PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE

Finale - Le coeur de Cruyff balance




Johann Cruyff, Néerlandais, mais fan de l'Espagne.
Dans un entretien accordé jeudi au journal El Periodico de Catalunya, la légende Oranje, Johan Cruyff, finaliste du Mondial 1974, a estimé que l'Espagne est «la grande favorite» pour remporter la Coupe du monde sud-africaine, dimanche face... aux Pays-Bas. «La sélection de Del Bosque est montée en puissance et se retrouve en finale alors qu'elle est à son apogée dans le jeu». Il ajoute : «Mercredi, l'Allemagne qui nous avait séduits contre l'Argentine, a joué son football (...) un football qui aurait suffi pour battre n'importe quelle sélection mais pas l'Espagne».

L'ancien joueur et entraîneur du FC Barcelone, premier pourvoyeur d'internationaux espagnols (sept joueurs sur la pelouse mercredi pour affronter l'Allemagne), s'est félicité, indiquant que «l'Espagne, la copie du Barça, est la meilleure pub pour le football». Son coeur balance donc, au moment où l'une des deux formations soulèvera le trophée pour la première fois de son histoire : «Je suis Néerlandais mais je défends le football que pratique l'Espagne. Je veux profiter de cette finale intensément.»

FINALE DU CÔTÉ DES PAYS-BAS
Cocu, Rensenbrink: des anciens partagés


Philip Cocu, demi-finaliste
en 1998, est aujourd’hui entraîneur
adjoint de l’équipe des
Pays-Bas.
Robby Rensenbrink, finaliste
en 1974 et 1978, a suivi le Mondial
comme consultant pour la
chaîne néerlandaise NDS.
Si les deux gauchers souhaitent
la victoire de leur pays, ils
n’ont pas le même sentiment
sur leur équipe.
"C’est un Mondial un peu ennuyeux.
Notamment l’équipe
des Pays-Bas. Je ne l’ai pas encore
vue faire un bon match.
Dixminutes par-ci, vingt minutes
par-là, oui. Pas impressionnant",
dit Rensenbrink.
"Notre équipe mérite de gagner
parce qu’elle conserve le
ballon et joue un football très
plaisant, avec des passes rapides.
On va de l’avant, on joue
pour gagner", estime Cocu. Celui-
ci ajoute : "Nous avons les
moyens d’être champions du
monde. Cette équipe est très forte.
Beaucoup de joueurs évoluent
dans les meilleurs clubs
européens. Nos adversaires pensent
d’abord à défendre, ils savent
qu’on a un gros potentiel offensif."
Rensenbrink pense, lui, que
les Pays-Bas ne peuvent gagner
que "sur une action individuelle
d’Arjen Robben, le seul qui
aurait pu jouer en 1974, avec
Wesley Sneijder. Je ne pense pas
que le football total soit mort.
Aujourd’hui, ce n’est pas beau.
Nous voulons toujours gagner
en jouant bien. Je ne crois pas
que l’équipe d’aujourd’hui défende
mieux qu’alors, avec le terrible
Ruud Krol. Le plus, c’est le
gardien, je n’en ai jamais
connu de meilleur que Stekelenburg."
Les deux y croient tout de même.
Pour Rensenbrink: "Une finale,
c’est du 50/50, mais
j’aurais préféré l’Allemagne qui
laissait plus d’espaces et était
moins expérimentée."
Cocu mise sur la dynamique:
"Pour être champions du
monde, on devait battre une
équipe comme le Brésil, avec de
grands joueurs.On doit en profiter,
mais il ne faut pas relâcher
la pression

Van Persie : "L'Espagne est favorite"

Samedi 10 juillet 2010



À 24 heures du coup d'envoi de la finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 entre les Pays-Bas et l'Espagne, Robin van Persie parle en exclusivité de ses craintes, de son impatience et de ses rêves. "L'Espagne est légèrement favorite", estime le joueur d'Arsenal dans un entretien tout en sincérité au cours duquel il évoque également ce que cela signifierait pour lui de faire partie de la première équipe néerlandaise victorieuse de l'épreuve suprême.
Que vous a dit le sélectionneur Bert van Marwijk à propos de cette finale ?
Il a dit beaucoup de choses. Il a insisté sur le fait que nous pouvions être fiers de notre parcours, sauf qu'il reste un échelon à franchir, un match où nous devrons encore tout donner. Ensuite, il pourrait y avoir quelque chose de merveilleux au bout. Nous avons la possibilité de donner à énormément de gens une joie qu'ils n'ont jamais ressentie.

Les Pays-Bas ont déjà disputé deux finales, en 1974 et 1978, mais se sont inclinés à chaque fois. La troisième sera-t-elle la bonne ?
Je le souhaite du fond du cœur. Je sais ce que cela signifie pour les Pays-Bas. Aller en finale, c'est bien. La gagner, c'est beaucoup plus difficile, mais également beaucoup plus beau. C'est ce que nous allons essayer de faire demain. C'est la troisième fois de notre histoire que nous atteignons la finale. Ce n'est pas rien. Mais si nous perdons, les gens seront déçus, même si dans l'ensemble nous aurons fait un bon tournoi. J'espère que nous saurons éviter cette déception.

Votre adversaire, l'Espagne, a clairement dominé l'Allemagne en demi-finale. Cela vous inquiète-t-il ?
Les Espagnols veulent avant tout avoir le ballon. Je pense qu'il faut leur mettre la pression. Si vous les laissez jouer, ils dominent le match et de fait, vous n'êtes plus maîtres de la situation. Ce n'est pas mon scénario préféré.

Beaucoup de gens disent que l'Espagne est favorite. Que vous inspire l'équipe de Vicente del Bosque ?
C'est une équipe fantastique, avec de très bons défenseurs et des milieux extraordinaires. On peut dire la même chose de leurs attaquants. Si vous ajoutez à cela une circulation de balle brillante, il n'y a rien d'étonnant à ce que l'Espagne soit favorite. Mais en même temps, ça ne veut rien dire. Ce qui est sûr, c'est que cette finale sera spectaculaire, car les deux équipes aiment jouer et combiner. Logiquement, il devrait y avoir de l'espace pour s'exprimer.

Serez-vous dans le rôle de l'outsider ?
Oui. Je dirais que l'Espagne est légèrement favorite car elle est championne d'Europe et possède un effectif d'une qualité impressionnante. Cela dit, c'est vrai aussi pour nous.

Sentez-vous la pression monter à mesure que la finale approche ?
Pas vraiment, non. En termes de suivi médiatique et de pression, nous ne savons quasiment rien de ce qui se passe aux Pays-Bas ou dans le reste du monde. C'est très bien comme ça d'ailleurs.

Le milieu de terrain espagnol Cesc Fabregas joue avec vous à Arsenal. Avez-vous été en contact avec lui ? Serait-il étrange pour vous de jouer contre lui ?
Nous avons échangé quelques SMS. C'est vrai, c'est toujours un peu bizarre de jouer contre un coéquipier de club. Cesc est un joueur formidable. Je suis toujours étonné quand je vois qu'il n'est pas titulaire en équipe d'Espagne. J'avoue que je ne comprends pas. C'est pourtant un footballeur incroyable. Cela fait six ans que nous sommes ensemble à Arsenal et chaque année, il progresse. Ce n'est pas pour rien qu'il est capitaine à Arsenal. J'ai énormément de respect pour lui.

Chez vous, vous avez une photo de Diego Maradona tenant la Coupe du Monde. Qu'est-ce que cela signifie pour vous ?
La première réponse qui me vient à l'esprit, c'est que je n'avais jamais imaginé être en position d'avoir moi-même ce trophée entre les mains. Peut-être demain ! J'ai une très belle photo de lui sur les épaules de deux coéquipiers. Il tient la Coupe du Monde dans ses mains et il a un visage radieux. Cette photo est dans ma salle de jeux. Je l'adore, car elle exprime à la fois un bonheur et une passion immenses. Elle symbolise à elle seule tout ce à quoi aspire un footballeur. Si nous gagnons demain, j'aurai peut-être une photo identique, avec moi-même comme sujet !

Comment voyez-vous les derniers moments avant le coup d'envoi de la finale ?
Vu que je n'ai jamais joué une finale de Coupe du Monde, je vais essayer d'imaginer. En général, je ne parle pas trop aux adversaires dans le tunnel. Il m'arrive de dire quelques mots, quasiment par politesse. À ce niveau, je pense qu'une finale de Coupe du Monde n'est pas bien différente de n'importe quel match de Premier League ou de Coupe d'Europe. Vous avez vos habitudes et vous ne disposez que de 45 minutes pour vous préparer. Le temps de se faire un peu masser, de se strapper les chevilles, de s'échauffer un peu sur le terrain et c'est déjà l'heure du coup d'envoi. C'est une routine. Rien de bien excitant là-dedans.

Sauf que vous serez peut-être à 90 minutes de soulever la Coupe du Monde de la FIFA...
C'est vrai. C'est étrange, presque drôle. J'essaie de ne pas trop y penser. Je me concentre sur le match plus que sur ce qui pourrait se passer derrière.

PAS QUE LE SENTIMENT QUI EST TRES DUR
MAIS VOS TACLES ASSASSINSTRES DURS
QUI MERITAIENT D" ENVOYER VANBOMMEL ET DE JONZ AUX VESTIAIRES AVANT LA MI-TEMPS
l'arbitre catastrophique n'ayant pas osé sortir le rouge par deux fois sur des attentats sur le jeu espagnol

LES PAYS BAS AVAIENT QU" ILS ALLAIENT DETRUIRE LE MILIEU ESPAGNOL OUI MAIS PAS AU SENS SALE COMME CA


«Un sentiment très dur»

PAYS-BAS - ESPAGNE : 0-1
Wesley Sneijder: «On a eu des occasions, c'est dommage, on était si près de gagner la Coupe du monde. On est tristes. On ne peut pas penser à l'avenir maintenant parce qu'on vient de perdre la finale, c'est un sentiment très dur. On doit être fiers d'être deuxièmes, on a fait une Coupe du monde incroyable. On va fêter ça avec nos supporters du premier jour. Je pense que nous avons perdu face à la meilleure équipe.»

Arjen Robben (attaquant des Pays-Bas): «Sur la première (de ses deux occasions manquées face à Casillas, ndlr), je ne joue pas très bien le coup. Il faut être clair. Je suis pourtant bien lancé. Mais ce n'est pas évident... Il m'a manqué un peu de lucidité. La deuxième, c'est plus difficile, je suis déséquilibré. C'est dommage. Notre organisation n'était pas mauvaise. C'est le football.»

Joris Mathijsen (défenseur des Pays-Bas): (les larmes aux yeux) «Ca fait mal, on était si près. Si on veut devenir champion du monde, il faut concrétiser ce genre de moment (les deux occasions manquées par les Pays-Bas pendant le temps réglementaire, ndlr).» (

Bert Van Marwijk
sélectionneur des Pays-Bas :
"Je suis déçu, je ne peux pas le
cacher. Nous avons perdu mais
nous avons mieux joué ; seulement,
nous n’avons pas été en
mesure de prendre l’avantage
au moment décisif."

14 A TOUT JAMAIS BRAVO CRUYFF ..
Véritable légende vivante, le Néerlandais Johan Cruyff, qui a instauré le «football total» dans les années 1970, sans toutefois parvenir à s'immiscer sur le toit du monde, malgré une finale en 1974, a vivement critiqué la prestation des Oranje, dimanche lors de la finale du Mondial sud-africain face à l'Espagne. Au quotidien catalan El Periodico, il a déploré une équipe néerlandaise qui a joué «lamentablement et tristement de manière très sale» en pratiquant un «anti-football».

«Laid, vulgaire, dur, hermétique»
Le tripleBallon d'Or France Football (1971, 1973, 1974)a stigmatisé le style «laid, vulgaire, dur, hermétique» de ses compatriotes, jouant de manière «plus individuelle que collective». L'ancien joueur de l'Ajax d'Amsterdam et du FC Barcelone s'en est également pris à l'arbitre de la rencontre, Howard Webb, qui, selon lui, aurait dû «expulser deux joueurs hollandais». van bommel et de jong
Des déclarations qui ne tomberont pas dans l'oreille d'un sourd, dans son pays natal,
lui qui avait pourtant clamé son admiration pour l'équipe néerlandaise
dans un entretien samedi au quotidien De Telegraaf.

Pour leur premier match depuis la finale du Mondial perdue face à l'Espagne (0-1), les Pays-Bas n'ont pas énormément de souci à se faire, vendredi contre San Marin, dernier pays au classement Fifa (202e). Même s'ils seront privés des deux pièces maîtrises, Arjen Robben et Robin van Persie, tous deux blessés, les hommes de Bert van Marwijk abordent la rencontre avec sérénité. Et il y a de quoi. Pour preuve, leur adversaire n'a plus gagné le moindre match officiel depuis le 28 avril 2004 (1-0 face au Liechstenstein). Pis, contre les Oranje, les joueurs de la Principauté ont encaissé 23 buts sans jamais réussir à en mettre un, en quatre rencontres seulement. L'occasion sera ainsi offerte à Ruud van Nistelrooy, rappelé après deux ans d'absence en sélection, d'améliorer ses statistiques. Autre intérêt côté néerlandais : savoir qui héritera du brassard de capitaine après la retraite de Giovanni van Bronckhorst.

c'est l'arbitre du match qui aurait donner un rouge ou la ligue anglaise devait suspendre cet assassin
le coach hollandais est digne c'est mieux il ne veut d pas de voyous dans sa selection

Bert van Marwijk a exclu temporairement Nigel de Jong


de la sélection néerlandaise à la suite de son violent tacle sur Hatem Ben Arfa lors du match entre Manchester City et Liverpool dimanche (2-1) (Photo Presse-Sports). Victime d'une double fracture tibia-péroné, le milieu offensif prêté par l'OM est absent pour au moins six mois.

Une donnée dont le sélectionneur néerlandais n'a pas pu se passer. «Je ne voyais pas d'autre solution, a-t-il déclaré lundi dans un communiqué publié par sa Fédération. Je viens d'en informer l'équipe et je leur ai dit pourquoi. J'en parlerai avec De Jong prochainement.» Les Pays-Bas joueront contre la Suède et la Moldavie en éliminatoires de l'Euro 2012. Dans cette optique, Wout Brama (Twente) et Urby Emanuelson (Ajax) ont été appelés à la rescousse.

La sélection néerlandaise
GARDIENS : Maarten Stekelenburg (Ajax), Piet Velthuizen (Hércules Alicante/ESP), Michel Vorm (FC Utrecht).
DÉFENSEURS : Khalid Boulahrouz (VfB Stuttgart/ALL), Peter Wisgerhof (FC Twente), John Heitinga (Everton/ANG), Joris Mathijsen (Hambourg SV/ALL), Gregory van der Wiel et Urby Emanuelson (Ajax), Erik Pieters (PSV).
MILIEUX : Ibrahim Afellay (PSV), Mark van Bommel (Bayern Munich/ALL), Theo Janssen (FC Twente), Stijn Schaars (AZ), Wesley Sneijder (Inter/ITA), Rafael van der Vaart (Tottenham Hotspur/ANG), Demy de Zeeuw (Ajax) et Wout Brama (Twente)
ATTAQUANTS : Eljero Elia et Ruud van Nistelrooy (Hambourg SV/ALL), Klaas Jan Huntelaar (Schalke 04/ALL), Dirk Kuyt (Liverpool/ANG), Jeremain Lens (PSV)

L ASSASSIN DE JONG NE JOUE PAS
SUEDE OU PAYS BAS 1 ET 2

ET ven 08/10/2010 à Budapest HONGRIE SAINT-MARIN 19h00
à Chisinau MOLDAVIE PAYS-BAS 20h30
mar 12/10/2010 à Helsinki FINLANDE HONGRIE 17h30
à Serravalle SAINT-MARIN MOLDAVIE 20h30
à Amsterdam PAYS-BAS SUEDE 20h30
mer 17/11/2010 à Helsinki FINLANDE SAINT-MARIN 17h30


Rang Équipes Points Joués Gagnés Nuls Perdus B. pour B. contre diff.
1 SUEDE 6 2 2 0 0 8 0 +8
2 PAYS-BAS 6 2 2 0 0 7 1 +6
3 HONGRIE 3 2 1 0 1 2 3 -1
4 MOLDAVIE 3 2 1 0 1 3 2 +1
5 FINLANDE 0 2 0 0 2 1 4 -3
6 SAINT-MARIN 0 2 0 0 2 0 11 -11

les Pays-Bas en tête de leur groupe, affronte leur dauphin.
Dans les autres rencontres disputées vendredi, les Pays-Bas (groupe E) auront pour leur part 1 déplacement compliqué
Les vice-champions du monde néerlandais, qui ont remporté leurs quatre premiers matches, se rendront pour leur part à Budapest. Deuxièmes à trois longueurs, les Hongrois devront oublier qu'ils restent sur cinq défaites consécutives face aux "Oranje", les deux dernières étant particulièrement sévères: 7-1 en 1994 et 6-1 en 2010

Oranje sans souci


Ibrahim Afellay a été très bon contre la Hongrie vendredi.
Les Pays-Bas n'ont fait qu'une bouchée de la Hongrie vendredi (4-0), ce qui leur permet d'accentuer leur avance en tête du groupe E, avec six point d'avance sur leurs adversaires.
Le carton plein continue pour les Pays-Bas. Après San Marin (5-0), la Finlande (2-1), la Moldavie (1-0) et la Suède (4-1), c'est au tour de la Hongrie de s'incliner (4-0) contre les Néerlandais, qui ont remporté vendredi leur cinquième victoire depuis le début des éliminatoires pour l'Euro 2012. Un succès qui leur permet de consolider leur emprise sur le groupe E, dont ils sont leaders, avec quinze points de pris sur quinze possibles.
Les Hongrois, deuxièmes du groupe, voulaient mettre fin à une série de cinq revers de rang contre les Oranje. La dernière fois qu'ils s'étaient imposés contre les finalistes du dernier Mondial, c'était en 1986 et un match de qualification pour l'Euro 1988 (0-1). Compétition remportée par les Néerlandais. Ils ont fait illusion 8 minutes, le temps d'encaisser un premier but par Rafael van der Vaart, parfaitement trouvé dans la surface par Wesley Sneijder. Le ton de la soirée était donné. Et Gabor Kiraly est allé chercher le ballon dans ses filets à trois autres reprises. Juste avant la mi-temps, Ibrahim Afellay, intenable, a inscrit son troisième but en sélection, sur un centre de Gregory van der Wiel (45e).

Vingt-quatre minutes plus tard, en comptant la mi-temps, Dirk Kuyt a triplé la mise, sur une passe courte de Van Persie (54e). Ce dernier a clôt la marque, sur un deuxième centre décisif de Van der Wiel (62e). Le score, déjà considérable, aurait pu être beaucoup plus lourd, mais Afellay (16e et 32e), Kuyt (39e), Van Persie (50e) ou Sneijder (66e) ont, soit raté le cadre, trouvé le gardien hongrois ou la barre transversale, comme ce fut le cas sur la merveille de ballon piqué du meneur de l'Inter. Les Hongrois, qui étaient invaincus à domicile en éliminatoires, prennent une grosse claque. Ils conservent la deuxième place du groupe, trois points devant les Suédois, avec deux matches en plus. Autant dire que la qualification pour l'Euro 2012 est largement compromise pour les coéquipiers de Balasz Dzsudzsak.

Le cavalier seul des Pays-Bas ?
Leaders du groupe E, les
Pays-Bas ont l’occasion de prendre
le large. En cas de victoire ce
soir sur la Hongrie, les Néerlandais,
qui ont enregistré quatre
succès en autant de matches,
compteraient alors 9 points
d’avance sur les Hongrois.
Dans le groupe I, l’Espagne, en
déplacement en Lituanie, a également
l’opportunité de conforter
sa solide place de leader



Groupe E - Aujourd’hui
Suède - Moldavie .............................19h
Pays-Bas - Hongrie .....................20h30

EURO U17
Une finale Pays-Bas - Allemagne
L'Allemagne vient d'obtenir son ticket pour la finale de l'Euro 2011 U17, en battant le Danemark (2-0). Elle sera opposée aux Pays-Bas ce dimanche au Karadjordje Stadium de Novi Sad (Serbie).

Le match des prétendants 15/11/2011 à 00:49

De tous les matches amicaux disputés ce mardi, celui prévu à Hambourg entre l'Allemagne et les Pays-Bas est le plus alléchant, entre deux prétendants pour le titre européen l'été prochain. Focus.


Wesley Sneijder mènera le jeu des Oranje.
Les enjeux
Match amical oblige, les enjeux seront forcément moindres qu'un barrage retour comme vont en disputer huit équipes européennes mardi soir. Cette rencontre entre l'Allemagne et les Pays-Bas sera en revanche riche en enseignements entre les deux meilleures équipes européennes depuis la Coupe du monde 2010. A huit mois de l'Euro, le vainqueur de ce match de prestige se placera comme LE grand favori de la compétition ukraino-polonaise.

La forme
- Les Allemands n'ont plus perdu depuis le 29 mars 2011 et une défaite (1-2) contre l'Australie en amical. Ils ont frôlé la correctionnelle vendredi dernier, mais ils ont arraché le nul contre l'Ukraine (3-3) alors qu'ils étaient menés de deux buts (1-3). Ils ont en revanche réalisé un sans-faute lors des éliminatoires de l'Euro en remportant leurs dix matches du groupe A et se sont également offerts un succès de prestige (2-1) contre le Brésil le 10 août. - Les Pays-Bas restent sur deux matches sans victoire. Ils auraient pu imiter les Allemands dans leur groupe de qualifications à l'Euro 2012, le E, mais ils ont perdu leur dixième et dernier match contre la Suède (2-3). Ils n'ont pas été très rassurants contre la Suisse vendredi
puisqu'ils ont concédé un triste nul (0-0).

Les joueurs


- Joachim Löw devra faire sans Marcel Schmelzer pour la rencontre de mardi, puisque le défenseur du Borussia Dortmund s'est blessé contre l'Ukraine et a déclaré forfait. Il a en revanche récupéré Miroslav Klose (genou), Manuel Neuer (réservé) et Marco Reus (grippé) qui sont désormais à la disposition de sélectionneur allemand. - Côté néerlandais, Bert van Marwijk sera privé de deux éléments clés: Robin van Persie et Rafael van der Vaart. Le sélectionneur néerlandais a décidé de laisser l'attaquant d'Arsenal rentrer en Angleterre pour qu'il puisse se reposer. Il sera remplacé par Klas-Jan Huntelaar à la pointe de l'attaque des Oranje
Quant au meneur de Tottenham, il s'est blessé à une cuisse vendredi lors du match amical face à la Suisse (0-0). Il ne reverra donc pas Hambourg, où il a joué entre 2005 et 2008.

La phrase
D'Oliver Bierhoff, le manager général de l'équipe d'Allemagne : « Voilà un match extrèmement sérieux. Nous voulons envoyer le signal que nous pouvons battre les meilleurs. On veut finir l'année sur une victoire et, clairement, battre les Pays-Bas, doublerait le plaisir ».

La stat : 3
Comme le nombre de buts que les Allemands ont marqué lors de leurs trois derniers matches. Ils ont battu la Turquie et la Belgique sur le même score (3-1) avant de concéder le nul contre l'Ukraine vendredi (3-3).

Les Pays-Bas puissance 4
Le 15/12/2011 à 23:35 | Mis à jour le 15/12/2011 à 23:51

Les Pays-Bas détiendront le plus fort contingent de clubs (quatre en l'occurence) en 16e de finale, dont le tirage a lieu ce vendredi à 13h00. Les Pays-Bas envoient le plus grand contingent de clubs en 16es de finale: quatre. L'Ajax, reversé de C1, sera accompagné par Twente, le PSV Eindhoven et Alkmaar (qualifié d'un cheveu devant l'Austria Vienne). Le Portugal est également bien représenté, puisqu'outre Benfica qualifié pour les 8e de finale de C1, trois clubs lusitaniens poursuivront l'aventure en Ligue Europa, avec Porto (tenant du titre), Braga (finaliste) et le Sporting. Il en va de même pour l'Espagne avec, outre l'Atletico, Bilbao et Valence, reversé de C1.

TETES DE SERIE
Reversés de C1 : Manchester United, Manchester City, Olympiakos, Valence Premiers de groupes de C3 : Sporting Portugal, Besiktas, Athletic Bilbao, Schalke 04, Twente, Anderlecht, PAOK Salonique, Standard de Liège, PSV Eindhoven, Metalist Kharkiv, Bruges, Atletico Madrid

NON TETES DE SERIE
Reversés de C1 : Trabzonspor, Ajax Amsterdam, FC Porto, Viktoria Plzen Deuxièmes de groupes de C3 : Lazio Rome, Stoke, Salzbourg, Steaua Bucarest, Wisla Cracovie, Lokomotiv Moscou, Rubin Kazan, Hanovre, Legia Varsovie, Alkmaar, Braga, Udinese NDLR : Les têtes de série auront l'avantage de recevoir au match retour. Deux clubs issus d'une même poule ou d'un même pays ne peuvent être tirés au sort l'un contre l'autre

Sans Emanuelson et Maduro
Le 15/05/2012 | Mis à jour le 15/05/2012 22:11:00

Le sélectionneur hollandais Bert van Marwijk a opéré ce mardi un premier tri dans sa liste très élargie de 36 joueurs. Neuf joueurs sont passés à la trappe, parmi lesquels les deux défenseurs expérimentés Urby Emanuelson (AC Milan), pourtant favori pour suppléer Erik Pieters blessé, et Hedwiges Maduro (Valence). En revanche, le jeune Jetro Willems, 18 ans, reste dans le groupe qui rejoindra Lausanne jeudi pour préparer un match amical contre le Bayern Munich.

La liste des 27 Néerlandais
Gardiens de but : Maarten Stekelenburg (AS Rome), Tim Krul (Newcastle United), Michel Vorm (Swansea City)
Défenseurs : Vurnon Anita (Ajax Amsterdam), Khalid Boulahrouz (VFB Stuttgart), Wilfred Bouma (PSV Eindhoven), John Heitinga (Everton), Joris Mathijsen (Malaga), Ron Vlaar (Feyenoord), Gregory van der Wiel (Ajax Amsterdam), Jetro Willems (PSV Eindhoven)
Milieux de terrain : Ibrahim Afellay (Barcelone), Mark van Bommel (AC Milan), Nigel de Jong (Manchester City), Adam Maher (AZ Alkmaar), Stijn Schaars (Sporting Portugal), Wesley Sneijder(Inter Milan), Kevin Strootman (PSV Eindhoven), Rafael van der Vaart (Tottenham Hotspur)
Attaquants : Klaas Jan Huntelaar (Schalke04), Luuk de Jong (Twente Enschede), Siem de Jong (Ajax Amsterdam), Dirk Kuyt (Liverpool), Jeremain Lens (PSV Eindhoven), Luciano Narsingh (Heerenveen), Robin van Persie (Arsenal), Arjen Robben (Bayern Munich)

Le «groupe de la mort» en action

Toutes les formations du «groupe de la mort» (le B) seront aussi sur le pont (Allemagne, Pays-Bas, Portugal, Danemark).
Les Vikings disputeront ensuite un ultime test face à l'Australie (2 juin) avant leur entrée en matière à l'Euro face aux Pays-Bas (9 juin)
. Les Bataves, justement, se mesurent à la Bulgarie (20h), en Suisse. Bert van Marwijk, le sélectionneur néerlandais, doit encore éliminer quatre joueurs pour constituer sa liste des 23.

Pays-Bas : Les 23 dévoilés LISTE COSTAUD

Bert van Marwijk, le sélectionneur des Pays-Bas, a dévoilé ce samedi la liste des 23 joueurs appelés à disputer l'Euro 2012 (8 juin - 1er juillet). Les défenseurs Wilfred Bouma (PSV Eindhoven, 33 ans, dernière sélection lors de l'Euro 2008) et Jetro Willems (PSV Eindhoven, 18 ans, 0 sélection) sont les deux surprises de la liste. Vurnon Anita (Ajax Amsterdam), Siem de Jong (Ajax Amsterdam), Adam Maher (AZ Alkmaar) et Jeremain Lens (PSV Eindhoven) sont les quatre joueurs qui resteront à la maison pendant la compétition.

La selection des Pays-Bas :

Gardiens : Maarten Stekelenburg (AS Rome), Tim Krul (Newcastle), Michel Vorm (Swansea City).

Défenseurs : Khalid Boulahrouz (VFB Stuttgart), Wilfred Bouma (PSV Eindhoven), John Heitinga (Everton), Joris Mathijsen (Malaga), Ron Vlaar (Feyenoord), Gregory van der Wiel (Ajax Amsterdam), Jetro Willems (PSV Eindhoven).

Milieux : Ibrahim Afellay (FC Barcelone), Mark van Bommel (PSV Eindhoven), Nigel de Jong (Manchester City), Stijn Schaars (Sporting), Wesley Sneijder (Inter Milan), Kevin Strootman (PSV Eindhoven), Rafael van der Vaart (Tottenham Hotspur).

Attaquants : Klaas Jan Huntelaar (Schalke 04), Luuk de Jong (Twente), Dirk Kuyt (Liverpool), Luciano Narsingh (Heerenveen), Robin van Persie (Arsenal), Arjen Robben (Bayern Munich).

Euro - HOL
«Plus dur qu'un Mondial»
Le 01/06/2012 | Mis à jour le 01/06/2012 19:51:09

«L'Euro sera très difficile, plus difficile qu'une Coupe du monde, parce qu'il n'y a que des équipes fortes», estime le milieu de l'Inter Milan Wesley Sneijder, en stage de préparation avec la sélection des Pays-Bas avant le départ la semaine prochaine pour son camp de base en Pologne. «Nous avons un groupe solide, à nous de passer le premier tour et après nous verrons», a poursuivi le maître à jouer des Oranje, qui débuteront contre le Danemark le 9 juin avant d'affronter l'Allemagne et le Portugal dans "le groupe de la mort" du tournoi. «Dans ce genre de compétition, vous avez besoin de beaucoup de choses, besoin de chance notamment et que tout le monde reste en forme» a-t-il poursuivi. Est-ce l'année des Pays-Bas, sevrés de titre depuis l'Euro 1988 ? «On a vraiment envie de gagner cette fois... Le groupe se connaît depuis longtemps maintenant, avec le coach (Bert van Marwijk) également. Notre ambition est vraiment d'aller chercher le titre.»

Pays-Bas - Irlande du Nord : 6-0
Le 02/06/2012 | Mis à jour le 03/06/2012 00:11:58


Ibrahim Afellay et Robin van Persie ont chacun inscrit un doublé. (

Pour leur dernier match de phase préparatoire samedi, les Pays-Bas ont étrillé l'Irlande du Nord (6-0). Le sélectionneur néerlandais Bert van Marwijk avait choisi de titulariser Robin van Persie à la pointe de l'attaque, et grand bien lui en a pris car l'attaquant d'Arsenal a inscrit un doublé (11e, 29e s.p.), comme Ibrahim Afellay (37e, 51e). Après deux défaites (3-2 au Bayern Munich et 2-1 face à la Bulgarie) et une victoire poussive face à la Slovaquie (2-0), les vice-champions du monde se sont rassurés à l'avant-veille de leur départ vers leur camp de base de Cracovie, en Pologne, pays co-organisateur de l'Euro avec l'Ukraine.