INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
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aladin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
POUR SE RAPPROCHER DE L EUROPE ILS VEULENT SUPPPRIMER LES PTITES COMMUNES
METROPOLE DE 500 000 HABITANTS DEVENUS FOUS LES GAULOIS
QUI POURRA """RE""CONNAITRE BIENVENOU OU DOMENICO DANS CETTE FOULE
[img][/img]
lundi 9 janvier 2012 19:23
La première métropole de France officiellement mise en place à Nice
La métropole Nice Côte d'Azur, première "métropole" de France à être créée, composée de 46 communes allant du littoral jusqu'au parc national du Mercantour, est entrée officiellement en fonctions lundi lors d'une séance inaugurale du conseil métropolitain à Nice.
Seul candidat à la présidence de la nouvelle entité, le député-maire UMP de Nice Christian Estrosi a été élu à une très large majorité des 128 élus composant l'assemblée (111 pour, six blancs, 11 abstentions).
Lors d'un point de presse, le nouveau président a indiqué qu'il souhaitait faire de cette métropole un "facteur de dynamisation économique, de cohésion sociale et de création d'emplois", permettant "plus de justice et d'équité en faveur de la diversité de nos territoires selon que l'on soit en ruralité ou en monde urbain, (...) pour le financement (des) équipements publics", notamment en matière d'assainissement, d'éclairage public ou encore de voirie.
Le budget de la métropole sera de 80 millions d'euros pour l'investissement, 34 millions pour le fonctionnement.
Patrick Allemand, chef de file des socialistes locaux qui siège également dans cette assemblée comme conseiller métropolitain, a fustigé la nouvelle entité qui va certes "dans le sens de l'Histoire", a-t-il dit, mais dont il conteste le périmètre, jugé "pas pertinent", craignant notamment une "compétition entre les territoires".
Cette première "métropole" de France réunit la Communauté urbaine Nice Côte d'Azur et trois communautés de communes: celles de la Vésubie, de la Tinée et des stations du Mercantour, soit 550.000 habitants.
Ce projet de fusion avait recueilli l'assentiment d'une très large majorité des communes concernées.
Une métropole, établissement public de coopération intercommunale (EPCI) créé par une loi de décembre 2010, doit constituer un territoire d'un seul tenant et comporter plus de 500.000 habitants.
Par rapport aux intercommunalités existantes, elle récupère trois compétences supplémentaires: la voirie départementale, les transports scolaires et la promotion internationale du territoire concerné
METROPOLE DE 500 000 HABITANTS DEVENUS FOUS LES GAULOIS
QUI POURRA """RE""CONNAITRE BIENVENOU OU DOMENICO DANS CETTE FOULE
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lundi 9 janvier 2012 19:23
La première métropole de France officiellement mise en place à Nice
La métropole Nice Côte d'Azur, première "métropole" de France à être créée, composée de 46 communes allant du littoral jusqu'au parc national du Mercantour, est entrée officiellement en fonctions lundi lors d'une séance inaugurale du conseil métropolitain à Nice.
Seul candidat à la présidence de la nouvelle entité, le député-maire UMP de Nice Christian Estrosi a été élu à une très large majorité des 128 élus composant l'assemblée (111 pour, six blancs, 11 abstentions).
Lors d'un point de presse, le nouveau président a indiqué qu'il souhaitait faire de cette métropole un "facteur de dynamisation économique, de cohésion sociale et de création d'emplois", permettant "plus de justice et d'équité en faveur de la diversité de nos territoires selon que l'on soit en ruralité ou en monde urbain, (...) pour le financement (des) équipements publics", notamment en matière d'assainissement, d'éclairage public ou encore de voirie.
Le budget de la métropole sera de 80 millions d'euros pour l'investissement, 34 millions pour le fonctionnement.
Patrick Allemand, chef de file des socialistes locaux qui siège également dans cette assemblée comme conseiller métropolitain, a fustigé la nouvelle entité qui va certes "dans le sens de l'Histoire", a-t-il dit, mais dont il conteste le périmètre, jugé "pas pertinent", craignant notamment une "compétition entre les territoires".
Cette première "métropole" de France réunit la Communauté urbaine Nice Côte d'Azur et trois communautés de communes: celles de la Vésubie, de la Tinée et des stations du Mercantour, soit 550.000 habitants.
Ce projet de fusion avait recueilli l'assentiment d'une très large majorité des communes concernées.
Une métropole, établissement public de coopération intercommunale (EPCI) créé par une loi de décembre 2010, doit constituer un territoire d'un seul tenant et comporter plus de 500.000 habitants.
Par rapport aux intercommunalités existantes, elle récupère trois compétences supplémentaires: la voirie départementale, les transports scolaires et la promotion internationale du territoire concerné
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
lundi 9 janvier 2012 18:53
Internet: les jeunes savent se protéger, mais moins se maîtriser
Les jeunes se protègent souvent mieux que les adultes des dangers de la toile, mais peinent parfois à mesurer la gravité de leurs actes sur le net, selon des spécialistes.
Lorsque l'on évoque les dangers qui guettent les jeunes sur internet, celui de la prédation sexuelle vient immédiatement à l'esprit, les mineurs semblant des proies plus faciles.
Mais si "le phénomène de la mauvaise rencontre sur internet existe toujours", "ce n'est pas la problématique majeure", explique Yann Padova, secrétaire général de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL).
"L'enjeu semble être désormais le mauvais usage que les jeunes font d'internet", assure l'expert, qui participe mardi à un colloque de l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) sur les relations entre les jeunes et internet.
L'explosion des réseaux sociaux comme Facebook, passé de 3 millions d'utilisateurs en 2008 à près de 22 millions en 2011 en France, a de facto entraîné une mutiplication d'échanges et de pratiques. Paradoxalement, les jeunes sont plus sensibilisés que la moyenne de la population sur la nécessité de se protéger.
"Les jeunes sont plus sensibles aux risques encourus. On a récemment fait un sondage et nous avons observé par exemple que 30% des 15-17 ans différencient l'accès aux infos qu'ils publient sur internet (ndlr: entre ce qu'ils rendent ou pas accessibles à tous), contre 19% en moyenne", assure Yann Padova.
Ces comportements s'expliquent par le fait que la nouvelle génération a été bercée par internet, et a bénéficié d'un travail de prévention de fond effectué en grande partie par l'Education nationale. Le risque semble s'être déplacé sur les agissements des jeunes sur la toile.
"aucune conscience des conséquences"
"On néglige souvent le côte auteur de délits pour les mineurs sur internet", souligne Pierre-Yves Lebeau, chef de projet à l'Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l'Information (OCLCTIC).
Ce policier de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) relève surtout un manque flagrant de connaissance des jeunes sur ce qu'ils n'ont pas le droit de faire sur la toile.
"On rencontre des jeunes qui n'ont aucune conscience des conséquences de leurs actes, de ce qu'ils postent", explique Pierre-Yves Lebeau. "Parfois les mineurs aiment bien se faire peur et sur internet c'est très facile de trouver des images et de les montrer à ses camarades. Sauf que c'est interdit", rappelle-t-il.
La plupart des infractions relevées pour les mineurs sont l'incitation à la haine raciale, les fausses alertes de violences et la diffusion d'images pédo-pornographiques, assure un enquêteur.
"Il y a effectivement des risques comme le cyber-harcèlement ou la +cyber-vengeance+, qui recoupe un sentiment d'impunité plus large dans notre société", corrobore M. Padova.
Des affaires de professeurs harcelés par leurs élèves sur internet, de jeunes insultés par leurs camarades sur la toile, ou bien ceux dont les photos dénudées se retrouvent sur certains réseaux sociaux, sont monnaie courante.
"L'outil législatif est pourtant quasiment complet à une exception près: les entreprises qui hébergent des contenus problématiques ne sont pas en Europe", souligne M. Padova.
"Mais il n'y a pas plus de danger sur internet que dans la vie réelle. Les principaux problèmes rencontrés par les jeunes sont dans la rue", rappelle toutefois Pierre-Yves Lebeau.
Internet: les jeunes savent se protéger, mais moins se maîtriser
Les jeunes se protègent souvent mieux que les adultes des dangers de la toile, mais peinent parfois à mesurer la gravité de leurs actes sur le net, selon des spécialistes.
Lorsque l'on évoque les dangers qui guettent les jeunes sur internet, celui de la prédation sexuelle vient immédiatement à l'esprit, les mineurs semblant des proies plus faciles.
Mais si "le phénomène de la mauvaise rencontre sur internet existe toujours", "ce n'est pas la problématique majeure", explique Yann Padova, secrétaire général de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL).
"L'enjeu semble être désormais le mauvais usage que les jeunes font d'internet", assure l'expert, qui participe mardi à un colloque de l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ) sur les relations entre les jeunes et internet.
L'explosion des réseaux sociaux comme Facebook, passé de 3 millions d'utilisateurs en 2008 à près de 22 millions en 2011 en France, a de facto entraîné une mutiplication d'échanges et de pratiques. Paradoxalement, les jeunes sont plus sensibilisés que la moyenne de la population sur la nécessité de se protéger.
"Les jeunes sont plus sensibles aux risques encourus. On a récemment fait un sondage et nous avons observé par exemple que 30% des 15-17 ans différencient l'accès aux infos qu'ils publient sur internet (ndlr: entre ce qu'ils rendent ou pas accessibles à tous), contre 19% en moyenne", assure Yann Padova.
Ces comportements s'expliquent par le fait que la nouvelle génération a été bercée par internet, et a bénéficié d'un travail de prévention de fond effectué en grande partie par l'Education nationale. Le risque semble s'être déplacé sur les agissements des jeunes sur la toile.
"aucune conscience des conséquences"
"On néglige souvent le côte auteur de délits pour les mineurs sur internet", souligne Pierre-Yves Lebeau, chef de projet à l'Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l'Information (OCLCTIC).
Ce policier de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) relève surtout un manque flagrant de connaissance des jeunes sur ce qu'ils n'ont pas le droit de faire sur la toile.
"On rencontre des jeunes qui n'ont aucune conscience des conséquences de leurs actes, de ce qu'ils postent", explique Pierre-Yves Lebeau. "Parfois les mineurs aiment bien se faire peur et sur internet c'est très facile de trouver des images et de les montrer à ses camarades. Sauf que c'est interdit", rappelle-t-il.
La plupart des infractions relevées pour les mineurs sont l'incitation à la haine raciale, les fausses alertes de violences et la diffusion d'images pédo-pornographiques, assure un enquêteur.
"Il y a effectivement des risques comme le cyber-harcèlement ou la +cyber-vengeance+, qui recoupe un sentiment d'impunité plus large dans notre société", corrobore M. Padova.
Des affaires de professeurs harcelés par leurs élèves sur internet, de jeunes insultés par leurs camarades sur la toile, ou bien ceux dont les photos dénudées se retrouvent sur certains réseaux sociaux, sont monnaie courante.
"L'outil législatif est pourtant quasiment complet à une exception près: les entreprises qui hébergent des contenus problématiques ne sont pas en Europe", souligne M. Padova.
"Mais il n'y a pas plus de danger sur internet que dans la vie réelle. Les principaux problèmes rencontrés par les jeunes sont dans la rue", rappelle toutefois Pierre-Yves Lebeau.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
PROGRESSION DU PIB SOUS LA GAUCHE
pour le faire avec des chiffres et pas des paroles en l'air
1981 500,75
1982 574,45
1984 693,09 1988 911,19
1989 980,53
1990 1 033,0
1991 1 070,0
1992 1 107,8
1993 1 114,7
1994 1 154,7
1995 1 194,6
pour le faire avec des chiffres et pas des paroles en l'air
1981 500,75
1982 574,45
1984 693,09 1988 911,19
1989 980,53
1990 1 033,0
1991 1 070,0
1992 1 107,8
1993 1 114,7
1994 1 154,7
1995 1 194,6
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
QD L"UMP COPIE LE FN POUR RECUPERER SES VOIX
Parrainages d'étudiants étrangers contre "l'infamie" de la circulaire Guéant
Une cérémonie publique de parrainages d'étudiants étrangers, auxquels il a été refusé de travailler en France, a été organisée mardi dans un amphithéâtre bondé de l'université Panthéon-Sorbonne, pour aider des étudiants victimes de la circulaire Guéant, considérée comme "une infamie".
"Cette circulaire, même ravalée, c'est une honte, une stupidité, une infamie", a déclaré Pierre Rosanvallon, professeur au collège de France, en parrainant le Guinéen Souleymane Salma Diallo dont le refus de permis de travail, contre lequel il a déposé un recours, a été suivi d'un ordre d'expulsion.
"Je trouve cette histoire absolument stupide, c'est contre la raison et inique. Il n'y a pas à hésiter, il faut être absolument contre et engagé", a affirmé l'historienne des femmes Michelle Perrot, en parrainant Zeinab Benslimane, une Marocaine de 24 ans qui a perdu un emploi décroché dans les assurances.
"Tous ces étudiants sont des victimes qui ont besoin d'être aidées dans leurs démarches", a résumé Fatma Chouaieb, porte-parole du collectif du 31 mai, à l'origine de ces parrainages avec des universitaires et chercheurs signataires d'une pétition contre la circulaire.
Les autres parrains sont notamment le prix Nobel de physique Albert Fert, l'actrice et réalisatrice Tonnie Marshall, les présidents d'université Vincent Berger (Paris-7 Diderot), Patrice Brun (Bordeaux-3) et Yves Lecointe (Nantes) ou encore l'essayiste Caroline Fourest, très applaudie.
Faute d'emploi, les étudiants étrangers parrainés ont, pour beaucoup, évoqué des problèmes de ressources.
"Je viens de lâcher mon logement fin décembre, je suis hébergé chez mon cousin en attendant... je ne sais pas bien quoi", a témoigné Adama Baba Corera, Mauritanien et consultant en informatique, parrainé par le mathématicien Michel Broué.
Les présidents d'universités présents ont particulièrement relevé "l'incohérence" de la circulaire avec la politique d'enseignement supérieur menée par le gouvernement.
Des étudiants ne peuvent rester travailler en France alors que certains présidents d'universités vont bientôt défendre devant un jury international leur projet d'"initiative d'excellence" (Idex), ces futurs campus de taille mondiale dont un des critères est justement "l'attractivité internationale", a relevé M. Berger.
"On vit une époque schizophrène", a ajouté le président de Paris-7, parrain de la Russe Ekaterina Tyunina qui avait décroché un emploi dans une grande banque.
Les présidents de Bordeaux-3 et Nantes ont eux rappelé que la loi LRU d'autonomie de 2007 avait donné comme nouvelle mission aux universités l'insertion professionnelle.
"Or cette circulaire scélérate interdit désormais aux étudiants étrangers d'avoir cette insertion professionnelle. On est là dans l'incohérence absolue", a commenté M. Brun.
Les ministres concernés ont proposé la semaine dernière un nouveau texte pour "lever les malentendus" de la circulaire Guéant, mais universités, grandes écoles et étudiants n'en sont pas satisfaits.
Parrainages d'étudiants étrangers contre "l'infamie" de la circulaire Guéant
Une cérémonie publique de parrainages d'étudiants étrangers, auxquels il a été refusé de travailler en France, a été organisée mardi dans un amphithéâtre bondé de l'université Panthéon-Sorbonne, pour aider des étudiants victimes de la circulaire Guéant, considérée comme "une infamie".
"Cette circulaire, même ravalée, c'est une honte, une stupidité, une infamie", a déclaré Pierre Rosanvallon, professeur au collège de France, en parrainant le Guinéen Souleymane Salma Diallo dont le refus de permis de travail, contre lequel il a déposé un recours, a été suivi d'un ordre d'expulsion.
"Je trouve cette histoire absolument stupide, c'est contre la raison et inique. Il n'y a pas à hésiter, il faut être absolument contre et engagé", a affirmé l'historienne des femmes Michelle Perrot, en parrainant Zeinab Benslimane, une Marocaine de 24 ans qui a perdu un emploi décroché dans les assurances.
"Tous ces étudiants sont des victimes qui ont besoin d'être aidées dans leurs démarches", a résumé Fatma Chouaieb, porte-parole du collectif du 31 mai, à l'origine de ces parrainages avec des universitaires et chercheurs signataires d'une pétition contre la circulaire.
Les autres parrains sont notamment le prix Nobel de physique Albert Fert, l'actrice et réalisatrice Tonnie Marshall, les présidents d'université Vincent Berger (Paris-7 Diderot), Patrice Brun (Bordeaux-3) et Yves Lecointe (Nantes) ou encore l'essayiste Caroline Fourest, très applaudie.
Faute d'emploi, les étudiants étrangers parrainés ont, pour beaucoup, évoqué des problèmes de ressources.
"Je viens de lâcher mon logement fin décembre, je suis hébergé chez mon cousin en attendant... je ne sais pas bien quoi", a témoigné Adama Baba Corera, Mauritanien et consultant en informatique, parrainé par le mathématicien Michel Broué.
Les présidents d'universités présents ont particulièrement relevé "l'incohérence" de la circulaire avec la politique d'enseignement supérieur menée par le gouvernement.
Des étudiants ne peuvent rester travailler en France alors que certains présidents d'universités vont bientôt défendre devant un jury international leur projet d'"initiative d'excellence" (Idex), ces futurs campus de taille mondiale dont un des critères est justement "l'attractivité internationale", a relevé M. Berger.
"On vit une époque schizophrène", a ajouté le président de Paris-7, parrain de la Russe Ekaterina Tyunina qui avait décroché un emploi dans une grande banque.
Les présidents de Bordeaux-3 et Nantes ont eux rappelé que la loi LRU d'autonomie de 2007 avait donné comme nouvelle mission aux universités l'insertion professionnelle.
"Or cette circulaire scélérate interdit désormais aux étudiants étrangers d'avoir cette insertion professionnelle. On est là dans l'incohérence absolue", a commenté M. Brun.
Les ministres concernés ont proposé la semaine dernière un nouveau texte pour "lever les malentendus" de la circulaire Guéant, mais universités, grandes écoles et étudiants n'en sont pas satisfaits.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
10:54 - La Banque de France maintient sa prévision de croissance nulle au quatrième trimestre
L'INSEE vise un PIB en recul de 0,2% sur la même période...
La Banque de France a confirmé mardi sa prévision d'une croissance nulle pour les trois derniers mois de l'année 2011, après +0,3% au troisième trimestre, s'appuyant sur les résultats de sa dernière note de conjoncture.
Dans l'industrie, où l'indice du climat des affaires a progressé d'un point à 96 en décembre, la situation des trésoreries est un peu moins satisfaisante que les trimestres précédents, la progression des dépenses d'investissement ralentit et la croissance de l'investissement prévue à court terme se poursuit, d'après les observations de la Banque de France.
Dans le secteur des services, l'indicateur est resté stable à 95. L'indice d'activité y progresse de 3 à 7 mais la Banque de France table sur une nouvelle baisse en janvier à 3. La situation générale de la trésorerie s'améliore avec un indicateur à 15 contre 11 en novembre et la demande globale progresse légèrement (indicateur à 5 contre 2 en novembre).
A titre de comparaison, l'institut national de la statistique table sur un PIB en recul de 0,2% au quatrième trimestre puis de 0,1% sur les trois premiers mois de l'année 2012
L'INSEE vise un PIB en recul de 0,2% sur la même période...
La Banque de France a confirmé mardi sa prévision d'une croissance nulle pour les trois derniers mois de l'année 2011, après +0,3% au troisième trimestre, s'appuyant sur les résultats de sa dernière note de conjoncture.
Dans l'industrie, où l'indice du climat des affaires a progressé d'un point à 96 en décembre, la situation des trésoreries est un peu moins satisfaisante que les trimestres précédents, la progression des dépenses d'investissement ralentit et la croissance de l'investissement prévue à court terme se poursuit, d'après les observations de la Banque de France.
Dans le secteur des services, l'indicateur est resté stable à 95. L'indice d'activité y progresse de 3 à 7 mais la Banque de France table sur une nouvelle baisse en janvier à 3. La situation générale de la trésorerie s'améliore avec un indicateur à 15 contre 11 en novembre et la demande globale progresse légèrement (indicateur à 5 contre 2 en novembre).
A titre de comparaison, l'institut national de la statistique table sur un PIB en recul de 0,2% au quatrième trimestre puis de 0,1% sur les trois premiers mois de l'année 2012
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
A VOTRE PLACE
JE LE PLANQUE SOUS LE MATELAS
AUCUNE CONFIANCE DANS CES BANQUES
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
mercredi 11 janvier 2012 20:04
VERIFICATION - L'exemple incomplet de Pécresse sur le quotient familial
La ministre du Budget, Valérie Pécresse, a dénoncé mercredi le projet de François Hollande sur le quotient familial, sur la base d'un exemple incomplet, faisant mine de croire que le socialiste supprimerait tout avantage fiscal pour les enfants à charge.
Critiquant le "flou" et la "cacophonie" du Parti socialiste, elle a évoqué, lors de la séance des questions au gouvernement devant l'Assemblée nationale, le cas d'"un couple qui gagne 3.500 euros par mois" avec "deux enfants".
"Actuellement ce couple paye 1.275 euros d'impôts", a calculé la ministre. Une vérification rapide sur le simulateur du site internet impots.gouv.fr confirme ce résultat.
"Si on suit la proposition du Parti socialiste telle qu'elle nous a été présentée, il paiera désormais 2.614 euros d'impôts, 1.400 euros de plus, 100% d'impôts de plus", a ensuite lancé Valérie Pécresse.
Ce résultat correspond aux impôts que doit payer un couple qui gagne 3.500 euros par mois mais n'a aucun enfant. La ministre fait donc comme si le projet de François Hollande revenait à supprimer purement et simplement le quotient familial et avec lui tout avantage fiscal pour les familles qui ont des enfants à charge.
Or le candidat socialiste à la présidentielle a affirmé mardi, après un moment de flottement dans ses équipes, qu'il entendait "moduler" et non "supprimer" le quotient familial, un système qui permet de réduire l'impôt sur le revenu en fonction du nombre d'enfants à charge.
Il a dit envisager, dans un premier temps, de faire bénéficier les familles modestes non imposables d'un crédit d'impôt et de plafonner plus fortement l'avantage fiscal, tout en précisant que le débat n'était pas tranché. Il a évoqué un plafonnement pour les couples qui gagnent au-delà de cinq ou six fois le Smic.
Dans le cas cité par Valérie Pécresse d'un couple qui gagne 3.500 euros par mois avec deux enfants, l'avantage fiscal ne devrait pas changer très fortement en cas d'application du projet socialiste.
VERIFICATION - L'exemple incomplet de Pécresse sur le quotient familial
La ministre du Budget, Valérie Pécresse, a dénoncé mercredi le projet de François Hollande sur le quotient familial, sur la base d'un exemple incomplet, faisant mine de croire que le socialiste supprimerait tout avantage fiscal pour les enfants à charge.
Critiquant le "flou" et la "cacophonie" du Parti socialiste, elle a évoqué, lors de la séance des questions au gouvernement devant l'Assemblée nationale, le cas d'"un couple qui gagne 3.500 euros par mois" avec "deux enfants".
"Actuellement ce couple paye 1.275 euros d'impôts", a calculé la ministre. Une vérification rapide sur le simulateur du site internet impots.gouv.fr confirme ce résultat.
"Si on suit la proposition du Parti socialiste telle qu'elle nous a été présentée, il paiera désormais 2.614 euros d'impôts, 1.400 euros de plus, 100% d'impôts de plus", a ensuite lancé Valérie Pécresse.
Ce résultat correspond aux impôts que doit payer un couple qui gagne 3.500 euros par mois mais n'a aucun enfant. La ministre fait donc comme si le projet de François Hollande revenait à supprimer purement et simplement le quotient familial et avec lui tout avantage fiscal pour les familles qui ont des enfants à charge.
Or le candidat socialiste à la présidentielle a affirmé mardi, après un moment de flottement dans ses équipes, qu'il entendait "moduler" et non "supprimer" le quotient familial, un système qui permet de réduire l'impôt sur le revenu en fonction du nombre d'enfants à charge.
Il a dit envisager, dans un premier temps, de faire bénéficier les familles modestes non imposables d'un crédit d'impôt et de plafonner plus fortement l'avantage fiscal, tout en précisant que le débat n'était pas tranché. Il a évoqué un plafonnement pour les couples qui gagnent au-delà de cinq ou six fois le Smic.
Dans le cas cité par Valérie Pécresse d'un couple qui gagne 3.500 euros par mois avec deux enfants, l'avantage fiscal ne devrait pas changer très fortement en cas d'application du projet socialiste.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
mercredi 11 janvier 2012 19:29
un mec de 50 ans avec sa maison et sa famille ses habitudes
va demenager partout en france
90 % des cas
c'est vraiment pas bien d'habiter marck et de partir travailler à bordeaux
SeaFrance: la SNCF a transmis 500 offres d'emploi au liquidateur
La SNCF a transmis plus de 500 offres d'emploi, réparties sur l'ensemble de l'Hexagone, au mandataire judiciaire en charge de la liquidation de SeaFrance pour tenter de reclasser des salariés au sein du groupe de transport (SNCF, Keolis, Geodis, etc.), a annoncé mercredi la SNCF.
Les offres, dont une minorité (environ 10% selon un décompte de l'AFP) est située dans la région Nord-Pas-de-Calais, sont consultables sur le site internet http://seafrance.portailbtsg.eu.
D'après la SNCF, les salariés auront 15 jours pour manifester leur intérêt pour une ou plusieurs offres.
Ceux qui ne seront pas intéressés par une de ses offres recevront une lettre de licenciement et devront s'inscrire à Pôle Emploi. Ils bénéficieront d'un accompagnement par une cellule animée par Pôle Emploi et la SNCF.
Un porte-parole de la SNCF a indiqué que 55% des offres (275 postes) provenaient de la maison-mère SNCF ou Epic (Etablissement public, industriel et commercial), et 45% de filiales, comme Keolis (transport urbain) et Geodis (transport de marchandises).
"Au sein de l'Epic, les offres sont dans la maintenance du matériel, les fonctions commerciales ou support" et "disséminées sur l'ensemble du territoire", a précisé la SNCF.
Le site dédié affiche un total de 587 postes à pourvoir. Une grande majorité des offres au sein de la maison-mère SNCF sont localisés en région parisienne, comme "agent commercial" à Houilles ou Maisons Laffite ou "assistant de gestion" et "vendeur voyages" à Paris.
Chez Geodis, il y a par exemple un poste de gestionnaire de stock en Haute-Garonne ou un agent de tri en Loire-Atlantique.
Keolis recherche des conducteurs de cars en Paca, en Aquitaine et en Touraine.
Pour les postes de cadres, sont proposés "un expert en produits chimiques" à Paris, un" consultant informatique" à Clichy, ou "un juriste" à Lyon. Quelques potes sont affichés pour Lille.
Mardi, le ministre des Transports Thierry Mariani avait indiqué qu'une aide au déménagement de 10.000 euros en moyenne pourrait être octroyée aux salariés reclassés loin de chez eux.
Le ministre avait précisé sur les 872 salariés de SeaFrance qui allaient perdre leur travail, une solution devait être trouvée pour 819 d'entre eux car 53 étaient des cheminots détachés et allaient être automatiquement repris par la SNCF.
Mercredi, l'armateur Louis Dreyfus Armateurs a indiqué vouloir embaucher quelque 300 personnes pour "relancer une activité" sur la ligne Calais-Douvres à la place de SeaFrance, sans reprendre les bateaux de la compagnie de ferries en liquidation. Sur les 300 embauches, "à peu près les trois-quarts" se feraient parmi les SeaFrance, selon le ministre des Transports
un mec de 50 ans avec sa maison et sa famille ses habitudes
va demenager partout en france
90 % des cas
c'est vraiment pas bien d'habiter marck et de partir travailler à bordeaux
SeaFrance: la SNCF a transmis 500 offres d'emploi au liquidateur
La SNCF a transmis plus de 500 offres d'emploi, réparties sur l'ensemble de l'Hexagone, au mandataire judiciaire en charge de la liquidation de SeaFrance pour tenter de reclasser des salariés au sein du groupe de transport (SNCF, Keolis, Geodis, etc.), a annoncé mercredi la SNCF.
Les offres, dont une minorité (environ 10% selon un décompte de l'AFP) est située dans la région Nord-Pas-de-Calais, sont consultables sur le site internet http://seafrance.portailbtsg.eu.
D'après la SNCF, les salariés auront 15 jours pour manifester leur intérêt pour une ou plusieurs offres.
Ceux qui ne seront pas intéressés par une de ses offres recevront une lettre de licenciement et devront s'inscrire à Pôle Emploi. Ils bénéficieront d'un accompagnement par une cellule animée par Pôle Emploi et la SNCF.
Un porte-parole de la SNCF a indiqué que 55% des offres (275 postes) provenaient de la maison-mère SNCF ou Epic (Etablissement public, industriel et commercial), et 45% de filiales, comme Keolis (transport urbain) et Geodis (transport de marchandises).
"Au sein de l'Epic, les offres sont dans la maintenance du matériel, les fonctions commerciales ou support" et "disséminées sur l'ensemble du territoire", a précisé la SNCF.
Le site dédié affiche un total de 587 postes à pourvoir. Une grande majorité des offres au sein de la maison-mère SNCF sont localisés en région parisienne, comme "agent commercial" à Houilles ou Maisons Laffite ou "assistant de gestion" et "vendeur voyages" à Paris.
Chez Geodis, il y a par exemple un poste de gestionnaire de stock en Haute-Garonne ou un agent de tri en Loire-Atlantique.
Keolis recherche des conducteurs de cars en Paca, en Aquitaine et en Touraine.
Pour les postes de cadres, sont proposés "un expert en produits chimiques" à Paris, un" consultant informatique" à Clichy, ou "un juriste" à Lyon. Quelques potes sont affichés pour Lille.
Mardi, le ministre des Transports Thierry Mariani avait indiqué qu'une aide au déménagement de 10.000 euros en moyenne pourrait être octroyée aux salariés reclassés loin de chez eux.
Le ministre avait précisé sur les 872 salariés de SeaFrance qui allaient perdre leur travail, une solution devait être trouvée pour 819 d'entre eux car 53 étaient des cheminots détachés et allaient être automatiquement repris par la SNCF.
Mercredi, l'armateur Louis Dreyfus Armateurs a indiqué vouloir embaucher quelque 300 personnes pour "relancer une activité" sur la ligne Calais-Douvres à la place de SeaFrance, sans reprendre les bateaux de la compagnie de ferries en liquidation. Sur les 300 embauches, "à peu près les trois-quarts" se feraient parmi les SeaFrance, selon le ministre des Transports
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Hier, Arnaud MONTEBOURG était l’invité du 12-13 de France 3, retrouvez ici son intervention.
« La classe dirigeante française a délaissé l'industrie, abandonnant toute politique industrielle, pour privilégier la finance qui a servi d'autres intérêts que ceux de l'économie réelle. Et les entreprises du CAC 40 ont fait la croissance des autres pays mais pas la nôtre, en se développant d'abord à l'étranger. Le patriotisme industriel a disparu en France. Je me félicite que la classe politique en prenne enfin conscience, que la question du « made in France » soit devenue centrale. Et je me réjouis que notre candidat François Hollande parle ouvertement de patriotisme industriel ». C’est ce qu’Arnaud MONTEBOURG a déclaré dans une interview aux Echos, balayant l’ensemble des enjeux immédiats pour notre pays.
Sur la place de la France en Europe, Arnaud Montebourg déclare « qu’au sein du couple franco-allemand, on ne peut accepter que nos intérêts vitaux soient sacrifiés sur tous les plans. On ne peut pas perdre, à la fois, sur le terrain monétaire avec un euro-mark surévalué au vu de la spécialisation de notre économie, sur le terrain commercial avec l'absence de protection aux frontières de l'Europe ».
A propos de la campagne de François Hollande, Arnaud Montebourg a notamment déclaré : « François Hollande, lors d'un déplacement dans mon département de Saône-et-Loire, a récemment insisté sur la nécessité de se protéger contre la concurrence déloyale mondiale. Le protectionnisme européen est devenu inéluctable. Il fait d'ailleurs l'objet d'un quasi-consensus national. Pour mener cette politique, une taxe carbone aux frontières de l'Europe et une taxe lourde sur les transactions financières doivent être introduites. Mais on ne va pas attendre les Vingt-Sept indéfiniment. Il faut que nous puissions les mettre en oeuvre nationalement au plus vite. La France doit pouvoir aussi imposer des restrictions commerciales sur certains produits extracommunautaires ne respectant pas les normes environnementales sans enfreindre les règles commerciales. C'est tout à fait possible juridiquement dans le cadre actuel de l'OMC ».
Universités Populaires Itinérantes (UPI) du mouvement
Dans le cadre du développement de notre mouvement, les Universités populaires itinérantes s’organisent un peu partout. Plusieurs groupes locaux se sont en effet déjà attelés à l’organisation de réunions débats avec des auteurs d’essais.
Permettre de comprendre la marche du monde, confronter les points de vus de chacun, affirmer la possibilité de solutions nouvelles : voilà concrètement ce que les groupes locaux organisent au quotidien à travers, notamment, les conférences de l’UPI.
Parmi les intervenants, Jean-Michel QUATREPOINT, auteur de « Mourir pour le Yuan ? » (Bourin Editeur, octobre 2011). Voici le billet qu’Arnaud MONTEBOURG avait publié sur son blog au moment de la sortie de cet ouvrage.
Bien à vous
L’équipe d’Arnaud Montebourg
« La classe dirigeante française a délaissé l'industrie, abandonnant toute politique industrielle, pour privilégier la finance qui a servi d'autres intérêts que ceux de l'économie réelle. Et les entreprises du CAC 40 ont fait la croissance des autres pays mais pas la nôtre, en se développant d'abord à l'étranger. Le patriotisme industriel a disparu en France. Je me félicite que la classe politique en prenne enfin conscience, que la question du « made in France » soit devenue centrale. Et je me réjouis que notre candidat François Hollande parle ouvertement de patriotisme industriel ». C’est ce qu’Arnaud MONTEBOURG a déclaré dans une interview aux Echos, balayant l’ensemble des enjeux immédiats pour notre pays.
A propos de la TVA sociale, il déclare notamment : « Elle est surtout injuste : elle fait porter l'allégement du coût de la protection sociale des entreprises sur les ménages, les retraités et les chômeurs. Après avoir servi les plus favorisés, notamment en allégeant l'ISF, Nicolas Sarkozy veut désormais frapper les plus pauvres avec la TVA ».
https://www.dailymotion.com/video/xnizhj_a-montebourg-invite-du-12-13-de-france-3-08-01-2012_news
Sur la place de la France en Europe, Arnaud Montebourg déclare « qu’au sein du couple franco-allemand, on ne peut accepter que nos intérêts vitaux soient sacrifiés sur tous les plans. On ne peut pas perdre, à la fois, sur le terrain monétaire avec un euro-mark surévalué au vu de la spécialisation de notre économie, sur le terrain commercial avec l'absence de protection aux frontières de l'Europe ».
A propos de la campagne de François Hollande, Arnaud Montebourg a notamment déclaré : « François Hollande, lors d'un déplacement dans mon département de Saône-et-Loire, a récemment insisté sur la nécessité de se protéger contre la concurrence déloyale mondiale. Le protectionnisme européen est devenu inéluctable. Il fait d'ailleurs l'objet d'un quasi-consensus national. Pour mener cette politique, une taxe carbone aux frontières de l'Europe et une taxe lourde sur les transactions financières doivent être introduites. Mais on ne va pas attendre les Vingt-Sept indéfiniment. Il faut que nous puissions les mettre en oeuvre nationalement au plus vite. La France doit pouvoir aussi imposer des restrictions commerciales sur certains produits extracommunautaires ne respectant pas les normes environnementales sans enfreindre les règles commerciales. C'est tout à fait possible juridiquement dans le cadre actuel de l'OMC ».
Universités Populaires Itinérantes (UPI) du mouvement
Dans le cadre du développement de notre mouvement, les Universités populaires itinérantes s’organisent un peu partout. Plusieurs groupes locaux se sont en effet déjà attelés à l’organisation de réunions débats avec des auteurs d’essais.
Permettre de comprendre la marche du monde, confronter les points de vus de chacun, affirmer la possibilité de solutions nouvelles : voilà concrètement ce que les groupes locaux organisent au quotidien à travers, notamment, les conférences de l’UPI.
Parmi les intervenants, Jean-Michel QUATREPOINT, auteur de « Mourir pour le Yuan ? » (Bourin Editeur, octobre 2011). Voici le billet qu’Arnaud MONTEBOURG avait publié sur son blog au moment de la sortie de cet ouvrage.
Bien à vous
L’équipe d’Arnaud Montebourg
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
direct live
17H14 - LE MINISTRE DE L'ECONOMIE FRANCOIS BAROIN EST ARRIVE A L'ELYSEE IL Y A QUELQUES MINUTES.
17H43 - LA FRANCE EST DEGRADEE D'UN CRAN PAR S&P
18H02 - FRANCOIS BAROIN CHERCHE A RETROUVER Le triple A A L'ELYSEE
18H35 - Baroin repart - Le ministre de l'Economie et des Finances est sorti de l'Elysée vers 18H20, une heure et vingt minutes après son arrivée .IL REPART A TROYES APPAREEMENT IL N "A PAS RETROUVE LE TRIPLE A
17H14 - LE MINISTRE DE L'ECONOMIE FRANCOIS BAROIN EST ARRIVE A L'ELYSEE IL Y A QUELQUES MINUTES.
17H43 - LA FRANCE EST DEGRADEE D'UN CRAN PAR S&P
18H02 - FRANCOIS BAROIN CHERCHE A RETROUVER Le triple A A L'ELYSEE
18H35 - Baroin repart - Le ministre de l'Economie et des Finances est sorti de l'Elysée vers 18H20, une heure et vingt minutes après son arrivée .IL REPART A TROYES APPAREEMENT IL N "A PAS RETROUVE LE TRIPLE A
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
EN DIRECT - La France perd son triple A
20H04 - LA FRANCE PERD SON TRIPLE A , ANNONCE BAROIN SUR FRANCE 2
ET ALORS ON FAIT QUOI CE SOIR DOMENICO
20H04 - LA FRANCE PERD SON TRIPLE A , ANNONCE BAROIN SUR FRANCE 2
ET ALORS ON FAIT QUOI CE SOIR DOMENICO
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
VENDREDI 13 JANVIER 2011
UNE LETTRE VOUS QUITTE ET LE MONDE AUTOUR DE VOUS S 'ECROULE
NIKOS SARKOZ sauveur de (presque toutes les causes ) perd son AAA à 100 jours de la présidentielle (PAPIER GENERAL FRANCE)
La France a perdu vendredi son précieux "AAA" auprès de Standard & Poor's (S&P), un coup de tonnerre au pire moment pour Sarkoz à cent jours de l'élection présidentielle.
MES CHERS FRERES DANS CES MOMENTS DOULOUREUX N" ACCABLONS CE PAUVRE HOMME
déjà si durement touché dans son orgueil
Il sera et restera à jamais le 1 er pestident de la France a l'avoir perdu ce AAA
et ne doutons que ce qui ressemble au foot à un CSC fera prendre des décisions à son équipe UMP
de le remplacer illico presto au coaching de celle ci
A 100 jours de la presidentielle ,un vendredi 13 tous ces signes du destin ne sont pas dus au hasard
Cette décision de agence de notation consacre un décrochage entre les deux premières économies de la zone euro, l'Allemagne ayant finalement préservé sa note, la meilleure possible.
"Ce n'est pas une bonne nouvelle" mais ce n'est "pas une catastrophe", s'est efforcé de relativiser le ministre de l'Economie François Baroin, premier à annoncer l'abaissement, confirmé en fin de soirée par S&P.
"Ce ne sont pas les agences de notation qui dictent la politique de la France", a-t-il déclaré sur France 2, au sortir d'une réunion de crise à l'Elysée avec Nicolas Sarkozy, le Premier ministre François Fillon et la ministre du Budget, Valérie Pécresse.
M. Baroin a exclu l'adoption d'un troisième plan de rigueur, après ceux d'août et novembre 2011. Il n'y aura "pas de nouveau plan de rigueur car ce n'est pas une question de rigueur budgétaire", a-t-il dit, attribuant la décision de S&P à un "problème de gouvernance" de la zone euro.
Cette dégradation "reflète l'impact de l'intensification des problèmes politiques, financiers et monétaires dans la zone euro, au sein de laquelle la France est étroitement intégrée", a commenté l'agence dans son communiqué.
Le président Sarkozy avait longtemps fait du maintien du "triple A" une priorité y voyant "un objectif et une obligation".
La décision de S&P était attendue depuis début décembre quand l'agence avait menacé d'abaisser la note de 15 Etats de la zone euro, dont les six notés "triple A". La France risquait un abaissement de deux crans.
Paris n'en perd finalement qu'un seul, à AA+. Mais selon S&P il y a encore "au moins une chance sur trois" qu'une nouvelle dégradation puisse intervenir en 2012 ou 2013, notamment "si ses finances publiques devaient dévier du chemin tracé en matière de consolidation budgétaire".
Outre la France, l'agence a abaissé la note de huit autres pays de la zone euro. Parmi eux, l'Autriche perd aussi son AAA et l'Espagne et l'Italie sont dégradées de deux crans. S&P a en outre placé tous les Etats de la zone euro sous perspective négative, à l'exception de la Slovaquie et l'Allemagne.
Valérie Pécresse."Notre stratégie économique ne changera pas: c'est le désendettement, la compétitivité et son potentiel de croissance", a-t-elle ensuite affirmé dans une interview à l'AFP, jugeant par ailleurs "absolument nécessaire que la convergence franco-allemande se poursuive".
"La France est sur la bonne voie", a réagi le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble.
Pour l'instant, Paris conserve toujours son triple A auprès des deux autres grandes agences de notation internationales, Moody's et Fitch.
La rumeur de l'imminence d'une dégradation française s'est répandue en milieu d'après-midi vendredi sur les marchés, avant d'enflammer la classe politique.
"Cette perte du triple A sanctionne la politique suivie depuis 2007", a lancé au nom du Parti socialiste Martine Aubry, pour qui Nicolas Sarkozy "restera le président de la dégradation de la France". Le chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault, a évoqué "un sentiment d'humiliation" et "la rançon d'un quinquennat calamiteux qui a affaibli la crédibilité du pays".
La présidente du Front national, Marine Le Pen, y a vu "la fin du mythe du président protecteur" et la disqualification de "tous ceux" qui ont défendu l'euro.
"Notre statut en Europe va souffrir symboliquement et donc politiquement", a prédit François Bayrou, candidat du MoDem à la présidentielle. Selon lui, il s'agit aussi d'une dégradation "par rapport à notre principal voisin.
"Les embardées de Nicolas Sarkozy depuis cinq ans, la multiplication des cadeaux fiscaux, les réformes et contre-réformes fiscales n'auront pas répondu ni aux échecs de cette financiarisation de l'économie, ni à la hausse dramatique du chômage", a déclaré Cécile Duflot, secrétaire national d'EELV.
La perte du triple A "sanctionne surtout la cécité de nos élites, dont la monnaie unique a été depuis des décennies le projet commun", a réagi l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement, candidat MRC à la présidentielle.
L'abaissement de la note de la France, deuxième contributeur derrière l'Allemagne du fonds de secours de la zone euro, risque d'ébranler ce mécanisme qui peine déjà à endiguer la propagation de la crise.
Au plan hexagonal, la perte du triple A pourrait avoir des répercussions en cascade, alors que Paris doit émettre pour 178 milliards d'euros d'obligations cette année. Une dégradation de la note se traduit en principe par une hausse des taux d'intérêt.
Les places financières en Europe ont toutes terminées dans le rouge. Mais les marchés obligataires et les Bourses, qui avaient déjà largement intégré le risque d'une dégradation, ont résisté, Paris perdant seulement 0,11% et Francfort 0,58%.
De son côté, l'euro dégringolait par rapport au dollar, tombant à des niveaux parmi les plus bas depuis août 2010, à un peu plus de 1,26 dollar.
"Depuis le début de l'année, les investisseurs se focalisent moins sur les commentaires d'agences de notation, mais davantage sur la capacité des Etats sous pression à se refinancer", a expliqué Renaud Murail, gérant d'actions chez Barclays Bourse.
Une autre mauvaise nouvelle est arrivée vendredi de Grèce, épicentre de la crise de la dette depuis 2010. Les banques ont annoncé qu'elles suspendaient leurs négociations avec le pays sur les modalités de la restructuration de sa dette. Elles ont laissé entendre qu'elles pourraient revenir sur leur engagement à en effacer volontairement une grande partie
UNE LETTRE VOUS QUITTE ET LE MONDE AUTOUR DE VOUS S 'ECROULE
NIKOS SARKOZ sauveur de (presque toutes les causes ) perd son AAA à 100 jours de la présidentielle (PAPIER GENERAL FRANCE)
La France a perdu vendredi son précieux "AAA" auprès de Standard & Poor's (S&P), un coup de tonnerre au pire moment pour Sarkoz à cent jours de l'élection présidentielle.
MES CHERS FRERES DANS CES MOMENTS DOULOUREUX N" ACCABLONS CE PAUVRE HOMME
déjà si durement touché dans son orgueil
Il sera et restera à jamais le 1 er pestident de la France a l'avoir perdu ce AAA
et ne doutons que ce qui ressemble au foot à un CSC fera prendre des décisions à son équipe UMP
de le remplacer illico presto au coaching de celle ci
A 100 jours de la presidentielle ,un vendredi 13 tous ces signes du destin ne sont pas dus au hasard
Cette décision de agence de notation consacre un décrochage entre les deux premières économies de la zone euro, l'Allemagne ayant finalement préservé sa note, la meilleure possible.
"Ce n'est pas une bonne nouvelle" mais ce n'est "pas une catastrophe", s'est efforcé de relativiser le ministre de l'Economie François Baroin, premier à annoncer l'abaissement, confirmé en fin de soirée par S&P.
"Ce ne sont pas les agences de notation qui dictent la politique de la France", a-t-il déclaré sur France 2, au sortir d'une réunion de crise à l'Elysée avec Nicolas Sarkozy, le Premier ministre François Fillon et la ministre du Budget, Valérie Pécresse.
M. Baroin a exclu l'adoption d'un troisième plan de rigueur, après ceux d'août et novembre 2011. Il n'y aura "pas de nouveau plan de rigueur car ce n'est pas une question de rigueur budgétaire", a-t-il dit, attribuant la décision de S&P à un "problème de gouvernance" de la zone euro.
Cette dégradation "reflète l'impact de l'intensification des problèmes politiques, financiers et monétaires dans la zone euro, au sein de laquelle la France est étroitement intégrée", a commenté l'agence dans son communiqué.
Le président Sarkozy avait longtemps fait du maintien du "triple A" une priorité y voyant "un objectif et une obligation".
La décision de S&P était attendue depuis début décembre quand l'agence avait menacé d'abaisser la note de 15 Etats de la zone euro, dont les six notés "triple A". La France risquait un abaissement de deux crans.
Paris n'en perd finalement qu'un seul, à AA+. Mais selon S&P il y a encore "au moins une chance sur trois" qu'une nouvelle dégradation puisse intervenir en 2012 ou 2013, notamment "si ses finances publiques devaient dévier du chemin tracé en matière de consolidation budgétaire".
Outre la France, l'agence a abaissé la note de huit autres pays de la zone euro. Parmi eux, l'Autriche perd aussi son AAA et l'Espagne et l'Italie sont dégradées de deux crans. S&P a en outre placé tous les Etats de la zone euro sous perspective négative, à l'exception de la Slovaquie et l'Allemagne.
Valérie Pécresse."Notre stratégie économique ne changera pas: c'est le désendettement, la compétitivité et son potentiel de croissance", a-t-elle ensuite affirmé dans une interview à l'AFP, jugeant par ailleurs "absolument nécessaire que la convergence franco-allemande se poursuive".
"La France est sur la bonne voie", a réagi le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble.
Pour l'instant, Paris conserve toujours son triple A auprès des deux autres grandes agences de notation internationales, Moody's et Fitch.
La rumeur de l'imminence d'une dégradation française s'est répandue en milieu d'après-midi vendredi sur les marchés, avant d'enflammer la classe politique.
"Cette perte du triple A sanctionne la politique suivie depuis 2007", a lancé au nom du Parti socialiste Martine Aubry, pour qui Nicolas Sarkozy "restera le président de la dégradation de la France". Le chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault, a évoqué "un sentiment d'humiliation" et "la rançon d'un quinquennat calamiteux qui a affaibli la crédibilité du pays".
La présidente du Front national, Marine Le Pen, y a vu "la fin du mythe du président protecteur" et la disqualification de "tous ceux" qui ont défendu l'euro.
"Notre statut en Europe va souffrir symboliquement et donc politiquement", a prédit François Bayrou, candidat du MoDem à la présidentielle. Selon lui, il s'agit aussi d'une dégradation "par rapport à notre principal voisin.
"Les embardées de Nicolas Sarkozy depuis cinq ans, la multiplication des cadeaux fiscaux, les réformes et contre-réformes fiscales n'auront pas répondu ni aux échecs de cette financiarisation de l'économie, ni à la hausse dramatique du chômage", a déclaré Cécile Duflot, secrétaire national d'EELV.
La perte du triple A "sanctionne surtout la cécité de nos élites, dont la monnaie unique a été depuis des décennies le projet commun", a réagi l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement, candidat MRC à la présidentielle.
L'abaissement de la note de la France, deuxième contributeur derrière l'Allemagne du fonds de secours de la zone euro, risque d'ébranler ce mécanisme qui peine déjà à endiguer la propagation de la crise.
Au plan hexagonal, la perte du triple A pourrait avoir des répercussions en cascade, alors que Paris doit émettre pour 178 milliards d'euros d'obligations cette année. Une dégradation de la note se traduit en principe par une hausse des taux d'intérêt.
Les places financières en Europe ont toutes terminées dans le rouge. Mais les marchés obligataires et les Bourses, qui avaient déjà largement intégré le risque d'une dégradation, ont résisté, Paris perdant seulement 0,11% et Francfort 0,58%.
De son côté, l'euro dégringolait par rapport au dollar, tombant à des niveaux parmi les plus bas depuis août 2010, à un peu plus de 1,26 dollar.
"Depuis le début de l'année, les investisseurs se focalisent moins sur les commentaires d'agences de notation, mais davantage sur la capacité des Etats sous pression à se refinancer", a expliqué Renaud Murail, gérant d'actions chez Barclays Bourse.
Une autre mauvaise nouvelle est arrivée vendredi de Grèce, épicentre de la crise de la dette depuis 2010. Les banques ont annoncé qu'elles suspendaient leurs négociations avec le pays sur les modalités de la restructuration de sa dette. Elles ont laissé entendre qu'elles pourraient revenir sur leur engagement à en effacer volontairement une grande partie
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
LA PERIODE n"est pas mo(rose )
perte du triple A
pression sur les juges
des valises pleines ou vides
15 francais tués à karachi ..
Villepin nous a prevenu il y aura plein de surprises
on se cale dans un bon fauteuil et
on attend la suite de tous ces feuilletons
perte du triple A
pression sur les juges
des valises pleines ou vides
15 francais tués à karachi ..
Villepin nous a prevenu il y aura plein de surprises
on se cale dans un bon fauteuil et
on attend la suite de tous ces feuilletons
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Revalorisation du
SMIC au 1er janvier
La Commission Nationale de la Négociation
Collective (C.N.N.C.) s’est réunie le 28
décembre dernier en présence de
l’ensemble des partenaires sociaux et sous
la présidence du Directeur Général du Travail.
Ainsi par application des dispositions
légales, le taux horaire du SMIC est porté,
depuis le 1er janvier 2012 à 9,22 ¤ brut
(contre 9,19 ¤, fin 2011) soit 1398,37 ¤ brut
par mois pour 151,67 heures de travail.
L’augmentation sur un an est de 2,4 %.
quand on pense que en net ca doit faire 7 euros et des brouettes
alors que des grands patrons du CAC40 gagnent 2000 euros de l'heure
soit un rapport de 1 à 300
melenchon propose d'arriver à une echelle maximum 1 a 20
tous les salaires au dessus de 30 000 euros mensuel 100 % d'impots moi je suis d'accord
SMIC au 1er janvier
La Commission Nationale de la Négociation
Collective (C.N.N.C.) s’est réunie le 28
décembre dernier en présence de
l’ensemble des partenaires sociaux et sous
la présidence du Directeur Général du Travail.
Ainsi par application des dispositions
légales, le taux horaire du SMIC est porté,
depuis le 1er janvier 2012 à 9,22 ¤ brut
(contre 9,19 ¤, fin 2011) soit 1398,37 ¤ brut
par mois pour 151,67 heures de travail.
L’augmentation sur un an est de 2,4 %.
quand on pense que en net ca doit faire 7 euros et des brouettes
alors que des grands patrons du CAC40 gagnent 2000 euros de l'heure
soit un rapport de 1 à 300
melenchon propose d'arriver à une echelle maximum 1 a 20
tous les salaires au dessus de 30 000 euros mensuel 100 % d'impots moi je suis d'accord
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
MOI QUI REVAIT DE FAIRE UNE COSTA CROISIERE EN MEDITERRANEE
JE VAIS REPORTER CE PROJET AUX CALANQUES GREQUES
Paquebot échoué: à Marseille, des rescapés disent leur soulagement, et leur colère
Protégés par des couvertures de survie, l'air épuisé, des naufragés français du paquebot Costa Concordia, échoué vendredi soir près d'une île de Toscane, sont arrivés samedi soir à Marseille, soulagés mais accusant la compagnie italienne de désorganisation dans les secours.
Au moins trois personnes - deux touristes français et un membre d'équipage péruvien - sont mortes dans l'accident du navire, qui a heurté un rocher près de l'île du Giglio. Une quarantaine de personnes manquaient toujours à l'appel samedi soir. Le commandant a été incarcéré, notamment pour abandon du navire.
Acheminés par bus, les premiers naufragés sont arrivés à Marseille peu avant 20H00 sur le terminal de croisière du port.
"Nous étions dans la salle de spectacle, il y a eu un très gros bruit et la salle a penché d'un coup", a raconté à la presse Elizabeth, une femme d'une cinquantaine d'années originaire de l'Indre.
La rescapée dénonce "une mauvaise organisation pour débarquer les chaloupes, beaucoup de bousculade, et après, sur terre, rien du tout" en terme d'accueil.
Elle explique s'être réfugiée "dans un bistrot", "c'était très long", ajoutant avoir eu des nouvelles par des amis français qui, en l'appelant sur son portable, lui ont appris sur quelle côte le bateau s'était échoué.
"On a tout perdu, on est fatigués mais contents d'être vivants", a encore dit cette croisiériste, toujours vêtue de sa tenue de soirée.
Joël Pavageau, retraité parisien de 74 ans, dînait avec sa femme. "On nous a dit de rester assis, alors que le bateau s'enfonçait. Ils auraient dû donner l'ordre d'évacuer plus vite. Ils ont attendu 45 minutes, cela paraît très long quand vous êtes dans le noir".
"Le capitaine disait en cinq, six langues +ne paniquez pas+", ajoute-t-il. "J'ai eu l'impression de vivre mon dernier moment".
"On n'a jamais vu un officier de Costa", assure Stéphane, un Bayonnais. "On n'a même pas pu aller chercher les gilets de sauvetage", ajoute sa compagne Virginie.
Quelque 250 passagers, rapatriés dans six bus, étaient attendus à Marseille, où un dispositif sanitaire, psychologique et administratif a été mis en place.
Une cinquantaine de membres des marins-pompiers, du Samu, de la Croix-Rouge notamment étaient mobilisés. La police aux frontières était présente pour faciliter les démarches de renouvellement des titres d'identité perdus.
Les croisiéristes devaient être "logés dans deux hôtels avant d'être réacheminés chez eux par Costa", a précisé le préfet délégué à la sécurité Alain Gardère.
Le reste des 462 passagers français, dont le retour sur Marseille était initialement prévu dimanche, seront rapatriés par avion, selon Costa, compagnie génoise numéro un de la croisière en Europe.
"C'est un accident rarissime" et le premier de cette gravité "depuis la création du groupe il y a 63 ans", a dit le directeur général adjoint France, Patrick Pourbaix, dépêché à Marseille.
"Dans un premier temps, il a fallu évaluer l'ampleur de la gravité de la situation", a-t-il dit pour expliquer l'ordre d'évacuation tardif. "Ensuite, comme le bateau était penché, il était très difficile de sortir les canots de sauvetage, donc cela a été laborieux, ce qui peut expliquer la confusion".
Selon lui, les passagers avaient suivi un exercice de sécurité au début du voyage. Mais, selon Joëlle, une habituée des croisières, "beaucoup ne l'avaient pas fait et cela n'avait pas été vérifié".
"C'est une tragédie pour Costa Croisières", avait déclaré plus tôt à l'AFP Georges Azouze, président de Costa Croisières France.
Mis en service en 2006, le Costa Concordia transportait 4.229 personnes dont une majorité de touristes italiens, français et allemands.
Selon la préfecture des Alpes-Maritimes, des Russes, Espagnols, Anglais et Chinois ont été rapatriés samedi via l'aéroport de Nice.
JE VAIS REPORTER CE PROJET AUX CALANQUES GREQUES
Paquebot échoué: à Marseille, des rescapés disent leur soulagement, et leur colère
Protégés par des couvertures de survie, l'air épuisé, des naufragés français du paquebot Costa Concordia, échoué vendredi soir près d'une île de Toscane, sont arrivés samedi soir à Marseille, soulagés mais accusant la compagnie italienne de désorganisation dans les secours.
Au moins trois personnes - deux touristes français et un membre d'équipage péruvien - sont mortes dans l'accident du navire, qui a heurté un rocher près de l'île du Giglio. Une quarantaine de personnes manquaient toujours à l'appel samedi soir. Le commandant a été incarcéré, notamment pour abandon du navire.
Acheminés par bus, les premiers naufragés sont arrivés à Marseille peu avant 20H00 sur le terminal de croisière du port.
"Nous étions dans la salle de spectacle, il y a eu un très gros bruit et la salle a penché d'un coup", a raconté à la presse Elizabeth, une femme d'une cinquantaine d'années originaire de l'Indre.
La rescapée dénonce "une mauvaise organisation pour débarquer les chaloupes, beaucoup de bousculade, et après, sur terre, rien du tout" en terme d'accueil.
Elle explique s'être réfugiée "dans un bistrot", "c'était très long", ajoutant avoir eu des nouvelles par des amis français qui, en l'appelant sur son portable, lui ont appris sur quelle côte le bateau s'était échoué.
"On a tout perdu, on est fatigués mais contents d'être vivants", a encore dit cette croisiériste, toujours vêtue de sa tenue de soirée.
Joël Pavageau, retraité parisien de 74 ans, dînait avec sa femme. "On nous a dit de rester assis, alors que le bateau s'enfonçait. Ils auraient dû donner l'ordre d'évacuer plus vite. Ils ont attendu 45 minutes, cela paraît très long quand vous êtes dans le noir".
"Le capitaine disait en cinq, six langues +ne paniquez pas+", ajoute-t-il. "J'ai eu l'impression de vivre mon dernier moment".
"On n'a jamais vu un officier de Costa", assure Stéphane, un Bayonnais. "On n'a même pas pu aller chercher les gilets de sauvetage", ajoute sa compagne Virginie.
Quelque 250 passagers, rapatriés dans six bus, étaient attendus à Marseille, où un dispositif sanitaire, psychologique et administratif a été mis en place.
Une cinquantaine de membres des marins-pompiers, du Samu, de la Croix-Rouge notamment étaient mobilisés. La police aux frontières était présente pour faciliter les démarches de renouvellement des titres d'identité perdus.
Les croisiéristes devaient être "logés dans deux hôtels avant d'être réacheminés chez eux par Costa", a précisé le préfet délégué à la sécurité Alain Gardère.
Le reste des 462 passagers français, dont le retour sur Marseille était initialement prévu dimanche, seront rapatriés par avion, selon Costa, compagnie génoise numéro un de la croisière en Europe.
"C'est un accident rarissime" et le premier de cette gravité "depuis la création du groupe il y a 63 ans", a dit le directeur général adjoint France, Patrick Pourbaix, dépêché à Marseille.
"Dans un premier temps, il a fallu évaluer l'ampleur de la gravité de la situation", a-t-il dit pour expliquer l'ordre d'évacuation tardif. "Ensuite, comme le bateau était penché, il était très difficile de sortir les canots de sauvetage, donc cela a été laborieux, ce qui peut expliquer la confusion".
Selon lui, les passagers avaient suivi un exercice de sécurité au début du voyage. Mais, selon Joëlle, une habituée des croisières, "beaucoup ne l'avaient pas fait et cela n'avait pas été vérifié".
"C'est une tragédie pour Costa Croisières", avait déclaré plus tôt à l'AFP Georges Azouze, président de Costa Croisières France.
Mis en service en 2006, le Costa Concordia transportait 4.229 personnes dont une majorité de touristes italiens, français et allemands.
Selon la préfecture des Alpes-Maritimes, des Russes, Espagnols, Anglais et Chinois ont été rapatriés samedi via l'aéroport de Nice.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Les rescapés de l'attentat de Karachi entendus par la DCRI en février
Les salariés de la Direction des constructions navales (DCN) rescapés de l'attentat de Karachi en 2002 seront entendus par la DCRI "dans la première quinzaine de février", a-t-on appris vendredi auprès de l'avocate de l'un des survivants.
La Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), saisie sur commission rogatoire du juge Marc Trévidic, les interrogera sur les circonstances de l'attentat et la scène du crime, a précisé Me Marie Dosé, avocate de Gilles Sanson, l'un des rescapés. Les salariés ne devraient pas témoigner des conditions de sécurité dans ce cadre, à précisé Me Dosé.
L'attentat de Karachi, le 8 mai 2002, avait fait 15 morts dont 11 des 23 salariés de la DCN qui avaient pris place à bord du bus les conduisant de leur hôtel au chantier naval. Il travaillaient à la construction d'un sous-marin conventionnel dans le cadre d'un contrat d'armement Agosta signé entre la France et le Pakistan en 1994.
Les blessés n'ont été entendus qu'une seule fois par les enquêteurs, au tout début de l'enquête. L'ancien juge Jean-Louis Bruguière, alors chargé de l'instruction avait orienté les investigations vers la piste d'un attentat terroriste commis par des islamistes liés à Al Qaida.
Le juge Trévidic, qui lui a succédé en 2007, privilégie la thèse d'un attentat perpétré en représailles à l'arrêt, par la France, du versement de commissions dans le cadre du contrat d'armement Agosta.
Six des salariés de la DCN, qui ont par ailleurs porté plainte en octobre contre leur employeur, ont été entendus cette semaine par la police judiciaire.
Ils reprochent à la DCN de ne pas avoir tenu compte d'une "menace explicite contre la France", dont avait été informée l'ambassade de France à Islamabad dès février 2002, ainsi que d'autres menaces contre des Occidentaux.
Les salariés de la Direction des constructions navales (DCN) rescapés de l'attentat de Karachi en 2002 seront entendus par la DCRI "dans la première quinzaine de février", a-t-on appris vendredi auprès de l'avocate de l'un des survivants.
La Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), saisie sur commission rogatoire du juge Marc Trévidic, les interrogera sur les circonstances de l'attentat et la scène du crime, a précisé Me Marie Dosé, avocate de Gilles Sanson, l'un des rescapés. Les salariés ne devraient pas témoigner des conditions de sécurité dans ce cadre, à précisé Me Dosé.
L'attentat de Karachi, le 8 mai 2002, avait fait 15 morts dont 11 des 23 salariés de la DCN qui avaient pris place à bord du bus les conduisant de leur hôtel au chantier naval. Il travaillaient à la construction d'un sous-marin conventionnel dans le cadre d'un contrat d'armement Agosta signé entre la France et le Pakistan en 1994.
Les blessés n'ont été entendus qu'une seule fois par les enquêteurs, au tout début de l'enquête. L'ancien juge Jean-Louis Bruguière, alors chargé de l'instruction avait orienté les investigations vers la piste d'un attentat terroriste commis par des islamistes liés à Al Qaida.
Le juge Trévidic, qui lui a succédé en 2007, privilégie la thèse d'un attentat perpétré en représailles à l'arrêt, par la France, du versement de commissions dans le cadre du contrat d'armement Agosta.
Six des salariés de la DCN, qui ont par ailleurs porté plainte en octobre contre leur employeur, ont été entendus cette semaine par la police judiciaire.
Ils reprochent à la DCN de ne pas avoir tenu compte d'une "menace explicite contre la France", dont avait été informée l'ambassade de France à Islamabad dès février 2002, ainsi que d'autres menaces contre des Occidentaux.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
La question politique du jour
La perte du triple A peut-elle bénéficier à la gauche ?
Merci d'avoir été parmi les premiers à voter. Les résultats seront disponibles prochainement. Voir les résultats sans voter
Oui 43 % Oui
311 Votes
Non 50 % Non
361 Votes
Sans opinion 7 % Sans opinion
47 Votes
La perte du triple A peut-elle bénéficier à la gauche ?
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Oui 43 % Oui
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Non 50 % Non
361 Votes
Sans opinion 7 % Sans opinion
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aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
MARTINHIRSCH
"Les trop gros salaires
creusent la dettede l’État
"Les salaires des grands dirigeants ont flambé même quand les entreprises perdaient de l’argent
Il fâche la droite et
le Medef en dénonçant
les conflits d’intérêt avec
des exemples dans la majorité
et les patrons avides
d’argent. Il secoue la gauche
avec des propositions politiquement
incorrectes "qui ne sont
pas dans le programme du PS"
pour sauver le lien social en
France. Martin Hirsch, ex-haut
commissaire aux Solidarités actives,
inventeur du Revenu de
Solidarité Active (RSA), est un
empêcheur de penser en rond.
Avec un rapport incendiaire
sur les très hauts revenus, il entre
en force dans la campagne
pour la présidentielle. Mais à
la "Provence", il assure qu’il n’a
de comptes à demander qu’à
lui-même, souhaitant apporter
du concret face à une crise "durable
et dangereuse".
❚ Dans un rapport pour la fondation
Terra Nova, vous proposez de contrôler
les très hautes rémunérations. Les trop
gros salaires rendent-ils la crise plus grave
pour tous ?
Oui. Au-delà de la question morale,
ils créent des problèmes économiques
et sociaux. À la base, il faut remonter
aux racines de la crise aux États-Unis
où 1 % des plus riches ont tellement
capté d’argent que les plus modestes
se sont endettés inconsidérément par
la course au crédit immobilier et à la
consommation. La crise des "subprimes"
a fait boule de neige dans le monde
entier avec les effets que l’on sait. Et
en France, durant ces vingt dernières
années, selon le rapport du Conseil
d’Analyse économique, les 10% des
plus gros salaires ont capté les
trois-quarts de la richesse créée. Il ne
reste qu’un quart de cette richesse
pour les 90 % des salariés. L’État doit
donc compenser les faibles revenus
avec des prestations sociales. La dépens
e publique e t donc l a d e t t e
s’accroissent. La mauvaise répartition
initiale rend ainsi la crise plus grave. Il
faut agir, remettre à plat le système des
très hautes rémunérations avec des
évaluations régulières, une conférence
régulière associant patronat, économistes,
syndicats.
❚ Mais les grands patrons ne
créent-ils pas de la richesse en développant
leurs entreprises ?
Parfois, mais il n’y a pas de lien entre
le niveau des salaires des dirigeants et
les performances des entreprises.
Nous l’avons démontré, lors d’un précédent
travail avec l’économiste Jean
Gatty en 2009 sur une centaine
d’entreprises moyennes cotées en
bourse à Paris. Les salaires ont flambé
sans valeur créée dans les sociétés et
même lorsqu’elles en perdaient. On
voit même des entreprises être
contraintes d’éponger les mauvais résultats
d’un dirigeant après son départ
avec "parachute doré" et retraite chapeau.
L’exemple le plus fou, c’est
l’augmentation des revenus des dirigeants
de banque en 2010. Dans la tourmente
générale causée par la crise de
2008, la hausse moyenne a été de
44,5 % . C’est pourquoi nous proposons
qu’une partie de la rémunération
des grands patrons soit en actions bloquées
sur cinq ans pour avoir le temps
d’évaluer leur gestion et leur apport à
l’économie.
❚ Et vous enfoncez encore le clou en dénonçant
le manque de générosité des
grands entrepreneurs ?
On cherche en vain, en France, une
grande initiative philanthropique comme
aux États-Unis où un capitaine
d’industrie investit 80 %de sa fortune.
Selon le ministère des Finances, le taux
de générosité décroît avec les revenus.
Il est de 1 % pour les personnes les
plus modestes et de 0,6 % pour les
plus aisées. Il faut des mesures pour
que chaque foyer fiscal, au-dessus
d’un certain seuil, consacre 1 à 2 %de
ses revenusàune association.Àunmoment,
il faut être logique, on ne peut
pas dire l’État ne peut et ne doit pas
tout faire, rendre hommage au travail
formidable du monde associatif et s’en
laver les mains. Force est de constater
que la crise ne déclenche pas de réflexe
de solidarité, sauf chez ceux qui touchent
de près les difficultés.
❚ Pour revenir à la solidarité nationale,
le RSA remplit-il encore sa tâche ?
S ’ i l n ’ e x i s t a i t pas, i l y aurait
200 000 pauvres de plus, selon
l’évaluation faite. Mais il y a des faiblesses.
Pôle Emploi que l’on voulait impliquer
dans le suivi des bénéficiaires est
débordé par la hausse du chômage, les
départements qui doivent faire face à
des difficultés financières, réduisent
leur implication dans les actions
d’accompagnement vers l’emploi et
les allocataires sont pris en tenaille. Il
faut un sursaut pour préserver le système
en l’améliorant. Notamment par la
fusion du RSA avec la prime pour
l’emploi et l’allocation logement.
❚ On est frappé, notamment dans notre
région, par une économie souterraine
qui remplace le dispositif social…
Les expérimentations dans les Bouches-
du-Rhône et en Haute-Corse ont
montré que le RSA réduisait le recours
au travail au noir.
❚ Et que dites-vous des dealers qui versent
des "retraites" à des personnes
âgées démunies dont l’appartement
sert de planque ?
Je n’ai aucune indulgence pour cela et
il faut le dénoncer. Il existe aujourd’hui
un minimum vieillesse, régulièrement
revalorisé. Rien ne peut justifier qu’on
aide des dealers. D’autant que ce sont
les pauvres qui sont souvent victimes
de l’insécurité que créent ces trafics.
❚ Vous avancez dix propositions pour
combattre la dislocation sociale. Dans
l’une d’elles, vous proposez la suppression
de la prise en charge à 100 % des
affections longue durée. N’est-ce pas
une régression ?
Le modèle de notre sécurité sociale reste
valide et j’ai même contribué à un
rapport et écrit un livre pour une extension
au niveau mondial. Aujourd’hui,
le coût de cette prise en charge à 100%
augmente alors que de plus en plus de
Français ont des difficultés à accéder
aux soins pour des raisons financières.
Et certains consacrent un à deux mois
de salaire à se soigner en une année entre
ticket modérateur, forfait hospitalier
et autres franchises. Mêmedes personnes
qui sont à100%pour une affection
doivent sortir de leur poche pour
une autre. Nous proposons un bouclier
sanitaire plafonnant ce qui reste à
la charge du malade en fonction de ses
revenus. Cela remplacerait la CMU et
cela mettrait fin au 100%. Mais le plafonnement
de la contribution vaudrait
aussi pour les autres soins des patients
qui sont suivis pour une affection longue
durée.
❚ Mais dans vos propositions, vous
prenez pour acquis qu’on ne peut pas
consacrer plus d’argent au social. Pourquoi
?
Aujourd’hui, même avec des budgets
conséquents, on s’aperçoit que
d e s b e s o i n s c o m m e
l’accompagnement des personnes
âgées, le soutien scolaire ne sont pas satisfaits.
Puisqu’il faut réduire la dette,
plutôt que de rêveràdes dépenses nouvelles,
je préfère proposer de faire
mieux avec ce que l’on a et argumenter
pour qu’on ne fasse pas de coupes
aveugles dans l’urgence.
❚ Peut-on aussi essayer de nouvelles
recettes solidaires, hors circuit d’État
ou des collectivités ?
C’est ce que nous expérimentons à
Marseille avec l’"Action Tank Entreprise
et pauvreté" et le programme "optique
solidaire" qui permet aux personnes
qui sont juste au-dessus de laCMU
de se payer des lunettes aux verres progressifs.
Avec le remboursement sécu,
il leur restait 300 euros à payer. Pour
quelqu’un qui a 650 euros de ressources,
c’est impossible. Notre "cercle vertueux"
réunit des fabricants et des opticiens
qui réduisent leurs marges, des
complémentaires qui s’impliquent,
des ophtalmologues qui ne font pas de
dépassement d’honoraires et nous rendons
accessible une bonne correction
visuelle pour moins de 30 euros.
❚ L’emploi et le social vont être au
coeur de la campagne présidentielle.
Vous étiez au gouvernement, vous avez
fait un rapport pour Terra Nova, laboratoire
d’idées du PS. Quels comptes allez-
vous demander aux candidats ?
Des comptes, j’en ai surtout à demander
à moi-même. Il serait inexcusable
deme tourner les pouces dans cette crise.
Je formule des propositions concrètes
qui ne sont pas des recettes classiques,
ne se trouvent pas dans les programmes
de la droite ou de la gauche.
Je ne sais pas si on peut faire refluer le
chômage d’ici la présidentielle mais on
ne peut attendre le retour d’une croissance
élevée pour espérer de meilleurs
chiffres. Tout ce qui peut maintenir le
lien au travail doit être fait. Quel que
soit le résultat du scrutin, ce qui était
en 2007 une promesse des deux candidats
du second tour, associer les aides
de l’État, les allégements de charge à
des engagements sur les salaires et
l’emploi doit devenir réalité. Quitte à fâcher
le Medef.
Et que cela soit défini par contrat. Et
pas question de dégrèvements pour les
entreprises dont les dirigeants se
paient trop bien.
◗ NAISSANCE
Martin Hirsch est né le 6 décembre
1963 à Suresnes, près de Paris. Il est le
fils de Bernard Hirsch, ancien directeur
de l’École nationale des Ponts-et-Chaussées
et le petit-fils d’Étienne Hirsch, ancien
commissaire général au Plan.
◗ FORMATION
Spécialiste du social, diplômé de l’Ena,
promotion Jean-Monnet 1988 après
avoir été reçu en 1983 à l’école normale
supérieure, c’est aussi un scientifique,
titulaire d’un DEA de neurobiologie.
◗ PARCOURS
À sa sortie de l’Ena, il a intégré le
Conseil d’État, où il devient maître des
requêtes en 1993. Il a assuré la direction
de la Pharmacie Centrale des Hôpitaux
de Paris et celle de l’Agence française
de sécurité sanitaire des aliments.
◗ ENGAGEMENT
Il a été président deEmmaüs France de
mai 2002àmai 2007. Il a fondé en
2006 l’Agence nouvelle des solidarités
actives.
◗ POLITIQUE
Il est entré en politique en 1997 en devenant
directeur de cabinet de Bernard
Kouchner au secrétariat d’État à la Santé.
En mai 2007, il a été nommé
haut-commissaire aux Solidarités Actives
contre la Pauvreté dans le gouvernement
Fillon où il amis en place le
RSA qui a remplacé le RMI. Il devient
haut-commissaire à la Jeunesse en
2010. Il quitte le gouvernement en
mars 2010 pour l’Agence du service civique
dont il est président.
◗ LIVRES
Il a publié chez Stock en 2010 un livre
qui a provoqué une large polémique :
"Pour en finir sur les conflits d’intérêts"
et chez le même éditeur en 2011 : "Sécu:
objectif monde. Le défi universel de
la protection sociale".
"Les trop gros salaires
creusent la dettede l’État
"Les salaires des grands dirigeants ont flambé même quand les entreprises perdaient de l’argent
Il fâche la droite et
le Medef en dénonçant
les conflits d’intérêt avec
des exemples dans la majorité
et les patrons avides
d’argent. Il secoue la gauche
avec des propositions politiquement
incorrectes "qui ne sont
pas dans le programme du PS"
pour sauver le lien social en
France. Martin Hirsch, ex-haut
commissaire aux Solidarités actives,
inventeur du Revenu de
Solidarité Active (RSA), est un
empêcheur de penser en rond.
Avec un rapport incendiaire
sur les très hauts revenus, il entre
en force dans la campagne
pour la présidentielle. Mais à
la "Provence", il assure qu’il n’a
de comptes à demander qu’à
lui-même, souhaitant apporter
du concret face à une crise "durable
et dangereuse".
❚ Dans un rapport pour la fondation
Terra Nova, vous proposez de contrôler
les très hautes rémunérations. Les trop
gros salaires rendent-ils la crise plus grave
pour tous ?
Oui. Au-delà de la question morale,
ils créent des problèmes économiques
et sociaux. À la base, il faut remonter
aux racines de la crise aux États-Unis
où 1 % des plus riches ont tellement
capté d’argent que les plus modestes
se sont endettés inconsidérément par
la course au crédit immobilier et à la
consommation. La crise des "subprimes"
a fait boule de neige dans le monde
entier avec les effets que l’on sait. Et
en France, durant ces vingt dernières
années, selon le rapport du Conseil
d’Analyse économique, les 10% des
plus gros salaires ont capté les
trois-quarts de la richesse créée. Il ne
reste qu’un quart de cette richesse
pour les 90 % des salariés. L’État doit
donc compenser les faibles revenus
avec des prestations sociales. La dépens
e publique e t donc l a d e t t e
s’accroissent. La mauvaise répartition
initiale rend ainsi la crise plus grave. Il
faut agir, remettre à plat le système des
très hautes rémunérations avec des
évaluations régulières, une conférence
régulière associant patronat, économistes,
syndicats.
❚ Mais les grands patrons ne
créent-ils pas de la richesse en développant
leurs entreprises ?
Parfois, mais il n’y a pas de lien entre
le niveau des salaires des dirigeants et
les performances des entreprises.
Nous l’avons démontré, lors d’un précédent
travail avec l’économiste Jean
Gatty en 2009 sur une centaine
d’entreprises moyennes cotées en
bourse à Paris. Les salaires ont flambé
sans valeur créée dans les sociétés et
même lorsqu’elles en perdaient. On
voit même des entreprises être
contraintes d’éponger les mauvais résultats
d’un dirigeant après son départ
avec "parachute doré" et retraite chapeau.
L’exemple le plus fou, c’est
l’augmentation des revenus des dirigeants
de banque en 2010. Dans la tourmente
générale causée par la crise de
2008, la hausse moyenne a été de
44,5 % . C’est pourquoi nous proposons
qu’une partie de la rémunération
des grands patrons soit en actions bloquées
sur cinq ans pour avoir le temps
d’évaluer leur gestion et leur apport à
l’économie.
❚ Et vous enfoncez encore le clou en dénonçant
le manque de générosité des
grands entrepreneurs ?
On cherche en vain, en France, une
grande initiative philanthropique comme
aux États-Unis où un capitaine
d’industrie investit 80 %de sa fortune.
Selon le ministère des Finances, le taux
de générosité décroît avec les revenus.
Il est de 1 % pour les personnes les
plus modestes et de 0,6 % pour les
plus aisées. Il faut des mesures pour
que chaque foyer fiscal, au-dessus
d’un certain seuil, consacre 1 à 2 %de
ses revenusàune association.Àunmoment,
il faut être logique, on ne peut
pas dire l’État ne peut et ne doit pas
tout faire, rendre hommage au travail
formidable du monde associatif et s’en
laver les mains. Force est de constater
que la crise ne déclenche pas de réflexe
de solidarité, sauf chez ceux qui touchent
de près les difficultés.
❚ Pour revenir à la solidarité nationale,
le RSA remplit-il encore sa tâche ?
S ’ i l n ’ e x i s t a i t pas, i l y aurait
200 000 pauvres de plus, selon
l’évaluation faite. Mais il y a des faiblesses.
Pôle Emploi que l’on voulait impliquer
dans le suivi des bénéficiaires est
débordé par la hausse du chômage, les
départements qui doivent faire face à
des difficultés financières, réduisent
leur implication dans les actions
d’accompagnement vers l’emploi et
les allocataires sont pris en tenaille. Il
faut un sursaut pour préserver le système
en l’améliorant. Notamment par la
fusion du RSA avec la prime pour
l’emploi et l’allocation logement.
❚ On est frappé, notamment dans notre
région, par une économie souterraine
qui remplace le dispositif social…
Les expérimentations dans les Bouches-
du-Rhône et en Haute-Corse ont
montré que le RSA réduisait le recours
au travail au noir.
❚ Et que dites-vous des dealers qui versent
des "retraites" à des personnes
âgées démunies dont l’appartement
sert de planque ?
Je n’ai aucune indulgence pour cela et
il faut le dénoncer. Il existe aujourd’hui
un minimum vieillesse, régulièrement
revalorisé. Rien ne peut justifier qu’on
aide des dealers. D’autant que ce sont
les pauvres qui sont souvent victimes
de l’insécurité que créent ces trafics.
❚ Vous avancez dix propositions pour
combattre la dislocation sociale. Dans
l’une d’elles, vous proposez la suppression
de la prise en charge à 100 % des
affections longue durée. N’est-ce pas
une régression ?
Le modèle de notre sécurité sociale reste
valide et j’ai même contribué à un
rapport et écrit un livre pour une extension
au niveau mondial. Aujourd’hui,
le coût de cette prise en charge à 100%
augmente alors que de plus en plus de
Français ont des difficultés à accéder
aux soins pour des raisons financières.
Et certains consacrent un à deux mois
de salaire à se soigner en une année entre
ticket modérateur, forfait hospitalier
et autres franchises. Mêmedes personnes
qui sont à100%pour une affection
doivent sortir de leur poche pour
une autre. Nous proposons un bouclier
sanitaire plafonnant ce qui reste à
la charge du malade en fonction de ses
revenus. Cela remplacerait la CMU et
cela mettrait fin au 100%. Mais le plafonnement
de la contribution vaudrait
aussi pour les autres soins des patients
qui sont suivis pour une affection longue
durée.
❚ Mais dans vos propositions, vous
prenez pour acquis qu’on ne peut pas
consacrer plus d’argent au social. Pourquoi
?
Aujourd’hui, même avec des budgets
conséquents, on s’aperçoit que
d e s b e s o i n s c o m m e
l’accompagnement des personnes
âgées, le soutien scolaire ne sont pas satisfaits.
Puisqu’il faut réduire la dette,
plutôt que de rêveràdes dépenses nouvelles,
je préfère proposer de faire
mieux avec ce que l’on a et argumenter
pour qu’on ne fasse pas de coupes
aveugles dans l’urgence.
❚ Peut-on aussi essayer de nouvelles
recettes solidaires, hors circuit d’État
ou des collectivités ?
C’est ce que nous expérimentons à
Marseille avec l’"Action Tank Entreprise
et pauvreté" et le programme "optique
solidaire" qui permet aux personnes
qui sont juste au-dessus de laCMU
de se payer des lunettes aux verres progressifs.
Avec le remboursement sécu,
il leur restait 300 euros à payer. Pour
quelqu’un qui a 650 euros de ressources,
c’est impossible. Notre "cercle vertueux"
réunit des fabricants et des opticiens
qui réduisent leurs marges, des
complémentaires qui s’impliquent,
des ophtalmologues qui ne font pas de
dépassement d’honoraires et nous rendons
accessible une bonne correction
visuelle pour moins de 30 euros.
❚ L’emploi et le social vont être au
coeur de la campagne présidentielle.
Vous étiez au gouvernement, vous avez
fait un rapport pour Terra Nova, laboratoire
d’idées du PS. Quels comptes allez-
vous demander aux candidats ?
Des comptes, j’en ai surtout à demander
à moi-même. Il serait inexcusable
deme tourner les pouces dans cette crise.
Je formule des propositions concrètes
qui ne sont pas des recettes classiques,
ne se trouvent pas dans les programmes
de la droite ou de la gauche.
Je ne sais pas si on peut faire refluer le
chômage d’ici la présidentielle mais on
ne peut attendre le retour d’une croissance
élevée pour espérer de meilleurs
chiffres. Tout ce qui peut maintenir le
lien au travail doit être fait. Quel que
soit le résultat du scrutin, ce qui était
en 2007 une promesse des deux candidats
du second tour, associer les aides
de l’État, les allégements de charge à
des engagements sur les salaires et
l’emploi doit devenir réalité. Quitte à fâcher
le Medef.
Et que cela soit défini par contrat. Et
pas question de dégrèvements pour les
entreprises dont les dirigeants se
paient trop bien.
◗ NAISSANCE
Martin Hirsch est né le 6 décembre
1963 à Suresnes, près de Paris. Il est le
fils de Bernard Hirsch, ancien directeur
de l’École nationale des Ponts-et-Chaussées
et le petit-fils d’Étienne Hirsch, ancien
commissaire général au Plan.
◗ FORMATION
Spécialiste du social, diplômé de l’Ena,
promotion Jean-Monnet 1988 après
avoir été reçu en 1983 à l’école normale
supérieure, c’est aussi un scientifique,
titulaire d’un DEA de neurobiologie.
◗ PARCOURS
À sa sortie de l’Ena, il a intégré le
Conseil d’État, où il devient maître des
requêtes en 1993. Il a assuré la direction
de la Pharmacie Centrale des Hôpitaux
de Paris et celle de l’Agence française
de sécurité sanitaire des aliments.
◗ ENGAGEMENT
Il a été président deEmmaüs France de
mai 2002àmai 2007. Il a fondé en
2006 l’Agence nouvelle des solidarités
actives.
◗ POLITIQUE
Il est entré en politique en 1997 en devenant
directeur de cabinet de Bernard
Kouchner au secrétariat d’État à la Santé.
En mai 2007, il a été nommé
haut-commissaire aux Solidarités Actives
contre la Pauvreté dans le gouvernement
Fillon où il amis en place le
RSA qui a remplacé le RMI. Il devient
haut-commissaire à la Jeunesse en
2010. Il quitte le gouvernement en
mars 2010 pour l’Agence du service civique
dont il est président.
◗ LIVRES
Il a publié chez Stock en 2010 un livre
qui a provoqué une large polémique :
"Pour en finir sur les conflits d’intérêts"
et chez le même éditeur en 2011 : "Sécu:
objectif monde. Le défi universel de
la protection sociale".
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Perte du AAA: Chérèque dénonce une responsabilité collective aggravée par la politique de Sarkozy
La dégradation de la note de la dette française est un "échec de la gouvernance européenne", la conséquence d'"une responsabilité collective de 30 ans de dettes en France" et d'"une aggravation par la politique du gouvernement", a estimé dimanche François Chérèque, secrétaire général de la CFDT.
La décision de l'agence de notation américaine Standard and Poor's d'abaisser d'un cran (de AAA à AA+) la note française traduit "l'échec de la gouvernance européenne (...) parce qu'il n'y a pas eu suffisamment de solidarité entre les pays européens", , a considéré François Chérèque s'exprimant lors de l'émission commune à Europe1/i-télé/Le Parisien/Aujourd'hui en France.
Il a cité comme exemple ce ce manque de solidarité le refus de l'Allemagne de "mutualiser les dettes européennes".
A cela s'ajoute "une responsabilité collective: 30 ans de dettes", selon François Chérèque qui y voit également une "aggravation par ce gouvernement (Sarkozy/Fillon) depuis cinq ans". Sur ce dernier point, le leader de la CFDT estime que la loi TEPA, le bouclier fiscal, la défiscalisation des heures supplémentaires, puis le refus du gouvernement de réviser sa politique, ont largement contribué à accroître la dette française.
La dégradation de la note de la dette française est un "échec de la gouvernance européenne", la conséquence d'"une responsabilité collective de 30 ans de dettes en France" et d'"une aggravation par la politique du gouvernement", a estimé dimanche François Chérèque, secrétaire général de la CFDT.
La décision de l'agence de notation américaine Standard and Poor's d'abaisser d'un cran (de AAA à AA+) la note française traduit "l'échec de la gouvernance européenne (...) parce qu'il n'y a pas eu suffisamment de solidarité entre les pays européens", , a considéré François Chérèque s'exprimant lors de l'émission commune à Europe1/i-télé/Le Parisien/Aujourd'hui en France.
Il a cité comme exemple ce ce manque de solidarité le refus de l'Allemagne de "mutualiser les dettes européennes".
A cela s'ajoute "une responsabilité collective: 30 ans de dettes", selon François Chérèque qui y voit également une "aggravation par ce gouvernement (Sarkozy/Fillon) depuis cinq ans". Sur ce dernier point, le leader de la CFDT estime que la loi TEPA, le bouclier fiscal, la défiscalisation des heures supplémentaires, puis le refus du gouvernement de réviser sa politique, ont largement contribué à accroître la dette française.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
LES CHOUX DE BRUXELLES SONT DEGRADES .........
LES CHOUX DE BRUXELLES SONT DEGRADES .....
MESSAGES A L" ATTENTION DE SARKOMAN ..IL EST DEMANDE DE TOUTE URGENCE SUR LE FRONT DE L"EURO
Le Fonds de secours de la zone euro dégradé, divisions sur son renflouement
L'agence Standard & Poor's a retiré lundi son triple A au Fonds de soutien de la zone euro (FESF), dans le sillage de la dégradation de plusieurs pays, relançant un débat conflictuel sur la nécessité de renflouer ce mécanisme indispensable dans la gestion de la crise.
La note à long terme du Fonds a été abaissée d'un cran, à "AA+", tandis que celle à court terme est restée stable à son plus haut niveau
Cette décision était attendue après l'abaissement vendredi soir d'un cran de la note de la France et de l'Autriche, qui faisaient partie jusqu'alors des six Etats notés "AAA" au sein de l'Union monétaire: la note du FESF dépend en effet de celles des Etats de la zone euro qui le garantissent, et tout particulièrement de ceux jouissant de la meilleure évaluation pour leur dette.
Mais l'agence SP a prévenu qu'elle pourrait relever la note du Fonds si des garanties supplémentaires devaient lui être accordées.
"Si nous constatons que les obligations à long terme du FESF sont pleinement soutenues par les garanties des Etats membres bénéficiant d'un triple A, nous pourrions relever sa note à AAA", indique-t-elle.
Ce message adressé aux quatre pays de la zone euro bénéficiant d'un triple A constitue un appel sans équivoque à l'Allemagne, le premier contributeur du FESF, mais celle-ci refuse de remettre au pot pour ses voisins en difficulté.
"Le gouvernement allemand n'a aucune raison de penser que le volume des garanties du FESF ne suffirait pas à remplir ses obligations", avait affirmé le porte-parole d'Angela Merkel, avant l'annonce de l'agence de notation.
Il n'y a "pas besoin d'agir sur le FESF actuellement", a ensuite réagi le ministère allemand des Finances. Paris a adopté la même ligne.
"Le FESF conserve intacte sa capacité de prêt, avec des moyens suffisants et garantis pour remplir l’ensemble de ses engagements présents et à venir", a estimé le ministre des Finances François Baroin.
Ce sujet devrait être abordé lors de la prochaine réunion des ministres des Finances de la zone euro et de l'UE les 23 et 24 janvier.
La capacité de prêts actuelle du FESF est de 250 milliards d'euros environ sur une enveloppe initiale de 440 milliards, un montant insuffisant s'il fallait venir en aide à un pays comme l'Italie.
Consciente des enjeux, la Banque centrale européenne (BCE) s'est invitée dans le débat et a offert un soutien inattendu à Standard and Poor's.
"Il faut des contributions supplémentaires des pays encore notés AAA" pour que le FESF conserve "la même capacité" ou puisse prêter "au même taux", même après une dégradation, a estimé lundi soir Mario Draghi, le président de l'institut monétaire lors d'une audition devant le Parlement européen.
Une déclaration qui va à l'encontre des propos rassurants du FESF, qui a affirmé, sitôt la décision de S&P connue, que cela n'allait en rien "réduire sa capacité effective de prêts de 440 milliards d'euros".
"Le FESF a les moyens de remplir ses engagements actuels et éventuellement d'autres, d'ici la mise en oeuvre du Mécanisme européen de stabilité (MES) en juillet", ont assuré d'une même voix son patron, Klaus Regling, et le chef de file de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker.
Les Européens se sont mis d'accord en décembre pour avancer à juillet 2012 l'entrée en vigueur du MES --appelé à succéder au FESF-- et pour faire cohabiter les deux mécanismes pendant un an, et ainsi rassurer les marchés.
Là encore, des divisions importantes subsistent sur la capacité de prêts effective de ce mécanisme, les Allemands craignant une nouvelle fois de devoir aller au-delà de leurs engagements initiaux.
Berlin s'est toutefois dit prêt lundi à faire un geste de bonne volonté en versant en une seule fois sa contribution au futur mécanisme de secours au lieu de l'étaler dans le temps.
LES CHOUX DE BRUXELLES SONT DEGRADES .....
MESSAGES A L" ATTENTION DE SARKOMAN ..IL EST DEMANDE DE TOUTE URGENCE SUR LE FRONT DE L"EURO
Le Fonds de secours de la zone euro dégradé, divisions sur son renflouement
L'agence Standard & Poor's a retiré lundi son triple A au Fonds de soutien de la zone euro (FESF), dans le sillage de la dégradation de plusieurs pays, relançant un débat conflictuel sur la nécessité de renflouer ce mécanisme indispensable dans la gestion de la crise.
La note à long terme du Fonds a été abaissée d'un cran, à "AA+", tandis que celle à court terme est restée stable à son plus haut niveau
Cette décision était attendue après l'abaissement vendredi soir d'un cran de la note de la France et de l'Autriche, qui faisaient partie jusqu'alors des six Etats notés "AAA" au sein de l'Union monétaire: la note du FESF dépend en effet de celles des Etats de la zone euro qui le garantissent, et tout particulièrement de ceux jouissant de la meilleure évaluation pour leur dette.
Mais l'agence SP a prévenu qu'elle pourrait relever la note du Fonds si des garanties supplémentaires devaient lui être accordées.
"Si nous constatons que les obligations à long terme du FESF sont pleinement soutenues par les garanties des Etats membres bénéficiant d'un triple A, nous pourrions relever sa note à AAA", indique-t-elle.
Ce message adressé aux quatre pays de la zone euro bénéficiant d'un triple A constitue un appel sans équivoque à l'Allemagne, le premier contributeur du FESF, mais celle-ci refuse de remettre au pot pour ses voisins en difficulté.
"Le gouvernement allemand n'a aucune raison de penser que le volume des garanties du FESF ne suffirait pas à remplir ses obligations", avait affirmé le porte-parole d'Angela Merkel, avant l'annonce de l'agence de notation.
Il n'y a "pas besoin d'agir sur le FESF actuellement", a ensuite réagi le ministère allemand des Finances. Paris a adopté la même ligne.
"Le FESF conserve intacte sa capacité de prêt, avec des moyens suffisants et garantis pour remplir l’ensemble de ses engagements présents et à venir", a estimé le ministre des Finances François Baroin.
Ce sujet devrait être abordé lors de la prochaine réunion des ministres des Finances de la zone euro et de l'UE les 23 et 24 janvier.
La capacité de prêts actuelle du FESF est de 250 milliards d'euros environ sur une enveloppe initiale de 440 milliards, un montant insuffisant s'il fallait venir en aide à un pays comme l'Italie.
Consciente des enjeux, la Banque centrale européenne (BCE) s'est invitée dans le débat et a offert un soutien inattendu à Standard and Poor's.
"Il faut des contributions supplémentaires des pays encore notés AAA" pour que le FESF conserve "la même capacité" ou puisse prêter "au même taux", même après une dégradation, a estimé lundi soir Mario Draghi, le président de l'institut monétaire lors d'une audition devant le Parlement européen.
Une déclaration qui va à l'encontre des propos rassurants du FESF, qui a affirmé, sitôt la décision de S&P connue, que cela n'allait en rien "réduire sa capacité effective de prêts de 440 milliards d'euros".
"Le FESF a les moyens de remplir ses engagements actuels et éventuellement d'autres, d'ici la mise en oeuvre du Mécanisme européen de stabilité (MES) en juillet", ont assuré d'une même voix son patron, Klaus Regling, et le chef de file de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker.
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