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Robert Pires : le regret de ma carrière Publié le mardi 18 octobre 2011 à 08H01


L'ancien Olympien se livre au sujet de la saison 98-99 sans titre : "C'est le regret de ma carrière : ne pas avoir été champion de France avec Metz ou l'OM. Nous étions proches du titre. Nous avons été très bons sur les deux tableaux et on finit sans titre."

Lyon fait signer Valverde 31/10/2011 à 23:36
Libre de tout contrat depuis son départ de Toulouse, l'été dernier, le gardien de but Matthieu Valverde s'est engagé pour les huit prochains mois avec l'Olympique lyonnais. Ce recrutement intervient après les blessures de Rémy Vercoutre et Anthony Lopes, les numéros 2 et 3 du poste à Lyon, absents pour plusieurs mois. Âgé de 28 ans, Valverde a notamment porté les couleurs de Bordeaux et Boulogne-sur-Mer.

c'est une vraie passoire
j'espere qu'ils l'aligneront contre nous au velodrome ce sera plus facile pour gagner

Nicolita a forcé la porte
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Publié le 08/11/2011 à 06:00

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Il a marqué, il aurait même pu réussir le doublé et il a fait taire les circonspects. Nicolita a justifié la confiance de Galtier « Je lui avais dit de ne pas lâcher. C’est un gros travailleur qui aime s’entraîner, un garçon très attachant ».

L’entraîneur stéphanois a vu juste en pensant que le Roumain s’intégrerait plus facilement après avoir appris le français. Un problème que l’intéressé avait souligné dans une interview à Pro Sport « Mis à part aux entraînements, on n’a pas vraiment de contacts avec le club. Il y a le terrain, et ensuite, c’est chacun pour soi. Même pour les matches, on se retrouve à l’aéroport, chacun vient par ses propres moyens. Vous imaginez le choc pour moi qui suis encore habitué aux méthodes du Steaua où tout est fait en groupe. Mais j’ai une super professeure de français. Elle m’aide beaucoup, elle connaît le football et m’apprend les termes utilisés pendant les matches et à l’entraînement. Je suis optimiste » ajoutait-il. Sa combativité a fait le reste., trop au goût de Pierre Menes impressionné par son tacle sur Bedimo : « J’attends de voir si la commission va sanctionner à posteriori… Pour moi ce geste insensé vaut au moins trois matches » écrit le consultant de Canal En fait, le Stéphanois ayant été averti , il ne devrait pas y avoir surenchère de la commission

Le PSG reste ferme
Le 10/11/2011 à 21:45

La demande de la LFP concernant la réintégration de Peguy Luyindula au sein de l'effectif parisien restera lettre morte ... Pour le PSG. « Le Paris Saint-Germain entend analyser cette décision sereinement afin de décider s'il y a lieu d'en interjeter appel dans les délais et formes réglementaires . Dans cette attente, la décision rendue par la commission juridique n'étant pas exécutoire par provision, Monsieur Peguy Luyindula sera maintenu dans le groupe

Centre médical
Audel : "L'endroit idéal"
Le Centre médical de Clairefontaine accueille depuis plusieurs années des joueurs professionnels en rééducation. Après Hatem Ben Arfa, Yaya Sanogo, Pierre Womé ou encore Loris Arnaud, ce sont Johan Audel et Delvin Ndinga qui profitent actuellement des installations du centre yvelinois. L'attaquant du VfB Stuttgart et le milieu de terrain de l'AJ Auxerre évoquent leur convalescence, et nous expliquent pourquoi ils ont choisi le CTNFS pour se faire soigner.

"Clairefontaine était l'endroit idéal." Pour Johan Audel, le choix du CTNFS est apparu comme une évidence. "Après en avoir discuté avec mon agent et le Docteur Eric Rolland, nous avons contacté le Docteur Pascal Maillé, responsable du Centre médical. Comme à Stuttgart, les installations sont de qualité, sauf qu'ici il n'y a pas la barrière de la langue."

Pour l'ancien avant-centre de Valenciennes, ce mois passé dans le centre yvelinois pourrait bien lui permettre d'entrevoir le bout du tunnel. "Je me suis blessé il y a quasiment un an, en décembre 2010. Victime d'une rupture des ligaments croisés du genou, j'ai ensuite connu diverses complications, et notamment un syndrome du cyclope (formation d'une cicatrice fibreuse à l'intérieur de l'articulation, ndlr)."

Aujourd'hui, le natif de Nice constate une nette amélioration : "Après avoir achevé ma quatrième semaine ici, je vois maintenant la différence. J'ai vraiment bien travaillé, grâce notamment à l'aide des kinésithérapeutes. Ils m'ont concocté un programme adapté, entre séances de "cardio" et musculation."

Pour Delvin Ndinga, la blessure est en revanche plus récente. "J'ai été victime il y a un mois d'une rupture du tendon du quadriceps de la cuisse droite. Etant donné qu'il m'était arrivé la même chose à l'autre cuisse l'an dernier, nous avons essayé de voir s'il n'y avait pas une faiblesse musculaire. Je vais donc passer deux semaines au CTNFS pour me soigner."

Pour le milieu de terrain congolais, ce passage à Clairefontaine n'est pas une première. "J'étais déjà venu une journée ici il y a quelques années, pour effectuer des tests médicaux avec mon club d'Auxerre. C'est donc le médecin du club qui m'a conseillé de me faire soigner ici. Les installations sont de qualité, tout comme les personnes qui composent l'encadrement. Mes journées sont partagées entre soins et balnéothérapie."

Pour rappel, le centre médical de Clairefontaine est en mesure d'accueillir des joueurs nationaux et internationaux (de football mais aussi d'autres sports) souhaitant optimiser leur rééducation, ou préparer une nouvelle saison

Luyindula, le club fait appel
Le 24/11/2011 à 18:46

Sommé de réintégrer Peguy Luyindula dans le groupe professionnel, le PSG a fait appel de cette décision de la commission juridique de la LFP, a annoncé jeudi l'avocat du joueur Me Yves Repiquet. L'attaquant et son conseil n'ont en revanche pas encore « reçu notification de la décision du club » après l'entretien préalable à un éventuel licenciement auquel Luyindula s'est rendu mardi. L'appel du PSG sera étudié le 30 novembre

GOVOU 300e
Le déplacement d’Évian Thonon
Gaillard à Rennes, ce soir,
verra le retour dans le groupe
de Sidney Govou, la recrue
star (avec l'ex-Rennais Jérôme
Leroy) du jeune club de Haute-
Savoie à l'intersaison.
L'ex-Lyonnais est remis d'une
déchirure aux adducteurs qui
l'a tenu éloigné des terrains
près de deux mois. Un déplacement
loin d’être anodin pour
l’ancien Lyonnais qui devrait
célébrer sa 300e apparition en
Ligue 1. "C'est une grosse fierté",
avoue-t-il.

A l'amiable avec Luyindula ?
01/12/2011 à 10:50

Le bras de fer Paris-SG - Luyindula pourrait-il se régler à l'amiable ? Selon nos informations, Jean-Claude Blanc, le nouveau directeur général délégué parisien, ne serait pas hostile à une négociation pour sceller son divorce avec l'attaquant de 32 ans, sous contrat jusqu'en juin prochain. Mercredi, l'examen de l'appel du PSG contre la décision de la Ligue d'imposer au club la réintégration du joueur n'a débouché sur aucune décision, en l'absence d'accord entre représentants des clubs et des joueurs. Un juge "départiteur" doit trancher d'ici mardi ou mercredi prochain.

Luyindula pas à l'entraînement
Le 08/12/2011 à 12:43

Peguy Luyindula ne s'est pas présenté jeudi à l'entraînement du PSG attendant de recevoir une « feuille de route » et un planning après le rejet mercredi par la LFP de l'appel du club , obligé de réintégrer l'attaquant dans le groupe professionnel. « Je vais interpeller le club. On attend des instructions et une feuille de route pour pouvoir appliquer la décision » de la Ligue, a expliqué l'avocat du joueur, Me Repiquet. Ecarté du groupe professionnel par l'entraîneur Antoine Kombouaré depuis août, Luyindula avait eu gain de cause le 10 novembre devant la commission juridique de la LFP qui avait « enjoint » le PSG de le réintégrer après avoir visité les installations du centre d'entraînement pour constater l'infraction présumée

« Je suis un peu dégoûté »
Il a symbolisé les problèmes défensifs de son équipe en début de saison, et a l'impression d'en être le bouc émissaire. Relégué sur le banc de touche, Michaël Ciani se confie pour « Sud Ouest ».


Michaël Ciani espère retrouver sa place en défense. photo Laurent Theillet

Depuis sa dernière titularisation, le 22 octobre contre Brest (1-1), et une entrée en jeu qui a coïncidé avec la défaite chez le promu dijonnais (0-2), Michaël Ciani vit la difficile position du footballeur assis (sur le banc de touche) chaque week-end.

Une situation nouvelle pour lui qui avait été titularisé 76 fois lors de ses deux premières saisons aux Girondins (6 buts), et qu'il vit évidemment difficilement, partagé entre la fierté de vouloir retrouver son meilleur niveau à Bordeaux, et la tentation de se relancer par un départ au mercato de janvier. Muet depuis plusieurs semaines, il a accepté de l'évoquer pour « Sud Ouest ».




Nominé pour le ballon de plomb

Michaël Ciani, comme son coéquipier Matthieu Chalmé ainsi que ses ex-coéquipiers Alou Diarra et Moussa Maazou, fait parti de la liste des 10 joueurs nominés au titre du ballon de plomb 2011. Un titre attribué depuis neuf ans par le site Les Cahiers du Football et qui désigne chaque année le pire joueur de Ligue 1.

« Sud Ouest ». Comment vivez-vous le fait de ne plus être titulaire ?

Michaël Ciani. Ce n'est jamais plaisant de ne pas jouer, surtout quand on n'y est pas habitué. Mais on prend son mal en patience, on regarde l'équipe faire de bonnes prestations. On se réjouit au moins de ça.

La semaine d'entraînement est-elle différente quand on est sur le banc le week-end ?

Psychologiquement, oui. Même si on s'entraîne toujours de la même manière, il y a forcément une partie des joueurs qui est plus concernée que l'autre. Surtout quand l'équipe tourne bien, n'a pas perdu depuis trois matches sans prendre de but. C'est bien pour le groupe mais elle ne change pas.

On n'accepte jamais d'être remplaçant…

On a toujours envie d'être sur le terrain. Un gars, sur le banc, qui n'a pas envie de jouer, doit arrêter le football. J'ai souvent été titulaire à Bordeaux, j'ai encore envie de l'être. Là, je suis un peu dégoûté mais j'ai envie de montrer au coach que je suis encore là. Et ça passe par le travail.

Avez-vous compris votre mise à l'écart ?

Ça commence quand je suis suspendu à Ajaccio. Ils gagnent (2-0) et je me retrouve sur le banc contre Paris (1-1). C'est le choix du coach, on n'a pas à être d'accord ou pas. Derrière, sur le banc à Dijon (0-2) où je rentre et on prend deux buts. Puis encore enlevé de l'équipe (contre Caen, Nancy et à Marseille, NDLR)…

Pour parler clairement, avez-vous eu l'impression d'être le bouc émissaire de la défaite à Dijon ?

Oui, exactement. J'ai joué de malchance : je suis suspendu au moment où ils gagnent et on prend deux buts au moment où je rentre. J'ai ma responsabilité mais je crois que c'est aussi celle de tout un groupe, un collectif. Après, ce qui conforte les choix du coach et le bien de l'équipe, c'est qu'ils ne prennent pas de but, et c'est une bonne chose ! Mais je subis forcément les résultats du groupe.

Quand Francis Gillot a dit que « cela serait difficile pour Michaël Ciani pour la suite de la saison » (1), comment l'avez-vous pris ?

Il ne m'aide pas en disant des choses comme ça. C'est difficile à entendre, parce qu'on doit au moins avoir l'espoir de se battre pour quelque chose. (Silence) Mais bon, j'ai vécu des choses beaucoup plus difficiles dans ma vie… Je ne vais pas m'arrêter de jouer parce que le coach a dit que ce serait difficile pour moi.

Vous vous êtes expliqués ?

Non. Ce n'est pas à moi d'aller le voir. Je ne suis jamais allé frapper à la porte de son bureau. Je suis là, je travaille.

D'un autre côté, malgré des jugements parfois un peu durs, avec Francis Gillot, tout le monde peut retrouver sa chance, non ?

C'est vrai. Je suis aussi conscient qu'il dit ça parce qu'il connaît mes qualités et qu'il sait que je suis capable de rebondir. Je suis persuadé que ma chance reviendra un jour.

Par rapport à vos débuts à Bordeaux, vous semblez manquer de confiance aujourd'hui. Comme si vous vous étiez laissé entraîner par les mauvais résultats de l'équipe.

Oui. C'est à l'image du groupe. On s'est beaucoup reposé sur la solidité défensive en espérant ne pas prendre de but quand on n'en mettait pas. Dans ces cas-là, on est en danger. C'était beaucoup arrivé ces derniers temps : il suffisait d'une erreur pour encaisser un but, et on n'arrivait pas à marquer. Alors, la défense est pointée du doigt, surtout les défenseurs centraux. Et comme j'ai souvent joué, en changeant tout le temps de partenaire en charnière, j'étais le plus impliqué.

Fonctionnez-vous plus que d'autres à la confiance, au regard que l'on porte sur vous ?

Aujourd'hui, oui, plus que d'habitude. Heureusement, l'équipe revient bien. Son meilleur visage, c'est la défense, quand tous se battent les uns pour les autres. Chaque individualité en profite.

Vous espérez vous nourrir de cette confiance le jour où vous reviendrez dans l'équipe ?

Forcément. Quand les attaquants et les milieux font le travail, les défenseurs ramassent les miettes. C'est tout un état d'esprit qui change. Derrière, si on sait qu'on peut marquer à tout moment, on ne réagira pas comme ces derniers temps, à baisser la tête dès qu'on encaisse un but. À mon arrivé à Bordeaux, quand on en prenait un, on savait qu'on en mettrait trois…

Yoan Gouffran est venu fêter son but contre Paris en se jetant dans vos bras devant le banc. Cela vous a touché ?

C'était bien de sa part. C'était un message de soutien, du style : "Tu n'es pas sur le terrain mais on pense à toi". Lui-même est passé par des moments difficiles à Bordeaux, je suis content pour lui (6 buts marqués NDLR).

(1) Lors du point presse de l'entraîneur bordelais, le 24 novembre, avant la réception de Caen.

Robert Pirès vers VA?(EQ)
Actuellement sans club, Robert Pires a déclaré mercredi à Valenciennes qu'il se laissait encore le mercato pour décider éventuellement de donner une suite à sa carrière. « Je suis en stand-by. J'ai envie de continuer mais j'ai aussi envie d'arrêter », a confié l'ancien joueur d'Arsenal, présent ce mercredi au stade du Hainaut de Valenciennes pour donner le coup d'envoi de la rencontre de Ligue 1 entre VA et Lyon en tant que parrain de l'association SOS Villages d'enfants. « Je continue à m'entraîner », a ajouté le joueur, âgé de 38 ans.

Il a avoué avoir reçu une proposition du président du VAFC, Jean-Raymond Legrand, alors que le club nordiste est à la recherche d'un joueur de couloir. « C'était un test, mais il était sérieux », a assuré Robert Pires avant d'ajouter : « Mais joueur de couloir, je ne peux plus. A gauche, j'ai assez donné

H comme Eden Hazard. Et si la Ligue 1 avait trouvé son Mario Balotelli ? Comme l’Italien, Eden Hazard a une nouvelle fois cette année montré tout le spectre de son talent, conduisant Lille jusqu’à un titre qui lui fuyait depuis plus de 50 ans. Encore insensible aux sirènes du Real ou de la Serie A, le prodige belge continue de réciter ses gammes en Ligue 1… mais pas en sélection belge, où il est froid notoire avec le sélectionneur Georges Leekens. Surpris par la télévision belge en train de manger un hamburger avant la fin d’un match officile, Georges Leekens a écarté Eden Hazard cet été d’un match amical. Lequel a immédiatement menacé de prendre sa retraite internationale.

Monsoreau : «Ce n'était pas utile»
Le 04/01/2012 à 17:13 | Mis à jour le 04/01/2012 à 17:28

Taclé par Jacques Rousselot après son transfert avorté à Nancy, Sylvain Monsoreau répond au président lorrain. Et réaffirme son envie de sortir de l'impasse stéphanoise.


Sylvain Monsoreau s'explique sur les raisons de son départ avorté à Nancy.
« Sylvain Monsoreau, après votre transfert avorté à Nancy, Jacques Rousselot n'a pas été tendre avec vous en déclarant : « Dans la vie, il y a des garçons qui préfèrent peut-être autre chose que du temps de jeu et se faire plaisir ». Que s'est-il passé ? Nancy voulait une réponse, j'ai demandé un délai parce qu'il n'y avait pas eu d'accord entre l'ASSE et mon agent pour me libérer, et voilà... Mercredi dernier, l'offre était toujours d'actualité, le jeudi, ce n'était plus le cas. J'ai trouvé ces déclarations étonnantes dans la mesure où j'aurais pu dire oui à Nancy, d'autant qu'il y a là-bas Jean Fernandez que je connais bien. Ce n'était pas utile de dire ça, ce n'était pas la peine d'en rajouter...

«Les deux premiers mois, j'ai vraiment pris un coup derrière la tête.»
Quelle est votre situation actuellement ? Je suis toujours en stand-by , dans l'espoir de trouver un club pour quitter le loft stéphanois. Ces six derniers mois ont été très longs. Les deux premiers, j'ai vraiment pris un coup derrière la tête. Ça fait dix ans que je suis dans le milieu, j'ai toujours été dans le groupe pro, je n'ai jamais eu aucun problème avec personne... D'un coup, je me suis retrouvé avec des jeunes de 18 ans, un entraîneur de centre de formation... Après ma dernière saison et compte tenu des rapports que j'entretenais avec le staff, je ne m'attendais pas du tout à ça. Aujourd'hui, j'aspire à rejouer, tout simplement. Cela vous arrive-t-il encore de vous demander comment vous avez pu en arriver-là ? Certaines personnes ont dit que j'avais voulu prolonger mon contrat, mais je n'ai jamais posé d'ultimatum. L'histoire, c'est que le club a voulu changer de politique, le coach amener de nouveaux joueurs. Lorsque j'ai rencontré Galtier l'été dernier, il m'avait dit qu'il fallait que je me trouve un nouveau club, mais il m'avait aussi dit que si au 1er septembre, ça n'avait pas été le cas, que je reviendrais dans le groupe sans souci, qu'il m'appréciait... A l'époque, on n'avait pas connaissance de ce point du règlement qui autorise un club à vous mettre à l'écart...

Luyindula, «j'attendais de voir...»
A Paris, Peguy Luyindula se trouve dans une situation identique. Les démarches qu'il a entreprises vous ont-elles donné envie de l'imiter ? J'ai suivi ce qu'a fait Peguy, il a eu beaucoup de courage. Quelque part, c'est humain de vouloir des explications, de savoir pourquoi on mérite ça... Personnellement, je n'ai pas voulu m'orienter dans ce genre d'entreprise, je préférais d'abord attendre de voir comment allait évoluer sa situation. J'ai bien vu que c'était compliqué... Valenciennes et Sochaux s'intéresseraient à vous... J'ai lu ça, mais il n'y a rien de concret. Pour l'instant, je me prépare dans mon coin pour être prêt. Gérard Houllier me disait que le plus dur dans une carrière, c'est le rebond. J'en suis capable, mais il faut qu'on m'en offre la possibilité

10/01/2012 - 14:53
Arsenal: Pires à l'entraînement
Après le retour en grâce de Thierry Henry lundi soir face à Leeds (1-0), les fans d'Arsenal en sont presque à demander à leurs dirigeants de sortir toutes les anciennes gloires de leur retraite. Hasard ou non, au lendemain de la prouesse de "Titi" en FA Cup, Robert Pires s'est entraîné avec le groupe professionnel des Gunners. Via Twitter, Robin van Persie et Jack Wilshere, entre autres, ont salué la présence de l'ancien international français. De là à imaginer que le milieu offensif de 38 ans va imiter son ancien comparse...

Romeyer a refusé Pires
Le 11/01/2012 à 08:15 | Mis à jour le 11/01/2012 à 09:09

Actuellement à la recherche d'un club, Robert Pires s'entraîne avec Arsenal. Le milieu français de 38 ans a été contacté par Saint-Etienne, comme il l'a révélé dans nos colonnes. « Un président me voulait (Caïazzo), l'autre pas (Romeyer). C'est dommage car j'aurais aimé revenir en France », a expliqué l'homme aux 79 sélections chez les Bleus. S'il exclut totalement de porter de nouveau le maillot d'Arsenal pour aider le club, comme Thierry Henry, l'ancien joueur de Marseille ou de Metz espère pouvoir relever un dernier défi : « Je me donne une dernière chance. Je peux et j'ai encore envie de jouer. Ce sera très compliqué en Europe. (...) J'en suis au stade des négociations avec la Chine. J'ai également des touches en Inde. » Si tout cela n'aboutit pas fin janvier, Roberto Pires arrêtera sa carrière

Ederson : «Difficile de continuer»
Le 21/02/2012 | Mis à jour le 21/02/2012 18:06:24

Ederson vit une quatrième saison lyonnaise des plus bizarres. Dimanche à Bordeaux (0-1), alors que ses concurrents Gourcuff et Grenier étaient absents, le Brésilien n'a joué que le dernier quart d'heure. Il sortait pourtant d'une prestation correcte cinq jours plus tôt contre Nicosie en Ligue des champions (1-0). « Cela me fait mal de voir l'équipe perdre en étant sur le banc. J'aimerais avoir plus de temps de jeu .» En parallèle, sa situation contractuelle semble s'acheminer vers une impasse. En fin de bail en juin, l'ancien Niçois n'a toujours pas trouvé d'accord pour prolonger. « Ma priorité est de rester. Pour le moment, les discussions n'avancent pas. C'est sûr qu'en étant sur le banc, c'est difficile de vouloir continuer. » L'idée d'un départ fait donc son chemin. « Si je ne prolonge pas, j'irais jouer ailleurs. Cela ne me pose pas de problème », indique Ederson avant de rajouter que « beaucoup de clubs sont intéressés

● Dropsy est guéri. Atteint d’une leucémie décelée il y a près d’un
an, Dominique Dropsy s’est rendu hier au centre d’entraînement
du Haillan, à Bordeaux, pour annoncer sa guérison. L’ancien international
français et entraîneur des gardiens girondins depuis 1990
est venu rendre une visite surprise au staff, qu’il avait quitté à la
suite d’unmalaise

LIGUE 1 ● Govouaété opéré.
Victime d’une rupture du tendon
d’Achille contre Sochaux
(2-3), Sidney Govou a été opéré
lundi à Lyon. Il sera indisponible
entre quatre et six mois

Football
Sidney Govou en soins à Saint-Raphaël. Publié le mardi 15 mai 2012 à 11h14 . . Victime d'une rupture du tendon d'Achille gauche en mars dernier lors d'un match de championnat de Ligue 1 contre Sochaux, le milieu offensif international de Thonon-Evian-Gaillard est actuellement en soins au Centre de rééducation du sportif (CERS) de Saint-Raphaël-Boulouris.

En mars 2009, le septuple champion de France avec l'Olympique lyonnais avait déjà fait un passage au sein de cet établissement après une rupture du tendon d'Achille droit! Sidney Govou espère pouvoir reprendre l'entraînement avec son club, début juillet.
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Luyindula prolonge d'un an !
Le 21/05/2012 | Mis à jour le 21/05/2012 18:35:51

C'est la surprise du chef à quatre jours de son anniversaire. Peguy Luyindula a prolongé son contrat d'un an au PSG, a annoncé lundi le club parisien dans un communiqué. L'attaquant, qui n'a pas joué une seule minute cette saison en raison d'un conflit latent avec ses employeurs, est désormais lié au vice-champion de France jusqu'en 2013.

Pour justifier cette saison décision, le club a expliqué que son joueur pouvait être «utile aux futurs succès de l'équipe». Les deux parties «ont décidé d'un commun accord de faire primer l'esprit du football et l'avenir du club sur les différends qui les ont opposés». Conséquence immédiate : «Peguy Luyindula abandonne les actions judiciaires qu'il avait engagées».

Réintégré début février dans l'effectif parisien après avoir été écarté du groupe professionnel en début de saison par Antoine Kombouaré, l'international français (6 sélections, 1 but) réclamait six millions d'euros à son club en guise de dommages et intérêts. Une somme qu'il ne touchera donc jamais.

Annoncé début juin par la presse catalane comme recrue potentielle du FC Barcelone, Dejan Lovren a répondu jeudi à cet intérêt de manière très officielle et plutôt inattendue, sur le site de son club, l'Olympique Lyonnais. Sous contrat jusqu'en 2016, l'international croate ne souhaite pas quitter Lyon cet été, avec qui il a de grandes ambitions pour cette saison. «Je suis bien à l'OL. Je pense que je vais rester. J'en ai envie après cela dépend du club. Tout peut arriver dans le foot, a-t-il déclaré. Barcelone ? Ce sont juste des paroles, rien de concret. Mais cela fait plaisir. Moi, je veux montrer encore plus que ce que j'ai déjà fait. Je peux encore faire mieux. J'ai envie de gagner d'autres trophées. Un seul titre avec l'OL ce n'est pas suffisant».