SQUADRA AZZZZZURA ...ITALIA UN PARFUM DU SUD !!

Les champions du monde entrent en jeu
Lundi 14 juin 2010
L'Italie, championne du monde en Allemagne en 2006, remet son titre en jeu à partir de ce lundi, où elle affronte le modeste Paraguay pour le premier match du groupe F du Mondial en Afrique du Sud. Autre favori à entrer en lice, les Pays-Bas, contre le Danemark, dans le groupe E.

Curieusement, les champions du monde en titre ne semblent pas vraiment attendus et sont rarement cités parmi les favoris de ce Mondial. Mais les Azzurri sont souvent allés très loin dans les grands tournois après des débuts difficiles.

Autant l'Italie, vieillissante et privée de son meneur de jeu Pirlo, ne suscite pas l'enthousiasme, autant les "Oranje" des Pays-Bas ont fait le plein de confiance, après avoir tout balayé sur leur passage pendant les matches de préparation. En marquant 12 buts sur leurs trois dernières rencontres, les Bataves, qui n'ont jamais été champions du monde, ont galvanisé leurs supporteurs et suscité d'immenses espoirs. Les Pays-Bas jouent à 11h30 GMT à Johannesburg, et l'Italie à 18h30 GMT au Cap.

la der demi heure pas mal du tout les italiens

but de de rossi
Italie - Paraguay : 1-1

Sous une pluie battante, le tenant du titre se contente d'un point. L'Italie, décevante dans la construction, a peiné face à une valeureuse équipe paraguayenne bien regroupée. L'entrée de Camoranesi a toutefois permis à la Squadra de revenir au score.


L'Italie démarre piano




De Rossi a permis à l'Italie de décrocher le nul face au Paraguay. , l'Italie, championne du monde en titre, a démarré son Mondial par un nul face au Paraguay (1-1). La Nazionale n'a pas effacé les doutes à son égard. Loin de là.

Où en sont les champions du monde en titre ? Avant le coup d'envoi du match face au Paraguay, marquant l'entrée en lice de l'Italie, la question était sur toutes les lèvres. Si la prestation des Azzurri, conclue par un nul face à l'Albirroja (1-1), ne permet pas d'y répondre catégoriquement, elle apporte tout de même quelques éléments au débat. Tentative d'analyse en deux temps.

Volontaire et désireuse de mettre du rythme d'entrée, la Nazionale a démarré la rencontre pied au plancher mais s'est longtemps cassée les dents sur un bloc collectif guarani assez bas et bien organisé. Les Transalpins parvenaient assez rapidement - et facilement - aux abords des trente derniers mètres adverses mais manquaient ensuite de percussion pour déstabiliser la rigoureuse organisation défensive sud-américaine. Et c'est finalement sur un coup de pied arrêté - un coup franc (inexistant) repris de la tête par Alcaraz (39e), plus prompt que De Rossi et Cannavaro - que l'Italie s'est laissée surprendre. Une sévère punition à sa domination stérile mais une récompense à l'intelligence tactique du Paraguay.

L'entrée en jeu de Camoranesi (59e) et le passage en 4-4-2 avec le tandem Gilardino - Iaquinta en attaque a donné à la Squadra Azzurra la force de pénétration qui lui manquait cruellement. Certes, Montolivo n'avait toujours pas l'influence d'un Pirlo au milieu mais le coaching de Marcello Lippi permettait immédiatement à son équipe de mieux utiliser toute la largeur du terrain et d'étirer les lignes paraguayennes. Conséquence de cette réorganisation ou simple coup de chance, la bande à Cannavaro a été rapidement récompensée, revenant au score par l'intermédiaire de De Rossi (63e) - bien aidé par la sortie ratée de Villar - à la réception d'un corner de Pepe. Et ensuite ? Pratiquement rien d'autre ou si peu. Pas assez en tout cas pour répondre aux questions qui se posent à son sujet.

L’Italie s’en sort bien


Green Point au Cap. Mi-temps : 0-1.
Spectacteurs: 64 000.
Arbitre : M. Benito Archundia (Mex).
Buts - Paraguay: Alcaraz (39).
Italie : De Rossi (63).
Avertissements - Italie : Camoranesi (70)
Paraguay: Caceres (62).
Italie : Buffon (Marchetti, 46) - Zambrotta,
Cannavaro (cap), Chiellini, Criscito - De
Rossi, Montolivo, Pepe, Marchisio (Camoranesi,
59), Iaquinta - Gilardino (Di Natale,
72).
Entraîneur : Marcello Lippi.
Paraguay: Villar - Bonet, Alcaraz, Da Silva,
Morel - Caceres - Vera, Riveros, Torres
(Santana, 60) - Valdez (Santa Cruz, 68),
Barrios (Cardozo, 76)..
Entraîneur : Gerardo Martino.


La Squadra Azzurra est passée
tout près d’une terrible déconvenue
pour son premier
match du Mondial 2010.
Méconnaissables durant la
première période, les champions
du monde en titre encaissaient
le premier but du match
lorsqu’Alcaraz prenait le
meilleur sur De Rossi et Cannavaro
pour tromper Buffon de la
tête. Sans doute blessé, le portier
italien était remplacé par
Marchetti à la pause.
Au retour des vestiaires, l’Italie
reprenait progressivement
du poil de la bête. Alors que Marcello
Lippi opérait quelques
changements, le Paraguay baissait
peu à peu le pied et De Rossi
égalisait assez logiquement.
Malgré quelques tentatives
en fin de match, les Italiens
concédaient le match nul pour
leur entrée dans la compétition.
Une contre-performance pour
la Squadra.

IL A LE MEMEDISCOURS QUE LES FRANCAIS ..

La Nazionale affontera l'équipe surprise de ce groupe F, la Nouvelle-Zélande qui a arraché en toute fin de match, le point du match nul contre la Slovaquie.

Daniele De Rossi «Il y a des équipes que l'on doit battre. On est supérieur. On doit faire attention bien sûr, ils ont des joueurs qui sont grands, on ne va pas jouer de longs ballons. Mais on est l'Italie, on doit gagner. Il ne manquerait plus que l'on perde», a ajouté De Rossi.

Gr. F - Du tout au rien


CES ITALIENS
J" ESPERE QUE LES ALL BLACKS VONT LEUR FAIRE FERMER LE CLAPET MAMA MIA

Les Italiens n'ont aucun doute. Ils vont ne faire qu'une bouchée de la Nouvelle-Zélande.
Avec un point au compteur, l'Italie et la Nouvelle-Zélande s'affrontent ce dimanche à Nelspruit (16h00). La première a «tout à perdre», la seconde «rien».

«On est l'Italie, on doit gagner. Il ne manquerait plus que ça...» Les propos de Daniele De Rossi, buteur italien face au Paraguay (1-1), plantent le décor. La Nouvelle-Zélande ne doit servir que de sparring-partner à la Nazionale, censée monter en puissance après des matches de préparation compliqués et une entrée en lice mi-figure mi-raisin. Alors forcément la rencontre vient à point nommé pour des champions du monde déterminés à prouver au monde entier leur aptitude à défendre dignement leur titre. Malgré tout, certains Transalpins n'ont pas la mémoire courte et se souviennent des difficultés posées par les All Whites avant d'aborder la Coupe des Confédérations en 2009 (victoire 4-3).

Alors Marcello Lippi avance avec prudence. «Lorsque la Coupe du monde commence, tout ce qui a été dit, tout ce qui s'est passé avant, ne compte plus. Mais cela n'a rien à voir avec ce qui nous attend demain (dimanche). On doit gagner de toutes nos forces si on veut continuer». Gagner, les Italiens n'ont que ce mot-là à la bouche. Il faut dire que tout autre résultat face aux Kiwis plongerait les Azzurri dans une situation inconfortable. «J'attends une équipe plus relâchée. Elle a progressé physiquement et psychologiquement. On a tout à perdre, mais on est prêt».

Prête, l'Italie a tout intérêt à l'être car la Nouvelle-Zélande, de son côté, abordera cette rencontre sans complexe et sans aucune pression. Gonflés à bloc par le nul inespéré décroché contre la Slovaquie (1-1), les joueurs de Ricki Herbert ont la ferme intention de jouer les trouble-fête. «On n'a rien à perdre, on va faire de notre mieux. On est bien préparé. On sera là», a assuré le défenseur et capitaine Ryan Nelsen.

Le ton et la teneur des propos ne sont pas différents chez le sélectionneur des All Whites. «L'équipe s'est très bien comportée jusqu'ici. Personne n'aurait imaginé la voir dans cette situation. Les joueurs feront leur possible face à l'Italie. Le groupe est soudé», a expliqué Herbert en conférence de presse d'avant-match. «Sans doute, certains nous ont-ils sous-estimés mais, maintenant, ce n'est plus le cas», s'est empressé d'enchérir Nelsen. Il ne suffit pas d'écouter pour entendre. L'Italie a tout intérêt à saisir le message

CHI VA PIANO, VA SANO E VA LONTANO

« qui va doucement, va sainement et va loin ». ...

Accrochée par la Nouvelle-Zélande (1-1) comme face au Paraguay, l'Italie jouera sa qualification jeudi lors du dernier match face à la Slovaquie.

Absente de la liste des favoris pour cette Coupe du monde 2010, l'Italie justifie jour après jour son rang. Déjà tenue en échec par le Paraguay (1-1) lundi dernier, la Nazionale a de nouveau été accrochée dimanche, par la Nouvelle-Zélande cette fois sur la même marque (1-1). Une déconvenue de poids pour les champions du monde face à une formation qui pointe au 78e rang du classement FIFA alors que De Rossi indiquait avant la rencontre : « On est l'Italie, on doit gagner. Il ne manquerait plus que ça...


, la Nazionale s'est encore retrouvée menée par ces valeureux All Whites, rapidement devant au tableau d'affichage grâce à Smeltz (7e minute). L'attaquant de Gold Coast a profité d'un ballon dévié sur le bras de Cannavaro pour battre facilement Marchetti, remplaçant de Buffon, blessé. Au sein d'un dispositif remanié en 4-4-2 (après le 4-2-3-1 contre les Paraguayens), Chiellini (17e) et Zambrotta (22e) ont ensuite frappé au-dessus avant que Montolivo ne trouve le poteau (27e). Deux minutes plus tard, Iaquinta a transformé un penalty consécutif à un tirage de maillot sur De Rossi (29e).

Profitant d'une grosse erreur de l'Italien Fabio Cannavaro, le Néo-Zélandais Shane Smeltz ouvre le score. Six jours après un match nul contre le Paraguay (1-1), l'Italie, championne du monde en titre, a de nouveau été tenue en échec 1-1 par la modeste Nouvelle-Zélande, 78e nation mondiale au classement de la Fifa.

NOS VOISINS ET AMIS ITALIENS
SONT PAS MIEUX LOTIS
EUX QUI DU TERME MAFIA
EN ONT FAIT UN ART DE VIVRE

NOUS ON A FAIT QUE DE LES COPIER

ITALIE● 22milliards d’évasion fiscale en cinq mois. La police financière
italienne a annoncé, hier, avoir identifié pour 22,2 milliards
d'euros de revenus non déclarés au cours des cinq premiers mois
de cette année, dans le cadre de l'offensive contre l'évasion fiscale
lancée pendant la crise économique. Les impôts et taxes dus sur ces
montants atteignent 3,1 milliards d'euros, a-t-elle précisé.3790 évadés
fiscaux ont aussi été identifiés

OUI MAIS FAISON CONFIANCE A NOS VOISINS ITALIENS LES ROIS DU RESULTAT ALAMBIQUE ..


LIPPI SONGE A JOUER AU BASKET EN CAS D" ELIMINATION

l'Italie en danger
le jeudi 24 juin 2010 à 07H25 L'ITALIE EN DANGER"
L'entraîneur de l'Italie, Marcello Lippi. Championne du monde en titre, la Squadra Azzurra en est réduite à jouer sa qualification pour les huitièmes de finale du Mondial sud-africain dans son dernier match du groupe F.
JOHANNESBURG - Championne du monde en titre, l'Italie en est réduite à jouer sa qualification pour les huitièmes de finale du Mondial sud-africain dans son dernier match du groupe F.
La Squadra Azzurra s'est singulièrement compliqué la tâche en concédant deux matches nuls contre le Paraguay (1-1) et la Nouvelle-Zélande (1-1) après avoir été à chaque fois menée au score.
S'il lui suffit, pour passer ce premier tour, de gagner contre une Slovaquie peu convaincante depuis le début du tournoi, l'équipe de Marcello Lippi n'a pas encore offert d'argument convaincant quant à sa capacité à hisser son niveau de jeu au cours des prochains matches, comme c'est souvent son habitude.
Comme le craignait la presse transalpine, le patron de la défense Fabio Cannavaro est émoussé et porte en grande partie la responsabilité des deux buts encaissés jusqu'ici par l'équipe.
Devant, l'Italie peine à trouver un créateur et ses attaquants se distinguent par leur manque d'inventivité, qu'ils compensent à l'énergie.
Lippi table sur le retour en forme d'Andrea Pirlo, le maître à jouer des champions de 2006, absent des deux premiers matches pour cause de blessure au mollet.
"Il a beaucoup d'expérience. Il n'est jamais submergé par l'émotion. C'est un vrai meneur pour cette équipe et son absence pèse beaucoup", souligne l'ancien international azzurro Giuseppe Bergomi, champion du monde en 1982.
Le meneur du Milan AC a participé lundi à sa première séance d'entraînement complète depuis le début du Mondial, mais il ne sera que remplaçant contre les Slovaques.
"Il ne débutera pas, il sera remplaçant et sera disponible", a dit Lippi lors d'une conférence de presse mercredi.

le champion du monde 2006 subit le même affront que l'autre finaliste
e^tre eliminé au 1 er tour par une superbe et surprenante équipe slovaque
elle termine comme la france dernière de son groupe

conclusion logique de 2 équipes vieillisantes retour en europe
Paraguay - N.-Zélande : 0-0
Slovaquie - Italie : 3-2


1 PARAGUAY 5 3 1 2 0 3 1 +2
2 SLOVAQUIE 4 3 1 1 1 4 5 -1
3 NOUVELLE-ZELANDE 3 3 0 3 0 2 2 0
4 ITALIE 2 3 0 2 1 3 4 -1

CIAO ITALIA ...


Lippi :«Moi le responsable» Autrement plus digne que Raymond Domenech,
MAIS EST CE POSSIBLE DE L "ETRE MOINS QUE RAYMOND LA SCIENCE



Le sélectionneur italien Marcello Lippi a hurlé sur le banc, mais n'a pas réussi à renverser la vapeur.
Autrement plus digne que Raymond Domenech, le sélectionneur italien Marcello Lippi assume entièrement le retentissant échec de l'élimination au 1er tour de la Nazionale.

«Marcello Lippi, comment expliquez-vous cette élimination ?
Je tiens à dire que j'assume l'entière responsabilité de cet échec. Nous avions un match important à jouer et l'équipe s'est présentée avec de la terreur dans les jambes, la tête et le coeur. Cela veut dire que le nécessaire n'a pas été fait et que l'entraîneur n'a pas bien préparé techniquement, tactiquement et psychologiquement son équipe. Ce soir, nous sommes accablés.

Quelle est votre part de responsabilité ?
Je suis extrêmement désolé pour nos supporters, pour le sport italien et pour la fédération. Je sentais que cette équipe était capable de faire certaines choses. Il apparaît clair que je ne l'ai pas bien préparée. Merci à tous pour ces quatre années, en partie fantastiques et en partie décevantes. La responsabilité est pour moi. C'est moi qui ai construit cette équipe. Elle m'a convaincu et j'ai voulu répéter l'expérience de la Coupe du Monde en 2006. Je regrette énormément cette issue.

Qu'est-ce qui n'a pas bien fonctionné ?
Cette fois, je n'ai pas réussi à donner la bonne motivation à mes joueurs. Nous n'avons pas été brillants lors des deux premiers matches contre le Paraguay et la Nouvelle-Zélande. Si nous avions concrétisé nos occasions, peut-être cela aurait-il été suffisant. Je n'ai pas réussi à créer les bonnes conditions psychologiques. Pirlo et Buffon nous auraient beaucoup servi mais nous n'avons pas d'excuses. Je ne veux pas me poser en victime. Je pense avoir joué un rôle important lorsque nous avons eu des résultats probants, et cette fois j'ai eu un rôle important dans l'échec.


Quel est aujourd'hui le niveau du football italien ?
Ce n'est pas un moment très brillant, mais le football italien ne s'est exprimé ce soir qu'une heure et un quart. Vous ne pouvez pas offenser les joueurs, ils ne le méritent pas.

Regrettez-vous de ne pas avoir sélectionné Francesco Totti ?
Non, non, je ne regrette pas mon choix. Les raisons de sa non-convocation, la presse italienne les connaît. Avec Totti, je ne crois pas que nous aurions gagné la Coupe du monde à nouveau. Je suis profondément désolé.

Savez-vous quel sera votre avenir ?
Déjà, je suis prêt à faire face à cette situation. Je ne pense pas que les garçons ont été conditionnés par le fait qu'ils savaient que j'allais quitter mon poste de sélectionneur après le Mondial. Maintenant, je veux juste dire «bonne chance» à mon successeur. Quant à moi, je ne veux pas immédiatement entraîner de nouveau. Je souhaite faire un break de quelques mois pour tout bien évaluer. »

ENBAISSE ▼
LA SQUADRA
L'Italie, championne du monde
en titre, a été éliminée au premier
tour après sa défaite 2-3
contre la Slovaquie à l'Ellis Park
de Johannesburg.
Après l'élimination de la France,
les deux finalistes de la dernière
édition sont passés à la trappe,
une première dans l'histoire de
la Coupe du monde. L’attitude
du sélectionneur est toutefois
bien différente, Marcello Lippi
ayant plaidé coupable "J'assume
toute la responsabilité (de cet
échec). Je n'ai pas préparé l'équipe
suffisamment bien", a déclaré
Lippi, livide. Il y a des vérités
qu’on aurait aimé entendre dans
la maison bleue...

Italie en difficulté




L'Italie d'Amauri a eu beaucoup de mal contre la Côte d'Ivoire. Et elle a perdu 0-1 !
Mardi soir, deux matches amicaux ont vu l'Italie s'incliner contre la Côte d'Ivoire (0-1)
Sous la pluie battante du Boleyn Ground de West Ham qui n'avait plus accueilli de rencontre internationale depuis près de huit ans, Cesare Prandelli s'est rendu compte de tout le travail qu'il avait à accomplir pour relancer l'Italie. Trop lente, battue physiquement et surtout techniquement par la Côte d'Ivoire, la Nazionale s'est logiquement inclinée (0-1). Pourtant, les Ivoiriens n'ont toujours pas de sélectionneur et Didier Drogba n'était pas là... Mais derrière, le gardien Yeboah a été très solide, bien aidé par un Demel des grands soirs. Devant, le nouvel attaquant du CSKA Doumbia a fait exploser l'arrière-garde transalpine. Pendant ce temps-là, Gervinho et Kalou ont régalé...

Si l'Italie a trouvé le poteau au retour des vestiaires sur une montée de Motta (47e), ce sont les Eléphants qui ont logiquement ouvert le score. De la tête, Kolo Touré a dominé Chiellini et Bonucci pour battre un Sirigu qui n'a pas démérité du match (54e). Le trio Balotelli-Cassano-Amauri a montré beaucoup de belles choses en début de rencontre avant de s'éteindre.



Italie : Sirigu - Motta (Cassani, 69e), Bonucci, Chiellini, Molinaro - De Rossi, Palombo (Montolivo, 80e), Pepe (Marchisio, 73e) - Balotelli (Quagliarella, 58e), Cassano (Rossi, 69e), Amauri (Borriello, 58e)Côte d'Ivoire : Yeboah - Demel (K.Coulibaly, 56e), Kolo Touré, Zokora, Tiéné - Tioté, Yaya Toure, Eboué - Gervinho (Koné, 91e), Doumbia (Sagbo, 61e), S.Kalou (Faé, 84e

Le quadruple champion du monde n'a toujours pas digéré sa piteuse élimination au premier tour du Mondial sud-africain. Pour tourner la page, il a besoin de passer à autre chose. Ça tombe bien, d'entrée d'éliminatoires les Italiens vont devoir être au niveau, vendredi en Estonie, face au leader du groupe après sa victoire inaugurale face aux Iles Féroé (2-1). Avec son nouveau sélectionneur, Cesare Prandelli qui remplace Marcelo Lippi, la Nazionale va laisser leur place aux jeunes. Quatre des joueurs convoqués sont notamment novices en sélection (Luca Antonelli, Cesare Bovo, Lorenzo De Silvestri et Daniele Gastaldello). Ce n'est pas pour autant que l'ancien coach de la Fiorentina ne comptera pas sur les anciens. Ainsi, Andrea Pirlo, blessé avant la Coupe du monde, fera son retour face à adversaire qui n'a jamais battu l'Italie (4 défaites).

EURO 2012 ÉLIMINATOIRES
L’Italie se cherche
une nouvelle Nazionale

Antonio Cassano, écarté de la liste des 23 mondialistes, conduira
l’attaque italienne en Estonie.

Il n’y a pas qu’en France que
la Coupe du monde sud-africaine
a laissé des traces. De l’autre
côté des Alpes, le traumatisme
fut d’autant plus retentissant
que la Squadra Azzurra avait
grimpé sur le toit du monde en
Allemagne, en 2006.
Deux nuls contre le Paraguay
et la Nouvelle-Zélande puis
une défaite contre la Slovaquie
avant une humiliante élimination
dès le premier tour : voilà le
bilan de l’Italie lors du Mondial.
Cesare Prandelli, successeur
de Marcello Lippi à la tête
de la Nazionale, a du pain sur la
planche. Au moins autant que
Laurent Blanc...
S’il n’a pas à faire face à des
suspensions, l’ancien entraîneur
de la Fiorentina a également
considérablement rajeuni
son effectif, Andrea Pirlo restant
le seul "ancien", promu au
rang de capitaine.
Le reste est composé des jeunes
rescapés du naufrage
sud-africain (Chiellini, De Rossi,
Pepe, Motolivo), de néophytes
(Antonelli, Bovo, De Silvestri
et Gastaldello) ou de revenants,
à l’image du fantasque
Antonio Cassano. Avec son coéquipier
de la Sampdoria, Giampaolo
Pazzini, il conduira l’attaque
de c e t t e Nazionale
new-look à Tallin, face à l’Estonie.
Déjà un match piège

GROUPEC
Hier
Iles Féroé - Serbie...................................0 - 3
Estonie - Italie ........................................1 - 2
Slovénie - Irlande du Nord.....................0 - 1
PTS J G N P BP BC G
1. Serbie 3 1 1 0 0 3 0 3
2. Italie 3 1 1 0 0 2 1 1
3. Irl. du Nord 3 1 1 0 0 1 0 1
4.Estonie 3 2 1 0 1 3 3 0
5. Slovénie 0 1 0 0 1 0 1 -1
6. Iles Féroé 0 2 0 0 2 1 5 -4
Mardi 7 septembre
Serbie - Slovénie..................................20h30
Italie - Iles Féroé ..................................20h50

GROUPEC● L’Italie à samain. La Squadra Azzurra n’a pas
fait de détails face aux Îles Féroé. Deux points positifs : l’Italie,
après un Mondial catastrophique, poursuit sa reconstruction,
tandis qu’Alberto Gilardino, longtemps courtisé par
l’OM, a retrouvé le chemin des filets, ce qui ne lui était plus
arrivé depuis le 28 mars, toutes compétitions confondues.
➔ Le classement : 1. Italie 6 pts (2 m.) ; 2. Serbie 4 (2 m.) ; 3. Irlande du Nord 3 pts (1
m.) ; 4. Estonie 3 pts (2 m.) ; 5. Slovénie 1 pt (2 m.) ; 6. Îles Féroé 0 pt (3 m.).

UN GROUPE BRULANT
5 CANDIDATS POUR UNE¨PLACE ET UN STRAPONTIN
SERBIE ESTONIE IRLANDE DU NORD ITALIE SLOVENIE

ven 08/10/2010 à Belgrade SERBIE ESTONIE 20h30
à Belfast IRLANDE DU NORD ITALIE 20h45
à Ljubljana SLOVENIE ILES FEROE 20h45
mar 12/10/2010 à Toftír ILES FEROE IRLANDE DU NORD 17h00
à Tallinn ESTONIE SLOVENIE 20h30
à Gênes ITALIE SERBIE 20h50



Rang Équipes Points Joués Gagnés Nuls Perdus B. pour B. contre diff.
1 ITALIE 6 2 2 0 0 7 1 +6
2 SERBIE 4 2 1 1 0 4 1 +3
3 IRLANDE DU NORD 3 1 1 0 0 1 0 +1
4 ESTONIE 3 2 1 0 1 3 3 0
5 SLOVENIE 1 2 0 1 1 1 2 -1

le comité de discipline de l'UEFA a sanctionné la Serbie en lui donnant match perdu, sur tapis vert (3-0), face à l'Italie, suite aux incidents survenus le 13 octobre lors du match éliminatoire à l'Euro 2012 entre les deux sélections
Ce jour-là à Gênes, la rencontre avait été arrêtée après quelques minutes en raison de jets projectiles divers ainsi que de fumigènes sur la pelouse. A noter que l'Italie a également écopé d'un match à huis clos avec sursis