OGC NICE // LIGUE 1

aladin a écrit:

le bonheur c'est simple

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:Nizza Merda..... Nizza Merda trois orteils en L2

je savais qu'au moins un serait content sur le forum
l'amere raclée a domicile ne l'est pas pour tous

Je vais passé une agréable après midi

Oui !! comme un Nice en L2 arrivant a Furiani avec la merde au cul

C'est pas fait encore ils ne sont pas relegables ;;JE CROIS

JUDAS a écrit:

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aladin a écrit:
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Non ils se tiennent a un pts du 15ème au 18ème Une petite défaite et vlan

oui mais c'est pas encore fait
j'ai des amis ne lorraine qui sauront etre polis et rester derriere les nissarts

PTS J G N P BP BC G

11. Toulouse 42 33 12 6 15 34 35 -1
12. Brest 41 33 10 11 12 34 37 -3
.....cho derriere
13. Valenciennes 39 33 8 15 10 38 37 1
14. Monaco 39 33 8 15 10 33 33 0
15. Auxerre 39 33 7 18 8 37 38 -1
16. Caen 39 33 10 9 14 40 47 -7
17. Nice 39 33 9 12 12 27 41 -14
........................
18. Nancy 38 33 10 8 15 32 45 -13
.....
19. Lens 30 33 6 12 15 32 51 -19
20. ACA 14 33 1 11 21 16 63 -47

JUDAS a écrit:

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C'est pas fait encore ils ne sont pas relegables ;;JE CROIS

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Oui !! comme un Nice en L2 arrivant a Furiani avec la merde au cul

Non ils se tiennent a un pts du 15ème au 18ème Une petite défaite et vlan

Ligue 1
OGC Nice: une chute en chiffres.Publié le mercredi 04 mai 2011 à 08H10
En douze jours, Mouloungui, Pejcinovic et les Niçois sont passés du rêve européen au cauchemar d’une possible relégation....

(Photo Serge Haouzi)

Passer du rêve au cauchemar en moins de deux semaines, c’est possible ! Demandez aux Aiglons, eux qui, 12es en championnat après avoir signé un succès probant sur Monaco, jouaient le mardi 19 avril une demi-finale de Coupe de France avec dans un coin de la tête le Stade de France et une qualification pour l’Europe.
Mais depuis dimanche soir, l’OGCN est 17e à un petit point de la relégation. Les ambitions sont rangées au fin fond du placard et ont fait place à la peur du vide.
En 12 jours, les stats du Gym ont sombré.
Petit tour d’horizon des chiffres qui font peur.

3 Le nombre de défaites consécutives (Lille 0-2 en Coupe, Marseille 2-4, Caen 0-4) après une série de huit matchs sans revers.

5 Le nombre de places perdues en championnat en deux journées. Le Gym est passé de la 12e à la 17e place.

8 La place qu’occuperaient les Aiglons avec 45 pts s’ils avaient gagné à Marseille, comme ils auraient pu, et battu Caen, comme ils auraient dû. Ils se seraient retrouvés à deux points de la 6e place, éventuellement qualificative pour l’Europa League... Bref, comment passer en deux matchs d’une fin de saison palpitante et sereine à l’angoisse d’une relégation qui serait catastrophique pour le club.

13 Le nombre de joueurs à ce jour blessés (Faé, Mounier, Sablé, Bellion, Cantareil, Veronese), en phase de reprise (Mabiala, Hellebuyck, Gace, Paisley), aux abonnés absents (Bagayoko) ou suspendus (Civelli, Mouloungui). Cela fait beaucoup pour un effectif pro de 25 joueurs.

14 la différence de buts négative des Aiglons. La plus mauvaise des huit équipes encore en lutte pour éviter la 18e place (Toulouse, 42 pts, -1 ; Brest 41 pts, -3 ; Valenciennes 39 pts, +1 ; Monaco 39 pts, 0 ; Auxerre 39 pts, -1 ; Caen 39 pts, -7, Nancy 38 pts, -13). Au regard de ce championnat très serré, ce handicap pourrait s’avérer fatal en cas d’égalité de points à l’issue de la dernière journée.

16 Avec les huit buts encaissés en 4 jours à Marseille puis face à Caen, le Gym a sombré à la 16e place des défenses de la L1 (41 buts encaissés). Au soir de la 28e journée, la bande à Roy occupait la 5e place de ce classement...

19 Les Aiglons occupent toujours la 19e et avant-dernière place des attaques de la L1 avec 27 buts inscrits en 33 matchs.

72 Le nombre d’avertissements récoltés par les joueurs niçois cette saison (pour trois rouges). Le total le plus élevé avec Caen. A l’inverse, Brest, chez qui les Niçois se déplacent samedi à 19 heures, est le club le plus sage de la L1 avec 42 jaunes et 0 rouge

La commission de discipline de la LFP a donné


Un match ferme + un match avec sursis : Renato Civelli (OGC Nice)

OGC Nice: retrouver l'efficacité défensive.Publié le vendredi 06 mai 2011 à 07H02
Didier Digard, symbole de l'opiniâtreté niçoise, suppléera Civelli en défense centrale.


Le Gym sera en déplacement à Brest pour sauver son maintien en Ligue 1, ce samedi à 19 heures. Les Aiglons doivent retrouver leur efficacité défensive.

Une qualité qui leur a permis de se maintenir à flot... jusqu'aux deux derniers matches du championnat. Deux matches, deux défaites, à Marseille et face à Caen, où David Ospina et sa défense ont pris deux fois quatre buts.

Si la rencontre au Vélodrome (4-2) ne fut pas complètement négative, la réception de Caen (0-4) aura marqué les esprits.

Après avoir remis les pendules à l'heure, Eric Roy, s'est fixé comme objectif de réagir, dès demain soir (19 heures) à Brest : « Le match de Caen a été une chose, la prise de conscience par rapport à ce match en est une autre. Ce match à Brest sera difficile, face à une équipe qui est un peu dans la même situation que nous. Les garçons sont partis avec l'idée de se rattraper, de se racheter. Un accident, ça peut arriver... Après il faut être capable de se relever ».



Et le discours du coach des « rouge et noir » se veut résolument optimiste : « Si on est une équipe qui a besoin de se faire peur pour se motiver, c'est le moment de le montrer. On n'est pas plus mal loti que beaucoup d'autres. Il ne faut pas oublier que, lors des dernières semaines, on est allé arracher des points que l'on n'aurait peut-être pas aujourd'hui. Ces trois points que l'on a perdus contre Caen, on est allé les chercher avant et on peut se dire que notre situation pourrait être meilleure, mais elle pourrait être pire aussi. Il faut savoir positiver ».

Esprit « commando »

Mais, pour ramener quelque chose du Finistère, il va falloir retrouver un esprit « commando » :

« Malheureusement, pour des clubs comme nous, l'esprit commando, il faut toujours l'avoir. C'est un état d'esprit qu'on avait perdu lors du match contre Caen. Cela nous rappelle à la dure réalité de notre club et de notre groupe : on n'arrive à faire des résultats qu'avec un état d'esprit irréprochable et on n'a pas les qualités suffisantes pour arriver à gérer des matches. A nous de tirer les conséquences de cet épisode en espérant que ce soit le dernier ».

Les Niçois devront d'autant plus retrouver cet esprit conquérant qu'ils se présenteront décimés sur la pelouse du stade Francis-Le-Blé. Primo, Civelli et Mouloungui sont suspendus.

Secondo, une longue liste de blessés, qui ne seront pas du voyage, est à déplorer : « Mounier et Sablé ont recommencé à trottiner ce matin, Gace et Paisley ont intensifié leur entraînement spécifique et reprendront demain (aujourd'hui) dans le groupe. Faé, toujours out, va pouvoir reprendre la course, le vélo et la piscine dans les prochains jours. Enfin, Bellion est toujours aux soins (adducteurs) ».

De plus, Bamogo, qui ne s'est pas entraîné hier, « se plaint d'un adducteur », déplore Eric Roy qui conclut : « On aura besoin de tout le monde, on va faire avec les joueurs disponibles. Tout est possible, j'ai confiance en les joueurs qui vont débuter le match ou qui entreront en cours de partie ».

Les joueurs s'entraîneront une dernière fois ce matin avant de s'envoler pour Brest.


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L'équipe probable : Ospina - Diakité, Digard, Pejcinovic, Clerc - Traoré, Coulibaly, Hellebuyck, Ben Saada, Bamogo ou Palun - Ljuboja

BREST - NICE
À 19 heures, stade Francis-Le Blé.
Arbitre : Ruddy Buquet.
Brest: Elana - Baysse, Brou-Apanga ou Martial, Kantari, Ferradj -
Ewolo (cap.), Ngoyi - L. Touré, Grougi, Lesoimier - Roux.
Remplaçants: Kerzil (g.) - Daf, Martial ou Brou Apanga, Licka,
Bigné, Poyet, Micola, Ayité.
Entraîneur: Alex Dupont.
Nice: Ospina - Coulibaly, Mabiala, Pejcinovic, Clerc - Ab. Traoré,
Diakité, Digard, Palun, Ben Saada ou Hellebuyck - Ljuboja.
Remplaçants : Letizi (g.) - Gace, Malaga, Hellebuyck ou Ben Saada,
Bamogo, Gonçalves, Quansah.
Entraîneur: Eric Roy

L'OGC Nice en mission à Brest.Publié le samedi 07 mai 2011 à 07H19 - 1
l'OGC Nice doit retrouver ses vertus défensives et faire bloc dans le Finistère.

Dix-septième avec un petit point d'avance sur le premier relégable (Nancy), l'OGC Nice se prépare à l'emballement final du championnat de Ligue 1.

Il reste cinq matches aux Aiglons (39 pts) qui restent sur deux défaites (4-2 à Marseille et 0-4 face à Caen) pour assurer le maintien.

44 ou 45 points seront nécessaires pour y parvenir. Les « rouge et noir » doivent donc prendre 5 à 6 points en 5 matches.

Le premier rendez-vous est fixé ce soir, 19 heures, sur la pelouse du stade Francis-Le-Blé, face à Brest qui, avec 41 points, pourrait faire un grand pas vers le maintien en s'adjugeant la victoire.

« La réponse, on l'aura ce soir sur le terrain », annonce l'entraîneur Eric Roy qui a insisté toute la semaine sur l'esprit « commando » qui doit animer ses joueurs.

Sept titulaires absents

D'autant plus que sont absents pas moins de sept titulaires. Deux sont suspendus : Civelli et Mouloungui. Cinq autres sont blessés : Faé, Mounier, Sablé, Paisley et Bellion. Seul Gace est de retour dans le groupe. Ce soir, inutile de faire des calculs, il faut ramener au moins un point du Finistère.

« Tout le monde nous a rejoints et même dépassés, commente Chaouki Ben Saada, dont la technique devrait être profitable aux Aiglons dans un match très défensif. On croyait que, face à Caen, on allait faire un petit break mais on se rend compte que les compteurs ont été remis à zéro. Il va falloir se remettre au travail et montrer un nouveau visage ».

Pour cette mission commando, Eric Roy devrait titulariser Mabiala au côté de Pejcinovic, replacer Coulibaly côté droit, Clerc restant à gauche.

Didier Digard, nommé capitaine, devrait patrouiller tout près de ses défenseurs, aidé par Diakité, Hellebuyck (ou Palun), Traoré et Ben Saada, tandis que Ljuboja pourrait être seul en pointe, prêt à profiter de la moindre occasion pour surprendre la défense brestoise.

Afin de ramener au moins un point de cette mission « commando » en terre bretonne

BON NUL SANS RIEN ENCAISSE.......
Brest - Nice 0 A 0

- Foot - L1- 34e j. - Roy :«Ce point fait plaisir»
Nice a pris un point précieux samedi sur la pelouse de Brest (0-0). Les Aiglons ont deux points d'avance sur le premier relégable.

Alex Dupont (entraîneur du Stade Brestois) : « On espérait mieux bien évidemment. Ce type de match, on s'y attendait. Nice n'était pas venu ici pour se livrer. Ils étaient là pour bien défendre et nous contrer. Ils ont bien défendu et on n'a pas, nous, trouvé les solutions. On a fait une mauvaise entame, je dirais même une mauvaise première mi-temps. Les gars semblaient inhibés par l'enjeu. On a été trop timides. Je crois qu'ils pensaient trop au résultat. On a pesé un peu plus en deuxième, mais insuffisamment pour mettre cette équipe de Nice en difficulté. On n'a pas été performants sur les coups de pieds arrêtés. »

Éric Roy (entraîneur de Nice) : « Tous les points vont compter jusqu'à la fin de la saison. Au-delà de ce point qui, forcément, fait plaisir, c'est surtout l'état d'esprit que les garçons ont démontré : abnégation, efforts, les attitudes tout simplement. A ce niveau-là, ils ont répondu présent de la meilleure des façons au non-match de la semaine dernière. Je leur avais demandé une révolte, ils l'ont eue en tout cas au niveau de l'état d'esprit. La satisfaction, c'est de ne pas avoir pris de buts alors qu'on restait sur une série incroyable, en passant de la cinquième défense du championnat à la seizième. »

Stade Francis Le Blé.
Arbitre : Ruddy Buquet.
Spectateurs: 14 336.
Avertissement - Nice : Palun (37).
Brest : Elana - Baysse, Brou-Apanga, Kantari, Ferradj
- Ngoyi, Ewolo (cap) - Poyet (Ayité, 64), Grougi, Lesoimier
(Touré, 64) - Roux (Licka, 90).
Entraîneur : Alex Dupont.
Nice: Ospina - Coulibaly, Mabiala, Pejcinovic, Clerc -
Digard (cap) - Traoré, Diakité, Palun (Hellebuyck, 67),
Ben Saada (Bamogo, 82) - Ljuboja (Quansah, 72).
Entraîneur : Éric Roy.

François Clerc : « Un point qui fait du bien »

« On aurait bien aimé gagner mais il faut parfois savoir se contenter d'un point. On a voulu resserrer les rangs, être solidaires et retrouver les valeurs que l'on avait perdues lors du dernier match à domicile. Ce point nous fait du bien, il faut enchaîner contre Arles, mais ce sera difficile. Brest est une équipe qui a fait de bons matchs à domicile, on est content de ce 0-0 même s'il y a des choses à revoir sur le plan du jeu. »

07 mai 2011 Brest 0-0 Nice


Le Gym stoppe l'hémorragie

Nice stoppe la spirale négative en ramenant un nul (0-0) de Brest. Appliqués et solidaires, les rouge et noir n'ont été que rarement en danger. Un bon point qu'il faudra absolument bonifier dès mercredi contre Arles-Avignon.

A Brest, Stade Francis Le Blé, Stade Brestois et OGC Nice 0 à 0

14.336 spectateurs

Arbitre : M. Buquet

Avertissement : Palun à Nice

Brest : Elana - Baysse, Brou Apanga, Ferradj, Kantari - Ewolo (c), Ngoyi, Grougi, Lesoimier (Touré, 65è) - Poyet (Ayité, 65è), Roux (Licka, 91è)

Nice : Ospina - Coulibaly, Mabiala, Pejcinovic, Clerc - Digard (c), Diakité, Palun (Hellebuyck, 68è), Traoré, Ben Saada (Bamogo, 83è) - Ljuboja (Quansah, 73è)


Stopper l'hémorragie. Après la débâcle contre Caen, Nice s'était bien malgré lui remis dans le gruppetto de ce championnat de Ligue 1. 10 buts encaissés lors des trois derniers matches, un secteur offensif décimé par les blessures, l'objectif des hommes d'Eric Roy était clair. Et l'objectif est atteint. Sans trembler outre mesure, les aiglons ont tenu à distance de leur but une équipe brestoise que ce nul arrange aussi finalement.

Alignés dans un 4-5-1 avec Danijel Ljuboja au centre de l'attaque, les niçois se font un peu bouger en début de partie. Mais les bonnes intentions armoricaines sont tuées dans l'oeuf par une défense niçoise appliquée. C'est même le Gym qui frappe le premier par Ben Saada mais Elana repousse (6è). Quelques minutes plus tard sur un corner du tunisien le portier brestois se troue mais Diakité, surpris, n'en profite pas alors que le but était vide (10è).

La partie se déroule essentiellement en milieu de terrain, dans de petits espaces, entre deux équipes qui n'osent pas trop se livrer. Le breton le plus dangereux se nomme Lesoimier. Sur son aile gauche il met en difficulté Coulibaly mais ses centres ne sont pas capitalisés par ses coéquipiers, qu'ils s'appellent Poyet ou Ngoyi. Nice réagit en contre où Ljuboja, esseulé, fait un gros travail de fixation. Le renfort n'arrivant pas toujours, le serbe tente sa chance dans un angle difficile sans trouver le cadre (41è).

Après quinze minutes de repos, même scénario à la reprise. Le Gym attend le Stade Brestois sans trop reculer, et les locaux ne veulent pas se livrer outre mesure. Un scénario stressant de fin de saison mais Ospina n'aura pas à sortir le grand jeu devant le peu de frappes cadrées des attaquants finistériens. Eric Roy renouvelle son secteur offensif avec les entrées de Quansah et Bamogo tandis que le retour d'Hellebuyck donne au Gym un surplus de précision sur les coups de pieds arrêtés.

Dans les dix dernières minutes le Stade Brestois oublie la construction et envoie de longs ballons dans "la boite". Si les supporters niçois tremblent devant leur poste, la défense rouge et noire s'en sort sans paniquer et ramène un point satisfaisant sur la Côte d'Azur. Un point qu'il faudra absolument bonifier mercredi (19h) au Ray contre Arles-Avignon pour voir la fin de saison avec optimisme.

NICE● Abdou Traoré absent
contre Arles-Avignon. Le milieu
de terrain malien, victime
d’une élongation samedi
soir à Brest (0-0), est d’ores et
déjà forfait pour la réception
de l’ACA mercredi (19 h). Anthony
Mounier souffre de la
cuisse et demeure de son côté
très incertain. L’OGCN
pourra en revanche compter
sur les retours de Renato Civelli
et Julien Sablé

les équipes probables
19h00

Nice - Arles-Avignon
Arbitre: M. Gautier
Nice: Ospina - D. Diakité, Civelli, Pejcinovic, Clerc - K. Coulibaly, Palun, Digard, Ben Saada (ou Hellebuyck) - Mouloungui, Ljuboja.
Arles-Avignon: Planté - Soro, Pavon, Lorenzi, J-A. Fanchone - Mériem, Ayasse, Aït Ben Idir, Rocchi - Kermorgant, D. N'Diaye.

Civelli et Mouloungui in, Traoré out



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Mardi 10 Mai 2011


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Renato Civelli et Eric Mouloungui de retour de suspension, c'est Abdou Traoré qui quitte le groupe pour rejoindre une infirmerie déjà blindée. Eric Roy devra aussi se passer des services de Bellion, Cantareil, Mounier, Faé, et Sablé, tous blessés, pour la réception d'Arles-Avignon (demain à 19h au Ray).


Le groupe :
Letizi, Ospina - Civelli, Clerc, Coulibaly, Gace, Mabiala, Paisley, Pejcinovic - Ben Saada, Diakité, Digard, Hellebuyck, Palun - Bamogo, Gonçalves, Ljuboja, Mouloungui, Quansah.
Absents : Bellion, Cantareil, Faé, Mounier, Sablé, Traoré (blessés), Bagayoko (choix de l'entraîneur

Nice s'impose 3 à 2 face à ACA qui aura fait trembler son adversaire de bout en bout. Le but splendide de Diawara en toute fin de match ne changera rien, Nice sort grand vainqueur de la confrontation.
les buteurs nicois
D.Ljuboja (31e, 75e) F.Clerc (54e

La Brigade Sud de Nice bientôt enterrée.Publié le jeudi 12 mai 2011 à 08H20 - 4 C’était quasiment leur dernière chance. Après avoir été déboutés de leur démarche visant à questionner la constitutionnalité du texte ayant servi de base à la dissolution de leur groupe, les supporters de l’OGC Nice affiliés à la Brigade Sud espéraient obtenir gain de cause en demandant au Conseil d’État d’annuler tout bonnement le décret de dissolution qui avait frappé la BSN en 2010.

Cette décision faisait l’objet d’un tir groupé du Premier ministre, puisque sept associations ou groupement de supporters, de Nice, Lyon et Paris, avaient connu le même sort. Du côté de la BSN, on avait tout d’abord argué que n’étant pas une association de loi 1901, mais un regroupement informel de supporters, elle ne pouvait être dissoute. Argument balayé une première fois par la justice.

Violences et incidents

Hier, devant le Conseil d’État, c’est cette fois sur la forme que le groupement porté par Gilles Zamolo entendait porter le fer. En l’espèce, la Brigade Sud n’aurait pas eu le temps de présenter ses observations relatives aux griefs retenus par les services de Matignon pour prendre leur décision.

Des griefs au nombre de six, qui relataient les « exploits » de la Brigade à l’occasion de la saison 2009-2010 de Ligue 1 : violences commises à l’occasion d’une rencontre préparatoire contre le club italien de Gênes le 1er août 2009 ; violences et dégradations lors du Saint-Etienne-Nice du 8 août 2009 ; incidents en plein centre-ville en marge du Sochaux-Nice du 28 novembre 2009 ; violences (y compris contre un supporter niçois) et envahissement du terrain à Monaco le 30 janvier 2010 ; bagarre contre des supporters lyonnais le 27 février, et enfin dégradations d’autocars le 13 mars 2010 au Mans.

Décision dans quelques semaines

Or, pour le rapporteur public, Xavier de Lesquen, le simple fait que l’ensemble de ces actes aient fait l’objet de plaintes et/ou de constatations policières suffit à en constituer la matérialité. De plus, se référant au Code du Sport, stipulant notamment que « peut être dissous toute association ou groupement de fait ayant pour objet le soutien à une association sportive dont des membres ont commis en réunion des actes répétés constitutifs de dégradations de biens, de violences sur des personnes ou d’incitation à la haine », le rapporteur a estimé que les sages du Conseil d’État, « désormais familiers des affaires de dissolution de groupes de supporters depuis celle des Boulogne Boys en 2008 », devaient rejeter la requête formulée par la Brigade Sud. Décision dans quelques semaines. Restera une dernière possibilité de recours, cette fois devant la Cour Européenne des Droits de l’homme, que l’on imagine peu disposée à réhabiliter un groupement de supporters violent.

L'OGC Nice sur la bonne voie.Publié le jeudi 12 mai 2011 à 08H40
Ben Saada, passeur inspiré, sur le 3e but signé Ljuboja.

(Photo Franck Fernandes)

Question : le maintien est-il assuré ?
Réponse : évidemment non. Encore que, les Aiglons n’en sont peut-être plus très loin, d’un point de vue comptable.
Et pour tout dire, ils n’ont pas volé ces trois points de la peur, acquis hier contre une faible équipe d’Arles-Avignon dont on comprend mieux la destination... Quand bien même elle n’a jamais lâché le morceau.




Cela dit, il a fallu se montrer patient, tant la première demi-heure a été insipide. La faute à des Niçois timorés. Peur de mal faire, bien sûr. Du contre assassin aussi. Ainsi, le Gym procédait-il surtout par de longs ballons vers l’avant en direction de Mouloungui et Ljuboja. Le milieu Ben Saada-Diakité-Hellebuyck, sauté, était souvent aux abonnés absents, la plupart du jeu passant par Digard, positionné devant la défense.

Et si le Gym menait aux points, au nombre des occasions (8e, 13e, 19e, 28e), tout cela restait stérile. Au fil des minutes, Nice allait s’enhardir, poser son jeu et faire reculer, subir Arles-Avignon. C’était le moment de concrétiser ces louables intentions. Ce que Ljuboja – pourtant hors-jeu – allait réussir. Aux abords de la surface, un superbe centre de Clerc était repris par le Serbe d’une tête décroisée, finissant sous la transversale (1-0, 31e).

Peur sur le Ray !

Il restait un quart d’heure et les Aiglons paraissaient avoir fait le plus dur. Voire... Car les Provençaux, inexistants offensivement jusque-là, allaient profiter d’un moment d’égarement azuréen. Au milieu du terrain, Ghilas et Dja Djeje redoublaient leur ballon pour décaler Cabella dont la frappe ras de terre était involontairement touchée par Pejcinovic.

Ospina était pris à contre-pied (1-1, 39e)...



Autant vous dire que des sifflets accompagnaient la sortie de ces trop tendres Aiglons. Dès la reprise, la leçon paraissait avoir été méditée. Nice avait haussé le rythme et se projetait avec davantage de fluidité, de vitesse, vers l’avant. Payant, lorsque Hellebuyck ponctuait un bon mouvement d’une frappe ras de terre que Merville avait toutes les peines du monde à maîtriser... Clerc, opportuniste, reprenait ce ballon mal négocié et redonnait foi aux siens (2-1, 55e).

Le bonjour de Kaba

A l’abri les Aiglons ? Pas sûr. Car Dja Djedje et ses potes n’abdiquaient pas. Ce qui, évidemment, offrait des espaces aux Niçois. Intervalles dans lesquels Ben Saada s’engouffrait à la 76e. Une passe plus loin pour Ljuboja, le Serbe d’une frappe croisée signait son doublé de la soirée (3-1, 76e). Ouf ! Soupir de soulagement. On pouvait respirer.

Pas tant que cela en fait... Car finalement, l’on ne remerciera jamais assez «Ljubo» de l’avoir joué hier soir un brin “perso”, lorsque Kaba Diawara, dans les arrêts de jeu, décidait de se rappeler au bon souvenir du Ray et de flinguer Ospina à bout portant (3-2, 93e) !

Pour la plage et les tongs, ce n’est pas encore gagné. Mais avec ces trois points, la Lorraine - dimanche - ce ne sera pas tout à fait non plus «le Vietnam».

OGC Nice: Eric Roy, "C’était le match de la peur".Publié le jeudi 12 mai 2011 à 08H45
(Photo Franck Fernandes)

Eric Roy n’est pas tombé dans le triomphalisme après ce succès étriqué face à une équipe d’Arles-Avignon qui « ne lâche rien ». L’entraîneur niçois est déjà projeté vers le stade Marcel-Picot, où les Niçois s’en iront défier, dimanche (17h), les Nancéiens dans une nouvelle finale pour le maintien.

Le Gym a rempli sa mission en venant à bout d’Arles...
Finalement oui. L’essentiel a été fait. Il faut reconnaître que c’était le match de la peur. Après notre défaite face à Caen (4-0), on était dans l’obligation de gagner. Ce n’est jamais facile de se retrouver dans ce genre de situations. Après, il y a des choses à redire au niveau du contenu et de la maîtrise du jeu en fin de match.

Comment expliquez-vous cette fébrilité après l’ouverture du score ?
C’est un peu comme lors de nos derniers matchs où l’on ne concède que peu d’occasions et on encaisse encore deux buts. Je vois des matchs où des équipes concèdent trois, quatre, cinq occasions et qui parviennent à faire 0-0, voire gagner 1-0. Heureusement qu’on a marqué trois buts. Rien n’est terminé, on a un match très compliqué qui nous attend à Nancy dimanche. On n’a pas vraiment le temps de savourer.

« Je ne fais plus de calculs »

N’est-ce pas usant de ne pas connaître le nombre de points qu’il faudra pour se sauver ?
Ça fait longtemps que je ne fais plus de calculs. Je ne connais même pas le calendrier de nos concurrents. Ce qui m’intéresse, c’est mon équipe.

Pourquoi votre équipe n’arrive jamais à se rendre les matchs plus faciles ?
Il n’y a jamais de matchs faciles. Or, on a eu des matchs où l’on a eu plus de maîtrise. En première période, il y a tout de même eu des choses intéressantes. Ce n’est pas facile de demander à l’équipe d’être sereine dans un match de la mort (sic) face à une équipe décontractée.

En prenant quatre points lors des deux derniers matchs, le groupe a, une fois encore, prouvé qu’il ne lâchait rien...
C’est sûr. Il faut maintenant enchaîner. J’en ai vraiment envie. Il reste trois matchs et il va encore falloir prendre des points.

17h, stade Marcel-Picot.
Arbitre : Stéphane Lannoy.
Nancy: Grégorini - Chrétien, Andrés Luiz,
Lotiès, Brison - Bérenguer, N’Guémo, Féret,
Gavanon - Hadji (cap), Jeannot.
Remplaçants : Pillot, Sami, Haïdara,
N'Diaye, Traoré, Vahirua, Bakar.
Entraîneur : Pablo Correa.
Nice: Ospina - Coulibaly, Civelli (cap), Pejcinovic,
Clerc - Digard - Mouloungui, Diakité,
Sablé, Ben Saada - Ljuboja.
Remplaçants : Letizi, Gace, Mabiala, Malaga,
Palun, Mounier, Quansah.
Entraîneur : Éric Roy

83eNancy2-0 Nice

Nancy
3-0
Nice

nice continue d'encaisser des cartons...........