LA PAGE MEDICALE DE DOC BIENVENOU

Crampes :
Vous avez des crampes ?

Il existe divers remèdes contre les crampes. Du plus naturel au plus chimique, du plus aléatoire au plus efficace.
Les causes des crampes sont multiples. mais la véritable cause du déclenchement de la crampe est un excès d'électricité statique dans le corps.

Pour supprimer vos crampes de façon naturelle et définitive, il suffit d'éliminer l'excès d'électricité statique... (lire la suite)

Si vous souffrez de crampes nocturnes, crampes musculaires, crampes aux jambes, crampes aux pieds, crampes aux mains, et même plus rarement une crampe à l'anus ou crampes au vagin (crampes vaginales)... (oui, ça existe et c'est même très douloureux),

Nouveau : Il est désormais possible de supprimer définitivement et sans médicaments les crampes nocturnes aux pieds, dans les jambes, aux mains,...

Pourquoi avez-vous des crampes :
On rescense 3 causes principales à vos crampes nocturnes :
1. certains médicaments comme le Donezepil (utilisé contre la maladie d’Alzheimer, le Neostigmina, le Raloxifeno (contre l’ostéoporose et le cancer du sein,...) provoquent
souvent des crampes. Lisez sur leur notice les "effets indésirables".
2. un manque de magnésium ou de potassium.
3. un excès d'électricité statique (due par exemple aux frottements contre les draps ou les vêtements).
(Plus d'infos...)

Comment se débarrasser de vos crampes :
1. Si les crampes proviennent des effets secondaires dus à un médicament, demandez à votre médecin s'il n'existe pas un autre médicament ne présentant pas ces effets indésirables... Peu de chances d'en trouver en général.
2. Pour un apport régulier en magnésium, mangez au moins une banane chaque jour.
3. Le déclenchement de la crampe est dû à un excès d'électricité statique. La solution est d'utiliser un petit duvet antistatique contre les crampes. (

Dites adieux à vos crampes !
L'électricité, la clé du déclenchement des crampes...
Une équipe de chercheurs belgo brésiliens a trouvé la cause du déclenchement réel des crampes : un excès d'électricité statique.
Si les causes des crampes sont souvent un manque de magnésium, on ignorait ce qui déclenchait la crampe nocturne.
Jean-Marc WILVERS a repris des travaux du médecin et chercheur italien Luigi Galvani, qui au 18e siècle déjà, en disséquant une grenouille, avait constaté que le contact entre un scalpel chargé d'électricité statique et un muscle de l'animal même mort, déclenchait une contraction musculaire.

Il démontra que le scalpel ne déclenchait ces contractions que s'il était chargé d'électricité statique. Un scapel "neutre" ne provoquat aucune réaction. Il en déduisit que des phanomènes électriques étaient à la base de la contraction des muscles.

Or, nous savons que par définition, une contraction musculaire est purement et simplement une crampe... Sans le savoir, le dr Galvani venait de découvrir la cause du déclenchement des crampes.
Jean-Marc WILVERS s'inspira de cette découverte, et mis au point un petit duvet contre les crampes, composé d'éléments 100% naturels qui ont la propriété de canaliser et neutraliser l'électricité statique du corps.
Il s'agit à l'heure actuelle du remère le plus naturel et le plus efficace contre les crampes.

1 MILLIARDS DE TRESORERIE

PAS MAL

La scène est terrorisante.
Dans une salle insipide du
pôle d’activités des Milles,
le visage décharné de Leslie apparaît
à l’écran : "J’avais 29 ans
quand on m’a annoncé que
j’avais un cancer. J’étais enceinte
de ma fille. Quand on a un
cancer, on est seul". Leslie n’a
pas pu venir témoigner en personne
mardi soir pour soutenir
le docteur Jean-Loup Mouysset.
Cet oncologue pas comme
les autres, porte depuis vingt
ans, l’époque où il a fait son internat
de médecine, un projet
pas conventionnel pour les
autorités sanitaires. Mais dont
nombre de malades comme
Leslie sont convaincus de l’intérêt,
pour mieux se battre contre
la maladie.
C’est ce projet qu’est venu
"vendre" auprès des mécènes
qu’il se débat à rassembler, cet
humaniste formé à Standford,
par le Pr Spiegel. Au cours de
ses études, le chercheur américain
a démontré que les patients
atteints d’un cancer bénéficiant
d’un soutien psycho-social
vivent mieux et plus longtemps.
Jusqu’à deux fois plus
longtemps. "Ce n’est pas avec
une séance de psychothérapie
de temps en temps qu’on peut
faire face au traitement, aux effets
secondaires, à la rupture sociale,
aux changements dans la
vie de famille", assure le Dr
Mouysset.
Cette prise en charge globale,
qui vient compléter la lourde
prescription allopathique, le Dr
Mouysset l’a déjà mise en oeuvre
au sein de l’association Ressource.
Depuis 2001, plus de
1500 personnes ont trouvé au
sein de la micro-structure animée
par 30 bénévoles endiablés
- ses "anges" - un réconfort,
un chemin, un soutien auprès
de psychologue, réflexologue,
ostéopathe, au travers de groupes
de parole comme de soins
esthétiques.
Aujourd’hui, le Dr Mouysset
tente encore un ultime tour de
table pour inscrire le projet
dans la pérennité. En septembre
prochain, le premier centre
Ressource qui offrira un accompagnement
global des patients
doit voir le jour au sein du pôle
d’activités des Milles (lire
ci-dessous).
"Il nous faut 950 000 euros
pour faire tourner le centre jusqu’à
fin 2012", explique le docteur.
Qui sait qu’il doit mener
seul de bout en bout l’idée à sa
réussite avant d’attendre quoi
que ce soit des autorités sanitaires.
C’est donc auprès de chefs
d’entreprises qu’il porte encore
la bonne parole pour collecter
des dons, épaulé par un cabinet
d’avocats, qui décrypte les garanties
et les retombées. Qu’elles
soient fiscales ou d’image,
pour les entreprises. Cette scène-
là aussi est terrifiante. Un
peu de pragmatisme et de cynisme
pour un centre qui se veut
"neutre", ni adossé au public,
ni au privé. Une structure pilote,
qui prend en charge dans la
durée des patients, en parallèle
des traitements classiques.
Geneviève Rambaud, patronne
du groupe Melkonian, a, elle,
déjà mis la main à la poche.
"Avant qu’un de mes magasiniers
de 24 ans ne débarque
dans mon bureau pour me dire
qu’il avait une tumeur au cerveau
et six mois à vivre", raconte-
t-elle. Quand elle l’a aiguillé
vers Ressource, il lui a dit : Vous
m’avez rendu la vie". Du moins
une aide sérieuse qui donne
des armes pour se battre. Se battre
contre une maladie qui tue
450 Français par jour pendant
que 1000 nouveaux cas se déclarent
dans le même temps. Une
maladie en augmentation
constante qui frappe à n’importe
quel âge.
M é c è n e s , à v o s c h é -
quierspour soutenir une démarche
inédite et humaniste. Qui
pourrait faire loi.

12 mai 2011
Servier au courant depuis 1995 de la nocivité du Mediator
Le laboratoire Servier était au courant "depuis au moins 1995" de la nocivité du Mediator, écrit Le Monde dans son édition datée de vendredi, sur la base d'un rapport interne au groupe que le quotidien a consulté, une affirmation que Servier réfute fermement.

"Un rapport de la filiale britannique de Servier établissait, en 1993, que, une fois absorbé par l’organisme, le Mediator donnait un composé, la norfenfluramine, dont il a été établi en 1995 qu’il était dangereux", écrit Le Monde.

"Cela n’a pas empêché la firme de continuer à affirmer, en 2008, la tolérance cardio-vasculaire +satisfaisante+ du benfluorex, le nom scientifique du Mediator, dans le document de référence remis à ses délégués médicaux", poursuit le quotidien.
Voir tout

1200 chercheurs se réunissent pour un colloque sur les neurosciences Publié le mardi 17 mai 2011 à 07H42


Le 10e colloque de la Société des Neurosciences aura lieu du 24 au 27 mai 2011 à Marseille. Cette rencontre internationale rassemble 1200 chercheurs, cliniciens, et enseignants-chercheurs pour faire le point sur les avancées majeures et dressera un panorama de la recherche actuelle. Karl Deisseroth, chercheur, sera l'invité de ce colloque.

Plus de renseignements : www.neurosciences.asso.fr

L'autre affaire DSK : une journaliste française l'accuse d'agression sexuelle160 contributions Publié le lundi 16 mai 2011 à 10H16
Hier, dans un entretien à Paris Normandie, la mère de Tristane Banon a accusé Dominique Strauss-Kahn d'avoir agressé sexuellement sa fille en 2002.
Hier, dans un entretien à Paris Normandie, la mère de Tristan Banon a accusé Dominique Strauss-Kahn d'avoir agressé sexuellement sa fille en 2002.
L'histoire a commencé à remonter hier après l'annonce de l'inculpation de Dominique Strauss-Kahn pour "agression sexuelle, tentative de viol et séquestration". En 2007, une journaliste Tristane Banon révèle sur le plateau d'Ardisson qu'elle a été victime cinq années plus tôt en 2002 d'une tentative d'agression sexuelle de la part d'un homme politique français. Elle évoque alors "un chimpanzé en rut". La vidéo tourne sur les réseaux sociaux mais le nom de l'homme concerné est bipé.

Hier, dans un entretien à Paris Normandie, la mère de Tristane Banon a confirmé qu'il s'agissait bien de Dominique Strauss-Kahn et qu'elle regrettait d'avoir, à l'époque, dissuadé sa fille de porter plainte. La mère n'est pas n'importe qui : Anne Mansouret est conseillère générale PS de l'Eure et régionale de Haute-Normandie. Les deux familles sont liées : Tristane Banon est amie avec l'une des filles de DSK et sa marraine est la deuxième femme.

La jeune femme, âgée de 31 ans devait interviewer DSK pour un livre en préparation. Sur le plateau d'Ardisson, elle racontait alors : "Il a voulu que je lui tienne la main pour répondre, puis le bras… On a fini par se battre, on s’est battu au sol, j’ai donné des coups de pied, il a dégrafé mon soutien-gorge, il a essayé d’enlever mon jean. Quand on se battait, j’ai dit le mot "viol" pour lui faire peur, ça ne lui a pas fait peur (...) Je suis allée très loin, j’ai constitué le dossier, je suis allée voir un avocat, mais je ne suis pas allée jusqu’au bout (...) Je ne voulais pas être jusqu’à la fin de mes jours la fille qui a eu un problème avec un homme politique".

Dans l'interview parue hier sur ParisNormandie.fr, sa mère Anne Mansouret témoigne : "Pour moi, Dominique Strauss-Kahn est malade. Ce n’est pas une injure de dire cela, il a un vrai problème : une addiction au sexe, comme d’autres ont des soucis avec l’alcool, la drogue ou le jeu. Il est malade. Sur les faits eux-mêmes, je ne peux pas me prononcer, je n’y étais pas. Mais pour moi, c’est très plausible que cette femme a été agressée sexuellement. En revanche, je suis formelle, il a bien tenté d’abuser de Tristane".

Pour l’heure, Tristane Banon ne souhaiterait pas s’exprimer. Elle a contacté son avocat ce matin et devrait dans les prochains jours tenir une conférence de presse. En ce qui concerne l'affaire new-yorkaise, la comparution de Dominique Strauss-Kahn en audience préliminaire devant un tribunal pénal de Manhattan est programmée ce lundi, le temps de procéder à des examens corporels médico-légaux

La grossesse de Carla Bruni-Sarkozy peut-elle favoriser la remontée de Nicolas Sarkozy dans les sondages ?
Merci d'avoir été parmi les premiers à voter.
Les résultats seront disponibles prochainement. Voir les résultats sans voter

Oui 25 % Oui 4 148 Votes
Non68 % Non 11 509 Votes
Sans opinion 7 % Sans opinion1 104 Votes

SI VOUS AVEZ VOTE WWWWWWOUI
c'est que vous avez une grippe du cerveau allez vous faire vacciner

CANNES... LE FILM
MALADIE DU POUVOIR NOUS SOMMES PEUT ETRE EN DANGER

MICHEL MAFFESOLI sociologue à l’Institut universitaire de France*
"Aussi grands que sont les rois
ils sont ce que nous sommes

Selon Michel Maffesoli, l’affaire a tout de la
mythologie antique : "Strauss-Kahn en Jupiter
et Anne Sinclair en Junon


❚ Sexe, pouvoir, argent. Est-ce seulement cela
qui passionne à ce point dans cette affaire ?
Ce qui prédomine, c’est l’émotionnel. Le point de
vue politique existe mais reste secondaire. Il y a
là quelque chose qui rejoue la mythologie antique.
Un homme politique a un côté sacré. Il
aurait pu être président de la République et il
tombe. Comme un dieu qui tombe. On a coutume
de dire : à Rome, la roche Tarpéienne où avaient
lieu les exécutions, est proche du Capitole, lieu
de tous les honneurs politiques. Anne Sinclair
joue le rôle de Junon, protectrice de son Jupiter
de mari.
❚ Est-ce que l’aspect roman noir ou série télévisée
à l’américaine joue fortement?
Le soap-opera est la forme contemporaine de la
mythologie. Il y a des éléments de cette affaire
que l’on retrouve dans "Dallas" ou même actuellement
dans "Plus belle la vie" : l’adultère, le
sexe hors la loi...
❚ Pourquoi cette fascination pour la chute
d’un grand?
Cela nous fait plaisir de voir qu’un puissant tombe.
Aussi grands que sont les rois, ils sont ce que
nous sommes. Cet événement touche l’imaginaire
social. Le diable, on l’a en nous. Ce qui arrive à
DSK nous fait peur et nous fascine. On se dit que
cela pourrait nous arriver. Les médias, en racontant
tout au long de la semaine ce feuilleton, ont
joué un rôle de catharsis. Et ont permis à l’opinion
de se purger.
❚ Voyez-vous, dans cet intérêt surdimensionné,
du rejet ou de la compassion?
Ce n’est pas du rejet. C’est de l’identification. Les
ethnologues vont même jusqu’à évoquer une
"participation magique". Autant la compassion
est hypocrite dans la classe politique, autant elle
est sincère dans l’opinion publique. DSK porte en
lui la caricature de ce que chacun est. Son aspect
de séducteur fait que les femmes ne lui en veulent
pas. D’autant, qu’il faut bien l’avouer, les
hommes de pouvoir exercent une réelle attraction.
C’est l’aura autour du totem qu’ils représentent.
❚ Son image lointaine accroît-elle ce sentiment?
Le propre du dieu est qu’il n’est pas là et qu’il captive.
Plus il est loin, mieux c’est. Cette vraie déconnexion
a accru cette fièvre quand l’affaire a éclaté.
Proposrecueillis par Marjory CHOURAQUI
*Michel Maffesoli est l’auteur de "Sarkologies, pourquoi tant de
haine (s) ?" (Albin Michel)

Michel Wieviorka, président de l’association
internationale de sociologie : "Race, classe,
genre".
Pour cet autre sociologue français, plusieurs élements
de fascination entrent en ligne de compte.
"D’abord l’événement a sidéré. Ensuite, le feuilleton
est appelé à rebondir. Il touche à la politique
nationale et internationale . Evidemment, il touche
aussi au sexe, dans une situation où un rapport de
domination plane. Ça touche à la morale. Enfin, il
confronte un homme blanc et puissant et une femme
noire et modeste. Tous les ingrédients sont là.
Ce qu’on appelle dans notre jargon : race, classe,
genre".

Santé : les naufragés du sommeil
Publié le mardi 24 mai 2011 à 07H15

Dans une chambre d'un centre dédié à l'hôpital de la Timone à Marseile, enregistré en continu, nous avons dormi. Presque...

Cela commence par un grand moment de solitude. Quand mon amoureuse est allée dormir au bout de l'appartement. "Tu ronfles vraiment trop fort, je ne peux plus fermer l'oeil." Et puis il y a ces réveils dans la nuit, cette sensation de perdre son souffle et ces moments de fatigue excessive dans la journée. Alors, au-delà du peu glamour ronflement - qui touche plus d'une personne sur deux-, je me suis dit que c'était peut-être plus sérieux. Après des semaines d'attente, je m'en suis allé dormir - ou du moins coucher- au centre du sommeil de la Timone, à Marseille.

Ce mardi-là, les quatre chambres sont occupées par des personnes venues de toute la région. Comme les autres j'arrive aux environs de 15h30. Le Dr Marc Rey m'interroge sur ma santé, mon sommeil, mon poids - excessif - ma sensation de fatigue. Et il m'explique l'examen. Je prends possession de ma chambre, avec caméra et micro pointés sur le lit, pour la pose de tout l'appareillage d'enregistrement.

On passe aux choses sérieuses. Avec de la pâte, les deux infirmières très pédagogues qui passent leur temps à me rassurer commencent la mise en place sur ma tête d'électrodes qui vont enregistrer mon activité cérébrale durant le sommeil, puis sur le corps pour les autres signes d'activité physiques. Le temps de séchage de la pâte des électrodes est d'une heure trente. Avec l'élégant filet sur la tête qui retient les capteurs, je me fais peur lorsque je me vois dans la glace. "Il faut s'habituer au look", sourit une des infirmières. Surtout ne pas stresser, bouquiner, penser à une longue nuit de prince de conte de fées.

Je me suis transformé en homme araignée avec 22 électrodes sur le corps qui seront reliées à l'enregistreur. Dîner à 19 heures d'une purée-jambon enfantine et à partir de 20h30, mes "princesses de la nuit" reviennent pour mettre en place le capteur respiratoire dans le nez, comme un petit équipement de plongée, la pince au bout du majeur gauche pour le taux d'oxygénation du sang, fondamental pour le mécanisme de respiration dans le sommeil et les autres capteurs pour les mouvements des yeux, de la mâchoire, les ronflements.

Il est 21h30 et, avec tous ces branchements, je suis censé sombrer dans le sommeil. Je sais que je suis surveillé en permanence, que je suis dans un véritable cocon technologique mais sans doute suis-je impressionnable. Je tourne et vire sur le lit 90 cm (mon 180 me manque), je me mets assis. J'ai l'impression -fausse- que je ne ferme pas l'oeil de la nuit. Mais je veux savoir comment je dors, si je fais vraiment de l'apnée dans cet autre monde du silence.

Je vois arriver les premières lueurs de l'aube avec soulagement. J'explique mes sensations à l'infirmière. "Dans la chambre contiguë à la vôtre, la dame a dormi comme un bébé." La chanceuse ! J'enlève soulagé les électrodes, je gratte sous la douche la pâte sur mon crâne. Le Dr Rey me donne des premiers résultats. "Vous avez dormi, même si vous en doutez 473 minutes, soit un peu plus de 7 heures. Mais vous avez des durées réduites de sommeil lent profond et de sommeil paradoxal. Et votre sommeil est fragmenté."

Il m'apprend que je n'ai que 89 % de sommeil efficace alors qu'il en faudrait 95 %. Que je suis sujet effectivement à des apnées du sommeil avec 19 éveils brefs ou microréveils et 167 apnées dont 92 obstruent les voies aériennes supérieures. Et l'oxygénation de mon sang n'est pas terrible. Bon, il va falloir vraiment maigrir pour perdre cette graisse qui pèse sur les voies respiratoires, éviter l'alcool le soir qui les déshydrate. Tout cela afin d'éviter à avoir à porter un appareil dentaire qui permet de mieux ventiler et un masque nasal qui insuffle de l'air, dernières solutions pour les apnées graves. Je suis un naufragé du sommeil qui cherche des eaux tranquilles.



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On crée des malades du mal-dormir"

Le Dr Marc Rey dirige le centre du sommeil, unité du service de neurophysiologie clinique de la Timone. Il parle de ces nouveaux malades du mal-dormir.

Y a-t-il de plus en plus de gens qui souffrent de pathologie du sommeil ?
Marc Rey : "Bien sûr, avec des causes diverses. La société crée des malades du mal-dormir. Il y a les trajets de plus en plus longs pour aller travailler, en voiture ou transports en commun, qui font que les gens prennent sur leur temps de sommeil pour être à l'heure. Le surpoids, l'obésité, provoque bien entendu des pathologies, notamment des apnées du sommeil parfois graves".

Mais il y a aussi l'utilisation intensive du téléphone portable ?
M.R. : "Oui, les opérateurs portent une responsabilité importante avec les forfaits illimités qui débutent vers 21h30. Les ados notamment, mais pas seulement, passent des nuits entières à téléphoner et donc autant d'heures de sommeil et ils sont épuisés dans la journée, avec d'énormes troubles d'attention et des difficultés de concentration et d'apprentissage".

Vous montrez du doigt aussi l'usage tardif d'écrans très lumineux...
M.R. : "Ils perturbent totalement le cycle du sommeil. L'exposition au soleil dans la journée détermine la production de mélatonine, l'hormone qui donne envie de dormir. Normalement, le pic de mélatonine survient en début de nuit, entre 22h30 et minuit. Or, nos yeux sont exposés en permanence à des écrans très lumineux : les écrans plats de télé, ceux de nos ordinateurs qu'on consulte même au lit mais aussi ces véritables terminaux que sont les tablettes Ipad et autres. Sans parler des smartphones qui sont des mini-télés. Avec la lumière que tous ces écrans dégagent, la production de mélatonine est encore stimulée et son cycle est bouleversé. Le pic est déplacé à sept heures et on se lève avec l'envie de dormir. Il faut éteindre les écrans deux heures avant de se coucher".

Renseignements et prise de rendez-vous au 04 91 38 47 76

Sensibilisation et information anti-tabac dans les hôpitaux Publié le jeudi 26 mai 2011 à 07H04


A l'occasion de la "Journée Mondiale Sans Tabac 2011", l'Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille (APHM) organise des stands de sensibilisation et d'information à destination des patients et du personnel, qu'ils soient fumeurs ou non fumeurs, sur les méfaits du tabagisme et les différents moyens de sevrage, les 30, 31 mai et 1er juin prochains.

Médecin addictologue, sage femme ou encore diététicienne seront présents pour répondre à toutes les questions et orienter les personnes désirant s'arrêter. Des appareils permettront par ailleurs à tous les volontaires de tester leur taux de CO (monoxyde de carbone).

Rendez- vous :
- lundi 30 mai de 9h à 16h à la Timone - Hall central
- mardi 31 mai de 10h à 15h à la Conception - Hall de la maternité
- mercredi 1er juin 10h à 15h à l'Hôpital Sainte Marguerite - Halls des pavillons 4, 5, 6 ; et à l' Hôpital Nord - Hall du pavillon mère-enfant

Numéro unique des consultations pour addictions : 04 91 74 40 51

MÉDECINE
Marseille, capitale du
cerveau durant 4 jours

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CONSULTEZ VOTRE OCCULISTE OU PASSEZ AU NUMERIQUE

Dropsy a quitté l'hôpital
Hospitalisé depuis deux mois pour une leucémie, l'entraîneur des gardiens des Girondins de Bordeaux, Dominique Dropsy (59 ans), a pu regagner son domicile, ce jeudi.

souhaitons lui bonne convalescence

SANTÉ● Concombres contaminés: trois cas suspects. Après des
contaminations en Allemagne, en Suède, aux Pays-Bas, la France
pourrait être concernée aujourd’hui par cette épidémie de diarrhées
hémorragiques qui pourraient être provoquées par des
concombres cultivés en Andalousie. Hier, deux lots de ces légumes
suspects ont été identifiés et trois cas suspects de malades ont été
déclarés

29 mai 2011
Mystérieuse contamination bactérienne en Allemagne, dix morts suspectes
Les autorités allemandes ont mis en garde dimanche les consommateurs contre une mystérieuse contamination bactérienne qui a déjà fait dix morts et continue à se propager avec une rapidité et une ampleur sans précédent en Allemagne.

"Jusqu'à ce que les experts en Allemagne et en Espagne aient pu identifier avec certitude la source de l'agent pathogène, les mises en garde contre la consommation des primeurs restent valides", a déclaré la ministre de l'Agriculture et de la Protection des consommateurs Ilse Aigner.

Etant donné la vitesse de la propagation de la maladie, les autorités sanitaires allemandes ont déconseillé la consommation de tomates, de concombres et de salades crus, et particulièrement ceux en provenance d'Allemagne du Nord.

"Les autorités compétentes font tout pour élucider cette affaire, aux niveaux national et international", a assuré Mme Aigner au journal dominical Bild am Sonntag.

La bactérie E.coli enterohémorragique (Eceh) peut provoquer de simples diarrhées ou des diarrhées hémorragiques, jusqu'à des troubles rénaux sévères, voire mortels, connus sous le nom de syndrome hémolytique et urémique (SHU).

L'institut Robert Koch (RKI), chargé du contrôle sanitaire et de la lutte contre les maladies, a jusqu'à présent attribué de manière formelle deux morts à la bactérie, mais des analyses sont en cours sur huit autres décès.

Selon l'Institut, plus de 270 personnes ont été atteintes ces dernières semaines, contre une soixantaine par an en moyenne en Allemagne.

Cette vague de SHU "est une des plus importantes jamais observées dans le monde et la plus importante en Allemagne", a constaté le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC).

Dans un rapport daté de vendredi, il relève que la contamination semble limitée à l'Allemagne, les malades hospitalisés à l'étranger étant soit des Allemands, soit des voyageurs venant d'Allemagne.

"Aucun cas d'infection contractée localement n'a été signalé par d'autres Etats membres que l'Allemagne", écrit le centre.

Dans le nord de l'Allemagne, principal foyer de contamination, le personnel hospitalier "est proche de l'épuisement", a confié à l'AFP le porte-parole de la clinique universitaire de Lübeck, où sont soignés une vingtaine de malades sévèrement atteints.

Des cas confirmés ou suspects ont également été signalés en Suède, au Danemark, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, en Autriche, en France et en Suisse.

Les premiers soupçons se sont portés sur l'Espagne, après que des concombres produits par deux entreprises d'Andalousie ont été identifiés comme une des sources de la contamination. Mais il n'est toutefois pas exclu que la contamination ait pu se produire le long de la chaîne de distribution.

Des échantillons des lots considérés comme suspects ont été envoyés à un laboratoire en Galice (nord-ouest de l'Espagne) et de premiers résultats seront connus lundi.

Entre-temps, les autorités sanitaires autrichiennes ont annoncé dimanche le retrait dans une trentaine de magasins d'alimentation de concombres, de tomates et d'aubergines provenant des distributeurs espagnols mis en cause.

Mais la Commission européenne avait indiqué qu'un lot de concombres en provenance soit des Pays-Bas soit du Danemark et commercialisé en Allemagne était également en train d'être analysé.

Les autorités sanitaires danoises ont annoncé vendredi avoir ordonné le retrait à la vente de concombres contaminés originaires d'Espagne trouvés chez deux distributeurs dans l'ouest du Danemark.

Les producteurs de légumes allemands ont fait état d'un manque à gagner de deux millions d'euros par jour. Et selon le regroupement des agriculteurs du Nord de l'Allemagne, les ventes et la consommation de concombres, tomates et salades ont "chuté de 90%".

Pour une alimentation avec des produits locaux

deux objectifs savoir exactement ce que nous avons dans notre assiette
et privilégier la main doeuvre et l'emploi de la region ou nous habitons
et donc les emplois de france