OGC NICE // LIGUE 1 CLUB VILLE ET STADE

 
Nice n’y arrive vraiment pas
 
1-0 Deux poteaux et un penalty oublié empêchent l’OGC Nice de ramener quelque chose de Montpellier.
 
 
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Dimanche 11 Septembre 2011
 
 
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L’OGC Nice tarde à lancer son championnat. Ce n’est pourtant pas faute d’essayer. Cet après-midi encore, la réussite a fui les Aiglons à Montpellier, où ils s’inclinent face au leader (1-0).
 
 
A la pause, le Gym a moins touché le ballon que son adversaire mais s’est procuré plus de situations. Les Aiglons peuvent même mener au score si M. Jaffredo n’oublie pas un penalty sur Pentecôte (27e). Déséquilibré dans la surface, l’attaquant est alors à la conclusion d’une superbe action niçoise. Digard, de sa moitié de terrain, met en orbite Mounier sur l’aile gauche. Le long ballon est parfaitement dosé, et l’ailier gauche, de volée, peut centrer. La plus belle action du premier acte…
 
 
Pentecôte encore, Mounier, Meriem ont encore l’occasion d’ouvrir la marque avant le repos. Sans plus de précision.
 
 
Camara bouleverse le scenario
 
 
Au retour des vestiaires, le Gym tente de repartir sur le même tempo. Pentecôte est trop court pour reprendre un centre de Clerc, puis contré par Mbiwa sur le côté gauche. Et l’entrée de Camara change la donne.
 
 
Le Sénégalais, ancien pensionnaire de l’OGC Nice, trouve la faille à un quart d’heure de la fin. Son équipe, alors, presse depuis un bon quart d’heure. Sans un magnifique réflexe d’Ospina, Giroud l’aurait précédé. Mais c’est bien le joueur formé à Monaco qui trompe le Colombien d’une tentative enroulée du gauche (1-0, 75e). Cinq minutes plus tard, Guié Guié entre en jeu alors que Meriem s’apprête à botter un corner. L’ex-Tourangeau se place dans la surface et reprend de la tête… et la transversale s’interpose. La balle revient sur Pejcinovic, dos au but, qui tente un retourné. La barre repousse encore !
 
 
Les Aiglons ne sont décidément pas vernis. A une semaine de la réception d’Ajaccio, les voilà dos au mur. Sous peine de souffrir cette saison.

Pentecote est en forme a l'entrainement d'aujourd'hui, il a blessé deux de ses co équipiers .....

aie dommage

OGC Nice: Eric Roy, "On doit se battre comme des chiens".Publié le mercredi 14 septembre 2011 à 08H37 - 3
L’entraîneur niçois attend plus de ses joueurs et le leur a fait savoir « entre quatre yeux ».

(Photo Franck Fernandes)

. Deux nuls et trois défaites en cinq matchs, deux buts marqués, six encaissés, 19e au classement... Les chiffres sont implacables. Oui, le début de saison du Gym est bien raté. Si les Aiglons ne jouent pas si mal et se procurent des occasions, ils manquent de réalisme et n’ont pas la petite étincelle qui peut faire la différence à ce niveau. Pourtant, cette équipe a de la « gueule » sur le papier. L’effectif semble solide qualitativement et quantitativement. Mais les recrues peinent à se mettre dans le rythme et un onze-type a du mal à se dégager. Eric Roy n’est pas inquiet, conscient du potentiel de ses troupes, mais il pense que certains joueurs ne donnent pas encore leur maximum.




Eric, vous avez déjà utilisé 22 joueurs en 6 matchs (Coupe de la Ligue compris), vous cherchez encore un onze-type ?
Utiliser 22 joueurs, ça me paraît assez logique. On a un groupe de 25 joueurs et on compte sur tous. Avoir un groupe homogène, avec de la complémentarité et une émulation, pour moi, c’est une force.

A Montpellier, Mouloungui était sur le banc alors qu’il avait donné satisfaction au mois d’août. Paie-t-il son faux-départ pour l’Angleterre ?
Il fait partie intégrante de l’effectif. Mais il est parti une semaine avec sa sélection récemment et ne s’est pas entraîné. S’il montre des choses prometteuses à l’entraînement, il jouera. Dja Djédjé a débuté à Toulouse
en Coupe de la Ligue et à Montpellier. On a pris des joueurs, c’est aussi pour les faire jouer. Et puis chacun s’inscrit dans un projet de jeu. Etre remplaçant permet aussi de faire la différence quand on rentre grâce à sa fraîcheur. Regardez Camara et Cabella à Montpellier dimanche. Ils sont rentrés et ont fait la différence.

Les recrues comme Monzon, Abriel et à un degré moindre Meriem semblent avoir du mal à se mettre dans le rythme...
Fabian (Monzon) est décevant sur son dernier match, je lui en ai parlé. Il faut lui laisser un peu de temps. Il doit faire plus et on attend plus de lui. Il le sait. Mais à Montpellier, beaucoup de joueurs ont été en dessous de leur niveau réel.

« On est assez en colère»

On sent qu’il souffre physiquement...
Il n’a pas eu de vacances avec la préparation de l’Argentine à la Copa America. Ses prochaines prestations diront si on envisage de leur faire souffler un peu. Après, on parle de Fabian, mais, à Montpellier, il n’était pas le seul !

Abriel ?
Il manque un peu de rythme, oui. Mais il n’avait pas joué depuis un moment. On sait qu’il va monter en puissance. Je pense que le groupe sera vraiment compétitif à la fin septembre avec les retours de Faé et Coulibaly. Après, je ne vais pas m’épancher dans la presse pour dire ce que je pense des joueurs. Je leur ai dit entre quatre yeux ce que je pensais.

On vous a senti en colère après le match...
En ce moment, on est assez en colère, c’est vrai. Mais il faut que les joueurs le soient aussi pour que leur frustration de résultats se transforme en énergie positive.

Pourtant, sur le papier, votre équipe a de la « gueule »...
Oui, il fallait voir le nombre de supporters à Montpellier. La preuve que l’équipe plaît aux gens cette année. Mais il faut leur rendre la confiance qu’ils nous accordent. J’ai prévenu les joueurs en leur disant qu’ici,
à Nice, les supporters aiment les mecs qui mouillent le maillot, se battent comme des chiens. Et ça ne se voit pas pour l’instant.

« Si les mecs se reposent sur des statuts et des acquis, ils vont vite déchanter »

Ne craignez-vous pas que certains se reposent inconsciemment sur les ‘‘noms’’ qui composent l’effectif ?
Si les mecs se reposent sur des statuts et des acquis, ils vont vite déchanter. Je suis confiant car je crois en notre potentiel. Mais les matchs, on ira les gagner en piochant au plus profond de nous-mêmes.

vidéo http://www.nicematin.com/article/ogc-nice/ogc-nice-eric-roy-on-doit-se-battre-comme-des-chiens

Diakité était absent du groupe à Montpellier...
C’est le choix de l’entraîneur. C’est aussi arrivé à David Hellebuyck récemment. Mais c’est la concurrence qui veut ça. Après le joueur a deux solutions : soit il se dit : « je me montre à l’entraînement la semaine prochaine, soit je lâche. »

Expliquez-vous vos choix à vos joueurs ?
Je n’explique pas mes choix. Quand j’étais joueur, mes entraîneurs ne le faisaient pas non plus. Maintenant, s’ils veulent venir discuter, il n’y a pas de problème.

équipes probables
Nice - Ajaccio (19h00)
NICE : Ospina - D. Diakité, Mabiala (ou Gomis), Pejcinovic, Monzon - Digard - Dja Djédjé (ou Abriel), Sablé, Meriem, Mounier (ou Mouloungui) - Pentecôte
AJACCIO : Ochoa - Lippini, Medjani, Poulard, Bouhours - Pierazzi, B. André (ou Mostefa) - J. Cavalli, Ilan, Sammaritano - Socrier

90e Nice 3-0 AC Ajaccio

aladin a écrit:90e Nice 3-0 AC Ajaccio

Et un rouge pour Cavalli

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:90e Nice 3-0 AC Ajaccio

Et un rouge pour Cavalli

CAVALLI EXCLU et AJACCIO QUI PERD
MAIS NICE QUI GAGNE ...TA JOIE N "EST PAS COMPLETE

L'ACA n'a rien pu faire.Publié le dimanche 18 septembre 2011 à 07H16
Yoann Poulard et les Aceistes se sont lourdement inclinés hier soir au stade du Ray. L’expulsion de Cavalli et le penalty qui a suivi en toute fin de première période ont été le tournant de la rencontre.

Serge Haouzi

. Le score est trompeur. À Nice, Ajaccio n'a pas été mis KO, même si le dénommé… Monzon fut l'auteur de deux penalties. Il a fallu attendre les toutes dernières minutes du match pour que le Gym se mette à l'abri face aux Acéistes qui ont joué en infériorité numérique toute la deuxième période.

Déjà pas vernis par l'arbitrage depuis le début de la saison les Aiglons ont failli être privés d'un nouveau penalty peu avant la pause après une main évidente de Cavalli sur sa ligne que seul l'arbitre M. Fautrel n'avait pas vu. S'en suivait un grand moment de confusion. Après avoir consulté le quatrième arbitre, le directeur du jeu revenait sur sa décision, expulsait Cavalli et rendait leur dû aux Rouge et Noir. Ce qui permettait à Monzon d'ouvrir le score de sa patte gauche, en force. Un avantage assez mérité au vu d'une première période que les Aiglons avaient globalement dominé. Sans panache, certes, face à des Ajacciens venus clairement pour jouer le contre.

En deuxième période, on pensait ensuite que les Azuréens, en supériorité numérique, allaient dérouler. Se mettre à l'abri. Ils auraient pu le faire plus tôt si Mouloungui, entre autres, n'avait pas eu de déchet dans le dernier geste.

Kinkela sur le poteau

Mais, au lieu de ça, les Niçois se faisaient peur. Notamment quand Kinkela, à bout portant, trouvait le poteau d'Ospina

(56'). Peut-être le tournant. Car l'ACA venait de laisser passer sa chance. Il fallait donc attendre les cinq dernières minutes pour que Monzon, encore sur penalty, et Civelli, de la tête, donnent enfin un plus large succès aux Niçois. Hier soir, ce sont les deux défenseurs Argentins du Gym qui ont fait la différence.

Les statistiques (14 occasions à 1, 23 tirs à 5) démontrent la domination des joueurs de Roy sur des Ajacciens qui ne purent jamais se relever après le premier penalty et l'expulsion de Cavalli. Mercredi, les hommes de Pantaloni recevront le leader montpelliérain. Un autre défi. Un autre combat

Lundi 19 Septembre 2011


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Les Aiglons partent demain pour Paris, où ils jouent mercredi soir pour le compte de la 7e journée de Ligue 1. Ils reçoivent ensuite Dijon, samedi à 19h au Ray.


Le planning :
Lundi : 18h à Charles-Ehrmann
Mardi : 10h à huis clos puis départ à Paris
Mercredi : PSG - Nice à 19h au Parc des Princes
Jeudi : 10h à Charles-Ehrmann
Vendredi : 17h30 à huis clos
Samedi : Nice - Dijon à 19h au Ray

Les équipes probables
(19h00)
Paris SG - Nice
PSG : Sirigu - Jallet, Z. Camara (ou Lugano), Armand, Tiéné - Chantôme, Matuidi (ou Bodmer) - Menez, Pastore (ou Bodmer), Nene - Gameiro.
Nice : Ospina - D. Diakité, Civelli, Pejcinovic, Monzon - Digard, Faé (ou Abriel) - Mouloungui (ou Dja Djédjé), Meriem, Mounier - Pentecôte.

Football - Ligue 1
PSG-Nice : les clés du match.Publié le mercredi 21 septembre 2011 à 09H10
L’Argentin Javier Pastore, buteur du dernier succès du PSG en L1 contre Brest, sera à surveiller.
. Revigoré par sa victoire contre Ajaccio, l'OGC Nice effectue un déplacement périlleux à Paris ce mercredi soir (19h). Les clés du "Parc"...
OGC Nice (15e)
Après un début de saison inquiétant (deux nuls, une défaite), les Niçois ont redressé la barre face à Ajaccio (3-0). Ce succès leur donne des idées et l'ambition, pourquoi pas, de faire un "coup" au Parc des Princes.

Le groupe

Roy, qui a prévu de faire tourner un peu son effectif (trois matches en huit jours), pourrait relancer Dja Djé Djé sur le flanc droit, un attaquant formé au PSG. Clerc, lui, sera rétabli pour Dijon, de même que Palun.

Equipe probable :

- Ospina
- Diakité, Civelli, Pejcinovic, Monzon
- Abriel, Digard, Meriem
- Dja Djédjé, Pentecote, Mounier

Remplaçants : Fernandez (g.), Mabiala, Coulibaly, Hellebuyck, Faé, Sablé, Mouloungui, Guié Guié.

La déclaration

"Les Parisiens ont fait un bon début de saison. Ils ont acheté des joueurs de classe mondiale et sont en confiance. Leur période de rodage n’est pas terminée. On sait que ça va être difficile mais, honnêtement, on y croit. On va aller là-bas pour gagner. Brest, par exemple, a fait un bon match au Parc malgré sa défaite (0-1) et aurait pu l’emporter."

(Emerse Faé à Nice-Matin)


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PSG (5e)
Si Paris est l'une des forteresses du championnat, celle-ci n'est pas imprenable... Evian menait 2-0 samedi dernier après 20 minutes contre ce PSG modelé façon empire qatari (2-2 au final). La charnière centrale notamment (à l’image de Lugano) n’a pas été exempte de tout reproche. Son quatuor offensif (Gameiro, Nenê, Pastore, Mennez) n'a, en revanche, pas d'équivalent en L1. "C’est impressionnant, Paris fait des choses que tu vois seulement à la play-station, a lancé le coach Eric Roy. Notre salut sera collectif."

Le groupe

Kombouaré laisse planer le doute sur le onze qu’il alignera. L’entraîneur du PSG a expliqué en conférence de presse qu’il prendrait ses décisions le jour du match.

Equipe probable :

- Sirigu
- Tiene, Camara, Lugano, Jallet
- Chantôme, Matuidi
- Nenê, Pastore, Gameiro, Menez

Remplaçants : Douchez (g.), Armand, Bahebeck, Ceara, Kebano, Erding.

La déclaration

"Si on voit le côté négatif, oui, on démarre mal. Mais peu d’équipes sont capables de remonter deux buts. On aimerait gagner tous les matchs mais ce n’est pas possible. Même le Barça et le Real Madrid ne le font pas, sans vouloir faire de comparaison."

(Kombouaré après le nul contre Evian)

Paris-SG 2-1 Nice
il reste 1 quart d'heure

3 penos
C Nene (36e sp)K. Gameiro (71e sp)
F. Monzon (61e sp)

Si près de la perf...

PSG 2-1 NICE Le Gym frôle l’exploit à Paris. Une défaite qui laisse entrevoir de belles promesses…

Mercredi 21 Septembre 2011

La perf était à portée de fusil. Plusieurs fois, le Gym est passé tout proche de l’égalisation. A la 92e, sur un centre de Coulibaly repris par le crâne de Guié Guié au second poteau. Un peu plus tôt, sur une percée côté gauche de l’intenable Mouloungui (76e) ou sur un coup-franc de Digard (81e).


Après l’ouverture du score logique du PSG (35e sur penalty) au cours d’une première période presque entièrement parisienne, le Gym l’a même obtenue, cette égalité au panneau d’affichage. Un retour des vestiaires réussi, un contre supersonique mené par un Faé déjà tranchant et Mouloungui, servi dans la course, exaspère Jallet en pleine surface. Monzon, le meilleur buteur niçois, transforme la sentence, son troisième penalty en quatre jours (61e).


Coaching audacieux


C’est alors le Gym qui domine cette rencontre. Eric Roy, au coup d’envoi, a effectué des choix clairs : Meriem et Pentecôte sur le banc, Sablé et Faé de retour dans le onze de départ, et Mouloungui en pointe. Des choix qui s’avèrent judicieux : malgré sa nette domination technique, Paris n’a su creuser l’écart avant le repos. La faute à une densité niçoise et un pressing efficace dans l’entrejeu.


Et après le repos, quand il a fallu prendre le jeu à son compte, Nice tient en ses rangs une belle palette : Digard et son jeu long, Abriel et ses passes en première intention, Faé et ses perforations. Tout n’est pas réussi - loin de là - mais il y a dans ce Gym-là une vraie envie de jouer, et un potentiel pour le faire avec talent.


Paris, secoué par l’égalisation, tangue encore quelques minutes, pendant lesquelles le Gym domine littéralement le match. Et se crée même quelques situations de prendre l’avantage… Mais sur un contre mené par Pastore, le nid s’effondre sur l’Aiglon. Abriel tacle, Pastore l’évite et d’un piqué envoie (volontairement ?) le ballon sur le bras du milieu niçois. L’arbitre est implacable, Gameiro non plus (71e). Contre le cours du jeu, Nice court de nouveau derrière un score que, cette fois-ci, il ne rattrapera pas. Malgré une frappe énorme de Monzon à 35 mètres, malgré l’expulsion de Jallet, malgré un coaching ultra audacieux d’Eric Roy (Dja Djédjé et Guié Guié pour Abriel et Diakité). Malgré de belles promesses, encore. Ce soir, le Gym méritait mieux. Une confirmation face à Dijon serait la bienvenue

Nice attend ses recrues le 24/09/2011 à 09:17

Seulement 17e après sept journées avec cinq points
, Nice attend avec impatience que ses recrues apportent un vrai plus dans le collectif. A vérifier samedi face à Dijon (19h00).


Fabrice Abriel fait partie des joueurs qui doivent apporter plus.
Après avoir obtenu son premier succès de la saison en L1 contre Ajaccio (3-0) samedi, Nice a dû capituler sur le terrain du PSG, mercredi (1-2). Résultat, Nice (17e) a un potentiel qui mijote dans la pénurie (5 points sur 21 possibles) au moment d'accueillir Dijon, ce samedi au stade du Ray. Face à l'équipe de Patrice Carteron, le Gym aura à conjuguer performance et progrès, et pour bien faire, il faudrait commencer à sentir l'impact des recrues estivales au milieu et en attaque, en attendant le Portugais Yannick Djalo, dont le dossier est toujours bloqué par la FIFA après son transfert limite sur les coups de minuit, le 31 août dernier.

Abriel pas encore très à l'aise
Au milieu, Meriem, laissé sur le banc au Parc, avait été plus présent contre Ajaccio samedi dernier, mais il peut être plus consistant dans le bricolage technique. Abriel, lui, ne semble pas encore vraiment dans le coup, alors qu'il doit pouvoir apporter un vrai plus dans la justesse et les initiatives après avoir peu joué à l'OM la saison passée. « Je suis assez satisfait de ce que fait Fabrice, compte tenu qu'il n'est pas encore physiquement à 100 %, indiquait Eric Roy lundi . A Lille, je crois que Cole s'est donné dix matches pour être à son meilleur niveau. » Mercredi à Paris, Abriel ne s'est pas montré encore très à l'aise et fut assez malheureux dans les deux surfaces, en manquant un but quasiment tout fait en première période et en déclenchant le deuxième penalty parisien de la main. A nouveau interrogé jeudi sur l'ancien Merlu, Roy n'a, cette fois, pas souhaité s'épancher sur son cas individuel. Devant, Nice, qui n'avait pas pu attirer Frau, Ribas ou Moukandjo, a intégré Pentecôte, Dja Djedje et Guié Guié. Il leur faut s'illustrer, surprendre et s'imposer, pour que le danger ne passe pas seulement par Mounier et Mouloungui. L'ex-Toulousain Xavier Pentecôte, ménagé contre Paris, aurait fêté son premier but contre Ajaccio si Cavalli n'avait pas mis la main sur sa ligne et c'est peut-être partie remise. Il faut que les nouveaux mettent la main à la pâte niçoise

89 eme Nice1-1Dijon

Nizza Merda

JUDAS a écrit:Nizza Merda

NIZZA SOCCA MIAM
NICE 1 DIJON 1

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:Nizza Merda

NIZZA SOCCA MIAM
NICE 1 DIJON 1

Bein quoi Pas ma faute si la planète du football entière les appellent comme ca ...les tapettes Niçoises

je crois pas que tu iras en vacances à nice

Nice s’est réveillé trop tard

NICE 1-1 DIJON Le Gym concède le nul sur sa pelouse face à une équipe pourtant à sa portée.
Samedi 24 Septembre 2011
Il ne s’est posé aucune question. Il a suivi des yeux ce centre de David Hellebuyck. Il a vu, juste devant lui, la remise de la poitrine de Renato Civelli, reconverti tour de contrôle offensive pour les derniers instants. Il a frappé fort, très fort dans le ballon.


A la 91e minute, Franck Dja Djédjé offre aux Aiglons le point du nul face à Dijon. Un point laborieux, chèrement acquis. Dans un Ray qui a pas mal grondé, le Gym évite de peu la défaite, en convertissant la dernière de ses vingt-quatre frappes. La troisième, à peine, à trouver le cadre.


Le Gym a évité la défaite dans les derniers instants. Un point repris de justesse. Pourtant, le Gym a joui de la balle l’essentiel du temps. Il a (beaucoup) plus frappé au but que son adversaire. Mais sa domination, faute de rythme avant le repos et de lucidité ensuite, est restée lettre morne.


Dès la 15e minute, Nice est puni par le talent de Corgnet, fusillant Ospina. Nice n’a quasiment pas lâché le ballon dans le premier quart d’heure, mais n’a jamais su qu’en faire, malgré l’activité d’un Guié Guié titulaire côté droit.


La révolte maladroite


Voilà les Aiglons condamnés à courir derrière le score. Par moments, courir est un grand mot tant le jeu rouge et noir semble statique. L’entrée de Mouloungui pour Pentecôte (élongation) ne change pas le cours du match. Le coup-franc de Meriem (33e) sur l’arête du but de Reynet non plus.


Secoués par Eric Roy à la pause, les Niçois reviennent des vestiaires bardés d’autres intentions. Une tête de Civelli (47e) passe tout près d’effacer le retard accumulé en première période. Servi joliment par Clerc dans la surface, Faé est sur son mauvais pied et ne cadre pas sa reprise (50e). Mounier, après un raid solitaire plein axe, voit la cadre se dérober (55e), tandis que la volée de Guié Guié trouve les poings du goal bourguignon (63e). Les coups de pied arrêtés se multiplient, les centres prolifèrent (encore une quarantaine hier soir !), mais les Aiglons peinent à faire frissonner la défense dijonnaise. Jusqu’au coup de canon de Dja Djédjé…


Après le match, Eric Roy déplorait la perte de deux nouveaux points mais saluaient la réaction de ses hommes. A Caen le week-end prochain, il préfèrerait sûrement les voir agir que réagir. Et commencer un match avant la 46e minute.

bienvenou a écrit:je crois pas que tu iras en vacances à nice

En vacances là bas Alors que j'ai eu du mal a y bosser

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:je crois pas que tu iras en vacances à nice

En vacances là bas Alors que j'ai eu du mal a y bosser

oui mais ce n'est pas pareil lorsqu'on y vit et lorsqu'on se balade
nice est à notre gout une belle ville

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:je crois pas que tu iras en vacances à nice

En vacances là bas Alors que j'ai eu du mal a y bosser

oui mais ce n'est pas pareil lorsqu'on y vit et lorsqu'on se balade
nice est à notre gout une belle ville

Oui, mais Nice se résume pas a la Promenade des Anglais et au cours Saleya Va te promener dans le quartier de Gare ,Rue de Paris et encore rue Lepante là il n'a pas le mer mais toute la mer...de:twisted: