MAISON DE RETRAITE DES EX BLEUS

23 février 2011
Anelka, le remède au(x) Blues
En inscrivant un doublé à Copenhague (2-0), Nicolas Anelka a permis à Chelsea de se refaire une santé et d'aborder le match retour sereinement.


Ramires et Bosingwa félicitent Nicolas Anelka, buteur contre Copenhague mardi.
Chelsea, qui n'a plus que la Ligue des champions à jouer cette saison, a assuré l'essentiel en s'imposant à Copenhague (2-0), en 8es de finale aller.

Le diagnostic vital de Chelsea est loin d'être engagé en Ligue des champions. Distancés en Premier League, éliminés de toutes les coupes nationales, les Blues ont retrouvé une partie de leur moral mardi contre Copenhague (2-0), en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions. En guise de remède, Carlo Ancelotti avait décidé d'opérer un changement tactique audacieux. Adieu le 4-3-3, bonjour le 4-4-2. Un système qui aurait permis à l'entraîneur italien d'aligner Didier Drogba et Fernando Torres, mais il a préféré adjoindre Anelka à l'homme qui valait 58 millions. Une intuition géniale, puisqu'en 73 minutes de présence, le Français a inscrit un doublé salvateur au Danemark, qui permet au club anglais d'entrevoir le retour avec sérénité.

De sérénité, Nicolas Anelka n'en a pas manqué lors de ses deux duels avec Wiland, qu'il a trompé à chaque fois d'un intérieur du droit (17e et 53e). L'attaquant français a fait montre d'une efficacité chirurgicale, puisqu'il n'a eu besoin que de ces deux opportunités pour marquer son deuxième doublé de la saison en Ligue des champions, et inscrire ses sixième et septième buts dans la compétition. Et Torres dans tout ça ? Pour sa troisième sortie en blues, l'Espagnol a montré des signes encourageants. Ce n'est pas encore le redoutable attaquant qu'il était en 2008, mais il s'est montré plus disponible, plus tranchant. Ses déplacements ont été bien meilleurs, ce qui lui a permis de se procurer quatre occasions franches. Las, contrairement au Français, l'Espagnol n'a pas retrouvé toutes ses sensations et a buté à trois reprises sur le gardien danois (8e, 22e, 59e), avant de voir sa dernière tentative repoussée sur la ligne par Wendt (74e).

Si Chelsea s'est refait une santé, il le doit en partie à son hôte, qui s'est montré fort bienveillant. Hormis Gronjkaer, forcément motivé contre son ancien club, les Danois n'ont rien montré. L'ailier danois a bien essayé de créer des brèches dans la défense, mais il a cherché systématiquement l'exploit individuel et s'est fait rattraper à chaque fois par les Londoniens. Les Danois ont logiquement baissé de pied en fin de match, eux qui n'avaient plus joué en match officiel depuis le 7 décembre. Ils devraient avoir le temps de préparer leur saison danoise, puisqu'en s'inclinant 0-2 à domicile, ils n'ont que 3,29 % de chance de se qualifier en quarts de finale

24/02/2011 03:47 | LaDepeche.fr
Anelka défend son futur
Considéré comme la victime désignée de l'arrivée de Fernando Torres à Chelsea, Nicolas Anelka a montré en inscrivant un doublé mercredi à Copenhague (2-0) qu'il ne se laisserait pas pousser vers la sortie sans réagir. Le Français, qui avait refusé de servir de monnaie d'échange pour l'achat de l'Espagnol à Liverpool, a marqué des points dès l'annonce de la composition de l'équipe. Optant pour un 4-4-2, l'entraîneur Carlo Ancelotti a décidé de sacrifier Didier Drogba, démontrant ainsi pour la énième fois sa grande estime pour le banni des Bleus.

A Copenhague, Ancelotti n'a pas eu à le regretter, puisque Anelka a signé ses sixième et septième buts en six matches cette saison dans cette compétition, dont il est le meilleur buteur à égalité avec Samuel Eto'o, et son seizième au total, ce qui en fait rien moins que le joueur le plus prolifique de Chelsea. Pour l'instant, Ancelotti affecte de ne considérer la concurrence entre Anelka et Drogba, et accessoirement avec l'autre Ivoirien Salomon Kalou, que sous son angle positif. «Nous avons des attaquants fantastiques.

Nous voulons les maintenir en forme. La rotation leur fera du bien. Ils acceptent mes décisions sans problème. C'est important», a-t-il dit. Mais Roman Abramovich, à qui on prête l'intention de frapper très fort à l'intersaison, ne verra peut-être pas la nécessité de conserver deux coûteux vétérans de 32 ans -Anelka les aura en mars-... Alors, Drogba ou Anelka? Le Français, dont le contrat se termine en 2012, n'a en tout cas pas caché son envie de prolonger avec le club londonien, où il a enfin trouvé la stabilité depuis 2008 après une carrière particulièrement erratique (8 clubs depuis ses débuts pro au PSG).

Gallas:«Je montre qui je suis»




White Hart Lane, mercredi. William Gallas dégage un ballon chaud sur sa ligne et préserve le 0-0 qui qualifie Tottenham contre l'AC Milan. (AFP)
Décisif avec Tottenham en C1 contre l'AC Milan, mercredi, William Gallas se réjouit de son retour en forme. Et évoque les Bleus avec distance.

Encore très bon avec Tottenham mercredi en Ligue des champions et qualifié avec les Spurs pour les quarts de finale aux dépens de l'AC Milan (0-1, 0-0), William Gallas évoque pour L'Equipe sa forme actuelle et sa trajectoire depuis la Coupe du monde. Parlant de lui à la troisième personne («William Gallas est toujours là», «William Gallas voulait rester à Londres») , l'international de 33 ans (84 sélections, 5 buts) regrette d'avoir été «jugé» après une Coupe du monde «pas bonne» alors qu'il avait été blessé la saison dernière. «Aujourd'hui, je montre qui je suis», assure l'ancien joueur d'Arsenal.

Gallas réfute vivement l'idée selon laquelle il aurait été en difficulté l'été dernier pour trouver un nouveau club, après son refus de de prolonger avec les Gunners. «Il faut arrêter de dire des bêtises.» Il confirme avoir refusé des offres de la Juve et du Paris-SG dans le courant de l'été avant de s'engager tardivement (le 22 août) avec le club du nord de Londres. Quant aux raisons qui l'ont poussé à quitter Arsenal, il se montre mystérieux et donne rendez-vous à la fin de la saison pour des explications.

Gallas dit encore ignorer si son avenir s'écrira à Tottenham, où il sera en fin de contrat en juin prochain. Et répond dans un sourire à une question sur son envie de rejouer en équipe de France où il n'est pas réapparu sous l'ère Blanc - et a peu de chances d'y revenir un jour. «Moi, j'ai simplement envie d'être heureux sur un terrain et montrer qui je suis. C'est tout ce que je veux.»

Gallas blessé aux ischios
De retour au premier plan, William Gallas s'est blessé à l'entraînement avec Tottenham. L'indisponibilité du défenseur français n'est pas connue.

White Hart Lane, 9 mars : William Gallas dégage un ballon chaud sur sa ligne et préserve le 0-0 qui qualifie Tottenham contre l\'AC Milan.

William Gallas s'est blessé aux ischio-jambiers lors d'un entraînement cette semaine avec Tottenham. Harry Redknapp, l'entraîneur des Spurs, a communiqué l'information au quotidien The Sun. «William était en grande forme. S'il est indisponible longtemps, ce sera un coup dur pour nous, a-t-il déploré. Il est arrêté et nous devons attendre de voir s'il y a une déchirure.»

Le défenseur français, décisif mercredi dernier avec Tottenham en C1 contre l'AC Milan (0-0), semblait revenir en grande forme et retrouver son véritable niveau. L'ancien pensionnaire d'Arsenal arrive en fin de contrat en juin prochain avec son club, actuel 5e de Premier League et toujours en course pour une qualification directe pour la prochaine Ligue des champions

Florent Malouda n'a guère brillé face au Luxembourg. Crédits photo : Panoramic
Au lendemain de la victoire poussive de l'équipe de France au Luxembourg (0-2), Florent Malouda a exprimé sa frustration devant les médias. Le milieu de Chelsea est conscient de ne pas être au niveau actuellement.

A Enghien

Florent, que retenez-vous de ce match au Luxembourg ?
Florent Malouda : On est déçu et frustré au niveau prestation individuelle mais content du résultat et du classement après le match. Je suis déçu et frustré par rapport à ma propre performance mais aussi par, un peu comme le match aller à Metz, par le scénario du match. On n'a pas trouvé de vitesse dans les enchaînements. C'est assez frustrant. On a eu le réflexe de redescendre assez bas pour toucher le ballon. On a essayé de corriger ça à la mi-temps au niveau de l'animation et de la disposition. C'est vrai que c'était assez figé en première période.

Laurent Blanc a indiqué que vous n'aviez pas assez permuté avec Franck Ribéry. Est-ce dû à une retenue de la part de Ribéry par rapport aux vieux débats sur son placement ?
Florent Malouda : Je ne sais pas. Il faudrait lui demander. On n'a pas osé. C'était peut-être un excès de discipline. On n'a pas osé sortir des positions définies au départ. Ce qui fait qu'on avait l'impression d'être assez prévisible dans les passes ou au niveau des tentatives individuelles.

En fin de match, Ribéry est repassé à gauche et il a été plutôt bon. Ce vieux débat peut-il vous déstabiliser ?
Florent Malouda : Non, parce que ce n'est pas nouveau. En 2006, c'était un peu le cas. C'est surtout un problème pour l'entraîneur. On ne peut pas parler de déstabilisation. Au match aller à Metz, on a eu les mêmes problèmes. Là, comme Franck revient, on pointe du doigt ce problème-là. Personnellement, ça ne me gêne pas. Le fait que ce débat revienne ne m'affecte pas vraiment. Ca dure depuis tellement longtemps. Quelque part, il n'y a pas vraiment de conclusion à tout ça. Ce qui m'intéresse, c'est de trouver une certaine cohésion dans les enchaînements offensifs et trouver de la vitesse. Par rapport aux profils des joueurs que l'on a, c'est ce dont on a besoin. Ce qui est bien, c'est que malgré un match comme celui-là, on arrive à faire un résultat. En s'améliorant un petit peu au niveau de la maitrise collective, les résultats seront encore meilleurs.

Ce problème de positionnement, est-ce un sujet que vous abordez avec le sélectionneur ?
Florent Malouda : Non, je n'ai pas de problème de positionnement. Quand on vient en sélection, on est obligé de s'adapter. J'ai toujours dit que je suis plus une solution qu'un problème et je m'adapte. Être passé à droite vendredi, ça ne me pose pas de problèmes. Ce qui m'intéresse, c'est plus de trouver des sensations et des affinités. Parce que je suis gêné quand je reste dans un rail et que je n'ai pas assez de libertés. A nous d'améliorer la communication et de ne pas se brider.

On a toujours l'impression d'un écart entre ce que vous montrez avec Chelsea et ce que vous faites avec l'équipe de France…
Florent Malouda : Par rapport à ce que je fais en club, il y a forcément une plus grande exigence. C'est normal. Je le comprends. J'essaye de m'améliorer mais je n'en fais pas une fixation. Je ne ressens pas comme un problème ou un malaise. A l'inverse, quand je viens en équipe de France, je ne cherche pas à trop en faire, à réagir à ces exigences. Ca viendra naturellement. En club, j'ai connu des périodes comme celle-là. Même avec Chelsea. Je sais comment faire pour m'améliorer.

Avez-vous le sentiment que vous pourriez apporter plus, que ce soit en dehors ou sur le terrain ?
Florent Malouda : Je pense que j'assume pleinement mon rôle en dehors du terrain. Je pense que le sélectionneur est satisfait à ce niveau-là. Sur le terrain, j'essaye déjà de bien faire ce qu'on me demande. Je n'impose pas des choses aux gens. C'est avec le temps que les affinités et la complicité se créent. Je ne viens pas en imposant un statut ou mon passé. Ce que j'ai besoin, c'est d'enchainer des matches références. Pour l'instant, je suis en manque de match référence en équipe de France. Au niveau du rendement individuel, j'aspire à l'améliorer. Je ne suis pas toujours là à essayer de prouver ou de répondre à des critiques. Je suis le premier critique de mon niveau. Et un match comme vendredi soir, je ne peux qu'en ressortir frustré et déçu.

Comment vivez-vous ce yoyo permanent puisque vous êtes aujourd'hui critiqué alors que vous étiez considéré comme le Bleu le plus en forme avant la Coupe du Monde ?
Florent Malouda : Personnellement, je le vis bien. Il y a des débats qui ont toujours existé en équipe de France et qui quelque part n'ont jamais de fin. Les joueurs sont de passage. Tous les joueurs sont confrontés aux mêmes genres de débats. Il n'y a qu'une seule vérité, c'est le nombre de matches que vous gagniez quand vous êtes au sein de cette équipe et le nombre de trophées. Vous parliez du niveau de forme avant la Coupe du Monde, ça ne m'a pas empêché de faire un Mondial catastrophique.

Vous avez été le 2e capitaine de Laurent Blanc. Avez-vous le sentiment de ne pas avoir saisi votre chance ?
Florent Malouda : Honnêtement, ce n'est pas une préoccupation prioritaire. Au niveau des choix des compos d'équipe et du brassard, il faut voir avec le sélectionneur. Ce n'est pas quelque chose qui me déstabilise et je ne pense pas qu'au sein du groupe, ça déstabilise qui que ce soit. Il annoncera qui est son capitaine en temps voulu.

Verra-t-on un Florent Malouda plus audacieux mardi face à la Croatie ?
Florent Malouda : Oui, après je ne pense pas que le fait de tenter était un problème vendredi. C'est plutôt travailler sur la coordination et de combiner les courses et les appels. Il faut que l'on trouve plus de complémentarité. Dans une équipe, il faut d'abord bien faire son job au niveau du repositionnement. Surtout que la Croatie, au niveau maîtrise technique, c'est assez fort. Sur un match comme ça, on teste beaucoup la capacité à récupérer le ballon. Après, bien sûr, offensivement, il faut apporter beaucoup plus en prenant des risques mais ça ne peut pas se faire par des initiatives isolées pour répondre à des critiques

8 commentaires ANG - Tottenham
Gallas prolonge deux ans (off.)

Arrivé l'été dernier à Tottenham, William Gallas a prolongé officiellement son contrat de deux ans, comme l'indiquent les Spurs sur leur site. Le défenseur central français de 33 ans, qui réalise une très belle saison (21 titularisations en Premier League), est donc désormais lié jusqu'en 2013 avec le club londonien

MOI JE PENSE A LUI ...LE SEUL EXCLU


POUR AVOIR DIT NE ME CASSE PAS CO.ILLES A DOMENECH

Malouda-Ribéry, «pas photo»
Ribéry a marqué des points au détriment de Malouda. Retour sur France-Croatie.




Franck Ribéry entre en jeu à la place de Florent Malouda à la 59e minute de France-Croatie (0-0). Le remplaçant a bien plus convaincu que le titulaire.
Franck Ribéry qui marque des points à gauche, Jérémy Ménez qui l'imite à droite, le comportement de la défense... Notre envoyé spécial au Stade de France répond à vos questions après France-Croatie, mardi soir (0-0).

La nouvelle entrée convaincante de Ribéry et le nouveau match décevant de Malouda vont-ils changer les plans de Laurent Blanc pour le prochain match de l'équipe de France ? (
Le débat sur le positionnement de Ribéry avait été relancé dès vendredi soir au Luxembourg. France-Croatie participera inévitablement à l'entretenir. Entre Malouda et le Bavarois, il n'y a pas eu photo. Avec un temps de jeu de moitié inférieure, Ribéry a réussi là où le milieu de Chelsea a échoué pendant une heure. Comme trop souvent lorsqu'il évolue sous le maillot Bleu, Malouda n'a fait aucune différence sur son côté gauche quand Ribéry, lui, a fait fi des sifflets pour provoquer, créer des décalages, et retourner une partie du stade en sa faveur. Le fait que Laurent Blanc l'ait installé à son poste préféré plutôt qu'à droite démontre que la réflexion existe dans l'esprit du sélectionneur.


Au lendemain du succès obtenu au Luxembourg, le Guyannais s'était dit «déçu et frustré» par sa prestation individuelle. Mardi soir, il a estimé «avoir fait un meilleur match», laissant aux journalistes le soin d'y apporter d'autres «commentaires». «Moi, j'arrête tout comme il faut arrêter de faire des cas particuliers.» Un discours qui fait écho à celui prononcé par Laurent Blanc lorsqu'on lui avait parlé du rendement décevant de Yoann Gourcuff contre la sélection grand-ducale. «Il n'y a pas que lui...» avait répondu le sélectionneur. Malouda en faisait déjà partie. La mansuétude du technicien pourrait bien finir par trouver ses limites;;;.

aladin a écrit:MOI JE PENSE A LUI ...LE SEUL EXCLU


POUR AVOIR DIT NE ME CASSE PAS CO.ILLES A DOMENECH

il n'en pense pas un mot

mais il fait avec
c'est triste



Pas de blues des Bleus pour Anelka(AFP) Jeudi 31 mars 2011
Nicolas Anelka, suspendu 18 matches en équipe de France suite au incidents survenus durant la Coupe du Monde FIFA 2010, explique jeudi sur le site internet officiel de Chelsea que l'équipe de France ne lui "manque pas" et qu'il est même "content d'être en dehors de ça".

"Ca ne me manque pas, je suis content d'être en dehors de ça", déclare "Nico", y voyant même des avantages par rapport à son club: "Bien sûr ça peut aider de ne pas jouer (en Bleu), vous jouez moins de match alors c'est parfait pour se reposer et pour penser à autre chose pendant une ou deux semaines et revenir frais en club".

"Cela vous permet de vous consacrer plus à votre vie de famille, d'aller à Paris, où vous voulez avec votre famille, a poursuivi Anelka. C'est parfait. C'est ce que je faisais quand je jouais à Manchester City et au début à Bolton, donc je connais cette situation et ça me plaît. Je ne pense vraiment pas à l'équipe nationale."

FFF● William Gallas veut ses primes! Le défenseur de Tottenham
n’en démord pas: il veut les primes supprimées par la
FFF après la grève du bus de Knysna. "M. Gallas envisage de
porter l’affaire devant les tribunaux", a déclaré son avocat,
Me Jim Michel-Gabriel.

SUR LE FOND IL EST PAS RESPONSABLE ET IL NE JOUERA PLUS AVEC L EDF

CHUIS PAS SUR QUE CE SOIT LE MEME

Foot - Transferts - Trezeguet évoque Lyon

David Trezeguet a déjà marqué 11 buts cette saison avec Alicante.
Annoncé du côté de Lyon lors de l'été 2010, David Trezeguet avait finalement signé à Alicante après avoir été libéré par la Juventus. Mais l'ancien international français a fait un appel du pied à l'OL ce jeudi. «Un retour en France est possible. Sentimentalement, j'aime Monaco. C'est mon club. Mais d'autres équipes ont plus d'ambition comme Lyon. (...) C'est un club qui est ambitieux et cherche à gagner des titres. C'est ce que j'ai envie de retrouver», a expliqué l'attaquant
Trezeguet, qui a également évoqué Marseille et le PSG comme des clubs «intéressants» a assuré qu'il serait prêt à faire des «efforts financiers» si le challenge valait le coup. En 26 matches de Liga avec la petite équipe d'Alicante, il a inscrit onze buts cette saison.

Football (européen) / Malouda, fini le blues !
Publié le samedi 30 avril 2011 à 19H41


Pour Florent Malouda, tout demeure encore possible…


Six buts entre le 15 août et le 15 septembre puis à peine la moitié en six mois… La saison de Florent Malouda ressemble fortement à une dédicace à son patron Roman Abramovitch : des véritables montagnes russes. Et après la chute, interminable au cœur d'un hiver douloureux où il a accompagné les tourments des Blues relégués à 12 points de Manchester United au soir de la 27e journée et un nul face à Fulham (0-0), vient la rédemption.

Sa saison la plus prolifique

L'ancien Lyonnais rayonne de nouveau et Chelsea revit. Avec quatre buts inscrits lors du mois d'avril, Florent Malouda est devenu l'artisan n° 1 du come-back fracassant des Blues qui, après avoir repris la deuxième place à Arsenal, rêvent désormais de mettre la pression jusqu'au bout sur leurs rivaux mancuniens. L'accueil de Tottenham cet après-midi suffit pourtant à maintenir la prudence sur un collectif encore bien fragile. La bonne nouvelle du week-end dernier est venue du compteur de Fernando Torres.
L'attaquant le plus cher de l'histoire de la Premier League (58 millions d'euros) a marqué. Enfin ! Et le Français n'est pas le dernier à souligner l'importance psychologique de l'événement : « Le premier est toujours important et on pouvait voir que tout le monde était très heureux, nous nous sommes tous allongés sur lui et il y avait beaucoup de bonheur ».
Torres enfin buteur, Malouda retrouvé et battant son record personnel avec 14 buts dans une saison, 13 en championnat contre 12 toutes compétitions confondues lors de sa dernière saison lyonnaise en 2006-2007, Chelsea peut-il encore croire au titre alors que les joueurs de Carlo Ancelotti sont à six points des Red Devils à trois journées de la fin. « Honnêtement, ce sera difficile. La seule chose que nous devons faire est de gagner chaque match et, ensuite, on ne sait jamais. »
Le gaucher a pourtant son avis sur le coup de mou personnel et collectif durant l'hiver : « Ça a été une très longue saison et nous avons beaucoup d'internationaux. Cela pourrait expliquer que nous ayons laissé filer des points… » Des points comptables avec Chelsea mais aussi des arguments auprès de Laurent Blanc.

france foot lequipe foot nat msn qui sont maqués entre eux et leurs interets financiers
ne parlent pas de ce proces

Malouda : «Ce n'est pas assez»

Malouda, auteur d'un bon match à droite, a égalisé pour les Bleus.
Buteur contre la Biélorussie (1-1), vendredi en éliminatoires de l'Euro 2012, Florent Malouda n'a pas masqué sa déception. «Le résultat n'est pas à la hauteur de ce qu'on était venu chercher», explique-t-il.

«Florent Malouda, quel est votre sentiment après ce nul concédé contre la Biélorussie ?

On a fait un mauvais match. Le sentiment à chaud, c'est une énorme déception parce qu'on était venu pour rattraper les points qu'on avait perdu au Stade de France. On a mal entamé la rencontre, et, même si on a eu une bonne réaction derrière, le résultat n'est pas à la hauteur de ce qu'on était venu chercher. Pourquoi est-ce que cela a été aussi dur dans l'animation ?Il y a plusieurs explications. Sur le terrain, en début de match surtout, on a eu l'impression qu'on avait des difficultés à changer de rythme. Ils étaient dans un certain confort, ils ont réussi à avoir la maîtrise et à nous déstabiliser. Ça a été mieux en deuxième période, on s'est montré plus clair dans nos enchaînements, mais c'est clair que ce n'est pas assez. Comment expliquez-vous que l'équipe de France parvienne à battre l'Angleterre , mais se montre aussi laborieuse face à des formations type Luxembourg ou Biélorussie ?C'est peut-être dû à une différence d'opposition. On est plus à l'aise contre des équipes qui jouent pour gagner. C'est le football, mais il faut aussi reconnaître que la Biélorussie a bien joué.

Quel bilan faites-vous de cette saison ?On est content de notre première position au classement. Depuis notre défaite au match aller, on reste sur une belle série, on est allé cherché des points et on a enchaîné victoire. Mis à part la Croatie, c'est l'un de nos premier nuls. Il ne faudra pas s'endormir et garder cette envie d'aller chercher des points partout pour se qualifier le plus rapidement possible. Avec l'Albanie et la Roumanie au programme, la rentrée s'annonce chaude...Oui, mais on savait que le contexte serait difficile depuis le tirage au sort. Ça sera un peu comme ce qu'on a connu en Bosnie, voire même un cran au-dessus encore. Il faudra être capable de reproduire ce qu'on a fait à Sarajevo : voyager en se montrant solide défensivement et en gagnant nos matches. Les vacances vont faire du bien ?Il reste encore deux matches et un dernier coup de collier à donner. Mais c'est sûr qu'après, les vacances vont faire du bien (sourire)» -

Nicolas Anelka parle peu. Alors quand il choisit de s'exprimer sur l'équipe de France, Raymond Domenech, et surtout le Mondial sud-africain, ses mots pèsent lourds. Très lourds. «Ce qui s'est passé à la mi-temps contre le Mexique, ça arrive dans tous les vestiaires. Il y a eu un désaccord tactique entre le coach et moi, c'est tout», assure l'attaquant de Chelsea dans les colonnes du Parisien. Pour lui, l'altercation n'a rien de choquante. Elle fait partie de la vie d'une équipe. De toutes les équipes.

«On se demande qui sont les racailles»

En revanche, ce qui l'a gêné, ce sont les répercussions des fuites dans la presse. «Ce qui a choqué les gens, c'est le titre de la une du journal "L'Equipe"», selon lui. «Les gens sont assez intelligents pour savoir que ce n'est ni la première ni la dernière fois que ce genre de désaccord arrive. C'est le cas dans tous les sports d'ailleurs», rappelle l'ancien attaquant du Paris-SG, bien plus choqué par le comportement de certains hommes politiques. «Quand on voit des hauts représentants français être plongés dans des histoires d'agressions sexuelles ou de harcèlement, on se demande qui sont les racailles», ajoute Anelka

«Je n'en veux pas à Domenech»

Pour lui, ce qui s'est passé dans le vestiaire pendant le match contre les Mexicains était obligatoire. «Je savais qu'on allait dans le mur, donc j'ai voulu créer une réaction. Et j'assume ce qui s'est passé», assure-t-il encore, sans en vouloir plus que ça à Domenech : «Même si c'est lui qui a parlé à "L'Equipe", je ne lui en veux pas. C'est le passé. C'est une bonne personne. On ne s'est juste pas entendu professionnellement sur ce tournoi.» Laurent Blanc, le successeur de Domenech, fait selon lui du bon boulot («Il fait du bien à l'équipe de France»), même si l'affaire des quotas l'a gêné : «Le fait qu'il y ait une réunion avec comme sujet cette histoire de quotas, c'est déjà trop.»

Anelka était «content de partir»
Interviewé par Canal Plus, Nicolas Anelka est revenu sur l'épisode de Knysna : «Je savais qu'on ne gagnerait pas. (...) J'étais content de partir».
Nicolas Anelka ne portera plus jamais le maillot bleu.
Un an après Knysna, Nicolas Anelka s'est exprimé samedi sur Canal Plus. A cette occasion, il est revenu sur cet épisode noir de l'histoire des Bleus. Viré de l'équipe de France après son altercation avec Raymond Domenech à la pause de France - Mexique, l'attaquant de Chelsea était alors «content de partir». «Je n'avais rien à faire là. De toute façon, je savais avant la compétition que nous n'allions pas gagner. Alors pourquoi même commencer ?» a-t-il déclaré avant de d'expliquer : «Nous avons essayé de nous battre pour notre honneur. Nous avons essayé de parler avec le coach. Mais ce n'était pas possible.»Interrogé sur son ancien club du Paris-SG, Nicolas Anelka ne se voit pas y revenir. «Mais vraiment pas du tout, a-t-il immédiatement répondu lorsque la question d'un retour lui a été posée. De toute façon, chez moi, c'est Londres, c'est l'Angleterre.» Malgré une image écornée, le natif de Trappes est «satisfait» de tout ce qu'il a fait dans sa carrière. «Fier» de l'image qu'il véhicule, il se voit en tout cas «très loin du foot dans dix ans». Et toujours très loin de la France ?

Football: Squillaci, de Toulon à l’Arsenal.

vendredi 24 juin 2011 à 09H09
Le Seynois Sébastien Squillaci était de retour dans sa région natale pour un match en faveur de l’association « Le Sourire de Lucie ». Il en a profité pour évoquer sa situation à Arsenal et son avenir chez les Bleus.


. Il est arrivé souriant. Au côté de son meilleur ami, Batchou, une paire de crampons à la main. Détendu après quatre semaines de vacances passées sur la Côte d’Azur auprès de sa famille, Sébastien Squillaci rejoindra Londres la semaine prochaine pour la reprise de l’entraînement des Gunners fixée au 4 juillet. Le temps de saluer quelques potes avec lesquels il s’apprête à disputer un match de bienfaisance pour l’association « Le Sourire de Lucie », et « Toto », toujours disponible, s’assied à côté de nous pour bavarder. Sans tabou, il n’évite aucun sujet.

Redevenir titulaire à Arsenal
Arsenal tout d’abord. Une première partie de saison tonitruante où il s’impose comme un titulaire indiscutable. Il hérite même du brassard de capitaine. Puis, arrive le « boxing day ». Des matches qui se jouent durant les fêtes de Noël. Unique en Europe. Il y perdra sa place de titulaire au profit de Djourou.

« J’ai commencé à coincer physiquement. Je n’ai pas effectué la préparation estivale en Angleterre car mon transfert de Séville à Arsenal s’est fait à la fin de l’été. Djourou a saisi sa chance. Même si par la suite j’ai effectué quelques bonnes prestations, je suis resté sur le banc. Il faut savoir l’accepter. Surtout quand on joue dans un grand club ».

Un rôle de remplaçant qu’il n’avait encore jamais vécu en douze ans de carrière. Mais pas question de bouder. Ni d’aller voir Arsène Wenger. « Je reste le plus professionnel possible. C’est une chance d’être à Arsenal. Maintenant, je suis un compétiteur. Je vais tout faire pour rejouer. Il est évident que si je ne joue plus, ce sera compliqué. Mais je n’envisage pas de partir ».

Jamais convoqué par Laurent Blanc
Si son nom a été évoqué du côté de Marseille où Didier Deschamps l’apprécie, le club olympien s’est finalement tourné vers le Camerounais Nkoulou. Mais le défenseur central préfère se concentrer sur son club actuel. « Si tout peut aller très vite dans le football, j’ai envie de réussir à Arsenal, dans un championnat exigeant mais passionnant ».

Il nous évoque ainsi ses duels acharnés avec les attaquants adverses. « La principale différence avec ce que j’ai connu en France est qu’en Angleterre, il y a un attaquant de classe internationale dans chaque club. Drogba, Tevez, Rooney, Suarez, Crouch, Caroll, Torres, Gyan… il faut être à 100 % chaque week-end. D’autant qu’à Arsenal, il y a une philosophie de jeu très offensive. En tant que défenseur, il faut s’adapter ».

Malgré ces confrontations, pour celui qui compte 21 sélections avec les Bleus, l’équipe de France n’est plus d’actualité. « Je n’ai jamais été appelé depuis la nomination de Laurent Blanc. Je n’ai pas fait une croix dessus. Mais avant de penser aux Bleus, il faut d’abord que je retrouve une place de titulaire en club ».

Attristé pour Toulon et Monaco
À bientôt 31 ans (il les aura au mois d’août), le Seynois sait qu’il ne doit plus traîner en chemin. Mais avant d’aller chausser les crampons et affronter les Micoud, Hueber, Meyrieu, Rool ou Abardonado sur le pré de la Coudoulière à Six-Fours, impossible de ne pas évoquer le Sporting de Toulon.

« Je ne connais pas tous les aboutissants de l’affaire. Mais ça me fait mal au cœur pour la ville et ses supporters. Ça ressemble à un énorme gâchis ». Tout comme Monaco qui rejoint la Ligue 2. « C’est consternant que ce club soit relégué. Heureusement, il y a Ajaccio qui retrouve l’élite. Je suis vraiment content pour ce club pour lequel j’ai beaucoup d’affection». Après quelques dédicaces, il est temps pour lui d’aller rejoindre ses partenaires d’un jour. Pour la bonne cause. Et avec beaucoup de plaisir.

... qui piste Boumsong : Jean-Alain Boumsong fugure sur les tablettes de Wolfsburg. Selon nos informations, le défenseur de 31 ans pourrait faire l'objet d'une offre de 500 000 euros. Il est sous contrat avec le Panathianïkos jusqu'en juin 2013.

Voila plusieurs mois que l'on parle d'un possible départ de Nicolas Anelka (
pour la MLS américaine, un serpent de mer qui a refait surface ces derniers jours. Pourquoi? Tout d'abord, parce qu'en terme de temps de jeu lors des cinq derniers mois de la saison 2010-11, Anelka est passé au troisième rang de la hiérarchie des attaquants de Chelsea, derrière Fernando Torres et Didier Drogba. Ensuite, parce que son présent contrat arrive à expiration en juin 2012, et qu'il parait improbable qu'un club de statut comparable à celui de Chelsea se manifeste pour acquérir un attaquant de 32 ans.

S'il devait partir - ce qui n'est en rien acquis -, où irait-il donc? Son frère (et conseiller) Claude avait suggéré en décembre dernier que le Championnat qatari et la MLS étaient deux possibilités, mais seulement à titre d'hypothèse, et certainement pas dès cet été. Cela n'a pas empêché les rumeurs de faire à nouveau boule de neige sur la toile ce mardi, les noms du LA Galaxy et des New York Red Bulls étant les plus fréquemment cités. L'arrivée d'André Villas-Boas à Stamford Bridge (et celle, considérée probable, du Colombien Falcao après la Copa America) y sont sans doute pour quelque chose. Cela ne signifie pas qu'elles soient fondées, loin de là.

«Le LA Galaxy n'est pas une possibilité. Aux New York Red Bulls, il reste une place mais...»

Contacté par France Football, l'agent licencié USSF d'Anelka aux Etats-Unis, le Français Michael Wiesenfeld, a mis les points sur les «i» de façon très claire. «Aucun club de MLS n'a manifesté d'intérêt concret à son égard, nous a-t-il expliqué. Si on essaye de penser rationnellement, le LA Galaxy n'est pas une possibilité. Ils ont déjà trois designated players - David Beckham, Landon Donovan et Juan-Pablo Angel - et ont donc atteint le quota imposé par la MLS. Donc, à moins que Nicolas accepte de jouer pour moins de 415 000 dollars (0,3 millions d'euros) brut par saison, ce n'est pas faisable (ndlr: le salaire maximum pour les joueurs n'ayant pas le statut de designated player est de 415 000 dollars par saison, sachant que le salary cap pour l'ensemble des autres joueurs est de 1,8 million d'euros sur la saison). S'agissant des New York Red Bulls, ils ont Henry et Marquez en designated player. Il leur reste donc une place, mais a priori pour un numéro 10, car Dwayne De Rosario a été transféré à DC United.» CQFD.

Un autre proche d'Anelka s'est montré encore plus direct: «C'est du bidon», a-t-il dit. Il parait donc très improbable qu'Anelka fasse le choix d'aller rejoindre la petite colonie de frenchies partis achever leurs carrières outre-Atlantique...

Trezeguet est un buteur qui fait forcément rêver, a expliqué mardi Roy, qui cherche à étoffer le compartiment offensif des Aiglons. Quel entraîneur ne serait pas intéressé par un footballeur de classe mondiale ? Nous verrons s'il y a une réelle possibilité de se rapprocher. Il y a des souhaits, des rêves et des réalités. Le minimum salarial d'un joueur excède parfois le maximum possible d'un club.»

bienvenou a écrit:Trezeguet est un buteur qui fait forcément rêver, a expliqué mardi Roy, qui cherche à étoffer le compartiment offensif des Aiglons. Quel entraîneur ne serait pas intéressé par un footballeur de classe mondiale ? Nous verrons s'il y a une réelle possibilité de se rapprocher. Il y a des souhaits, des rêves et des réalités. Le minimum salarial d'un joueur excède parfois le maximum possible d'un club.»

Je lui ai envoyer un contrat par mail Une villa de 180 M2 avec jardin ,piscine et jacuzzi sur le cordon lagunaire de la Marana et 21 500€ pour acheter des strings a Madame
Ah !!! j'oubliais un compte open chez mon ami Lolo restaurateur de son etat Bein attends ça compte non !!!

il me repond je veux en en ligue 1 pour bastia on verra ca la saison prochaien si vous montez il n'aura que 34