CARTON ROUGE ..OLYMPIEN

OM-Ajaccio : "Comme si on jouait à l'extérieur" (Romao)

Marseille / Publié le Samedi 05/04/2014 à 17H01



Après la victoire de l'OM face à Ajaccio (3-1) hier au stade Vélodrome de Marseille, l'Olympien Alaixys Romao revient sur la rencontre : "On savait que le contexte ne serait pas évident. C'était comme si on jouait à l'extérieur. Vu comment ça s'est passé, je ne pense pas qu'il puisse y avoir une réconciliation possible."

La publicité de Burger King pas du goût de Gignac
Marseille / Publié le Jeudi 17/04/2014 à 18H53



Si la dernière publicité de Burger King ("Un Whopper pour Gignac") a fait sourire de nombreux Marseillais aujourd'hui, le joueur, lui, n'a pas franchement apprécié. Son nom ayant été utilisé sans son accord préalable, qui plus est pour être dénigré, il a entrepris, dès ce soir, des démarches auprès de Burger King pour obtenir réparation. Faute de quoi les tribunaux seront saisis.

S'il avait réagi avec une bonne dose d'humour en 2012, aussi bien en conférence de presse que sur Twitter où il avait posté un "Gignac Big Mac", photo à l'appui, la plaisanterie semble avoir assez duré pour lui.

proldos



Ceci dit le sujet n'est pas les performances du joueur (ni les jalousies suscitées par sa réussite) mais la dignité d'un homme face à des annonceurs prêts à tout pour faire du fric. Gignac a une famille, des enfants certainement ce n'est pas acceptable .

PapaDihouf



je pensais qu'il était dans le coup et je trouvais donc qu'il avait beaucoup d'humour. Mais le fait que Burger King n'ait pas pris la peine de lui demander son avis, c'est normal qu'il le prenne mal car on utilise pas un nom et une image de personnalité sur une pub sans contrepartie.

alagachon




Je ne suis pas fan de Gignac.........mais il a raison, il doit poursuivre en justice cette chaîne
......

OM-Anigo: "Je cristallise tout"
Publié le 20 avril 2014 à 10h00



Conspué par le Stade Vélodrome lors du dernier match de l’OM à domicile (3-1 face à Ajaccio le 4 avril dernier), José Anigo ne craint pas de retrouver l’enceinte phocéenne dimanche soir pour le choc de la 34e journée face à Lille. "Si j'ai peur de retrouver le Vélodrome ? Ça, sûrement pas. Ce n'est qu'un match de foot, a expliqué l’entraîneur marseillais dans les colonnes de La Provence. Les gens font ce qu'ils veulent, ça ne change rien pour moi. Ça m'est égal. Je n'ai pas d'aigreur. J'ai compris : je cristallise tout, sans savoir pourquoi. On peut être en colère et dépité. Mais pour moi, une équipe ça se supporte surtout quand ça va mal."

L'OM en panne d'arguments


Marseille est resté muet face au Losc.

Par Yannick Sagorin
Publié le 20 avril 2014 à 22h55
Mis à jour le 20 avril 2014 à 23h22

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Invaincu en L1 depuis le 2 février, le Losc n’a pas tremblé ce dimanche à Marseille, dans le cadre de la 34e journée de L1. Dans un Vélodrome un peu moins hostile, les deux équipes se sont séparées sur un score nul et vierge. Un résultat satisfaisant pour Lille, pas pour l’OM…   
L’OM a ouvert son compteur au bilan de ses confrontations avec les équipes promises au podium, ce dimanche au Vélodrome. "On a pris un point donc il y a du positif", raisonnait Nkoulou au terme de ce Marseille-Lille sanctionné par un 0-0 attendu au bout de l’ennui. Comme un aveu de faiblesse pour une formation phocéenne battue deux fois par le PSG, deux fois par Monaco et défaite par ce même Losc dans le Nord lors de la phase aller. Un groupe olympien impuissant, cantonné au sixième rang et sans doute bien à sa place à l’heure qu’il est.
Insipide à souhait, la première période de ce choc présumé de la 34e journée de L1 a encore vu l’OM toucher à ses limites, campé sur ses arrières et subissant la loi toute relative de son adversaire. Plus entreprenants, les Dogues se créent alors les rares opportunités: une tête de Souaré contraignant Mandanda à la parade dès les premières secondes de jeu ou un centre au cordeau de Delaplace manquant de profiter à un Martin seul face au but (35e). Les vestiaires ainsi ralliés sur un score nul et vierge, les Marseillais s’en sortent bien. Epargnés du reste par un M. Chapron qui aurait dû siffler un penalty en faveur des visiteurs pour une faute évidente de Nkoulou sur Souaré (18e).

Thauvin et Payet n’y font rien
Le premier quart d’heure de la deuxième période est du même acabit. L’allant offensif illusoirement retrouvé contre Ajaccio et à Montpellier continue de faire défaut aux Olympiens, si bien que José Anigo décide de lancer Thauvin - l’éphémère Lillois - dans la bataille à l’heure de jeu. Une riche idée puisque l’OM, dès lors, se montre plus présent et plus pressant. A peine entré, le transfuge le plus controversé de l’intersaison s’illustre en décochant la première frappe phocéenne cadrée du match (66e). Gignac, qui n’a jamais trouvé la faille contre Lille dans sa carrière, lui emboite le pas dans la foulée mais se heurte comme à l’aller à un intraitable Enyeama (70e).
Le dernier quart d’heure atteint, Marseille abat son deuxième joker tout droit venu du Nord. Payet supplée Valbuena sur le terrain et le Vélodrome, enfin, de donner de la voix. Le Losc ne se laisse pas impressionner et donne des sueurs froides au public phocéen quand Origi expédie son tir au ras de l’équerre gauche des buts de Mandanda (80e). Finalement, aucune véritable occasion ne viendra plus rythmer les débats. Les joueurs de René Girard restent invaincus et promis à la troisième marche du podium, avec sept longueurs de marge assurée vis-à-vis de leurs premiers poursuivants à quatre levées du verdict. Les Marseillais, eux, sont loin, et pourraient se retrouver distancés dans la course à la cinquième place – désormais synonyme de qualification continentale – en cas de succès lyonnais mercredi prochain à Toulouse.

OM-Lille : ce que vous en avez pensé
Marseille / Publié le Lundi 21/04/2014 à 15H07



A l'issue du pauvre match nul obtenu par l'OM face au Losc (0-0), hier soir au Vélodrome, nombreux sont les Provençaunautes à fustiger les perpétuelles difficultés des Olympiens face aux équipes du haut de tableau.

"Une seule victoire contre les neuf premiers... C'est terrible quand même !", assène un Valburna désabusé. "A part Saint-Étienne en tout début de saison, on a battu aucune bonne équipe de notre championnat... C'est dire le niveau pitoyable de notre équipe", poursuit MarlonB 94. Avant de pester : "Entendre Anigo se satisfaire de ce pauvre spectacle, c'est juste hallucinant !".

Si la très grande majorité des internautes ne retient que le négatif de cette rencontre, certains ont toutefois réussi à voir un peu de positif dans la performance proposée par les partenaires d'André Ayew. "On n'a pas fait un mauvais match et on a quand même vu un peu de ballon en première mi-temps", constate ainsi spqr13. Une analyse que ne partage pas SouthLoosers, qui conclut : "Le mal de l'OM est vraiment profond et je suis très pessimiste pour l'avenir...".

Fayce

Di Meco critique Mendy ,Mais je me souviens des tacles glisser de éric di Meco , qu'ils nous ont fait perdre pleins de match en championnat comme en coupe.

on dirais le consultant de canal + daniel Bravo qui critique les attaquant , àlors que lui même fesais pas mieux.

c'est comme Marcel Desailly,qui critique l'OM , alors que c'est grâce à notre club OM qu'il est devenus connus.

vous êtes ancien footballeur , mais ne vous la jouer pas trop , car votre palmarès footballistique et moindre , aucun ballon d'or ou autres , vous à était attribué n'est-ce pas ?

funkky




Dans cette équipe, ce qui saute aux yeux, c'est surtout la médiocrité des joueurs comme Gignac, Morel, Ayew, Romao, Cheyrou ..

Gignac perd quasiment tous les ballons qu'il touche. Incapable de conserver un seul ballon dos au but. Il ne sait pas faire jouer ses coéquipiers. On traine un boulet devant.

A.Ayew joue ailier gauche, il ne sait pas déborder, ne sait amener des centres bien tendus devant les barres adverses, ne sait pas éliminer, ne sait pas combiner, il respire aucune intelligence dans son jeu. Tout ce qu'il sait faire, c'est passer son temps par terre à tacler ou à aller au duel aérien.

Cheyrou et Romao sont inutiles au milieu de terrain. Ils servent tout juste à faire le nombre.
Incapables de ressortir un seul ballon proprement. Notre jeu est stéréotypé, soit on sort le ballon à droite, à gauche ou on allonge devant. Ces 2 là se cachent systématiquement lorsque Mendes ou Nkoulou veulent relancer.

Morel ne sait pas jouer en première intention. Même quand il a 3 temps d'avance, il réussit l'exploit de perdre le ballon. Si on ne lui met pas un ballon dans la course, jamais de la vie il prendra son couloir pour venir dédoubler dans le dos de son ailier.
Aucun charisme, toujours la tête baissée, même quand les décisions arbitrales sont contre lui, il ne bronche pas.
Zéro sur toute la ligne.

C'est eux les cadres ou les plus expérimentés, ils sont très loin d'être irréprochables.
Ce sont ceux là qu'il faut critiquer violemment. Il ne faut pas se tromper de cibles. C'est pas Mendy qui nous empêche de mieux jouer ou de prendre plus de points.

« La motivation viendrait toute seule si nous étions encore en course pour le podium. Tout comme la question du nouvel entraîneur serait moins brûlante. »
25/04/2014 05:21
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José Anigo, le directeur sportif et entraîneur intérimaire de l'Olympique de Marseille, semble douter de l'envie de ses troupes pour atteindre l'objectif encore réalisable d'une qualification pour la Ligue Europa. Marseille, dont l'actualité est toujours parasitée par l'éventuelle venue sur son banc la saison prochaine de Marcelo Bielsa, tentera tout de même d'entretenir son espoir d'Europe, ce soir (20 h 30) à Nantes en Ligue 1.
Le Maracana, du temple populaire à l'enceinte élitiste
24/04/2014 14:47
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Le stade Maracana de Rio de Janeiro, le 3 décembre 2013 - AFP/Archives
C'est la Mecque du football: le stade Maracana de Rio de Janeiro, théâtre du drame national de 1950, accueillera le 13 juillet sa deuxième finale de Coupe du monde, dans un cadre modernisé certes, mais aussi aseptisé et élitiste.

Entièrement rénové, ce stade mythique dont rêve tout footballeur ou supporteur, n'a plus de commun que le nom avec le chaudron bouillant rempli de 200.000 spectateurs qui fut saisi d'un silence sépulcral l'après-midi du 16 juillet 1950.
L'impossible venait de se produire. Le Brésil euphorique avait eu tort de s'auto-couronner champion du monde pour la première fois avant la rencontre. D'une frappe au ras du poteau après un débordement sur son aile droite, à la 79e minute, Alcides Ghiggia changeait le cours de l'histoire en marquant le but de la victoire pour l'Uruguay (2-1).
Soixante-quatre ans plus tard, la Seleçao emmenée par Luiz Felipe Scolari et sa star Neymar essaiera d'évacuer le spectre de ce drame, le "Maracanazo", que cinq titres mondiaux n'ont pu totalement effacer.
Selon le programme du Mondial, le Brésil ne jouera d'ailleurs au Maracana que s'il dispute la finale.
"Maracana" ? C'est le nom du quartier de Rio de Janeiro où l'enceinte a été construite. Le mot vient du dialecte indigène tupi, "maraka'nã", qui signifie perroquet.
Le stade s'appelle officiellement Mario Filho, du nom d'un célèbre journaliste qui avait milité pour sa construction.
- Pelé, Sinatra and co -
Son édification, comme pour les stades du Mondial-2014, s'était accompagnée de polémiques.
Son prix exorbitant, les retards dans les travaux. En 1947, la Fifa avait accordé au Brésil le premier Mondial d'après-guerre. La construction a démarré en 1948, et l'inauguration du Maracana ne s'est faite que 10 jours avant le match d'ouverture du tournoi! Et encore, il était inachevé.
Il a été financé en partie par la vente de sièges captifs, sortes de concessions à perpétuité acquises par des cariocas qui se les lèguent de génération en génération. Une particularité controversée puisque la Fifa ne les reconnaît pas.
"La dilapidation de ciment, de temps et d'argent était justifiée. Le Maracana devait être imposant, mais aussi suffisamment solide pour supporter plus de 200.000 personnes en train de sauter", a résumé le journaliste Teixeira Heizer dans son livre "Maracanazo".
Depuis, il a accueilli des légendes du ballon rond et d'autres événements. Le "Roi" Pelé, triple champion du monde (1958, 1962, 1970), y a marqué son millième but, sur penalty.
D'autres légendes du foot brésilien comme Garrincha et Zico y ont étincelé en club.
Il fut aussi le théâtre de méga concerts de Frank Sinatra, Paul McCartney ou Kiss.
- 'Eglise réformée' -
Mais au tournant du siècle, son visage allait changer. Son âme aussi, regrettent certains. Une première rénovation en 1999 a réduit sa capacité à environ 100.000 spectateurs. Le Maracana perdait ainsi son titre de plus grand stade du monde.
Quelques années plus tard disparaissait la fameuse travée "générale", un secteur sans places assises dont l'accès était gratuit à partir de la mi-temps.
En prévision du Mondial-2014, le Maracana a été profondément transformé pendant deux ans et demi, pour un coût de 600 millions de dollars.
"Je ne suis pas un nostalgique qui pense que rien ne devait changer. Cela reste une église, mais désormais, une église réformée", confie à l'AFP Marcos Guterman, auteur du livre "Le football explique le Brésil".
Aujourd'hui, c'est un stade hypermoderne, respectueux de l'environnement et sûr, qui peut accueillir environ 78.000 spectateurs, tous assis sur des sièges numérotés.
Mais il a son lot de détracteurs, qui le jugent aseptisé. Et réservé aux riches: peu de Brésiliens peuvent se payer une entrée dans le stade, y compris parfois la moins chère, qui s'est élevée à 100 reais (45 USD) pour un classico Flamengo-Fluminense il y a quelques semaines.
Pour en finir avec les gradins vides, le club carioca de Fluminense vient de baisser le prix du billet le plus modique à 10 reais (4,5 USD), ce qui a contribué à attirer quelques dizaines de milliers de spectateurs supplémentaires. Mais pour les autres clubs ?
C'est en tout cas dans ce néo-Maracana archi-comble que le Brésil a écrasé l'invincible armada espagnole (3-0) l'année dernière en finale de la Coupe des Confédérations, dans une ambiance surchauffée à donner la chair de poule.

L'OM ne sait plus gagner


Publié le Vendredi 25/04/2014 à 22H33 - mis à jour le Vendredi 25/04/2014 à 23H45

Au terme d'une rencontre assez rythmée malgré un déchet technique omniprésent, les Canaris et les Olympiens se sont séparés dos à dos à la Beaujoire (1-1)


L'OM est retombé dans ses éternels travers et c'est logiquement que Serge Gakpé a égalisé en seconde période...
Photo Nicolas Vallauri





Frustrant. Rageant. Mais guère étonnant. En déplacement à la Beaujoire dans le cadre de la 35e journée de Ligue 1, l'OM n'a pu faire mieux qu'un pauvre match nul face à une équipe de Nantes combative et pleine d'envie (1-1). Une contre-performance de plus dans une saison décidément bien morose.
Pourtant, la formation de José Anigo a montré quelques bonnes phases de jeu en première mi-temps. Sans être flamboyants, les Olympiens ont réussi à se créer plusieurs opportunités intéressantes, exploitant les nombreuses lacunes défensives des hommes de Michel Der Zakarian. Mais André-Pierre Gignac (13e) et Dimitri Payet (19e) n'ont pas su en profiter pour mettre leurs partenaires sur les bons rails.
Le bijou de Thauvin
Face à l'incapacité des coéquipiers d'André Ayew à ouvrir le score, Nantes a alors crânement joué sa chance. Et l'OM a bien failli le payer cher, la faute à deux bévues grossières signées Nicolas Nkoulou. Mais heureusement pour les Olympiens, la frappe de Bănel Nicoliță n'a pas trouvé le cadre de Steve Mandanda (21e).
Malgré cette frayeur, la formation de José Anigo n'a pas lâché. Et c'est plutôt logiquement qu'elle a ouvert le score grâce à un bijou signé Florian Thauvin (30e, 0-1). Parfaitement lancé par une belle talonnade de Gignac, l'ancien Bastiais ne s'est pas fait prier pour envoyer un missile sur lequel Rémy Riou ne pouvait rien faire.
Mandanda à côté de la plaque
Mais comme trop souvent cette saison, l'OM est retombé dans ses travers dès le début de la seconde période. Asphyxié par le pressing nantais, le milieu de terrain olympien a fini par perdre pied, à l'image d'un Benoît Cheyrou incapable de transmettre un bon ballon.
Pire, les Olympiens se sont distingués par d'énormes fautes de concentration et de marquage. Des erreurs inacceptables qu'ils ont fini par payer. Esseulé dans le camp olympien, Serge Gakpé a profité d'une arrière garde marseillaise trop passive pour s'en aller battre un Mandanda à côté de la plaque d'un tir puissant (64e, 1-1).
Face à leurs limites techniques, les Olympiens n'ont pourtant pas lâché et ont poussé pour faire la différence en fin de match. Mais c'était trop peu pour espérer faire plus qu'un pauvre match nul. Un résultat qui ne fait que ressortir le terrible constat d'une saison ratée : l'OM ne sait plus gagner.

ça sent le roussi pour l'OM

Publié le 26/04/2014 à 03:55

Hier soir

Nantes 1 - Marseille 1
MT :0-1. Stade de la Beaujoire. 35.959 spectateurs. Arbitre : Benoît BASTIEN.
Pour Nantes : Gakpé (65).
Pour Marseille : Thauvin (30).
NANTES : Riou - Cissokho, Djidji, Vizcarrondo, Veigneau (cap.) - Deaux (R. Gomis, 87) - Nicolita (B. Touré, 85), Veretout, Bedoya, Bessat (Pancrate, 75) - Gakpé.
Entraîneur : Michel DER ZAKARIAN.
Avertissement : Gakpé (90+1, contestation).
MARSEILLE : Mandanda (cap.) - Dja Djedje, Nkoulou, Mendes, Morel - Romao, Cheyrou - Payet (Imbula, 71), Thauvin (Khalifa, 88), A. Ayew - Gignac.
Entraîneur : José ANIGO.
Avertissement : Gignac (90+3).
Un match nul de plus et c'est l'Europe qui s'éloigne pour l'Olympique de Marseille. Tenus en échec hier, à Nantes, les Phocéens restent à la 6e place du classement et ne reviennent pas, une fois de plus, à hauteur de Lyon (5e). Tout avait pourtant bien commencé pour eux avec une ouverture du score logique vu leur domination, statistique de possession de balle à l'appui (60 %). Le buteur ? Florian Thauvin qui profite d'une talonnade de Gignac, aux 20m, pour marquer (30). Tout se gâte ensuite en 2nde période où la fatigue se fait sentir. Gakpé, parti des 35m, parvient à égaliser d'un tir croisé (65). Nantes passe 10e, devant Bastia, à la différence de buts.

Encore une occasion manquée pour l’OM
Par Teddy Vadeevaloo, 25-04-2014

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Alejandro Bedoya s'interpose devant Jérémy Morel - Panoramic
En match avancé de la 35e journée de Ligue 1, Nantes et Marseille n’ont pu se départager à la Beaujoire (1-1). Un deuxième nul consécutif qui freine encore l’OM dans ses ambitions européennes.
Nantes-Marseille 1-1
Nantes : Gakpé (64e)
Marseille : Thauvin (30e)
Marseille lâche encore du lest. Le club phocéen perd des points importants, après ce deuxième nul consécutif en championnat enregistré du côté de Nantes (1-1). Il se trouve à deux unités derrière Lyon, qui pourrait prendre encore un peu d’avance avec un match encore à jouer face à Bastia ce dimanche. Le tout avant un OM-OL qui aura forcément moins de saveur si les Rhodaniens venaient à creuser l’écart. Car si les Phocéens ne font pas de cette 5e place européenne un réel objectif, elle aurait pu au moins donner un plus de consistance à une fin de saison bien agitée sur et en dehors du terrain. Ce score de parité freine en tout cas leurs ambitions alors qu’ils avaient bien débuté cette partie. Face à des Canaris en roue libre, ils ont réalisé une entame similaire à celle de la Mosson il y a deux semaines.
Mandanda pas irréprochable
Si Gignac ne trouvait pas l’ouverture sur plusieurs frappes (13e, 25e, 44e), il parvenait toutefois à être décisif. Sa talonnade astucieuse pour dévier une passe en profondeur de N’Koulou lançait ainsi Thauvin. L’ancien Bastiais finissait le travail en décochant une frappe pure des 20 mètres (0-1, 30e). Débordant d’envie mais trop imprécis dans les transmissions, les Nantais se précipitaient trop sur les nombreux contres qui leur étaient proposés, en ne profitant pas des erreurs d’alignement de la défense adverse. Plus présents après la pause, ils parvenaient cependant à égaliser sur une frappe limpide des 20 mètres signée Gakpé, sur laquelle Mandanda n’était pas irréprochable (1-1, 64e). L’OM devait réagir, mais Ayew trouvait Riou sur la route de sa tentative à bout portant (73e). Finissant bien émoussées, les deux équipes ne parvenaient pas à se départager. Et l’OM a encore gâché.
Les joueurs du match
Tout n’a pas été parfait dans son match mais il a eu au moins le mérite de provoquer, de réussir quelques percées. Florian Thauvin a retrouvé une place de titulaire et a réussi à marquer un beau but. Avant de s’éteindre, à court physiquement. Côté nantais, on signalera la bonne prestation du jeune Koffi Djidji. Titulaire en Ligue 1 depuis seulement deux mois, il prend de l’importance au sein de la charnière nantaise. 
On n’a pas aimé
Le capitaine de l’OM a failli. Propre dans ses prises de balle aériennes, Steve Mandanda a toutefois mal jugé la trajectoire de la frappe de Serge Gakpé qui a fini au fond de ses filets. Une erreur qui coûte cher alors que Nantes ne semblait pas vraiment dangereux. Un symbole de la baisse de régime de certains cadres cette saison. A force de tirer sur la corde…

C’est un peu l’histoire d’une
saison, qui va se terminer
avant la fin, tandis que
la suivante commence déjà

Roy:"Les Olympiens
doiventavoirenvie
queçasetermine"
L'ancien milieu de terrain de
l'OM (1996-1999) suit de près
les prestations de l'OMpour le
compte de beINSports. Présent
à Nantes (1-1), vendredi dernier,
Éric Roy estime qu'il est
temps que la saison se termine
pourMandanda et sa bande.

L'arbitrage de Lionel Jaffredo, le flop d'OM-OL
Marseille / Publié le Lundi 05/05/2014 à 08H05



L'homme en noir (enfin en jaune...) n'a pas brillé par ses prises de position hier soir au Vélodrome. Il a souvent mis du temps à intervenir et aurait dû siffler un penalty pour l'OM en première période lorsque Dimitri Payet a été sévèrement bousculé par Henri Bedimo en pleine surface de réparation lyonnaise.

alagachon

C'est déjà beau que les arbitres ne se soit pas trompés sur le but de Gignac qui se joue a quelques centimètres.........Il faut pas trop leurs en demander !

Mais perso, je ne les aient pas trouvés très mauvais !
Ajouter à mes favoris Répondre Recommander Alerter 05/05/2014 10:18
Ced The Boss

Le seul raté de l'arbitre, c'est d'avoir oublié d'expulser Romao pour l'ensemble de son oeuvre...

AVILOV




OH OUI l'OM peut avoir des regrets. Surtout quand on sait comment les U15DH de l'OM ont été accueillis à nice. Volés comme dans un bois. Il ne faut pas s'attendre à ce que l'ogcn joue pour gagner ou faire match nul. Ils sont anti-marseillais ces gens là. D'ailleurs à nice j'y mets plus les pieds. Plus jamais de ma vie je m'arrêterai dans cette commmune.

Quand Aulas tacle l'OM et Bielsa...

Marseille / Publié le Mardi 13/05/2014 à 18H29

Alors que l’'OM et l'’OL sont dans la dernière ligne droite de leur duel pour la Ligue Europa, le président lyonnais s'’est permis d'’envoyer une petite pique au club marseillais, ce matin, au cours de la conférence de presse tenue à Tola-Vologe pour annoncer le départ de Rémi Garde.

En évoquant le successeur du technicien rhodanien, Jean-Michel Aulas a en effet lancé : "On ne va pas prendre un entraîneur qui ne parle pas français, ou avec un staff pléthorique, mais un entraîneur qui a la mentalité de ce qui a été fait à l’'OL."

Une référence à peine déguisée à l'’arrivée de Marcelo Bielsa et de ses adjoints à l'’OM...

D i d i e r D e s -
champs a dévoilé
mardi soir la liste
des 23 joueurs et
7réservistes qu'il
emmènera disputer
le mondial, et
ce n'est pas du
goût de certains.
L'entourage de Samir
Nasri et André-
Pierre Gignac,
non retenus
pour le Brésil,a vivement
insulté le sélectionneur de l'équipe de
France sur le réseau social Twitter. Également
à la Une de ce JT, la SNCMet ses salariés, mécontents,
qui demandent à être reçus par Manuel
Valls, tandis que Siem, une compagnie
norvégienne, a retiré son offre de reprise.
➔ Retrouvez le replay en page accueil, rubrique "Vidéos"
et retrouvez une nouvelle édition aujourd’hui à 18h18.

L’OMprivéd’Europe

OM : "D'autres méritent autant que Diawara" (Bosquier)

Marseille / Publié le Lundi 19/05/2014 à 18H33



Interrogé sur la décision de l'OM de ne plus attribuer le numéro 21 en l'honneur du passage à l'OM de Souleymane Diawara, Bernard Bosquier s'est montré incrédule.

"Je ne comprends pas cette décision, nous a expliqué l'ancien Olympien (1971-1974). C'est un coup de pub ou de communication. D'autres méritent autant que lui, si ce n'est plus. C'est vraiment surprenant et ça ne veut rien dire. En exégérant à peine, c'est comme si on décidait de faire une tribune Saber Khalifa."

sil007

c'est clair que par exemple waddle, papin, boli, mozer auraient mérités un tel hommage... ou peut être que labrune a perdu un pari et dans ce cas il a été trop fort... allé! remplaçons "jump" par l'hymne tunisien en l'honneur de khalifa...
Ajouter à mes favoris Répondre Recommander Alerter 19/05/2014 23:27
Vidal13

Et ceux qui le méritent plus, sont encore plus nombreux!
Ajouter à mes favoris Répondre Recommander Alerter 19/05/2014 23:15
oseille91

Dite moi que c'est une blague, aller, svp,... C'est tout simplement l'ultime preuve de la folie des dirigeants
Ajouter à mes favoris Répondre Recommander Alerter 19/05/2014 21:40
Pepito

Le coup de COM de Vince a fait flop!

De plus ce n'est pas une décision que peut prendre seul un président de passage qui n'est même pas propriétaire du club, ça se consulte avec les supporters au moins.

La seule explication plausible c'est qu'ils avaient un grand stock d'invendus du maillot de Diawara !!!!!!!!!