SAMIR NASRI

Après trois saisons à Arsenal, l'ancien Marseillais a rejoint Manchester City ce mercredi. A-t-il fait le bon choix ?
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Le feuilleton est terminé. Après plusieurs semaines de négociations, Samir Nasri s'est engagé, ce mercredi, pour quatre saisons avec Manchester City. «C'est l'endroit où il faut être parce que c'est le club du futur, qui veut tout gagner et qui a un très grand projet», a commenté le milieu offensif international français de 24 ans, qui était également sur les tablettes de la Juventus Turin, l'Inter Milan et surtout Manchester United. Partagez-vous cette opinion ?
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bienvenou a écrit:

Pas mal l'équipe de City après est-ce que ça va fonctionner...

c'est clair
devant aguero silva et en alternance dzeko outevez
c'est assez enorme
ca va ressemblé aux galactiques d'angleterre
avec des internationaux remplacants

pas comme certains clubs en france sans banc d'attaquants

olympien13 a écrit:

bienvenou a écrit:

Pas mal l'équipe de City après est-ce que ça va fonctionner...

OUI SAMIR MONTRE LUI A LOLO QUE TU VAUX MEIUX DEUX PASSES DEC ET UN BUT CONTRE LES ALBANAIS
NON ALLEZ 2 BUTS ET 2 PASSES POUR LE 4 A 0



Nasri peste, Blanc calme
«Notre rôle c'est de pousser» a répondu Laurent Blanc à Samir Nasri qui regrette dans France Foot certains propos du sélectionneur à son égard.


Samir Nasri lundi à Clairefontaine.«Notre rôle c'est de pousser», a répondu Laurent Blanc à Samir Nasri, qui regrette certains propos du sélectionneur à son égard.

Samir Nasri explique qu'il aimerait mieux que Laurent Blanc lui «dise certaines choses entre quat'zyeux» plutôt que devant la presse. Le sélectionneur avait dit de Nasri devant les journaliste le 10 août, après France-Chili (1-1) à Montpellier : «Il doit faire mieux parce qu'il a des capacités pour faire mieux. J'attends plus de lui. On lui fait confiance, il doit nous rendre cette confiance.»

«Ça veut peut-être dire qu'il m'estime beaucoup, commente Nasri dans FF. Mais, après ce n'est pas en le répétant publiquement que ça va s'améliorer. Ca arrive d'avoir des jours sans. J'ai une bonne relation avec lui et surtout Jean-Louis Gasset (adjoint de Blanc). Je sais qu'ils m'accordent leur confiance. Mais j'aimerais mieux que le sélectionneur me dise certaines choses entre quat'zyeux.» «Maintenant, si c'est vraiment ce qu'il pense en ce moment, à moi d'en faire plus et de lui montrer qu'il a tort», conclut le nouveau joueur de Manchester City, auteur de 3 passes décisives dimanche à Tottenham (5-1).

Interrogé lundi à Clairefontaine au sujet de ses déclarations concernant Nasri mais aussi Franck Ribéry, Laurent Blanc a nié «jouer un jeu». «Je ne joue avec personne mais je leur dis ça parce que je les aime et les apprécie beaucoup, a-t-il déclaré. Notre rôle, c'est de le leur dire parce qu'on les côtoie de près. Quand vous aimez ou appréciez quelqu'un, il faut lui dire la vérité et ce que vous pensez, il ne faut surtout pas jouer un jeu avec lui.» «On est toujours exigeants avec les joueurs, on n'est jamais satisfait, a-t-il ajouté. On leur dit toujours qu'ils peuvent faire mieux, il ne faut jamais se contenter de ce qu'on peut faire. Notre rôle, c'est de pousser tout le groupe à être au maximum de ses capacités.»

Invité à commenter la prestation de Samir Nasri contre l'Albanie, vendredi soir, Laurent Blanc s'y est refusé sans masquer un certain agacement. L'intéressé aussi.

Le sujet ne le fait plus sourire. Il a même désormais tendance à le crisper. Jeudi soir, Laurent Blanc avait accepté de s'attarder quelques minutes sur les propos tenus par Samir Nasri dans France Fooball. Le meneur de jeu y déclarait qu'il aurait préféré une discussion entre «quat'z'yeux» plutôt que d'entendre le sélectionneur rabâcher à chaque sortie médiatique qu'il attendait davantage de lui. Sur un ton badin, Blanc avait rétorqué qu'à sa place, il n'aurait pas choisi ce terrain pour lui répondre. Vendredi, dans la foulée de la victoire obtenue en Albanie, le sélectionneur a effectué un virage à 180° lorsqu'il fut question de la prestation du milieu de Manchester City. «Je ne vais pas parler des cas individuels parce que ça commence à m'agacer. En plus, c'est toujours sur les mêmes...»


Une nouvelle fois en-dessous de ce que l'on est en droit d'attendre de lui, Samir Nasri aurait pu terminer la partie sur une bonne note si sa frappe n'avait pas été repoussée par le montant du portier albanais en fin de rencontre. Il ne s'est pas montré davantage loquace que son entraîneur lorsqu'il fut question de son match. «Je n'ai rien à dire, je parle du collectif, vous me faites assez de problèmes comme ça», a-t-il affirmé devant les caméras de télévision avant de tourner les talons. Un peu plus loin, il a malgré tout accepté de développer (un peu) sa pensée. «Je ne parle pas de mes performances car après mes propos sont repris et on cherche à m'opposer au sélectionneur». Ce qui ne l'empêche pas s'être «senti mieux» que lors de ses trois derniers matches en Bleu. «Mais je n'ai rien à prouver, je n'avais pas de pression». Quant à la discussion qu'il a eue avec Laurent Blanc, «il n'y a pas eu de débat, on ne s'est pas dit grand chose. On a parlé ensemble et on a rigolé. Je lui ai donné des explications. C'est oublié.»

moi j'aime toujours pas
NASRI : Le néo-Citizen n'a pas eu autant de réussite, de rayonnement que ce week-end en club. En première, il n'a trouvé Benzema dans le sens du but qu'une fois (36). Trop peu. Même s'il s'est montré plus inspiré, plus vertical dans son jeu en deuxième période.

le milieu de terrain Diarra-Mvila-Nasri devrait, quant à lui, être reconduit, même si le nouveau joueur de Manchester City n'a pas été au niveau vendredi
Un nouvel échec pourrait bien le mettre sur la touche, d'autant que Marvin Martin ne cesse de progresser...

ANCIEN ARTICLE

ON VERRA J"espere me trompé mais je ne le trouve pas v bon moyen tout juste


mercredi 5 octobre 2011 18:39
Euro 2012: enterré un peu vite avec les Bleus, Nasri serre les dents
Critiqué en septembre après avoir agacé le sélectionneur, à moitié enterré par des performances insipides en équipe de France, Samir Nasri est venu faire mercredi son mea culpa et bonne figure avant le match des éliminatoires de l'Euro-2012 contre l'Albanie vendredi.
"J'ai beaucoup de choses à faire oublier sur mes dernières sorties. J'ai été un peu décrié mais j'avais des responsabilités et je n'ai pas été bon, s'est-il douloureusement souvenu. Quand l'ambiance est tellement pesante, tu veux faire la guerre à tout le monde et tu t'égares un peu".

Au point d'ailleurs d'être laissé sur le banc contre la Roumanie (0-0) par un sélectionneur qui lui avait conseillé quelques jours plus tôt de "répondre" sur le terrain plutôt que par médias interposés.

Cette mise au point faisait suite à des revendications du néo-Mancunien qui, dans France Football, avait regretté de ne pas avoir plus d'échanges "entre quat'z'yeux" avec Laurent Blanc.

Mercredi, Nasri a donc tenté de faire machine arrière et amende honorable. Sans sembler renoncer toutefois à une certaine amertume.

"Toute cette discussion au sujet du pseudo-conflit avec le coach ça m'a pesé. C'était un malentendu qui était déjà réglé le lendemain et on s'est éternisé là-dessus. Vous ne m'avez pas fait de cadeau. Tout ce que je faisais n'était pas bon. Franchement, vous m'avez tué", n'a-t-il pu réprimer à l'heure de s'expliquer.

Difficile pourtant de ne pas avoir noté qu'il peine depuis plus d'un an à s'exprimer en sélection aussi bien qu'en club. Avant d'émigrer à Manchester City cet été, sa saison avec les Gunners avait ainsi été pleine (30 matches de championnat, 10 buts).

Et après un gros mois chez les Citizens il est déjà bien acclimaté puisqu'il en est déjà à six passes décisives et un but, celui inscrit justement samedi contre Blackburn.

Bilan plus famélique

Avec les Bleus, le bilan en 25 sélections de celui qui se rêve en meneur de jeu est nettement plus famélique puisque, comme l'avait encore souligné Blanc en septembre, il n'est que de deux buts.

"A City, je joue à gauche ou dans l'axe, s'est encore défendu Nasri. Le seul qui dit que je suis meilleur à droite, c'est Arsène Wenger parce qu'il m'a utilisé là pendant trois ans. Je mets peut-être plus de buts que dans l'axe car je veux plus toucher la balle, organiser le jeu que sur un côté".

Mais pourquoi est-il alors si neutre en Equipe de France, où son apparente indolence dans l'axe décuple son incapacité à mener le jeu?

"Mon attitude sur le terrain n'a jamais été d'être nonchalant. Quand à mon positionnement, c'est n'importe quoi. Cela n'a jamais été un problème. Mes dernières sorties, c'était un accident, j'ai envie de le montrer", jure-t-il ses grands dieux avant de hausser le ton en se lançant dans une explication.

"A un moment donné, si je décroche on me dit: +tu viens trop bas+. Si je reste en haut on dit: +tu ne viens pas faire d'effort+. On critique tous mes faits et gestes. C'est pesant. Tu touches la balle pour temporiser, on dit: +tu ralentis le jeu+", rejette le nouveau mal-aimé du football français.

Est-ce alors le poids de ce poste si particulier qui est trop lourd pour lui?

"J'accueille cette responsabilité les bras ouverts mais on doit se la partager avec les autres joueurs offensifs. Il ne faut pas tout mettre non plus sur les épaules d'un joueur, cela n'a jamais été une solution", nuance-t-il encore avant de se projeter sur le match de vendredi.

"Si le coach veut renforcer son milieu, je peux être dans l'axe. S'il veut plus attaquer, je peux être sur un côté. Je veux juste lui montrer lors du prochain match qu'il a eu tort de me laisser sur le banc", conclut-il.

Nasri : «On n'est pas les Italiens»
Le 08/10/2011 à 00:14 | Mis à jour le 08/10/2011 à 00:15

Facile vainqueur de l'Albanie (3-0), les Bleus n'auront besoin que d'un nul contre la Bosnie, mardi soir, pour se qualifier à l'Euro. «Mais ce serait un piège de calculer», prévient Samir Nasri.


Samir Nasri, passeur sur le but de Rémy, a fait preuve d'une belle maîtrise tout au long de la rencontre face à l'Albanie (3-0).(«Samir Nasri, quelle est votre analyse de cette large victoire contre l'Albanie ? Elle va nous mettre en confiance. Après tous les blessés et tous les forfaits du début de semaine, on avait à coeur de faire un bon match. Chacun a pris ses responsabilités. C'est de bon augure pour mardi. On va pouvoir bien se concentrer sur ce match qui est la vraie finale du groupe. On a fait la moitié du travail. Il faudra faire une grosse performance mardi soir. Un point vous suffira pour vous qualifier... Oui, mais ce serait un piège d'essayer de jouer le nul. On n'a pas cette expérience-là, on n'est pas les Italiens pour pouvoir fermer le jeu et attendre l'adversaire. On va jouer notre football et essayer de les mettre en difficulté. Ce qui est bien, c'est que c'est une équipe qui joue, on aura plus d'espaces. On ne va pas calculer et tout faire pour gagner. A titre personnel, avez-vous l'impression d'avoir répondu aux critiques ? Je n'ai pas cherché à répondre à qui que ce soit. Le mois dernier, je me suis trompé en voulant faire la guerre n'importe comment. Ce n'était pas la solution. La solution, c'est de jouer au foot, c'est encore ce que je fais de mieux. J'ai essayé de montrer mon envie de bien faire et je pense que ça a été mieux que lors de mes deux dernières sorties. Le mois dernier, je n'ai pas agi comme le garçon éduqué que je suis.

«Le 4-4-2 est un système intéressant»
On vous a senti très à l'aise dans ce 4-4-2. J'ai mes repères, je joue comme ça tous les week-ends, ce n'était pas un problème. En deuxième période, on est repassé en 4-3-3 après la blessure de Yohan (Cabaye) parce qu'avec la rentrée de Marvin (Martin), on ne pouvait pas avoir la même assise défensive. Mais on a pu voir que le 4-4-2 était un système intéressant. Ça nous permet d'avoir plus de solutions offensives, plus de profondeur. Le fait que vous ayez beaucoup dézoné a également permis de libérer le couloir pour Debuchy et Rémy... C'était la volonté du coach. Il ne voulait pas que je mange la ligne parce que je ne suis pas un ailier de formation. Le fait de rentrer dans le coeur du jeu a permis à Mathieu et Loïc de prendre ces espaces. On savait que la défense albanaise était un peu lourde et que la vitesse de Loïc allait leur poser problème. Mardi soir, vous croiserez la route d'Edin Dzeko, votre équipier en club. Avez-vous déjà eu l'occasion de discuter de cette rencontre ? On l'avait fait à Manchester, mais depuis, on était chacun concentré sur nos matches respectifs. Maintenant, on va pouvoir en reparler. J'ai vraiment envie de gagner pour ne pas me faire chambrer à mon retour...»

INEXISTANT DANS LE JEU
PENALTY ASSEZ IMAGINAIRE
UN BUT DONC CHANCEUX
... POUR MOI S I LUI CROIT REVENIR DE LOIN
JE NE LE VOIS ALLER NULLE PART



Nasri : «Je reviens de loin»
Le 12/10/2011 à 00:39 | Mis à jour le 12/10/2011 à 01:21

En égalisant sur penalty contre la Bosnie, mardi soir, Samir Nasri a qualifié les Bleus pour l'Euro. Et inscrit le but «le plus important» de sa carrière.


Tour d'honneur pour Lloris, Diarra, Nasri, malouda, Rémy et Evra(AFP)
Samir Nasri, sauveur de la patrie. Qui aurait pu l'imaginer le mois dernier, lorsque le milieu de Manchester City était au centre de toutes les polémiques ? Sûrement pas lui. « Oui, je reviens de loin », a-t-il concédé dans les couloirs du Stade de France dans la foulée du nul contre la Bosnie (1-1) qui qualifie directement les Bleus à l'Euro. Plutôt que de continuer à en vouloir à la terre entière, l'ancien Marseillais a « pris du recul » et su faire preuve « d'intelligence » pour rectifier le tir. Résultat ? Il n'y a pas eu photo entre le Nasri transparent de Tirana et celui déterminant des deux derniers matches de qualification. « Je suis revenu avec un autre état d'esprit , souligne-t-il. Je suis en osmose avec le coach et cela se ressent sur le terrain ».

«Il fallait que je prenne mes responsabilités», nous a expliqué Nasri.
Avant de transformer le penalty salvateur qu'il avait lui-même provoqué, le milieu de terrain s'était déjà montré le plus dangereux sur un coup franc renvoyé par la barre transversale de Begovic. Que s'est-il dit à ce moment-là ? Que ce n'était pas la soirée des Bleus ? « Un peu, mais dans ces cas-là, il faut persévérer, essayer de provoquer la chance en faisant des courses, en se battant et en ne lâchant rien. C'est ce que j'ai fait pour obtenir le penalty ». Sur le moment, Nasri ne cache pas qu'« il y avait grosse pression ». « Mais j'ai pris le ballon et je ne me suis pas posé de questions , raconte-t-il. Il fallait que je prenne mes responsabilités ». Avant le match, l'ancien Gunner les avait déjà prises en s'autoproclamant candidat pour les tirer.

Ce but, Nasri ne cache pas qu'il s'agit « du plus important de (sa) carrière ». Ce n'est que son troisième en équipe de France, lui fait-on aussi remarquer. « Mais je préfère marquer moins souvent et marquer dans des matches comme ce soir (Rires)». « Heureux, soulagé », l'international français se projette désormais sur les prochaines échéances des Bleus et cette série de matches amicaux qui doit les conduire jusqu'à l'Euro. « Ça va nous permettre de travailler sans pression, de nous faire progresser en équipe parce qu'il nous manque encore de l'expérience sur ces matches-là ». Avant de se faire bouger par Jean-Louis Gasset à la mi-temps et de ressentir « un bon feeling » en début de deuxième période, Nasri n'oublie pas que lui et ses équipiers « n'avaient pas attaqué le match comme il fallait ». Son but leur offre du temps pour y remédier.

France-Bosnie-Herzégovine
Les réactions des Bleus
A l'issue de la rencontre face à la Bosnie-Herzégovine mardi soir au Stade de France (1-1, photo Samir Nasri et Emir Spahic), les joueurs de l'Equipe de France sont revenus sur cette rencontre très disputée qui leur a ouvert les portes du Championnat d'Europe 2012 en Ukraine et en Pologne en juin prochain.
Samir Nasri
"On est qualifié. Malgré notre jeune âge, on a montré qu'on était capable de réagir. Sur l'action du but, Marvin a la balle, je la demande en profondeur et il me la met. Je suis à la lutte avec Spahic, il a un peu l'avantage mais je la récupère et il y a faute à 200%. Avant le match je m'étais désigné pour tirer les penalties. Quand je prends la balle j'essaie de respirer car j'ai une trachéite depuis quatre jours. J'ai pensé à Wenger qui m'avait dit qu'on peut tirer les penalties quand on a subi la faute et ça a marché. A un moment donné, il faut prendre ses responsabilités, je n'ai pas eu peur. J'ai déjà joué des matches à enjeux, je ne me suis pas posé de questions. En première période, la qualité de jeu des Bosniens nous a empêché de faire tourner. On a aussi une équipe jeune. A la mi-temps, Gasset nous a bousculés. On avait besoin de se remettre en confiance en essayant de garder la balle. Malheureusement on a fait preuve de trop d'approximations techniques et on a été mis en difficulté. On a joué avec un groupe amoindri et on s'est qualifié sans des joueurs cadres, c'est bien pour la suite. Maintenant on a six mois pour se préparer avec des matches sans pression et jouer libérés. Il nous manque un peu d'expérience, de vécu ensemble mais il n'y a pas de quoi baisser les yeux devant les autres équipes."

Nasri va repartir
08/11/2011 à 22:51

La FFF a officialisé mardi soir le forfait de Samir Nasri pour les matches amicaux des Bleus contre les Etats-Unis puis la Belgique.


Samir Nasri n'a fait qu'un aller-retour en région parisienne, mardi. Blessé, il a été remis à la disposition de son club.(

Blessé au tendon rotulien et ménagé par le staff de Manchester City samedi en Premier League, le milieu de terrain a subi à son arrivée à Clairefontaine des « examens complémentaires » qui ont « confirmé l'inflammation (du genou) et, en conséquence, l'inaptitude du joueur à être pleinement opérationnel », explique un communiqué publié mardi soir par la Fédération française. « Il a été remis à disposition de son club », précise la 3F.

Nasri fait le dos rond
Le 18/12/2011 à 07:30 | Mis à jour le 18/12/2011 à 08:10

Depuis deux mois, Samir Nasri peine à confirmer son très bon début de saison avec Manchester City. Le meneur de jeu français fait le dos rond en attendant des jours meilleurs. Dès dimanche (17h10) contre Arsenal ?


Depuis plusieurs semaines, Nasri joue moins. Mancini attend plus du Français.(AFP)
Les débuts fracassants de Samir Nasri avec Manchester City lui ont-ils joué un mauvais tour ? Auteur de quatre passes décisives lors de ses trois premiers matches de Premier League, le meneur de jeu français semblait parti pour tout casser cette saison. Son éclatante performance du 1er octobre contre Blackburn (4-0, un but et deux passes) reste pourtant comme sa dernière très bonne sortie car depuis deux mois et demi, l'ancien Marseillais pioche. « Il peut vraiment mieux jouer que cela car son talent est immense , a lâché Roberto Mancini après le quart de Coupe de la Ligue gagné à Arsenal (1-0) durant lequel Nasri avait été très moyen. Mais je pense qu'il était nerveux de revenir sur cette pelouse qu'il connaît tant. »

MU, Naples, Chelsea: Nasri n'a pas débuté contre les grands
Toujours est-il que le coach italien de City se passe régulièrement de l'international français depuis deux mois. Nasri a été titulaire seulement quatre fois lors des huit derniers matches de Premier League. Sorti dès la 64e lors du nul à Liverpool (1-1) après une rencontre où il avait été fantomatique, il n'a eu qu'un quart d'heure de jeu lors du derby de Manchester (6-1) et n'a pas foulé la pelouse de Stamford Bridge lundi dernier à Chelsea (1-2). Lors du match décisif de C1 à Naples, il n'était pas dans le onze de départ. Nasri, pas un homme de grands matches ? « Je n'ai que 24 ans, ma marge de progression est grande », a-t-il tenté d'expliquer récemment. Le problème serait-il tactique ? « J'ai eu besoin de m'adapter à mon arrivée d'Arsenal car l'équipe n'a pas la même mentalité, la même façon de jouer. Désormais, je me sens mieux. »

Mancini, qui s'est expliqué avec Nasri la semaine passée, loue la combativité du milieu français.
L'ancien joueur d'Arsenal, équipe qu'il retrouvera dimanche, n'a d'ailleurs pas été tendre avec Arsène Wenger qu'il a "trahi" en quittant les Gunners lors des derniers jours du mercato alors que le coach français allait lui donner les clés du jeu suite au départ de Fabregas : « J'ai beaucoup appris tactiquement depuis que je suis là. Mancini est vraiment un fan de tactique, comme tous les Italiens. Il m'a dit que je savais bien attaquer, mais c'est défensivement que j'ai progressé grâce à lui. » Malgré son faible temps de jeu dernièrement, Nasri continue donc de beaucoup travailler. « Je lui ai parlé la semaine passée à l'entraînement, j'ai expliqué mes choix , a révélé Mancini. Il comprend, même s'il est déçu. Mais je préfère voir un joueur énervé parce qu'il est remplaçant, cela veut dire qu'il se bat pour avoir sa place. » La venue d'Arsenal semble idéale pour relancer sa saison.

Nasri encore titulaire à City
Le 26/12/2011 à 15:05

Après avoir passé quelques matches sur le banc, Samir Nasri semble retrouver les faveurs de Roberto Mancini. Le meneur de jeu français est titulaire avec City ce lundi contre WBA.

Le onze de City contre WBA
Hart - Zabaleta, Kolo Touré, Kompany, Clichy - Yaya Touré, Milner, Silva, Nasri - Balotelli, Agüero

ANGLETERRE● Nasri se paye
Gallas et Domenech. L’ancien
Olympien a une nouvelle fois réglé
ses comptes avec son ancien
coéquipier à Arsenal, William
Gallas, dans une interviewpubliée
hier dans le Times. "Je ne
(lui) serrerai plus jamais la main
parce que je ne suis pas un hypocrite."
Par la suite, Nasri a dirigé
ses critiques vers Raymond Domenech,
l’ancien sélectionneur
des Bleus. "J'ai été heureux
quand il a perdu son travail (de
sélectionneur). Si j'avais été président
de la Fédération, je
l'aurais viré dès 2008. Il a dit des
choses fausses sur moi parce qu'il
croyait Gallas et quelques autres
anciens de l'équipe. En 2008 (à
l'Euro), il y a eu des gens pour dire
que j'étais le fauteur de troubles.
Mais à laCoupe dumonde
2010, où je n'étais pas, ona bien
vu que ce n'était pas moi le problème."

Nasri : «On est outsiders»
Le 18/05/2012 | Mis à jour le 18/05/2012 23:28:46

Champion d'Angleterre avec Manchester City, Samir Nasri a rejoint Clairefontaine vendredi matin comme sept autre joueurs évoluant à l'étranger.

Nasri, citizen ten
Le 24/05/2012 | Mis à jour le 24/05/2012 17:47:47

Champion d'Angleterre avec Manchester City, Samir Nasri n'a pas vraiment trouvé sa place en équipe de France. Sur le côté ou dans l'axe, la question de son meilleur poste se pose encore.

DUGARRY....... FERME TA GUEULE
CES CONSULTANTS QUI SONT SOI DISANT DES EXPERTS SONT PLUTOT DES MAUVAISES LANGUES


Nasri règle ses comptes
Le 11/06/2012 | Mis à jour le 12/06/2012 01:07:56


Après avoir été félicité par ses partenaires, Samir Nasri a lâché un "fermer sa g...", avant de placer son doigt devant sa bouche. Il a reconnu après la partie que cela était destiné aux journalistes
Décisif contre l'Angleterre, Samir Nasri n'a pas apprécié certains commentaires de L'Equipe durant la phase de préparation. Il l'a fait savoir, à sa manière.

Samir Nasri avait des comptes à régler. Il a jugé opportun de le faire à l'issue du match contre l'Angleterre (1-1), dont il a été élu meilleur joueur et lors duquel il a marqué. Dans son viseur ? L'Equipe, coupable à ses yeux «d'être trop méchant» à son égard pendant les matches de préparation. Juste après avoir permis aux Bleus d'égaliser, le milieu de terrain avait déjà manifesté son courroux en posant son doigt devant la bouche. Parce qu'il venait de faire taire ses détracteurs, évidemment. Il s'était ensuite distingué par un «ferme ta g...» en direction du banc de touche, pensait-on alors. Des tribunes réservées au médias, en réalité.

Jusqu'à ce qu'il se présente dans la salle de presse de la Donbass Arena pour recevoir son trophée de meilleur joueur, la cible de sa colère pouvait encore prêter à débat. Les médias en général ? Gary Neville, avec qui on lui prête un contentieux ? «Les gars, faut parler de foot, s'est agacé Evra. Il faut arrêter à chaque fois de chercher des petites bêtises. On vient de commencer un Euro et vous êtes déjà là à me parler de contentieux. Ça ne me donne pas envie de parler». Pas davantage qu'à Nasri, qui ne s'est pas attardé au moment de quitter le stade. «Je ne vous ai pas demandé de m'attendre», a-t-il lâché à l'attention des journalistes, après en avoir enfin terminé avec un contrôle anti-dopage.


«C'est entre lui et ses détracteurs, avait déclaré un peu plus tôt Laurent Blanc. C'est quelque chose de personnel, je n'ai pas à m'immiscer là-dessus (sic). Il était content d'avoir marqué un but. Ce geste d'humeur, c'est à lui qu'il faut demander à qui il était adressé.» Le sélectionneur s'était, en revanche, déclaré «heureux pour lui et pour nous.» «Les entraîneurs veulent que les joueurs au fort potentiel le démontrent sur le terrain. On est derrière lui mais avec les joueurs de talent, il faut être plus patient et à un moment donné, ils vous donnent la bonne réponse.» Alou Diarra acquiesce : «Samir était très motivé. Il a prouvé qu'il était un grand joueur. Il a réagi de la meilleure des manières en mettant l'équipe sur de bons rails». Sur le terrain, seulement...