ALLEZ L"OM EN AVANT ....

- L'OM a déjà connu ça




Gabriel Heinze ne s'inquiète pas de la mauvaise passe de l'OM. (EQ)
Marseille, qui est attendu à Brest (19h00), n'a gagné aucun de ses quatre derniers matches en L1. Mais aucune inquiétude, l'OM a connu pareilles turbulences l'an dernier à la même époque. Et il a fini champion.

Trois points sur douze, le bilan des Marseillais sur les quatre derniers matches est famélique et sans un dernier résultat positif à Brest, Deschamps risque de passer d'aussi mauvaises vacances que l'année dernière. L'OM n'a remporté cette année que sept rencontres sur dix-huit mais ne compte que trois points de retard sur le premier. Aussi, personne n'affiche d'inquiétude particulière, à commencer par Gignac, qui a retrouvé l'usage de la parole pour répondre aux supporters sur le site du club. « On n'est pas tant largué que ça en ayant fait un début de saison très moyen. Je suis venu ici car je suis sûr qu'on va être champion !! Je veux ouvrir mon palmarès à l'OM ! »

Fort de leur réussite lors de la phase retour la saison dernière, les Marseillais se veulent confiants. « Je ne suis pas inquiet, assure encore Deschamps. Notre souci majeur depuis notre début de saison, c'est qu'on n'est pas assez efficaces. Nous devons être capables d'être plus réalistes. On doit apprendre à concrétiser nos temps forts. On a changé beaucoup de joueurs dans le secteur offensif, le vécu aide à se construire. Avec le temps et l'acclimatation, tout ça doit aller mieux. »

Les multiples changements en défense ont aussi fragilisé ce secteur qui, l'an passé, a permis d'installer la spirale positive. Mais ce n'est pas, selon Gaby Heinze, le souci majeur. « Bien sûr, quand tu joues avec les mêmes coéquipiers de match en match, c'est plus facile. Mais je ne pense pas que notre défense fasse de grosses erreurs. » Il ajoute même : « Avant ces trois mois, vous les critiques vous disiez qu'on ne jouait pas bien mais qu'on gagnait. Maintenant c'est l'inverse. En ce moment, on joue très bien mais on ne gagne pas... Pour moi, dimanche, on a mieux joué que Lyon. » Son agacement perceptible - « parce que je dis toujours ce que je pense, pas pour faire plaisir » - l'amène à faire un peu de provocation. « Je me souviens de tout ce que vous disiez l'année passée, et j'ai fermé beaucoup de bouches à la fin de la saison quand j'ai été champion ! J'espère faire encore ça cette année, j'en ai envie.

l'heure du premier bilan
23/12/10 - Bilan mi-saison

Un léger coup d’œil dans le rétroviseur, les vivas accompagnant un été resplendissant de succès sont encore bien perceptible. Pourtant plusieurs mois ont passé, l’hiver déjà installé, les footeux partis en vacances, c’est déjà l’heure du bilan du coach de mi-saison.

De l'irrégularité...
Champion de France en titre, l’OM voit la venue du promu caennais, début août, comme une bonne occasion de prolonger les festivités entamées en mai. Pourtant, la rencontre qui ne devait être qu’une simple formalité, prend des allures de traquenard, une victoire 1-2 des visiteurs, mais surtout une véritable aubaine pour les parieurs qui avaient prédit le guet-apens. Une semaine plus tard, rebelote à Valenciennes, les Olympiens s’inclinent 3-2. «On a eu un départ catastrophique, avec les deux défaites lors des deux premières journées de championnat au mois d’août» commentait le coach après l’ultime nul à Brest (0-0).
Pour relever la tête, c’est une victoire 2-0 sans convaincre face à Lorient au Vél’. Mais l’essentiel était ailleurs avec les trois premiers points pris en L1. Les Olympiens viennent de lancer leur saison, et vont enchaîner une série de 8 matches sans défaite, qui leur permettra de rattraper les points perdus au début, et de remonter sur le podium. Durant ce laps de temps, les Phocéens brillent par leur irrégularité, capables d’être totalement inexistants dans le jeu, ou d’afficher un visage proche de celui qui leur avait permis de décrocher le titre l’an passé, comme à Bordeaux (1-1), ou lors de leur seconde période à Lille (1-3).
Les Marseillais tomberont finalement à Paris, sous les coups de canon de Parisiens euphoriques (2-1). Une défaite qui ne portera toutefois pas atteinte au moral des troupes, qui en enchaînant une victoire à Toulouse (0-1), à un large succès face à Montpellier (4-0) raviront le fauteuil de leader pour la première fois. De bon augure avant d’aborder un mois de décembre chargé, qui pourrait permettre de faire le trou. Rien ne se passera comme prévu. Deschamps résume : «Curieusement je trouve que mon équipe a été meilleure dans le contenu lors des derniers matches, comme lors de la défaite à Nice ou à Auxerre à 10. Ce fut le cas contre Lyon aussi, face à une belle adversité. Le seul problème c’est qu’on prend 4 points sur 15 (sur les cinq dernières rencontres). Ce n’est bien évidemment pas suffisant. On est capable de faire beaucoup mieux, nos concurrents sont là, à portée de fusil et ça pourrait être bien pire aujourd’hui. Il va falloir qu’on ait une efficacité offensive supérieure, car sinon ça sera compliqué de gagner des matches.»

Une montée en puissance continue
En parallèle de la L1, l’OM dispute la Champions League avec la ferme intention d’enfin passer les poules, pour la première fois depuis 11 ans. Comme en championnat, la déception est immense quand les «rivaux» du Spartak viennent chercher les trois points au Vélodrome en ouverture de cette édition 2010.11. Après une «défaite logique» à Chelsea, les Olympiens sont au pied du mur, et doivent absolument se reprendre face à Zilina. Après un match aller remporté dans la douleur (1-0), les Phocéens vont rentrer dans l’histoire de la C1 au match retour, en s’imposant 7-0 sur la pelouse des Slovaques. Tout bonnement la plus large victoire à l’extérieur de l’histoire de la Champions League. Ce succès, en plus de gonfler à bloc la confiance marseillaise, permet à l’OM de s’offrir une «finale» à Moscou, face au Spartak Avec une maîtrise totale, les Olympiens iront chercher une magnifique victoire 0-3, qui les mènera par la suite à un autre succès, de prestige, face à Chelsea, 1-0.
L’OM est qualifié et voit maintenant arriver sur sa route le grand Manchester United pour les 1/8 de finale. Même s’ils ne partent bien évidemment pas favoris, les Marseillais comptent bien jouer crânement leur chance, et tenter de créer l’exploit. L’avis du coach : «On avait affiché clairement nos ambitions de nous qualifier en 8e, c’est désormais chose faite. qu'une victoire 3-0 à l'extérieur, ça n'arrive pas souvent et le résultat à Zilina reste exceptionnel surtout dans la nouvelle Champions League. Nous serons présents en février, ce qui n'est plus arrivé au club depuis longtemps. Manchester fait partie de ces équipes qui commencent la compétition avec l’objectif de la gagner, ce sera une très belle affiche. L’essentiel sera de jouer notre chance à fond même si elle est petite. On a une chance, chacun fixera le pourcentage mais on a une chance.»

A-t-on déjà vu le vrai
visage de l’équipe?

Comme Ayew, l’OM était à bout
de souffle à Brest.

Non. Osons l’affirmer. Surtout
depuis l’expérience de la saison
passée où il avait fallu une énième
claque (à Montpellier) pour que
les joueurs de l’OM prennent
conscience de l’énorme potentiel
qu’ils étaient en train de gâcher...
Une nouvelle contre-performance
serait-elle encore salutaire ? Pas
sûr. Cette fois, les Olympiens sont
vaccinés et, s’ils sortent d’une sale
série de quatre points sur quinze
possibles, n’ayant inscrit que deux
buts en 450 minutes, la médiocrité
qui les caractérise depuis un mois
semble davantage trouver une explication dans l’usure physique
et mentale que dans un manque d’envie et de concentration. Le
nul, dans tous les sens du terme, à Brest, l’illustre à merveille.
La Ligue des champions a pompé de l’énergie, comme le retard
à l’allumage qu’il a fallu combler; le retour au premier plan des
hommes clés du doublé, l’adaptation -même longue- des recrues
offensives, le vécu collectif et l’ambition de Deschamps doivent
amener l’OM à passer la vitesse supérieure. Hier inconstante,
aujourd’hui moribonde, cette équipe peut (re)devenir irrésistible.

Dassier : "Il faut nous faire confiance" lundi 27 décembre 2010 à 07H41

Voici une partie de l'interview du président de l'OM

Jean-Claude Dassier estime que l’OM n’évolue pas au niveau escompté en championnat. Mais il veut croire en une seconde partie de saison plus prospère. :

- On a du mal à cerner la politique de recrutement opérée cet été. Vous avez opté pour deux jeunes éléments (Gignac et Rémy) en misant sur les retombées d'une éventuelle revente au lieu d'engager un joueur confirmé mais dont la valeur marchande est appelée à s'étioler. Au final, ne regrettez-vous pas votre choix ?

Jean-Claude Dassier : D'abord, je trouve que votre approche est un peu "maquignonesque". On n'est pas à la foire aux bestiaux du Massif Central. Ne pas avoir recruté Luis Fabiano (30 ans) qui demandait, lui et son club (Séville), des sommes énormes a été une sage décision. D'ailleurs, je vous invite à étudier son bilan des quatre premiers mois de la saison (quatre buts en Liga). Avec lui, on est passé près de la catastrophe. Jeme félicite chaque jour de ne pas l'avoir engagé. De toute façon, l'OM et tous les autres clubs sont guidés par une absolue nécessité: vous ne pouvez pas recruter seulement des joueurs de 30ans passés qui ont des statistiques et dont vous pouvez vous servir avec profit pendant un voire deux ans.

Mais ensuite, vous les voyez partir ou arrêter leur carrière et vous vous retrouvez avec une équipe qui vaut zéro. Bâtir une équipe, c'est aussi préparer l'avenir. Après, on le fait bien ou on ne le fait pas bien; on peut être déçu, on peut ne pas l'être. Jerappelle que lors de ses quatre premiers mois à l'OM, Papin avait un bilan loin d'être flambant (8buts dont 2 penalties en 1986). Il faut donc arrêter de prolonger des courbes. La vérité d'aujourd'hui n'est pas celle de demain. L'essentiel, c'est d'avoir raison à la fin du championnat; pas à la trêve hivernale.

Pour être franc, le titre de champion d'automne, c'est flatteur, mais tout le monde s'en fout ! Qui se souvient encore des leaders du championnat à cette même époque l'an passé ou il y a deux ans ? Pour l'heure, on est à la peine, mais je suis convaincu que ça va aller mieux. Je ne regrette pas les choix de Didier, c'est-à-dire Gignac et Rémy. On aurait pu prendre Sow qui est allé à Lille, ou Gameiro qui était candidat pour venir. Ce sont des choix. Personne ne peut dire dans quelles conditions ils se seraient adaptés à Marseille. C'est plus facile de s'adapter à Lille, à Lorient ou je ne sais où qu'ici. ÀMarseille, l'exigence est grande. Onsait quels sont nos enjeux, nos ambitions, les montants de nos investissements. On sait, aussi, que nos supporters n'ont pas de patience. Jouer à Marseille, ce n'est pas la même chose.

- En matière de mercato, vous ne regrettez donc pas de ne pas avoir suivi la logique de Didier Deschamps plus prompt à recruter un attaquant confirmé ?...
J.-C.D. : (Il coupe) Mais c'est l'équipe de Didier Deschamps !

- En plus d'un attaquant expérimenté, il souhaitait également enrôler un milieu de terrain défensif. Tout ça, c'est oublié ?
J.-C.D. : On n'en parle plus car l'arrivée de Rod Fanni permet de faire monter Kaboré ou encore Mbia d'un cran. On a réglé ce problème. Quant à l'attaquant confirmé, je pense que Gignac en est un à 25 ans. Il n'a que des progrès à accomplir. Je préfère un type qui a un potentiel et une marge de progression plutôt qu'un type qui a un passé dont il peut nous faire bénéficier quelques mois ou une saison seulement.

Dans une équipe, il faut un équilibre. Qui pensait que Valbuena évoluerait au niveau qui est le sien aujourd'hui?Il faut donc nous faire confiance. Quand Didier dit 'Gignac', il sait ce qu'il fait. Idem pour Rémy. Alors, c'est vrai, les résultats ne sont pas immédiats. Mais il ne faut pas nous dire que Gignac, Rémy mais aussi Valbuena, André Ayew et Lucho n'ont pas de potentiel! Au contraire, on a une équipe qui a connu des problèmes, eu des faiblesses et des blessés comme toutes les autres, mais derrière et au milieu, elle est hyper solide dorénavant. Devant, c'est vrai, notre attaque est muette et elle ne peut pas rester dans cet état, j'en conviens, mais elle va retrouver la parole !

4 Olympiens dans le onze 2010 de L'Equipe

Comme tous les ans, le journal L’Equipe met en place l’équipe-type de l’année écoulée. Pour cette édition quatre olympiens ont été sélectionnés par le quotidien sportif : Diawara, Mbia, Lucho, et Valbuena

L'œil de Sat - 31 décembre 2010


5 notes | moyenne : 5,00 sur 5 C’est la trêve des confiseurs, mais aussi celle des footballeurs. Le moment idéal pour dresser un premier bilan à mi-parcours de cet exercice 2010-2011 de l’OM.

Parmi les joueurs à s’être distingués en ce début de saison, ils sont trois à m’avoir fait forte impression. Voici mon top 3 Olympien :

Sur la plus haute marche du podium, Steve Mandanda. Indiscutablement, son nouveau statut de capitaine lui a fait prendre une toute autre envergure. D’une régularité exemplaire durant cette première partie de saison, il a montré la marche à suivre à ses partenaires. Nombreux sont les matches où ses arrêts et parades ont fait prendre de précieux points à l’équipe. Rarement sollicité dans la plupart des rencontres, il n’en n’est pas moins toujours resté vigilant sur la ligne pour préserver son but. Il me revient notamment en mémoire sa claquette sur une frappe lobée de Matuidi, lors du déplacement à Saint-Étienne, qui avait permis à l’OM d’arracher le point du math nul. Dans le même registre, le penalty de Kembo Ekoko détourné en tout début de match face à Rennes au stade Vélodrome. Ou encore l’arrêt sur la frappe de Mansaré face à Toulouse, alors que le score n’était que de 0-0 à cet instant de la partie. Pour finir, peut-être le plus important, à Moscou lors du match ô combien important pour la qualification en 8èmes de finale de la Ligue des Champions. Nous sommes à la 43ème minute, l’OM mène 0-1, Steve sort un ballon que convoitaient deux attaquants du Spartak. Le tournant du match !

Sur la seconde marche, médaille d’argent pour Mathieu Valbuena. Il est tout simplement irrésistible, sur la lancée de la fin de saison dernière au cours de laquelle il avait grandement contribué aux succès de l’OM. Pourtant, avec les arrivées conjuguées de Gignac et surtout Rémy, beaucoup lui prédisaient une place de remplaçant. C’est mal connaître « le petit ». Que ce soit sur le côté droit de l’attaque ou dans une position plus axiale tel un numéro 10, ses prestations ont souvent été remarquables. Il a d’ailleurs sorti l’OM d’un bien mauvais pas à plusieurs reprises. Ce fût entre autre le cas récemment, au Vélodrome face à Lyon, lorsqu’il égalisait pour le plus grand bonheur du staff marseillais et des supporters. Mais il n’en n’était pas à son coup d’essai. Il nous avait déjà fait la même face à Monaco en début de saison. Là aussi l’OM était mené à domicile et Mathieu avait égalisé d’une frappe surpuissante qui laissait le pauvre Ruffier de marbre. Alors que dire du but inscrit à Moscou face au Spartak ? Contrôle en pivot dos au but, frappe enroulée, pleine lucarne. Imparable… Un petit bijou. Du grand art !

Sur la troisième et dernière marche de ce podium, la révélation de ce début de saison, j’ai nommé André Ayew. Grand artisan de la qualification en demi-finale de coupe de la Ligue grâce à ses deux buts inscrits face à Guingamp et Monaco, il n’a pas démérité non plus en championnat. Son adaptation au sein de l’effectif a été immédiate. Là aussi, que ce soit dans un rôle d’attaquant gauche ou au poste de milieu relayeur, il a régulièrement donné satisfaction à Didier Deschamps qui en a fait un titulaire quasi-indiscutable. Doté d’un très bon jeu de tête, d’un gros volume de jeu et d’une aisance technique lui permettant d’éliminer ses adversaires avec une grande facilité, il est promis à un brillant avenir. Tout juste âgé de vingt ans, la concurrence ne lui fait pas peur, au contraire elle semble le motiver. Quant à la pression… il ne connaît pas ! Une belle surprise à l’arrivée pour ce pur produit de la formation Olympienne dont on n’a probablement pas fini d’entendre parler…

Bien évidemment d’autres joueurs auraient pu prétendre à une place sur ce podium, mais il fallait faire un choix… Alors, d’accord avec moi ou pas?

PIERRE DANTIN FORMATEUR
Vice-doyen de la fac
des Sciences du sport, président de la Chaire
"Je le connais depuis
très longtemps, via son père Michel, et j’ai
toujours su que ce
garçon avait quelque
chose en plus. Nicolas Cicut
est lui-même le contre-modèle du lieu commun. Voilà un joueur
finaliste d’une Coupe d’Europe qui va devenir docteur ! L’OM est
capable de former des jeunes comme lui. Joueur, il n’était pas
forcément intéressé par les mêmes choses que les autres. J’ai vu ça chez d’autres sportifs."

provencaunautes
sondage moi aussi j'ai mis non
sans etrte pessismiste mais realiste des carences offensives
L'OM sera-t-il champion de France en 2011 ?
6% Oui
93% Non
0% NSP

APRES UNE DURE BATAILLE
MASSILIA A ECRASE CARTHAGE B 1 A 0
grace à un csc de général Scipion (Scipio en latin).

En effet, une série de trois conflits entre les deux puissances, les guerres puniques — les Romains nomment les Carthaginois Poeni —, débutent au IIIe siècle av. J.-C. et se terminent avec la victoire de Rome et la destruction de Carthage en 146 av. J.-C., après un siège de quatre ans. Après une tentative avortée des Gracques, Jules César fonde par la suite une cité sur les ruines de la ville punique (Colonia Julia Carthago). Celle-ci devient la capitale de la nouvelle province d'Afrique. Au Bas-Empire, la cité, gagnée au christianisme, subit les persécutions impériales. Carthage devient, au IVe siècle, l'une des plus grandes capitales spirituelles d'Occident.


Le match amical de l'OM avancé à 17h
le mardi 04 janvier 2011 à 16H39


Initialement prévu à 17h30, envisagé un temps à 16h30, le match amical de l'OM contre l'équipe B de Carthagène, demain en conclusion du stage à La Manga (Espagne), aura finalement lieu à 17h. La rencontre se déroulera sur le terrain principal des installations de la Fédération norvégienne



souhaitons que nos olympiens soit pas comme lui
Un paresseux dans le parc du centenaire , Carthagene, Colombie : "En roue libre pour les dernières semaines ! Nous venons de passer 3 jours dans la superbe ville de Carthagène ! Elle est classée sur la liste patrimoine mondial de l'Unesco."

DE LA PLUIE A MARSEILLE
QUE NENNNI DD CA COULE DE SOURCE D" EVIAN

Deschamps : "De bonnes conditions" mercredi 05 janvier 2011 à 19H
Plus que le résultat lors du match contre l'équipe B de Carthagène (1-3), Didier Deschamps préfère retenir les bienfaits du stage de reprise effectué à La Manga pour l'ensemble de son effectif.

"C'était plus un match d’entraînement après deux journées à deux séances, lundi et mardi. C’est bien de terminer avec une adversité, mais également de retrouver les dimensions d’un terrain normal. Il n’y a pas eu de problèmes, ni de blessés. Tous ceux qui étaient aptes ont joué. Certains étaient plus mobiles que d’autres. A La Manga, on a trouvé de bonnes conditions et une bonne température. Et on rentre ce soir pour s’habituer à des conditions plus fraîches, une température plus basse, probablement de la pluie même."

Sûr que le climat d'Annecy, où l'OM défie Evian-Thonon-Gaillard, dimanche, ne sera pas aussi doux que celui du Sud de l'Espagne...

LES ANALYSES D AVANT MATCH
NE SONT PAS SOUVENT SI PRES DE LA REALITE

CASANOVA TFC NE NOUS CONTREDIRA PAS
Deschamps évoque le contexte particulier du match Evian-OM vendredi 07 janvier 2011 à 15H09

Opposé à Evian-Thonon-Gaillard à Annecy, ce dimanche pour les 32es de finale de la Coupe de France (20h45), l'OM sait où il va. Didier Deschamps a passé en revue, ce vendredi, les forces en présence pour ce match de reprise. "C'est une équipe joueuse et bien organisée collectivement, qui pratique un jeu long et direct. Il y a moins de densité physique que chez certaines écuries de Ligue 1 mais Evian s'appuie sur beaucoup de joueurs qui ont évolué à l'échelon supérieur. Ce sera un contexte particulier car le stade sera plein et la pelouse risque de se dégrader rapidement", prévient "DD".


alagachon07/01/2011 à 18h09
En plus il fera froid, il pleuvra et les vestiaires vont empester la raclette !Bon courage, les gars

pacoaix07/01/2011 à 19h04
dit moi bibi 13 au vu le nombre de foi ou tu as poster le meme commantaire je pense que toi ta un peu abusé de l'evian mais avec du jaune à l interieur non ?

LL’’OM rreettrroouuvvee llee cchhaarrmee ddee llaa ccoouuppee
dee FFrraannccee àà Annnneeccyy ppoouurr yy aaffffrroontteerr
EEvviiaann--TThoonoon--Gaaiillllaarrdd,,
ll’’aambbiittiieeuuxx cclluubb ssaavvooyyaarrdd..
Un n ttiirraaggee éé piineeuuxx ppoouurr g geennsss séérriieeuuxx

Respect
à la
Vieille
Dame

Fabrice Abriel et les Olympiens avaient éliminé Trélissac en janvier dernier lors des 32es de finale. Cette fois, c’est le leader de Ligue 2 qui recevra l’OM à Annecy



Il serait de bon ton que la coupe de France vienne
se reposer de nouveau à la maison. Partons avec
l’idée de lui tendre les bras…



Retrouver la coupe de France est bien plus qu’une tradition
servie à l’heure des premiers gâteaux des rois : c’est un
enchantement. L’envie de croquer dans cette Vieille Dame,
créée en 1917 par le comité français interfédéral, portée sur les
fonts baptismaux par Henri Delaunay, est le rêve de tout jeune footballeur.
Les années passent, la plus prisée des compétitions, paradoxalement
la moins dotée, ne prend pas une ride. Elle a été décriée,
le temps d’une mode sans grand effet. Elle a résisté, avec la
sagesse des anciens. On continue à décerner sans la moindre retenue
à la grand-mère du football français le même respect, le même
attachement; le même amour sans doute.
Elle reste la porte ouverte à toutes les folies, les surprises, les émotions,
le seul lieu officiel de rencontre entre le monde professionnel
et amateur. Pour cela, sa valeur sentimentale ne se discute pas.
Dans ce rendez-vous où la hiérarchie n’a aucune signification
réelle, les destinations offrent des moments rares dans une saison,
des souvenirs impérissables. La simplicité et l’attachement des
gens rencontrés sont un bain d’humanité dont on se délecte tant ils
sont une invitation au partage. L’épisode du trente-deuxième de
finale 2010 à Trélissac reste particulier. Il a été nourri d’incertitudes,
d’une neige abondante. Il a surtout été marqué par l’incroyable
dévouement des bénévoles de Périgueux, dont l’implication a
permis de chasser les doutes sur la tenue d’une rencontre menacée
jusqu’à une heure du coup d’envoi. Un an a passé, rien n’a disparu.
C’est un peu ça, le charme…
L’aventure 2011 redémarre avec moins d’exotisme. Cela est en
partie dû à la division dans laquelle évolue Évian-Thonon-Gaillard,
le petit club qui avance à l’allure d’un TGV vers la Ligue1. Il serait
présomptueux de croire que la division séparant l’OM de son adversaire
du jour offre un confort. Le charme de la coupe de France est
de n’apporter aucune certitude. Ce tirage est une épine dans le
pied pour ce début d’année, pas seulement en raison d’une météo
appelée à se dégrader au fil de la journée pour proposer de la pluie.
Le terrain pâtira de ces conditions climatiques, mais la qualité de
l’adversaire demeure le premier obstacle de taille : "À l’inverse de
nombreuses équipes de Ligue 2, cette équipe n’a pas une grosse densité
physique, observe Didier Deschamps. Elle ne se débarrasse pas du
ballon, ne pratique pas un football long et direct. Elle est constituée
de pas mal d’anciens joueurs de Ligue 1."
Elle est surtout réputée pour son ambition, construite avec méthode
pour accéder à l’élite à la fin du mois de mai. Douzième défense,
elle s’appuie sur son attaque, deuxième de Ligue 2, et occupe
la tête de son championnat avec légitimité.
Ce type de match est dangereux tant il a le pouvoir d’exclure à
tout moment celui qui n’observe pas les règles essentielles de respect.
Le passé de l’OM est nourri d’anecdotes cruelles, désobligeantes.
Si le club reste le plus titré dans cette compétition avec dix succès,
il ne l’a plus remportée depuis 1989. Même si ce n’est pas une
priorité, il serait de bon ton que la Vieille Dame vienne se reposer
de nouveau à la maison. L’heure est venue de lui tendre les bras. On
repart à Annecy avec cette idée-là…

comme prévisible cette defense en bois
prend l'eau d'evian de toute part
20 minutes EVIAN 2 OM 0

bienvenou a écrit:PROBABLE CONTRE EVIAN EN GRAS LES POIDS DE LEQUIPE
LES AILES VONT ETRE DES BOULEVARDS

ANDRADE

N'DIAYE MBIA HEINZE TAIWO
ABRIEL CHEYROU A.AYEW

REMY BRANDAO VALBUENA

Un mal pour un bien ?
11-01-2011



C’est par la petite porte que les Olympiens quittent la Coupe de France. Ce qui n’est peut-être pas plus mal en vu des prochaines échéances.



nStéphane Mbia a été le seul olympien à assumer. Le seul à faire le boulot en donnant son point de vue sur la prestation de son équipe sur le terrain de l’ETGFC. S’il fut laconique, il a quand même dit ses quatre vérités, avouant un « manque de niaque » dans un groupe qui ne semblait pas réellement concerné par la Coupe de France.
Les autres joueurs quant à eux ont fui la zone mixte du Parc des Sports d’Annecy comme des voleurs. Conscients d’avoir commis une faute, ils n’ont pas eu le courage de s’expliquer.


Certes, il ne s’agissait dimanche que des trente deuxièmes de finale, et de fait, le Stade de France pouvait sembler bien loin. Mais lorsqu’on évolue en Ligue 1, c’est toujours une petite humiliation de se faire sortir par une équipe évoluant au niveau inférieur. Même si la défaite est infligée par le champion d’automne de la L2. L’OM avait l’occasion pourtant de se refaire une santé morale avant d’aborder deux rendez-vous importants pour son avenir immédiat, que ce soit en championnat (réception de Bordeaux le 16 janvier) comme en coupe de la Ligue (demi-finale à Auxerre le 19). Un succès aux dépens d’Evian-Thonon-Gaillard aurait été la meilleure des préparations.


Au lieu de cela, c’est un collectif qui n’a plus gagné face à un adversaire français depuis le 27 novembre qui va devoir se faire violence pour éviter de sombrer dans un marasme plus profond. « Nous allons relever la tête ». Stéphane Mbia se veut rassurant. Il a même ressorti son légendaire « cette défaite est peut-être un mal pour un bien », lâché à la Mosson l’an dernier alors que l’OM avait touché le fond en championnat.
Est-il un adepte de la méthode coué ? Ou bien sent-il quelque chose au sein du groupe qui lui permet de ne pas douter ? Il est certain que son équipe va récupérer des forces vives dans les prochains jours. Blessés et suspendus vont apporter au groupe un peu plus de percussion. On souhaite que cela aboutisse à un retour en forme général.


M.G.

Un chemin de croix en Savoie

L’OM a donc chuté sur les rives du lac d’Annecy face à l’étonnant Evian-Thonon-Gaillard. Au-delà du résultat, c’est la façon dont le promu du National, leader de Ligue 2, a décroché son billet pour les seizièmes de finale qui a marqué les esprits. Car, si l’on prétend que sur un match, n’importe quelle petite équipe peut bousculer un gros bras du championnat de France, on a senti dès la fin du premier quart d’heure que ce scénario allait être plus que probable.
Sur une pelouse rapidement rendue impraticable, les Chablaisiens ont su tirer profit d’une envie visiblement supérieure à celle d’Olympiens qui ont donné le sentiment d’être ailleurs. Les hom-mes de Didier Deschamps avaient pourtant bien débuté. Mais, comme à leur habitude, alors qu’ils pouvaient tuer le suspens en moins de dix minutes, ils ont fait preuve de maladresse ou de malchance dans le dernier geste.
La malchance, c’est ce que l’on peut invoquer à propos de Leyti N’Diaye. Titularisé dans le couloir droit de la défense phocéenne, il a vécu un véritable calvaire. Les joueurs de l’ETGFC, Olivier Sorlin en tête, ont rapidement saisi où se trouvait le défaut de la cuirasse marseillaise pour s’y engouffrer. Pourtant, pour lui, comme pour l’OM, tout aurait sans doute été différent si sa reprise de la tête, en début de rencontre, avait placé le ballon quelques millimètres plus bas. Au lieu de trouver la transversale de Quentin Westberg, il aurait offert aux Provençaux un avantage qui aurait alors tout changer. Car, quelques minutes plus tard, sur la première action construite des « Roses », Cédric Barbosa mystifiait Elinton Andrade.
Le parcours de santé espéré s’est alors transformé en chemin de croix pour des Olympiens qui se sont embourbés dans la boue du Parc des Sports d’Annecy. Les deux buts de handicap à la pause apparaissaient d’ailleurs comme un moindre mal, tant les Haut-Savoyards surent mettre la patte sur le jeu, confinant l’OM au rôle de faire-valoir.
Pour un champion en titre, c’était une sacrée humiliation. En repositionnant André Ayew et en lançant son frère Jordan dans le grand bain en seconde période, Didier Deschamps a tenté de renverser la vapeur. Ce nouveau schéma a porté ses fruits puisque les Provençaux ont su se relancer dans la partie, grâce en partie au cadet des Ayew. Mais cela ne devait être qu’un feu de paille

Quel résultat pour l'OM contre Bordeaux ?
Publié le mercredi 12 janvier 2011 à 11H48


L'OM reçoit les Girondins de Bordeaux, dimanche au stade Vélodrome, à l'occasion de la 20e journée de Ligue 1. Après l'élimination en coupe de France et une période de disette dans l'Hexagone qui dure depuis le 27 novembre dernier, les Olympiens ont besoin de points. votre avis sur l'issue finale de la rencontre.INTERNAUTES

"Quel résultat pour l'OM contre Bordeaux ?"

24% Victoire
6% Match nul
70% Défaite

quel résultat pour l'OM contre Bordeaux ?
vendredi 14 janvier 2011 à 20H06


L'OM reçoit les Girondins de Bordeaux, dimanche au stade Vélodrome, à l'occasion de la 20e journée de Ligue 1. Après l'élimination en coupe de France et une période de disette dans l'Hexagone qui dure depuis le 27 novembre dernier, les Olympiens ont besoin de points. votre avis sur l'issue finale de la rencontre



Quel résultat pour l'OM contre Bordeaux ?
66% Victoire
14% Match nul
21% Défaite

Alors,on gagne?

Ce soir face à Bordeaux (21h au Vélodrome),
l’OM doit renouer avec la victoire



À l’aller, fin août, Lucho avait ouvert le score à Bordeaux. Aux autres Olympiens de s’en inspirer face à Cédric Carrasso.
Clasico, Olympico... Et celui-là, on l’appelle comment
? Championnico ?
Des grands chocs olympiens de la Ligue 1, si
PSG-OM est le plus détestable, OM-Saint-Etienne le
plus vintage, OM-OL le plus tendance, la confrontation
avec Bordeaux est la plus classique de toutes, la
plus chargée de titres, la plus décisive, car les Girondins
ont été les rivaux les plus fréquents, récurrents même
pour un OM visant le titre. Et chacun à leur tour,
Blancs brillants ou Marines élégants ont su faire basculer
le destin de leur côté, en le forçant, un soir, comme
ça, au cours de l’un des dix matches de l’une des
38journées.
Qui sait l’influence qu’aura la rencontre sur le déroulement
et le verdict du championnat ? A priori, elle
n’oppose pas les deux prétendants au titre ; pas de duo,
pas de duel cette saison. Il y a toujours Lyon, et puis
Lille et PSG, les équipes à la mode; et Rennes, malgré
son irrégularité chronique reste dans le coup. Mais Bordeaux
aussi. À la traîne, mais à l’agachon, comme pour
un vol de palombes.
Le contenu, le résultat peuvent être trompeurs, commel’avait
été la première période de Bordeaux-OM, il y
a un an, où les champions de France de Laurent Blanc
avaient bouffé les dauphins marseillais de Didier Deschamps.
À la 90e minute, ils étaient bien contents de ne
pas avoir perdu, après l’égalisation de Cheyrou, sachant
que le but de Mandanda contre son camp était
entaché d’une faute de Chamakh. Et en mars, après la
finale de la coupe de la Ligue, tout avait basculé.
Un besoin commun de points
Alors, un tel sommet, peut donner de fausses informations,
déboucher sur de fausses analyses après
coup. Mais aujourd’hui, il se présente avec une certaine
urgence.
Le besoin de points est commun, le nul qui, généralement,
ne fait de mal à personne, ne ferait guère de bien
aujourd’hui. Après un mois, un mois et demi de disette,
voire de doutes, les deux crocodiles ont besoin de
s’affirmer face à un bestiau du même marigot. S’affirmer,
c’est gagner. Gagner, c’est marquer. Marquer,
c’est... c’est...c’est quoi déjà ? Ah, oui, c’est un truc qui
arrive, mais pas assez souvent aux attaquants olympiens.
Et c’est là qu’est déjà la pression de ce match.
Mêmes’il espère aligner plus souvent une équipe-type
dans la seconde partie du championnat,Didier Deschamps
est encore en phase de recherche. Il est passé
maître dans l’art d’enrober les choses: "Je réfléchis à la
complémentarité et à la recherche de quelque chose qui
pourrait marcher. Je ne suis pas magicien, il y a plusieurs
options. J’en choisirai une, elle pourra évoluer
afin d’être plus performant dans l’animation offensive
tout en pensant à l’équilibre".
Sa formule idéale est encore virtuelle. Et les points
compteront double pour ceux qui les marqueront.
Des points qu’il faudra engranger au maximum
avant que n’arrive la Ligue des champions, qui viendra
peu à peu s’immiscer dans les esprits et peser dans les
jambes. Les Bordelais le savent.
On est entre champions

YESSSSSSSSSSSSSSSSSS

bienvenou a écrit:
Alors,on gagne?
Ce soir face à Bordeaux (21h au Vélodrome),

MAIS QUE CE FUT DUR

Mise a jour : 16 janvier 2011
L'OM repart à l'attaque
L'OM reste dans le wagon de tête après son succès sur Bordeaux (2-1). Gignac et Brandao ont tous deux inscrit leur premier but de la saison.




Gignac et Brandao ont ouvert leur compteur buts contre Bordeaux.
Marseille bat Bordeaux (2-1), avec le premier but au Vélodrome de Gignac, et de Brandao en L1 cette saison. L'OM est à 3 points de Lille, le leader.

José Anigo avait vu juste lorsqu'il nous avait confié que les Marseille-Bordeaux donnaient généralement lieu à des matches serrés. Celui-ci n'a pas dérogé à la règle, les contacts en plus. Au terme d'une rencontre particulièrement hachée, l'Olympique de Marseille a mis fin à sa série de cinq matches sans victoire. Au regard des autres résultats du week-end, ce succès s'avère particulièrement précieux. Il permet aux joueurs de Didier Deschamps de rester calés dans le peloton de tête à trois longueurs du leader lillois, qui compte cependant un match en retard à jouer.

Deux buts inscrits dans le même match, l'Olympique de Marseille n'avait plus connu pareille efficacité depuis la venue de Montpellier (4-0), le 27 novembre dernier. Coïncidence... ou pas, son dernier succès en Championnat remontait également à cette date-là. Si le réveil offensif des Marseillais demandera confirmation sur la durée, il accrédite l'idée que le parcours du champion de France en titre dépendra en grande partie du rendement de ses attaquants. Cinq jours après avoir rompu le silence, André-Pierre Gignac a retrouvé la réussite qui l'avait tant fui durant la première partie de saison. Comme un symbole, l'ancien Toulousain a ouvert la marque d'une reprise entre les jambes de Cédric Carrasso sur la première frappe du match. Les prochaines semaines diront s'il s'agissait bien du déclic attendu.

Le premier but au Vélodrome de Gignac a été suivi juste avant la mi-temps par le premier but tout court de Brandao cette saison. Au rang des accusés : Ciani et Carrasso, dont la mésentente a profité à Valbuena, passeur décisif. A 2-0, l'OM avait fait le plus dur, pensait-on. Les réajustements tactiques opérés par Jean Tigana -sortie de Sané pour Jussiê, puis entrées de Modeste et Maazou- ont permis aux Girondins d'entretenir le suspense. A la lutte avec Diawara, Sané obtenait un penalty que se chargeait de transformer l'ancien Angevin. Insuffisant cependant pour contrecarrer la marche en avant des Marseillais. De toutes les équipes de tête, Bordeaux est la seule à ne pas avoir gagné. Un gouffre -sept points- le sépare désormais des places qualificatives à la Ligue des champions, son objectif affiché