INFOS JOUEURS LIGUE 2

Wiltord continue de plus belle
Le champion d'Europe 2000, Sylvain Wiltord (37 ans) a signé respectivement pour un ans à Nantes.

, Sylvain Witord s'est engagé mardi officiellement pour une saison avec le FC Nantes,
a indiqué le club dans un communiqué. Le champion d'Europe 2000 avec l'équipe de France était sans club depuis un an. A l'essai depuis quinze jours chez les Canaris, il a convaincu son entraîneur Landry Chauvin de lui donner sa chance.

Sa prestation, lundi en amical contre Brest (1-3), a sans doute joué dans la décision du nouveau coach nantais. Toujours est-il que l'attaquant (37 ans et 92 sélections) va connaître le septième club de sa carrière après Rennes, Bordeaux, Arsenal, Lyon, Marseille et Metz. Son (ultime ?) objectif : aider Nantes à remonter en Ligue 1.

5 Wiltord, Rothen : les joueurs qui descendent

À respectivement 37 et 33 ans, les deux ex-internationaux ont décidé de jouer les prolongations. Formé à Rennes, Wiltord, l’attaquant aux 92 sélections, s’est engagé pour une saison sous le maillot Canari après une pige d’un an à Metz, que beaucoup pensaient être la dernière. Au chômage technique depuis la résiliation de son contrat en octobre 2010 au Paris SG, Rothen a choisi Bastia, qui retrouve la L2. L’ex-roi de la passe décisive a encore les moyens de distiller quelques bons caviars.

À 37 ans, l’attaquant Sylvain Wiltord s’est engagé pour une saison à Nantes.

Diego Gomez met les gaz

Ligue 2 > Classement des Passeurs
13/09/2011
Cinquième passe décisive pour le milieu de terrain angevin, plus que jamais leader du classement des passeurs après 6 journées.

On n'arrête plus Diego Gomez. Auteur d'une nouvelle offrande décisive lors de la sixième journée, le milieu de terrain angevin conforte sa place de leader avec un total de cinq passes. Toujours passeur pour un buteur différent, Gomez a cette fois-ci mis parfaitement sur orbite Gaëtan Charbonnier d'une déviation de la poitrine.

Du côté du Stade de Reims, Clément Tainmont remonte à la deuxième position de ce classement avec une troisième passe décisive en forme de centre parfait pour Cédric Fauré. Le Troyen Benjamin Psaume a signé lui sa deuxième passe sur un bon service en profondeur pour Caceres.

Dans les autres rencontres, treize autres joueurs ont ouvert leur compteur : N'Diaye (AC Arles-Avignon), Rigonato (Tours FC), Rivière (Havre AC), Gimbert et Belaud (Stade Lavallois), Diaz (FC Metz), Auriac (Angers SCO), Gibaud (Le Mans FC), Mandi (Stade de Reims), Moulin (Châteauroux), Ben Saada (RC Lens), Salze et Bayod (Clermont Foot

Laissé libre cet été par Leicester, Yann Kermorgant (29 ans) vient de s'engager avec Charlton Athletic, en troisième division anglaise. Prêté la saison passée à Arles-Avignon, après un exercice peu convaincant à Leicester, l'ancien attaquant de Grenoble et Reims va tenter de rebondir.

«Il a de bonnes capacités et de bonnes qualités, même s'il est un peu différents de nos attaquants actuels, dit de lui son coach, Chris Powell, qui l'a connu quand il entraînait Leicester. Il est très fort dans le domaine aérien, très costaud et c'est un bon finisseur, même si pour l'instant, ici, ça n'a pas trop marché pour lui

Ligue 2. L’équipe type de la 14e journée à l’Ouest
Football lundi 07 novembre 2011


Guingamp « exempté » pour cause d’intempéries importantes à Arles-Avignon, l’équipe type de Ligue 2 pour la 14e journée à l’Ouest fait la part belle aux Lavallois, qui placent cinq maillots dans cette formation idéale, grâce à leur victoire (1-0) acquise face aux Corses de Bastia, belle performance devant un candidat possible au titre, et en tout cas postulant déclaré à l’étage supérieur.


Quatre Manceaux enrichissent ce onze, le 2-2 cueilli à Monaco, lanterne rouge, est le 5e de la saison des Sarthois, et Angers avec Diers et Manceau complètent l’effectif à la faveur du succès (1-0) qui leur permet de passer devant leur adversaire du jour, Tours, au classement. Avec leur défaite 2-0 encaissée à Troyes, les Nantais avaient peu de chance de figurer dans ce groupe.


L’avis de nos envoyés spéciaux


BALIJON (6 sur 10). Il a vite été sollicité par les Corses et a mis quelques minutes à se chauffer. Vigilant sur des frappes, toutes cadrées, signées Khazri (28’), Diallo (37’) et encore Rothen (42’). Moins à l’ouvrage après la pause.


CUFFAUT (6). Il a retrouvé toute sa carburation. Il ne crève pas l’écran mais l’ensemble de sa production est relativement propre.


ROSE (6). Sa puissance s’est avérée précieuse, face aux clients adverses.


TALMONT (6). Un début de match dans le vague, à l’image d’une transversale directement en touche (23’). Il a d’abord souffert, face à Maoulida. Une glissade qui aurait pu coûter un but (28’). Il s’est très bien repris, ensuite, notamment dans le jeu aérien. Son avis : « En première période, j’ai perdu deux, trois duels et il y a eu cette glissade… Il faut toujours faire attention avec Maoulida, qui sait se faire oublier. Après, à l’image de l’équipe, j’ai été meilleur ».


SIGNORINO (7). Il fallait toute la fougue de l’ancien Nantais pour contenir Genest. Un boulot considérable. Il a repoussé une frappe lourde de Khazri partie pour inquiéter Balijon (63’).


LE BARON (6). Tout de suite dans le bon tempo, dans le travail défensif comme dans l’orientation du jeu, où il s’est montré juste et précis, souvent à une touche de balle. Puis il est rentré dans le rang et a été remplacé à la 66e minute par VIALE, auteur d’une bonne rentrée et, surtout, du but lavallois. Lancé en profondeur, au duel, il s’est excentré mais a déclenché sa frappe au bon moment pour tromper Novaes (85’).


DIERS (7). Encore un nombre impressionnant d’aller et retour. C’est le prototype même du bosseur pour qui l’équilibre collectif prime. En plus, il a retrouvé du peps et de la justesse. Amène le but sur un centre précis.


MANCEAU (6,5). La ligne médiane tourangelle évoluant assez bas, il eut loisir de se projeter vers l’avant. Il travailla beaucoup et ajusta souvent ses passes.


EKENG EKENG (6). Préféré à Stromstad, positionné sur le côté droit, il s’est plutôt bien acquitté de sa tâche même si en première période, il a eu trop tendance à ne pas glisser dans son couloir pour centrer par la suite. C’est ailleurs lorsqu’il est dans l’axe qu’il parvient à égaliser au terme d’une action où sa vivacité et sa capacité de réaction ont laissé sans voix la défense monégasque. Remplacé par BELFORT (84’).


OUALI (7). dans le moteur manceau, c’est lui qui est chargé de l’explosion. Insatiable, plein d’entrain, l’Algérien s’est démultiplié pour proposer des opportunités offensives. C’est lui qui est à l’origine du centre qui entraîne l’égalisation d’Ekeng Ekeng. Puis son abnégation personnelle a fini par payer puisque c’est lui qui donne la victoire aux Manceaux.


MOMI (6). Titulaire pour la première fois depuis qu’il est arrivé en Sarthe, le Centrafricain a été rarement mis dans de bonnes dispositions. Il n’a pas ménagé ses efforts. Il a couru, beaucoup. Un travail récompensé par une passe décisive en faveur de Ouali. Remplacé par DIARRA (90’+1’).

Hum !!!! pas un seul bastiais dans l’équipe type
Remarque que la saison dernière en ayant la meilleure attaque et la meilleure défense...ce ne nous ai pas arrivés souvent d’être dans LEUR "équipe type"

Duhamel a «perdu trop de temps»18/11/2011 à 23:35

Mathieu Duhamel (27 ans) espère enfin franchir le palier qui le sépare encore de la Ligue 1. Coup de projecteur avant le match de Coupe entre Metz et Beauvais (15h00).


Mathieu Duhamel a éclos sur le tard.
Il faisait partie de ces gamins qui, tôt ou tard, se voyaient en héros de première division. Pour Mathieu Duhamel, ce sera plus tard que tôt, mais qu'importe. A 27 ans, l'avant-centre de Metz récolte enfin le fruit d'années de galère tout juste digérées. « J'ai galéré oui, mais c'est aussi ce qui fait ma marque de fabrique aujourd'hui, je ne lâche rien. » Pas étonnant qu'il se soit adonné à la boxe, il y a un temps. Il faut le voir sur un terrain, accrocheur, presque hargneux, dur au mal et au pressing. Il faut lire, le long de son bras droit, le message de son tatouage à l'encre noire : « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort». Et lui permet de voir plus loin, plus haut, sûr de sa valeur et de son dû. Un peu trop, peut-être ? «Pour moi, ce n'est pas une fin en soi de jouer en Ligue 2. Maintenant, je veux gravir l'échelon d'après. » Pourquoi pas en Ligue 1, à Caen, un club qu'il aime bien, pourquoi pas en Bundesliga ou en Premier League, où des clubs se sont déjà renseignés.

«Un joueur de caractère, c'est un joueur qui ne lâche jamais rien. C'est une de mes forces.»
Et si le téléphone sonne même de l'étranger, c'est qu'avec six buts en 13 matches, Mathieu Duhamel a trouvé chaussure à son pied de buteur en Lorraine. « Moi quand je me sens bien quelque part, ça se voit .» Alors, pour voir quand ça n'allait pas, on lit sa feuille de stats, celle d'un grand gars à peine passé pro à 25 ans alors qu'il était à Troyes. Celle d'un joueur quelque peu instable, un club une saison, depuis ses débuts. « Chaque fois que je suis parti, c'est pour monter d'un niveau. » Et pour mettre un terme à une collaboration pas forcément heureuse. Comme à Laval, où il quitte les Tango l'année de leur montée en Ligue 2. « Philippe Hinschberger pensait que si j'étais remplaçant en L2, je ferais la gueule. Il a préféré ne pas me garder mais l'an dernier, il a été le premier à m'appeler pour s'excuser et me demander de revenir .»

Comme à Troyes, où Jean-Marc Furlan l'accueille chaudement : « Lorsqu'il m'a parlé pour la première fois de la saison, il m'a dit qu'en tant que joueur de National, je ne serais jamais un bon joueur de Ligue 2. Cela prouve qu'il s'est trompé. J'ai un petit côté "revanchard". J'aime bien montrer à ceux qui n'ont pas cru en moi qu'ils ont eu tort .» C'est de là, sans doute, que Mathieu Duhamel tire cette étiquette de joueur de caractère au mieux, d'individualiste forcené au pire. « Un joueur de caractère, c'est un joueur qui ne lâche jamais rien. C'est une de mes forces. C'est facile de dire que je suis un joueur de caractère... Petit à petit, l'étiquette s'en va. Avec des entraîneurs qui ont connu le haut niveau comme Laurent Fournier ou Dominique Bijotat, qui sont satisfaits et disent que j'ai du caractère dans le

Duhamel a «perdu trop de temps»18/11/2011 à 23:35

Mathieu Duhamel (27 ans) espère enfin franchir le palier qui le sépare encore de la Ligue 1. Coup de projecteur avant le match de Coupe entre Metz et Beauvais (15h00).


Mathieu Duhamel a éclos sur le tard.
Il faisait partie de ces gamins qui, tôt ou tard, se voyaient en héros de première division. Pour Mathieu Duhamel, ce sera plus tard que tôt, mais qu'importe. A 27 ans, l'avant-centre de Metz récolte enfin le fruit d'années de galère tout juste digérées. « J'ai galéré oui, mais c'est aussi ce qui fait ma marque de fabrique aujourd'hui, je ne lâche rien. » Pas étonnant qu'il se soit adonné à la boxe, il y a un temps. Il faut le voir sur un terrain, accrocheur, presque hargneux, dur au mal et au pressing. Il faut lire, le long de son bras droit, le message de son tatouage à l'encre noire : « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort». Et lui permet de voir plus loin, plus haut, sûr de sa valeur et de son dû. Un peu trop, peut-être ? «Pour moi, ce n'est pas une fin en soi de jouer en Ligue 2. Maintenant, je veux gravir l'échelon d'après. » Pourquoi pas en Ligue 1, à Caen, un club qu'il aime bien, pourquoi pas en Bundesliga ou en Premier League, où des clubs se sont déjà renseignés.

«Un joueur de caractère, c'est un joueur qui ne lâche jamais rien. C'est une de mes forces.»
Et si le téléphone sonne même de l'étranger, c'est qu'avec six buts en 13 matches, Mathieu Duhamel a trouvé chaussure à son pied de buteur en Lorraine. « Moi quand je me sens bien quelque part, ça se voit .» Alors, pour voir quand ça n'allait pas, on lit sa feuille de stats, celle d'un grand gars à peine passé pro à 25 ans alors qu'il était à Troyes. Celle d'un joueur quelque peu instable, un club une saison, depuis ses débuts. « Chaque fois que je suis parti, c'est pour monter d'un niveau. » Et pour mettre un terme à une collaboration pas forcément heureuse. Comme à Laval, où il quitte les Tango l'année de leur montée en Ligue 2. « Philippe Hinschberger pensait que si j'étais remplaçant en L2, je ferais la gueule. Il a préféré ne pas me garder mais l'an dernier, il a été le premier à m'appeler pour s'excuser et me demander de revenir .»

Comme à Troyes, où Jean-Marc Furlan l'accueille chaudement : « Lorsqu'il m'a parlé pour la première fois de la saison, il m'a dit qu'en tant que joueur de National, je ne serais jamais un bon joueur de Ligue 2. Cela prouve qu'il s'est trompé. J'ai un petit côté "revanchard". J'aime bien montrer à ceux qui n'ont pas cru en moi qu'ils ont eu tort .» C'est de là, sans doute, que Mathieu Duhamel tire cette étiquette de joueur de caractère au mieux, d'individualiste forcené au pire. « Un joueur de caractère, c'est un joueur qui ne lâche jamais rien. C'est une de mes forces. C'est facile de dire que je suis un joueur de caractère... Petit à petit, l'étiquette s'en va. Avec des entraîneurs qui ont connu le haut niveau comme Laurent Fournier ou Dominique Bijotat, qui sont satisfaits et disent que j'ai du caractère dans le

Contrat résilié pour Lachor
Le 12/12/2011 à 19:13

Yoann Lachor, blessé depuis le début de saison, et l'USBCO ont trouvé un accord ce lundi pour résilier à l'amiable le contrat du défenseur central boulonnais, à qui il restait six mois de contrat avec la formation nordiste. Yoann Lachor pourrait rebondir avec le projet de reprise du club du Touquet (DH) , auquel il est associé avec Gérard Houllier.

UNFP: Pollet meilleur joueur du mois de novembre
David Pollet remporte le trophée de meilleur joueur du mois de novembre en Ligue 2. L’UNFP a communiqué les résultats ce mercredi. Le joueur de Lens a obtenu 49% des votes et devance Romain Alessandrini (Clermont, 28%) et Ryan Mendès (Le Havre, 23%). L'attaquant franco-belge a inscrit 2 buts durant ce mois de novembre face à Sedan et Le Mans. Il succède à Rivière (Clermont) et Charbonnier (Angers) élu en octobre et en septembre

Au « taquet », Agassa !Publié le dimanche 04 mars 2012 à 10H45 -

On ne compte plus les matches où Kossi AGASSA a rapporté des points aux siens. Celui de vendredi vient s'allonger à la liste.
Plus fort que Gérard Majax, au point de ne pas être battu quand… il l'est ! Eh oui, l'arbitre, M. Thual, a refusé deux buts et sur celui - valide - de Beauvue, il n'y avait rien à faire.
Un arrêt déterminant : sa sortie du pied sur un tir du remuant Castelroussin (77e), qui croyait dur comme fer au doublé sur ce coup-là.
A droite, Christopher GLOMBARD a livré une prestation plutôt solide, sauvant parfois les « coups » comme il pouvait, en sacrifiant son visage, par exemple (34e). S'est distingué offensivement en donnant une balle de 2-0 à Idriss Saadi (56e).
La charnière centrale a, par moments, grincé, et, dans les moments chauds, Mickaël TACALFRED a été un peu moins en vue qu'Anthony WEBER, auteur de plusieurs interventions de bon aloi. Ce dernier a été averti à la 45e+1.
A gauche, Matthieu FONTAINE n'a pas eu la partie facile face à Fauque, le défenseur, et Beauvue. C'est lui qui est à la lutte avec ce dernier à la 77e sans pouvoir l'empêcher de tirer.
A la récupération, s'il avait retrouvé des couleurs depuis quelque temps, Bocundji CA est un peu « redescendu ». Trop de fatigue accumulée après le Reims - Sedan ? Toujours est-il qu'il a été remplacé à la 62e par Johan RAMARE, qui a eu quelques bonnes inspirations.
Alexi PEUGET a été à la hauteur dans les duels mais a parfois perdu des ballons dans des zones chaudes comme celui à la 36e où il est obligé de concéder un coup franc sur lequel Fournier place sa tête. Heureusement que M. Thual ne valide pas le but…
Odaïr FORTES a pâti, en début de match, d'une sorte d'« Ayité-dépendance » qui faisait pencher le jeu du Stade à gauche. Du coup, on ne l'a pas beaucoup vu en première mi-temps, même s'il a tout de même trouvé le moyen de lancer Kamel Ghilas pour le but du 0-1. Mais même quand le Togolais est sorti, il n'a pas réussi à se montrer beaucoup plus décisif. Cela dit, on ne revient pas d'une grave blessure en claquant des doigts.
En neuf et demi, Kamel GHILAS a été égal à lui-même : débordant d'énergie, précis dans ses contrôles, clairvoyant dans ses passes et… décisif ! Et de onze buts, cette saison, en L2 !
Pour son retour après sa blessure aux adducteurs, Floyd AYITE a montré de belles prédispositions en première période, l'influence qu'il a prise dans le jeu stadiste se faisant sentir dans nombre de ses appels. Mais il n'a pu tenir le rythme et a été remplacé par Clément TAINMONT (70e) qui a eu une belle occasion, annihilée in extremis par Vincent Fernandez (88e).
Idriss SAADI a œuvré en pointe. Il n'a pas marqué beaucoup de points… Les plus impartiaux décréteront qu'il n'a pas disposé de beaucoup de cartouches. Oui mais voilà, il en a eu une, et une belle ! Alors que la défense locale le croyait hors jeu, il a eu tout le temps de se débarrasser de Fernandez mais il n'a pas pu redresser son tir. Cruel constat pour un attaquant : la différence entre une belle copie et un brouillon peut être parfois infime. Remplacé par Cédric FAURE (72e) qui n'a pu faire pencher la balance en faveur des siens.

Arrivé au HAC en 2008, après avoir été repéré lors du tournoi international de l'ESMGO, Mendes ne peut contenir ses envies de L1

Football/Ligue 2/Le HAC : l'épineux dossier Mendes
Publié le jeudi 02 août 2012 à 08H00



FOOTBALL. Ligue 2 Coincé entre des dirigeants havrais qui n'entendent pas brader leur joueur vedette, et des Lillois qui ne tiennent pas à débourser plus qu'ils n'ont déjà proposé, le dossier Mendes est au point mort. Ou presque.