EQUIPE DE FRANCE

J ARRIVE PAS A LE CROIRE
PERSONNE NE LUI A DIT LE GROUPE

DOMENECH NE REUNIT PAS SES 23 JOUEURS LA VEILLE POUR LEUR DIRE LES 18

N"IMPORTE CLUB DE PHA LE FAIT ...ET PAS L" EDF C FORT DE KFE ;;;;;;;;;

Malouda «n'a pas vu son maillot...»
Florent Malouda a été «surpris» de se retrouver en tribunes lors de France-Roumanie (1-1), samedi soir. «Je pensais au moins être dans le groupe, au moins sur la feuille de match», a-t-il confié au micro de Bixente Lizarazu sur RTL. Le milieu de Chelsea explique «ne pas avoir vu son maillot» lorsqu'il est rentré dans le vestiaire tricolore. «J'en ai déduit que je n'avais pas mon nom sur la feuille (...) J'essaie de ne pas vivre dans le passé, mais c'est vrai que c'était décevant».

Soucieux de ne pas rentrer dans la polémique, l'ancien Lyonnais assure être « passé au dessus de sa déception» pour «faire en sorte d'aider les copains à notre manière». «On est dans un rôle de supporter... C'est vrai que c'est difficile à vivre un match dans les tribunes parce qu'on est un peu impuissant. Et puis il y a les fourmis dans les jambes... Donc voilà, c'est comme ça, c'est un choix du coach».

Sur le déplacement en Serbie, mercredi, Malouda s'attend à une «ambiance très très chaude». «Les Serbes sont prêts. Ils sont quasiment qualifiés, donc on n'a pas le droit à l'erreur, on court après les points». Le milieu gauche réfute au passage l'idée reçue selon laquelle les Bleus disputeront au minimum les barrages. «Cette place n'est pas assurée donc il faut quand même faire des résultats, a-t-il insisté. Avant ce rassemblement, on avait l'objectif de gagner les deux matchs. On a fait match nul, mais il faut toujours essayer de gagner le deuxième et puis espérer».

Auteur d'un très bon début de saison avec son club, Nicolas Anelka a de nouveau marqué des points ce mardi, en inscrivant le but de la victoire de Chelsea face à Porto (1-0) à Stamford Bridge. En l'absence de Didier Drogba, qui purgeait son premier match de suspension suite à son écart de conduite en demi-finale la saison passée, l'international français a de nouveau prouvé que le club londonien pouvait compter sur lui dans les moments importants, ce qui lui a valu les éloges de ses partenaires : «Tout le monde parlait du fait que Didier était absent mais Nicolas a répondu présent et montré quel grand finisseur il est», se réjouit John Terry. «Anelka est un grand joueur, Drogba ne nous a pas manqué», va même jusqu'à dire son entraîneur Carlo Ancelotti. «Je suis très heureux pour lui car il joue très bien en ce moment».

Ca y est, la dernière ligne droite est arrivée. Alors que la France occupe actuellement la 2e place de son groupe de qualifications pour la Coupe du monde, Raymond Domenech dévoile à 13h15 sa dernière liste pour les matches face aux Iles Féroé et à l'Autriche, les 10 et 14 octobre. Peu ou pas de surprises sont attendues dans cette liste de 23 joueurs avant un éventuel barrage les 14 et 18 novembre si les Bleus terminent parmi les huit meilleurs deuxièmes (la Serbie occupant la tête avec 4 longueurs d'avance). Si Karim Benzema devrait bien être présent malgré des propos qui n'ont pas plu au sélectionneur national, en sera-t-il de même pour Patrick Vieira ?

Absent lors des deux derniers rassemblements en raison d'un manque de compétition préjudiciable aux yeux de Domenech qui préférait laisser son capitaine habituel retrouver le goût du gazon avec l'Inter Milan, Vieira (107 sélections) n'a plus joué depuis France-Nigeria le 2 juin dernier à Saint-Etienne. Ce jour-là, il avait été méconnaissable. Depuis, les blessures l'ont laissé tranquille et il joue un peu plus avec les Nerazzurri. Mais José Mourinho n'en a pas fait pour autant un homme de base de son système. Titulaire à trois reprises en Serie A cette saison, il a débuté samedi contre la Sampdoria (0-1) et joué 11 minutes contre le Rubin Kazan (1-1) en C1, mardi. Sera-ce suffisant pour être convoqué par Domenech ?


Inquiétude pour Gourcuff
Un sélectionneur qui était à Munich mercredi soir pour suivre l'affiche entre le Bayern et la Juventus (0-0) et qui a dû suivre avec satisfaction le retour en forme progressif de Franck Ribéry qu'il n'avait pas titularisé contre la Roumanie et la Serbie. Domenech a sans doute vu également la bonne performance de David Trezeguet, lequel s'est dit « disponible » pour les Bleus. En revanche, le boss des Bleus s'inquiète pour Yoann Gourcuff, touché à la cuisse gauche mercredi soir contre le Maccabi Haïfa et remplacé à la pause. Il souffre semble-t-il de l'ischio jambier, une zone délicate à gérer.

ALLEZ JE ME LANCE SI J "ETAIS SELECTIONNEUR JE PRENDRAIS
DES NOMS VONT VOUS EN V BOUCHER UN COIN

Liste des joueurs
3 Gardiens de But
LLORIS
MANDANDA
FREY
7 Défenseurs
ABIDAL
GALLAS
PLANUS
SQUILLACI
SAGNA
ALY CISSOKHO
EVRA

7 Milieux de terrain
MOUSSA SISSOKO
ALOU DIARRA
LASSANA DIARRA
GOURCUFF
MALOUDA
TOULALAN
RIBERY

6 Attaquants
ANELKA
BENZEMA
GIGNAC
HENRY
TREZEGUET
GAMEIRO

ALLONS Y FAITES VOTRE CHOIX
C CLAIR QUE LE SELECTIONNEUR AURA BEAUCOUP
DE CHANGEMENTS PAR RAPPORT A MA LISTE ...REPONSE A 14 H
IL FAUDRAIT ENLEVER LES BLESSES EVENTUELS
LAS DIARRA OU GOURCUFF

Liste des joueurs pris soit 17sur 23
2 Gardiens de But
LLORIS
MANDANDA

5 Défenseurs
ABIDAL
GALLAS
SQUILLACI
SAGNA
EVRA

6 Milieux de terrain
MOUSSA SISSOKO
ALOU DIARRA
LASSANA DIARRA
MALOUDA
TOULALAN
RIBERY

4 Attaquants
ANELKA
BENZEMA
GIGNAC
HENRY

Équipe de France. Le Toulousain Sissoko revient en Bleu

Raymond Domenech a rappelé hier Moussa Sissoko dans le groupe France, porté à 25 joueurs, qui doit affronter les îles Féroé, le samedi 10 octobre à Guingamp, puis l'Autriche le mercredi 14 à Saint-Denis.

Le jeune Toulousain, capitaine des Espoirs depuis le mois de septembre, doit à ses grosses performances en club ce rappel, qui fait suite à sa première convocation d'août dernier, avant le déplacement aux Féroé.

Son jeu, porté vers l'avant, tout de puissance, de percussion, de vitesse et, maintenant, d'efficacité (c'est le meilleur buteur du TFC avec 3 buts en L1), est une remarquable alternative à l'absence chronique de Patrick Vieira dans l'entrejeu tricolore. On veut croire que le sélectionneur lui offrira cette fois-ci du temps de jeu, sur l'un des deux matches de la mi-octobre.
Gourcuff blessé

D'autant que l'équipe de France doit se passer de son stratège Yohan Gourcuff, de nouveau blessé aux ischio-jambiers mercredi soir avec les Girondins de Bordeaux en Ligue des champions. L'adjoint de Domenech, Alain Boghossian, assistait à la rencontre contre le Maccabi Haïfa, et il a confirmé à son « chef » le besoin pour le jeune meneur du jeu tricolore de souffler, de réparer sa jambe.

L'absence de Gourcuff, qui ne jouera donc pas sur ses terres originelles, va redistribuer les cartes dans l'entrejeu français : on pense tout naturellement à une titularisation de Franck Ribéry, qui a enfin du temps de jeu avec le Bayern de Munich. D'autant que le retour de Sydney Govou, le Lyonnais en forme de ce début d'automne, simplifie considérablement la tâche du sélectionneur sur l'animation du couloir droit, en l'absence du Niçois Loïc Rémy.

Dans cette équipe de France sans réelle surprise, le sélectionneur a innové en convoquant quatre gardiens : le petit dernier de la liste, qui profite de la suspension de Hugo Lloris contre les Féroé, après son expulsion à Belgrade, c'est encore un ancien Toulousain, Nicolas Douchez, qui rejoint Cédric Carrasso aux côtés de Lloris et Steve Mandanda. À franchement parler, ce n'est certainement pas un scandale de trouver « la Douche » enfin au plus haut niveau, quand bien même il a quitté le TFC. Le pari suivant, c'est de savoir quand Yohann Pelé, l'actuel gardien téféciste, sera candidat…

OUI SI RAYMOND INNOVE ENCORE EN PRENANT 5 GARDIENS

ET SURTOUT S"IL EN MET 2 TITULAIRES QUI SE PARTAGE LA CAGE ...
3METRES 16 CHACUN POUR LES BARRAGES ....DE NOVEMBRE
ON POURRA DIRE QUE LA LIGNE IMAGINOT SERAIT DE SORTIE
LA FRANCE RENDRAIT SON BUT INFRANCHISSABLE....ENFIN

Suite au forfait de Franck Ribéry, Raymond Domenech et son staff ont décidé de convoquer l'attaquant lyonnais Bafétimbi Gomis (quatre sélections, deux buts) en renfort pour les deux derniers matches qualificatifs de l'équipe de France au Mondial 2010, face aux Iles Féroé (10 octobre) et à l'Autriche (14 octobre).

Auteur de quatre buts en L1 et trois en Ligue des champions depuis son arrivée à l'OL, l'ancien Stéphanois est donc convoqué pour la première fois depuis l'Euro 2008 et une défaite face aux Pays-Bas (1-4). Il s'était distingué quelques semaines plus tôt en signant un doublé pour sa première sélection face à l'Equateur (2-0), le 27 mai 2008.

BEN RIBERY /GOURCUFF EN MOINS
C PLUTOT UN CREATEUR QUE J AURAIS CONVOQUE..........

MAIS Y EN A T IL D AUTRE E NFRANCE DE NIVEAU INTERNATIONAL

Touché aux côtes, dimanche face au Real Madrid (2-1), Sébastien Squillaci (photo Presse-Sports) va «mieux» selon le staff médical de l'équipe de France. Mais le défenseur central du FC Séville n'a pas participé à l'entraînement collectif des Bleus, ce mercredi soir sur la pelouse du Roudourou à Guingamp.

L'ancien Lyonnais a simplement effectué un footing en compagnie de Hugo Lloris, suspendu pour la rencontre face aux Îles Féroé, samedi (21h00), comptant pour les éliminatoires au Mondial 2010

dernier test avant les barrages
Eliminatoires du Mondial 2010. Le rendez-vous de ce soir, contre l'Autriche, est le dernier avant les barrages. Il doit être constructif et fédérateur.

Considérer que le France-Autriche de ce soir, qui fera le plein au Stade de France, n'a aucun intérêt, ça revient à dire que le Tournoi des VI Nations de rugby ne vaut rien puisque ce ne sont que des matches amicaux, dans un cas comme dans l'autre...

Il y a donc, ce soir, derrière l'absence d'enjeu comptable, de multiples aspects. Petite revue.
Un allant à conserver

Depuis la discussion entre joueurs et sélectionneur, hélas montée en épingle par certains, les Bleus se sont découvert un autre football. Ils jouent, tout simplement. Et ça se voit depuis le début septembre, contre la Roumanie, la Serbie et les Féroé. Cette France-ci ressemble à celle qu'on aime, qu'on attend... et qu'on n'aurait jamais dû perdre de vue.
Préparer les barrages

Aucun match de l'équipe de France ne pouvant être galvaudé, Raymond Domenech a la possibilité d'explorer d'autres pistes ce soir, privé qu'il est de Gourcuff et Ribéry. Après le séduisant schéma offensif de samedi soir, pourquoi ne pas essayer un tandem offensif Benzema-Gignac? Pourquoi ne pas vérifier, en profitant de la suspension de Lassana Diarra, que Moussa Sissoko peut se glisser, avec précaution, dans la peau d'un Vieira tourné vers l'avant, au prix des mêmes longues chevauchées?

Pourquoi, encore, ne pas redonner une chance à la paire sévillane Squillaci-Escudé? Pourquoi ne pas revoir Fanni à droite et Clichy à gauche, surtout avec une défense sous la menace d'une suspension pour Gallas, Abidal, Sagna et Evra?

Pourquoi, enfin, ne pas remettre Lloris dans le but, sachant que sa présence a aussi sécurisé une ligne défensive peu ou prou stabilisée?
Se réconcilier

Les réflexions du sélectionneur tournent en ce sens, dans l'optique des barrages de novembre prochain, prélude à un envol vers l'Afrique du sud.

Depuis un an, Raymond Domenech ne se trompe plus beaucoup. Son équipe commence à revoir la lumière. L'heure est donc peut-être venue de remobiliser, de réunir la famille du football français autour d'un bébé dont les qualités individuelles ne sont pas à démontrer.

ça tombe bien. Le match a justement lieu dans un Stade de France régulièrement hostile, souvent frondeur, mais dont les Bleus auront besoin, le 14 ou le 18 novembre prochain, quand il s'agira d'écarter le dernier adversaire sur la route du Mondial 2010.

Face à une équipe d'Autriche éliminée, dont le sélectionneur a rajeuni l'ossature, le moment est venu de mettre définitivement les pendules à l'heure. Il y a treize mois, le Prater de Vienne avait été, ne l'oublions pas, le théâtre de notre honte nationale et le début d'une course-poursuite longtemps insatisfaisante...

Domenech, le roi menteur

On ne sait si Raymond Domenech, le roi menteur homme de culture, a lu «Le roi qui était menteur et le menteur qui est devenu roi», un classique des contes islandais. Mais le sélectionneur des Bleus a fait fort hier soir à Clairefontaine, en avançant le pour puis le contre, le possible ou le probable, dans un discours classique à la conclusion identique : il n'a pas arrêté son équipe, il reste un entraînement à huis clos, et patin et couffin...

Rien de neuf sous les frondaisons. Non, il ne lit pas la presse, mais il aime que Trezeguet ait envie de bleu. Non, Zidane n'a pas dit exactement ça mais plutôt ça. Le tout en toute décontraction. Car son équipe se met en place, et joue.

Alors, on le croit (ben si) quand il énumère ses hésitations, ses questions. «On a avancé. On n'a pas conclu, encore. Il y a des stratégies différentes, des plus, des moins. L'idée, c'est de se dire que ce qui compte, ce sont les barrages. Dans quelles conditions les préparer? Il y a plein de choix possibles. On jouera pour faire un match dans la lignée de ce qu'on a fait jusqu'à présent. Cela fait cinq matches qu'on marque au moins une fois. Il faut produire quelque chose qui l'entretienne, un jeu plaisant». Et aussi « ils veulent tous jouer, et c'est bien mon problème. Ils voudront souffler pour le match d'après, mais pas en équipe de France». Menteur ou roi?

ce sera un match amical sans enjeu
de peur d'avoir une blessure pour la ligue des champions ils vont jouer au ralenti ...............

Michel Platini a dit que la France n'avait pas une grande génération...

Raymond Domenech y réponds comme dab avé sa langue de bois
L'essentiel est d'avoir une génération qui se qualifie pour la Coupe du monde.
Elle aura le temps de grandir, de se construire.
C'est le temps qui permet de faire les grandes générations
. Les générations spontanées, ça n'existe pas dans le football.

Les Toulousains Gignac et Sissoko s'imposent chez les Bleus

Débuts réussis pour Moussa Sissoko (à g.), titulaire hier. André-Pierre Gignac a une nouvelle fois fait parler la poudre en inscrivant le 3e but des Bleus.

Conquérante malgré un changement massif opéré par Raymond Domenech (seuls Govou et Henry avaient également joué contre les Féroé samedi), l'équipe de France a facilement pris, en première période, la mesure d'une jeune équipe d'Autriche (cinq joueurs de moins de 21 ans au coup d'envoi), hier soir au Stade de France, mais après une entame hésitante, marquée par une superbe envolée de Lloris (14e), et en bénéficiant d'un penalty pour le moins généreux qui a permis à Henry d'inscrire son 51e but en bleu.

Moussa Sissoko, lui, en a profité pour (bien) jouer son premier match en tant que titulaire, associé dans l'axe du milieu au Bordelais Alou Diarra. Le Toulousain a bien failli adresser une passe décisive vers Henry (32e), repris in extremis par Scharner dans la surface.

Mais il a surtout fait apprécier son registre, ses qualités, lâchant ses coups au fil des minutes. Sissoko est un des joueurs que Domenech reverra certainement en novembre, au même titre qu'un Malouda ou qu'un Fanni, des plus entreprenants hier.

Gignac, lui, a remplacé Henry dès le début de la deuxième mi-temps. Il ne lui a fallu qu'un petit quart d'heure pour trouver encore le chemin des filets, d'une de ces frappes dont il a le secret. Trois buts en cinq jours, pas mal pour un buteur qui avait un coup de moins bien ces derniers temps.

Le Toulousain n'est resté associé à Benzema qu'une petite demi-heure, avant de finir le match avec son pote d'enfance Gomis.

Avec le retour d'un rassurant Lloris dans la cage tricolore, qui indique assez la préférence du sélectionneur dans ce secteur, les Bleus ont donc terminé en beauté leur parcours éliminatoire.

Domenech a tiré profit de l'absence d'enjeu pour essayer des paires connues (Squillaci-Escudé ou Henry-Benzema) ou inédites (Sissoko-A. Diarra, Benzema-Gignac, Gignac-Gomis).

Dans l'optique des barrages du mois prochain, ce n'est certainement pas une perte de temps, dans un match ouvert jusqu'à la fin, où tous les buteurs de Domenech ont marqué, sauf Gomis. Même s'il est évident que l'autre équipe, celle qui a écrasé les Féroé, est celle qui tient la corde dans l'optique des deux matches-couperet de novembre.
France 3 - Autriche 1

Stade de France-MT : 2-0 ; 78.098 spectateurs ; arbitre : M. Garcia Oliveira (Portugal), assisté de MM. Trigo Garcias et Neves Ramalho. Temps additionnel : 5' (1'+4'). Pour la France : Benzema (17), Henry sur penalty (26), Gignac (66). Pour l'Autriche : Janko (48). FRANCE : Lloris - Fanni, Squillaci, Escudé, Clichy - Govou, Sissoko, A. Diarra, Malouda - Henry (cap) puis Gignac (51), Benzema puis Gomis (79). Sél. : Raymond Domenech. AUTRICHE : Payer puis Gratzei au repos - Scharner (cap), Dragovic, Patocka, Fuchs puis Alava (80) - Kavlak, Baumgartliner, Pehlivan, Jantscher - Maierhoffer puis Hoffer au repos, Janko. Sél. : Dietmar Constantini. Avertissements : Pehlivan (26e, accrochage irrégulier sur Fanni), Kavlak (45e+1, accrochage irrégulier sur Benzema).

LES BUTS 17e : sur un deuxième corner consécutif, Maierhoffer perd le ballon au profit de Malouda dont le centre est repris d'une tête plongeante aux 6m par Benzema (1-0). 26e : «faute» de Pehlivan sur Fanni dans la surface. Penalty et 51e but pour Henry sous le maillot bleu (2-0). 48e : sur un pivot, Hoffer, à peine entré en jeu, largue Escudé et ajuste une frappe sèche que Lloris repousse. Mais Janko a suivi et marque de près (2-1). 66e : frappe meurtrière de Gignac qui, parti de l'aile gauche, slalome et ajuste un de ces tirs croisés qu'il aime, petit filet opposé (3-1).
Le punch de Malouda et Gignac

LLORIS (13/20) : retour gagnant pour le portier lyonnais. Un arrêt déterminant, au quart d'heure, sur une demi-volée de Maierhofer qu'il va chercher main opposée (14e). Ne peut que repousser le tir d'Hoffer dans les pieds du géant Janko (2-1, 48e).

FANNI (10/20) : il peut désormais jouer en Italie... Sa simulation (25e) entraînant la sanction suprême n'aura trompé que l'arbitre.

SQUILLACI (14/20) : Monsieur Propre, hier soir. Sobre et efficace.

ESCUDé (12/20) : deux en un avec son compère sévillan, mais enrhumé sur le but autrichien (48e).

CLICHY (11/20) : il avait apparemment choisi les mauvais crampons. Glissade en première (4e) à l'origine de la première banderille autrichienne, glissade en seconde (55e) d'où il aura du mal à se relever. Le Gunner doit faire mieux.

GOVOU (12/20) : moins percutant qu'avec les Gones. Autant précieux dans le repli défensif.

SISSOKO (13/20) : passe qui aurait dû être décisive pour Henry, qui tergiversera (32e). Deux tirs... dans les nuages (36e et 74e).

Alou DIARRA (12/20) : la tour de contrôle girondine ne s'est pas lâchée. Dommage...

MALOUDA (15/20) : pyromane (notre photo). Le piston gauche aura donné le tournis aux Autrichiens. émoussé en deuxième.

HENRY (12/20) : fatigué, le capitaine a semblé faire son âge, pour sa deuxième titularisation en cinq jours. Mais il frappe toujours quand il le faut. En l'occurrence, il transforma sans sourciller le penalty du break (2-0, 26e).

Touché à l'ischio droit, il est remplacé par GIGNAC (51e) qui signe une entrée tonitruante avec un bijou de frappe enroulée dans le petit filet de Gratzei (3-1, 66e), apparu après la pause. Trois buts en deux matches pour «Dédé», 4 en 8 sélections : oui, notre Toulousain national affole les compteurs.

BENZEMA (15/20) : quelques gestes techniques de grande classe comme ce «café-crème» qui mystifie et Kavlak et Fuchs (45e+1). Assortis d'une ouverture du score rageuse, tête plongeante (1-0, 17e).

Remplacé par GOMIS (79e), mobile.
Réactions

Raymond Domenech (sélectionneur français) : « On était 24 et quelques-uns n'étaient pas là... C'est cet ensemble-là qui forme un groupe - qui a envie d'aller en Afrique du Sud. J'espère que dans un mois, jour de vérité, il sera dans le même état d'esprit. Si j'ai une préférence pour notre barragiste ? De toute façon, il sera coriace... »

André-Pierre Gignac (attaquant toulousain) : « Je suis toujours aussi content d'être décisif, mais le principal c'est le contenu du match ; c'est une bonne répétition pour les barrages. Il y a une vraie dynamique, le dernier stage nous a fait énormément de bien, le match en Serbie de même. ça prouve qu'on peut aller loin. Et peu importe l'adversaire, l'équipe de France a les moyens de battre n'importe qui ! »

Moussa Sissoko (milieu du TFC) : « J'ai appris ma titularisation sur le tableau, à la causerie. Gamin je rêvais de jouer au Stade de France alors… Plus le match avançait, mieux je me sentais. Et après ? En jeunes, j'ai affronté l'Ukraine, la Bosnie et la Slovénie et on a gagné. Même sur des scores serrés. »
Le point

Hier :
FRANCE-Autriche 3-1
Roumanie-Iles Féroé 3-1
Lituanie-serbie 2-1

Classement. 1. Serbie 22 points ; 2. FRANCE 21pts ; 3. Autriche 14pts ; 4. Lituanie 12pts ; 5. Roumanie 12pts ; 6. îles Féroé 4pts.

Barrages : quel adversaire pour les Bleus ?

Depuis hier soir et la fin de la phase de poules, les Bleus de Raymond Domenech connaissent leurs quatre adversaires potentiels pour les barrages (14 et 18 novembre). Revue d'effectif - en attendant le verdict des boules la semaine prochaine.

Quand : le tirage au sort des oppositions aura lieu lundi 19 octobre.

Où : au siège de la FIFA à Zurich.

Comment : les barragistes sont divisés en deux chapeaux (voir encadré). La France sera tête de série. Le tirage au sort déterminera aussi l'ordre des matches. Malgré son statut, les Tricolores pourront donc jouer le match retour à l'extérieur.

Qui ?...
L'UKRAINE, ADVERSAIRE IMPRÉVISIBLE

Parcours : une formation capable du pire (0-0 contre le Bélarus) comme du meilleur (victoire 1-0 samedi dernier face à l'Angleterre, certes déjà qualifiée).

Point fort : l'émergence du football ukrainien en Europe ces derniers mois avec en figure de proue le Chaktior Donetsk et le Dynamo Kiev.

Joueurs clés : si Andreï Shevchenko n'est plus à son meilleur niveau, les Ukrainiens pourront notamment compter sur le retour de blessure de Chygrynskiy, le néo-défenseur de Barcelone.
L'EIRE, UN BON SOUVENIR

Parcours : l'Eire est à n'en pas douter un adversaire dangereux, comme en témoignent ses deux nuls face au premier du groupe 8, l'Italie (1-1, 2-2).

Point fort : son fervent public, qui pourrait peser dans la balance en cas de match retour en Irlande. Mais les Français connaissent ça, eux qui avaient déjà obtenu leur qualification pour le Mondial-2006 du côté de Landsdowne Road (1-0, but d'Henry).

Joueurs clés : attention au défenseur de Manchester United, John O'Shea, mais aussi au capitaine et attaquant Robbie Keane. Le tout coaché par l'Italien Giovanni Trapattoni.
BOSNIE, DANGER DEVANT

Parcours : dans sa poule, la Bosnie a devancé la Turquie, demi-finaliste de l'Euro-2008. Pas une mince performance. Les Bosniaques terminent derrière l'Espagne, champion d'Europe en titre et auteur d'un parcours exceptionnel.

Point fort : son potentiel offensif de haut niveau symbolisé par un quatuor détonnant.

Joueurs clés : le duo de Wolfsburg (Dzeko-Misimovic), Ibisevic (Hoffenheim) et Pjanic (Lyon) seront les hommes à surveiller.
Slovénie, LA BONNE PIOCHE

Parcours : avec la Slovaquie, ils ont réussi à écarter la République tchèque de la course au Mondial-2010. Pas une mince affaire.

Point fort : la défense assez solide. Les Slovènes figurent néanmoins comme les adversaires les plus abordables pour la France.

Le joueur clé : l'attaquant auxerrois Valter Birsa.
Qualifiés pour les barrages
Têtes de série

Russie
France
Grèce
Portugal
Autres équipes

Ukraine
Eire
Bosnie
Slovénie
Le bilan

Groupe 1: Revenu de loin après un départ miteux, deux faux pas à domicile contre le Danemark (2-3) et l'Albanie (0-0), le Portugal a terminé au sprint contre Malte (4-0) et assuré la deuxième place derrière le Danemark, déjà qualifié. La Suède a battu l'Albanie (4-1) mais termine 3e et ne verra pas l'Afrique du Sud.

Groupe 2: Un point suffisait aux Helvètes, contre Israël, ils l'ont obtenu à Bâle (0-0) et se sont qualifiés pour leur 9e Coupe du monde. La Grèce a assuré la place de barragiste en battant le Luxembourg (2-1).

Groupe 3: Pour la première fois de son histoire la Slovaquie s'est qualifiée pour un grand tournoi en gagnant en Pologne (1-0). Les Slovènes ont logiquement battu Saint-Marin (3-0) et sont barragistes.

Groupe 4: L'Allemagne a terminé invaincue sa campagne éliminatoire en concédant le nul à la Finlande (1-1). La Russie, deuxième et barragiste, a été tenue en échec à Bakou par l'Azerbaïdjan (1-1).

Groupe 5: Le champion d'Europe espagnol a remporté sa dixième victoire en dix matches de qualifications contre son dauphin, la Bosnie (5-2), qui savait déjà qu'elle disputerait les barrages.

Groupe 6: l'Ukraine a gardé son avance d'un point en écrasant Andorre 6- 0 pendant que la Croatie battait vainement le Kazakhstan (2-1). L'Angleterre a battu le Belarus (3-0).

Groupe 8: Gilardino a évité l'affront à l'Italie contre Chypre (3-2) en réussissant un triplé dans le dernier quart d'heure alors qu'elle était menée 0-2.

Zone Europe: Pays-Bas, Angleterre, Espagne, Allemagne, Italie, Serbie, Danemark, Suisse, Slovaquie
Les 21 qualifiés

Zone Amérique du Sud: Brésil, Paraguay, Chili

Zone Afrique: Afrique du Sud (pays organisateur), Ghana, Côte d'Ivoire

Zone Concacaf: Etats-Unis , Mexique

Zone Asie: Corée du Sud, Corée du Nord, Australie, Japon

J'ai suivi les 6 dernières minutes de la rencontre (2+4 de temps additionnel)
Au moment ou un supporter est rentré en courant sur le terrain en direction de LLoris avec les stadiers au fesse
J'ai apprécier les conférence de presse d'après match avec le gus en arrière plan qui disait a l'intention de GIGNAC " Oh mon père noël donne moi ton maillot "

MERCI CANNELLE ON CROISE LES DOIGTS POUR NE PAS RENCONTRER...
EN FAIT ON NE SAIT PAS QUI... TOUS NOUS FONT PEUR....

C un monde ou la moindre brindille
est ramassé
alors les maillots des jouers de l'EDF c'est un vrai trèsor pour ces vautours

Après la victoire contre San Marin mercredi (3-0), le Premier ministre slovène Borut Pahor a assuré qu'il nettoierait les souliers des joueurs de la sélection, si celle-ci se qualifiait au Mondial 2010, après les matches de barrages du mois prochain. «Nous avons une seconde chance, nous allons l'utiliser... et je laverai leurs chaussures (des membres de l'équipe en cas de victoire)», a-t-il lancé jeudi. Présente lors de l'Euro 2000 et de la Coupe du Monde 2002, la Slovénie pourrait affronter la France, la Russie, la Grèce ou le Portugal en barrages, les 14 et 18 novembre prochains

MOI SI LA SLOVENIE ELIMINE LA FRANCE ...
JE LANCE MA TELE PAR LA FENETRE.........ET MOI AVEC