'euros) et des fonds paritaires
qui gèrent la formation des salariés.
◗ UNE TVA SOCIALE AVANT
LA PRÉSIDENTIELLE
Au-delà de l'urgence, le chef
de l'État a surtout confirmé sa
volonté de faire voter avant le
scrutin des 22 avril et 6 mai un
paquet de réformes controversées,
comme la TVAsociale et la
flexibilité du temps de travail,
qu’il a justifié par la "gravité de
la crise".
◗ FORMATION ET LOGEMENT
Outre ces deuxprojetsemblématiques,
ilapromis une "réforme
radicale" de la formation
professionnelle, des "mesures
extrêmement puissantes" sur le
logement et redit sa volonté
d'instaurer une taxe sur les transactions
financières dont les
contours seront précisés "à la
fin du mois".
◗ UNE ANNONCE
ÉMINEMMENT POLITIQUE
Après la dégradation financière
de la France, le Président a
fait de ces réformes, qui doivent
améliorer la compétitivité
des entreprises, une de ses cartes
pour tenter d'emporter un
second mandat, alors qu’il est
toujours donné largement battu
par son rival PSFrançois Hollande.
M. Sarkozy a assuré
avoir "entendu" les remarques
des syndicats, farouchement
hostiles à ses projets mais a
confirmé qu’il annoncerait ses
décisions devant les Français "à
la fin du mois". D'ici là, le gouvernement
poursuivra ses
"contacts avec les parlementaires".
La gauche refuse toute
idée de TVA sociale, ainsi
qu’une partie de la droite, qui a
payé de la perte de dizaines de
sièges de députés un précédent
débat sur la TVA sociale entre
les deux tours des législatives
de 2007.
◗ LE MEDEF APPLAUDIT,
LES SYNDICATS RÉTICENTS
Sur le perron de l'Élysée, la patronneduMedef
LaurenceParisot
s'est réjouie des intentions
du Président. "Beaucoup de sujets
ont été abordés avec une ligne
directrice claire: la compétitivité
de notre pays", a-t-elle dit.
À l'inverse, les leaders syndicaux
n'ont pas caché leurs réticences,
voire leur franchehostilité.
Le patron de la CGT, Bernard
Thibault, a estimé que les
décisions d'urgence n'auraient
"pas d'impact véritable sur la sit
u a t i on d e l ' e m p l o i
aujourd'hui" et a appelé à la
"poursuite de lamobilisation
chance de Sarkozy
Lors du "sommet de crise", hier,
le Président a fait des annonces
et évité les sujets qui fâchent
Sarkozy joueles pompiers
sur lefront del’emploi
CDDàPôleEmploi, exonérationde charges... etpas encore de TVAsociale
Des manifestations à Paris
Plusieurs milliers de personnes
ont manifesté hier à Paris pour dénoncer, à l'appel de la CGT, de
la FSU et de Solidaires, un sommet"antisocial convoqué pour la
forme". Plus nuancé, le numéro1 de la CFDT François Chérèque a
salué "les quelques mesures utiles"
du gouvernement, "même si
elles ne vont pas aussi loin quenous le souhaitions". Mais il a
aussi déploré "le flou total surles futures décisions" et répété son opposition à une augmentation
de la TVA. "Nous avons des réponses sur certains points", a
salué son collègue de FO Jean-Claude Mailly, avant de rappeler
son opposition à une TVA sociale
Àtrois mois de la présidentielle,
Nicolas Sarkozy a
annoncé hier lors d'un
"sommet de crise" des mesures
immédiates pour tenter d'endiguer
le chômage et reporté à la
fin janvier ses décisions sur les
sujets qui fâchent comme la
TVAsociale, fustigéepar les syndicats.
À l'issue de quatre heures
de discussions selon lui
"apaisées" avec les numéros 1
de cinqsyndicats et trois organisations
patronales, voici les
principales dispositions annoncées
par le chef de l'État pour
"faire face à une situation sur le
front de l'emploi extrêmement
préoccupante" qui nécessite, selon
Nicolas Sarkozy, "des décisions
fortes et rapides". 430 millionsd’euros
seront doncdébloqués
pour doper l'emploi des
jeunes, l'activité partielle et la
formationdes chômeurs.
◗ 1000 CDD À PÔLE EMPLOI
ET COUP DE POUCE À
L’EMPLOI DES JEUNES
Ces dispositions prévoient le
recrutement de 1000CDDàPôle
emploi. Pour doper l'emploi
des jeunes, le gouvernement a
décidé d'exonérer de charges
pendant six moins l'embauche
de jeunes dans les très petites
entreprises. M. Sarkozy a précisé
que cet effort serait financé
par "redéploiement" de crédits
déjà existants, pour éviter de
creuser les déficits, et qu’il pourrait
être "doublé" par le Fonds
social européen (150 millions
d'euros) et des fonds paritaires
qui gèrent la formation des salariés.
◗ UNE TVA SOCIALE AVANT
LA PRÉSIDENTIELLE
Au-delà de l'urgence, le chef
de l'État a surtout confirmé sa
volonté de faire voter avant le
scrutin des 22 avril et 6 mai un
paquet de réformes controversées,
comme la TVAsociale et la
flexibilité du temps de travail,
qu’il a justifié par la "gravité de
la crise".
◗ FORMATION ET LOGEMENT
Outre ces deuxprojetsemblématiques,
ilapromis une "réforme
radicale" de la formation
professionnelle, des "mesures
extrêmement puissantes" sur le
logement et redit sa volonté
d'instaurer une taxe sur les transactions
financières dont les
contours seront précisés "à la
fin du mois".
◗ UNE ANNONCE
ÉMINEMMENT POLITIQUE
Après la dégradation financière
de la France, le Président a
fait de ces réformes, qui doivent
améliorer la compétitivité
des entreprises, une de ses cartes
pour tenter d'emporter un
second mandat, alors qu’il est
toujours donné largement battu
par son rival PSFrançois Hollande.
M. Sarkozy a assuré
avoir "entendu" les remarques
des syndicats, farouchement
hostiles à ses projets mais a
confirmé qu’il annoncerait ses
décisions devant les Français "à
la fin du mois". D'ici là, le gouvernement
poursuivra ses
"contacts avec les parlementaires".
La gauche refuse toute
idée de TVA sociale, ainsi
qu’une partie de la droite, qui a
payé de la perte de dizaines de
sièges de députés un précédent
débat sur la TVA sociale entre
les deux tours des législatives
de 2007.
◗ LE MEDEF APPLAUDIT,
LES SYNDICATS RÉTICENTS
Sur le perron de l'Élysée, la patronneduMedef
LaurenceParisot
s'est réjouie des intentions
du Président. "Beaucoup de sujets
ont été abordés avec une ligne
directrice claire: la compétitivité
de notre pays", a-t-elle dit.
À l'inverse, les leaders syndicaux
n'ont pas caché leurs réticences,
voire leur franchehostilité.
Le patron de la CGT, Bernard
Thibault, a estimé que les
décisions d'urgence n'auraient
"pas d'impact véritable sur la sit
u a t i on d e l ' e m p l o i
aujourd'hui" et a appelé à la
"poursuite de lamobilisation
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
WikipédiaetGoogle en grève. Un écran noir et cette phrase
:"Imaginez un monde où le savoir ne serait pas libre". Pour protester
contre des projets de loi antipiratage à l'étude aux États-Unis, la
version anglaise de Wikipédia était, hier, indisponible, tandis que Google.
com masquait son logo.
Et plusieurs dizaines de sites ont imité les
deux géants d'internet, à l'image de Reporters sans frontières qui a
fermé, pour 24 heures, la version anglaise de son site, disant "protester
au nom de la liberté d'expression en ligne
:"Imaginez un monde où le savoir ne serait pas libre". Pour protester
contre des projets de loi antipiratage à l'étude aux États-Unis, la
version anglaise de Wikipédia était, hier, indisponible, tandis que Google.
com masquait son logo.
Et plusieurs dizaines de sites ont imité les
deux géants d'internet, à l'image de Reporters sans frontières qui a
fermé, pour 24 heures, la version anglaise de son site, disant "protester
au nom de la liberté d'expression en ligne
bienvenou- Admin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
L'ex-gangster Alain Caillol raconte le rapt du baron Empain, "homme exceptionnel"
A bientôt 70 ans, l'ex-gangster Alain Caillol raconte dans un livre paru jeudi l'enlèvement du baron Empain en 1978, le "syndrome de Stockholm inversé" des ravisseurs, "l'acte manqué" qui l'a mené en prison et la poignée de main, 30 ans après, avec sa victime.
"Lumière" (Cherche Midi) défend l'innocence de certains des huit condamnés dans cette affaire et présente deux protagonistes jamais inquiétés, Idir et Mathieu (le seul survivant avec Caillol).
Et surtout "je voulais dire à M. Empain le respect qu'on avait pour lui", raconte dans un entretien avec l'AFP Alain Caillol: "Ca me travaillait depuis longtemps. Je ne voulais pas mourir ou qu'il meure sans lui dire la vérité".
"J'ai revu récemment M. Empain, ça s'est bien passé. Il m'a tutoyé d'entrée, moi je n'y arrivais pas. On a parlé de choses qui ne regardaient que nous deux. Il m'a serré la main", narre l'homme mince aux cheveux gris, visage émacié.
Le 23 janvier 1978, Edouard-Jean Empain est enlevé à Paris. L'affaire fait grand bruit: son groupe, Empain-Schneider, pèse des milliards, 150.000 employés, 300 sociétés dont des fleurons comme Framatome (nucléaire), Creusot-Loire (métallurgie) ou Spie Batignolles (BTP).
Sa captivité durera 63 jours. La rançon demandée est colossale, 80 millions de francs. Les ravisseurs envoient à sa famille l'auriculaire du baron pour prouver leur détermination. Les négociations s'arrêtent, reprennent, la remise de l'argent est reportée... Après plusieurs semaines, l'exécution du prisonnier est envisagée, soumise au vote, abandonnée.
Petit à petit, les ravisseurs découvrent "un homme exceptionnel par son courage", admet le gangster: "il y a eu un syndrome de Stockholm inversé. Il nous a dominés moralement. Chacun a vu en lui le rêve de ce qu'il voulait être: beau, riche, puissant, intelligent..."
La police patauge, envisageant l'enlèvement politique (les Brigades rouges sévissent alors en Italie), ou un lien avec la vie privée de l'aristocrate (dettes de jeu, infidélités...).
"Ils l'ont détruit avec ça", se souvient Caillol, selon qui peu de monde s'est mobilisé pour sauver le captif: ni les politiques en raison d'"antipathies personnelles", ni le groupe industriel, ni même sa famille. A sa libération, le baron exprimera sa déception à l'égard de ses proches qui avaient déjà vendu sa voiture et réparti l'héritage.
L'affaire se dénoue le 24 mars 1978. Là, Alain Caillol admet un "acte manqué": "Quelque part, je savais que de rançon, il n'y en aurait pas. Et je ne pouvais me décider à le tuer. Est-ce que je suis allé vers la mort, mon arrestation? Je ne sais pas, mais c'était quelque part où c'était interdit d'aller!"
Lui qui a toujours évité tout contact physique avec la police, il se porte au-devant du porteur de rançon, sur une autoroute du sud parisien. Et la police lui tombe dessus dans un déluge de balles: il en prend deux dans le bras, son copain Daniel Duchâteau y laisse la vie.
Le lendemain, il propose d'appeler ses complices pour leur demander de relâcher Empain, craignant son exécution. Les enquêteurs reconstituent le numéro d'après les impulsions électriques du cadran, tout le groupe tombe, mais il avait déjà libéré le baron.
Le livre, un peu flou sur certaines responsabilités, se lit comme un bon polar: on y croise un Jacques Mesrine psychotique ("en sortant acheter un éclair au chocolat, il pouvait tuer deux flics! C'était lourd..."), ou encore Michel Ardouin, dit "le porte-avions" à cause de l'arsenal qu'il trimballait.
Sorti de prison en 2009 - cinq ans pour "une histoire de coke, un petit trafic", qui s'ajoutaient aux 11 années pour l'affaire Empain - Alain Caillol se défend d'avoir cherché la rédemption dans l'écriture: "je ne suis pas du tout dans le trip chrétien. Tout ça c'est des mots".
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
POLITIQUE● Hadopi:
Hollande promet une nouvelle
loi s’il est élu. François Hollande,
candidat PS à l'élection présidentielle,
a affirmé que
concernant Hadopi, il ferait
"une nouvelle loi" s'il était élu.
"Nous ferons appelàune contribution
de ce qu’on appelle les
fournisseurs d'accès, les fabriquants
de matériels mais aussi
des usager", a-t-il expliqué lors
d'un discours aux Biennales
internationales du spectacle à
Nantes.
Hollande promet une nouvelle
loi s’il est élu. François Hollande,
candidat PS à l'élection présidentielle,
a affirmé que
concernant Hadopi, il ferait
"une nouvelle loi" s'il était élu.
"Nous ferons appelàune contribution
de ce qu’on appelle les
fournisseurs d'accès, les fabriquants
de matériels mais aussi
des usager", a-t-il expliqué lors
d'un discours aux Biennales
internationales du spectacle à
Nantes.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
NE PAS CONFONDRE PIRATAGE ET LIBERTE SUR LA TOILE
sous le couvert de certaines lois on veut empecher l'expression libre sur internet
: vendredi 20 janvier 2012 22:11
Les USA ferment
Le riche fondateur du site Megaupload.com a été interpellé vendredi à Auckland après s'être retranché, armé, dans sa villa, suite à la décision de la justice américaine de fermer cette plateforme emblématique et controversée du téléchargement direct sur internet.
La fermeture du site a été aussitôt suivie de représailles du collectif de pirates Anonymous, qui a mis hors service pendant plusieurs heures les sites du FBI et du ministère de la Justice américain.
Un autre site visé, celui de la maison de disque Universal Music, était toujours en "maintenance" vendredi à la mi-journée.
Anonymous, qui se présente volontiers comme défenseur des libertés sur internet, a assuré que cette opération "épique" était sa "plus vaste attaque" à ce jour.
Megaupload a été fermé jeudi par la justice américaine. Le site basé à Hong Kong est accusé d'être à l'origine de l'une des plus des plus "grandes affaires de violation de droits d'auteur jamais traitées aux Etats-Unis".
Son fondateur, Kim Schmitz, alias Kim Dotcom, un Allemand de 37 ans, et trois autres responsables de Megaupload ont été interpellés vendredi en Nouvelle-Zélande sur la base de mandats d'arrêt américains.
L'arrestation de Kim Dotcom s'est déroulée selon un scénario digne d'un film de gangsters. La police néo-zélandaise a indiqué avoir effectué des perquisitions dans dix endroits d'Auckland, dont la vaste demeure du fondateur de Megaupload, appelée "Dotcom Mansion".
Les policiers ont saisi plusieurs voitures de luxe, dont une Cadillac rose de 1959 et une Rolls Royce Phantom, ainsi qu'une arme à feu. Quelque 11 millions de dollars néo-zélandais ont été gelés sur des comptes bancaires.
Selon l'inspecteur Grant Wormald, le créateur de Megaupload a tenté de se réfugier dans une chambre forte lorsque la police est arrivée.
Il "est rentré dans sa maison et a activé plusiers mécanismes de fermeture électronique", a-t-il dit. "Une fois ces codes neutralisés par la police, il s'est barricadé dans une chambre forte (...) et lorsque la police est parvenue à y pénétrer elle a trouvé Mr. Dotcom près d'une arme qui avait l'apparence d'un fusil de chasse à canon scié".
La justice néo-zélandaise a refusé de libérer sous caution les quatre hommes arrêtés --Dotcom, le Néerlandais Bram van der Kolk et les Allemands Finn Batato et Mathias Ortmann. Une nouvelle audience est prévue lundi, les Etats-Unis réclamant leur extradition.
Megaupload.com permettait d'héberger des fichiers et de les partager sur l'internet. Dans les faits, il offrait des milliers de films, séries, émissions de télévision ou chansons en libre accès, par téléchargement direct ou streaming.
La fermeture de Megaupload a été saluée par le président français Nicolas Sarkozy, qui a estimé que la lutte contre ces sites constituait "une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle".
La commissaire européenne chargée des nouvelles technologies, Neelie Kroes, a en revanche exprimé sa préoccupation, soulignant que tous les usagers de Megaupload étaient pénalisés par cette fermeture, y compris ceux qui utilisent légalement ses services.
Outre le site-mère, une vingtaine de noms de domaine affiliés à Megaupload.com ont été fermés par la justice américaine, qui a également saisi 50 millions de dollars d'actifs et lancé des poursuites contre sept responsables du site, dont les quatre personnes arrêtées en Nouvelle-Zélande. Ces personnnes sont ainsi accusées d'avoir tiré de leurs forfaits quelque 175 millions de dollars de profit.
Megaupload Ltd, et une entreprise liée, Vestor Ltd, ont en outre été inculpées aux Etats-Unis de violations de droits d'auteur et d'association de malfaiteurs en vue de commettre racket et blanchiment d'argent.
L'annonce de la fermeture de Megaupload.com intervient en pleine polémique aux Etats-Unis sur des projets de loi antipiratage, qui ont poussé Wikipédia à fermer l'accès à ses services en anglais mercredi et Google à masquer son logo. Devant la levée de boucliers, le Sénat américain a reporté un vote prévu mardi sur un des deux textes.
sous le couvert de certaines lois on veut empecher l'expression libre sur internet
: vendredi 20 janvier 2012 22:11
Les USA ferment
le fondateur du site arrêté à AucklandMegaupload.com,
Le riche fondateur du site Megaupload.com a été interpellé vendredi à Auckland après s'être retranché, armé, dans sa villa, suite à la décision de la justice américaine de fermer cette plateforme emblématique et controversée du téléchargement direct sur internet.
La fermeture du site a été aussitôt suivie de représailles du collectif de pirates Anonymous, qui a mis hors service pendant plusieurs heures les sites du FBI et du ministère de la Justice américain.
Un autre site visé, celui de la maison de disque Universal Music, était toujours en "maintenance" vendredi à la mi-journée.
Anonymous, qui se présente volontiers comme défenseur des libertés sur internet, a assuré que cette opération "épique" était sa "plus vaste attaque" à ce jour.
Megaupload a été fermé jeudi par la justice américaine. Le site basé à Hong Kong est accusé d'être à l'origine de l'une des plus des plus "grandes affaires de violation de droits d'auteur jamais traitées aux Etats-Unis".
Son fondateur, Kim Schmitz, alias Kim Dotcom, un Allemand de 37 ans, et trois autres responsables de Megaupload ont été interpellés vendredi en Nouvelle-Zélande sur la base de mandats d'arrêt américains.
L'arrestation de Kim Dotcom s'est déroulée selon un scénario digne d'un film de gangsters. La police néo-zélandaise a indiqué avoir effectué des perquisitions dans dix endroits d'Auckland, dont la vaste demeure du fondateur de Megaupload, appelée "Dotcom Mansion".
Les policiers ont saisi plusieurs voitures de luxe, dont une Cadillac rose de 1959 et une Rolls Royce Phantom, ainsi qu'une arme à feu. Quelque 11 millions de dollars néo-zélandais ont été gelés sur des comptes bancaires.
Selon l'inspecteur Grant Wormald, le créateur de Megaupload a tenté de se réfugier dans une chambre forte lorsque la police est arrivée.
Il "est rentré dans sa maison et a activé plusiers mécanismes de fermeture électronique", a-t-il dit. "Une fois ces codes neutralisés par la police, il s'est barricadé dans une chambre forte (...) et lorsque la police est parvenue à y pénétrer elle a trouvé Mr. Dotcom près d'une arme qui avait l'apparence d'un fusil de chasse à canon scié".
La justice néo-zélandaise a refusé de libérer sous caution les quatre hommes arrêtés --Dotcom, le Néerlandais Bram van der Kolk et les Allemands Finn Batato et Mathias Ortmann. Une nouvelle audience est prévue lundi, les Etats-Unis réclamant leur extradition.
Megaupload.com permettait d'héberger des fichiers et de les partager sur l'internet. Dans les faits, il offrait des milliers de films, séries, émissions de télévision ou chansons en libre accès, par téléchargement direct ou streaming.
La fermeture de Megaupload a été saluée par le président français Nicolas Sarkozy, qui a estimé que la lutte contre ces sites constituait "une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle".
La commissaire européenne chargée des nouvelles technologies, Neelie Kroes, a en revanche exprimé sa préoccupation, soulignant que tous les usagers de Megaupload étaient pénalisés par cette fermeture, y compris ceux qui utilisent légalement ses services.
Outre le site-mère, une vingtaine de noms de domaine affiliés à Megaupload.com ont été fermés par la justice américaine, qui a également saisi 50 millions de dollars d'actifs et lancé des poursuites contre sept responsables du site, dont les quatre personnes arrêtées en Nouvelle-Zélande. Ces personnnes sont ainsi accusées d'avoir tiré de leurs forfaits quelque 175 millions de dollars de profit.
Megaupload Ltd, et une entreprise liée, Vestor Ltd, ont en outre été inculpées aux Etats-Unis de violations de droits d'auteur et d'association de malfaiteurs en vue de commettre racket et blanchiment d'argent.
L'annonce de la fermeture de Megaupload.com intervient en pleine polémique aux Etats-Unis sur des projets de loi antipiratage, qui ont poussé Wikipédia à fermer l'accès à ses services en anglais mercredi et Google à masquer son logo. Devant la levée de boucliers, le Sénat américain a reporté un vote prévu mardi sur un des deux textes.
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
QUELLE TRISTESSE SI BELLE ET DOUEE .
.DE MOURIR SI JEUNE
.DE MOURIR SI JEUNE
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
la crise ;on la sent depuis assez longtemps nous
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
REFLECHIS UN PEU TU ES NOIR
ESSAIES DE TROUVER UN BOULOT OU UN APPART EN FRANCE
JE TE DIS PAS LA GALERE DANS UN PAYS PROFONDEMENT RACISTE
pour l'appart tu telephones pour avoir des infos
on te dit direct avec ta voix d'africain que l'appartement est déjà loué
meme si l'annonce vient de paraitre sur le journal et qu'il est 7 h du mat
l France 5 :
la parole aux " Noirs de France "
France 5 va diffuser une série
documentaire en trois parties
intitulée " Noirs de France ". Ce
sera l’occasion de retrouver de
nombreuses personnalités dans
des domaines très divers : spécialistes,
artistes, politiques…
Parmi elles, on peut notamment
citer Manu Dibango (musicien),
Pascal Légitimus (comédien),
Jacob Desvarieux (guitariste du
groupe Kassav’), Audrey Pulvar
(journaliste), Lilian Thuram (exfootballeur),
JoeyStarr (chanteur
et acteur), Christiane
Taubira (députée de Guyane) et
Harlem Désir (Premier secrétaire
du Parti socialiste par intérim).
À découvrir le 5 février à
22 heures.
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
difficile à croire
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Ayant eu moi meme personnellement 2 fois au telephone le president Didier Bicchieray
je puis confirmer de son amabilité et de sa parfaite courtoisie
En sachant qu'il ne me connaissait pas avant
il s'est mis à disposition pour me donner toutes les infos
que je souhaitais ce jour là d'avant match de coupe de france
FC Calvi : "Où sont réellement les racistes?"
Football · Calvi · 01-2012 · F
Le FC Calvi ne décolère pas depuis la publication sur le site de France Football.fr "d'incidents racistes en Corse". Selon l'auteur de cet article, les informations lui ont été communiquées par un joueur de l'AJ Auxerre qui venait de participer à la rencontre de CFA Calvi - Auxerre 2. Didier Bicchieray, président du FC Calvi qui s'est déja exprimé sur Corse Net Infos a fait parvenir dans les rédactions sportives le communiqué suivant:
"Il y en a assez de ces articles diffamatoires et injustifiés que nous devons subir nous les clubs Corses, cette fois ci c’est le Football club de Calvi qui est la cible.
Mais nous ne nous tairons pas !
Il en a assez de l’attitude de certains clubs ou joueurs qui ne font que se lamenter sur le soit disant manque d’accueil des clubs corses ou encore des soit disant propos racistes dont ils seraient victimes.
Lors de notre dernière rencontre avec Auxerre, nous avons été encore trainés dans la boue sur le site de FRANCE FOOTBALL.FR : « selon le témoignage d'un joueur présent sur la pelouse, cette rencontre a été le théâtre de nombreuses provocations à caractère raciste de la part des supporters corses, ainsi que du banc de touche des locaux. »
FAUX, Nous avons joué un match sans aucune altercation. Nous avons reçu le club d’Auxerre, comme nous recevons tous les clubs que nous rencontrons, dans la convivialité
De plus, nous portons à votre connaissance, qu’aucun arbitre ou délégué n’ont mentionné la moindre observation sur ces pseudos incidents
Si nous parlions, pour changer un peu, des insultes que nous, nous devons supporter quand on se déplace sur le continent. Nous ne les rapportons pas à la presse, nous les gardons pour nous car si l’on se mettait à les commenter nous pourrions remplir des pages de presses à scandales.
Nous ne comprenons pas de tel propos, le rôle de la presse n’est il pas d’informer et non de calomnier ?
Pourquoi certains journalistes (France football .fr) s’emploient à porter une information sans vérifier sa crédibilité auprès du club adversaire? Le vrai journaliste ne doit –il pas vérifier son information avant de la publier ? Ou doit-on considérer la presse sportive comme une presse à scandale. ?
Pourquoi faire passer, les clubs, même pire, les Corses comme des gens racistes qui ne savent pas recevoir ou se tenir ?
Pourquoi ne pas s’en tenir à la simple réalité ?
La presse régionale qui a assisté au match, elle, n’a constaté et n’a rapporté le moindre incident raciste.
Nous pouvons nous poser la question de savoir où sont réellement les racistes ?
Alors, aujourd’hui nous disons : Il y en a assez, faites, de l’information et non de la diffamation. Faites vibrer le cœur des lecteurs en leur commentant des actions de jeu, donnez leur l’envie de venir voir les matchs sur le terrain et non de leur mettre le doute d’être agressé en venant voir un spectacle. Faites leur aimer le football ne les détourner pas du sport quel qui soit.
Le Président Le Président
René Navarro Didier Bicchieray
bienvenou- Admin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Guéant salue le fonds d'investissement qatari pour la banlieue
Le ministre de l'Intérieur a qualifié de «salutaire» le fonds d'investissement de 50 millions d'euros annoncé fin décembre pour la banlieue et destiné à financer des projets économiques.
Le fonds d'investissement du Qatar dans les banlieues est «un effort salutaire», a estimé lundi le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant.
«Je trouve que l'effort du Qatar, qui est un pays riche, de participer à la résolution de problèmes que rencontrent les communes de banlieue est un effort salutaire dès lors qu'il n'y pas d'exigence particulière de toute nature», a déclaré M. Guéant.
«Tous les crédits sont à prendre dès lors qu'ils ne s'accompagnent pas d'exigences particulières», a ajouté le ministre, qui s'est rendu lundi matin dans le quartier du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines) en compagnie de la secrétaire d'Etat à la Jeunesse, Jeannette Bougrab.
En revanche, mi-janvier, Marine Le Pen, présidente du FN, a vivement critiqué le Qatar, accusé «d'investir massivement» et sur une base communautaire dans les banlieues françaises.
La suite:
>http://www.liberation.fr/societe/01012385245-gueant-salue-le-fonds-d-investissement-qatarien-pour-la-banlieue<
Un début d'explication ....
Forum libé...
le quatar petit pays feodal sans democratie est le premier actionnaire de Lagardere,il est present chez veolia,suez,vinci,bientot areva
gueant vire les arabes mais pour les quataris sarko a fait une loi speciale:pas d impots isf durant les 5 premieres années apres l'installation en France des quataris,
pas d'impots sur les plus values immobilieres......
canard enchainé 4 01 12
...
Et peut-être aussi l'assurance d'une aide ...?... à la réelection du sauveur de la Lybie et de la C.d'Ivoire...
( Deux nations qui sont toujours en guerre civile...)
Putain..., encore 3 mois!
Le ministre de l'Intérieur a qualifié de «salutaire» le fonds d'investissement de 50 millions d'euros annoncé fin décembre pour la banlieue et destiné à financer des projets économiques.
Le fonds d'investissement du Qatar dans les banlieues est «un effort salutaire», a estimé lundi le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant.
«Je trouve que l'effort du Qatar, qui est un pays riche, de participer à la résolution de problèmes que rencontrent les communes de banlieue est un effort salutaire dès lors qu'il n'y pas d'exigence particulière de toute nature», a déclaré M. Guéant.
«Tous les crédits sont à prendre dès lors qu'ils ne s'accompagnent pas d'exigences particulières», a ajouté le ministre, qui s'est rendu lundi matin dans le quartier du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines) en compagnie de la secrétaire d'Etat à la Jeunesse, Jeannette Bougrab.
En revanche, mi-janvier, Marine Le Pen, présidente du FN, a vivement critiqué le Qatar, accusé «d'investir massivement» et sur une base communautaire dans les banlieues françaises.
La suite:
>http://www.liberation.fr/societe/01012385245-gueant-salue-le-fonds-d-investissement-qatarien-pour-la-banlieue<
Un début d'explication ....
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gueant vire les arabes mais pour les quataris sarko a fait une loi speciale:pas d impots isf durant les 5 premieres années apres l'installation en France des quataris,
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domenico belli- Messages : 2494
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Voir 5 ...annéesdomenico belli a écrit:Guéant salue le fonds d'investissement qatari pour la banlieue
Le ministre de l'Intérieur a qualifié de «salutaire» le fonds d'investissement de 50 millions d'euros annoncé fin décembre pour la banlieue et destiné à financer des projets économiques.
Le fonds d'investissement du Qatar dans les banlieues est «un effort salutaire», a estimé lundi le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant.
«Je trouve que l'effort du Qatar, qui est un pays riche, de participer à la résolution de problèmes que rencontrent les communes de banlieue est un effort salutaire dès lors qu'il n'y pas d'exigence particulière de toute nature», a déclaré M. Guéant.
«Tous les crédits sont à prendre dès lors qu'ils ne s'accompagnent pas d'exigences particulières», a ajouté le ministre, qui s'est rendu lundi matin dans le quartier du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie (Yvelines) en compagnie de la secrétaire d'Etat à la Jeunesse, Jeannette Bougrab.
En revanche, mi-janvier, Marine Le Pen, présidente du FN, a vivement critiqué le Qatar, accusé «d'investir massivement» et sur une base communautaire dans les banlieues françaises.
La suite:
>http://www.liberation.fr/societe/01012385245-gueant-salue-le-fonds-d-investissement-qatarien-pour-la-banlieue<
Un début d'explication ....
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gueant vire les arabes mais pour les quataris sarko a fait une loi speciale:pas d impots isf durant les 5 premieres années apres l'installation en France des quataris,
pas d'impots sur les plus values immobilieres......
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JUDAS- Messages : 7590
Date d'inscription : 03/08/2009
Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Bras de fer entre la mairie de Paris et des loueurs de meublés mécontents
Un bras de fer oppose la mairie de Paris qui souhaite, au nom de l'accès équitable au logement, mettre le holà à l'explosion des locations de meublés dans la capitale, à des agences immobilières et particuliers, qui ont manifesté lundi devant l'Hôtel de Ville.
Selon la mairie de Paris, en cinq ans, près de 20.000 logements ont "été soustraits au marché locatif traditionnel" et "dans certains arrondissements les locations de meublés touristiques représentent jusqu'à 20% de l'offre locative".
La mairie estime que les prix pratiqués pour les meublés oscillent entre le double et le triple des prix pour les locations traditionnelles et que ce phénomène "provoque une diminution de l'offre locative privée traditionnelle et une hausse du coût des logements".
Elle enjoint les loueurs de se conformer à la loi qui stipule que toute transformation d'un local d'habitation pour un autre usage "doit faire l'objet d'une autorisation de la Ville", car la collectivité a en charge depuis 2009 le contrôle des changements d'usage des locaux d'habitation.
Mais les agences immobilières et les particuliers, qui louent pour une courte durée des meublés à des touristes, personnes en mission professionnelle, étudiants ou stagiaires, ne l'entendent pas de cette oreille et ont crié leur mécontentement, lundi, sous les fenêtres du maire de Paris, place de l'Hôtel de Ville.
La mairie rappelle néanmoins que les propriétaires, qui habitent leur logement en résidence principale, peuvent le louer quelques semaines par an sans demander d'autorisation, "dans une interprétation large des textes actuels".
Mais le simple rappel à la loi a suscité une bronca: "La mairie exige des propriétaires de transformer leur logement en local commercial pour pouvoir louer en meublé. Deux mille emplois directs et 2.000 emplois induits sont menacés, comme les femmes de ménage, les prestataires de services", a expliqué à l'AFP Maud Velter, de l'agence immobilière Lodgis, qui a manifesté avec environ 150 agents immobiliers et particuliers devant la mairie.
Un autre agent (agence Paristay), André Brue, indique: "Selon une étude qu'on a faite, la location aux touristes représente 4 à 5% des meublés. Nos locataires louent en moyenne pour des périodes de 3 mois".
"On espère que la mairie va nous entendre", ajoute M. Brue.
Ces loueurs estiment qu'ils ne font pas concurrence au secteur hôtelier. Selon eux, le marché des meublés concerne 17.000 propriétaires, 50.000 locataires, 2.000 professionnels et 250 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Jean-Yves Mano (PS), adjoint au maire chargé du logement, a réuni lundi "tous les acteurs concernés afin d'échanger sur les conditions d'application de cette loi".
"Les professionnels trouvent que notre interprétation des textes est trop rigide, mais ils ont évoqué la possibilité de créer une licence relative à l'utilisation des meublés", a notamment déclaré M. Mano à l'issue de la rencontre.
"Ce qui est visé, ce sont les appartements qui ont une occupation 100% saisonnière ou touristique", a-t-il insisté.
Un bras de fer oppose la mairie de Paris qui souhaite, au nom de l'accès équitable au logement, mettre le holà à l'explosion des locations de meublés dans la capitale, à des agences immobilières et particuliers, qui ont manifesté lundi devant l'Hôtel de Ville.
Selon la mairie de Paris, en cinq ans, près de 20.000 logements ont "été soustraits au marché locatif traditionnel" et "dans certains arrondissements les locations de meublés touristiques représentent jusqu'à 20% de l'offre locative".
La mairie estime que les prix pratiqués pour les meublés oscillent entre le double et le triple des prix pour les locations traditionnelles et que ce phénomène "provoque une diminution de l'offre locative privée traditionnelle et une hausse du coût des logements".
Elle enjoint les loueurs de se conformer à la loi qui stipule que toute transformation d'un local d'habitation pour un autre usage "doit faire l'objet d'une autorisation de la Ville", car la collectivité a en charge depuis 2009 le contrôle des changements d'usage des locaux d'habitation.
Mais les agences immobilières et les particuliers, qui louent pour une courte durée des meublés à des touristes, personnes en mission professionnelle, étudiants ou stagiaires, ne l'entendent pas de cette oreille et ont crié leur mécontentement, lundi, sous les fenêtres du maire de Paris, place de l'Hôtel de Ville.
La mairie rappelle néanmoins que les propriétaires, qui habitent leur logement en résidence principale, peuvent le louer quelques semaines par an sans demander d'autorisation, "dans une interprétation large des textes actuels".
Mais le simple rappel à la loi a suscité une bronca: "La mairie exige des propriétaires de transformer leur logement en local commercial pour pouvoir louer en meublé. Deux mille emplois directs et 2.000 emplois induits sont menacés, comme les femmes de ménage, les prestataires de services", a expliqué à l'AFP Maud Velter, de l'agence immobilière Lodgis, qui a manifesté avec environ 150 agents immobiliers et particuliers devant la mairie.
Un autre agent (agence Paristay), André Brue, indique: "Selon une étude qu'on a faite, la location aux touristes représente 4 à 5% des meublés. Nos locataires louent en moyenne pour des périodes de 3 mois".
"On espère que la mairie va nous entendre", ajoute M. Brue.
Ces loueurs estiment qu'ils ne font pas concurrence au secteur hôtelier. Selon eux, le marché des meublés concerne 17.000 propriétaires, 50.000 locataires, 2.000 professionnels et 250 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Jean-Yves Mano (PS), adjoint au maire chargé du logement, a réuni lundi "tous les acteurs concernés afin d'échanger sur les conditions d'application de cette loi".
"Les professionnels trouvent que notre interprétation des textes est trop rigide, mais ils ont évoqué la possibilité de créer une licence relative à l'utilisation des meublés", a notamment déclaré M. Mano à l'issue de la rencontre.
"Ce qui est visé, ce sont les appartements qui ont une occupation 100% saisonnière ou touristique", a-t-il insisté.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages
le satané péstident Nicos SARKOZ ne sera déjà pas au second tour OUF DIEU MERCI
lundi 23 janvier 2012 14:10
Lejaby: les ouvrières disent leur "indignation" dans une lettre ouverte à Sarkozy
Les ouvrières de l'usine Lejaby, en Haute-Loire, fermée à la suite de la reprise du fabricant de lingerie par un consortium associant son sous-traitant tunisien, ont exprimé leur "indignation" lundi dans une lettre ouverte au péstident Nicos Sarkoz, refusant les licenciements.
"Nous sommes victimes des délocalisations des productions et de la recherche permanente de la baisse de la rémunération du travail", dénoncent les signataires de cette lettre, dont l'AFP a eu copie.
"Nous refusons les licenciements et voulons continuer à gagner notre vie en travaillant", poursuivent les ex-salariés, en grande majorité des femmes, qui réclament le redémarrage de leur atelier et la "réindustrialisation du site".
"Beaucoup d'entre nous ont plus de 35 ans d'ancienneté. Nous préférons être préretraités plutôt que chômeurs ou percevoir le RSA", ajoutent les signataires, demandant "la mise en place d'une préretraite à 55 ans".
Dénonçant les "primes de licenciement dérisoires", les ouvrières réclament en outre "une prime de licenciement à la hauteur de la prime précarité, soit 10 % de nos salaires travaillés".
"Nous resterons mobilisés jusqu'à la réponse à ces exigences", concluent les signataires, qui veulent des "réponses concrètes", assurant que leur "détermination est à la hauteur de (leur) colère contre l'injustice qui (leur) est faite
le satané péstident Nicos SARKOZ ne sera déjà pas au second tour OUF DIEU MERCI
lundi 23 janvier 2012 14:10
Lejaby: les ouvrières disent leur "indignation" dans une lettre ouverte à Sarkozy
Les ouvrières de l'usine Lejaby, en Haute-Loire, fermée à la suite de la reprise du fabricant de lingerie par un consortium associant son sous-traitant tunisien, ont exprimé leur "indignation" lundi dans une lettre ouverte au péstident Nicos Sarkoz, refusant les licenciements.
"Nous sommes victimes des délocalisations des productions et de la recherche permanente de la baisse de la rémunération du travail", dénoncent les signataires de cette lettre, dont l'AFP a eu copie.
"Nous refusons les licenciements et voulons continuer à gagner notre vie en travaillant", poursuivent les ex-salariés, en grande majorité des femmes, qui réclament le redémarrage de leur atelier et la "réindustrialisation du site".
"Beaucoup d'entre nous ont plus de 35 ans d'ancienneté. Nous préférons être préretraités plutôt que chômeurs ou percevoir le RSA", ajoutent les signataires, demandant "la mise en place d'une préretraite à 55 ans".
Dénonçant les "primes de licenciement dérisoires", les ouvrières réclament en outre "une prime de licenciement à la hauteur de la prime précarité, soit 10 % de nos salaires travaillés".
"Nous resterons mobilisés jusqu'à la réponse à ces exigences", concluent les signataires, qui veulent des "réponses concrètes", assurant que leur "détermination est à la hauteur de (leur) colère contre l'injustice qui (leur) est faite
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Autant d'ISF à Evreux, qu'à Albi: environ 350.
Par contre Versailles : 4580....
>http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/visuel/2012/01/23/combien-de-redevables-de-l-isf-dans-votre-ville_1633066_1471069.html<
Ya un gros nid en I de France !
Par contre Versailles : 4580....
>http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/visuel/2012/01/23/combien-de-redevables-de-l-isf-dans-votre-ville_1633066_1471069.html<
Ya un gros nid en I de France !
domenico belli- Messages : 2494
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