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Interrogé par France Football, Mevlut Erding revient sur son entente avec son compère d'attaque Guillaume Hoarau mais également sur son avenir au sein du club parisien.

Même si la paire d'attaquants Erding-Hoarau faisait saliver en début de saison, les blessures ont contrarié les velléités parisiennes en empêchant le PSG d'aligner régulièrement ses deux attaquants, notamment en début de saison. Pourtant la complémentarité entre les deux joueurs ne fait aucun doute aux yeux du Turc :

"Avec Guillaume, on est de plus en plus complémentaires. Je sais qu'il prend tous les ballons de la tête, donc, à chaque fois que je le vois s'élever, je fais un appel autour. Je prends du plaisir avec lui. C'est sûr que j'aurais aimé qu'on commence la saison ensemble. On serait déjà à deux fois plus de buts, lui et moi, et le club serait dans la première partie de tableau."

Dès lors, cette nouvelle peut paraître réjouissante si tant est que la fameuse doublette soit encore présente l'an prochain. Et c'est là qu'Erding laisse le doute planer : "Il y a une finale à jouer et à gagner. On verra ça après le dernier match de Championnat. Mes conseillers me tiendront au courant et on avisera. Quel joueur peut dire aujourd'hui avec certitude de quoi est fait son avenir ?"

Alors que le PSG est sur le point de jouer une finale de Coupe de France et éventuellement de se qualifier pour l'Europa League s'il l'emporte contre Monaco ce soir, voici une déclaration surprenante de la part d'un joueur qui a tout fait pour rejoindre le club de la capitale l'an passé et avait récemment déclaré vouloir poursuivre son aventure au sein de l'effectif parisien l'an prochain.

Aulas par exemple a donné 400. 000 mais à LISANDRO
pareil pour Bordeaux 350.000 à GOURCUF et
nous on donne 400.000 à Heinze
on est les seuls en L1 à donner un salaire pareil à un Defenseur aussi bon soit il, pour moi c'est une erreur

Coup dur pour le FC Sochaux.
Son gardien titulaire, Teddy Richert,
a pris la décision de se faire
opérer, hier. L’Avignonnais
souffre d’une tendinopathie rotulienne
au genou gauche. Il passera
sur le billard mardi, à Besançon,
et sera éloigné des terrains
pour au moins quatre mois.
Le club franc-comtois devrait se
mettre en quête d’un portier supplémentaire
et aurait déjà fait
son choix sur l’identité de son futur
joueur. Par ailleurs, la venue
de l’attaquant du Mans, Modibo
Maïga (22 ans, 7 buts la saison
dernière), semble toujours en
bonne voie.

Un intérêt de Bordeaux»
Libre de tout contrat, Herold Goulon n'a pas trouvé de point de chute malgré une bonne saison l'an dernier avec Le Mans. Bordeaux serait intéressé.


Goulon a évoqué un intérêt de Bordeaux. Mais les Girondins n'ont plus bougé ensuite...
Libre depuis son départ du Mans, le jeune milieu Herold Goulon (22 ans) se maintient en forme à Clairefontaine. S'il reconnaît un intérêt de Bordeaux, le joueur pensait recevoir davantage de propositions après une saison réussie.

«Herold Goulon, vous êtes libre et vous n'avez toujours pas de club pour la saison prochaine, une situation qui paraît étonnante puisque vous sortez d'une belle saison...
C'est le marché qui veut ça. Des clubs sont là, il y a quelques offres. Je ne suis pas pressé, le marché est très compliqué et je n'ai pas envie de me précipiter sur la première offre qui vient.

Vous avez refusé des propositions ?
Je n'ai pas vraiment reçu les offres que je souhaite mais si ça ne tenait qu'à moi, j'aurais déjà signé depuis longtemps. Aujourd'hui, avant d'engager un joueur, les clubs doivent en libérer un autre. Quelques clubs m'ont dit d'attendre que ça se débloque.

Le PSG se serait intéressé à vous l'an dernier...
Honnêtement, je ne me suis pas occupé de ce qu'il s'est passé dans le courant de la saison. Mon agent s'occupait de tout. Depuis la fin de la saison, je regarde tout ça avec plus d'attention. Paris était intéressé à un moment mais quand ils ont prolongé Claude Makélélé, il n'y a plus eu de nouvelles.

Bordeaux serait également intéressé ?
Oui, il y a un intérêt de Bordeaux mais c'est toujours le même problème : il faut un départ avant et apparemment ils n'ont pas d'argent. D'après ce que j'ai compris, ils auraient pu avoir besoin de moi en cas de départ d'un milieu mais personne n'est parti.


Avez-vous reçu des offres concrètes de France ?
Il y a des dirigeants, des entraîneurs ou des directeurs sportifs qui prennent des renseignements mais, derrière, il n'y a rien de concret. Apparemment, la crise touche beaucoup moins les pays étrangers que la France puisque j'ai reçu beaucoup plus de propositions à l'étranger. Je n'ai reçu aucune offre de contrat définitive de la part d'un club français.

Vous sentez-vous déjà prêt pour rejoindre l'étranger ?
Je préfère rester en France mais à partir du moment où ce marché est bloqué, je ne peux pas me permettre d'attendre la fin du mois d'août pour signer un contrat ! Je suis sans club, j'ai besoin de trouver une solution. J'aimerais que ça se débloque le plus vite possible mais ce n'est pas si facile que ça. Je ne comprends pas parce que je suis libre et honnêtement je ne sais pas ce qu'il se passe. D'un côté, ce qui me rassure c'est que je vois que je ne suis pas le seul. Je pense que j'ai fait une bonne saison avec Le Mans et je pensais que ça se débloquerait plus vite.»

23 ans, Rémy a refusé une offre juteuse de Fenerbahçe.
Il évoque «plusieurs pistes» Liverpool, West Ham, Tottenham et Stoke City Rennes, Lyon, voire l'OM et Bordeaux seraient intéressés.
Mais la somme demandée, 15 millions d'euros, refroidit beaucoup de monde

NIANG DIABLEMENT ADROIT DEVANT LE BUT 6 MILLIONS
ET REMY MALADROIT AU POSSIBLE 15 MILLIONS
il y a quelquechose que je ne saisis pas

a pris sa décision en une demi-journée, l'a d'abord annoncée aux joueurs et au staff niçois avec qui il s'entraînait cet été, puis a rendu la chose officielle samedi. Jeune retraité de 37 ans, Jérôme Alonzo confie pourquoi il a décidé d'arrêter sa carrière, et sa joie de découvrir le métier de consultant.

Un après-midi pour décider
«Je la prends au moment où j'apprends que ça ne se fait pas avec Monaco. Quand quelques contacts se sont noués avec l'ASM, que j'ai appris que Guy (Lacombe) était intéressé par mon profil, j'avais un peu laissé tomber tout ce qu'il y avait autour. Je n'avais pas spécialement envie de repartir loin de chez moi, donc pour moi c'était l'idéal. Lorsque mon agent m'a appris qu'ils avaient choisi quelqu'un d'autre, en un après-midi, j'ai basculé. La sensation est super violente. En un après-midi, tu réalises que c'est fini. Les chaussures, les gants, le terrain, le public, l'échauffement... Mais deux semaines après ma décision, je me sens sacrément soulagé. J'ai l'impression d'avoir fait le bon choix, d'avoir choisi la bonne direction. Je n'ai aucun regret, aucune amertume, je ne suis pas aigri le moins du monde, au contraire je suis un homme heureux aujourd'hui.»

Pourtant, l'envie était là
«Demandez à Eric Roy (entraîneur de Nice)... Eric, c'est mon ami, il a accepté de m'emmener deux semaines en stage avec son équipe, et régulièrement, les mecs me disaient : «Mais Jérôme, tu ne peux pas arrêter, ce n'est pas possible...» Lors du premier stage, j'étais encore en contact avec Monaco et Arles-Avignon. Et honnêtement, je ne faisais pas trop de soucis sur ma forme. J'avais les réflexes, l'envie. Et puis vient donc cette fameuse semaine où j'apprends que ça ne se fait ni avec Monaco, ni avec Arles-Avignon. Je le confie à Eric, qui me fait une belle preuve d'amitié en me proposant de suivre le deuxième stage de l'équipe, de terminer là-dessus. Mais attention, j'ai joué le jeu ! Tous les matins au taquet, et jusqu'à la dernière seconde. Le dernier matin, en montant dans le bus, je me suis dit que c'était vraiment fini. Au final, j'aurai fait le premier et le dernier entraînement de ma carrière avec Nice...»

Nantes, une expérience compliquée
«Je n'ai pas laissé un mauvais souvenir là-bas. A Nantes, je n'ai eu aucune histoire, je n'ai jamais mis les pieds en boîte pendant deux ans, je n'ai pas été saoul dans la rue, j'ai fait mon boulot. J'ai été souvent blessé, parce que psychologiquement, j'ai eu du mal à digérer l'après-Paris. On a quand même fait cinq entraîneurs en deux ans, pour s'épanouir, ce n'est pas évident. En plus la deuxième année est arrivé un mec, Gilles Favard, qui s'est juré ma mort... Lui, je l'appelais «Jojo le droit de réponse». C'est quelqu'un qui aurait adoré être Bernard Tapie, sauf qu'il n'en a ni le charisme, ni l'intelligence, ni le carnet d'adresse. Je pense qu'au niveau des gens, je n'ai pas laissé de mauvais souvenirs à Nantes, je n'ai pas pris de buts casquettes. Je pense plutôt que je ne laisserai pas de souvenirs (rires), que dans deux ans, les gens auront oublié que j'ai joué à Nantes.»

Son nouveau métier
«Je vais rencontrer de nouvelles personnes, faire un nouveau job... A 37 ans, je change de vie ! Et puis débuter avec ce PSG-ASSE... C'est incroyable, je me dis qu'il n'y a pas de hasard dans la vie. C'est le premier match que je vais vivre de l'autre côté de la barrière, et il oppose mes deux clubs de coeur. C'est onze années de bonheur réunies en un seul match. C'est un truc de fou ! Je serai en plateau avec Céline Géraud et Christian Karembeu, à commenter des faits de jeu que je vivais quatre semaines avant. Tout le monde me dit que ce métier est fait pour moi, que je vais être bon... Je n'ai pas la pression, mais si je ne suis pas bon... (rires) Je pars de zéro, mais c'est passionnant. J'arrive avec beaucoup d'humilité et d'envie d'apprendre.»

À RETENIR
◗ INCIDENTS AU PARC
Décidément, les saisons se suivent
et se ressemblent à Paris.
Des anciens supporters de la tribune
Boulogne, interdits de renouveler
leurs abonnements, ont
manifesté hier leur mécontentement
aux alentours du Parc des
Princes, lançant notamment des
fumigènes. Ils ont même échangé
quelques coups avec les CRS.
◗ MODESTE
VERS BORDEAUX
À la recherche d’un attaquant depuis
le départ de Chamakh à Arsenal,
les Girondins pourraient se
tourner vers l’attaquant niçois,
absent de la feuille de match hier
face à Valenciennes. Le montant
du transfert pourrait s’élever à
trois millions d’euros.
◗ ERDING PREMIER
BUTEUR
L’histoire retiendra peut-être
que le premier buteur de cette
saison 2010-2011 s’appelle Mevlut
Erding. Le Turc n’a eu besoin
que de quatre petites minutes
pour ouvrir le score. Cent-vingt
secondes plus tard, c’est le Lorientais
Sigamary Diarra qui
trompait Sorin à Auxerre...
◗ LE MALAISE GOMIS
Il avait déjà connu le même problème
en 2009 avec les Bleus.
Hier, "Bafé" Gomis s’est effrondré
sur la pelouse, les yeux révulsés.
Après ce nouveau malaise,
l’attaquant lyonnais a néanmoins
retrouvé le terrain.
◗ GIGNAC SE BLESSE
Mauvaise nouvelle pour Toulouse.
Hier contre Brest, André-Pierre
Gignac s'est blessé à la cheville
gauche et a quitté la pelouse
sur civière

tellement de talent
mais tellement de blessures

pour moi il devrait etre en edf s'il ne se blessait pas si souvent

Sorti à la pause, le milieu parisien Mathieu Bodmer souffre d'une petite contracture aux ischio-jambiers.

Titulaire face à l'AS Saint-Etienne, le néo-parisien Mathieu Bodmer a été remplacé à la pause par Jérémy Clément, pour ne pas aggraver une petite blessure: «Il avait déjà eu un petit pépin dès l'entraînement, mais il voulait jouer même si je n'étais pas très chaud, a expliqué Antoine Kombouaré, l'entraîneur parisien. C'est une petite contracture aux ischio-jambiers. J'ai préféré l'arrêter à la mi-temps. Ça ne s'est pas aggravé

Charrier : «Pas de place pour tous»




René Charrier et l'UNFP mettent tout en oeuvre pour permettre aux joueurs libres de retrouver un club. (EQ)
Pour le vice-Président de l'UNFP, René Charrier, le chômage dans le football est encore plus présent à l'échelon amateur que chez les professionnels. La faute à la crise bien sûr, mais pas seulement. Deuxième volet.

«René Charrier, comment expliquez-vous qu'autant de joueurs libres aient cette année du mal à trouver un club ?
Chaque année, il y a à peu près le même nombre de joueurs libres. C'est un chiffre qui ne varie pas énormément. A une trentaine près, on est autour de 260 à 280 joueurs. Cette année, on sent que le marché est assez serré. Compte tenu d'une part de la crise financière, on remarque que les clubs pros proposent plus de contrats à des jeunes de leur centre de formation. Donc forcément, ça se fait au détriment d'autres joueurs un peu confirmés, qui pour autant sont des joueurs qui n'ont pas encore vraiment trouvé leur place dans le circuit pro. Et puis d'autre part, pour un certain nombre d'autres, ils ont eu la possibilité de signer des contrats fédéraux en National voire en CFA. Et là, la crise, elle touche peut-être encore plus le football amateur que le football pro.

Combien de joueurs selon vous utilisent-ils cette passerelle ?
En trois ans, on a triplé le nombre de contrats fédéraux dans le football amateur. C'est l'enseignement de l'intersaison. Je serais étonné qu'on ait le même nombre de contrats professionnels signés que l'an passé. Le nombre de contrats va être en baisse, donc forcément ça fait des débouchés en moins.

D'où la nécessité d'aider ceux qui restent sur le carreau. Chaque été, l'UNFP organise un stage pour les joueurs au chômage. En quoi consiste-t-il ?
J'aurais tendance à dire qu'on crée pendant un mois et demi le fonctionnement d'un club. Il y a un staff composé d'entraîneurs également à la recherche d'emploi, un service médical, logistique, des équipements. On permet à ceux qui le souhaite de s'entraîner dans de bonnes conditions, faire des matches, se faire voir, être repéré et avoir des propositions. Parfois même des joueurs qui viennent au stage nous disent qu'on est mieux organisé qu'un club pro. Pendant cette période, on a aussi un service d'accompagnement paritaire (financé par la Fédération française), qui s'appelle Europe Sport Reconversion. C'est une structure qui accompagne les joueurs dans cette situation difficile, dans les moments de doute. Tout ça fait partie de notre action depuis 21 ans.

Malgré tous vos efforts, certains joueurs libres choisissent de ne pas se faire aider par l'UNFP. Comprenez-vous leur choix ?
Ce sont des joueurs qui ont des moyens, des coaches personnels, ou déjà une petite structure. Je dirais presque : quot;tant mieux qu'ils ne viennent pas tousquot;, parce que je ne sais pas comment on ferait. Durant cette période, on s'est retrouvé avec plus de soixante joueurs inscrits, ce qui est déjà pas mal. On a fait tourner, certains partent, signent dans des clubs -trop peu à notre goût-, certains vont faire des essais, ils reviennent. D'autres ne nous connaissant pas assez ne se rendent peut-être pas trop compte que c'est mieux de venir s'entraîner, puisqu'ils ont une souplesse totale. Maintenant certains n'en prennent pas conscience, c'est leur problème. D'autres encore restent isolés, attendent le coup de téléphone.

Le football devient-il de plus en plus un métier comme un autre, dans lequel c'est difficile de trouver un travail ?
On ne peut pas reprocher à un garçon de tenter sa chance dans le football parce qu'il aime ça, qu'il a envie de devenir professionnel. Mais très tôt déjà, les parents doivent à mon sens prendre les décisions qui s'imposent. Est-ce que c'est la bonne voie ou pas ? Il faut allier les deux. C'est le premier point : chacun a le droit de tenter sa chance. Maintenant c'est vrai qu'il difficile de s'inscrire plus durablement pour un certain nombre. Après il y a le talent qui est là. On ne peut pas occulter le fait qu'il y ait plus ou moins de talent chez les joueurs. Donc avec la concurrence, les centres de formation, c'est clair qu'il est beaucoup plus difficile aujourd'hui de faire carrière que par le passé. Si vous prenez un cycle de formation d'un groupe de 15-16 ans, il faut savoir qu'à terme, seulement 2 sur 10 vont signer un contrat pro. Il n'y a pas assez de place pour tout le monde.»

Le foot est en crise. Selon l'UNFP, 163 professionnels du ballon rond sont sans contrat actuellement. Un record. «D'habitude, en septembre, il en reste environ une centaine», explique Stéphane Saint-Raymond, le directeur de l'information de l'UNFP, . Ce dernier refuse toutefois de s'alarmer, comme Gervais Martel avait pu le faire en évoquant la possibilité de voir le nombre de «sans emploi» atteindre la barre des 400 en juin 2011.

Des noms ronflants sans contrat
Une hypothèse impossible pour Saint-Raymond : «C'est irréaliste. Ce n'est même pas le nombre de joueurs en fin de contrat chaque saison (environ 200). La situation actuelle est logique. Le nombre de contrats pros a en effet baissé de 7% cette année. C'est une conséquence de la crise, du bilan des clubs et d'une DNCG qui fait son travail.» Parmi les joueurs sans contrat, on retrouve Mathieu Berson, Philippe Brunel, Basile Camerling, Eric Cubilier, Frédéric Da Rocha, Hérold Goulon, Yohan Hautcoeur, Franck Jurietti ou encore Ulrich Le Pen.

MOUSTACHE ET AULAS VEULENT FAIRE UNE TELE POUR VOIR LA L1
QUI S Y ABONNERA

PAS MOI EN TOUT CAS

◗ TRISTE SOIRÉE POUR
LES ATTAQUANTS
Seulement six buts en six rencontres,
cela fait une moyenne d’un
but par match. Un résultat peu
flatteur pour les attaquants de L1.
Espérons que les quatre matches
d’aujourd’hui seront plus prolifiques.

Luis Nenê est incontestablement l'homme des matchs aller. Il a inscrit 13 buts et il éblouit la ligue 1 par son talent. Si le PSG est 2e, c'est en grande partie grâce à Nenê




Le meilleur buteur des matchs aller de la ligue 1 est le lillois Moussa Sow qui a inscrit 14 buts en 18 matchs.
trop juste à rennes ...

LES DECEPTIONS
André-Pierre Gignac, transféré de Toulouse à Marseille pour 16 millions d'euros, n'arrive pas à retrouver la confiance. Auteur d'un seul but en 13 matchs avec l'OM, il commence même à perdre la confiance des supporters marseillais.

Yoann Gourcuff, transféré de Bordeaux à Lyon pour un montant d'environ 26 millions d'euros, n'a pas eu le rendement espéré par les dirigeants et supporters lyonnais. Il devra montrer un autre visage en 2e partie de saison.

Stéphane Sessègnon s'entraînerait seul à l'INSEP, avec l'entraîneur d'athlétisme Renaud Longuèvre. Pendant que le PSG continuait son stage de reprise au Maroc, un stage que le Béninois avait refusé de faire suite à son altercation avec Antoine Kombouaré , l'ancien Manceau aurait fait une séance de deux heures assez soutenue ce lundi

Stéphane Sessegnon ne s'entraîne plus avec le PSG depuis le 2 janvier dernier : il travaille seul à l'INSEP et n'attend qu'une chose, son transfert, probablement vers Sunderland. Le club anglais serait prêt à dépenser 5 millions pour s'attacher les services du milieu offensif béninois. Pour Sessegnon en tout cas, pas question de rejouer sous les ordres de Kombouaré, depuis que l'entraîneur l'a insulté en décembre.

Leproux : «Il fait partie de la famille»
Mais les dirigeants du PSG, eux, ne l'entendent pas de cette oreille : Alain Roche, le responsable du recrutement, a rencontré le joueur à plusieurs reprises pour tenter de le faire changer d'avis. Au club, on affirme également qu'aucune offre concrète n'a été reçue, ni de Sunderland, ni d'ailleurs. Quant au président Robin Leproux, interviewé sur RMC, il est formel : «L'essentiel est qu'il revienne dans le groupe. Stéphane fait partie de la famille. Ludovic Giuly ne peut pas faire 90 minutes comme ce qu'il a fait contre Sochaux. On ne travaille pas sur une hypothèse de départ. Pour nous, il sera là le 31 janvier.» Reste à voir désormais qui aura le dernier mot.

ARLES MAISON DE RETRAITE DECERTAINS JOUEURS DE LIGUE 1

Mis à l'essai par Arles-Avignon la semaine dernière, Grégory Vignal ne signera pas avec le club provençal. Le latéral gauche de formation a été victime d'une rupture des ligaments croisés du genou droit. A 30 ans, il a du mal à digérer cette grave blessure et pense, malgré lui, à la fin de sa carrière.

L'essai n'a pas été transformé. Le rêve de retrouver la Ligue 1 pour Grégory Vignal a même viré au cauchemar. Testé par Arles-Avignon la semaine dernière et présent lors du match amical, samedi, face à Istres, l'ancien défenseur de Liverpool ou de Lens s'est gravement blessé au genou droit. Verdict : rupture d'un ligament croisé et d'un ménisque. Son absence est estimée à au moins six mois et il sera opéré le 8 mars prochain dans un établissement de Montpellier. «Je suis dégoûté, nous a-t-il avoué ce mercredi à l'autre bout du téléphone. Je suis dans l'incapacité de travailler, de gagner de l'argent et surtout de nourrir ma famille. J'ai du mal à dormir. Ça m'a mis un coup derrière la tête.»

DIEUMERCI EST AILLEURS

Tout juste prêté par Monaco à Wolfsburg, Dieumerci Mbokani s'est exprimé à propos d'un retour en Principauté à la fin de son prêt de six mois. «Laurent Banide a voulu me convaincre mais il était déjà trop tard. J'avais pris ma décision. J'espère que le coach pourra aider l'équipe à remonter au classement, a-t-il lancé. Je pense que je ne reviendrai pas. J'ai été prêté avec option d'achat et je vais tout faire pour rester ici. Je suis motivé. Je suis venu pour marquer des buts. J'ai passé des moments difficiles à Monaco. Tout cela est derrière moi maintenant. Je veux me consacrer à Wolfsburg

MOI JE PENSE QUE C EST UN EXTRAORDINAIRE JOUEUR QUI N A PAS EU LA CARRIERE ESPEREE
VIS A VIS DE SON TALENT
ET MEME EN EDF IL AURAIT Y ETRE ...




On ne peut pas plaire à tout le monde.» Stéphane Dalmat le sait : «Avant de signer à Rennes» l'été dernier, il ne faisait pas l'unanimité. «Je savais très bien que dans l'opinion des gens - que ce soit le public, les journalistes ou peut-être le club -, je n'étais pas spécialement le bienvenu, alors que personne ne me connaît», a confié l'ancien Sochalien jeudi, en conférence de presse.

Pour expliquer certaines des réticences qu'il ressent encore au sein du club ou en dehors, Dalmat évoque ses «ennuis judiciaires», «le fait d'avoir changé beaucoup de clubs», «l'image qu'on m'a collée depuis le début de ma carrière». «Je le ressens encore, mais je m'en fous. Si vous saviez... c'est le cadet de mes soucis. Mais oui je le ressens que je ne suis pas l'homme le plus aimé ici. Mais le plus important c'est le respect que j'ai de mes coéquipiers, qui je pense m'apprécient tous, apprennent à me connaître, de mon entraîneur, de l'encadrement. J'ai fait comprendre aux gens que j'étais quelqu'un de simple et de tranquille. Je ne suis pas un fouteur de merde, je suis quelqu'un qui aime travailler, qui le fait le plus sérieusement possible.»

«Une première partie de saison moyenne»
Six mois après son arrivée chez les Rouge et Noir, Dalmat admet que sa «première partie de saison a été moyenne». «Je sais qu'on attend plus de moi. Mais si l'équipe est troisième de Ligue 1 aujourd'hui, c'est que j'ai peut-être contribué à faire progresser certains jeunes. Il y a des choses qui ne se voient pas, que la presse, les gens ne voient pas forcément.»

LE BRAS DE FER
Payet, promenade dans la capitale
Un petit tour et puis retour
à la case départ... Hier, en
début d’après-midi, Dimitri
Payet a débarqué à Paris
sans l’autorisation de
l’AS Saint-Étienne, pour forcer
son transfert vers le
club de la capitale. Peine
perdue. Les dirigeants stéphanois
sont restés inflexibles
- repoussant au passage
une offre de 10 millions
d’euros de Chelsea ! - et att
e n d e n t l e j o u e u r
aujourd’hui, à l’entraînement.
Dans quel état d’esprit ? Et avec quelle sanction
à la clé ? Cette passe d’armes devrait laisser
des traces dans le Forez..

les buts de legende

http://www.20minutes.fr/article/666086/sports-amara-simba-adoube-heritier-moussa-sow

Le mercredi 12 août, Moussa Sow a disputé son premier match avec l'équipe nationale du Sénégal. Depuis, il conserve précieusement son premier maillot. : Marc Olivier Stade Rennais. International espoir français jusqu'à la saison dernière, Moussa Sow a finalement opté pour le Sénégal. Explications.

« Le Sénégal est pour moi le choix du coeur. » Cette réflexion de Moussa Sow est souvent galvaudée dans le milieu du foot, où nombre de joueurs affichent un nombre impressionnant de « clubs de coeur ». Encore plus si ces clubs ont de gros portefeuilles. Pour l'attaquant rennais, il ne s'agit pas d'un club. Mais d'une sélection nationale et d'une histoire de racines familiales.





« Mon père est venu en France au milieu des années 1970, explique le joueur. Puis il a été rejoint par ma mère ». Le petit Moussa a vu le jour à Mantes-la-Jolie, dans la banlieue parisienne. Jusque-là, rien de bien exceptionnel. Sauf que la famille Sow ne coupe pas les ponts avec son pays d'origine. « Chaque année, j'y retourne, raconte Moussa Sow. Là-bas, à Dakar, se trouvent mes racines. »

Il y a quelques mois, lorsque la Fédération sénégalaise a pris contact avec lui, c'est avant tout l'homme qui a ressenti un sentiment de fierté. « C'était quelque chose d'important pour moi mais aussi pour toute ma famille. » Mais le joueur a pris le temps de la réflexion. Tout d'abord parce que dans un premier temps, la FIFA, la Fédération internationale de football, a refusé la possibilité de sa sélection avec le Sénégal. Jusqu'en juin dernier, une règle interdisait de changer de sélection à partir du moment où un joueur avait porté les couleurs d'un pays en espoirs ou en A. « Mais fin juin cette règle a changé, souligne Moussa Sow. Donc c'est devenu possible. »
Un nouveau Lion de la Teranga
Pour autant, du haut de ses 23 ans, l'attaquant rennais a pris le temps de la réflexion. L'espoir de jouer en équipe de France A ? « Non pas du tout, rétorque-t-il. Je n'ai pas pris le problème dans ce sens-là, même si je pense avoir plus de chances de jouer en A avec le Sénégal qu'avec la France. Ma réflexion s'est plus portée sur mon histoire, mon attachement au Sénégal. »

La semaine dernière, jusqu'au dernier moment, Moussa Sow a réfléchi, hésité. Pourtant, il avait déjà effectué la demande et obtenu sa double nationalité franco-sénégalaise. Et finalement, le lundi 10 août, il a pris la direction de Blois, pour rejoindre la sélection sénégalaise et disputer son premier match sous ses nouvelles couleurs. « C'était très émouvant, car il y avait beaucoup de membres de ma famille. Surtout mes frères. J'ai joué tout le match et cela s'est plutôt bien passé. » À l'issue de la rencontre, Moussa Sow a conservé fièrement son maillot sénégalais, qui trône en bonne place chez lui. « Je ne l'ai pas encore lavé », rigole-t-il.

Dans les mois à venir, Moussa Sow va avoir le temps de faire ses preuves au sein de sa nouvelle sélection. Privé de Coupe du Monde et de Coupe d'Afrique des Nations, le Sénégal doit se contenter de matches amicaux. Mais peut-être qu'un jour son chemin croisera à nouveau celui de l'équipe de France. Mais, cette fois, ce ne sera plus sous le maillot bleu-blanc-rouge mais sous les couleurs de la sélection des Lions de la Teranga...

Armand victime d'un «traumatisme»

Percuté samedi par Apoula Edel contre Lens samedi (0-0), Sylvain Armand souffre d'un «traumatisme» a annoncé Antoine Kombouaré. «Il a pris un coup de genou sur une sortie d'Edel et il a un traumatisme. Il a fini la première période avec des maux de tête et voyait trouble», a déclaré son entraîneur qui l'a remplacé à la pause par Zoumana Camara. Le défenseur ne s'est cependant pas rendu à l'hôpital et il devrait en savoir plus sur ses chances de participer jeudi au déplacement à Minsk pour le 16e de finale aller d'Europa League contre le BATE Borisov

Opéré dans la nuit de samedi à dimanche d'une fracture de la malléole de la cheville droite, dans un hôpital bordelais, Yoan Gouffran garde espoir de fouler de nouveau les terrains de Ligue 1, d'ici la fin de saison.

Le verdict des médecins est en effet moins pessimiste que prévu : l'attaquant des Girondins doit être plâtré pour quarante jours, avant de suivre une rééducation de trois semaines. Si aucune embûche ne vient perturber ce planning, il pourrait donc être de nouveau opérationnel d'ici à la mi-avril. Soit à huit journées du terme du Championnat...

le gardien de Toulouse Mathieu Valverde, également remplacé pendant la rencontre (85e), souffre lui d'une pointe aux adducteurs.
son jeune remplacant vidal a paru tres tendre sur le but