ALLEZ L"OM EN AVANT ....

AQ15/09/2011 à 08h06
Tout comme Benoit CHEYROU, qui je le souligne est un joueur exemplaire et essentiel dans notre équipe, j'espère que le vent à tourner en notre faveur, je sais que lui ne va pas se reposer sur ses lauriers mais qu'en est il des autres ?
Dimanche ne sera pas un tournant du championnat mais ce sera un match très très important... J'ai confiance , je serai toujours derrière mon équipe et derrière le staff de l'OM, mais au fond de moi j'ai peur du résultat final...
Je ne sais pas si les joueurs et DD ont trouvé la formule magique mais j'espère au moins qu'ils y mettront de l'envie....
On peut perdre au football, c'est la loi du sport, mais il faut perdre dignement en ayant tout donné...
Allez l'OM

Lyon enfonce Marseille
Le 18/09/2011 à 22:59 | Mis à jour le 19/09/2011 à 03:16

Vainqueur de l'OM (2-0), dimanche soir, l'Olympique lyonnais s'est emparé de la tête du Championnat
. Marseille est lanterne rouge.


Michel Bastos, auteur du 2e but lyonnais, exulte face à des Marseillais tête basse.
Lyon seul leader au terme d'une journée complète. C'est une image que l'on n'avait plus vue depuis le 18 octobre 2009. Une image d'autant plus forte qu'à l'autre extrémité, Marseille occupe la place peu enviée de lanterne rouge. Bien sûr, après six journées, les positions sont encore loin d'être figées, mais ce classement reflète plutôt bien la capacité -ou l'incapacité dans le cas des Marseillais- des deux équipes à assumer leur statut. Alors que l'OL est toujours porté par une efficacité redoutable, l'OM, lui, reste embourbé dans ses soucis défensifs. En décidant de reconduire la doublette Traoré-Morel dans le couloir gauche, Didier Deschamps pensait pourtant avoir trouvé la bonne formule pour y remédier. Deux accélérations de Bastos qui ont mis Azpilicueta dans le vent lui ont prouvé que son flanc droit ne lui offrait pas davantage de garanties.

Gomis était hors-jeu
Contre Saint-Etienne (0-0, 3e journée ), Rémy avait touché le poteau. Face à Rennes (0-1, 5e journée ), Azpilicueta avait été privé d'un penalty. Comme un symbole de cette réussite qui semble fuir les Marseillais, Gomis se trouvait en position de hors jeu lorsqu'il a ouvert le score (17e). Sur le coup, Diawara et ses équipiers n'ont pas bronché, mais on parie d'avance qu'ils évoqueront ce nouveau coup du sort après avoir visionné les ralentis. Alors Marseille pas verni ? Le raccourci est trop facile, et peu représentatif des difficultés de nouveau rencontrées en défense, mais aussi dans l'animation offensive et la maîtrise technique. Après une perte de balle, Gonalons n'a eu besoin que d'une passe pour éliminer tout le bloc marseillais pour le 2-0 signé Bastos (29e). Un énième raid du Brésilien avant la pause (41e) et une action de Gomis (67e) qui s'est finalement emmêlé les pinceaux auraient pu sanctionner encore davantage ces errances.

Même s'ils sont revenus avec de meilleures intentions après la pause, les joueurs de Didier Deschamps n'ont eu que deux vraies occasions à se mettre sous la dent : un cafouillage tout près de la ligne de but de Lloris dont n'est pas parvenu à profiter Rémy (52e) et une tête de Diawara sauvée sur sa ligne par Gonalons (76e). Cela valait bien les quelques «Mais ils sont où les Marseillais ?» et «Marseille lanterne rouge» , entonnés par le public chambreur de Gerland dès l'heure de jeu. A défaut de se montrer flamboyante, son équipe a agrémenté sa série d'invincibilité d'une troisième victoire en Championnat. Et enfoncé encore plus l'OM dans une crise dont il continue de réfuter le nom. Onze longueurs de retard sur le nouveau leader de la L1, appelez cela comme vous voulez

ALLEZ L'OM
ET OUI IL VA FALLOIR GAGNER

OM GAGNE 5 PLACES
OM RESPIRE ...UNO POQUITO
MERCI SAINT REMY ..DE PROVENCE


Ligue 1: Marseille respire, Marseille est sorti de la zone rouge en obtenant son premier succès en L1 contre Evian/Thonon (2-0), mercredi lors de la 7e journée

L'OM, bon dernier avant le coup d'envoi, était au bord du gouffre et
n'avait pas le droit de se manquer face au promu haut-savoyard dans un Vélodrome chaud bouillant. Mais le doublé de Rémy va peut-être ramener un peu de calme sur la Canebière même si la 15e place actuelle et la prestation moyenne des Olympiens n'offrent qu'un petit répit.

Didier Deschamps, soutenu depuis le début de la crise par le nouveau président Vincent Labrune, n'avait lui qu'une obsession: ouvrir son compteur victoire pour apaiser le climat marseillais.

L'entraîneur de l'OM n'avait pas fait les choses à moitié en écartant Alou Diarra, relégué sur le banc et seulement entré en fin de partie. Le scénario de la rencontre lui a donné raison, mais ne va rien faire pour arranger la situation de l'international français, en méforme persistante depuis plusieurs mois.

Si Deschamps persiste ce week-end dans ce choix radical, Laurent Blanc, qui doit divulguer le 29 septembre sa liste pour les matches de l'équipe de France contre l'Albanie et la Bosnie, aura un véritable cas de conscience à gérer avec l'un de ses cadres.

Contre-Perf
MARSEILLE
L'éclaircie n'aura donc duré qu'un match. Après son succès face à Evian-TG (1-0) en milieu de semaine, le premier de la saison, Marseille n'a pas réussi à passer la deuxième à Valenciennes (1-1). L'OM menait pourtant au score et tenait le bon bout grâce à un Mandanda des grands soirs. Mais Saez, lors des ultimes secondes de jeu, a égalisé et sapé le moral de Marseillais seulement 13es et désormais à dix points du leader Paris

L'OM frappe les trois coups
Le 28/09/2011 à 22:54 | Mis à jour le 28/09/2011 à 23:57

Sans vraiment briller, Marseille a su parfaitement exploiter les lacunes du Borussia Dortmund (3-0) pour conforter sa place de leader de la poule F.


André Ayew, auteur d'un doublé face à Dortmund.
Comme dans un rêve. Un rêve européen, une parenthèse enchantée, qui offre aux Olympiens le meilleur départ imaginable et envisageable en Ligue des champions (six points en deux journées). Comme dans un rêve, mais c'est bien connu, les rêves sont trompeurs, et cette large victoire sur le Borussia Dortmund (3-0), mercredi, n'échappe pas à ce constat. L'OM a autant gagné, au final, que Dortmund a perdu. Trois erreurs défensives du champion d'Allemagne en titre ont fait le lit de Marseillais opportunistes, qui se sont finalement bien accommodé de la domination adverse. Trois erreurs, trois incidents au final, trois fois rien, pour trois points capitaux dans la course à la qualification dans cette poule indécise. La belle, la très belle affaire pour l'impeccable Steve Mandanda et les siens. Ce soir, il ne faudra donc pas voir plus loin que ce magnifique score (la plus grande victoire marseillaise en C1 face à un club des quatre grands championnats européens) qui pèsera peut-être lourd à la fin de la phase de poules. Ne pas chercher ce match-référence tant attendu pour que l'OM se libère enfin en Championnat. Il faut simplement, et c'est déjà pas mal, se satisfaire de ce bon sens olympien, qui a su tirer parti à chaque opportunité des lacunes de son adversaire : une glissade de Subotic sur le premier but, signé André Ayew (20e), laissé bien seul par l'arrière-garde du Borussia ; un raté d'Hummels, sur le deuxième, dont Loïc Rémy, très généreux dans ses efforts, a profité d'une frappe en force du droit (62e) ; une charge irrégulière de Kehl sur Rémy dans la surface pour le troisième, et A. Ayew qui s'est chargé du penalty (69e).

Il faut se satisfaire de ce bon sens olympien, qui a su tirer parti à chaque opportunité des lacunes de son adversaire.
Il n'y a toutefois pas que la défense allemande à blâmer, dans cette histoire. Si Didier Deschamps attendait surtout de ses troupes qu'elles n'encaissent pas de but sur cette soirée, le mérite en est surtout revenu à Steve Mandanda. Car quand Dortmund, au retour des vestiaires notamment, avait décidé de redorer son blason de Champion d'Allemagne, le portier marseillais a sorti les parades des grands soirs. Pas des soirs européens, puisqu'on avait vu l'international en faire de même face à Valenciennes le week-end dernier. Seule véritable arme offensive de Jürgen Klopp, Mario Götze, qui mystifia Nkoulou quelques fois, s'en est presque arraché les cheveux, perdant tous ses duels (19e, 50e, 52e, 70e) face au capitaine olympien. Le match-référence tant attendu, il était une fois encore entre ses gants. Il faudrait voir à partager.

Après sa victoire contre Dortmund, l'OM va-t-il se reprendre en championnat ?
69%Oui, un tel résultat ne peut que motiver les joueurs !
31%Non, les Olympiens ne sont pas aussi déterminés en Ligue 1

Lucho : « J'y crois encore » NOUS AUSSI CA TOMBE BIEN



30/09/2011 à 18:43

Lucho n'était encore jamais venu en conférence de presse cette saison. Après la belle victoire face à Dortmund (3-0), il a pris le temps de faire le point sur tous les sujets sensibles le concernant.


Lucho fait le point sur sa position et celle de l'OM.
Son faux départ
« Je voulais effectivement quitter l'OM. Divers clubs étaient intéressés (Malaga, Roma, Arsenal ) mais nous n'avons pas réussi à trouver un accord. Dix millions d'euros, il n'y a pas grand monde pour mettre ce prix-là aujourd'hui, c'est la réalité du marché. J'avais pris l'engagement que si je partais, il fallait que l'OM y trouve son compte. Cela n'a pas été le cas, le chapitre à ce sujet est clos. Tout comme celui de home jacking. Quand c'est arrivé, je voulais faire mes valises et rentrer en Argentine, Gaby ( Heinze ) m'a retenu. On a dit des choses fausses, que mon épouse ne voulait plus rester, que nous vivions à Cannes, tout cela fut lamentable. Aujourd'hui, je suis à l'OM et content d'y être. »

Son positionnement
« Je me plie toujours à la décision de l'entraîneur, l'important pour moi, c'est de jouer ; quand je joue milieu défensif, je l'ai déjà fait avec Porto, et en sélection. Ma préférence c'est d'être plus sur la droite, près de l'attaque mais il existe plusieurs schémas tactiques dans lequel je peux évoluer. Il est vrai aussi que je ne suis pas à 100%. J'ai pris un coup au mollet contre Lyon, puis le match suivant, mais ça va aller. »

Son lien avec les attaquants
« J'espère m'entendre aussi bien avec Rémy qu'avec Mamad ( Niang ) mais en attaque, nous avons beaucoup de possibilités et c'est facile de jouer avec Valbuena ou Loïc ou Dédé ( Gignac ) mais on est encore en recherche de complémentarité. De toute façon, nous avons perdu de bons joueurs la première année, Ben Arfa, Niang, B. Koné et nous avons bien terminé quand même. Tout est dans l'équilibre. »

Le retour au Championnat
« Nous ne pouvons pas savoir comment nous allons jouer contre Brest (dimanche 17h00), il s'agit d'une tout autre compétition. Nous avons mal démarré en Championnat et nous devons prendre des points. Nous n'avons pas forcément bien joué contre Dortmund, il y a eu de belles séquences contre Lille ou Sochaux mais sans le résultat. Nous sommes toujours en recherche d'équilibre et pas toujours concentrés pendant 90 minutes . On l'a vu contre Valenciennes (1-1). C'est l'un de nos gros problèmes. Nous recherchons encore la régularité mais j'y crois encore, nous finirons bien placés. »

Marseille au plus bas
Marseille, contraint au nul par Brest au Vélodrome (1-1), a rendu une nouvelle copie indigeste et ne décolle toujours pas.
L'OM est en revanche incorrigible. Les troupes de Didier Deschamps, pourtant très fringantes en Ligue des champions (2 matches, 2 victoires), n'en finissent pas d'enchaîner les prestations médiocres en championnat.
Contre Brest, le public marseillais a eu droit à un sommet d'imprécisions et d'erreurs techniques grossières comme cette faute de main de Mandanda sur l'ouverture du score de Poyet.
Sans l'activité de Rémy, passeur, et d'André Ayew, buteur, Marseille n'aurait d'ailleurs sûrement pas réussi à éviter l'humiliation et peut se poser de sérieuses questions sur la suite de sa saison. Avec ce cinquième nul en 9 rencontres, l'OM continue de stagner au classement (13e) et creuse encore un peu plus le gouffre qui le sépare des autre gros bras de L1.

l'om doit se retrousser les manches
car nous sommes que 13 éme avec que 8 points
au bout de 9 journees

OM, le grand gâchis... mardi 04 octobre 2011 à 07H12

Deux mois terribles auront plombé les ambitions de l'équipe de Didier Deschamps. Entre défaillances et renoncement.
Les Olympiens n'ont remporté qu'un seul match en neuf journées de championnat. Inquiétant...


Deux mois de compétition, deux mois de calvaire mêlés d'échecs répétés, de défaillances individuelles, de lacunes techniques, d'approximations tactiques, de mauvais choix et, plus grave encore, de renoncement.

Rarement en tout cas, une équipe de l'OM n'était apparue aussi désemparée, aussi fragile, aussi faible. Car aujourd'hui, le constat est limpide : ce groupe n'est pas au niveau de ses ambitions et pas franchement à la hauteur de l'image du club. Avec une seule victoire en neuf rencontres de championnat et une réussite trompeuse en Ligue des champions, les Olympiens sont tout simplement en train de couler.

Sans réagir, sans prendre réellement conscience de la gravité de la situation. Ce manque de conviction est notamment symbolisé par l'absence de véritables leaders, de cadres susceptibles de réveiller un ensemble sans vie, sans âme, bousculé par des formations dont on connaît à peine le nom des joueurs.

Pourtant, on voyait déjà dans un garçon comme Alou Diarra - priorité de Didier Deschamps à l'intersaison - un élément clé capable d'insuffler à ses camarades un sentiment de révolte dans les moments les plus critiques. On imaginait un Lucho revanchard, se mettre dans la peau d'un patron montrant la voie à suivre ou un Mandanda dans le rôle du capitaine tapant du poing sur la table. C'est raté !

Vraiment sans ressources ? A MON AVIS ...OUI




Vraiment sans ressources ?
05-10-2011

Dernière mise à jour : ( 05-10-2011 )



Jordan Ayew et Charles Kaboré quittent le banc. Du classique pour Deschamps... Mais est-ce suffisant ?
L’avalanche de blessures et de suspensions a mis en lumière les lacunes de l’effectif de Didier Deschamps.

A son arrivée au club, comme Erik Gerets avant lui d’ailleurs, Didier Deschamps réclamait le doublement de tous les postes. Cela afin de garantir à l’OM la possibilité de jouer sur tous les tableaux. L’entraîneur olympien y était parvenu lors de ses deux saisons précédentes, même si certains remplaçants semblaient d’un niveau moindre. Mais, nous l’avons déjà contasté, pour sa 3e levée, son groupe apparaît moins bien armé.
Lorsque les cadres n’assument pas leur rôle, aucune véritable solution ne s’offre à Didier Deschamps. Quand en plus viennent se greffer sur les méformes blessures et suspensions à répétition, l’OM se retrouve rapidement sans ressources pour faire face à ses échéances.
C’est ainsi que pour la réception de Dortmund en Ligue des Champions, seuls 17 noms figuraient sur la feuille de match. Didier Deschamps a justifié son choix, alors qu’il aurait pu puiser dans le vivier de son équipe "réserve", qui a retrouvé la CFA2.
Pour lui, il n’est pas évident de faire monter un jeune uniquement pour faire le nombre. Sa position se comprend. Elle a d’ailleurs été appuyée sur le site officiel du club par Henri Stambouli, le directeur du centre de formation : « Pour pouvoir faire entrer un jeune, il faut que l’équipe tourne quand il y a 3-0 dans un match. Dans le cas contraire, c’est plus difficille... »

Omrani et Gadi, NextGen...
Mais d’un autre côté, comment permettre à des jeunes de s’aguerrir s’ils ne sont jamais appelés ? Comment permettre à des Jean-Philippe Sabo ou à des Chris Gadi de s’affirmer s’ils n’ont jamais l’occasion de se montrer ? Le premier, après une prestation correcte en coupe de la Ligue sous l’ère Erik Gerets, n’a plus jamais eu sa chance. Prêté en Ligue 2, il a quand même bénéficié de temps de jeu. Mais depuis son retour à l’OM, alors qu’il a eu des propositions, le latéral gauche se morfond sur le banc de touche. Quand il ne se retrouve pas en tribunes.
Dimanche, alors que son équipe était à la dérive, Didier Deschamps a d’abord envoyé s’échauffer Jordan Ayew, Charles Kaboré et Benoît Cheyrou, les trois expérimentés de son banc. Les jeunes sont restés assis, jusqu’à ce qu’il fasse un signe à Bilel Omrani, qui a finalement joué une dizaine de minutes. Ce qui n’est pas suffisant pour lui permettre de s’affirmer.
D’autres clubs ont depuis longtemps misé sur la carte jeune. Récemment, la jeune garde lyonnaise a donné une leçon aux vieux briscards phocéens. S’il est clair que le centre de formation lyonnais, qui compte dans ses rangs la moitié de l’équipe de France des -19 ans, peut relever le défi de la L1, celui de l’OM, club qui se veut une référence, doit pouvoir lui aussi assurer les arrières. Ce n’est toujours pas le cas. La situation actuelle doit accélérer le mouvement de consolidation de cette structure.
Des efforts ont été consentis. Il reste maintenant à donner le petit coup de pouce qui permettrait de valider les acquis. Et ce coup de pouce, seul Didier Deschamps peut le donner.

Le match amical de vendredi face à Monaco pourrait être mis à profit pour leur offrir du temps de jeu. Sauf que d’ici là, Omrani et Gadi auront disputé avec les U19, la troisième rencontre des NextGen (pour futures générations), aujourd’hui au stade Marcel Cerdan de Carnoux face à Manchester City.
Faudrait pas abuser non plus...


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