L'arbitrage !!!!!!
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Les clubs rejettent l'utilisation de la technologie
Invités à se prononcer en faveur ou non de la technologie sur la ligne de but, les 36 clubs de 1ere et 2e divisions allemandes ont largement rejeté son introduction, ce lundi lors d'une assemblée générale à Francfort. Seuls douze clubs ont voté pour une modification du règlement, alors que les 2/3 étaient nécessaires pour l'adoption d'un système d'aide à l'arbitrage. Le recours à la technologie avait trouvé un certain écho favorable outre-Rhin après le "but fantôme" de Stefan Kiessling accordé à tort au Bayer Leverkusen face à Hoffenheim (2-1), le 18 octobre dernier. La Premier League est actuellement le seul championnat à posséder un appui technologique avec le système "Hawk Eye", en place depuis cette saison sur les pelouses anglaises et utilisé depuis plusieurs années en tennis.
Invités à se prononcer en faveur ou non de la technologie sur la ligne de but, les 36 clubs de 1ere et 2e divisions allemandes ont largement rejeté son introduction, ce lundi lors d'une assemblée générale à Francfort. Seuls douze clubs ont voté pour une modification du règlement, alors que les 2/3 étaient nécessaires pour l'adoption d'un système d'aide à l'arbitrage. Le recours à la technologie avait trouvé un certain écho favorable outre-Rhin après le "but fantôme" de Stefan Kiessling accordé à tort au Bayer Leverkusen face à Hoffenheim (2-1), le 18 octobre dernier. La Premier League est actuellement le seul championnat à posséder un appui technologique avec le système "Hawk Eye", en place depuis cette saison sur les pelouses anglaises et utilisé depuis plusieurs années en tennis.
internet34- Messages : 5458
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Les arbitres français sont-ils nuls?
Question de Sport à 20h50 ce soir sur L'Équipe 21.
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Lionel Rosso et ses invités s'intéressent ce soir à l'arbitrage. (L'Equipe)
Lionel Rosso et ses invités abordent la question de l’arbitrage français ce jeudi soir sur le plateau de Question de Sport.
Nos arbitres sont-ils nuls? Elie Baup, Bruno Derrien, Alain Caveglia, Eric Borghini et Christophe Berdos en débattront en direct.
A retrouver notamment au cours de l’émission : un état des lieux complet de l’arbitrage en France et un entretien avec Gilles Veissière, ancien arbitre international français.
Question de Sport à 20h50 ce soir sur L'Équipe 21.
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Lionel Rosso et ses invités s'intéressent ce soir à l'arbitrage. (L'Equipe)
Lionel Rosso et ses invités abordent la question de l’arbitrage français ce jeudi soir sur le plateau de Question de Sport.
Nos arbitres sont-ils nuls? Elie Baup, Bruno Derrien, Alain Caveglia, Eric Borghini et Christophe Berdos en débattront en direct.
A retrouver notamment au cours de l’émission : un état des lieux complet de l’arbitrage en France et un entretien avec Gilles Veissière, ancien arbitre international français.
internet34- Messages : 5458
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Re: L'arbitrage !!!!!!
L'homme en noir... Wilfried BIEN : "Parfois difficile de prendre la bonne décision en un dixième de seconde"
Arbitre professionnel depuis 2007, Wilfried Bien participe à la campagne de sensibilisation et de valorisation de l'arbitrage. L'homme en noir... ou en jaune, c'est selon, revient sur son parcours, ses envies et sur son métier pas toujours évident à assumer.
Wilfried Bien, deuxième en partant de la gauche, lors de la conférence de presse de présentation du projet
Wilfried, comment en êtes venu à devenir arbitre et quel a été votre parcours auparavant ?
"J'ai d'abord été footballeur avant d'être arbitre. Je suis natif de Chambéry et j'ai donc joué à Barby, l'ancêtre du FC Nivolet, jusqu'à mes quinze ans. J'ai ensuite connu une blessure qui m'a fait me tourner vers l'arbitrage. J'avais en effet deux amis qui occupait déjà cette fonction et j'ai pris le virus. C'est devenu une passion. Dans un premier temps, j'ai continué à jouer puis à vingt ans, j'ai fait le choix de me tourner entièrement vers l'arbitrage."
Revenons à cette campagne de sensibilisation et de valorisation de l'arbitrage. Quel en est le but et votre rôle dans cette initiative ?
"Mon rôle est la conséquence de ma double casquette de conseiller technique à l'arbitrage à la Ligue Rhône-Alpes et de mon statut d'arbitre professionnel. Cette campagne a le simple but de promouvoir notre métier et d'expliquer nos difficultés, parfois, à prendre les bonnes décisions en un dixième de seconde. C'est une initiative nationale. Le jeu facebook (sur la page officielle de la FFF) a pour but de montrer de manière ludique tout cela. Et pourquoi pas de susciter des vocations".
"Faire en sorte que le jeu soit plus fluide"
En fonction des pays, les arbitrages sont différents. Ne serait-ce pas nécessaire qu'il y ait une harmonisation pour mieux comprendre les hommes en noir ou les disparités entre les cultures sont trop importantes ?
"Nous sommes avant tout des hommes et des passionnés de ballon rond. Notre souhait est évidemment de faire en sorte que le jeu soit fluide. Nous sommes aussi dépendants des acteurs qui nous obligent à siffler parfois trop. Comme vous le soulignez, la culture joue également un grand rôle. Mais si on prend l'exemple de la France, on entend souvent dire que les arbitres sifflent trop souvent, hachent le jeu par rapport à l'Angleterre où même l'Allemagne. Il faut savoir que selon une étude excluant les Britanniques, les arbitres français sont ceux qui sifflent le moins de fautes dans les quatre autres grands championnats (Allemagne, Espagne, Italie, France) avec en moyenne de vingt-quatre coups de sifflet par matchs".
"L'arbitrage à cinq est une bonne évolution"
Wilfried Bien, à droite, aux côtés de Bernard Barbet, au centre, et d'Alexandre Castro, à gauche.
On parle tous les week-ends des fautes d'arbitrage. Quelle est votre position sur les différents moyens proposés pour vous aider ?
"Je suis pour tout ce qui pourrait nous accompagner dans notre jugement. L'arbitrage à cinq, et je peux en parler pour avoir été concerné en Coupe d'Europe, est une évolution intéressante. Elle permet d'avoir des yeux supplémentaires sur le jeu mais aussi et surtout elle dissuade parfois les joueurs à tirer le maillot. Les acteurs ont souvent les arbitres supplémentaires dans le dos et sont plus méfiants avant de faire une faute."
Et concernant la vidéo ?
"Le football est différent du rugby où les temps-morts sont plus nombreux. Installer la vidéo autrement que sur la ligne de but, ce vers quoi nous tendons déjà, est difficile. Il faudrait encadrer son utilisation. Mais de toutes façons, nous ne sommes pas décisionnaires".
Pour conclure, que peut-on vous souhaiter pour la suite de votre carrière ?
"Encore beaucoup de matchs de Ligue 1 et des prestations réussies. Ne pas être dans la presse le dimanche ou le lundi matin est toujours une fierté et signe que mon arbitrage et celui de mes assistants a été bon. J'ai désormais dépassé la limite d'âge pour être international (trente-sept ans, ndlr)".
Propos recueillis par Julien Beauregard (photos : David Dufour)
Wilfried Bien Digest
Né le 10 mai 1974 à Chambéry
Profession : Conseiller technique à l'arbitrage à la Ligue Rhône-Alpes
Catégorie : Arbitre fédéral F1
86 matchs dirigés en L1 en cinq saisons
Wilfried Bien (fff.fr)
Arbitre professionnel depuis 2007, Wilfried Bien participe à la campagne de sensibilisation et de valorisation de l'arbitrage. L'homme en noir... ou en jaune, c'est selon, revient sur son parcours, ses envies et sur son métier pas toujours évident à assumer.
Wilfried Bien, deuxième en partant de la gauche, lors de la conférence de presse de présentation du projet
Wilfried, comment en êtes venu à devenir arbitre et quel a été votre parcours auparavant ?
"J'ai d'abord été footballeur avant d'être arbitre. Je suis natif de Chambéry et j'ai donc joué à Barby, l'ancêtre du FC Nivolet, jusqu'à mes quinze ans. J'ai ensuite connu une blessure qui m'a fait me tourner vers l'arbitrage. J'avais en effet deux amis qui occupait déjà cette fonction et j'ai pris le virus. C'est devenu une passion. Dans un premier temps, j'ai continué à jouer puis à vingt ans, j'ai fait le choix de me tourner entièrement vers l'arbitrage."
Revenons à cette campagne de sensibilisation et de valorisation de l'arbitrage. Quel en est le but et votre rôle dans cette initiative ?
"Mon rôle est la conséquence de ma double casquette de conseiller technique à l'arbitrage à la Ligue Rhône-Alpes et de mon statut d'arbitre professionnel. Cette campagne a le simple but de promouvoir notre métier et d'expliquer nos difficultés, parfois, à prendre les bonnes décisions en un dixième de seconde. C'est une initiative nationale. Le jeu facebook (sur la page officielle de la FFF) a pour but de montrer de manière ludique tout cela. Et pourquoi pas de susciter des vocations".
"Faire en sorte que le jeu soit plus fluide"
En fonction des pays, les arbitrages sont différents. Ne serait-ce pas nécessaire qu'il y ait une harmonisation pour mieux comprendre les hommes en noir ou les disparités entre les cultures sont trop importantes ?
"Nous sommes avant tout des hommes et des passionnés de ballon rond. Notre souhait est évidemment de faire en sorte que le jeu soit fluide. Nous sommes aussi dépendants des acteurs qui nous obligent à siffler parfois trop. Comme vous le soulignez, la culture joue également un grand rôle. Mais si on prend l'exemple de la France, on entend souvent dire que les arbitres sifflent trop souvent, hachent le jeu par rapport à l'Angleterre où même l'Allemagne. Il faut savoir que selon une étude excluant les Britanniques, les arbitres français sont ceux qui sifflent le moins de fautes dans les quatre autres grands championnats (Allemagne, Espagne, Italie, France) avec en moyenne de vingt-quatre coups de sifflet par matchs".
"L'arbitrage à cinq est une bonne évolution"
Wilfried Bien, à droite, aux côtés de Bernard Barbet, au centre, et d'Alexandre Castro, à gauche.
On parle tous les week-ends des fautes d'arbitrage. Quelle est votre position sur les différents moyens proposés pour vous aider ?
"Je suis pour tout ce qui pourrait nous accompagner dans notre jugement. L'arbitrage à cinq, et je peux en parler pour avoir été concerné en Coupe d'Europe, est une évolution intéressante. Elle permet d'avoir des yeux supplémentaires sur le jeu mais aussi et surtout elle dissuade parfois les joueurs à tirer le maillot. Les acteurs ont souvent les arbitres supplémentaires dans le dos et sont plus méfiants avant de faire une faute."
Et concernant la vidéo ?
"Le football est différent du rugby où les temps-morts sont plus nombreux. Installer la vidéo autrement que sur la ligne de but, ce vers quoi nous tendons déjà, est difficile. Il faudrait encadrer son utilisation. Mais de toutes façons, nous ne sommes pas décisionnaires".
Pour conclure, que peut-on vous souhaiter pour la suite de votre carrière ?
"Encore beaucoup de matchs de Ligue 1 et des prestations réussies. Ne pas être dans la presse le dimanche ou le lundi matin est toujours une fierté et signe que mon arbitrage et celui de mes assistants a été bon. J'ai désormais dépassé la limite d'âge pour être international (trente-sept ans, ndlr)".
Propos recueillis par Julien Beauregard (photos : David Dufour)
Wilfried Bien Digest
Né le 10 mai 1974 à Chambéry
Profession : Conseiller technique à l'arbitrage à la Ligue Rhône-Alpes
Catégorie : Arbitre fédéral F1
86 matchs dirigés en L1 en cinq saisons
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Arbitrage : Pascal Garibian est optimiste pour l'avenir
04/04/2014 05:34
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Pascal Garibian, à gauche, au côté d'Alain Sars.
Pascal Garibian était au siège de la ligue du Centre, accompagné de son adjoint, Alain Sars, pour faire un large tour d'horizon de la réforme de l'arbitrage votée l'été dernier.
Pascal Garibian, le nouveau directeur technique de l'arbitrage (DTA), a voulu tourner la page des années passées et redonner à l'arbitrage une image plus conforme à ce qu'elle doit être. Il était au siège de la ligue du Centre autant pour faire passer un message que pour écouter les expériences de la ligue et des districts en matière d'arbitrage.
« Il s'agit avant tout de mieux faire connaître la réforme de l'arbitrage. Depuis qu'elle a été mise en route, la sérénité est revenue et il y a une osmose entre les acteurs, qu'ils soient sur le terrain, salariés ou bénévoles. L'objectif de cette réforme est de dynamiser le secteur et de modifier l'image de l'arbitre. Je ne veux pas revenir sur ce qui a été fait dans le passé, je suis complètement tourné vers l'avenir. J'ai toujours servi le football et ma mission est d'apaiser les tensions, de rassembler toutes les bonnes volontés pour faire en sorte que l'arbitre soit un vecteur du jeu et qu'il le serve. L'arbitre doit être un athlète au même titre que les joueurs et il ne doit plus être refermé sur lui-même. »
Le message de Pascal Garibian est clair, il veut que son action s'inscrive dans le futur avec un arbitre qui ne soit pas étranger au jeu. Et qui soit en mesure de communiquer sur les décisions qu'il est amené à prendre.
Arbitrage international et arbitrage vidéo
L'arbitrage français doit retrouver sa place sur le plan international. L'absence de Stéphane Lannoy à la Coupe du monde 2014 a été difficile à accepter : « Stéphane Lannoy n'a pas démérité. La décision a été prise dans un contexte de réduction du nombre d'arbitres. C'est une déception pour l'arbitrage français, mais pas un échec. Je suis optimiste pour l'avenir avec l'arrivée d'une génération de jeunes arbitres d'un bon niveau. »
La vidéo dans le football reste plus que jamais d'actualité, avec un test grandeur nature qui sera réalisé à la Coupe du monde : « Pour la DTA, le soutien à l'arbitrage par la vidéo sur la ligne de but sera surveillé de près à la Coupe du monde. L'utilisation de ce système ne retire pas à l'arbitre ses prises de décision. Il faut veiller à ne pas hacher le jeu, je pense qu'il faut y aller pas à pas. » Ce large tour d'horizon de la réforme ne pouvait qu'intéresser la ligue du Centre et Éric Dansault, président de la commission régionale d'arbitrage, pour aller vers leur objectif à moyen terme : 1.200 arbitres formés pour faire face aux exigences du jeu.
Cor. NR : Jean-Loup Douchain
04/04/2014 05:34
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Pascal Garibian, à gauche, au côté d'Alain Sars.
Pascal Garibian était au siège de la ligue du Centre, accompagné de son adjoint, Alain Sars, pour faire un large tour d'horizon de la réforme de l'arbitrage votée l'été dernier.
Pascal Garibian, le nouveau directeur technique de l'arbitrage (DTA), a voulu tourner la page des années passées et redonner à l'arbitrage une image plus conforme à ce qu'elle doit être. Il était au siège de la ligue du Centre autant pour faire passer un message que pour écouter les expériences de la ligue et des districts en matière d'arbitrage.
« Il s'agit avant tout de mieux faire connaître la réforme de l'arbitrage. Depuis qu'elle a été mise en route, la sérénité est revenue et il y a une osmose entre les acteurs, qu'ils soient sur le terrain, salariés ou bénévoles. L'objectif de cette réforme est de dynamiser le secteur et de modifier l'image de l'arbitre. Je ne veux pas revenir sur ce qui a été fait dans le passé, je suis complètement tourné vers l'avenir. J'ai toujours servi le football et ma mission est d'apaiser les tensions, de rassembler toutes les bonnes volontés pour faire en sorte que l'arbitre soit un vecteur du jeu et qu'il le serve. L'arbitre doit être un athlète au même titre que les joueurs et il ne doit plus être refermé sur lui-même. »
Le message de Pascal Garibian est clair, il veut que son action s'inscrive dans le futur avec un arbitre qui ne soit pas étranger au jeu. Et qui soit en mesure de communiquer sur les décisions qu'il est amené à prendre.
Arbitrage international et arbitrage vidéo
L'arbitrage français doit retrouver sa place sur le plan international. L'absence de Stéphane Lannoy à la Coupe du monde 2014 a été difficile à accepter : « Stéphane Lannoy n'a pas démérité. La décision a été prise dans un contexte de réduction du nombre d'arbitres. C'est une déception pour l'arbitrage français, mais pas un échec. Je suis optimiste pour l'avenir avec l'arrivée d'une génération de jeunes arbitres d'un bon niveau. »
La vidéo dans le football reste plus que jamais d'actualité, avec un test grandeur nature qui sera réalisé à la Coupe du monde : « Pour la DTA, le soutien à l'arbitrage par la vidéo sur la ligne de but sera surveillé de près à la Coupe du monde. L'utilisation de ce système ne retire pas à l'arbitre ses prises de décision. Il faut veiller à ne pas hacher le jeu, je pense qu'il faut y aller pas à pas. » Ce large tour d'horizon de la réforme ne pouvait qu'intéresser la ligue du Centre et Éric Dansault, président de la commission régionale d'arbitrage, pour aller vers leur objectif à moyen terme : 1.200 arbitres formés pour faire face aux exigences du jeu.
Cor. NR : Jean-Loup Douchain
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
OL-Garde: "Je peux considérer que l’on a été volé"
Sa sortie médiatique après OL-ASSE (1-2) est encore dans les mémoires. Celles des journalistes notamment, présents vendredi lors de la conférence de presse de Rémi Garde, au lendemain de la défaite de l’OL contre la Juventus en quart de finale aller de la Ligue Europa (0-1). Dimanche soir, les images du couloir menant aux vestiaires avaient montré l’entraîneur des Gones assez remonté contre les arbitres. A 48 heures d’un déplacement à Valenciennes, Garde a répondu sur le sujet, plus précisément sur le fait d’avoir oublié ou pas la frustration née de la défaite dans le derby. "Elle subsiste et elle subsistera… Après je ne m’endors pas tous les soirs avec. Je peux considérer que l’on a été volé et que l’on n’a pas perdu…", a-t-il rétorqué, rapporte le site Internet de l’OL. Et l’ex-milieu d’Arsenal de reparler de la video: "Je reconnais que la tâche des arbitres est devenue aujourd’hui très compliquée avec la technologie… mais si je n’étais pas favorable avant à la vidéo, je suis en train de changer d’avis…"
Sa sortie médiatique après OL-ASSE (1-2) est encore dans les mémoires. Celles des journalistes notamment, présents vendredi lors de la conférence de presse de Rémi Garde, au lendemain de la défaite de l’OL contre la Juventus en quart de finale aller de la Ligue Europa (0-1). Dimanche soir, les images du couloir menant aux vestiaires avaient montré l’entraîneur des Gones assez remonté contre les arbitres. A 48 heures d’un déplacement à Valenciennes, Garde a répondu sur le sujet, plus précisément sur le fait d’avoir oublié ou pas la frustration née de la défaite dans le derby. "Elle subsiste et elle subsistera… Après je ne m’endors pas tous les soirs avec. Je peux considérer que l’on a été volé et que l’on n’a pas perdu…", a-t-il rétorqué, rapporte le site Internet de l’OL. Et l’ex-milieu d’Arsenal de reparler de la video: "Je reconnais que la tâche des arbitres est devenue aujourd’hui très compliquée avec la technologie… mais si je n’étais pas favorable avant à la vidéo, je suis en train de changer d’avis…"
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
La passion selon Eldevin Calakovic
La Montagne
Lu 2 fois
Envie d'en savoir plus ?
Eldevin Calakovic a choisi la voie de l’arbitrage très tôt, à l’âge de 16 ans.? - photo Thierry Lindauer
Arbitre La FFF a lancé une campagne de valorisation de l’arbitrage baptisée « l’arbitre au cœur du jeu ». L’occasion de découvrir le quotidien du Clermontois Eldevin Calakovic, l’un des cinq arbitres fédéraux que compte la ligue d’Auvergne.
La Montagne
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Envie d'en savoir plus ?
Eldevin Calakovic a choisi la voie de l’arbitrage très tôt, à l’âge de 16 ans.? - photo Thierry Lindauer
Arbitre La FFF a lancé une campagne de valorisation de l’arbitrage baptisée « l’arbitre au cœur du jeu ». L’occasion de découvrir le quotidien du Clermontois Eldevin Calakovic, l’un des cinq arbitres fédéraux que compte la ligue d’Auvergne.
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
http://sport24.lefigaro.fr/football/etranger/fil-info/un-arbitre-frappe-en-plein-match-688784
[/url]
[url]http://sport24.lefigaro.fr/football/etranger/fil-info/un-arbitre-frappe-en-plein-match-688784
Lors d'un match au Brésil, un arbitre s'est fait frapper suite à une décision prise après un but. Un membre d'une des deux équipes s'est introduit sur la pelouse et lui a asséné un coup.
[/url]
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Alain Sars, la grande classe
10/04/2014 05:35
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Alain Sars, un beau débat sur l'arbitrage devant les éducateurs. - (Photo Guy Collinet)
L’ancien arbitre international a animé mardi soir, dans l’amphithéâtre du lycée Camille-Claudel de Blois, une réunion qui a été très appréciée des éducateurs.
C'était une soirée que ne voulaient rater pour rien au monde les amateurs de football : les quarts de finale de la Champions League avec ce Chelsea - PSG qui sentait la poudre. Eh bien, on connaît une trentaine de personnes qui ont fait l'impasse sur ce match et qui ne l'ont pas regretté : celles qui étaient dans l'amphithéâtre de Camille-Claudel et qui ont assisté au débat sur l'arbitrage dirigé par l'ancien international Alain Sars.
" Chez les jeunes, faire arbitrer les remplaçants "
« Quelle humilité, quelle gentillesse », glisse le président de l'Amicale des éducateurs Laurent Legendre qui découvrait le personnage. « Il a raconté son parcours, nous a fait part d'anecdotes souvent savoureuses, et surtout, il a un regard juste sur la fonction, sans être complaisant, sans avoir l'esprit corporate ».
Sars, 52 ans, trois fois meilleur arbitre de L1 (désigné par les joueurs eux-mêmes) et directeur de deux demi-finales de Champions League (Chelsea - Liverpool, en 2005 ; Milan AC - Barcelone, en 2006), a quelques idées pour redorer, du haut de sa fonction à la DTN, l'image des hommes en noir, à commencer par faire arbitrer « les remplaçants sur les matchs de jeunes, plutôt qu'ils s'ennuient sur le banc de touche ». Il est également partisan d'un mea culpa franc et sincère lorsque les erreurs sont avérées.
Cette soirée arrivait en bouquet final de quatre jours où l'Amicale s'était beaucoup investie puisque vingt-cinq de ses membres s'étaient rendus en car assister au match de L1, Bordeaux - Rennes (2-2), précédé de la visite des installations du Haillan. Les autres actions de l'association sont le rassemblement des débutants, le challenge Guirado et une manifestation de futsal.
La prochaine guest-star annoncée est l'entraîneur de la Berrichonne de Châteauroux (L2), Jean-Louis Garcia. Le mieux, pour la date, ce serait d'éviter la concurrence d'un grand match de foot. Encore qu'on connaît des spectateurs qui auraient préféré voir mardi Alain Sars plutôt que le PSG…
sports.blois@nrco.fr
10/04/2014 05:35
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Alain Sars, un beau débat sur l'arbitrage devant les éducateurs. - (Photo Guy Collinet)
L’ancien arbitre international a animé mardi soir, dans l’amphithéâtre du lycée Camille-Claudel de Blois, une réunion qui a été très appréciée des éducateurs.
C'était une soirée que ne voulaient rater pour rien au monde les amateurs de football : les quarts de finale de la Champions League avec ce Chelsea - PSG qui sentait la poudre. Eh bien, on connaît une trentaine de personnes qui ont fait l'impasse sur ce match et qui ne l'ont pas regretté : celles qui étaient dans l'amphithéâtre de Camille-Claudel et qui ont assisté au débat sur l'arbitrage dirigé par l'ancien international Alain Sars.
" Chez les jeunes, faire arbitrer les remplaçants "
« Quelle humilité, quelle gentillesse », glisse le président de l'Amicale des éducateurs Laurent Legendre qui découvrait le personnage. « Il a raconté son parcours, nous a fait part d'anecdotes souvent savoureuses, et surtout, il a un regard juste sur la fonction, sans être complaisant, sans avoir l'esprit corporate ».
Sars, 52 ans, trois fois meilleur arbitre de L1 (désigné par les joueurs eux-mêmes) et directeur de deux demi-finales de Champions League (Chelsea - Liverpool, en 2005 ; Milan AC - Barcelone, en 2006), a quelques idées pour redorer, du haut de sa fonction à la DTN, l'image des hommes en noir, à commencer par faire arbitrer « les remplaçants sur les matchs de jeunes, plutôt qu'ils s'ennuient sur le banc de touche ». Il est également partisan d'un mea culpa franc et sincère lorsque les erreurs sont avérées.
Cette soirée arrivait en bouquet final de quatre jours où l'Amicale s'était beaucoup investie puisque vingt-cinq de ses membres s'étaient rendus en car assister au match de L1, Bordeaux - Rennes (2-2), précédé de la visite des installations du Haillan. Les autres actions de l'association sont le rassemblement des débutants, le challenge Guirado et une manifestation de futsal.
La prochaine guest-star annoncée est l'entraîneur de la Berrichonne de Châteauroux (L2), Jean-Louis Garcia. Le mieux, pour la date, ce serait d'éviter la concurrence d'un grand match de foot. Encore qu'on connaît des spectateurs qui auraient préféré voir mardi Alain Sars plutôt que le PSG…
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Re: L'arbitrage !!!!!!
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Di Meco : « Nous ne connaissons pas les règles du football ! »
31/03/2014
7 opinions
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Dimanche, le derby entre l’OL et Saint-Etienne (1-2) aurait basculé sur un penalty non sifflé, à en croire certains membres du staff lyonnais. Eric Di Meco, membre de la Dream Team RMC Sport, donne une leçon d’arbitrage aux mécontents.
@ RMC Sport
Eric Di Meco
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« Ce ne sont pas des lunettes qu’il lui faut mais un labrador. » Par cette réplique qu’il voulait originale, Clément Grenier a contesté l’arbitrage de M. Buquet. Les Lyonnais ont suivi cette ligne au moment de commenter leur revers à Gerland face aux Verts (1-2), dimanche. L’arbitre aurait fait basculer le match en ne sifflant pas un penalty pour les Gones après une main dans la surface de Bayal Sall.
Mais une main non intentionnelle, donc pas de penalty. Leçon d’arbitrage par Eric Di Meco : « J’ai eu un débat hier soir sur cette histoire de main. Nous ne connaissons pas les règles du football, moi le premier ! Depuis que je commente les matchs, je me suis fait choper une fois au début. Je suis allé voir les règles. Il y a une légende dans le foot que tout le monde véhicule mais la vraie règle de la main dans la surface, c’est la première règle de la loi 12, rappelle le membre de la Dream Team RMC Sport. C’est main intentionnelle dans la surface : penalty ! S’il n’y a pas d’intentionnalité : pas de penalty. Comme il y avait trop d’interprétations, ils ont rajouté des trucs comme main décollée du corps mais s’il n’y a pas intentionnalité, il n’y a pas de faute. Même moi je me suis planté hier soir. »
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Aulas : «On est maltraité»
Après la défaite de Lyon contre le PSG (2-1) en finale de la Coupe de la Ligue, Jean-Michel Aulas a critiqué l'arbitrage de M. Lannoy, et notamment sa décision d'accorder un penalty à Lucas.
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Jean-Michel Aulas explique qu'il a fait part à M. Lannoy de son mécontentement concernant son arbitrage. (L'Equipe)
A chaud, Jean-Michel n’était pas parvenu à contenir son courroux. «Comment peut-on se tromper toujours contre nous ?, s’était emporté le dirigeant sur son compte Twitter. Penalty inexistant dans la surface !» A froid, quelques minutes après le terme de la finale de la Coupe de la Ligue perdue face au PSG (2-1), le président de l’OL ne décolérait pas contre la décision de M. Lannoy d’accorder un penalty pour une sortie hasardeuse de Lopes devant Lucas. «J’ai revu les images, a indiqué le dirigeant. Non seulement la faute est commise à deux mètres de la surface, mais c’est Anthony (Lopes) qui est percuté a posteriori après que le joueur (Lucas) ait perdu le ballon. On est dans une hérésie absolument incroyable. Je l’ai dit à M. Lannoy dans la tribune officielle.»
A force, Aulas commence «à se poser des questions». Il faut dire que ce n’est pas la première fois que l’OL se sent «lésé» par le corps arbitral. «Il y a eu Lille, Monaco, Saint-Etienne et maintenant Paris, a-t-il rappelé. On a l’impression d’être maltraité». Face au LOSC, une main dans sa surface de Souaré n’avait pas été signalée. Contre l’ASM, les trois buts du club de la Principauté avaient été entachés de trois positions de hors-jeu de Berbatov, tandis que face aux Verts, les Lyonnais avaient été privés d’un penalty pour une main de Bayal Sall. «Ce qui me gêne, c’est lorsque les erreurs sont toujours dans le même sens, a repris le dirigeant. Quand la déception est à la fois sportive et humaine, elle peut causer plus de mal qu’il n’y paraît».
«Quand les efforts sont remis en cause par l'arbitrage, ça peut poser un problème mental» Actuellement cinquième de L1, l’OL est pour l’instant virtuellement européen*. Mais Aulas s’inquiète de l’impact que pourrait avoir cette accumulation d’erreurs sur la fin de saison lyonnaise. «Quand les efforts sont remis en cause par l’arbitrage, ça peut poser un problème mental», a-t-il insisté. A l’entendre, elle pourrait même avoir une conséquence sur la décision de Rémi Garde de prolonger ou non son contrat. «L’injustice peut amener des gens équilibrés à avoir des réserves», a-t-il suggéré. Aulas a prévu de faire le point avec son entraîneur après les deux prochains matches de Championnat. Avec l’espoir de le convaincre de rester. «Mais dans la vie, on ne sait jamais. Parfois, on pense avoir les évènements en main et une décision arbitrale vient compromettre ce qui est bien engagé». Mais de reconnaître tout de même au sujet de la décision de son entraîneur : «Là, ça ne sera pas une décision d’arbitrage».
Après la défaite de Lyon contre le PSG (2-1) en finale de la Coupe de la Ligue, Jean-Michel Aulas a critiqué l'arbitrage de M. Lannoy, et notamment sa décision d'accorder un penalty à Lucas.
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Jean-Michel Aulas explique qu'il a fait part à M. Lannoy de son mécontentement concernant son arbitrage. (L'Equipe)
A chaud, Jean-Michel n’était pas parvenu à contenir son courroux. «Comment peut-on se tromper toujours contre nous ?, s’était emporté le dirigeant sur son compte Twitter. Penalty inexistant dans la surface !» A froid, quelques minutes après le terme de la finale de la Coupe de la Ligue perdue face au PSG (2-1), le président de l’OL ne décolérait pas contre la décision de M. Lannoy d’accorder un penalty pour une sortie hasardeuse de Lopes devant Lucas. «J’ai revu les images, a indiqué le dirigeant. Non seulement la faute est commise à deux mètres de la surface, mais c’est Anthony (Lopes) qui est percuté a posteriori après que le joueur (Lucas) ait perdu le ballon. On est dans une hérésie absolument incroyable. Je l’ai dit à M. Lannoy dans la tribune officielle.»
A force, Aulas commence «à se poser des questions». Il faut dire que ce n’est pas la première fois que l’OL se sent «lésé» par le corps arbitral. «Il y a eu Lille, Monaco, Saint-Etienne et maintenant Paris, a-t-il rappelé. On a l’impression d’être maltraité». Face au LOSC, une main dans sa surface de Souaré n’avait pas été signalée. Contre l’ASM, les trois buts du club de la Principauté avaient été entachés de trois positions de hors-jeu de Berbatov, tandis que face aux Verts, les Lyonnais avaient été privés d’un penalty pour une main de Bayal Sall. «Ce qui me gêne, c’est lorsque les erreurs sont toujours dans le même sens, a repris le dirigeant. Quand la déception est à la fois sportive et humaine, elle peut causer plus de mal qu’il n’y paraît».
«Quand les efforts sont remis en cause par l'arbitrage, ça peut poser un problème mental» Actuellement cinquième de L1, l’OL est pour l’instant virtuellement européen*. Mais Aulas s’inquiète de l’impact que pourrait avoir cette accumulation d’erreurs sur la fin de saison lyonnaise. «Quand les efforts sont remis en cause par l’arbitrage, ça peut poser un problème mental», a-t-il insisté. A l’entendre, elle pourrait même avoir une conséquence sur la décision de Rémi Garde de prolonger ou non son contrat. «L’injustice peut amener des gens équilibrés à avoir des réserves», a-t-il suggéré. Aulas a prévu de faire le point avec son entraîneur après les deux prochains matches de Championnat. Avec l’espoir de le convaincre de rester. «Mais dans la vie, on ne sait jamais. Parfois, on pense avoir les évènements en main et une décision arbitrale vient compromettre ce qui est bien engagé». Mais de reconnaître tout de même au sujet de la décision de son entraîneur : «Là, ça ne sera pas une décision d’arbitrage».
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Aulas : «On est maltraité»
Après la défaite de Lyon contre le PSG (2-1) en finale de la Coupe de la Ligue, Jean-Michel Aulas a critiqué l'arbitrage de M. Lannoy, et notamment sa décision d'accorder un penalty à Lucas.
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Jean-Michel Aulas explique qu'il a fait part à M. Lannoy de son mécontentement concernant son arbitrage. (L'Equipe)
A chaud, Jean-Michel n’était pas parvenu à contenir son courroux. «Comment peut-on se tromper toujours contre nous ?, s’était emporté le dirigeant sur son compte Twitter. Penalty inexistant dans la surface !» A froid, quelques minutes après le terme de la finale de la Coupe de la Ligue perdue face au PSG (2-1), le président de l’OL ne décolérait pas contre la décision de M. Lannoy d’accorder un penalty pour une sortie hasardeuse de Lopes devant Lucas. «J’ai revu les images, a indiqué le dirigeant. Non seulement la faute est commise à deux mètres de la surface, mais c’est Anthony (Lopes) qui est percuté a posteriori après que le joueur (Lucas) ait perdu le ballon. On est dans une hérésie absolument incroyable. Je l’ai dit à M. Lannoy dans la tribune officielle.»
A force, Aulas commence «à se poser des questions». Il faut dire que ce n’est pas la première fois que l’OL se sent «lésé» par le corps arbitral. «Il y a eu Lille, Monaco, Saint-Etienne et maintenant Paris, a-t-il rappelé. On a l’impression d’être maltraité». Face au LOSC, une main dans sa surface de Souaré n’avait pas été signalée. Contre l’ASM, les trois buts du club de la Principauté avaient été entachés de trois positions de hors-jeu de Berbatov, tandis que face aux Verts, les Lyonnais avaient été privés d’un penalty pour une main de Bayal Sall. «Ce qui me gêne, c’est lorsque les erreurs sont toujours dans le même sens, a repris le dirigeant. Quand la déception est à la fois sportive et humaine, elle peut causer plus de mal qu’il n’y paraît».
«Quand les efforts sont remis en cause par l'arbitrage, ça peut poser un problème mental» Actuellement cinquième de L1, l’OL est pour l’instant virtuellement européen*. Mais Aulas s’inquiète de l’impact que pourrait avoir cette accumulation d’erreurs sur la fin de saison lyonnaise. «Quand les efforts sont remis en cause par l’arbitrage, ça peut poser un problème mental», a-t-il insisté. A l’entendre, elle pourrait même avoir une conséquence sur la décision de Rémi Garde de prolonger ou non son contrat. «L’injustice peut amener des gens équilibrés à avoir des réserves», a-t-il suggéré. Aulas a prévu de faire le point avec son entraîneur après les deux prochains matches de Championnat. Avec l’espoir de le convaincre de rester. «Mais dans la vie, on ne sait jamais. Parfois, on pense avoir les évènements en main et une décision arbitrale vient compromettre ce qui est bien engagé». Mais de reconnaître tout de même au sujet de la décision de son entraîneur : «Là, ça ne sera pas une décision d’arbitrage».
Après la défaite de Lyon contre le PSG (2-1) en finale de la Coupe de la Ligue, Jean-Michel Aulas a critiqué l'arbitrage de M. Lannoy, et notamment sa décision d'accorder un penalty à Lucas.
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Jean-Michel Aulas explique qu'il a fait part à M. Lannoy de son mécontentement concernant son arbitrage. (L'Equipe)
A chaud, Jean-Michel n’était pas parvenu à contenir son courroux. «Comment peut-on se tromper toujours contre nous ?, s’était emporté le dirigeant sur son compte Twitter. Penalty inexistant dans la surface !» A froid, quelques minutes après le terme de la finale de la Coupe de la Ligue perdue face au PSG (2-1), le président de l’OL ne décolérait pas contre la décision de M. Lannoy d’accorder un penalty pour une sortie hasardeuse de Lopes devant Lucas. «J’ai revu les images, a indiqué le dirigeant. Non seulement la faute est commise à deux mètres de la surface, mais c’est Anthony (Lopes) qui est percuté a posteriori après que le joueur (Lucas) ait perdu le ballon. On est dans une hérésie absolument incroyable. Je l’ai dit à M. Lannoy dans la tribune officielle.»
A force, Aulas commence «à se poser des questions». Il faut dire que ce n’est pas la première fois que l’OL se sent «lésé» par le corps arbitral. «Il y a eu Lille, Monaco, Saint-Etienne et maintenant Paris, a-t-il rappelé. On a l’impression d’être maltraité». Face au LOSC, une main dans sa surface de Souaré n’avait pas été signalée. Contre l’ASM, les trois buts du club de la Principauté avaient été entachés de trois positions de hors-jeu de Berbatov, tandis que face aux Verts, les Lyonnais avaient été privés d’un penalty pour une main de Bayal Sall. «Ce qui me gêne, c’est lorsque les erreurs sont toujours dans le même sens, a repris le dirigeant. Quand la déception est à la fois sportive et humaine, elle peut causer plus de mal qu’il n’y paraît».
«Quand les efforts sont remis en cause par l'arbitrage, ça peut poser un problème mental» Actuellement cinquième de L1, l’OL est pour l’instant virtuellement européen*. Mais Aulas s’inquiète de l’impact que pourrait avoir cette accumulation d’erreurs sur la fin de saison lyonnaise. «Quand les efforts sont remis en cause par l’arbitrage, ça peut poser un problème mental», a-t-il insisté. A l’entendre, elle pourrait même avoir une conséquence sur la décision de Rémi Garde de prolonger ou non son contrat. «L’injustice peut amener des gens équilibrés à avoir des réserves», a-t-il suggéré. Aulas a prévu de faire le point avec son entraîneur après les deux prochains matches de Championnat. Avec l’espoir de le convaincre de rester. «Mais dans la vie, on ne sait jamais. Parfois, on pense avoir les évènements en main et une décision arbitrale vient compromettre ce qui est bien engagé». Mais de reconnaître tout de même au sujet de la décision de son entraîneur : «Là, ça ne sera pas une décision d’arbitrage».
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Amadeo Salvo, président de Valence sur AS : «Nous sommes indignés (à propos du but hors jeu de Mbia, ndlr) et ne comprenons pas comment l’UEFA a pu désigner un arbitre slovène pour une demi-finale de cette importance. Cette décision est préjudiciable et nous pénalise pour le match retour. Nous allons réclamer réparation, même si ce sera difficile d’obtenir gain de cause. L’UEFA doit remédier à cette attitude déplorable. Mais nous arriverons à surmonter cet handicap à Mestalla et nous serons à Turin pour la finale».
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Arbitrage - Julien ROUQUETTE, un Héraultais en plein rêve !
En pleine ascension dans le monde de l'arbitrage, Julien Rouquette, originaire de Montpellier, a arbitré il y a quelques jours la finale de la Coupe Gambardella Crédit Agricole. A seulement vingt-deux ans, ce jeune espoir héraultais n'a pas fini d'arpenter les pelouses françaises...
Un moment particulier pour Julien Rouquette (à droite) (Photo : FFF)
Julien Rouquette, quel est votre parcours, qui vous a permis d'arbitrer la finale de la Coupe Gambardella Crédit Agricole ?
J'ai été gardien à l'AS Fabrègues jusqu'à seize ans. J'ai alors décidé de me lancer dans l'arbitrage, car j'avais un collègue à moi qui l'était à l'époque, et ça m'avais plutôt plu. Je me suis donc inscrit au district de l'Hérault en 2007. Et suite à la formation, j'ai eu l'examen en terminant major. Ensuite, je suis monté en Ligue jeune en 2009, puis j'ai eu l'examen de jeune arbitre de la Fédération en 2011, en terminant quatrième. Cette année, je fais partie du "pôle espoir - talent", mis en place par la DTA, et qui regroupe les sept meilleurs arbitres de la génération, afin d'être contrôlé en CFA et de monter directement arbitre fédéral 4 sénior. En parallèle, j'arbitre en DH dans la ligue depuis la saison 2012.
Parlez nous de cette finale...
C'était un grand moment. C'est la consécration de toutes ces années d'arbitrage. Après, je ne cache pas qu'on avait pas mal de pression. On a reconnu le Stade de France la veille. Vide, il était déjà impressionnant ! D'ailleurs, au fil de la rencontre, il a commencé à se remplir, c'était vraiment super.
"On n'a pas influencé le match, c'est l'essentiel..."
[url=javascript:void(0)][/url]
Julien Rouquette lors de la réception d'avant finale
Qu'avez vous ressenti pendant toute cette aventure ?
Quand j'ai été sélectionné, j'étais évidemment très fier. Après, il y avait quand même une petite pointe de déception d'être arbitre de touche. C'est d'ailleurs par rapport à ça que j'avais le plus de pression. Car je suis habitué à arbitrer au centre depuis des années, même si la ligue m'avait mis à la touche pour me préparer à la finale. C'est surtout cet aspect qui me stressait.
Votre prestation a été bien perçue par les instances ?
Au final, tout s'est bien passé. La DTA était très satisfaite, on n'a pas influencé le match, c'est l'essentiel. Et puis la rencontre était plutôt bonne, avec deux bons gardiens. Je pense quand même que la victoire de l'AJA est méritée, même si Reims a eu quelques situations en début de match.
Que peut on vous souhaiter pour la suite ?
On est sept à faire partie du "pôle espoir - talent". On va attendre les examens, pour avoir la chance d'arbitrer en CFA par exemple. En tout cas, je vais continuer à travailler, pour aller encore plus loin.
Bientôt en Ligue 1 !
On verra, j'espère (rires) !
Propos recueillis par Bérenger Tournier
Julien Rouquette
Né le 27 mai 1991
Poste : arbitre
Joueur : AS Fabrègues
Arbitre : District de l'Hérault en 2007 - Montée en Ligue Jeunes en 2009 - Jeune Arbitre de la Fédération en 2011 - Pôle Espoir Talent depuis 2014
Julien Rouquette (à gauche) et les autres arbitres de la finale
En pleine ascension dans le monde de l'arbitrage, Julien Rouquette, originaire de Montpellier, a arbitré il y a quelques jours la finale de la Coupe Gambardella Crédit Agricole. A seulement vingt-deux ans, ce jeune espoir héraultais n'a pas fini d'arpenter les pelouses françaises...
Un moment particulier pour Julien Rouquette (à droite) (Photo : FFF)
Julien Rouquette, quel est votre parcours, qui vous a permis d'arbitrer la finale de la Coupe Gambardella Crédit Agricole ?
J'ai été gardien à l'AS Fabrègues jusqu'à seize ans. J'ai alors décidé de me lancer dans l'arbitrage, car j'avais un collègue à moi qui l'était à l'époque, et ça m'avais plutôt plu. Je me suis donc inscrit au district de l'Hérault en 2007. Et suite à la formation, j'ai eu l'examen en terminant major. Ensuite, je suis monté en Ligue jeune en 2009, puis j'ai eu l'examen de jeune arbitre de la Fédération en 2011, en terminant quatrième. Cette année, je fais partie du "pôle espoir - talent", mis en place par la DTA, et qui regroupe les sept meilleurs arbitres de la génération, afin d'être contrôlé en CFA et de monter directement arbitre fédéral 4 sénior. En parallèle, j'arbitre en DH dans la ligue depuis la saison 2012.
Parlez nous de cette finale...
C'était un grand moment. C'est la consécration de toutes ces années d'arbitrage. Après, je ne cache pas qu'on avait pas mal de pression. On a reconnu le Stade de France la veille. Vide, il était déjà impressionnant ! D'ailleurs, au fil de la rencontre, il a commencé à se remplir, c'était vraiment super.
"On n'a pas influencé le match, c'est l'essentiel..."
[url=javascript:void(0)][/url]
Julien Rouquette lors de la réception d'avant finale
Qu'avez vous ressenti pendant toute cette aventure ?
Quand j'ai été sélectionné, j'étais évidemment très fier. Après, il y avait quand même une petite pointe de déception d'être arbitre de touche. C'est d'ailleurs par rapport à ça que j'avais le plus de pression. Car je suis habitué à arbitrer au centre depuis des années, même si la ligue m'avait mis à la touche pour me préparer à la finale. C'est surtout cet aspect qui me stressait.
Votre prestation a été bien perçue par les instances ?
Au final, tout s'est bien passé. La DTA était très satisfaite, on n'a pas influencé le match, c'est l'essentiel. Et puis la rencontre était plutôt bonne, avec deux bons gardiens. Je pense quand même que la victoire de l'AJA est méritée, même si Reims a eu quelques situations en début de match.
Que peut on vous souhaiter pour la suite ?
On est sept à faire partie du "pôle espoir - talent". On va attendre les examens, pour avoir la chance d'arbitrer en CFA par exemple. En tout cas, je vais continuer à travailler, pour aller encore plus loin.
Bientôt en Ligue 1 !
On verra, j'espère (rires) !
Propos recueillis par Bérenger Tournier
Julien Rouquette
Né le 27 mai 1991
Poste : arbitre
Joueur : AS Fabrègues
Arbitre : District de l'Hérault en 2007 - Montée en Ligue Jeunes en 2009 - Jeune Arbitre de la Fédération en 2011 - Pôle Espoir Talent depuis 2014
Julien Rouquette (à gauche) et les autres arbitres de la finale
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Le dossier du jeudi – Carton blanc, joyeux bazar !
Mis en place dans la Ligue Rhône-Alpes, le carton blanc n’est pas appliqué dans tous les districts de la région. Pourquoi ? Est-ce que ça marche ? Pour quelles raisons un joueur peut-il écoper d’un carton blanc ? Explications
Le carton blanc, la solution du futur ?
C’est une idée qui vient de loin. Plus précisément de l’Ouest de la France. Depuis quelques années, le carton blanc a fait son apparition sur les pelouses de certains districts de la Ligue Rhône-Alpes. Dans tous les départements, les joueurs sont sanctionnés de la même manière : un exclusion temporaire de dix minutes. Mais ce qui diffère, c’est le motif pour lequel un carton blanc est adressé. Dans l’Isère, où ce carton a été mis en place depuis une dizaine d’années, c’est à l’appréciation de l’arbitre. « Un joueur peut être sanctionné d’un carton blanc en cas de faute légère ou s’il rouspète », confie Jean Vallin, secrétaire de la commission de discipline de l’Isère. Dans la Loire, ce sont uniquement « les comportements anormaux, les gestes d’humeur », dixit René Montagnier, le président du district, qui sont sanctionnés. « Cela permet de réduire le nombre de cartons rouges distribués. Le joueur sort, se calme, et peut reprendre part au jeu », poursuit René Montagnier.
SEPT ANS D’EXPÉRIMENTATION EN HAUTE-SAVOIE
Selon Jean-Claude Lefran, conseiller technique en arbitrage, le district du Rhône est satisfait de l'utilisation des cartons blancs (crédit : DR)
Dans le Rhône, le carton blanc est appliqué de la même manière que dans le district ligérien. Il a été mis en place en début de saison, et remplace un ancien dispositif, celui de l’exclusion temporaire, instauré en 2001. « Nous sommes satisfait. Sur les dix huit mille sanctions, deux mille huit cent ont été des cartons blancs. Ce dispositif est entré dans les mœurs », se félicite Jean-Claude Lefran, conseiller technique en arbitrage. Si dans les deux cas évoqués précédemment, le carton blanc est distribué dans toutes les compétitions du district, championnat et coupe, en Haute-Savoie, il a été mis en place il y a sept ans, à titre d’expérimentation, uniquement en coupe.
L’AIN ET LA SAVOIE N’EN VEULENT PAS
« Ça n’a pas vraiment évolué depuis », note Jérôme Menand, conseiller technique en arbitrage. Et pour le moment, pas question d’étendre cette mesure au championnat. « Le gros avantage, c’est qu’on pénalise immédiatement l’équipe. Mais le problème, c’est la gestion. En district, il n’y a qu’un arbitre. Comment fait-il s’il y a plusieurs expulsions temporaires ? En plus, il y a une certaine pression qui s’exerce sur eux », poursuit-il.
La Drôme-Ardèche a également mis ce dispositif en place depuis plusieurs années. En revanche, dans l’Ain et en Savoie, pas de carton blanc. Ni en championnat, ni en coupe*. « Pourquoi pas faire le choix de mettre ça en place ? C’est quelque chose qu’on ne rejette pas, ça sera peut-être étudié la saison prochaine », dévoile Joel Malin, président délégué responsable du pôle sportif au district de l'Ain. Et en Savoie alors, pour quelles raisons le carton blanc n’existe pas ? Joint par téléphone, Jacques Perroud, secrétaire général, a botté en touche en « ne voulant pas communiquer là-dessus ». Et ça, ça ne mériterait pas un carton blanc ?
Romain Colange
*Le carton blanc n'existe en effet pas dans l'Ain, mais - en coupes - le carton jaune donne lieu à une expulsion temporaire de quinze minutes....
Le tour de la Ligue Rhône-Alpes
>> Les districts utilisant le carton blanc
- District de la Drôme-Ardèche
- District du Rhône
- District de l'Isère
- District de la Loire
- District de la Haute-Savoie Pays de Gex (en coupe uniquement)
>> Les districts n'ayant pas instauré le carton blanc
- District de l'Ain
- District de la Savoie
>> Pas de carton blanc non plus dans les championnats Ligue <<
Mis en place dans la Ligue Rhône-Alpes, le carton blanc n’est pas appliqué dans tous les districts de la région. Pourquoi ? Est-ce que ça marche ? Pour quelles raisons un joueur peut-il écoper d’un carton blanc ? Explications
Le carton blanc, la solution du futur ?
C’est une idée qui vient de loin. Plus précisément de l’Ouest de la France. Depuis quelques années, le carton blanc a fait son apparition sur les pelouses de certains districts de la Ligue Rhône-Alpes. Dans tous les départements, les joueurs sont sanctionnés de la même manière : un exclusion temporaire de dix minutes. Mais ce qui diffère, c’est le motif pour lequel un carton blanc est adressé. Dans l’Isère, où ce carton a été mis en place depuis une dizaine d’années, c’est à l’appréciation de l’arbitre. « Un joueur peut être sanctionné d’un carton blanc en cas de faute légère ou s’il rouspète », confie Jean Vallin, secrétaire de la commission de discipline de l’Isère. Dans la Loire, ce sont uniquement « les comportements anormaux, les gestes d’humeur », dixit René Montagnier, le président du district, qui sont sanctionnés. « Cela permet de réduire le nombre de cartons rouges distribués. Le joueur sort, se calme, et peut reprendre part au jeu », poursuit René Montagnier.
SEPT ANS D’EXPÉRIMENTATION EN HAUTE-SAVOIE
Selon Jean-Claude Lefran, conseiller technique en arbitrage, le district du Rhône est satisfait de l'utilisation des cartons blancs (crédit : DR)
Dans le Rhône, le carton blanc est appliqué de la même manière que dans le district ligérien. Il a été mis en place en début de saison, et remplace un ancien dispositif, celui de l’exclusion temporaire, instauré en 2001. « Nous sommes satisfait. Sur les dix huit mille sanctions, deux mille huit cent ont été des cartons blancs. Ce dispositif est entré dans les mœurs », se félicite Jean-Claude Lefran, conseiller technique en arbitrage. Si dans les deux cas évoqués précédemment, le carton blanc est distribué dans toutes les compétitions du district, championnat et coupe, en Haute-Savoie, il a été mis en place il y a sept ans, à titre d’expérimentation, uniquement en coupe.
L’AIN ET LA SAVOIE N’EN VEULENT PAS
« Ça n’a pas vraiment évolué depuis », note Jérôme Menand, conseiller technique en arbitrage. Et pour le moment, pas question d’étendre cette mesure au championnat. « Le gros avantage, c’est qu’on pénalise immédiatement l’équipe. Mais le problème, c’est la gestion. En district, il n’y a qu’un arbitre. Comment fait-il s’il y a plusieurs expulsions temporaires ? En plus, il y a une certaine pression qui s’exerce sur eux », poursuit-il.
La Drôme-Ardèche a également mis ce dispositif en place depuis plusieurs années. En revanche, dans l’Ain et en Savoie, pas de carton blanc. Ni en championnat, ni en coupe*. « Pourquoi pas faire le choix de mettre ça en place ? C’est quelque chose qu’on ne rejette pas, ça sera peut-être étudié la saison prochaine », dévoile Joel Malin, président délégué responsable du pôle sportif au district de l'Ain. Et en Savoie alors, pour quelles raisons le carton blanc n’existe pas ? Joint par téléphone, Jacques Perroud, secrétaire général, a botté en touche en « ne voulant pas communiquer là-dessus ». Et ça, ça ne mériterait pas un carton blanc ?
Romain Colange
*Le carton blanc n'existe en effet pas dans l'Ain, mais - en coupes - le carton jaune donne lieu à une expulsion temporaire de quinze minutes....
Le tour de la Ligue Rhône-Alpes
>> Les districts utilisant le carton blanc
- District de la Drôme-Ardèche
- District du Rhône
- District de l'Isère
- District de la Loire
- District de la Haute-Savoie Pays de Gex (en coupe uniquement)
>> Les districts n'ayant pas instauré le carton blanc
- District de l'Ain
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>> Pas de carton blanc non plus dans les championnats Ligue <<
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Tout pour nous entuber»
L'expulsion de Dabo après moins d'un quart d'heure de jeu a précipité le revers lyonnais devant Lorient (0-1) et a fait sortir les Lyonnais de leurs gonds. Maxime Gonalons évoque «un acharnement».
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1017
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M.Gautier a déclenché l'ire des Lyonnais. (L'Equipe)
Trop c'est trop. Au bout d'une longue saison au cours de laquelle ils n'ont pas été épargnés par les décisions d'arbitrage, les Lyonnais en ont gros sur la patate et le font savoir. La décision de M. Gautier d'expulser très tôt Mouhamadou Dabo (14e) a été le tournant du match face à Lorient (0-1) – même Christian Gourcuff ne l'a pas comprise - et n'a pas contribué à atténuer la déception des Lyonnais de se retrouver dans une situation inconfortable pour accrocher une nouvelle qualification européenne.
«D'ici samedi, je ne sais pas ce qu'on va encore nous sortir...» Au micro de Canal Plus, Alexandre Lacazette a laissé exploser sa colère, sans mâcher ses mots : «Les arbitres font tout pour nous entuber. Et encore une fois, c'est M. Gautier. On va se souvenir de cette saison car ils ont fait très fort.» Est-ce inquiétant avant le prochain match à Nice ? «Ce qui est inquiétant, c'est si tous les arbitres sont comme ça», a lâché l'attaquant rhodanien. De son côté, Maxime Gonalons a été d'accord avec le terme d'«acharnement.» «L'arbitre n'a pas été à la hauteur. C'est difficile à accepter mais c'est comme ça.»
Jean-Michel Aulas non plus n’est pas parvenu à se retenir : «Ce qui s'est passé ce soir est injuste et inéquitable. Je suis abasourdi par ce qui nous arrive. Cette accumulation de décisions nous rend perplexe.» Rémi Garde s'est, lui, focalisé sur la double expulsion de Ferri et Monnet-Paquet dans le temps additionnel. «Avec un peu plus de psychologie, les rouges auraient pu être des jaunes, a indiqué l'entraîneur lyonnais. Mais c'est comme ça, on va accepter cela jusqu'au bout» «On a deux suspendus de plus (pour le déplacement à Nice), pestait encore Aulas. D'ici samedi, je ne sais pas ce qu'on va encore nous sortir...»
L'expulsion de Dabo après moins d'un quart d'heure de jeu a précipité le revers lyonnais devant Lorient (0-1) et a fait sortir les Lyonnais de leurs gonds. Maxime Gonalons évoque «un acharnement».
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M.Gautier a déclenché l'ire des Lyonnais. (L'Equipe)
Trop c'est trop. Au bout d'une longue saison au cours de laquelle ils n'ont pas été épargnés par les décisions d'arbitrage, les Lyonnais en ont gros sur la patate et le font savoir. La décision de M. Gautier d'expulser très tôt Mouhamadou Dabo (14e) a été le tournant du match face à Lorient (0-1) – même Christian Gourcuff ne l'a pas comprise - et n'a pas contribué à atténuer la déception des Lyonnais de se retrouver dans une situation inconfortable pour accrocher une nouvelle qualification européenne.
«D'ici samedi, je ne sais pas ce qu'on va encore nous sortir...» Au micro de Canal Plus, Alexandre Lacazette a laissé exploser sa colère, sans mâcher ses mots : «Les arbitres font tout pour nous entuber. Et encore une fois, c'est M. Gautier. On va se souvenir de cette saison car ils ont fait très fort.» Est-ce inquiétant avant le prochain match à Nice ? «Ce qui est inquiétant, c'est si tous les arbitres sont comme ça», a lâché l'attaquant rhodanien. De son côté, Maxime Gonalons a été d'accord avec le terme d'«acharnement.» «L'arbitre n'a pas été à la hauteur. C'est difficile à accepter mais c'est comme ça.»
Jean-Michel Aulas non plus n’est pas parvenu à se retenir : «Ce qui s'est passé ce soir est injuste et inéquitable. Je suis abasourdi par ce qui nous arrive. Cette accumulation de décisions nous rend perplexe.» Rémi Garde s'est, lui, focalisé sur la double expulsion de Ferri et Monnet-Paquet dans le temps additionnel. «Avec un peu plus de psychologie, les rouges auraient pu être des jaunes, a indiqué l'entraîneur lyonnais. Mais c'est comme ça, on va accepter cela jusqu'au bout» «On a deux suspendus de plus (pour le déplacement à Nice), pestait encore Aulas. D'ici samedi, je ne sais pas ce qu'on va encore nous sortir...»
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Football. Bientôt des expulsions temporaires ?
Europe - 14 Mai - 1
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L'UEFA, sous la houlette de Pierluigi Collina, va proposer au Board, gardien des règles, l'exclusion temporaire du joueur fautif en cas de blessure de son adversaire.
« Nous allons proposer à l'Ifab (International football association board) cette nouvelle règle : demander au fautif de quitter le terrain tant que le joueur blessé n'est pas revenu en jeu » ou n'a pas été remplacé, a expliqué M. Collina, directeur des arbitres de l'UEFA, lors d'une conférence de presse avant la finale d'Europa League Benfica - Séville FC, disputée au Juventus Stadium.
Le système actuel « est injuste, a ajouté le chef des arbitres européens. Le joueur qui a commis la faute est averti mais reste sur le terrain et l'autre équipe se retrouve un instant à dix, cela donne un avantage au fautif. »
Déjà en application dans le foot amateur
M. Collina a précisé que cette nouvelle règle ne s'appliquerait qu'en cas de geste jugé dangereux par l'arbitre et sanctionné d'un avertissement.
L'expulsion temporaire est déjà utilisée dans le football amateur en France (carton blanc). A noter aussi que d'autres sports collectifs, comme le rugby ou le handball, appliquent ce type de sanction.
L'UEFA compte présenter cette proposition au Board, qui se réunit chaque année entre fin février et début mars.
Europe - 14 Mai - 1
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- Si cette nouvelle loi du jeu est adoptée, l'équipe du joueur fautif serait aussi pénalisée que celle du joueur blessé. | Joël Le Gall
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L'UEFA, sous la houlette de Pierluigi Collina, va proposer au Board, gardien des règles, l'exclusion temporaire du joueur fautif en cas de blessure de son adversaire.
« Nous allons proposer à l'Ifab (International football association board) cette nouvelle règle : demander au fautif de quitter le terrain tant que le joueur blessé n'est pas revenu en jeu » ou n'a pas été remplacé, a expliqué M. Collina, directeur des arbitres de l'UEFA, lors d'une conférence de presse avant la finale d'Europa League Benfica - Séville FC, disputée au Juventus Stadium.
Le système actuel « est injuste, a ajouté le chef des arbitres européens. Le joueur qui a commis la faute est averti mais reste sur le terrain et l'autre équipe se retrouve un instant à dix, cela donne un avantage au fautif. »
Déjà en application dans le foot amateur
M. Collina a précisé que cette nouvelle règle ne s'appliquerait qu'en cas de geste jugé dangereux par l'arbitre et sanctionné d'un avertissement.
L'expulsion temporaire est déjà utilisée dans le football amateur en France (carton blanc). A noter aussi que d'autres sports collectifs, comme le rugby ou le handball, appliquent ce type de sanction.
L'UEFA compte présenter cette proposition au Board, qui se réunit chaque année entre fin février et début mars.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Platini mouille le maillot pour l'arbitrage à cinq
14/05/2014 16:06
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Le président de l'UEFA Michel Platini le 22 février 2014 à Nice - AFP/Archives
Le président de l'UEFA Michel Platini mouille le maillot pour l'arbitrage à cinq, en déficit d'image auprès des supporters et médias mais plus performant pour l'ancienne star de la Juventus qu'une technologie qui ne dit "pas toujours la vérité".
"C'est notre devoir de communiquer, de montrer que c'est un bon système", a dit M. Platini mercredi avant la finale d'Europa League Benfica-FC Séville au Juventus Stadium.
"Le système n'est pas parfait, car derrière l'arbitre il y a l'homme, mais presque", a-t-il ajouté.
L'apport des deux arbitres supplémentaires dans la surface est "difficile à comprendre pour le public, qui les voit immobiles, mais en fait ils se parlent beaucoup entre eux", a insisté le président de l'Uefa.
Platini a souligné que les consignes du Board (organe garant des lois du jeu) demandant aux arbitres de surfaces de ne pas bouger n'aidaient pas le public à mesurer leur apport.
- "Quand ce n'est pas une idée de la Fifa..." -
"Quand ce n'est pas une idée de la Fifa c'est toujours plus difficile", a-t-il commenté, rappelant sa "fierté d'avoir déjà changé des règles: l'interdiction de la passe en retrait au gardien ou le rouge pour faute en position de dernier défenseur".
Selon le directeur de l'arbitrage de l'Uefa, Pierluigi Collina, les supporters "ne savent pas comment ça marche, et on entend souvent des commentateurs à la télévision dire: +Ils ne servent à rien, ils restent juste derrière la ligne+. Mais en réalité ils servent énormément."
Collina a diffusé des vidéos d'actions litigieuses avec l'enregistrement des conversations entre arbitres pour appuyer sa démonstration. On entend l'arbitre de surface crier: "Penalty! Penalty! Penalty!" ou "Nothing (rien)! Nothing! Nothing!" et expliquer ensuite ce qu'il a vu à l'arbitre central.
"Déjà 35 fédérations utilisent les arbitres additionnels", a rappelé Collina, qui "ne comprend pas que l'Angleterre n'ait pas adopté ce système".
Collina estime que la technologie sur la ligne de but, validée par la Fifa, "pouvait aider les arbitres à déterminer si le ballon a ou non franchi la ligne, mais c'est son seul apport, alors que l'arbitre additionnel peut remplir bien d'autres missions car il offre un second angle de vue".
- Exclusion temporaire -
"OK pour la ligne de but, mais stop, a commenté Platini. Après on va créer la technologie du hors-jeu, puis la technologie de la surface de réparation, etc. Pour moi c'est la fin de foot."
Le président a martelé sa "conviction": "je ne crois pas en la technologie, je ne crois pas qu'elle dit toujours la vérité, je crois en l'arbitrage humain."
Lors de cette présentation des bienfaits de l'arbitrage à cinq, Collina a également annoncé que l'Uefa allait proposer à l'Ifab (International football association board, nom complet du Board), l'exclusion temporaire du joueur fautif "tant que le joueur blessé n'est pas revenu en jeu" ou n'a pas été remplacé.
Le système actuel "est injuste", a ajouté le chef des arbitres européens. "Le joueur qui a commis la faute est averti mais reste sur le terrain et l'autre équipe se retrouve un instant à dix, cela donne un avantage au fautif".
Enfin l'Uefa ne baisse pas les bras au sujet de la "triple-peine" et compte refaire une demande pour changer cette règle.
"Exclusion, penalty et suspension, c'est un peu trop", a commenté Collina.
L'Uefa pourrait reformuler sa demande (une précédente requête de l'Uefa a été rejetée le 1er mars par le Board) en distinguant "carton jaune et penalty pour une faute en cas de +claire occasion de but+, qui est restaurée par le penalty, et rouge et penalty pour une main sur la ligne. Là, c'est différent car c'est un but qui est sauvé, et non une occasion de but". Mais la question ne sera pas réexaminée avant 2015.
14/05/2014 16:06
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Le président de l'UEFA Michel Platini le 22 février 2014 à Nice - AFP/Archives
Le président de l'UEFA Michel Platini mouille le maillot pour l'arbitrage à cinq, en déficit d'image auprès des supporters et médias mais plus performant pour l'ancienne star de la Juventus qu'une technologie qui ne dit "pas toujours la vérité".
"C'est notre devoir de communiquer, de montrer que c'est un bon système", a dit M. Platini mercredi avant la finale d'Europa League Benfica-FC Séville au Juventus Stadium.
"Le système n'est pas parfait, car derrière l'arbitre il y a l'homme, mais presque", a-t-il ajouté.
L'apport des deux arbitres supplémentaires dans la surface est "difficile à comprendre pour le public, qui les voit immobiles, mais en fait ils se parlent beaucoup entre eux", a insisté le président de l'Uefa.
Platini a souligné que les consignes du Board (organe garant des lois du jeu) demandant aux arbitres de surfaces de ne pas bouger n'aidaient pas le public à mesurer leur apport.
- "Quand ce n'est pas une idée de la Fifa..." -
"Quand ce n'est pas une idée de la Fifa c'est toujours plus difficile", a-t-il commenté, rappelant sa "fierté d'avoir déjà changé des règles: l'interdiction de la passe en retrait au gardien ou le rouge pour faute en position de dernier défenseur".
Selon le directeur de l'arbitrage de l'Uefa, Pierluigi Collina, les supporters "ne savent pas comment ça marche, et on entend souvent des commentateurs à la télévision dire: +Ils ne servent à rien, ils restent juste derrière la ligne+. Mais en réalité ils servent énormément."
Collina a diffusé des vidéos d'actions litigieuses avec l'enregistrement des conversations entre arbitres pour appuyer sa démonstration. On entend l'arbitre de surface crier: "Penalty! Penalty! Penalty!" ou "Nothing (rien)! Nothing! Nothing!" et expliquer ensuite ce qu'il a vu à l'arbitre central.
"Déjà 35 fédérations utilisent les arbitres additionnels", a rappelé Collina, qui "ne comprend pas que l'Angleterre n'ait pas adopté ce système".
Collina estime que la technologie sur la ligne de but, validée par la Fifa, "pouvait aider les arbitres à déterminer si le ballon a ou non franchi la ligne, mais c'est son seul apport, alors que l'arbitre additionnel peut remplir bien d'autres missions car il offre un second angle de vue".
- Exclusion temporaire -
"OK pour la ligne de but, mais stop, a commenté Platini. Après on va créer la technologie du hors-jeu, puis la technologie de la surface de réparation, etc. Pour moi c'est la fin de foot."
Le président a martelé sa "conviction": "je ne crois pas en la technologie, je ne crois pas qu'elle dit toujours la vérité, je crois en l'arbitrage humain."
Lors de cette présentation des bienfaits de l'arbitrage à cinq, Collina a également annoncé que l'Uefa allait proposer à l'Ifab (International football association board, nom complet du Board), l'exclusion temporaire du joueur fautif "tant que le joueur blessé n'est pas revenu en jeu" ou n'a pas été remplacé.
Le système actuel "est injuste", a ajouté le chef des arbitres européens. "Le joueur qui a commis la faute est averti mais reste sur le terrain et l'autre équipe se retrouve un instant à dix, cela donne un avantage au fautif".
Enfin l'Uefa ne baisse pas les bras au sujet de la "triple-peine" et compte refaire une demande pour changer cette règle.
"Exclusion, penalty et suspension, c'est un peu trop", a commenté Collina.
L'Uefa pourrait reformuler sa demande (une précédente requête de l'Uefa a été rejetée le 1er mars par le Board) en distinguant "carton jaune et penalty pour une faute en cas de +claire occasion de but+, qui est restaurée par le penalty, et rouge et penalty pour une main sur la ligne. Là, c'est différent car c'est un but qui est sauvé, et non une occasion de but". Mais la question ne sera pas réexaminée avant 2015.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Le drôle de classement des arbitres
La promotion en L2 de Stéphanie Frappart, première femme à atteindre ce niveau au "centre", ne masque pas les incohérences de la hiérarchie officielle des arbitres français, dévoilée mercredi par la Fédération.
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Stéphane Lannoy, ici en finale de la Coupe de la Ligue, reste le n°1 français. (L'Equipe)
Propulsé l'été dernier par Noël Le Graët, le président de la Fédération, dans le fauteuil de directeur technique de l’arbitrage (DTA) occupé depuis 2004 par le très contesté Marc Batta, Pascal Garibian était censé incarner le renouveau d’un secteur en crise depuis dix ans. L’ancien patron de la commission de discipline semble pourtant avoir bien du mal à impulser le rebond. Le Graët a d’ailleurs dû voler à son secours, la semaine dernière, en demandant aux présidents des clubs pros de s’abstenir de commenter les décisions des arbitres lors de la dernière journée. Entre les acteurs, le climat s’est dégradé.
Stéphane Lannoy reste, à la surprise générale, le numéro 1 français La promotion de Stéphanie Frappart en L2, à la faveur de sa quatrième place du classement de National, masque une réalité inquiétante pour l’arbitrage d’élite en France : son conservatisme. Écarté par la FIFA en janvier de la Coupe du monde (12 juin - 13 juillet), Stéphane Lannoy reste, à la surprise générale, le numéro 1 français. Même les arbitres ne sont pas d’accord puisque, dans le cadre des trophées UNFP, ils avaient "promu" Ruddy Buquet. Auteur d’une saison de L1 très médiocre, Lannoy n’a pas été souverain non plus en finale de Coupe de la Ligue (PSG-Lyon, 2-1, le 19 avril). Mais sa baisse de régime ne dérange visiblement pas les observateurs de la DTA, pas plus que les errements d’Antony Gautier, dont les prestations sur la scène européenne ont convaincu l’UEFA… de ne pas le promouvoir dans sa "top liste" en janvier dernier !
A lire aussi
Une femme promue arbitre centrale
À deux ans de l’Euro, où l’absence d’un représentant français ferait vraiment tache, le classement de la DTA constitue un curieux message à l’instance européenne. Cette dernière semble en effet bien plus sensible aux progrès de Clément Turpin (3e) ou de Buquet (4e). Si un ancien, parmi le contingent de L1, a réalisé une saison pleine, c’est bien Tony Chapron. Il ne pointe pourtant qu’à la septième place. Est-il victime d’un énième tripatouillage des modalités de vote ? Cette saison, les observateurs ont vu chaque arbitre une fois sans leur attribuer de note. Mais ils ont dû rendre leur propre classement à la DTA. La synthèse a abouti à ce que beaucoup dans le milieu considéraient comme une blague, mercredi. Laurent Duhamel à la retraite, il n’y aura qu’un relégué en Ligue 2 : Stéphane Jochem.
Revenu brut moyen annuel d'un arbitre central de L1 ? 80 413
Solide soldat de L2 trompé par la tricherie du Castelroussin Christopher Maboulou (but marqué de la main), Christian Guillard, l’arbitre de Caen-Châteauroux (1-1, le 21 mars), a été renvoyé en National. Or, une relégation coûte cher. Une note interne de la Ligue nous apprend en effet que le revenu brut moyen annuel d’un arbitre central de L1 atteint 80 413 €, celui d’un central de L2 46 559 €, celui d’un assistant de L1 47 234 €, celui d’un assistant de L2 26 858 €. Ces sommes ne comprennent pas les indemnités versées par la FIFA ou l’UEFA lors des rencontres internationales. Un niveau où les Français brillent toujours par leur absence. Aucun d’eux n’a passé le cap des 8es de finale en Coupe d’Europe, au printemps.
La promotion en L2 de Stéphanie Frappart, première femme à atteindre ce niveau au "centre", ne masque pas les incohérences de la hiérarchie officielle des arbitres français, dévoilée mercredi par la Fédération.
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Stéphane Lannoy, ici en finale de la Coupe de la Ligue, reste le n°1 français. (L'Equipe)
Propulsé l'été dernier par Noël Le Graët, le président de la Fédération, dans le fauteuil de directeur technique de l’arbitrage (DTA) occupé depuis 2004 par le très contesté Marc Batta, Pascal Garibian était censé incarner le renouveau d’un secteur en crise depuis dix ans. L’ancien patron de la commission de discipline semble pourtant avoir bien du mal à impulser le rebond. Le Graët a d’ailleurs dû voler à son secours, la semaine dernière, en demandant aux présidents des clubs pros de s’abstenir de commenter les décisions des arbitres lors de la dernière journée. Entre les acteurs, le climat s’est dégradé.
Stéphane Lannoy reste, à la surprise générale, le numéro 1 français La promotion de Stéphanie Frappart en L2, à la faveur de sa quatrième place du classement de National, masque une réalité inquiétante pour l’arbitrage d’élite en France : son conservatisme. Écarté par la FIFA en janvier de la Coupe du monde (12 juin - 13 juillet), Stéphane Lannoy reste, à la surprise générale, le numéro 1 français. Même les arbitres ne sont pas d’accord puisque, dans le cadre des trophées UNFP, ils avaient "promu" Ruddy Buquet. Auteur d’une saison de L1 très médiocre, Lannoy n’a pas été souverain non plus en finale de Coupe de la Ligue (PSG-Lyon, 2-1, le 19 avril). Mais sa baisse de régime ne dérange visiblement pas les observateurs de la DTA, pas plus que les errements d’Antony Gautier, dont les prestations sur la scène européenne ont convaincu l’UEFA… de ne pas le promouvoir dans sa "top liste" en janvier dernier !
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Revenu brut moyen annuel d'un arbitre central de L1 ? 80 413
Solide soldat de L2 trompé par la tricherie du Castelroussin Christopher Maboulou (but marqué de la main), Christian Guillard, l’arbitre de Caen-Châteauroux (1-1, le 21 mars), a été renvoyé en National. Or, une relégation coûte cher. Une note interne de la Ligue nous apprend en effet que le revenu brut moyen annuel d’un arbitre central de L1 atteint 80 413 €, celui d’un central de L2 46 559 €, celui d’un assistant de L1 47 234 €, celui d’un assistant de L2 26 858 €. Ces sommes ne comprennent pas les indemnités versées par la FIFA ou l’UEFA lors des rencontres internationales. Un niveau où les Français brillent toujours par leur absence. Aucun d’eux n’a passé le cap des 8es de finale en Coupe d’Europe, au printemps.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Arbitres: Lannoy reste numéro 1
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Le classement 2013-2014 des arbitres de L1, qui sera dévoilé ce mercredi soir par la Fédération Française, maintient Stéphane Lannoy en n°1. Il devance Antony Gautier (2e), Clément Turpin (3e) et Ruddy Buquet (4e). Turpin et Buquet, qui incarnent la génération montante, ont pourtant toutes les chances de représenter l'arbitrage français (absent de la Coupe du monde) lors de l'Euro 2016, organisé dans l'Hexagone.
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Le classement 2013-2014 des arbitres de L1, qui sera dévoilé ce mercredi soir par la Fédération Française, maintient Stéphane Lannoy en n°1. Il devance Antony Gautier (2e), Clément Turpin (3e) et Ruddy Buquet (4e). Turpin et Buquet, qui incarnent la génération montante, ont pourtant toutes les chances de représenter l'arbitrage français (absent de la Coupe du monde) lors de l'Euro 2016, organisé dans l'Hexagone.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Chantier et relève chez les arbitres français
28/05/2014 05:32
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Pascal Garibian, directeur technique de l'arbitrage. - (Photo NR)
L'arbitrage français, qui n'aura pas de représentant au Mondial brésilien, reste en chantier un an après le lancement d'une réforme souhaitée par le président de la fédération Noël Le Graët et compte désormais s'appuyer sur une nouvelle génération de sifflets.
> Progrès et rechutes. « On a restructuré les équipes, apporté de nouvelles idées, plein de choses que le grand public ne voit pas. Mais l'oxygène revient et le sang circule mieux », a résumé Éric Borghini, membre du comité exécutif de la FFF et artisan de la réforme. Sous l'impulsion du nouveau directeur technique de l'arbitrage Pascal Garibian, il a d'abord été question de « faire taire les luttes de chapelles » qui avaient pourri la fin du mandat de son prédécesseur Marc Batta.
Mais sur les terrains, les progrès ont tardé à se matérialiser avec une série d'accidents industriels. Le match Lyon - Monaco avec trois buts monégasques entachés d'un hors-jeu ou le penalty sifflé par Stéphane Lannoy en faveur du Paris SG en finale de Coupe de la Ligue contre Lyon, pour une faute hors de la surface, en font partie.
> Les jeunes poussés. Les classements de fin de saison ont réservé deux surprises : la promotion de Stéphanie Frappart qui sera la première femme à arbitrer en L2 et la première place dans l'élite de Lannoy, qui à 44 ans a vécu une saison moyenne. Les dirigeants de l'arbitrage ont pourtant clairement choisi de promouvoir plusieurs sifflets plus jeunes, susceptibles d'incarner la relève aux échelons européen et mondial.
« Il y a un groupe de quatre (Gautier, Turpin, Buquet et Rainville), internationaux depuis quelques saisons. Ils doivent maintenant faire leurs preuves. Et puis il y a Millot et Bastien, la toute nouvelle génération. Ils doivent progresser rapidement », a affirmé Garibian. Ce choix a le soutien de Le Graët.
> Points de crispation. Les erreurs de fin de saison ont rappelé que malgré la multiplication des débriefings entre acteurs en fin de match, l'incompréhension restait parfois forte entre arbitres et joueurs ou dirigeants. « Ça a révélé une tendance au sein de certains clubs à se défausser sur l'arbitrage. Ça n'est pas acceptable et Noël Le Graët a envoyé un courrier à tous les présidents. Le Conseil de l'éthique a aussi été saisi », explique Borghini.
Pour Le Graët, les arbitres doivent en effet « être protégés » mais pourraient aussi être plus sévères. « Je vois bien ces entraîneurs qui disent aux joueurs : " mets la pression sur l'arbitre ". Nos arbitres je les trouve même faibles. Je suis complètement anti-carton mais quand je les vois entourés par quatre ou cinq gueulards et que c'est prémédité, je me dis qu'ils s'honoreraient à sortir le carton », a-t-il dit.
28/05/2014 05:32
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Pascal Garibian, directeur technique de l'arbitrage. - (Photo NR)
L'arbitrage français, qui n'aura pas de représentant au Mondial brésilien, reste en chantier un an après le lancement d'une réforme souhaitée par le président de la fédération Noël Le Graët et compte désormais s'appuyer sur une nouvelle génération de sifflets.
> Progrès et rechutes. « On a restructuré les équipes, apporté de nouvelles idées, plein de choses que le grand public ne voit pas. Mais l'oxygène revient et le sang circule mieux », a résumé Éric Borghini, membre du comité exécutif de la FFF et artisan de la réforme. Sous l'impulsion du nouveau directeur technique de l'arbitrage Pascal Garibian, il a d'abord été question de « faire taire les luttes de chapelles » qui avaient pourri la fin du mandat de son prédécesseur Marc Batta.
Mais sur les terrains, les progrès ont tardé à se matérialiser avec une série d'accidents industriels. Le match Lyon - Monaco avec trois buts monégasques entachés d'un hors-jeu ou le penalty sifflé par Stéphane Lannoy en faveur du Paris SG en finale de Coupe de la Ligue contre Lyon, pour une faute hors de la surface, en font partie.
> Les jeunes poussés. Les classements de fin de saison ont réservé deux surprises : la promotion de Stéphanie Frappart qui sera la première femme à arbitrer en L2 et la première place dans l'élite de Lannoy, qui à 44 ans a vécu une saison moyenne. Les dirigeants de l'arbitrage ont pourtant clairement choisi de promouvoir plusieurs sifflets plus jeunes, susceptibles d'incarner la relève aux échelons européen et mondial.
« Il y a un groupe de quatre (Gautier, Turpin, Buquet et Rainville), internationaux depuis quelques saisons. Ils doivent maintenant faire leurs preuves. Et puis il y a Millot et Bastien, la toute nouvelle génération. Ils doivent progresser rapidement », a affirmé Garibian. Ce choix a le soutien de Le Graët.
> Points de crispation. Les erreurs de fin de saison ont rappelé que malgré la multiplication des débriefings entre acteurs en fin de match, l'incompréhension restait parfois forte entre arbitres et joueurs ou dirigeants. « Ça a révélé une tendance au sein de certains clubs à se défausser sur l'arbitrage. Ça n'est pas acceptable et Noël Le Graët a envoyé un courrier à tous les présidents. Le Conseil de l'éthique a aussi été saisi », explique Borghini.
Pour Le Graët, les arbitres doivent en effet « être protégés » mais pourraient aussi être plus sévères. « Je vois bien ces entraîneurs qui disent aux joueurs : " mets la pression sur l'arbitre ". Nos arbitres je les trouve même faibles. Je suis complètement anti-carton mais quand je les vois entourés par quatre ou cinq gueulards et que c'est prémédité, je me dis qu'ils s'honoreraient à sortir le carton », a-t-il dit.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
L'arbitrage français sur le chemin de la guérison
Publié le 28/05/2014 à 03:50
Dossier. Les erreurs de cette saison ont poussé la FFF à se poser des questions
Comme ses collègues, Fredy Fautrel a fait des erreurs tout au long de la saison./Photo AFP
L'arbitrage français, qui n'aura pas de représentant au Mondial brésilien, reste en chantier un an après le lancement d'une réforme souhaitée par le président de la Fédération, Noël Le Graët. «On a restructuré les équipes, apporté de nouvelles idées, plein de choses que le grand public ne voit pas. Mais l'oxygène revient et le sang circule mieux», a résumé Éric Borghini, membre du comité exécutif de la FFF. Sous l'impulsion du nouveau directeur technique de l'arbitrage Pascal Garibian, il a d'abord été question de «faire taire les luttes de chapelles» qui avaient pourri la fin du mandat de son prédécesseur Marc Batta.
L'OL l'a vraiment mauvaise
Sur les terrains, les progrès ont tardé à se matérialiser comme en témoignent certains événements : le match Lyon-Monaco, avec trois buts monégasques entachés d'un hors-jeu ou le penalty accordé au PSG en finale de Coupe de la Ligue contre Lyon, pour une faute hors de la surface. On comprend mieux la colère de Rémi Garde à la fin de la saison.
Avec la non-sélection de Lannoy pour le Mondial et l'absence de sifflets français à partir des quarts de finale des Coupes d'Europe, Borghini et Garibian ont aussi pu constater que leurs arbitres n'avaient pas une cote extraordinaire à l'international. D'où un changement radical avec la promotion de Stéphanie Frappart, première femme à arbitrer… en L2. Rajeunir est aussi le mot d'ordre des dirigeants qui ont choisi de promouvoir plusieurs sifflets plus jeunes, susceptibles d'incarner la relève aux échelons européen et mondial. En espérant que ce ne soit pas un coup de pub…
Publié le 28/05/2014 à 03:50
Dossier. Les erreurs de cette saison ont poussé la FFF à se poser des questions
Comme ses collègues, Fredy Fautrel a fait des erreurs tout au long de la saison./Photo AFP
L'arbitrage français, qui n'aura pas de représentant au Mondial brésilien, reste en chantier un an après le lancement d'une réforme souhaitée par le président de la Fédération, Noël Le Graët. «On a restructuré les équipes, apporté de nouvelles idées, plein de choses que le grand public ne voit pas. Mais l'oxygène revient et le sang circule mieux», a résumé Éric Borghini, membre du comité exécutif de la FFF. Sous l'impulsion du nouveau directeur technique de l'arbitrage Pascal Garibian, il a d'abord été question de «faire taire les luttes de chapelles» qui avaient pourri la fin du mandat de son prédécesseur Marc Batta.
L'OL l'a vraiment mauvaise
Sur les terrains, les progrès ont tardé à se matérialiser comme en témoignent certains événements : le match Lyon-Monaco, avec trois buts monégasques entachés d'un hors-jeu ou le penalty accordé au PSG en finale de Coupe de la Ligue contre Lyon, pour une faute hors de la surface. On comprend mieux la colère de Rémi Garde à la fin de la saison.
Avec la non-sélection de Lannoy pour le Mondial et l'absence de sifflets français à partir des quarts de finale des Coupes d'Europe, Borghini et Garibian ont aussi pu constater que leurs arbitres n'avaient pas une cote extraordinaire à l'international. D'où un changement radical avec la promotion de Stéphanie Frappart, première femme à arbitrer… en L2. Rajeunir est aussi le mot d'ordre des dirigeants qui ont choisi de promouvoir plusieurs sifflets plus jeunes, susceptibles d'incarner la relève aux échelons européen et mondial. En espérant que ce ne soit pas un coup de pub…
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Mondial-2014: La montre de l'arbitre vibrera quand le ballon aura franchi la ligne de but
Le 30 mai à 16h48 | Mis à jour il y a 14 heures
En finir avec les polémiques! Voilà l'objectif de la FIFA qui utilisera pour la première fois en coupe du Monde la technologie GLT (Goal-Line Technology). Désormais plus de doute possible puisque si le ballon franchit la ligne de but, l'arbitre le saura immédiatement. Les arbitres de la Coupe du Monde seront en effet équipés d'une montre spéciale qui vibrera à chaque fois que le ballon entrera dans le but.
Le 30 mai à 16h48 | Mis à jour il y a 14 heures
En finir avec les polémiques! Voilà l'objectif de la FIFA qui utilisera pour la première fois en coupe du Monde la technologie GLT (Goal-Line Technology). Désormais plus de doute possible puisque si le ballon franchit la ligne de but, l'arbitre le saura immédiatement. Les arbitres de la Coupe du Monde seront en effet équipés d'une montre spéciale qui vibrera à chaque fois que le ballon entrera dans le but.
aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Par le passé, le sort de matches du Mondial a été faussé par l'absence de technologie adaptée. On se souvient de la finale 1966 entre l'Allemagne et l'Angleterre dont on ne saura finalement jamais si les Anglais avaient bien marqué le 3e but d'un finale achevée sur le score de 4-2.
aladin- Messages : 115038
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aladin- Messages : 115038
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Arbitres : une licence à points dès la prochaine saison
Publié le 05/06/2014 à 03:47
L'assemblée générale des arbitres./Photo DDM
Lors de l'assemblée générale des arbitres de l'Aude, les membres de la commission ont annoncé la mise en place d'une licence à points pour les arbitres dès la prochaine saison. Cela fait suite à un laisser-aller de trop d'arbitres qui ne participent pas aux rassemblements ponctuels d'information ou aux contrôles théoriques.
Pour l'assemblée générale, par exemple, 44 arbitres n'ont pas daigné se déplacer et très peu se sont excusés. En fonction de l'importance du rendez-vous, des points seront retirés et cela entraînera une suppression de rencontres prises en compte pour que l'arbitre couvre le club au niveau du statut de l'arbitrage. Ainsi, tout arbitre absent à une convocation de la CDA sera pénalisé et pénalisera son club. Quand on sait qu'un arbitre doit assurer au minimum 20 rencontres dans la saison, la marge est assez étroite et les clubs représentés risquent d'avoir de mauvaises surprises. Autre nouveauté, le remboursement des frais d'équipement et de formation perçus lors des rencontres, qui sera effectué par virement pour toutes les catégories, les clubs payant leur part mensuellement au district.
Publié le 05/06/2014 à 03:47
L'assemblée générale des arbitres./Photo DDM
Lors de l'assemblée générale des arbitres de l'Aude, les membres de la commission ont annoncé la mise en place d'une licence à points pour les arbitres dès la prochaine saison. Cela fait suite à un laisser-aller de trop d'arbitres qui ne participent pas aux rassemblements ponctuels d'information ou aux contrôles théoriques.
Pour l'assemblée générale, par exemple, 44 arbitres n'ont pas daigné se déplacer et très peu se sont excusés. En fonction de l'importance du rendez-vous, des points seront retirés et cela entraînera une suppression de rencontres prises en compte pour que l'arbitre couvre le club au niveau du statut de l'arbitrage. Ainsi, tout arbitre absent à une convocation de la CDA sera pénalisé et pénalisera son club. Quand on sait qu'un arbitre doit assurer au minimum 20 rencontres dans la saison, la marge est assez étroite et les clubs représentés risquent d'avoir de mauvaises surprises. Autre nouveauté, le remboursement des frais d'équipement et de formation perçus lors des rencontres, qui sera effectué par virement pour toutes les catégories, les clubs payant leur part mensuellement au district.
aladin- Messages : 115038
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