L'arbitrage !!!!!!
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Écrans géants : les ralentis de la discordeCette saison, un changement de réglementation autorise la diffusion de ralentis sur les écrans géants des stades. Une décision qui accroît la pression sur les arbitres.
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Les ralentis ont progressivement disparu des écrans géants de L1 (L'Equipe)
Les ralentis ont progressivement disparu des écrans géants de L1 (L'Equipe)
En début de saison, c’était une petite révolution. Aujourd’hui, après seulement neuf journées de Championnat, les ralentis ont progressivement disparu des écrans géants des stades. Surtout ceux des actions litigieuses. La pression était-elle trop forte pour les arbitres ? Oui, à en croire l'un d'entre eux, qui nous glisse : «Il y a eu quelques dysfonctionnements avec certains ralentis sur des actions litigieuses (ndlr :notamment lors de Bordeaux-Bastia, 4e journée). Maintenant, tout est rentré dans l’ordre.» À la Fédération française (FFF), on confirme qu’à «deux ou trois reprises cette saison, des images de ralentis ont été montrées sur les écrans. Il s’agit d’erreurs, qui ont donné lieu à un rapport des arbitres.»
Dans les textes, les ralentis ne sont pas interdits. Le règlement de la Ligue de football professionnel (LFP) précise que les clubs professionnels équipés pour retransmettre le match sur écran géant dans leur stade ont trois possibilités : une diffusion de séquences vidéo en différé, une diffusion de l'intégralité du match en direct et une diffusion du match en direct, avec intégration possible de séquences vidéo en différé (notamment des ralentis), sans le son, pendant toute la durée de la rencontre. C’est cette dernière option, la plus souvent utilisée en début de saison par certains clubs comme le PSG et Bordeaux, qui a vivement fait réagir.
«Quand il y a un temps mort ou une pause, je regarde direct le ralenti !» (Rio Mavuba) Conséquence, les régies vidéo des stades concernés évitent donc la diffusion de certains ralentis. Au Parc des Princes, il est même arrivé récemment que le début d’une action soit rediffusé avant d’être coupé dans l’urgence. Et les joueurs ? «On regarde souvent, avoue Rio Mavuba, le capitaine du LOSC. Quand il y a un temps mort ou une pause, je regarde direct le ralenti ! Mais ce n’est pas perturbant. Ça doit être plus embêtant pour un attaquant qui rate une grosse occasion. Nous, au milieu, ça va !»
«Tant que ce ne sont pas les actions litigieuses, ça va»
C’est bien le principal problème de ces ralentis : leur impact sur les joueurs, les arbitres mais surtout les supporters qui peuvent rapidement cibler les acteurs de la rencontre, et en premier lieu l’arbitre. «Tant que ce ne sont pas les actions litigieuses, ça va… Parce qu’après, ça peut vite retourner le public. Et nous aussi, on pourrait être amenés à aller voir l’arbitre et là, on est proche de l’arbitrage vidéo. C’est compliqué…»
Pourtant, la France n’est pas le premier pays à tenter l’expérience du ralenti diffusé en plein match. Le mois dernier, Jérémie Berthod, ex-joueur de Lyon aujourd’hui en Norvège, expliquait sur son compte Twitter que le procédé existait déjà dans son Championnat. La règle est d’ailleurs très simple là-bas puisque tout joueur montrant l’écran géant ou y faisant référence écope d’un carton jaune. Une procédure qu’il serait facile d’appliquer à la Ligue 1… Même s’il sera toujours plus délicat de calmer un public en ébullition après le visionnage de ce qu’il considérera comme une injustice.
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En début de saison, c’était une petite révolution. Aujourd’hui, après seulement neuf journées de Championnat, les ralentis ont progressivement disparu des écrans géants des stades. Surtout ceux des actions litigieuses. La pression était-elle trop forte pour les arbitres ? Oui, à en croire l'un d'entre eux, qui nous glisse : «Il y a eu quelques dysfonctionnements avec certains ralentis sur des actions litigieuses (ndlr :notamment lors de Bordeaux-Bastia, 4e journée). Maintenant, tout est rentré dans l’ordre.» À la Fédération française (FFF), on confirme qu’à «deux ou trois reprises cette saison, des images de ralentis ont été montrées sur les écrans. Il s’agit d’erreurs, qui ont donné lieu à un rapport des arbitres.»
Dans les textes, les ralentis ne sont pas interdits. Le règlement de la Ligue de football professionnel (LFP) précise que les clubs professionnels équipés pour retransmettre le match sur écran géant dans leur stade ont trois possibilités : une diffusion de séquences vidéo en différé, une diffusion de l'intégralité du match en direct et une diffusion du match en direct, avec intégration possible de séquences vidéo en différé (notamment des ralentis), sans le son, pendant toute la durée de la rencontre. C’est cette dernière option, la plus souvent utilisée en début de saison par certains clubs comme le PSG et Bordeaux, qui a vivement fait réagir.
«Quand il y a un temps mort ou une pause, je regarde direct le ralenti !» (Rio Mavuba) Conséquence, les régies vidéo des stades concernés évitent donc la diffusion de certains ralentis. Au Parc des Princes, il est même arrivé récemment que le début d’une action soit rediffusé avant d’être coupé dans l’urgence. Et les joueurs ? «On regarde souvent, avoue Rio Mavuba, le capitaine du LOSC. Quand il y a un temps mort ou une pause, je regarde direct le ralenti ! Mais ce n’est pas perturbant. Ça doit être plus embêtant pour un attaquant qui rate une grosse occasion. Nous, au milieu, ça va !»
«Tant que ce ne sont pas les actions litigieuses, ça va»
C’est bien le principal problème de ces ralentis : leur impact sur les joueurs, les arbitres mais surtout les supporters qui peuvent rapidement cibler les acteurs de la rencontre, et en premier lieu l’arbitre. «Tant que ce ne sont pas les actions litigieuses, ça va… Parce qu’après, ça peut vite retourner le public. Et nous aussi, on pourrait être amenés à aller voir l’arbitre et là, on est proche de l’arbitrage vidéo. C’est compliqué…»
Pourtant, la France n’est pas le premier pays à tenter l’expérience du ralenti diffusé en plein match. Le mois dernier, Jérémie Berthod, ex-joueur de Lyon aujourd’hui en Norvège, expliquait sur son compte Twitter que le procédé existait déjà dans son Championnat. La règle est d’ailleurs très simple là-bas puisque tout joueur montrant l’écran géant ou y faisant référence écope d’un carton jaune. Une procédure qu’il serait facile d’appliquer à la Ligue 1… Même s’il sera toujours plus délicat de calmer un public en ébullition après le visionnage de ce qu’il considérera comme une injustice.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=36]Formations, arbitrage et « Horizon bleu 2016 » au menu[/size]
Envie d'en savoir plus ?
La saison des footballeurs cantaliens bat son plein. Les championnats et les coupes se déroulent sur tous les terrains avant la trêve et les épreuves de futsal. Les détections, les formations, le perfectionnement des gardiens et l'arbitrage sont au menu des activités...
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Re: L'arbitrage !!!!!!
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[size=33]Foot. Trop de cartons : les joueurs font grève en 2e mi-temps[/size]
Charente-Maritime - 14 Octobre - 0
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- A la quarantième minute, l'arbitre avait déjà sorti deux cartons rouges, deux jaunes et envoyé le banc des locaux prendre l'air en tribune. | Fotolia
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Trop sévère l'arbitre ? C'est en tout cas ce qu'ont estimé les joueurs de deux équipes amateurs au 3e tour de la Coupe du Centre-Ouest. Ils ont boycotté la deuxième mi-temps !
Les clubs de Bussac-Forêt et de Lignères Grande Champagne au troisième tour de la coupe du Centre Ouest. Jusque-là, rien de spécial. C'est à la mi-temps que les choses ont commencé à se compliquer.Il faut dire qu'à la quarantième minute, l'arbitre avait déjà sorti deux cartons rouges, deux jaunes et envoyé le banc des locaux prendre l'air en tribune, relate Sud Ouest. Sévère mais juste ? Vraisemblablement pas de l'avis des joueurs et dirigeants des deux clubs, qui ont décidé, d'un commun accord, de ne pas retourner sur la pelouse.
« Protéger nos joueurs et nos clubs »
Une réaction que les dirigeants des deux clubs ont justifié auprès de Sud Ouest. « Les sanctions pleuvaient et on se demandait comment cela allait se terminer. Ne pas continuer un match est une décision très difficile à prendre, mais nous avons voulu protéger nos joueurs et nos clubs » y souligne le président du Bussac-Forêt, insistant sur« l'état d'esprit irréprochable sur le terrain »« Tellement énorme qu'il fallait faire quelque chose »
Et l'entraîneur adverse d'en rajouter : « C'était tellement énorme qu'il fallait faire quelque chose. Ce qui me rassure, c'est que depuis, les témoignages que nous avons reçus nous sont favorables », martèle l'entraîneur de Lignères.L'arbitre, lui non-plus n'avait jamais vu ça et s'estime dans son bon droit. « J'ai exclu un joueur pour avoir mis en danger l'intégrité physique d'un adversaire, puis ce dernier pour propos injurieux envers celui qui venait de le tacler »
« J'en ferai autant quand je verrai des joueurs pas très bons »
L'arbitre, qui affirme de son côté qu'on est venu le voir à la mi-temps pour lui proposer de reprendre le match s'il acceptait de ne plus sévir de la sorte, préfère en rire : « Si les joueurs arrêtent les matchs à chaque fois qu'ils pensent que l'arbitre n'est pas à la hauteur, j'en ferai autant quand je verrai des joueurs pas très bons. Et dans ce cas, peu de matches iront à leur terme... »Toujours est-il qu'il est convoqué par la commission de discipline le 31 octobre.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Football - Ligue 1 : le PSG bat Lens dans la confusion
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Publié le 18/10/2014 à 08h18 , modifié le 18/10/2014 à 08h32
AFP MARTIN BUREAU
M
algré de nombreux blessés, le Paris SG a nettement battu Lens 3-1 vendredi en ouverture de la 10e journée de L1, au bout d'un match délocalisé au Stade de France.
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Sur le chemin du rond central, "El Matador" héritait en effet d'un avertissement pour avoir mimé un tir de carabine en direction de la tribune lensoise. L'Uruguayen venait alors demander des explications à l'arbitre Nicolas Rainville, lui touchait le bras et était exclu directement (56e) !
Jusque-là, le match avait donc été agréable et plus lisible. Lens avait surpris tout le monde et surtout le PSG en ouvrant le score sur un contre, par Coulibaly (10e). Mais Paris était assez nettement au-dessus malgré les nombreux absents (Ibrahimovic, Thiago Silva, David Luiz, Lavezzi).
A peine cinq minutes plus tard, le gardien lensois était coupable d'une sortie épouvantable, dont Maxwell profitait pour le lober, de plus de 25 mètres et du droit (33e).
En attendant les matches du week-end, Paris remonte avec ce succès à la deuxième place, un point devant les Girondins, à quatre longueurs de l'OM, alors que Lens reste 18e.
Gervais Martel "triste pour le foot"
Nasser Al-Khelaïfi (président du PSG) : "Je suis déçu car quelqu'un (l'arbitre, NDLR) a cassé la victoire et ce n'est pas possible. Je suis très déçu pour tout le monde, pour tout le football français. Je ne comprends pas pourquoi il sort les cartons. Ce n'est pas bon pour le foot français si on veut le développer".
Gervais Martel (président du RC Lens) : "Il y a 25.000 Lensois qui sont venus pour voir 45 minutes de foot. Je suis triste pour le foot et le spectacle. Après la 60e minute, il n'y a plus de match. Heureusement, à 10 contre 9 il (l'arbitre, NDLR) se calme un peu. Pour l'expulsion de Cavani, je pense qu'il compense parce qu'il sait qu'il siffle un penalty où il y a péno comme moi je suis danseuse étoile au Bolchoï".
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Publié le 18/10/2014 à 08h18 , modifié le 18/10/2014 à 08h32
Le PSG s'impose (3-1) au stade de France. Mais le match a été marqué par les trois cartons rouge sortis par l'arbitre, qui a gâché la fête. Paris double provisoirement les Girondins
Les protestations des Parisiens après le carton rouge adressé à Cavani © PhotoAFP MARTIN BUREAU
M
algré de nombreux blessés, le Paris SG a nettement battu Lens 3-1 vendredi en ouverture de la 10e journée de L1, au bout d'un match délocalisé au Stade de France.
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Montée en pression
Toujours en manque manifeste de confiance, Cavani s'était d'abord offert un plaisir rare pour lui en ce moment, avec un but sur penalty (55e), obtenu par lui-même pour une petite faute de Gbamin. Paris venait alors de faire le break à 3-1 et l'affaire était entendue, d'autant que le défenseur lensois était expulsé sur le coup. Mais la grosse colère du jeune Nordiste n'était que le début de l'étonnante montée en pression d'un match qui semblait pourtant sans histoire.Sur le chemin du rond central, "El Matador" héritait en effet d'un avertissement pour avoir mimé un tir de carabine en direction de la tribune lensoise. L'Uruguayen venait alors demander des explications à l'arbitre Nicolas Rainville, lui touchait le bras et était exclu directement (56e) !
Entraîneurs bras ballants
La confusion grimpait encore à la 60e minute, quand le Lensois Le Moigne était expulsé pour un deuxième avertissement, mérité mais qui envoyait les deux entraîneurs bras ballants devant le 4e arbitre pour essayer de comprendre ce qui se passait.Jusque-là, le match avait donc été agréable et plus lisible. Lens avait surpris tout le monde et surtout le PSG en ouvrant le score sur un contre, par Coulibaly (10e). Mais Paris était assez nettement au-dessus malgré les nombreux absents (Ibrahimovic, Thiago Silva, David Luiz, Lavezzi).
Petit bijou de Maxwell
La réaction parisienne est venue de Pastore, en grande forme actuellement. Il a sauvé une touche et permis à une action de se poursuivre et de finir dans les pieds de Cabaye, auteur de son premier but sous le maillot parisien (28e).A peine cinq minutes plus tard, le gardien lensois était coupable d'une sortie épouvantable, dont Maxwell profitait pour le lober, de plus de 25 mètres et du droit (33e).
En attendant les matches du week-end, Paris remonte avec ce succès à la deuxième place, un point devant les Girondins, à quatre longueurs de l'OM, alors que Lens reste 18e.
Gervais Martel "triste pour le foot"
Nasser Al-Khelaïfi (président du PSG) : "Je suis déçu car quelqu'un (l'arbitre, NDLR) a cassé la victoire et ce n'est pas possible. Je suis très déçu pour tout le monde, pour tout le football français. Je ne comprends pas pourquoi il sort les cartons. Ce n'est pas bon pour le foot français si on veut le développer".
Gervais Martel (président du RC Lens) : "Il y a 25.000 Lensois qui sont venus pour voir 45 minutes de foot. Je suis triste pour le foot et le spectacle. Après la 60e minute, il n'y a plus de match. Heureusement, à 10 contre 9 il (l'arbitre, NDLR) se calme un peu. Pour l'expulsion de Cavani, je pense qu'il compense parce qu'il sait qu'il siffle un penalty où il y a péno comme moi je suis danseuse étoile au Bolchoï".
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Lens - PSG. L'arbitre dans le viseur des deux présidents
Paris - 00h46 - 0
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Pendant le match, gagné 1-3 par le PSG sur la pelouse du Stade de France, M. Rainville a en effet sorti du carton. Des deux couleurs. Six jaunes et trois rouges. Le match s'est terminé à 9 contre 10.
L'expulsion de Cavani. | AFP
Sur le chemin du rond central, « El Matador » héritait en effet d'un avertissement pour avoir mimé un tir de carabine en direction de la tribune lensoise. L'Uruguayen venait alors demander des explications à l'arbitre Nicolas Rainville, lui touchait le bras et était exclu directement (56) !
La confusion grimpait encore à la 60e minute, quand le Lensois Le Moigne était expulsé pour un deuxième avertissement, mérité mais qui envoyait les deux entraîneurs bras ballants devant le 4e arbitre pour essayer de comprendre ce qui se passait.
Laurent Blanc, lui, en arrivant à la conférence de presse d'après match, a prévenu d'emblée : « je ne répondrais à aucune question au sujet de l'arbitrage. » Nul doute qu'il n'en pensait pas moins...
Paris - 00h46 - 0
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- L'arbitre Nicolas Rainville a sorti six cartons jaunes, et trois rouges. | AFP.
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L'arbitre de Lens-PSG a-t-il eu la biscotte trop facile ? C'est en tout cas l'avis des deux présidents, Gervais Martel et Nasser Al Khelaïfi.
Pendant le match, gagné 1-3 par le PSG sur la pelouse du Stade de France, M. Rainville a en effet sorti du carton. Des deux couleurs. Six jaunes et trois rouges. Le match s'est terminé à 9 contre 10.
Le contexte
Jusque là décousu mais plutôt plaisant, le match a viré tout fou en cinq minutes, entre la 55e et la 60e. Cavani s'était d'abord offert un plaisir rare pour lui en ce moment, avec un but sur penalty (55), obtenu par lui-même pour une petite faute de Gbamin. Paris venait alors de faire le break à 3-1 et l'affaire était entendue, d'autant que le jeune défenseur lensois était expulsé sur le coup. Ce n'était que le début de l'étonnante montée en pression d'un match qui semblait pourtant sans histoire.L'expulsion de Cavani. | AFP
Sur le chemin du rond central, « El Matador » héritait en effet d'un avertissement pour avoir mimé un tir de carabine en direction de la tribune lensoise. L'Uruguayen venait alors demander des explications à l'arbitre Nicolas Rainville, lui touchait le bras et était exclu directement (56) !
La confusion grimpait encore à la 60e minute, quand le Lensois Le Moigne était expulsé pour un deuxième avertissement, mérité mais qui envoyait les deux entraîneurs bras ballants devant le 4e arbitre pour essayer de comprendre ce qui se passait.
Al Khelaïfi : « pas bon pour le foot français »
Un arbitrage loin d'être du goût du président parisien. « Je suis déçu car quelqu'un a cassé la victoire et ce n'est pas possible. Je suis très déçu pour tout le monde, pour tout le football français », a-t-il d'abord déclaré. « Je ne comprends pas pourquoi il sort les cartons. Ce n'est pas à moi de parler de l'arbitrage. C'est à vous (les médias) de le faire. Il le faut parce que ce n'est pas bon pour le foot français si on veut le développer. C'est une situation mauvaise pour tout le monde », a-t-il conclu.Martel : « il y a péno comme moi je suis danseuse étoile au Bolchoï »
« Il y a 25 000 Lensois qui sont venus pour voir 45 minutes de foot. Je suis triste pour le foot et le spectacle », a dit Martel en zone mixte au sujet des trois expulsions. « Après, il n'y a plus de match. Heureusement, à 10 contre 9 il se calme un peu ». « Pour l'expulsion de Cavani, je pense qu'il (l'arbitre) compense parce qu'il sait qu'il siffle un penalty où il y a péno comme moi je suis danseuse étoile au Bolchoï », a encore déclaré le président du Racing.Quiniou : le "rouge ne s’imposait pas"
Au sujet de l'expulsion de l'attaquant parisien, « l’arbitre a considéré qu’il chambrait mais ce n’est pas le cas, a commenté l’ancien arbitre Joël Quiniou. Après, c’est vrai qu’il a porté sa main sur l’avant-bras de l’arbitre mais ce n’était pas du tout pour contester sa décision mais plus pour lui dire : « Mais attendez, c’est ce que je fais habituellement. Ce carton rouge ne s’imposait pas. Il n’y a pas d’agressivité. Il ne chambre pas. »Laurent Blanc, lui, en arrivant à la conférence de presse d'après match, a prévenu d'emblée : « je ne répondrais à aucune question au sujet de l'arbitrage. » Nul doute qu'il n'en pensait pas moins...
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=36]PSG-Blanc: "Je ne vais pas parler de l'arbitrage"[/size]
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Si le PSG a battu Lens (3-1), vendredi au Stade de France, la rencontre a été marquée par les décisions controversées de M. Rainville, qui a notamment sorti trois cartons rouges dont un à l'encontre d'Edinson Cavani, suite à la célébration de son but. Une décision que n'a pas voulu commenter Laurent Blanc. "Je ne veux pas parler de l'arbitrage. Je retiens les trois points, a ainsi déclaré l'entraîneur parisien sur beIN Sports, avant de livrer une partie de sa pensée. Des faits de jeu ont fait que le match a perdu de son intérêt en seconde période, à dix contre neuf, avec un terrain en mauvais état." Le "Président" est également revenu sur la blessure de Blaise Matuidi et les pépins physiques qui touchent ses joueurs: "Matuidi est blessé sur le devant de la cuisse. A priori, ce n'est pas très grave, mais l'accumulation des matches sur des terrains difficiles rend les choses compliquées. On l'avait dit avant le début de saison, tout le monde avait ri, mais la Coupe du monde, les matches internationaux aux quatre coins du monde, avec des nombres d'heures d'avion incroyables... Les joueurs ne sont pas des robots, à un moment le corps dit stop. Ce début de saison est compliqué au niveau des blessures. On peut espérer le retour de Thiago Silva, on peut tout espérer. On a un staff médical qui travaille très, très bien. Ne vous inquiétez surtout pas, on aura une équipe très compétitive face à Bordeaux (le week-end prochain).
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Si le PSG a battu Lens (3-1), vendredi au Stade de France, la rencontre a été marquée par les décisions controversées de M. Rainville, qui a notamment sorti trois cartons rouges dont un à l'encontre d'Edinson Cavani, suite à la célébration de son but. Une décision que n'a pas voulu commenter Laurent Blanc. "Je ne veux pas parler de l'arbitrage. Je retiens les trois points, a ainsi déclaré l'entraîneur parisien sur beIN Sports, avant de livrer une partie de sa pensée. Des faits de jeu ont fait que le match a perdu de son intérêt en seconde période, à dix contre neuf, avec un terrain en mauvais état." Le "Président" est également revenu sur la blessure de Blaise Matuidi et les pépins physiques qui touchent ses joueurs: "Matuidi est blessé sur le devant de la cuisse. A priori, ce n'est pas très grave, mais l'accumulation des matches sur des terrains difficiles rend les choses compliquées. On l'avait dit avant le début de saison, tout le monde avait ri, mais la Coupe du monde, les matches internationaux aux quatre coins du monde, avec des nombres d'heures d'avion incroyables... Les joueurs ne sont pas des robots, à un moment le corps dit stop. Ce début de saison est compliqué au niveau des blessures. On peut espérer le retour de Thiago Silva, on peut tout espérer. On a un staff médical qui travaille très, très bien. Ne vous inquiétez surtout pas, on aura une équipe très compétitive face à Bordeaux (le week-end prochain).
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=36]Al-Khelaïfi: "Quelqu'un a cassé le plaisir"[/size]
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"Je ne parlerai pas de l'arbitre. Je vous laisse le faire, vous les médias." Interrogé à la sortie de la victoire en ouverture de la 10e journée de Ligue 1 du Paris Saint-Germain vendredi au Stade de France contre Lens (3-1), Nasser Al-Khelaïfi n'a pas voulu évoquer la prestation de M. Rainville, qui a expulsé trois joueurs en six minutes. Mais le président du club parisien n'en pensait pas moins... "Les trois points sont très importants mais il n'y a pas de plaisir car quelqu'un a cassé le plaisir", a-t-il confié, visant sans le nommer l'arbitre. On voulait les trois points, on les a pris mais les blessés, les cartons jaunes, le carton rouge, c'est beaucoup de choses, c'est difficile. On veut continuer, j'ai confiance en notre équipe." Le PSG se déplace mardi à Nicosie pour affronter l'Apoel dans le cadre de la troisième journée de la Ligue des champions.
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"Je ne parlerai pas de l'arbitre. Je vous laisse le faire, vous les médias." Interrogé à la sortie de la victoire en ouverture de la 10e journée de Ligue 1 du Paris Saint-Germain vendredi au Stade de France contre Lens (3-1), Nasser Al-Khelaïfi n'a pas voulu évoquer la prestation de M. Rainville, qui a expulsé trois joueurs en six minutes. Mais le président du club parisien n'en pensait pas moins... "Les trois points sont très importants mais il n'y a pas de plaisir car quelqu'un a cassé le plaisir", a-t-il confié, visant sans le nommer l'arbitre. On voulait les trois points, on les a pris mais les blessés, les cartons jaunes, le carton rouge, c'est beaucoup de choses, c'est difficile. On veut continuer, j'ai confiance en notre équipe." Le PSG se déplace mardi à Nicosie pour affronter l'Apoel dans le cadre de la troisième journée de la Ligue des champions.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=36]Lens-Kombouaré: "Je n'en veux pas à l'arbitre"[/size]
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Avec deux joueurs expulsés, Antoine Kombouaré aurait pu s'estimer lésé par l'arbitrage, vendredi soir au Stade de France, à l'occasion du match d'ouverture de la 10e journée de Ligue 1 entre Lens et le PSG (1-3). Mais l'entraîneur nordiste a préféré jouer profil bas. "Je retiens d'abord la défaite, a ainsi confié l'ex-coach parisien sur beIN Sports. On a eu le sentiment de poser des problèmes au PSG, il ne faut pas contester la victoire de Paris, qui était un ton au-dessus de nous. Ces cartons, ces décisions arbitrales nous pénalisent pour les matches suivants, c'est ce qui m'embête le plus. Aujourd'hui je tiens quand même à féliciter les joueurs, on a toujours offert de belles prestations, on est une équipe solidaire qui se crée des occasions, même ce soir il y avait la possibilité de marquer. On savait que Paris était défaillant sur coups de pied arrêtés. Je n'en veux pas à l'arbitre, j'ai beaucoup évolué, ça ne sert à rien, on ne peut pas lutter, l'arbitre a toujours raison, mais ça va me faire trois suspendus pour le prochain match, ce qui m'intéresse c'est de rester mobilisé." Relégables, les Sang et Or se déplaceront à Toulouse le week-end prochain.
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Avec deux joueurs expulsés, Antoine Kombouaré aurait pu s'estimer lésé par l'arbitrage, vendredi soir au Stade de France, à l'occasion du match d'ouverture de la 10e journée de Ligue 1 entre Lens et le PSG (1-3). Mais l'entraîneur nordiste a préféré jouer profil bas. "Je retiens d'abord la défaite, a ainsi confié l'ex-coach parisien sur beIN Sports. On a eu le sentiment de poser des problèmes au PSG, il ne faut pas contester la victoire de Paris, qui était un ton au-dessus de nous. Ces cartons, ces décisions arbitrales nous pénalisent pour les matches suivants, c'est ce qui m'embête le plus. Aujourd'hui je tiens quand même à féliciter les joueurs, on a toujours offert de belles prestations, on est une équipe solidaire qui se crée des occasions, même ce soir il y avait la possibilité de marquer. On savait que Paris était défaillant sur coups de pied arrêtés. Je n'en veux pas à l'arbitre, j'ai beaucoup évolué, ça ne sert à rien, on ne peut pas lutter, l'arbitre a toujours raison, mais ça va me faire trois suspendus pour le prochain match, ce qui m'intéresse c'est de rester mobilisé." Relégables, les Sang et Or se déplaceront à Toulouse le week-end prochain.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Foot: Braillard tacle "l'arbitrage français (qui) ne se porte pas bien"
18/10/2014 16:07
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L'arbitre Nicolas Rainville (d) après avoir expulsé le Parisien Edinson Cavani (c) lors du match Lens-PSG, le 17 ocotbre 2014 au Stade de France - AFP
"L'arbitrage français ne se porte pas bien", a affirmé le secrétaire d'Etat aux Sports Thierry Braillard samedi, interrogé sur l'arbitrage du match de Ligue 1 de football entre Lens et le Paris SG vendredi soir.
"Je crois que le statut de l'arbitre est une vraie question que les instances du football doivent se poser", a ajouté le secrétaire d'Etat, à l'antenne de itélé, dans le cadre de la polémique autour des trois cartons rouges distribués par Nicolas Rainville, l'arbitre de cette rencontre.
"C'est un statut un peu hybride, est-ce qu'il ne faut pas professionnaliser définitivement les arbitres de football ? Je crois que la question est posée", a estimé M. Braillard, rappelant au passage que "lors de la Coupe du monde de football au Brésil il n'y avait pas d'arbitre français sélectionné".
L'arbitre de la rencontre a exclu trois joueurs en l'espace de six minutes vendredi soir, sur la pelouse du stade de France, pour le compte de la 10e journée: le Lensois Gbamin d'abord, puis l'attaquant parisien Cavani ensuite, et enfin le Lensois Lemoigne, pour une second carton jaune à chaque fois.
Concernant Edinson Cavani, l'attaquant uruguayen du PSG, M. Rainville lui a d'abord reproché d'avoir célébré son but sur penalty en mimant un tir au fusil en direction des supporters lensois. Puis il l'a expulsé quand celui-ci lui a touché le bras en tentant d'obtenir des explications.
18/10/2014 16:07
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L'arbitre Nicolas Rainville (d) après avoir expulsé le Parisien Edinson Cavani (c) lors du match Lens-PSG, le 17 ocotbre 2014 au Stade de France - AFP
"L'arbitrage français ne se porte pas bien", a affirmé le secrétaire d'Etat aux Sports Thierry Braillard samedi, interrogé sur l'arbitrage du match de Ligue 1 de football entre Lens et le Paris SG vendredi soir.
"Je crois que le statut de l'arbitre est une vraie question que les instances du football doivent se poser", a ajouté le secrétaire d'Etat, à l'antenne de itélé, dans le cadre de la polémique autour des trois cartons rouges distribués par Nicolas Rainville, l'arbitre de cette rencontre.
"C'est un statut un peu hybride, est-ce qu'il ne faut pas professionnaliser définitivement les arbitres de football ? Je crois que la question est posée", a estimé M. Braillard, rappelant au passage que "lors de la Coupe du monde de football au Brésil il n'y avait pas d'arbitre français sélectionné".
L'arbitre de la rencontre a exclu trois joueurs en l'espace de six minutes vendredi soir, sur la pelouse du stade de France, pour le compte de la 10e journée: le Lensois Gbamin d'abord, puis l'attaquant parisien Cavani ensuite, et enfin le Lensois Lemoigne, pour une second carton jaune à chaque fois.
Concernant Edinson Cavani, l'attaquant uruguayen du PSG, M. Rainville lui a d'abord reproché d'avoir célébré son but sur penalty en mimant un tir au fusil en direction des supporters lensois. Puis il l'a expulsé quand celui-ci lui a touché le bras en tentant d'obtenir des explications.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Football. Le syndicat des arbitres d'accord avec le secrétaire d'Etat
France - 14h53 - 0
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« Le Syndicat des Arbitres de Football d'Elite rejoint M. Braillard dans son questionnement. Le SAFE mène depuis plusieurs années des actions pour que ce statut puisse en effet être remis à un niveau plus conforme aux exigences de haut niveau que demande l'arbitrage de football des compétitions professionnelles », indique le Syndicat des arbitres de football d'élite dans un communiqué.
Dans son communiqué, le SAFE apporte son « soutien à l'arbitre de la rencontre », rappelant que « cet emballement médiatique peut avoir un impact négatif envers les milliers d'arbitres qui officient chaque week-end en France au service du football et de ses valeurs ».
France - 14h53 - 0
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- M. Rainville adresse un carton rouge à Edinson Cavani lors de la rencontre face à Lens (3-1) : lé lancement d'une polémique sur l'arbitrage qui ouvre le débat de la professionnalisation des arbitres français. | Photo : Reuters
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Le Syndicat des arbitres de football d'élite a exprimé dimanche son accord avec le secrétaire d'Etat aux Sports Thierry Braillard concernant le statut amateur des arbitres.
« Le Syndicat des Arbitres de Football d'Elite rejoint M. Braillard dans son questionnement. Le SAFE mène depuis plusieurs années des actions pour que ce statut puisse en effet être remis à un niveau plus conforme aux exigences de haut niveau que demande l'arbitrage de football des compétitions professionnelles », indique le Syndicat des arbitres de football d'élite dans un communiqué.
« Une évolution législative du statut des sportifs de haut niveau »
« A cette occasion, le SAFE confirme donc sa totale ouverture pour faire avancer ce sujet, tant sur la professionnalisation, que sur la protection sociale ou encore la reconnaissance du statut de sportif de haut niveau. Fort de cette ouverture au dialogue, le SAFE considère que les réflexions menées par le secrétariat d'état au Sport sur une évolution législative du statut des sportifs de haut niveau sont une excellente base de travail », poursuit le syndicat, qui dit rester « à la disposition des instances du football et de son ministère de tutelle pour franchir rapidement cette étape importante. »« L'arbitrage français ne se porte pas bien »
Samedi, au lendemain du match Lens-Paris SG (3-1) où l'arbitre, Nicolas Rainville, avait exclu trois joueurs en six minutes, créant un tollé de toutes parts, M. Braillard avait estimé que « l'arbitrage français ne se porte pas bien ».« Je crois que le statut de l'arbitre est une vraie question que les instances du football doivent se poser, avait-il ajouté à l'antenne d'Itélé. C'est un statut un peu hybride, est-ce qu'il ne faut pas professionnaliser définitivement les arbitres de football? Je crois que la question est posée. »« Soutien à l'arbitre de la rencontre »
Vendredi, M. Rainville avait exclu en l'espace de six minutes le Lensois Gbamin, puis l'attaquant parisien Cavani et enfin le Lensois Lemoigne, pour un second carton jaune à chaque fois. Concernant Cavani, l'attaquant uruguayen du PSG, M. Rainville lui a d'abord reproché d'avoir célébré son but sur penalty en mimant un tir au fusil en direction des supporteurs lensois. Puis il l'a expulsé car il lui a touché le bras en tentant d'obtenir des explications.Dans son communiqué, le SAFE apporte son « soutien à l'arbitre de la rencontre », rappelant que « cet emballement médiatique peut avoir un impact négatif envers les milliers d'arbitres qui officient chaque week-end en France au service du football et de ses valeurs ».
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Thiriez, pas de pouvoir sur l’arbitrage22/10 09h06 - Foot, L1
Au cœur d’une polémique après s’être excusé, sous les caméras de Canal+, auprès de Nasser Al-Khelaïfi pour le mauvais arbitrage de Lens-PSG vendredi soir, Frédéric Thiriez avait expliqué qu’il avait également demandé des excuses au président lensois Gervais Martel. Interrogé par RMC, le président de la Ligue a précisé : «Je me garderai bien de faire des commentaires publics sur l’arbitrage. Ce sont des choses que l’on règle en interne. Ce que j’aimerais dire, parce que souvent les gens ne le savent pas, c’est que même si je me sens responsable de la qualité du spectacle, de l’éthique d’un match, la Ligue n’a aucun pouvoir sur l’arbitrage, qui relève de la Fédération. A la Ligue, nous nous bornons à rémunérer les arbitres mais nous n’avons pas notre mot à dire sur la gestion du corps arbitral, la désignation et la discipline des arbitres. J’avoue que ce qui s’est passé lors de ce match m’amène à me poser des questions et d’ailleurs je les ai posées au ministre (Thierry Braillard, le secrétaire d’Etat chargé des Sports, ndlr).»
Au cœur d’une polémique après s’être excusé, sous les caméras de Canal+, auprès de Nasser Al-Khelaïfi pour le mauvais arbitrage de Lens-PSG vendredi soir, Frédéric Thiriez avait expliqué qu’il avait également demandé des excuses au président lensois Gervais Martel. Interrogé par RMC, le président de la Ligue a précisé : «Je me garderai bien de faire des commentaires publics sur l’arbitrage. Ce sont des choses que l’on règle en interne. Ce que j’aimerais dire, parce que souvent les gens ne le savent pas, c’est que même si je me sens responsable de la qualité du spectacle, de l’éthique d’un match, la Ligue n’a aucun pouvoir sur l’arbitrage, qui relève de la Fédération. A la Ligue, nous nous bornons à rémunérer les arbitres mais nous n’avons pas notre mot à dire sur la gestion du corps arbitral, la désignation et la discipline des arbitres. J’avoue que ce qui s’est passé lors de ce match m’amène à me poser des questions et d’ailleurs je les ai posées au ministre (Thierry Braillard, le secrétaire d’Etat chargé des Sports, ndlr).»
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=36]Garibian: "Rainville est conscient qu'il n'a pas fait un bon match"[/size]
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Interrogé par RMC, Pascal Garibian, directeur technique de l'arbitrage français est revenu sur la performance de Nicolas Rainville lors du match Lens-PSG, vendredi dernier. "Il a conscience qu'il n'a pas fait un bon match. Nous-mêmes, nous n'étions pas contents de l'ensemble du management de ce match. Mais Nicolas est un de nos arbitres internationaux. Il a tout le mérite pour faire une excellente carrière. Un certain nombre de critiques ont été intolérables. On ne remet pas en cause les qualités techniques ou le bagage de joueurs qui commettent des erreurs techniques. Nicolas Rainville a sa place en Ligue 1 et au niveau international. Il y a des matches où on passe à travers, comme les joueurs", estime le patron des arbitres français.
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Interrogé par RMC, Pascal Garibian, directeur technique de l'arbitrage français est revenu sur la performance de Nicolas Rainville lors du match Lens-PSG, vendredi dernier. "Il a conscience qu'il n'a pas fait un bon match. Nous-mêmes, nous n'étions pas contents de l'ensemble du management de ce match. Mais Nicolas est un de nos arbitres internationaux. Il a tout le mérite pour faire une excellente carrière. Un certain nombre de critiques ont été intolérables. On ne remet pas en cause les qualités techniques ou le bagage de joueurs qui commettent des erreurs techniques. Nicolas Rainville a sa place en Ligue 1 et au niveau international. Il y a des matches où on passe à travers, comme les joueurs", estime le patron des arbitres français.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Le 25/10/2014 à 19:46:00 | Mis à jour le 25/10/2014 à 20:06:58
FOOT
[size=40]LIGUE 1BORDEAUXSagnol critique M. Chapron
Après la défaite de son équipe face au Paris-SG (0-3), l'entraîneur de Bordeaux Willy Sagnol n'a pas hésité à contester l'arbitrage de M. Chapron.
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L'arbitrage de M. Chapron a fait parler après le match. (Fel/L'Equipe)
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L'entraîneur de Bordeaux, Willy Sagnol, était remonté contre l'arbitre Tony Chapron, après la défaite de son équipe contre le PSG (3-0), samedi, au Parc des Princes, lors de la 11e journée de Ligue 1. «Sur l'expulsion de Poko (37e minute, Ndlr), on peut épiloguer mais quand le directeur de jeu estime qu'un tacle par derrière et un tacle par devant c'est la même chose, soit on change les lois du jeu, soit on accepte», a d'abord lancé le coach des Girondins.
Le score était de 0-0 entre Paris et Bordeaux quand Poko a été exclu pour un tacle très haut, à hauteur de genou, sur Verratti. Dix minutes plus tôt, le Parisien Van der Wiel avait lui aussi été renvoyé aux vestiaires, pour un tacle par derrière sur la cheville de Khazri (27e).
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FOOT
[size=40]LIGUE 1BORDEAUXSagnol critique M. Chapron
Après la défaite de son équipe face au Paris-SG (0-3), l'entraîneur de Bordeaux Willy Sagnol n'a pas hésité à contester l'arbitrage de M. Chapron.
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L'arbitrage de M. Chapron a fait parler après le match. (Fel/L'Equipe)
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L'entraîneur de Bordeaux, Willy Sagnol, était remonté contre l'arbitre Tony Chapron, après la défaite de son équipe contre le PSG (3-0), samedi, au Parc des Princes, lors de la 11e journée de Ligue 1. «Sur l'expulsion de Poko (37e minute, Ndlr), on peut épiloguer mais quand le directeur de jeu estime qu'un tacle par derrière et un tacle par devant c'est la même chose, soit on change les lois du jeu, soit on accepte», a d'abord lancé le coach des Girondins.
«Alors il faut faire de la danse ou du patinage artistique...»
[size]«C'est dommage, parce qu'avant le match, on a eu une bonne discussion avec (le directeur technique de l'arbitrage) Pascal Garibian sur la volonté de laisser plus jouer. C'est dommage que ça ne soit pas suivi d'effet», a ajouté Sagnol, avant d'ironiser : «Si ce rouge est mérité alors il faut faire de la danse ou du patinage artistique. On peut l'interpréter comme on veut. Le carton rouge était dans sa main avant même que Verratti soit tombé».Le score était de 0-0 entre Paris et Bordeaux quand Poko a été exclu pour un tacle très haut, à hauteur de genou, sur Verratti. Dix minutes plus tôt, le Parisien Van der Wiel avait lui aussi été renvoyé aux vestiaires, pour un tacle par derrière sur la cheville de Khazri (27e).
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Re: L'arbitrage !!!!!!
PSG-Blanc: "Je n'aimerai pas faire arbitre"
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S'il a encore perdu un nouveau joueur, Laurent Blanc, plutôt que de pointer l'arbitrage de M. Chapron, préférait après la victoire (3-0) du PSG sur Bordeaux ce samedi, au Parc, relevait la montée en puissance de son équipe. Pour l'entraîneur parisien, le champion de France est en train de surmonter ses difficultés du début de saison. "Il y a des gestes qui méritent sanction, mais avant de prendre des sanctions irrévocables, il y a des cartons jaunes, a toutefois estimé Blanc en conférence de presse. On s'aperçoit que ce soit du côté de Bordeaux ou de Paris, les joueurs qui ont été blessés sur l'action du carton rouge ont continué à jouer. C'est un sport de contacts. Je sais que ce n'est pas facile, mais c'est une décision lourde deconséquences..." Et de conclure : "Je n'aimerai pas faire arbitre."
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S'il a encore perdu un nouveau joueur, Laurent Blanc, plutôt que de pointer l'arbitrage de M. Chapron, préférait après la victoire (3-0) du PSG sur Bordeaux ce samedi, au Parc, relevait la montée en puissance de son équipe. Pour l'entraîneur parisien, le champion de France est en train de surmonter ses difficultés du début de saison. "Il y a des gestes qui méritent sanction, mais avant de prendre des sanctions irrévocables, il y a des cartons jaunes, a toutefois estimé Blanc en conférence de presse. On s'aperçoit que ce soit du côté de Bordeaux ou de Paris, les joueurs qui ont été blessés sur l'action du carton rouge ont continué à jouer. C'est un sport de contacts. Je sais que ce n'est pas facile, mais c'est une décision lourde deconséquences..." Et de conclure : "Je n'aimerai pas faire arbitre."
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=40]Chapron : «Pas de doute»
Tony Chapron est revenu sur le match animé qu'il a dû diriger entre le PSG et Bordeaux (3-0), ce samedi. Après coup, l'arbitre a estimé que ses décisions avaient été «favorables».
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[size=12]Monsieur Chapron a exclu André Poko pour un tacle dangereux sur Marco Verratti. (Reuters)
Comme la semaine dernière face à Lens (3-1),le match du PSG contre Bordeaux (3-0), ce samedi, a de nouveau été l'objet d'un débat très animé sur l'arbitrage. Mais à la différence de Nicolas Rainville au Stade de France vendredi dernier, Tony Chapron semble cette fois avoir pris les bonnes décisions, en excluant notamment Grégory van der Wiel (28e) et André Poko (37e), pour deux tacles dangrereux. Il s'en est d'ailleurs félicité après la rencontre. «Il y a des matches desquels on est ressorti avec beaucoup plus de trouble dans nos décisions, a-t-il reconnu sur Canal+. Ce soir, elles sont favorables.»
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Tony Chapron est revenu sur le match animé qu'il a dû diriger entre le PSG et Bordeaux (3-0), ce samedi. Après coup, l'arbitre a estimé que ses décisions avaient été «favorables».
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[size=12]Monsieur Chapron a exclu André Poko pour un tacle dangereux sur Marco Verratti. (Reuters)
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Foot - L1 - PSG «Satisfait de notre semaine»
Comme la semaine dernière face à Lens (3-1),le match du PSG contre Bordeaux (3-0), ce samedi, a de nouveau été l'objet d'un débat très animé sur l'arbitrage. Mais à la différence de Nicolas Rainville au Stade de France vendredi dernier, Tony Chapron semble cette fois avoir pris les bonnes décisions, en excluant notamment Grégory van der Wiel (28e) et André Poko (37e), pour deux tacles dangrereux. Il s'en est d'ailleurs félicité après la rencontre. «Il y a des matches desquels on est ressorti avec beaucoup plus de trouble dans nos décisions, a-t-il reconnu sur Canal+. Ce soir, elles sont favorables.»
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«Des décisions difficiles, mais on peut dire qu'on a bien fait de les prendre.»
[size]Bien que joueurs et entraîneurs des deux équipes ne soient pas vraiment du même avis, l'homme en noir a estimé qu'il avait bien fait son travail. «Je dis toujours que pour être arbitre, il faut être courageux. La difficulté, c'est de siffler deux penalties dans le même match pour la même équipe, et d'exclure deux joueurs,a expliqué Chapron. Ça fait beaucoup de décisions difficiles à prendre. On les a prises avec toute mon équipe et on peut dire qu'on a bien fait de les prendre. (...) Il n'y a pas eu de doute, puisque j'ai eu peur dans les deux cas que les joueurs soient gravement blessés. (..) Je suis près sur les deux actions, ça crédibilise mes décisions.»[/size]
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Re: L'arbitrage !!!!!!
SG - Bordeaux : les décisions contestées mais justifiées de l’arbitre Tony Chapron
7 COMMENTAIRES
Publié le 27/10/2014 à 06h00 , modifié le 27/10/2014 à 09h17 par
F.L.
PHOTO AFP
R
etour sur les décisions de l'arbitre Tony Chapron qui ont marqué la rencontre samedi au Parc des Princes et provoqué la colère de l'entraîneur des Girondins Willy Sagnol.
[size=13]Les deux penaltys pour Paris sont-ils justifiés ?
OUI. Sur le premier, sur un ballon que les Girondins ont eu plusieurs fois l'occasion de dégager, Marco Verratti est crocheté par Cédric Yambere. Sur le deuxième, décalé par Pastore, Lucas est retenu par le maillot par Pallois. Les deux Parisiens tombent facilement ? Peut-être mais les fautes existent.
Les deux expulsions sont-elles méritées ?
OUI. Il aurait pu ne sortir qu'un carton jaune comme le lui ont reproché les deux entraîneurs mais techniquement, Tony Chapron a sanctionné un "comportement dangereux" tel qu'il est défini dans la Loi 12 du jeu (fautes et incorrections). "Dans les deux cas, j'ai eu peur pour la santé des joueurs, mon rôle est de les protéger", a expliqué à nos confrères de Canal+. Contrairement à ce qu'a dit Sagnol après le match, il n'avait donc pas à distinguer la faute par derrière de Van der Wiel de celle de Poko de face.
L'expulsion de Poko compense- t-elle celle de Van der Wiel ?
OUI et NON. Non dans le sens où prises séparément, on vient de l'écrire, elles se justifient. Mais oui tant il est évident que si M. Chapron n'avait pas sorti le premier carton rouge, il aurait été plus clément avec Poko sept minutes après l'expulsion du Parisien.
« C'était à prévoir, je savais qu'il allait sortir le rouge », a reconnu Julien Faubert sans aller jusqu'à parler de compensation.
Même s'il assurait ne pas avoir touché Verratti, André Poko aurait donc dû faire preuve d'un peu de psychologie et retenir son geste. Facile à écrire hors du feu de l'action.
Les expulsions ont-elles influencé le cours du match ?
OUI. Elles auraient pu s'annuler avec si peu de temps d'écart (huit minutes) l'une de l'autre. Mais le premier carton rouge a semblé autant galvaniser Paris que couper l'effort de Bordeaux. Et sur un plan plus tactique, la sortie de Poko chargé de presser haut Verratti a laissé du champ au petit Italien à l'origine de la plupart des actions dangereuses du PSG
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Publié le 27/10/2014 à 06h00 , modifié le 27/10/2014 à 09h17 par
F.L.
Willy Sagnol s'est énervé, mais il n'y a pas grand-chose à reprocher à l'arbitre de la rencontre
Tony Chapron avait "peur pour la santé des joueurs"© PHOTOPHOTO AFP
R
etour sur les décisions de l'arbitre Tony Chapron qui ont marqué la rencontre samedi au Parc des Princes et provoqué la colère de l'entraîneur des Girondins Willy Sagnol.
[size=13]Les deux penaltys pour Paris sont-ils justifiés ?
OUI. Sur le premier, sur un ballon que les Girondins ont eu plusieurs fois l'occasion de dégager, Marco Verratti est crocheté par Cédric Yambere. Sur le deuxième, décalé par Pastore, Lucas est retenu par le maillot par Pallois. Les deux Parisiens tombent facilement ? Peut-être mais les fautes existent.
Les deux expulsions sont-elles méritées ?
OUI. Il aurait pu ne sortir qu'un carton jaune comme le lui ont reproché les deux entraîneurs mais techniquement, Tony Chapron a sanctionné un "comportement dangereux" tel qu'il est défini dans la Loi 12 du jeu (fautes et incorrections). "Dans les deux cas, j'ai eu peur pour la santé des joueurs, mon rôle est de les protéger", a expliqué à nos confrères de Canal+. Contrairement à ce qu'a dit Sagnol après le match, il n'avait donc pas à distinguer la faute par derrière de Van der Wiel de celle de Poko de face.
L'expulsion de Poko compense- t-elle celle de Van der Wiel ?
OUI et NON. Non dans le sens où prises séparément, on vient de l'écrire, elles se justifient. Mais oui tant il est évident que si M. Chapron n'avait pas sorti le premier carton rouge, il aurait été plus clément avec Poko sept minutes après l'expulsion du Parisien.
« C'était à prévoir, je savais qu'il allait sortir le rouge », a reconnu Julien Faubert sans aller jusqu'à parler de compensation.
Même s'il assurait ne pas avoir touché Verratti, André Poko aurait donc dû faire preuve d'un peu de psychologie et retenir son geste. Facile à écrire hors du feu de l'action.
Les expulsions ont-elles influencé le cours du match ?
OUI. Elles auraient pu s'annuler avec si peu de temps d'écart (huit minutes) l'une de l'autre. Mais le premier carton rouge a semblé autant galvaniser Paris que couper l'effort de Bordeaux. Et sur un plan plus tactique, la sortie de Poko chargé de presser haut Verratti a laissé du champ au petit Italien à l'origine de la plupart des actions dangereuses du PSG
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Les 13èmes Journées de l’arbitrage explorent le futur
Actualité
22/10/2014Augmenter la taille du texteRéduire la taille du texteImprimer l'articleEnvoyer l'article par emailL’arbitrage de demain sera au centre des débats des 13ème Journées nationales de l’arbitrage organisées par La Poste du 28 octobre au 6 novembre 2014.
Partenaire des arbitres, La Poste organise les 13èmes Journées nationales de l’arbitrage du 28 octobre au 6 novembre 2014. Dans le cadre de cette opération, un dispositif d’actions symboliques sera organisé avant les rencontres comptant pour la 12ème journée Ligue 1, la 13ème journée de Ligue 2 et les 1/16es de finale de la Coupe de la Ligue. Haies d’honneur d’avant match avec des enfants aux couleurs de l’opération « Tous arbitres », coups d’envoi donnés par des jeunes arbitres espoirs, échange de fanions et port de brassards « tous arbitres » par les capitaines, les messages seront nombreux pour la promotion de l’arbitrage.
A l’occasion de ces 13èmes Journées de l’Arbitrage, il sera aussi beaucoup question de l’arbitrage de demain. Technologies, féminisation, détection, formation, professionnalisation, reconversion tous les thèmes majeurs seront abordés lors d’une grande soirée organisée le 3 novembre prochain à Paris. Un moment qui sera l’occasion également de récompenser une dizaine de jeunes arbitres sélectionnés par la Direction Technique de l’Arbitrage de la FFF. Alors que la saison 2014-2015 a marqué l’introduction du spray temporaire sur les pelouses de Ligue 1, Ligue 2 et Coupe de la Ligue, et la promotion de la première femme (Stéphanie Frappart) au premier échelon professionnel (F2), de nombreuses autres questions devraient être abordées dont le recours à la vidéo ou encore la technologie sur la ligne de but.
Actualité
22/10/2014Augmenter la taille du texteRéduire la taille du texteImprimer l'articleEnvoyer l'article par emailL’arbitrage de demain sera au centre des débats des 13ème Journées nationales de l’arbitrage organisées par La Poste du 28 octobre au 6 novembre 2014.
Partenaire des arbitres, La Poste organise les 13èmes Journées nationales de l’arbitrage du 28 octobre au 6 novembre 2014. Dans le cadre de cette opération, un dispositif d’actions symboliques sera organisé avant les rencontres comptant pour la 12ème journée Ligue 1, la 13ème journée de Ligue 2 et les 1/16es de finale de la Coupe de la Ligue. Haies d’honneur d’avant match avec des enfants aux couleurs de l’opération « Tous arbitres », coups d’envoi donnés par des jeunes arbitres espoirs, échange de fanions et port de brassards « tous arbitres » par les capitaines, les messages seront nombreux pour la promotion de l’arbitrage.
A l’occasion de ces 13èmes Journées de l’Arbitrage, il sera aussi beaucoup question de l’arbitrage de demain. Technologies, féminisation, détection, formation, professionnalisation, reconversion tous les thèmes majeurs seront abordés lors d’une grande soirée organisée le 3 novembre prochain à Paris. Un moment qui sera l’occasion également de récompenser une dizaine de jeunes arbitres sélectionnés par la Direction Technique de l’Arbitrage de la FFF. Alors que la saison 2014-2015 a marqué l’introduction du spray temporaire sur les pelouses de Ligue 1, Ligue 2 et Coupe de la Ligue, et la promotion de la première femme (Stéphanie Frappart) au premier échelon professionnel (F2), de nombreuses autres questions devraient être abordées dont le recours à la vidéo ou encore la technologie sur la ligne de but.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=36]Joseph Jorge : «Nous manquons toujours d'arbitres!»[/size]
Article exclusif
réservé aux abonnésVOIR L’OFFRE DIGITAL
Votre crédit de bienvenue en cours : [size=28]02 articles[/size]
Publié le 06/11/2014 à 03:52, Mis à jour le 06/11/2014 à 08:49
Joseph Jorge : «Sans arbitre, pas de match!»/Photo DDM, A.C.
Après le tour d'horizon effectué en ce début de saison par Claude Lacour, président du district, et un point sur le football des très jeunes avec Cédric Roque, conseiller départemental du football d'animation (CDFA), nous nous intéressons aujourd'hui à Joseph Jorge, le président de la commission des arbitres (CDA), qui est l'une des plus importantes du district.
«La Dépêche du Midi» : Quel a été votre parcours?
Joseph Jorge :«Éducateur spécialisé à la retraite, j'ai pratiqué le football à Limoux, Belvèze et Fanjeaux avant de devenir arbitre durant une quinzaine d'années, et je me suis investi à la commission des arbitres du district dès le départ. J'ai été élu membre du comité directeur du district il y a dix ans, et depuis sept saisons je dirige la commission des arbitres qui compte une bonne quinzaine de membres, tous issus de l'arbitrage. Je suis aussi contrôleur».
Que pouvez-vous nous dire de cette commission ?
«Elle a pour vocation de diriger l'arbitrage au niveau départemental avec la mise en place de plusieurs sous commissions qui ont toute leur importance pour le bon fonctionnement de l'arbitrage audois».
Qu'en est-il de l'effectif arbitral ?
«Chaque début de saison, nous sommes confrontés à une baisse de l'effectif, et ce pour de multiples raisons (non-renouvellement, mutation professionnelle, etc.). Heureusement que la formation qui se poursuit de septembre à novembre vient combler à quelques unités près cette perte. Grâce à la modification du statut de l'arbitrage qui est intervenue en 2011 lors de l'assemblée générale d'Alzonne, les clubs ont pris conscience de ce problème, ce qui nous a permis depuis d'avoir trois arbitres en PH. En règle générale, notre effectif est stable et chaque saison nous comptons près de 130 officiels toutes catégories confondues (FFF, ligue et district). Certes, notre commission ne gère que les arbitres de district et là nous disposons d'environ 110 arbitres. Un effectif encore insuffisant pour couvrir l'ensemble des rencontres chaque week-end».
Votre travail depuis quelques années a-t-il donné des résultats ?
«Je peux dire que chaque commission œuvre dans l'intérêt de l'arbitrage et que nous mettons tout en œuvre pour fidéliser nos arbitres. Le travail de fond qui est fait chez les jeunes nous a permis de dégager de bons éléments qui aujourd'hui officient soit en Fédération comme Romain Zamo (F3), Benjamin Pages (AAF3), Julien Delaleux et Cassandra Querol (jeunes fédéraux), soit au niveau Ligue comme Boutaleb, Deville, Robert, Barreau, Garcia, Durante-Malvy, Hochard, Raynier, sans oublier les candidats Fabre, Lapalu, Querol, Vidal et Azarian».
Peut-on dire que l'arbitrage audois est en progression ?
«Effectivement, le travail des commissions porte ses fruits car chaque jeudi nous faisons un tour d'horizon sur le week-end précédent et rien n'est laissé au hasard. L'officiel qui n'a pas donné satisfaction est soit rappelé à l'ordre, soit sanctionné. Cette saison, afin de rappeler les arbitres à leur devoir, nous avons mis en place une licence à points qui aura une incidence en fin de saison sur leur classement, mais également sur le statut de l'arbitrage. Ainsi nous avons voulu une plus grande assiduité lors des rassemblements qui sont mis en place tout au long de la saison, et comme l'exige le statut de l'arbitrage. Il serait inconcevable de conserver des arbitres qui ne font aucun effort pour parfaire leurs connaissances».
Quels genres d'aménagements avez-vous mis en place ?
«Comme je vous le disais, toutes les commissions travaillent en étroite collaboration. Sur un plan général, les arbitres doivent satisfaire dans le courant de la saison à deux tests théoriques et deux tests pratiques. En début de saison, ils doivent également participer au test FIFA (épreuve d'endurance). Mais ce n'est pas tout. Chaque feuille de match est décortiquée afin de ne tolérer aucune irrégularité administrative. À défaut, des rappels à l'ordre sont effectués avant sanctions. Concernant le secteur seniors, des réunions par catégories, qui sont au nombre de trois, sont mises en place afin de faire un point sur différents critères. Pour le secteur jeunes, deux stages ont lieu sur une journée chaque saison».
Comment s'opère votre recrutement ?
«Avant la fin de la saison sportive, nous invitons les présidents de clubs par l'intermédiaire du site du district à nous faire parvenir un dossier pour chaque candidat qu'il désire inscrire à la formation. En règle générale, pour les seniors elle débute début septembre avec six réunions théoriques les vendredis soir, et deux séances pratiques le samedi matin, l'examen intervenant mi-novembre. Pour les jeunes, la FFF a conseillé de procéder à un stage bloqué sur cinq jours, qui est programmé durant les vacances de Toussaint. Nous avons également les journées de l'arbitrage mises en place par la FFF, qui ont lieu fin octobre-début novembre, qui se déroulent un samedi après-midi sur un site déterminé et où est accueillie toute personne qui désire s'initier à l'arbitrage. Cela nous permet de recruter une autre catégorie de candidats».
Vous nous avez parlé de fidélisation, pouvez-vous être plus précis ?
«Au travers de sa fonction, l'arbitre est exposé à diverses situations qui parfois entraînent un dégoût, au risque d'interrompre sa carrière. Ce ressenti est plus important chez les jeunes qui n'ont pas encore toute l'expérience requise, et qui chaque week-end sont lancés dans l'arène en confrontation directement non pas avec les joueurs, mais avec des dirigeants, parents et spectateurs. Aussi, nous mettons en place un dispositif de communication afin que chacun se sente soutenu. Nous avons également la promotion qui fait que chaque saison les meilleurs par catégories accèdent à la catégorie supérieure, voire à la ligue. Et puis nous récompensons lors de l'assemblée générale de fin de saison les majors de chaque catégorie en leur remettant un trophée. Une distinction a également été mise en place pour l'arbitre seniors et jeunes qui ,tout au long de la saison, a eu un comportement exemplaire. Enfin, nous avons une amicale qui de son côté joue un rôle sur la convivialité et la protection des arbitres».
Pour terminer, quelles ont été vos satisfactions depuis votre prise de fonctions ?
«Dans l'ensemble, mes satisfactions seraient, je pense, d'avoir mis en place une bonne formation pour les arbitres, cohérente dans l'association pratique et théorique, cela amenant un meilleur niveau de notre corps arbitral et surtout une bonne acceptation dans la majorité des clubs audois. L'accompagnement des arbitres stagiaires sur plusieurs rencontres est aussi un point fort. L'arbitrage à trois officiels en PH a été une grande avancée également, ainsi que la mise en place du carton blanc, ce qui a permis de mieux gérer les rencontres. Mais ce qui est pour moi la principale satisfaction, c'est d'avoir su fédérer autour de moi une équipe compétente et passionnée par l'arbitrage, et trouver ainsi une harmonie et une écoute liant le travail, la solidarité et la convivialité dans toutes les sous-commissions que gère la CDA. Satisfaction également d'avoir le soutien en toutes circonstances de notre président du district, dans les bons moments et surtout dans les périodes de doute. Je suis donc un président heureux et conscient que la tâche est rude, mais l'arbitrage reste une partie incontestable de notre football audois. J'adresse un grand merci à toute mon équipe, qui se dépense sans compter car sans arbitre… pas de match!».
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Publié le 06/11/2014 à 03:52, Mis à jour le 06/11/2014 à 08:49
Football - Amateurs - Aude
Joseph Jorge : «Sans arbitre, pas de match!»/Photo DDM, A.C.
Après le tour d'horizon effectué en ce début de saison par Claude Lacour, président du district, et un point sur le football des très jeunes avec Cédric Roque, conseiller départemental du football d'animation (CDFA), nous nous intéressons aujourd'hui à Joseph Jorge, le président de la commission des arbitres (CDA), qui est l'une des plus importantes du district.
«La Dépêche du Midi» : Quel a été votre parcours?
Joseph Jorge :«Éducateur spécialisé à la retraite, j'ai pratiqué le football à Limoux, Belvèze et Fanjeaux avant de devenir arbitre durant une quinzaine d'années, et je me suis investi à la commission des arbitres du district dès le départ. J'ai été élu membre du comité directeur du district il y a dix ans, et depuis sept saisons je dirige la commission des arbitres qui compte une bonne quinzaine de membres, tous issus de l'arbitrage. Je suis aussi contrôleur».
Que pouvez-vous nous dire de cette commission ?
«Elle a pour vocation de diriger l'arbitrage au niveau départemental avec la mise en place de plusieurs sous commissions qui ont toute leur importance pour le bon fonctionnement de l'arbitrage audois».
Qu'en est-il de l'effectif arbitral ?
«Chaque début de saison, nous sommes confrontés à une baisse de l'effectif, et ce pour de multiples raisons (non-renouvellement, mutation professionnelle, etc.). Heureusement que la formation qui se poursuit de septembre à novembre vient combler à quelques unités près cette perte. Grâce à la modification du statut de l'arbitrage qui est intervenue en 2011 lors de l'assemblée générale d'Alzonne, les clubs ont pris conscience de ce problème, ce qui nous a permis depuis d'avoir trois arbitres en PH. En règle générale, notre effectif est stable et chaque saison nous comptons près de 130 officiels toutes catégories confondues (FFF, ligue et district). Certes, notre commission ne gère que les arbitres de district et là nous disposons d'environ 110 arbitres. Un effectif encore insuffisant pour couvrir l'ensemble des rencontres chaque week-end».
Votre travail depuis quelques années a-t-il donné des résultats ?
«Je peux dire que chaque commission œuvre dans l'intérêt de l'arbitrage et que nous mettons tout en œuvre pour fidéliser nos arbitres. Le travail de fond qui est fait chez les jeunes nous a permis de dégager de bons éléments qui aujourd'hui officient soit en Fédération comme Romain Zamo (F3), Benjamin Pages (AAF3), Julien Delaleux et Cassandra Querol (jeunes fédéraux), soit au niveau Ligue comme Boutaleb, Deville, Robert, Barreau, Garcia, Durante-Malvy, Hochard, Raynier, sans oublier les candidats Fabre, Lapalu, Querol, Vidal et Azarian».
Peut-on dire que l'arbitrage audois est en progression ?
«Effectivement, le travail des commissions porte ses fruits car chaque jeudi nous faisons un tour d'horizon sur le week-end précédent et rien n'est laissé au hasard. L'officiel qui n'a pas donné satisfaction est soit rappelé à l'ordre, soit sanctionné. Cette saison, afin de rappeler les arbitres à leur devoir, nous avons mis en place une licence à points qui aura une incidence en fin de saison sur leur classement, mais également sur le statut de l'arbitrage. Ainsi nous avons voulu une plus grande assiduité lors des rassemblements qui sont mis en place tout au long de la saison, et comme l'exige le statut de l'arbitrage. Il serait inconcevable de conserver des arbitres qui ne font aucun effort pour parfaire leurs connaissances».
Quels genres d'aménagements avez-vous mis en place ?
«Comme je vous le disais, toutes les commissions travaillent en étroite collaboration. Sur un plan général, les arbitres doivent satisfaire dans le courant de la saison à deux tests théoriques et deux tests pratiques. En début de saison, ils doivent également participer au test FIFA (épreuve d'endurance). Mais ce n'est pas tout. Chaque feuille de match est décortiquée afin de ne tolérer aucune irrégularité administrative. À défaut, des rappels à l'ordre sont effectués avant sanctions. Concernant le secteur seniors, des réunions par catégories, qui sont au nombre de trois, sont mises en place afin de faire un point sur différents critères. Pour le secteur jeunes, deux stages ont lieu sur une journée chaque saison».
Comment s'opère votre recrutement ?
«Avant la fin de la saison sportive, nous invitons les présidents de clubs par l'intermédiaire du site du district à nous faire parvenir un dossier pour chaque candidat qu'il désire inscrire à la formation. En règle générale, pour les seniors elle débute début septembre avec six réunions théoriques les vendredis soir, et deux séances pratiques le samedi matin, l'examen intervenant mi-novembre. Pour les jeunes, la FFF a conseillé de procéder à un stage bloqué sur cinq jours, qui est programmé durant les vacances de Toussaint. Nous avons également les journées de l'arbitrage mises en place par la FFF, qui ont lieu fin octobre-début novembre, qui se déroulent un samedi après-midi sur un site déterminé et où est accueillie toute personne qui désire s'initier à l'arbitrage. Cela nous permet de recruter une autre catégorie de candidats».
Vous nous avez parlé de fidélisation, pouvez-vous être plus précis ?
«Au travers de sa fonction, l'arbitre est exposé à diverses situations qui parfois entraînent un dégoût, au risque d'interrompre sa carrière. Ce ressenti est plus important chez les jeunes qui n'ont pas encore toute l'expérience requise, et qui chaque week-end sont lancés dans l'arène en confrontation directement non pas avec les joueurs, mais avec des dirigeants, parents et spectateurs. Aussi, nous mettons en place un dispositif de communication afin que chacun se sente soutenu. Nous avons également la promotion qui fait que chaque saison les meilleurs par catégories accèdent à la catégorie supérieure, voire à la ligue. Et puis nous récompensons lors de l'assemblée générale de fin de saison les majors de chaque catégorie en leur remettant un trophée. Une distinction a également été mise en place pour l'arbitre seniors et jeunes qui ,tout au long de la saison, a eu un comportement exemplaire. Enfin, nous avons une amicale qui de son côté joue un rôle sur la convivialité et la protection des arbitres».
Pour terminer, quelles ont été vos satisfactions depuis votre prise de fonctions ?
«Dans l'ensemble, mes satisfactions seraient, je pense, d'avoir mis en place une bonne formation pour les arbitres, cohérente dans l'association pratique et théorique, cela amenant un meilleur niveau de notre corps arbitral et surtout une bonne acceptation dans la majorité des clubs audois. L'accompagnement des arbitres stagiaires sur plusieurs rencontres est aussi un point fort. L'arbitrage à trois officiels en PH a été une grande avancée également, ainsi que la mise en place du carton blanc, ce qui a permis de mieux gérer les rencontres. Mais ce qui est pour moi la principale satisfaction, c'est d'avoir su fédérer autour de moi une équipe compétente et passionnée par l'arbitrage, et trouver ainsi une harmonie et une écoute liant le travail, la solidarité et la convivialité dans toutes les sous-commissions que gère la CDA. Satisfaction également d'avoir le soutien en toutes circonstances de notre président du district, dans les bons moments et surtout dans les périodes de doute. Je suis donc un président heureux et conscient que la tâche est rude, mais l'arbitrage reste une partie incontestable de notre football audois. J'adresse un grand merci à toute mon équipe, qui se dépense sans compter car sans arbitre… pas de match!».
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Lisa Benoît (Cuxac-d'Aude)
Lisa a commencé à jouer au football à Saint-Nazaire, «parce que mes frères jouaient, et c'est devenu une passion !». Elle avait 12 ans. Sept ans plus tard, la voici à Cuxac-d'Aude en provenance de Coursan, avec de belles qualités athlétiques forgées par la pratique du sprint notamment. Elle joue milieu offensif comme son modèle, la Lyonnaise Louisa Nécib, ou attaquante avec une belle efficacité comme en témoignent les deux buts, entre autres, inscrits contre le FUN récemment. «Lisa est douée techniquement, elle est très tonique et elle va vite. De plus, elle possède un fort tempérament et une frappe de garçon. Et puis, c'est une grosse travailleuse qui cherche sans cesse à progresser», note son entraîneur, Philippe Tesseyre. Mais Lisa est aussi arbitre «pour avoir une autre vision du jeu et le diriger» : autre passion qu'elle aimerait assouvir après une carrière de joueuse qu'elle souhaite accomplir au plus haut niveau. En toute logique, cette jeune coiffeuse n'y coupera pas ![/size]
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=36]« Journée de l’arbitrage », coupe et Fest-foot au menu[/size]
Envie d'en savoir plus ?
Le District du Cantal de football organise de nombreuses animations ou stages de formation pour les joueurs, les éducateurs et les dirigeants. Le président Jean-Claude Milvaque, les dirigeants, les arbitres, les éducateurs et les salariés du District du Cantal...
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bienvenou- Admin
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=30]Une première encourageante[/size]
13/11/2014 05:35
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Alain Desrutin et Marc Poezevara.
Le Forum de l’arbitrage et de l’esprit sportif s’est tenu dans les locaux du CTRO à l’initiative de la commission de l’arbitrage du district d’Indre-et-Loire.
C'était une première pour les présidents Alain Desrutin (commission des arbitres) et Marc Poezevara (commission détection, recrutement et fidélisation des arbitres) :« Nous recherchons toujours à innover pour aider les clubs à promouvoir l'arbitrage au sein de leur association, précisent ces derniers. Si cela s'avère efficace nous espérons donner des idées aux districts voisins et pourquoi pas à la Ligue du Centre. »
Plus d'une trentaine de clubs (sur les 130 que compte le district 37) ont répondu à l'invitation : « Pour une première, cela reste correct. Nous avons programmé cette date en lever de rideau de la rencontre de Ligue 2, cela permet pour ceux qui viennent de loin de joindre l'utile à l'agréable. »
Deux axes de travail, deux paires d'intervenants : l'objectif de cette rencontre était tout d'abord de remettre le guide pratique du référent en arbitrage, un outil d'aide pour mieux détecter, recruter et fidéliser les arbitres au niveau local. Le référent en arbitrage concerne tous les clubs. Fonction officielle reconnue par les instances fédérales, elle s'articule autour de différentes missions : coordination interne et externe, animation, conseil, encadrement et suivi. Le référent devenant avant tout le défenseur de l'arbitrage et le garant de l'esprit sportif du club, sa fonction sera en priorité éducative, morale et sociale.
Un programme chargé donc pour ce dirigeant qui devient le relais inconditionnel auprès de la commission arbitrale.
Second volet de la soirée la présentation de deux ateliers de rencontre autour d'Adrien et de Rémi, deux jeunes arbitres en formation présentant vidéo, matériel sophistiqué pour l'arbitrage et autre documentation ayant trait à leur passion.
« J'ai débuté à l'âge de seize ans, confie Adrien qui officie sous les couleurs de son club formateur (Luynes). L'arbitrage est une fonction ingrate et quelques fois, nous nous retrouvons un peu seuls au milieu de situations délicates. C'est pourquoi il reste nécessaire d'encadrer au mieux les jeunes postulants. »
Adrien et son compère présent Rémi Mouron (Val de Vienne) font partie, avec leurs homologues Mathieu Mabileau et Maxime Messier, de la graine de l'arbitrage de haut niveau ensemencé par le district d'Indre-et-Loire.
Tous sont conscients du chemin parcouru depuis leurs premiers coups de sifflets et ce grâce à un entourage bienveillant et très professionnel. Juste retour sur investissement, les jeunes as du sifflet redonnent aujourd'hui une part de leur temps de loisir pour tenter d'éveiller d'autres vocations.
Fort de ses 210 arbitres en fonction, dont une trentaine arrête chaque année, le football du département doit se prendre en charge pour assurer son avenir ; il en va de sa survie.
13/11/2014 05:35
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Alain Desrutin et Marc Poezevara.
Le Forum de l’arbitrage et de l’esprit sportif s’est tenu dans les locaux du CTRO à l’initiative de la commission de l’arbitrage du district d’Indre-et-Loire.
C'était une première pour les présidents Alain Desrutin (commission des arbitres) et Marc Poezevara (commission détection, recrutement et fidélisation des arbitres) :« Nous recherchons toujours à innover pour aider les clubs à promouvoir l'arbitrage au sein de leur association, précisent ces derniers. Si cela s'avère efficace nous espérons donner des idées aux districts voisins et pourquoi pas à la Ligue du Centre. »
Plus d'une trentaine de clubs (sur les 130 que compte le district 37) ont répondu à l'invitation : « Pour une première, cela reste correct. Nous avons programmé cette date en lever de rideau de la rencontre de Ligue 2, cela permet pour ceux qui viennent de loin de joindre l'utile à l'agréable. »
Deux axes de travail, deux paires d'intervenants : l'objectif de cette rencontre était tout d'abord de remettre le guide pratique du référent en arbitrage, un outil d'aide pour mieux détecter, recruter et fidéliser les arbitres au niveau local. Le référent en arbitrage concerne tous les clubs. Fonction officielle reconnue par les instances fédérales, elle s'articule autour de différentes missions : coordination interne et externe, animation, conseil, encadrement et suivi. Le référent devenant avant tout le défenseur de l'arbitrage et le garant de l'esprit sportif du club, sa fonction sera en priorité éducative, morale et sociale.
Un programme chargé donc pour ce dirigeant qui devient le relais inconditionnel auprès de la commission arbitrale.
Second volet de la soirée la présentation de deux ateliers de rencontre autour d'Adrien et de Rémi, deux jeunes arbitres en formation présentant vidéo, matériel sophistiqué pour l'arbitrage et autre documentation ayant trait à leur passion.
« J'ai débuté à l'âge de seize ans, confie Adrien qui officie sous les couleurs de son club formateur (Luynes). L'arbitrage est une fonction ingrate et quelques fois, nous nous retrouvons un peu seuls au milieu de situations délicates. C'est pourquoi il reste nécessaire d'encadrer au mieux les jeunes postulants. »
Adrien et son compère présent Rémi Mouron (Val de Vienne) font partie, avec leurs homologues Mathieu Mabileau et Maxime Messier, de la graine de l'arbitrage de haut niveau ensemencé par le district d'Indre-et-Loire.
Tous sont conscients du chemin parcouru depuis leurs premiers coups de sifflets et ce grâce à un entourage bienveillant et très professionnel. Juste retour sur investissement, les jeunes as du sifflet redonnent aujourd'hui une part de leur temps de loisir pour tenter d'éveiller d'autres vocations.
Fort de ses 210 arbitres en fonction, dont une trentaine arrête chaque année, le football du département doit se prendre en charge pour assurer son avenir ; il en va de sa survie.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Vienne - Dans les coulisses
[size=30]Carton blanc en ligue[/size]
02/12/2014 05:27
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A partir de la saison 2015-2016, les arbitres pourront utiliser le carton blanc contre des joueurs de Ligue « qui manifestent leur désapprobation en paroles ou en actes ». Dans ce cas précis, le perturbateur sera renvoyé dix minutes sur le banc. L'assemblée financière de la Ligue a adopté le principe le 22 novembre dernier (à 60 %) sur une idée de la JA Isle évoquée lors de l'AG de Tulle de juin 2013. Au niveau départemental, la Vienne pourrait aborder le sujet lors de son assemblée du mois de juin prochain.
Lolo est arrivé
A 36 ans, Laurent Grondin a fait un retour remarqué samedi contre Aunis (3-1), avec le maillot de Chasseneuil. L'ancien joueur du CEP, de Châtellerault, de Brive et de Scorbé-Clairvaux a inscrit le premier but et provoqué le deuxième (sur penalty). « Je n'avais plus joué depuis un an et demi. J'ai fini avec des crampes, mais j'ai apprécié. J'ai repris l'entraînement sérieusement depuis un mois avec un groupe sympa. Le foot m'a permis de perdre du poids et d'évacuer la pression liée à un décès. »
Chevalier célèbre Roméo
Le Châtelleraudais Jérémy Chevalier (bientôt 30 ans) a célébré la naissance de son deuxième enfant par un but décisif contre Vertou, samedi (1-0). Le défenseur n'est pas prêt d'oublier cette dernière semaine de novembre 2014 ! Roméo, le petit frère d'Albane (3 ans), est né deux jours plus tôt. Selon la formule consacrée, il se porte comme un charme. Félicitations au papa et surtout à la charmante maman, Emilie.
Bègue en sélection
Le jeune châtelleraudais Stéphane Bègue n'a pas joué à Tulle avec la réserve du SOC. L'international mauricien U18 vient de participer à un tournoi en Afrique qui réunissait notamment l'Afrique du Sud, le Sri Lanka et Madagascar.
Pascal Picard au rapport
Le retour aux vestiaires a pour le moins été mouvementé, à l'issue du match nul entre Naintré et Aiffres samedi (1-1). La raison ? Le deuxième jaune - pour contestation - synonyme d'expulsion de Thomas Picard (87e). « L'arbitrage a été catastrophique. Pas loin du lamentable », pestait l'entraîneur Pascal Picard, qui raconte les échauffourées à l'issue du match : « J'ai retenu mes joueurs qui s'adressaient à l'arbitre. C'est alors que ce dernier m'a poussé, avant qu'il ne trébuche, prétextant que je lui avais fait un croche-patte. Il va sûrement me faire un rapport mais je prendrai ma plume pour en faire un également. » Affaire à suivre…
Précision
Le président de Chauvigny Jean-Paul Boutillet tenait à apporter une rectification concernant la recette du match de coupe de France Chauvigny-Niort au complexe Michel-Amand. Si les frais de déplacement des Chamois Niortais s'élevaient à deux mille euros, le bénéfice net de cette rencontre était de dix-huit mille euros pour l'USC. Pas un euro de plus.
[size=30]Carton blanc en ligue[/size]
02/12/2014 05:27
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A partir de la saison 2015-2016, les arbitres pourront utiliser le carton blanc contre des joueurs de Ligue « qui manifestent leur désapprobation en paroles ou en actes ». Dans ce cas précis, le perturbateur sera renvoyé dix minutes sur le banc. L'assemblée financière de la Ligue a adopté le principe le 22 novembre dernier (à 60 %) sur une idée de la JA Isle évoquée lors de l'AG de Tulle de juin 2013. Au niveau départemental, la Vienne pourrait aborder le sujet lors de son assemblée du mois de juin prochain.
Lolo est arrivé
A 36 ans, Laurent Grondin a fait un retour remarqué samedi contre Aunis (3-1), avec le maillot de Chasseneuil. L'ancien joueur du CEP, de Châtellerault, de Brive et de Scorbé-Clairvaux a inscrit le premier but et provoqué le deuxième (sur penalty). « Je n'avais plus joué depuis un an et demi. J'ai fini avec des crampes, mais j'ai apprécié. J'ai repris l'entraînement sérieusement depuis un mois avec un groupe sympa. Le foot m'a permis de perdre du poids et d'évacuer la pression liée à un décès. »
Chevalier célèbre Roméo
Le Châtelleraudais Jérémy Chevalier (bientôt 30 ans) a célébré la naissance de son deuxième enfant par un but décisif contre Vertou, samedi (1-0). Le défenseur n'est pas prêt d'oublier cette dernière semaine de novembre 2014 ! Roméo, le petit frère d'Albane (3 ans), est né deux jours plus tôt. Selon la formule consacrée, il se porte comme un charme. Félicitations au papa et surtout à la charmante maman, Emilie.
Bègue en sélection
Le jeune châtelleraudais Stéphane Bègue n'a pas joué à Tulle avec la réserve du SOC. L'international mauricien U18 vient de participer à un tournoi en Afrique qui réunissait notamment l'Afrique du Sud, le Sri Lanka et Madagascar.
Pascal Picard au rapport
Le retour aux vestiaires a pour le moins été mouvementé, à l'issue du match nul entre Naintré et Aiffres samedi (1-1). La raison ? Le deuxième jaune - pour contestation - synonyme d'expulsion de Thomas Picard (87e). « L'arbitrage a été catastrophique. Pas loin du lamentable », pestait l'entraîneur Pascal Picard, qui raconte les échauffourées à l'issue du match : « J'ai retenu mes joueurs qui s'adressaient à l'arbitre. C'est alors que ce dernier m'a poussé, avant qu'il ne trébuche, prétextant que je lui avais fait un croche-patte. Il va sûrement me faire un rapport mais je prendrai ma plume pour en faire un également. » Affaire à suivre…
Précision
Le président de Chauvigny Jean-Paul Boutillet tenait à apporter une rectification concernant la recette du match de coupe de France Chauvigny-Niort au complexe Michel-Amand. Si les frais de déplacement des Chamois Niortais s'élevaient à deux mille euros, le bénéfice net de cette rencontre était de dix-huit mille euros pour l'USC. Pas un euro de plus.
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Arbitre - Azzedine SOUIFI (Ligue/JAF) : "L'arbitrage est une passion familiale"
Mercredi 10 Décembre 2014
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Azzedine Souifi a un bel avenir qui s'ouvre devant lui
Mercredi 10 Décembre 2014
Azzedine Souifi, candidat jeune arbitre fédéral, nous détaille sa passion et ses souvenirs à travers les questions du webmaster de la LMPF.
[url=javascript:void(0)][/url]
Présentez-vous ?
Azzedine Souifi, 19 ans, je suis étudiant en 3ème année de Physiques à l'Université Paul Sabatier de Toulouse. J'ai débuté l'arbitrage à 15 ans en suivant les formations d'Olivier Ledoux au sein du District Haute Garonne Midi Toulousain. J'entame maintenant ma 3ème année en Ligue Midi-Pyrénées et je suis depuis cette saison Candidat Jeune Arbitre Fédéral.
Comment est venue votre passion pour l'arbitrage ?
Comme la plupart des arbitres, j'ai d'abord connu le football en tant que joueur. Après de nombreuses années de pratique, j'ai ressenti l'envie de découvrir un autre aspect de ce sport tout en continuant de m'épanouir dans celui-ci. De plus, l'arbitrage étant une passion familiale, je ne ressentais aucune appréhension face à cette nouvelle fonction.
Azzedine Souifi, 19 ans, je suis étudiant en 3ème année de Physiques à l'Université Paul Sabatier de Toulouse. J'ai débuté l'arbitrage à 15 ans en suivant les formations d'Olivier Ledoux au sein du District Haute Garonne Midi Toulousain. J'entame maintenant ma 3ème année en Ligue Midi-Pyrénées et je suis depuis cette saison Candidat Jeune Arbitre Fédéral.
Comment est venue votre passion pour l'arbitrage ?
Comme la plupart des arbitres, j'ai d'abord connu le football en tant que joueur. Après de nombreuses années de pratique, j'ai ressenti l'envie de découvrir un autre aspect de ce sport tout en continuant de m'épanouir dans celui-ci. De plus, l'arbitrage étant une passion familiale, je ne ressentais aucune appréhension face à cette nouvelle fonction.
"Pour le moment mon meilleur souvenir reste la finale de la coupe Nationale U13"
Quels sont vos objectifs ?
Je ne pense pas qu'il soit bon de se fixer des objectifs trop ambitieux. J'ai pris pour habitude de me donner un objectif par saison et de tout mettre en œuvre pour y parvenir. Étant Candidat JAF, mon souhait sera de valider le concours national afin d'être titularisé jeune arbitre fédéral à la fin de la saison. Cela dit, mon but premier restera toujours de prendre du plaisir à arbitrer chaque week-end.
Quel est votre meilleur souvenir ?
Beaucoup de bons souvenirs me viennent en tête notamment ma sélection pour représenter Midi-Pyrénées à l'examen JAF, ou ma participation à la finale de la Coupe du Midi U17 la saison dernière. Cependant, l'évènement le plus marquant dans ma "carrière" arbitrale reste mon séjour à Capbreton lors duquel j'ai eu la chance d'arbitrer la finale de la Coupe Nationale U13.
Une phrase pour tous les acteurs du football ?
Une dernière phrase pour vous souhaiter une bonne fin de saison à toutes et à tous, au plaisir de vous rencontrer autour de cette belle passion que nous partageons.
Par SA
Je ne pense pas qu'il soit bon de se fixer des objectifs trop ambitieux. J'ai pris pour habitude de me donner un objectif par saison et de tout mettre en œuvre pour y parvenir. Étant Candidat JAF, mon souhait sera de valider le concours national afin d'être titularisé jeune arbitre fédéral à la fin de la saison. Cela dit, mon but premier restera toujours de prendre du plaisir à arbitrer chaque week-end.
Quel est votre meilleur souvenir ?
Beaucoup de bons souvenirs me viennent en tête notamment ma sélection pour représenter Midi-Pyrénées à l'examen JAF, ou ma participation à la finale de la Coupe du Midi U17 la saison dernière. Cependant, l'évènement le plus marquant dans ma "carrière" arbitrale reste mon séjour à Capbreton lors duquel j'ai eu la chance d'arbitrer la finale de la Coupe Nationale U13.
Une phrase pour tous les acteurs du football ?
Une dernière phrase pour vous souhaiter une bonne fin de saison à toutes et à tous, au plaisir de vous rencontrer autour de cette belle passion que nous partageons.
Par SA
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Azzedine Souifi a un bel avenir qui s'ouvre devant lui
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Metz-Malouda: "L'arbitre a le droit de faire des erreurs"
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<img src="http://media1.sports.woopic.com/8/fd/1/p/newsweb-sports-scans|7aa|221|2e49e65b3c791becb70d9d0810/scan_808326.jpg" >
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Battu à la Beaujoire par Nantes en prolongation (4-2), mardi en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue, Metz peut regretter de ne pas avoir su préserver ses deux buts d'avance. "C'est beaucoup de frustration, on a eu des occasions franches, on mène 2-0 et on manque de maîtrise. On peut avoir beaucoup de regrets", a réagi à chaud sur France 4, l'expérimenté Florent Malouda. Le milieu de terrain de 34 ans regrette aussi quelques décisions arbitrales qui n'ont pas vraiment été en faveur des Grenats, même si l'ancien joueur de Chelsea n'en tient pas rigueur à M. Delerue: "Quand vous n'êtes pas en réussite, les faits d'arbitrage ne sont pas à votre faveur. On ne va pas s'arrêter là-dessus. L'arbitre a le droit de faire des erreurs, on ne peut s'en prendre qu'à nous mêmes."
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Battu à la Beaujoire par Nantes en prolongation (4-2), mardi en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue, Metz peut regretter de ne pas avoir su préserver ses deux buts d'avance. "C'est beaucoup de frustration, on a eu des occasions franches, on mène 2-0 et on manque de maîtrise. On peut avoir beaucoup de regrets", a réagi à chaud sur France 4, l'expérimenté Florent Malouda. Le milieu de terrain de 34 ans regrette aussi quelques décisions arbitrales qui n'ont pas vraiment été en faveur des Grenats, même si l'ancien joueur de Chelsea n'en tient pas rigueur à M. Delerue: "Quand vous n'êtes pas en réussite, les faits d'arbitrage ne sont pas à votre faveur. On ne va pas s'arrêter là-dessus. L'arbitre a le droit de faire des erreurs, on ne peut s'en prendre qu'à nous mêmes."
aladin- Messages : 115038
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Age : 38
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Re: L'arbitrage !!!!!!
[size=49]Wahbi Khazri s'emporte pendant Bordeaux-Lyon : "Il t'a payé Aulas ?"[/size]
39 COMMENTAIRES
Publié le 23/12/2014 à 10h58 , modifié le 23/12/2014 à 12h12 par
SudOuest.fr
COPIE D'ÉCRAN YOUTUBE
[size=73]D[/size]
ans le feu de l'action, il n'est pas rare que les mots dépassent la pensée. Surtout quand rien ne va, quand tout semble se liguer contre soi. C'est sans doute ce sentiment de frustration qui a envahi Wahbi Khazri lorsque M. Buquet, l'arbitre de Bordeaux-Lyon dimanche soir, a décidé d'expulser le défenseur des Girondins Nicolas Pallois.
[/size][/size]
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Les images de Canal + se partagent à foison sur les réseaux sociaux. Wahbi Khazri a bel et bien dérapé.
S'adressant à l'arbitre assistant, il a lancé : "Vous avez fait un record du monde ! Vous êtes zéro ! Vous allez nulle part ! Vous êtes nul ! Vous êtes très nul !" Quand l'homme au drapeau a évoqué une position de dernier défenseur, l'international tunisien s'est emporté : "Oh ! Tu es pour Lyon ! Ça se voit ! Y'a Sané là-bas ! Y'a Sané ! Il est où le dernier défenseur ?"
Passablement énervé, Wahbi Khazri s'est ensuite tourné vers M. Buquet en disant : "il t'a payé Aulas ! Il t'a payé Aulas !" (Ndlr : Jean-Michel Aulas est le président de l'Olympique Lyonnais). Soit l'arbitre ne l'a pas entendu, soit il a préféré faire la sourde oreille en s'évitant ainsi de sortir un deuxième carton rouge. Les Girondins ont, au final, été bien suffisamment punis.
Jean-Michel Aulas a réagi sur Twitter en parlant d'éthique :
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39 COMMENTAIRES
Publié le 23/12/2014 à 10h58 , modifié le 23/12/2014 à 12h12 par
SudOuest.fr
[size=23]Mécontent des décisions de M. Buquet, le milieu offensif bordelais a accusé l'arbitre et son assistant "d'être pour Lyon"
Wahbi Khazri était plutôt énervé par la décision de M. Buquet[size=16]© PHOTOCOPIE D'ÉCRAN YOUTUBE
[size=73]D[/size]
ans le feu de l'action, il n'est pas rare que les mots dépassent la pensée. Surtout quand rien ne va, quand tout semble se liguer contre soi. C'est sans doute ce sentiment de frustration qui a envahi Wahbi Khazri lorsque M. Buquet, l'arbitre de Bordeaux-Lyon dimanche soir, a décidé d'expulser le défenseur des Girondins Nicolas Pallois.
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Les images de Canal + se partagent à foison sur les réseaux sociaux. Wahbi Khazri a bel et bien dérapé.
S'adressant à l'arbitre assistant, il a lancé : "Vous avez fait un record du monde ! Vous êtes zéro ! Vous allez nulle part ! Vous êtes nul ! Vous êtes très nul !" Quand l'homme au drapeau a évoqué une position de dernier défenseur, l'international tunisien s'est emporté : "Oh ! Tu es pour Lyon ! Ça se voit ! Y'a Sané là-bas ! Y'a Sané ! Il est où le dernier défenseur ?"
Passablement énervé, Wahbi Khazri s'est ensuite tourné vers M. Buquet en disant : "il t'a payé Aulas ! Il t'a payé Aulas !" (Ndlr : Jean-Michel Aulas est le président de l'Olympique Lyonnais). Soit l'arbitre ne l'a pas entendu, soit il a préféré faire la sourde oreille en s'évitant ainsi de sortir un deuxième carton rouge. Les Girondins ont, au final, été bien suffisamment punis.
Jean-Michel Aulas a réagi sur Twitter en parlant d'éthique :
[/size][/size]
Suis étonné par les propos de certains joueurs bordelais à destination de l'arbitre du match sur le pénalty oublié sur Nje Clinton:Éthique?
— Jean-Michel AULAS (@JM_Aulas) 22 Décembre 2014
bienvenou- Admin
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Re: L'arbitrage !!!!!!
Arbitrage: la vie en trio, de la désignation à l'après-match
01/01/2015 14:32
suivanteprécédente
Depuis six saisons, Sébastien Desiage, 40 ans, arbitre en Ligue 1 ou en Ligue 2. Avec ses assistants Nicolas Henninot et Djemel Zitouni, il explique à l'AFP la préparation et la direction d'un match d'élite, la communication entre les acteurs et la gestion de la pression ou de l'erreur.
. L'avant-match
Les désignations, point de départ de la préparation, arrivent dix jours avant les matches. "On visualise quelques-unes des dernières rencontres. Chacun sa mission, les assistants vont notamment observer les hors-jeu et les stratégies dans ce domaine", raconte Desiage.
Pour le central, le travail porte "sur le contexte sportif, les enjeux géographiques, les antécédents entre les équipes".
"L'idée est aussi de connaître les joueurs clés, les créateurs, ceux qui influent sur le plan défensif. Et repérer ceux qui ont un impact lors des décisions arbitrales. Grâce à ça, on peut faire passer quelques messages dès l'avant-match", ajoute le Stéphanois, qui s'efforce d'arriver sur le lieu du match la veille du coup d'envoi.
. Jour de match
"Le matin, on revoit ce que chacun a préparé. On donne les consignes, les objectifs, les fils conducteurs. Il faut être performant sur les basiques de l'arbitrage", juge celui qui est "remonté" la saison dernière à l'échelon F1, qui permet de siffler en Ligue 1.
Avant la collation, l'équipe accueille le quatrième arbitre. "Il peut nous accompagner sur les décisions techniques et il est en charge d'une zone de 10-15 mètres devant lui et 10-15 mètres sur les ailes", explique Desiage.
"Mais il faut que son avis apporte quelque chose. S'il a une certitude sur un (carton) rouge, par exemple. Il travaille aussi en début de semaine sur les staffs."
. Le match
"Les 10 premières minutes sont cruciales", selon Desiage. "On impose le cadre, on montre jusqu'où on veut aller sur la fluidité du jeu. Il faut attaquer sur le bon tempo."
Dans quelle mesure le public et le bruit peuvent-ils alors peser sur la performance ? "Moi je n'entends rien", assure Nicolas Henninot, alors que son comparse Djemel Zitouni reconnaît que cela "demande des qualités psychologiques et de la confiance en soi".
Mais pour Desiage, "on l'occulte. Et ça n'arrive pas d'un coup. J'ai 120 matches comme 4e arbitre, on apprend avec ça."
. La communication
Comment les arbitres communiquent-ils avec les joueurs ? "Le vouvoiement est obligatoire dans mon mode de fonctionnement", prévient Desiage. "Mais à l'avant-match, il y a des vecteurs de communication, avec de la décontraction, de l'humour."
"Il y a des joueurs qu'on a arbitré 15 fois. Ca crée avec certains un peu de proximité", confirme Henninot. "Et en match, on parle constamment. Sur un beau tacle, on dit +bien joué, c'est propre+".
Se pose aussi la question des langues. "Anglais et espagnol ça va, un peu d'italien aussi. Après, sur le banc de Monaco, il n'y a qu'une ou deux personnes qui parlent français. C'est plus facile pour +Bart+", plaisante Desiage, en référence à son collègue lusophone Bartolomeu Varela.
Entre eux, les membres de l'équipe arbitrale utilisent l'oreillette, "un vrai plus sur les situations pas évidentes", estime Desiage.
"C'est un langage simple, rien de codé. On essaie de répéter les choses trois fois", précise Henninot.
Et surtout, jamais de négation. "Parce que si un assistant me dit +pas penalty+ et que je n'entends que la fin, c'est embêtant", sourit Desiage.
. Retour au vestiaire
"La pause est un moment de partage sur notre performance, sur des points de vigilance", explique Desiage.
Et en cas d'erreur en première période ? "En fait, on ne le sait jamais. Au mieux, on a un faisceau d'indices", raconte Henninot. Pour Zitouni, "il ne faut pas se laisser polluer. Sinon, on n'y est plus."
A la fin de la partie, "notre porte est ouverte, on peut échanger", assurent les arbitres. Les hommes en noir débriefent ensuite avec l'observateur de la direction technique, avant des échanges plus poussés en semaine avec la DTA.
Puis il faut basculer sur le match suivant, avec la même rigueur de préparation. "On se régale, on prend du plaisir. Ca ne se passe pas dans la douleur", résume Desiage.
01/01/2015 14:32
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Depuis six saisons, Sébastien Desiage, 40 ans, arbitre en Ligue 1 ou en Ligue 2. Avec ses assistants Nicolas Henninot et Djemel Zitouni, il explique à l'AFP la préparation et la direction d'un match d'élite, la communication entre les acteurs et la gestion de la pression ou de l'erreur.
. L'avant-match
Les désignations, point de départ de la préparation, arrivent dix jours avant les matches. "On visualise quelques-unes des dernières rencontres. Chacun sa mission, les assistants vont notamment observer les hors-jeu et les stratégies dans ce domaine", raconte Desiage.
Pour le central, le travail porte "sur le contexte sportif, les enjeux géographiques, les antécédents entre les équipes".
"L'idée est aussi de connaître les joueurs clés, les créateurs, ceux qui influent sur le plan défensif. Et repérer ceux qui ont un impact lors des décisions arbitrales. Grâce à ça, on peut faire passer quelques messages dès l'avant-match", ajoute le Stéphanois, qui s'efforce d'arriver sur le lieu du match la veille du coup d'envoi.
. Jour de match
"Le matin, on revoit ce que chacun a préparé. On donne les consignes, les objectifs, les fils conducteurs. Il faut être performant sur les basiques de l'arbitrage", juge celui qui est "remonté" la saison dernière à l'échelon F1, qui permet de siffler en Ligue 1.
Avant la collation, l'équipe accueille le quatrième arbitre. "Il peut nous accompagner sur les décisions techniques et il est en charge d'une zone de 10-15 mètres devant lui et 10-15 mètres sur les ailes", explique Desiage.
"Mais il faut que son avis apporte quelque chose. S'il a une certitude sur un (carton) rouge, par exemple. Il travaille aussi en début de semaine sur les staffs."
. Le match
"Les 10 premières minutes sont cruciales", selon Desiage. "On impose le cadre, on montre jusqu'où on veut aller sur la fluidité du jeu. Il faut attaquer sur le bon tempo."
Dans quelle mesure le public et le bruit peuvent-ils alors peser sur la performance ? "Moi je n'entends rien", assure Nicolas Henninot, alors que son comparse Djemel Zitouni reconnaît que cela "demande des qualités psychologiques et de la confiance en soi".
Mais pour Desiage, "on l'occulte. Et ça n'arrive pas d'un coup. J'ai 120 matches comme 4e arbitre, on apprend avec ça."
. La communication
Comment les arbitres communiquent-ils avec les joueurs ? "Le vouvoiement est obligatoire dans mon mode de fonctionnement", prévient Desiage. "Mais à l'avant-match, il y a des vecteurs de communication, avec de la décontraction, de l'humour."
"Il y a des joueurs qu'on a arbitré 15 fois. Ca crée avec certains un peu de proximité", confirme Henninot. "Et en match, on parle constamment. Sur un beau tacle, on dit +bien joué, c'est propre+".
Se pose aussi la question des langues. "Anglais et espagnol ça va, un peu d'italien aussi. Après, sur le banc de Monaco, il n'y a qu'une ou deux personnes qui parlent français. C'est plus facile pour +Bart+", plaisante Desiage, en référence à son collègue lusophone Bartolomeu Varela.
Entre eux, les membres de l'équipe arbitrale utilisent l'oreillette, "un vrai plus sur les situations pas évidentes", estime Desiage.
"C'est un langage simple, rien de codé. On essaie de répéter les choses trois fois", précise Henninot.
Et surtout, jamais de négation. "Parce que si un assistant me dit +pas penalty+ et que je n'entends que la fin, c'est embêtant", sourit Desiage.
. Retour au vestiaire
"La pause est un moment de partage sur notre performance, sur des points de vigilance", explique Desiage.
Et en cas d'erreur en première période ? "En fait, on ne le sait jamais. Au mieux, on a un faisceau d'indices", raconte Henninot. Pour Zitouni, "il ne faut pas se laisser polluer. Sinon, on n'y est plus."
A la fin de la partie, "notre porte est ouverte, on peut échanger", assurent les arbitres. Les hommes en noir débriefent ensuite avec l'observateur de la direction technique, avant des échanges plus poussés en semaine avec la DTA.
Puis il faut basculer sur le match suivant, avec la même rigueur de préparation. "On se régale, on prend du plaisir. Ca ne se passe pas dans la douleur", résume Desiage.
bienvenou- Admin
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