PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Le 04/06/2014 à 23:41:00 | Mis à jour le 05/06/2014 à 05:01:09
Foot
Coupe du Monde Pays-Bas Van Persie touché à l'aine
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Sorti à la pause face au pays de Galles (2-0) mercredi, Robin van Persie souffre de l'aine. Le staff néerlandais ne semble toutefois pas très inquiet à propos de l'attaquant de Manchester United à neuf jours du match face à l'Espagne pour le début du Mondial. «Nous l'avons sorti par précaution car ce n'était pas un match important, a expliqué Louis van Gaal. Il était surtout important de le préserver pour la Coupe du monde.»
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Coupe du Monde Pays-Bas Van Persie touché à l'aine
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Sorti à la pause face au pays de Galles (2-0) mercredi, Robin van Persie souffre de l'aine. Le staff néerlandais ne semble toutefois pas très inquiet à propos de l'attaquant de Manchester United à neuf jours du match face à l'Espagne pour le début du Mondial. «Nous l'avons sorti par précaution car ce n'était pas un match important, a expliqué Louis van Gaal. Il était surtout important de le préserver pour la Coupe du monde.»
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Amical: Les Pays-Bas s'envolent avec une victoire
Attendus dans neuf jours face à l'Espagne à Rio de Janeiro pour un remake de la finale de la Coupe du monde 2010, les Pays-Bas ont conclu leur série de match de préparation par une victoire mercredi à Amsterdam face au pays de Galles (2-0). Robben a fait la différence dans ce match, buteur en première période (32e) puis passeur décisif sur le but de Lens en seconde période (76e). Les Néerlandais s'envolent donc pour le Brésil après un nul contre l'Equateur (1-1), une victoire face au Ghana (1-0) et ce succès contre les Gallois. Mais dans le jeu, les Oranje n'ont pas franchement rassuré leurs supporteurs.
Attendus dans neuf jours face à l'Espagne à Rio de Janeiro pour un remake de la finale de la Coupe du monde 2010, les Pays-Bas ont conclu leur série de match de préparation par une victoire mercredi à Amsterdam face au pays de Galles (2-0). Robben a fait la différence dans ce match, buteur en première période (32e) puis passeur décisif sur le but de Lens en seconde période (76e). Les Néerlandais s'envolent donc pour le Brésil après un nul contre l'Equateur (1-1), une victoire face au Ghana (1-0) et ce succès contre les Gallois. Mais dans le jeu, les Oranje n'ont pas franchement rassuré leurs supporteurs.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
L'Italie et les Pays-Bas sont arrivés au Brésil
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L'Italie, les Pays-Bas, la Côte d'Ivoire et la Bosnie-Herzégovine ont fait leur arrivée au Brésil, a annoncé la Fifa vendredi, à six jours du coup d'envoi du Mondial. Les Italiens ont atterri tôt dans la matinée à la Base Aérea do Galeão de Rio de Janeiro, avant de rejoindre leur camp de base situé à Mangaratiba au sud de l'Etat de Rio. La sélection néerlandaise a de son côté atterri à l'aéroport international de Rio, d'où elle est partie pour intégrer son hôtel dans le quartier d'Ipanema
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L'Italie, les Pays-Bas, la Côte d'Ivoire et la Bosnie-Herzégovine ont fait leur arrivée au Brésil, a annoncé la Fifa vendredi, à six jours du coup d'envoi du Mondial. Les Italiens ont atterri tôt dans la matinée à la Base Aérea do Galeão de Rio de Janeiro, avant de rejoindre leur camp de base situé à Mangaratiba au sud de l'Etat de Rio. La sélection néerlandaise a de son côté atterri à l'aéroport international de Rio, d'où elle est partie pour intégrer son hôtel dans le quartier d'Ipanema
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Mondial 2014 : ça chauffe du côté des Pays-Bas !
Publié le Lundi 09/06/2014 à 17H01
Alors que la Coupe du monde 2014 débute dans dans trois jours, l'ambiance n'est apparemment pas au beau fixe au sein de la sélection hollandaise. En témoigne cette scène à l'entraînement, où Arjen Robben et Bruno Martins Indi se sont expliqués sèchement après des tacles appuyés sur le joueur du Bayern Munich.
Toutes les infos sur le Mondial en live
Ça chauffe entre Robben et un coéquipier à l'entraînement des Pays-Bas ! by Evidence Production
Publié le Lundi 09/06/2014 à 17H01
Alors que la Coupe du monde 2014 débute dans dans trois jours, l'ambiance n'est apparemment pas au beau fixe au sein de la sélection hollandaise. En témoigne cette scène à l'entraînement, où Arjen Robben et Bruno Martins Indi se sont expliqués sèchement après des tacles appuyés sur le joueur du Bayern Munich.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Pays-Bas : Clasie remplacerait De Guzman contre l'Espagne
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Selon les informations qui ont filtré de l'entraînement à huis clos des Néerlandais, lundi, le milieu de terrain Jonathan de Guzman, touché à une cuisse en amical contre le pays de Galles (2-0), pourrait être remplacé par Jordy Clasie vendredi pour l'entrée en lice des Pays-Bas dans la Coupe du monde face à l'Espagne (21h00). Le joueur du Feyenoord Rotterdam, qui faisait en effet partie du onze de base aligné par Louis van Gaal, le sélectionneur des Oranje, serait associé à Nigel de Jong au poste de milieu défensif derrière les trois éléments offensifs (Sneijder, Van Persie et Roben) et devant une défense composée de cinq hommes (Janmaat, Vlaar, de Vrij, Martins Indi et Blind).
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Selon les informations qui ont filtré de l'entraînement à huis clos des Néerlandais, lundi, le milieu de terrain Jonathan de Guzman, touché à une cuisse en amical contre le pays de Galles (2-0), pourrait être remplacé par Jordy Clasie vendredi pour l'entrée en lice des Pays-Bas dans la Coupe du monde face à l'Espagne (21h00). Le joueur du Feyenoord Rotterdam, qui faisait en effet partie du onze de base aligné par Louis van Gaal, le sélectionneur des Oranje, serait associé à Nigel de Jong au poste de milieu défensif derrière les trois éléments offensifs (Sneijder, Van Persie et Roben) et devant une défense composée de cinq hommes (Janmaat, Vlaar, de Vrij, Martins Indi et Blind).
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Robben-Martins Indi, ça chauffe
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A quatre jours de ses débuts face à l'Espagne, la sélection néerlandaise s'entraîne sérieusement. Bruno Martins Indi, le joueur de Feyenoord, et Nigel De Jong semblent particulièrement motivés quitte à mettre le pied à l'entraînement. Tant pis pour Wesley Sneijder, taclé par le joueur du Milan, et Arjen Robben. Si le meneur de jeu de Galatasaray s'est relevé sans rien dire après le tacle de De Jong, Robben n'a pas du tout apprécié le tampon de son coéquipier en sélection et lui a fait savoir sur l'action suivante. Chaud ! Avant la petite tape amicale de Louis van Gaal sur le dos du joueur du Bayern Munich pour le calmer.
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A quatre jours de ses débuts face à l'Espagne, la sélection néerlandaise s'entraîne sérieusement. Bruno Martins Indi, le joueur de Feyenoord, et Nigel De Jong semblent particulièrement motivés quitte à mettre le pied à l'entraînement. Tant pis pour Wesley Sneijder, taclé par le joueur du Milan, et Arjen Robben. Si le meneur de jeu de Galatasaray s'est relevé sans rien dire après le tacle de De Jong, Robben n'a pas du tout apprécié le tampon de son coéquipier en sélection et lui a fait savoir sur l'action suivante. Chaud ! Avant la petite tape amicale de Louis van Gaal sur le dos du joueur du Bayern Munich pour le calmer.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Espagne - Pays-Bas. 13 juin à Salvador de Bahia. Groupe B[/size]
Iniesta et les Espagnols tenteront de conserver leur titre. | Reuters
Outre le fait qu'il s'agisse de l'entrée en compétition du tenant du titre, l'Espagne, c'est surtout le remake de la finale de la dernière Coupe du monde. Le maître à jouer de la sélection et du FC Barcelone, Andrès Iniesta, avait alors donné la victoire à la Roja face aux rugueux Oranje.
Après avoir conservé l'Euro (2008 et 2012), la sélection de Vicente del Bosque tentera de conserver son titre mondial. Seul le Brésil a réussi cet exploit auparavant (1958-1962).
La Roja se lance à la conquête d'un historique triplé Mondial-Euro-Mondial. Les Espagnols pourront compter sur un milieu de terrain frôlant la perfection avec un mélange entre expérience (Iniesta, Xavi, Fabregas, Xabi Alonso, Busquets, David Silva) et jeunesse (Koke, Javi Martniez).
De leur côté, les Oranje pourront s'appuyer sur l'expérience de son secteur offensif avec Robin Van Persie et Arjen Robben, mais aussi sur un effectif rajeuni en masse. Cillessen, Janmaat, Veltman, De Vrij ou encore Martins Indi devraient ainsi faire office de titulaires.
Iniesta et les Espagnols tenteront de conserver leur titre. | Reuters
Outre le fait qu'il s'agisse de l'entrée en compétition du tenant du titre, l'Espagne, c'est surtout le remake de la finale de la dernière Coupe du monde. Le maître à jouer de la sélection et du FC Barcelone, Andrès Iniesta, avait alors donné la victoire à la Roja face aux rugueux Oranje.
Après avoir conservé l'Euro (2008 et 2012), la sélection de Vicente del Bosque tentera de conserver son titre mondial. Seul le Brésil a réussi cet exploit auparavant (1958-1962).
La Roja se lance à la conquête d'un historique triplé Mondial-Euro-Mondial. Les Espagnols pourront compter sur un milieu de terrain frôlant la perfection avec un mélange entre expérience (Iniesta, Xavi, Fabregas, Xabi Alonso, Busquets, David Silva) et jeunesse (Koke, Javi Martniez).
De leur côté, les Oranje pourront s'appuyer sur l'expérience de son secteur offensif avec Robin Van Persie et Arjen Robben, mais aussi sur un effectif rajeuni en masse. Cillessen, Janmaat, Veltman, De Vrij ou encore Martins Indi devraient ainsi faire office de titulaires.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Espagne - Pays-Bas : le remake de la finale 2010 en entrée
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Publié le 13/06/2014 à 06h00 , modifié le 13/06/2014 à 08h21
Les finalistes de 2010 s’affrontent pour un match qui vaut déjà cher. Mais en quatre ans, les deux équipes ont bien changé.
Andres Iniesta, auteur du but décisif en finale face aux Pays-Bas il y a quatre ans. © Photo
photo afp
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C
e soir à Salvador c'est par le plat de résistance que s'ouvre le menu du groupe B. « Je souffre toujours en repensant à la finale de 2010, avoue le meneur néerlandais Sneijder. La cicatrice n'est pas refermée. Nous étions si proches du but ! » La finale de la dernière Coupe du monde entre les deux équipes (1-0 pour l'Espagne après prolongation) reste évidemment dans toutes les têtes. Mais entre l'Afrique du Sud et le Brésil, il y a un océan.
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Pour chaque équipe, il s'agira d'abord de terminer en tête de la poule pour éviter le Brésil, grand favori du groupe A, dès les huitièmes de finale. Le calibre de l'adversaire écrase ainsi la rengaine d'un premier match qui serait forcément le plus important : l'Espagne avait perdu le sien en 2010 (1-0 face à la Suisse) avant de finir couronnée… « Nous voulons entrer du bon pied dans cette compétition, cela nous permettrait d'engranger davantage de confiance pour conserver le titre », nuance cependant le milieu Javi Martinez.
Mais depuis la dernière finale, le panorama a changé. La Roja a perdu en finale de la Coupe des Confédérations (3-0 face au Brésil) et le FC Barcelone de sa superbe… Alors on abdique ce jeu qui paraît moins léthal ? Pas question : le fameux tiki-taca, ou toque, fait de possession et de passes courtes, a tout de même permis de conquérir un triplé historique (Euro 2008, Mondial 2010, Euro2012) et demeure le fondement de la Seleccion. Del Bosque continue aussi de s'appuyer sur la même ossature : Casillas, Ramos, Piqué, Busquets, Xabi Alonso, Xavi, Iniesta. « Nous avons neuf ou dix joueurs fixes », a-t-il reconnu.
Reste cependant l'éternelle question de la pointe de l'attaque. Plutôt qu'au « faux 9 » Fabregas utilisé à l'Euro-2012, la tendance est à un avant-centre de métier, Torres ou Diego Costa.
Les Oranje en contre
Côté Pays-Bas, les stars offensives Sneijder, Van Persie et Robben sont toujours là, notamment derrière, cinq illustres inconnus (lire par ailleurs). Oui, cinq défenseurs ! Exit le 4-3-3, marque déposée des Néerlandais. Le sélectionneur Louis van Gaal estime que « jouer avec trois attaquants et seulement quatre défenseurs face à l'Espagne, c'est aller au casse-pipe ».
Il compte défendre à huit et miser sur des contre-attaques et des exploits de ses individualités offensives. « J'ai une totale confiance dans le choix de l'entraîneur d'évoluer de la sorte, abonde Sneijder. Lors des trois derniers matches amicaux (Équateur, Ghana et pays de Galles), nous n'avons concédé aucune occasion en 270 minutes et nous nous sommes créés de nombreuses possibilités en contre. » Sera-ce suffisant face à l'Espagne, qui n'est pas tout à fait du même calibre ?
C’est qui ces Bataves ?
Les cinq défenseurs que les Pays-Bas aligneront ce soir sont quasiment inconnus, même pour les amateurs de football. Petite présentation pour mieux s’y retrouver ce soir.
Daryl Janmaat (Feyenoord, 24 ans). Il profite de la blessure de ses concurrents au poste d’arrière droit (Van der Wiel, etc). Défenseur très offensif, il a cette saison inscrit trois buts et délivré près d’une dizaine de passes décisives en Championnat.
Stefan de Vrij (Feyenoord, 22 ans). Cet arrière central droitier est le grand espoir du football néerlandais. Il pourrait même devenir son futur patron. Malgré son jeune âge, il est depuis deux saisons le capitaine du Feyenoord. Courtisé par Schalke 04, Liverpool, Tottenham et Manchester United, il ne devrait pas rester longtemps méconnu du grand public.
Ron Vlaar (Aston Villa, 29 ans). Patron de la défense, il est le seul à évoluer à l’étranger et aussi le seul rescapé de l’Euro 2012 où il avait joué deux des trois matches perdus par les Pays-Bas.
Bruno Martins Indi (Feyenoord, 22 ans). Le quatrième des cinq défenseurs néerlandais issus de Feyenoord. Gaucher, capable d’évoluer dans l’axe ou sur le côté, ce natif du Portugal est réputé pour son caractère affirmé et jovial. Il n’hésite jamais à se frotter aux anciens, comme à Robben avec qui il a eu une altercation cette semaine. Il serait le chouchou de Van Gaal.
Daley Blind (Ajax Amsterdam, 24 ans). Fils de Danny Blind, ancienne gloire de l’Ajax et aujourd’hui entraîneur-adjoint des… Pays-Bas, Daley est le prototype du joueur polyvalent. À Amsterdam, il évolue tantôt en défense centrale, en milieu défensif ou à l’arrière gauche. C’est à cette place que Van Gaal a décidé de l’employer en sélection.
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Publié le 13/06/2014 à 06h00 , modifié le 13/06/2014 à 08h21
Les finalistes de 2010 s’affrontent pour un match qui vaut déjà cher. Mais en quatre ans, les deux équipes ont bien changé.
Andres Iniesta, auteur du but décisif en finale face aux Pays-Bas il y a quatre ans. © Photo
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e soir à Salvador c'est par le plat de résistance que s'ouvre le menu du groupe B. « Je souffre toujours en repensant à la finale de 2010, avoue le meneur néerlandais Sneijder. La cicatrice n'est pas refermée. Nous étions si proches du but ! » La finale de la dernière Coupe du monde entre les deux équipes (1-0 pour l'Espagne après prolongation) reste évidemment dans toutes les têtes. Mais entre l'Afrique du Sud et le Brésil, il y a un océan.
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Pour chaque équipe, il s'agira d'abord de terminer en tête de la poule pour éviter le Brésil, grand favori du groupe A, dès les huitièmes de finale. Le calibre de l'adversaire écrase ainsi la rengaine d'un premier match qui serait forcément le plus important : l'Espagne avait perdu le sien en 2010 (1-0 face à la Suisse) avant de finir couronnée… « Nous voulons entrer du bon pied dans cette compétition, cela nous permettrait d'engranger davantage de confiance pour conserver le titre », nuance cependant le milieu Javi Martinez.
Mais depuis la dernière finale, le panorama a changé. La Roja a perdu en finale de la Coupe des Confédérations (3-0 face au Brésil) et le FC Barcelone de sa superbe… Alors on abdique ce jeu qui paraît moins léthal ? Pas question : le fameux tiki-taca, ou toque, fait de possession et de passes courtes, a tout de même permis de conquérir un triplé historique (Euro 2008, Mondial 2010, Euro2012) et demeure le fondement de la Seleccion. Del Bosque continue aussi de s'appuyer sur la même ossature : Casillas, Ramos, Piqué, Busquets, Xabi Alonso, Xavi, Iniesta. « Nous avons neuf ou dix joueurs fixes », a-t-il reconnu.
Reste cependant l'éternelle question de la pointe de l'attaque. Plutôt qu'au « faux 9 » Fabregas utilisé à l'Euro-2012, la tendance est à un avant-centre de métier, Torres ou Diego Costa.
Les Oranje en contre
Côté Pays-Bas, les stars offensives Sneijder, Van Persie et Robben sont toujours là, notamment derrière, cinq illustres inconnus (lire par ailleurs). Oui, cinq défenseurs ! Exit le 4-3-3, marque déposée des Néerlandais. Le sélectionneur Louis van Gaal estime que « jouer avec trois attaquants et seulement quatre défenseurs face à l'Espagne, c'est aller au casse-pipe ».
Il compte défendre à huit et miser sur des contre-attaques et des exploits de ses individualités offensives. « J'ai une totale confiance dans le choix de l'entraîneur d'évoluer de la sorte, abonde Sneijder. Lors des trois derniers matches amicaux (Équateur, Ghana et pays de Galles), nous n'avons concédé aucune occasion en 270 minutes et nous nous sommes créés de nombreuses possibilités en contre. » Sera-ce suffisant face à l'Espagne, qui n'est pas tout à fait du même calibre ?
C’est qui ces Bataves ?
Les cinq défenseurs que les Pays-Bas aligneront ce soir sont quasiment inconnus, même pour les amateurs de football. Petite présentation pour mieux s’y retrouver ce soir.
Daryl Janmaat (Feyenoord, 24 ans). Il profite de la blessure de ses concurrents au poste d’arrière droit (Van der Wiel, etc). Défenseur très offensif, il a cette saison inscrit trois buts et délivré près d’une dizaine de passes décisives en Championnat.
Stefan de Vrij (Feyenoord, 22 ans). Cet arrière central droitier est le grand espoir du football néerlandais. Il pourrait même devenir son futur patron. Malgré son jeune âge, il est depuis deux saisons le capitaine du Feyenoord. Courtisé par Schalke 04, Liverpool, Tottenham et Manchester United, il ne devrait pas rester longtemps méconnu du grand public.
Ron Vlaar (Aston Villa, 29 ans). Patron de la défense, il est le seul à évoluer à l’étranger et aussi le seul rescapé de l’Euro 2012 où il avait joué deux des trois matches perdus par les Pays-Bas.
Bruno Martins Indi (Feyenoord, 22 ans). Le quatrième des cinq défenseurs néerlandais issus de Feyenoord. Gaucher, capable d’évoluer dans l’axe ou sur le côté, ce natif du Portugal est réputé pour son caractère affirmé et jovial. Il n’hésite jamais à se frotter aux anciens, comme à Robben avec qui il a eu une altercation cette semaine. Il serait le chouchou de Van Gaal.
Daley Blind (Ajax Amsterdam, 24 ans). Fils de Danny Blind, ancienne gloire de l’Ajax et aujourd’hui entraîneur-adjoint des… Pays-Bas, Daley est le prototype du joueur polyvalent. À Amsterdam, il évolue tantôt en défense centrale, en milieu défensif ou à l’arrière gauche. C’est à cette place que Van Gaal a décidé de l’employer en sélection.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Le 13/06/2014 à 09:36:00 | Mis à jour le 13/06/2014 à 09:45:57
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Coupe du Monde Revue de presse: L'Espagne gonflée à bloc avant le choc contre les Pays-Bas
Pour leur entrée dans la compétition (vendredi, 21h00), les médias espagnols se montrent plus que confiants dans une victoire de leur sélection. Côté néerlandais, on craint une déferlante de la Roja et on mise beaucoup sur le sens tactique du sélectionneur Louis van Gaal pour s'en sortir.
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La confiance n'est pas la même dans les médias espagnols et néerlandais ce vendredi. (D.R)
«La couleur orange a perdu de sa force» Pour cette première rencontre contre les Néerlandais, l'Espagne championne du monde part ultra favorite. C'est en tout cas ce que semble sous-entendre la presse ibérique. Même le très sérieux El País ironise à propos de l'adversaire : «La couleur orange a perdu de sa force.»
Le quotidien revient longuement sur la méthode de Louis van Gaal, un sélectionneur «extrêmement rigoureux (...) qui dispose déjà d'un plan pour chaque match du mondial». Van Gaal, «le parfait maître d'école», est capable de «fabriquer des automates» et de mettre en place des tactiques pour vaincre des joueurs «même de qualité supérieure», souligne le journal. Son concurrent El Mundo rappelle «le très gros danger» que représentent Van Persie, Robben et Sneijder, «les trois d'en haut» chez les Néerlandais.
«Silence, le champion joue»
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720 000 euros de prime pour les Espagnols en cas de victoire
Du côté des journaux sportifs, la confiance est au plus haut. AS prévient ainsi les adversaires potentiels de la Roja : «Silence, le champion joue.» Et de citer le coach Vicente Del Bosque : «Nous n’avons peur de personne.» Marca, de son côté, s’adresse à ses joueurs avant «le plus grand défi de leur histoire, remporter une quatrième compétition internationale d’affilée» avec un magistral «On y croit» en une.
Le quotidien La Razon se montre lui plus poétique en titrant : «L’Espagne se reprend à rêver.»
Un « défi énorme » pour les Néerlandais
Du côté des Pays-Bas, le rêve se veut bien plus réaliste, comme en témoigne cette interview de Van Persie parue dans les colonnes du quotidien De Telegraaf. «Commencer par un match contre l'Espagne, c'est un défi énorme. Il faut dire que c'est une des meilleures équipes du monde», tient à rappeler l’attaquant des Orange. Avant d'ajouter : «Mais nous aussi, nous avons des qualités. On pourra dire que la Coupe du monde a été une réussite si à la fin on fait le bilan, et si on se dit que nous avons réalisé un beau tournoi.»
De son côté, le quotidien Trouw analyse le système mis en place par Louis Van Gaal pour ce soir. La formation néerlandaise doit permettre «de piéger des Espagnols habiles grâce à un cercle de défenseurs et de milieux de terrain». Mais quoi qu'il arrive, «ses joueurs doivent rester dans la trame prévue et finalement "saisir les adversaires à la gorge"» en fin de match, comme Van Gaal le dit lui-même, conclut le journal.
Dans tous les cas, si les Orange ne veulent pas perdre tout espoir avant même le coup d’envoi, ils ne devront pas lire le quotidien régional Leidsch Dagblad. Celui-ci rapporte que les Néerlandais ont un lapin qui prévoit les résultats des matchs, comme le célèbre Paul le Poulpe en 2008 et 2010. Il avait déjà fait ses preuves lors de l'Eurovision et lors de la Ligue des champions, explique le journal. Et pour le match de ce soir, il prévoit une victoire... de l'Espagne.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Espagne- Pays-Bas: larevanche
GROUPE B La Roja tenantedu titre affronte d’entrée sonadversaire lors de la finaledumondial sud-africainen 2010
GROUPE B La Roja tenantedu titre affronte d’entrée sonadversaire lors de la finaledumondial sud-africainen 2010
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Mondial: les Pays-Bas supplicient l'Espagne
Publié le 13/06/2014 à 23:05, Mis à jour le 14/06/2014 à 00:04
Iker Casillas dépité après le 4e but des Pays-Bas inscrit par Robin van Persie, à Salvador, au premier tour du groupe B du Mondial. Javier Soriano / AFP
Une révolte, une révolution ? Les champions du monde espagnols se sont fait écraser 5-1 dès leur entrée en lice vendredi dans le Mondial-2014, par des Pays-Bas prenant symboliquement leur revanche sur la finale de la Coupe du monde 2010.
Les Néerlandais prennent ainsi une belle option pour la tête du groupe B et éviter ainsi, a priori, une finale avant la lettre face au Brésil, grand favori de la poule A. Quant aux hommes de Vicente Del Bosque, il s'agit déjà de sortir du trou face au Chili et à l'Australie.
Il n'a fallu attendre que le troisième match du tournoi brésilien pour assister à la première énorme surprise, d'une ampleur inédite pour un tenant du titre. Surtout quand il est en outre double champion d'Europe ! Forcément, le trône espagnole vacille et perd subitement de sa superbe.
Forcément, aussi, on se souvient que la Roja avait perdu son premier match lors du Mondial sud-africain (1-0 face à la Suisse). Une défaite expliquée par la thèse de l'accident ou du hold-up au vu du jeu à sens unique pour les Espagnols ce jour-là. Celle de vendredi ressemble plutôt à une abdication.
- Abdication ? -
Car peu après le roi Juan Carlos, c'est la Seleccion qui a semblé abandonner sa couronne lors d'une seconde période insipide, après une première déjà terne. Elle a montré les limites de son fameux jeu de possession quand il n'a pas de conclusion et ainsi souffert.
Elle a pourtant ouvert la marque par Xabi Alonso sur penalty (27e), mais a encaissé ensuite deux doublés de Van Persie et Robben et un but de Vrij. Souffert ? Un martyre !
La correction se matérialisait par quelques séquences humiliantes où le public accompagnait les passes néerlandaises de "olé!" ! La Roja toréée par le pays des tulipes !
Les Néerlandais ont observé, respecté les champions du monde en première période. Mais l'égalisation de Van Persie, d'une superbe tête plongeante et lobée (44e), les libérait.
- Casillas rampant -
A eux la direction du jeu, à eux les occasions, et à eux les buts. Et les effluves de la revanche, pour Robben surtout. Le grand malheureux de la finale de 2010 s'est cette fois amusé avec un doublé, en se jouant d'abord de Piqué (53e), puis de Casillas qu'il met à terre, fait presque ramper avant de le fusiller au bout d'une attaque fulgurante (80e).
La gardien et capitaine espagnol était d'ailleurs le principal supplicié de la bande à Vicente Del Bosque, auteur d'une mauvaise sortie, gêné par Van Persie, dont bénéficiait De Vrij pour le 2-1 (65e), puis d'une faute grossière dont profitait Van Persie pour signer le 3-1 (72e) qui tue. Le capitaine néerlandais, élu homme du match, a même expédié une demi-volée puissante sur la barre (60e).
Et le public était heureux ! Il y avait des rouges façon Roja, des "Oranje" et des jaunes, les locaux, qui avaient pris fait et cause pour les Néerlandais. Les Brésiliens nourrissaient certes de la sympathie pour les stars Xavi et Iniesta, mais leur rancoeur contre Diego Costa s'avérait plus forte.
Le nom du Brésilien naturalisé espagnol, qui a disputé deux matches amicaux avec la Seleçao avant de choisir la Seleccion, a d'abord été copieusement sifflé. A chaque touche de balle, le buteur était ensuite sifflé et le public a même entonné plusieurs fois un "Diego, viado !" (Diego, pédé!)...
Et comme si sa "trahison" ne suffisait pas, l'attaquant obtenait un penalty très litigieux, en retombant sur la jambe de De Vrij... Bronca monumentale pour le tireur, Xabi Alonso, qui exécutait la sentence (27e).
L'égalisation a donné lieu a une grosse explosion de joie. Puis ces "olé !"...
Publié le 13/06/2014 à 23:05, Mis à jour le 14/06/2014 à 00:04
Iker Casillas dépité après le 4e but des Pays-Bas inscrit par Robin van Persie, à Salvador, au premier tour du groupe B du Mondial. Javier Soriano / AFP
Une révolte, une révolution ? Les champions du monde espagnols se sont fait écraser 5-1 dès leur entrée en lice vendredi dans le Mondial-2014, par des Pays-Bas prenant symboliquement leur revanche sur la finale de la Coupe du monde 2010.
Les Néerlandais prennent ainsi une belle option pour la tête du groupe B et éviter ainsi, a priori, une finale avant la lettre face au Brésil, grand favori de la poule A. Quant aux hommes de Vicente Del Bosque, il s'agit déjà de sortir du trou face au Chili et à l'Australie.
Il n'a fallu attendre que le troisième match du tournoi brésilien pour assister à la première énorme surprise, d'une ampleur inédite pour un tenant du titre. Surtout quand il est en outre double champion d'Europe ! Forcément, le trône espagnole vacille et perd subitement de sa superbe.
Forcément, aussi, on se souvient que la Roja avait perdu son premier match lors du Mondial sud-africain (1-0 face à la Suisse). Une défaite expliquée par la thèse de l'accident ou du hold-up au vu du jeu à sens unique pour les Espagnols ce jour-là. Celle de vendredi ressemble plutôt à une abdication.
- Abdication ? -
Car peu après le roi Juan Carlos, c'est la Seleccion qui a semblé abandonner sa couronne lors d'une seconde période insipide, après une première déjà terne. Elle a montré les limites de son fameux jeu de possession quand il n'a pas de conclusion et ainsi souffert.
Elle a pourtant ouvert la marque par Xabi Alonso sur penalty (27e), mais a encaissé ensuite deux doublés de Van Persie et Robben et un but de Vrij. Souffert ? Un martyre !
La correction se matérialisait par quelques séquences humiliantes où le public accompagnait les passes néerlandaises de "olé!" ! La Roja toréée par le pays des tulipes !
Les Néerlandais ont observé, respecté les champions du monde en première période. Mais l'égalisation de Van Persie, d'une superbe tête plongeante et lobée (44e), les libérait.
- Casillas rampant -
A eux la direction du jeu, à eux les occasions, et à eux les buts. Et les effluves de la revanche, pour Robben surtout. Le grand malheureux de la finale de 2010 s'est cette fois amusé avec un doublé, en se jouant d'abord de Piqué (53e), puis de Casillas qu'il met à terre, fait presque ramper avant de le fusiller au bout d'une attaque fulgurante (80e).
La gardien et capitaine espagnol était d'ailleurs le principal supplicié de la bande à Vicente Del Bosque, auteur d'une mauvaise sortie, gêné par Van Persie, dont bénéficiait De Vrij pour le 2-1 (65e), puis d'une faute grossière dont profitait Van Persie pour signer le 3-1 (72e) qui tue. Le capitaine néerlandais, élu homme du match, a même expédié une demi-volée puissante sur la barre (60e).
Et le public était heureux ! Il y avait des rouges façon Roja, des "Oranje" et des jaunes, les locaux, qui avaient pris fait et cause pour les Néerlandais. Les Brésiliens nourrissaient certes de la sympathie pour les stars Xavi et Iniesta, mais leur rancoeur contre Diego Costa s'avérait plus forte.
Le nom du Brésilien naturalisé espagnol, qui a disputé deux matches amicaux avec la Seleçao avant de choisir la Seleccion, a d'abord été copieusement sifflé. A chaque touche de balle, le buteur était ensuite sifflé et le public a même entonné plusieurs fois un "Diego, viado !" (Diego, pédé!)...
Et comme si sa "trahison" ne suffisait pas, l'attaquant obtenait un penalty très litigieux, en retombant sur la jambe de De Vrij... Bronca monumentale pour le tireur, Xabi Alonso, qui exécutait la sentence (27e).
L'égalisation a donné lieu a une grosse explosion de joie. Puis ces "olé !"...
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Van Persie: «Ah oui, on leur en a mis cinq...»
Robin van Persie, auteur d'un doublé, était fou de joie après la victoire des Pays-Bas contre l'Espagne (5-1) pour leur premier match au Brésil.
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Robin van Persie a inscrit un doublé contre la Roja. (Reuters)
«Robin van Persie, quelle est votre première impression après cette victoire contre l’Espagne?
C'était un match fou. On a marqué notre premier but au moment parfait, juste avant la mi-temps. Après, il fallait continuer, c'est ce qu'on s'est dit à la mi-temps. Quand on a marqué le but du 2-1, c'était encore un meilleur moment, on ne s'est pas arrêté. On aurait pu leur en mettre cinq... Ah oui, on leur en a mis cinq, mais on aurait pu en mettre six, sept, huit... Bravo au staff et au groupe pour tout le travail effectué depuis quelques semaines. Quand on voit comment les choses ont abouti aujourd'hui, on peut être très content.
A lire aussi
Foot - CM - Gr. B L'Espagne humiliée d'entrée !
Vous marquez un beau but pour égaliser...
C'était une des plus grosses occasions de la première période. Oui c'était un beau but. Juste avant de recevoir le ballon, j'ai vu que Casillas était avancé, donc j'ai fait une tête, mais une tête lobée. Oui, c'était un beau but !
Les Pays-Bas peuvent-ils encore progresser ?
On a gagné contre l'équipe N°1 du monde depuis 6 ans. Quand on considère comment on s'était préparés, comment on était prêts, comment on s'est donné, on doit savourer ce soir, mais à partir de demain il faut se concenter sur le match contre l'Australie. C'est une soirée incroyable pour les Pays-Bas, mais c'est seulement trois points. Je ne veux pas être trop excité, ce n'est jamais que trois points, un match, et nous devons progresser.»
Robin van Persie, auteur d'un doublé, était fou de joie après la victoire des Pays-Bas contre l'Espagne (5-1) pour leur premier match au Brésil.
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«Robin van Persie, quelle est votre première impression après cette victoire contre l’Espagne?
C'était un match fou. On a marqué notre premier but au moment parfait, juste avant la mi-temps. Après, il fallait continuer, c'est ce qu'on s'est dit à la mi-temps. Quand on a marqué le but du 2-1, c'était encore un meilleur moment, on ne s'est pas arrêté. On aurait pu leur en mettre cinq... Ah oui, on leur en a mis cinq, mais on aurait pu en mettre six, sept, huit... Bravo au staff et au groupe pour tout le travail effectué depuis quelques semaines. Quand on voit comment les choses ont abouti aujourd'hui, on peut être très content.
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Vous marquez un beau but pour égaliser...
C'était une des plus grosses occasions de la première période. Oui c'était un beau but. Juste avant de recevoir le ballon, j'ai vu que Casillas était avancé, donc j'ai fait une tête, mais une tête lobée. Oui, c'était un beau but !
Les Pays-Bas peuvent-ils encore progresser ?
On a gagné contre l'équipe N°1 du monde depuis 6 ans. Quand on considère comment on s'était préparés, comment on était prêts, comment on s'est donné, on doit savourer ce soir, mais à partir de demain il faut se concenter sur le match contre l'Australie. C'est une soirée incroyable pour les Pays-Bas, mais c'est seulement trois points. Je ne veux pas être trop excité, ce n'est jamais que trois points, un match, et nous devons progresser.»
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
ondial de football : l'Espagne humiliée par les Pays-Bas (5 à 1)
Le 13 juin à 22h45 | Mis à jour il y a 9 heures
Abattus, les Espagnols pourront-il faire oublier ce début, plutôt désastreux, du Mondial ? Affaire à suivre... PHOTO/AFP Javier Soriano
Le mondial de football démarre mal pour le onze ibérique qui s'est heurté à une équipe des Pays-Bas qui n'a pas laissé passer la moindre erreur... et a concrétisé à 5 reprises. Les Espagnols ont semblé tout au long de la rencontre à côté de leurs crampons... pressés, submergés par des Néerlandais en pleine possession de leur sujet. Une correction pour ne pas dire une véritable humiliation.
Le 13 juin à 22h45 | Mis à jour il y a 9 heures
Abattus, les Espagnols pourront-il faire oublier ce début, plutôt désastreux, du Mondial ? Affaire à suivre... PHOTO/AFP Javier Soriano
Le mondial de football démarre mal pour le onze ibérique qui s'est heurté à une équipe des Pays-Bas qui n'a pas laissé passer la moindre erreur... et a concrétisé à 5 reprises. Les Espagnols ont semblé tout au long de la rencontre à côté de leurs crampons... pressés, submergés par des Néerlandais en pleine possession de leur sujet. Une correction pour ne pas dire une véritable humiliation.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
[size=36]Les Pays-Bas mettent le champion en miettes[/size]
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Pour une revanche, quelle revanche ! Battus par l'Espagne en finale de la Coupe du monde 2010 (0-1 a.p.), les Pays-Bas ont ridiculisé le champion du monde en titre vendredi lors du premier match du groupe B de la Coupe du monde 2014 au Brésil. Les Espagnols ont pourtant ouvert le score par Xabi Alonso sur un penalty obtenu par Diego Costa (27e) mais ont ensuite sombré en seconde période. Après l'égalisation de Van Persie avant la pause (44e), Robben (53e), De Vrij (64e), Van Persie (72e) et encore Robben (80e) ont ridiculisé la Furia Roja. Les supporteurs espagnols tenteront de se rassurer en se souvenant que le double champion d'Europe en titre avait également perdu son premier match en 2010, surpris par la Suisse (0-1), avant de conquérir son premier titre mondial.
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Pour une revanche, quelle revanche ! Battus par l'Espagne en finale de la Coupe du monde 2010 (0-1 a.p.), les Pays-Bas ont ridiculisé le champion du monde en titre vendredi lors du premier match du groupe B de la Coupe du monde 2014 au Brésil. Les Espagnols ont pourtant ouvert le score par Xabi Alonso sur un penalty obtenu par Diego Costa (27e) mais ont ensuite sombré en seconde période. Après l'égalisation de Van Persie avant la pause (44e), Robben (53e), De Vrij (64e), Van Persie (72e) et encore Robben (80e) ont ridiculisé la Furia Roja. Les supporteurs espagnols tenteront de se rassurer en se souvenant que le double champion d'Europe en titre avait également perdu son premier match en 2010, surpris par la Suisse (0-1), avant de conquérir son premier titre mondial.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
[size=36]Pays-Bas-Van Persie: "Un rêve qui devient réalité"[/size]
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Eblouissante en deuxième période, l'équipe des Pays-Bas a infligé une correction à l'Espagne (5-1), vendredi soir à Salvador, lors de son entrée en lice dans le Mondial brésilien, prenant ainsi sa revanche sur la finale perdue en 2010. Auteur de l'égalisation d'un sublime coup de tête puis du quatrième but de son équipe, l'attaquant de Manchester United avait du mal à réaliser au coup de sifflet final. "C'est incroyable, a lâché sur le site de la Fifa celui qui a été élu homme du match. Pour nous, c'est un rêve qui devient réalité. Il faut savourer. Je crois que mon égalisation est arrivée au bon moment. Quant au 2-1 de Robben, il a été important pour nous et très dur à encaisser pour eux. Ensuite, notre bonne condition physique nous a permis de maintenir la pression jusqu'à la fin, ce qui a été décisif."
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Eblouissante en deuxième période, l'équipe des Pays-Bas a infligé une correction à l'Espagne (5-1), vendredi soir à Salvador, lors de son entrée en lice dans le Mondial brésilien, prenant ainsi sa revanche sur la finale perdue en 2010. Auteur de l'égalisation d'un sublime coup de tête puis du quatrième but de son équipe, l'attaquant de Manchester United avait du mal à réaliser au coup de sifflet final. "C'est incroyable, a lâché sur le site de la Fifa celui qui a été élu homme du match. Pour nous, c'est un rêve qui devient réalité. Il faut savourer. Je crois que mon égalisation est arrivée au bon moment. Quant au 2-1 de Robben, il a été important pour nous et très dur à encaisser pour eux. Ensuite, notre bonne condition physique nous a permis de maintenir la pression jusqu'à la fin, ce qui a été décisif."
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
[size=32]Mondial 2014 : le Néerlandais Robin Van Persie roi de Twitter[/size]
PUBLIÉ LE SAMEDI 14/06/2014 À 15H21
A elle seule, la tête plongeante lobée de l'attaquant néerlandais Robin Van Persie, synonyme d'égalisation hier soir face à l'Espagne, a enflammé la "twittosphère", puisque ce but a généré plus de 183 000 tweets en moins d'une minute. Au total, le match a été à l'origine de 8,3 millions de tweets dans le monde. Ce but fait également réagir les réseaux sociaux aujourd'hui avec de nombreuses parodies créées par certains, comme ce "twittos" :
PUBLIÉ LE SAMEDI 14/06/2014 À 15H21
A elle seule, la tête plongeante lobée de l'attaquant néerlandais Robin Van Persie, synonyme d'égalisation hier soir face à l'Espagne, a enflammé la "twittosphère", puisque ce but a généré plus de 183 000 tweets en moins d'une minute. Au total, le match a été à l'origine de 8,3 millions de tweets dans le monde. Ce but fait également réagir les réseaux sociaux aujourd'hui avec de nombreuses parodies créées par certains, comme ce "twittos" :
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
le billet
La saison des Oranges
Ces Pays-Bas nous laissent babas. En cinq coups de canon tirés sur la pelouse humide de Salvador de Bahia, ils ont illuminé ce début de Mondial. Le matin encore, on les disait au fond du trou… Et voilà ces Hollandais volant, jaillissant et punissant à la surprise générale les champions du monde en titre.
Quel contraste avec la finale de 2010, Van Persie et Robben les mines abattues face à une « Roja » irrésistible ! Changement de décor radical vendredi soir : cette fois, les géniaux duettistes bataves ont donné la leçon aux Iniesta, Fabregas et autre Casillas.
On les avait oubliés un peu vite, mais il va falloir ramener ces Néerlandais au rang des principaux prétendants au titre. Après avoir vu un Brésil poussif et une Espagne submergée, on se dit que c'est peut-être la saison des Oranges. Trois fois finalistes, les Pays-Bas n'ont pas encore à leur palmarès un titre que la valeur de leur football mérite. Alors…
Quant aux Espagnols, ils semblent emboîter le pas de leur ancien souverain Juan Carlos sur la voie de l'abdication, même si mathématiquement, rien n'est perdu. Il leur faudra pourtant trouver les forces d'une véritable résurrection.
Pour riposter à ces redoutables Néerlandais qui ont placé la barre très haut, place aux Bleus de Didier Deschamps…
La saison des Oranges
Ces Pays-Bas nous laissent babas. En cinq coups de canon tirés sur la pelouse humide de Salvador de Bahia, ils ont illuminé ce début de Mondial. Le matin encore, on les disait au fond du trou… Et voilà ces Hollandais volant, jaillissant et punissant à la surprise générale les champions du monde en titre.
Quel contraste avec la finale de 2010, Van Persie et Robben les mines abattues face à une « Roja » irrésistible ! Changement de décor radical vendredi soir : cette fois, les géniaux duettistes bataves ont donné la leçon aux Iniesta, Fabregas et autre Casillas.
On les avait oubliés un peu vite, mais il va falloir ramener ces Néerlandais au rang des principaux prétendants au titre. Après avoir vu un Brésil poussif et une Espagne submergée, on se dit que c'est peut-être la saison des Oranges. Trois fois finalistes, les Pays-Bas n'ont pas encore à leur palmarès un titre que la valeur de leur football mérite. Alors…
Quant aux Espagnols, ils semblent emboîter le pas de leur ancien souverain Juan Carlos sur la voie de l'abdication, même si mathématiquement, rien n'est perdu. Il leur faudra pourtant trouver les forces d'une véritable résurrection.
Pour riposter à ces redoutables Néerlandais qui ont placé la barre très haut, place aux Bleus de Didier Deschamps…
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
[size=30]ondial: la presse néerlandaise salue une revanche "historique"[/size]
14/06/2014 10:02
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Fans néerlandais à Amsterdam, le 13 juin 2014, après la victoire 5-1 des Pays-Bas contre l'Espagne durant le Mondial de football à Salvador, au Brésil - ANP/AFP Evert Elzinga
La presse néerlandaise ne tarissait pas d'éloges samedi matin pour l'équipe nationale des Pays-Bas, encensée par tout un pays au lendemain d'une victoire "historique" contre l'Espagne à la Coupe du monde de football.
"Ce sont des héros!", "Un début de rêve pour les Oranje", "Incroyable!", "Les Pays-Bas écrasent l'Espagne" ou encore "Historique", titraient, euphoriques, les principaux quotidiens du pays.
Les Pays-Bas ont écrasé les champions du monde en titre espagnols 5 buts à 1 vendredi soir, prenant symboliquement leur revanche sur la finale de la Coupe du monde 2010. "Quelle revanche incomparable contre l'Espagne : 5-1", jubilait d'ailleurs le quotidien populaire de Telegraaf.
"Dans une des rencontres les plus mémorables de l'histoire des Pays-Bas en Coupe du monde, que dis-je, une des rencontres les plus mémorables de l'histoire de la Coupe du monde, les Pays-Bas ont écrasé le champion du monde en titre", affirmait quant à lui le Volkskrant.
Le quotidien a surtout salué "le plan magistral" de l'entraîneur Louis van Gaal, pourtant décrié dernièrement pour sa tactique à 5 défenseurs, ainsi que le premier but de Robin van Persie, une superbe tête plongeante lobée.
"Il volait", s'exclamait le quotidien au sujet de Van Persie : "quel but de classe mondiale".
Le quotidien Trouw a pour sa part évoqué "une victoire surréaliste" qui devrait permettre aux Pays-Bas d'ambitionner la première place du groupe B, et donc éviter le Brésil en huitièmes de finale.
"Des Pays-Bas déchaînés ont déchiré en lambeaux une Espagne désorientée", affirmait la même source.
"Qui aurait pu imaginer cela? 5-1 contre le champion du monde!", soutenait de son côté le quotidien AD, publiant des photos de supporteurs néerlandais en liesse à Amsterdam, Rotterdam ou Eindhoven.
Partout à travers le pays, les supporteurs néerlandais ont laissé explosé leur joie, les mots "revanche" et "historique" revenant sur toutes les lèvres.
La réaction du commentateur sportif Jack van Gelder, de la télévision publique néerlandaise, illustrait parfaitement l'euphorie générale.
"C'est historique, qu'on se le dise. Plus tard, les gens se demanderont : ou étiez-vous quand les Pays-Bas ont écrase les champions du monde? Ce seront des choses à raconter à vos petits-enfants".
14/06/2014 10:02
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La presse néerlandaise ne tarissait pas d'éloges samedi matin pour l'équipe nationale des Pays-Bas, encensée par tout un pays au lendemain d'une victoire "historique" contre l'Espagne à la Coupe du monde de football.
"Ce sont des héros!", "Un début de rêve pour les Oranje", "Incroyable!", "Les Pays-Bas écrasent l'Espagne" ou encore "Historique", titraient, euphoriques, les principaux quotidiens du pays.
Les Pays-Bas ont écrasé les champions du monde en titre espagnols 5 buts à 1 vendredi soir, prenant symboliquement leur revanche sur la finale de la Coupe du monde 2010. "Quelle revanche incomparable contre l'Espagne : 5-1", jubilait d'ailleurs le quotidien populaire de Telegraaf.
"Dans une des rencontres les plus mémorables de l'histoire des Pays-Bas en Coupe du monde, que dis-je, une des rencontres les plus mémorables de l'histoire de la Coupe du monde, les Pays-Bas ont écrasé le champion du monde en titre", affirmait quant à lui le Volkskrant.
Le quotidien a surtout salué "le plan magistral" de l'entraîneur Louis van Gaal, pourtant décrié dernièrement pour sa tactique à 5 défenseurs, ainsi que le premier but de Robin van Persie, une superbe tête plongeante lobée.
"Il volait", s'exclamait le quotidien au sujet de Van Persie : "quel but de classe mondiale".
Le quotidien Trouw a pour sa part évoqué "une victoire surréaliste" qui devrait permettre aux Pays-Bas d'ambitionner la première place du groupe B, et donc éviter le Brésil en huitièmes de finale.
"Des Pays-Bas déchaînés ont déchiré en lambeaux une Espagne désorientée", affirmait la même source.
"Qui aurait pu imaginer cela? 5-1 contre le champion du monde!", soutenait de son côté le quotidien AD, publiant des photos de supporteurs néerlandais en liesse à Amsterdam, Rotterdam ou Eindhoven.
Partout à travers le pays, les supporteurs néerlandais ont laissé explosé leur joie, les mots "revanche" et "historique" revenant sur toutes les lèvres.
La réaction du commentateur sportif Jack van Gelder, de la télévision publique néerlandaise, illustrait parfaitement l'euphorie générale.
"C'est historique, qu'on se le dise. Plus tard, les gens se demanderont : ou étiez-vous quand les Pays-Bas ont écrase les champions du monde? Ce seront des choses à raconter à vos petits-enfants".
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Groupe b
Les " Orange " humilient l'Espagne
Espagne : 1 Pays-Bas : 5 Les Pays-Bas ont corrigé l'Espagne, championne du monde en titre, hier soir, dans le match inaugural du groupe B. Dans ce remake de la finale du Mondial 2010, les Né...
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
Mondial 2014. Robben - Van Persie duo d'enfer
Brésil - 14 Juin
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Ils sont les leaders d'une équipe que l'on annonçait perdante face à l'Espagne, Robin Van Persie et Arjen Robben et leurs coéquipiers ont mis tout le monde d'accord hier soir.
Souvent sujette à des tensions internes, la sélection des Pays-Bas était vue perdante par beaucoup avant même le début du match face à l'Espagne. Au moment du pénalty transformé par Xabi Alonso, on ne donnait pas cher de la peau des protégés de Louis van Gaal.
Pourtant, dans le sillage de leurs deux leaders, Robin Van Persie et Arjen Robben, les Oranje sont parvenus à remonter au score et infliger la plus lourde défaite qu'un champion du monde en titre ait connue pour son premier match. RVP et Robben ont tous les deux inscrits un doublé et fait taire les critiques entourant les Oranje.
Le Mondial comme exutoire pour RVP
L'attaquant batave a vécu une saison difficile avec Manchester United. Entre blessures et déceptions RVP espère de ce Mondial, qu'il soit un moyen d'oublier le fait que « pour la première fois de ma carrière pro, je termine une saison sans me qualifier pour une Coupe d'Europe. » Manchester United a en effet terminé sa saison à une bien triste 7e place. « Ce fut une saison compliquée. Rien ne tournait pour nous », explique le Néerlandais.
L'homme est devenu important pour les Oranje. L'an dernier, il a même été nommé capitaine de la sélection, alors qu'au début de la campagne qualificative il n'était même pas le premier choix de Van Gaal à la pointe de l'attaque néerlandaise. « Mon avant-centre, ce sera (Klaas-Jan) Huntelaar », avait même déclaré Louis van Gaal à l'entame des qualifications.
Malgré un Mondial 2010 et un Euro 2012 décevants, dans lesquels il n'a inscrit qu'un seul but, Van Gaal doit se rendre à l'évidence. « Il a un tel talent. Je ne peux me passer de lui », concède le mentor au soir du 11 octobre 2013, après un triplé contre la Hongrie, qui permet à Van Persie de devenir le recordman de buts de l'histoire de la sélection. L'an dernier, il a même été nommé capitaine de la sélection, au détriment de Wesley Sneijder, capitaine déchu, son ancien rival. Longtemps critiqué pour son manque de réussite dans les grands rendez-vous, RVP « mise sur le Mondial brésilien pour me défaire de cette étiquette. »
Hier, il a fait taire ses détracteurs. Tout d'abord, en égalisant sur une tête plongeante qui loba Iker Casillas et inscrivit un doublé pour le (4-1).
Robben : la revanche dans la peau
Contrairement à son partenaire, Arjen Robben a vécu une bonne saison au Bayern Munich. Une saison auréolée d"un titre de champion d'Allemagne acquis dès le 25 mars (7 journées avant la fin) et d'une Coupe d'Allemagne. Auteur de 21 buts en 45 matches sous les couleurs du Bayern, Robben avait un compte à régler après la finale perdue face à la "Roja" en 2010.
Nous jouons la 61e minute d'un match tendu entre l'Espagne et les Pays-Bas. Le score est alors de 0-0 et Sneijder envoie Robben sur orbite. Il se présente seul face face à "San" Iker. En état de grâce, le gardien du Real Madrid sort une parade superbe. Robben ne le sait pas encore mais il vient de laisser passer sa chance de remporter le Mondial.
Quatre ans plus tard, le sort fait que les deux équipes s'affrontent en phase de groupes. Arjen Robben est encore une fois lancé par Sneijder. Il se joue de Piqué par un crochet toujours aussi efficace malgré sa prévisibilité. Cette fois-ci il ne loupe pas le cadre et donne l'avantage aux Oranje.
Longtemps critiqué pour son jeu individualiste, Robben n'en reste pas moins un joueur d'exception capable, à lui seul, de faire la différence.
Brésil - 14 Juin
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- Arjen Robben et Robin Van Persie sont les tauliers de l'équipe des Pays-Bas. | AFP
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Ils sont les leaders d'une équipe que l'on annonçait perdante face à l'Espagne, Robin Van Persie et Arjen Robben et leurs coéquipiers ont mis tout le monde d'accord hier soir.
Souvent sujette à des tensions internes, la sélection des Pays-Bas était vue perdante par beaucoup avant même le début du match face à l'Espagne. Au moment du pénalty transformé par Xabi Alonso, on ne donnait pas cher de la peau des protégés de Louis van Gaal.
Pourtant, dans le sillage de leurs deux leaders, Robin Van Persie et Arjen Robben, les Oranje sont parvenus à remonter au score et infliger la plus lourde défaite qu'un champion du monde en titre ait connue pour son premier match. RVP et Robben ont tous les deux inscrits un doublé et fait taire les critiques entourant les Oranje.
Le Mondial comme exutoire pour RVP
L'attaquant batave a vécu une saison difficile avec Manchester United. Entre blessures et déceptions RVP espère de ce Mondial, qu'il soit un moyen d'oublier le fait que « pour la première fois de ma carrière pro, je termine une saison sans me qualifier pour une Coupe d'Europe. » Manchester United a en effet terminé sa saison à une bien triste 7e place. « Ce fut une saison compliquée. Rien ne tournait pour nous », explique le Néerlandais.
L'homme est devenu important pour les Oranje. L'an dernier, il a même été nommé capitaine de la sélection, alors qu'au début de la campagne qualificative il n'était même pas le premier choix de Van Gaal à la pointe de l'attaque néerlandaise. « Mon avant-centre, ce sera (Klaas-Jan) Huntelaar », avait même déclaré Louis van Gaal à l'entame des qualifications.
Malgré un Mondial 2010 et un Euro 2012 décevants, dans lesquels il n'a inscrit qu'un seul but, Van Gaal doit se rendre à l'évidence. « Il a un tel talent. Je ne peux me passer de lui », concède le mentor au soir du 11 octobre 2013, après un triplé contre la Hongrie, qui permet à Van Persie de devenir le recordman de buts de l'histoire de la sélection. L'an dernier, il a même été nommé capitaine de la sélection, au détriment de Wesley Sneijder, capitaine déchu, son ancien rival. Longtemps critiqué pour son manque de réussite dans les grands rendez-vous, RVP « mise sur le Mondial brésilien pour me défaire de cette étiquette. »
Hier, il a fait taire ses détracteurs. Tout d'abord, en égalisant sur une tête plongeante qui loba Iker Casillas et inscrivit un doublé pour le (4-1).
Robben : la revanche dans la peau
Contrairement à son partenaire, Arjen Robben a vécu une bonne saison au Bayern Munich. Une saison auréolée d"un titre de champion d'Allemagne acquis dès le 25 mars (7 journées avant la fin) et d'une Coupe d'Allemagne. Auteur de 21 buts en 45 matches sous les couleurs du Bayern, Robben avait un compte à régler après la finale perdue face à la "Roja" en 2010.
Nous jouons la 61e minute d'un match tendu entre l'Espagne et les Pays-Bas. Le score est alors de 0-0 et Sneijder envoie Robben sur orbite. Il se présente seul face face à "San" Iker. En état de grâce, le gardien du Real Madrid sort une parade superbe. Robben ne le sait pas encore mais il vient de laisser passer sa chance de remporter le Mondial.
Quatre ans plus tard, le sort fait que les deux équipes s'affrontent en phase de groupes. Arjen Robben est encore une fois lancé par Sneijder. Il se joue de Piqué par un crochet toujours aussi efficace malgré sa prévisibilité. Cette fois-ci il ne loupe pas le cadre et donne l'avantage aux Oranje.
Longtemps critiqué pour son jeu individualiste, Robben n'en reste pas moins un joueur d'exception capable, à lui seul, de faire la différence.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
L'impressionnante résurrection des Pays-Bas
Publié le 15/06/2014 à 07:26
La punition infligée à l'Espagne en fait des outsiders crédibles
Pour aller loin dans la compétition, les Pays-Bas auront besoin du talent de Robin Van Persie./ Photo AFP
On a beaucoup parlé de l'incroyable défaite espagnole. Mais si défaite il y a eu, c'est qu'il y avait un adversaire en face. Et pas n'importe lequel puisqu'il s'agissait des Pays-Bas, battus après les prolongations par la Roja en 2010. En quatre ans, les «Oranges» ont sérieusement rajeuni les cadres, en défense principalement. Pour brouiller les transmissions espagnoles, Louis Van Gaal, le grand gagnant de la bataille tactique, avait laissé les clefs du camion défensif à trois centraux, dont deux du Feyenoord Rotterdam. De Vrij, auteur de la «faute» sanctionnée d'un penalty et du troisième but neérlandais et Martins Indi, tous deux âgés de 22 ans, ont cédé un minimum d'occasions à leurs prestigieux adversaires. Ils ont aussi pu compter sur le renfort du «poète» Nigel de Jong, qui s'y entend pour casser le jeu en multipliant les fautes au milieu du terrain.
Mais si les Pays-Bas sont aujourd'hui sur le devant de la scène, ils le doivent à deux revenants. J'ai nommé Robin Van Persie et Arjen Robben. Le premier n'a pas été transcendant cette saison avec Manchester-United. Vendredi, il a régalé l'Arena Fonte Nova de Salvador, notamment sur l'égalisation, une tête bien dosée qui a lobé Casillas sur une longue transversale de Blind. Le même Casillas qui lui a offert sur un plateau le doublé et le but du 4-1 après s'être méchamment emmêlé les pinceaux dans sa surface. L'avant-centre aurait même pu prendre la tête du classement des buteurs si l'un de ses missiles n'avait touché la transversale.
Arjen Robben, qui n'avait été que l'ombre de lui-même lors de la finale de 2010, a lui aussi pris une éclatante revanche. Le Munichois avait des jambes et ses accélérations ont mis en lumière la lenteur des centraux espagnols. Lui aussi y est allé d'un doublé et d'un bijou sur une nouvelle transversale de Blind : contrôle, crochet au point de penalty et Pique et Ramos dans le rétroviseur.
Et maintenant ? A peu près oubliés par tous les observateurs, pas plus outsiders que favoris, les Néerlandais sont-ils devenus par la grâce d'un ébouriffant succès candidats au titre suprême ? D'autant qu'on les disait divisés en coulisses.
Si l'on se réfère à la première période, avant l'égalisation de Van Persie, on serait tenté de répondre non. Les Espagnols ont en effet eu la balle du 2-0 et les Pays-Bas ne semblaient pas avoir de plan B au-delà d'une solide défense et d'une occupation du terrain ménageant un minimum d'espaces pour l'adversaire. C'était sans compter sur le talent de Van Persie, Arjen Robben voire Wesley Sneijder. Souvent inconstants, ces trois-là sont capables de changer un match à eux tout seul dans un bon jour. L'Espagne, laminée en vingt minutes chrono, peut en témoigner. Si les «oranges» veulent aller loin, ils ont besoin d'un trio magique sur courant continu.
Publié le 15/06/2014 à 07:26
La punition infligée à l'Espagne en fait des outsiders crédibles
Pour aller loin dans la compétition, les Pays-Bas auront besoin du talent de Robin Van Persie./ Photo AFP
On a beaucoup parlé de l'incroyable défaite espagnole. Mais si défaite il y a eu, c'est qu'il y avait un adversaire en face. Et pas n'importe lequel puisqu'il s'agissait des Pays-Bas, battus après les prolongations par la Roja en 2010. En quatre ans, les «Oranges» ont sérieusement rajeuni les cadres, en défense principalement. Pour brouiller les transmissions espagnoles, Louis Van Gaal, le grand gagnant de la bataille tactique, avait laissé les clefs du camion défensif à trois centraux, dont deux du Feyenoord Rotterdam. De Vrij, auteur de la «faute» sanctionnée d'un penalty et du troisième but neérlandais et Martins Indi, tous deux âgés de 22 ans, ont cédé un minimum d'occasions à leurs prestigieux adversaires. Ils ont aussi pu compter sur le renfort du «poète» Nigel de Jong, qui s'y entend pour casser le jeu en multipliant les fautes au milieu du terrain.
Mais si les Pays-Bas sont aujourd'hui sur le devant de la scène, ils le doivent à deux revenants. J'ai nommé Robin Van Persie et Arjen Robben. Le premier n'a pas été transcendant cette saison avec Manchester-United. Vendredi, il a régalé l'Arena Fonte Nova de Salvador, notamment sur l'égalisation, une tête bien dosée qui a lobé Casillas sur une longue transversale de Blind. Le même Casillas qui lui a offert sur un plateau le doublé et le but du 4-1 après s'être méchamment emmêlé les pinceaux dans sa surface. L'avant-centre aurait même pu prendre la tête du classement des buteurs si l'un de ses missiles n'avait touché la transversale.
Arjen Robben, qui n'avait été que l'ombre de lui-même lors de la finale de 2010, a lui aussi pris une éclatante revanche. Le Munichois avait des jambes et ses accélérations ont mis en lumière la lenteur des centraux espagnols. Lui aussi y est allé d'un doublé et d'un bijou sur une nouvelle transversale de Blind : contrôle, crochet au point de penalty et Pique et Ramos dans le rétroviseur.
Et maintenant ? A peu près oubliés par tous les observateurs, pas plus outsiders que favoris, les Néerlandais sont-ils devenus par la grâce d'un ébouriffant succès candidats au titre suprême ? D'autant qu'on les disait divisés en coulisses.
Si l'on se réfère à la première période, avant l'égalisation de Van Persie, on serait tenté de répondre non. Les Espagnols ont en effet eu la balle du 2-0 et les Pays-Bas ne semblaient pas avoir de plan B au-delà d'une solide défense et d'une occupation du terrain ménageant un minimum d'espaces pour l'adversaire. C'était sans compter sur le talent de Van Persie, Arjen Robben voire Wesley Sneijder. Souvent inconstants, ces trois-là sont capables de changer un match à eux tout seul dans un bon jour. L'Espagne, laminée en vingt minutes chrono, peut en témoigner. Si les «oranges» veulent aller loin, ils ont besoin d'un trio magique sur courant continu.
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Re: PAYS BAS ...L"AUTRE PAYS DU FROMAGE
[size=40]Van Gaal: «Rien n'a changé»
Louis van Gaal avait le sourire pendant le dernier entraînement des Pays-Bas avant d'affronter l'Australie, demain à Porto Alegre (18h00). A l'issue de la séance, le sélectionneur batave s'est prêté à la traditionnelle conférence de presse d'avant-match. L'occasion de revenir notamment sur l'incroyable succès face à l'Espagne (5-1).
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Louis van Gaal et les siens ne veulent pas s'enflammer. (Reuters)
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La victoire face à l'Espagne, ce que ça change
«Ce que je retiens de ce match, c’est que l’équipe a bien réagi. Les joueurs ont vu ce qui n’allait pas et ils sont allés chercher cette victoire. Mais rien n’a changé, même pour la qualification pour les huitièmes de finale. D’ailleurs, les cadres du groupe l’ont tout de suite dit après le match : nous n’avons rien gagné. Ce n’était qu’une première étape, il reste du chemin si on veut aller jusqu’en finale. C’est la même chose à titre personnel, cette victoire n’a rien changé à mes habitudes ou à ma manière d’aborder les choses.»
Le débat sur l'école hollandaise, les critiques sur son système en 3-5-2
«Il y aura toujours des critiques. Même si j’avais utilisé un 4-3-3, il y en aurait eu. Les médias doivent bien trouver des choses à dire et elles sont souvent négatives à mon sujet. Le fait qu’on ait gagné 5-1 ne fait aucune différence. Selon moi, nous avons produit du football total. C’est quelque chose que j’essaie d’expliquer à vos collègues aux Pays-Bas mais j’ai beaucoup de mal. Pour eux, on ne respecte la tradition néerlandaise que si on joue avec trois attaquants. Ce n’est pas mon avis.»
Le match face à l'Australie
«Je ne suis pas surpris par la manière dont ils ont joué contre le Chili. Ils ont disputé leurs dernières rencontres avec la même organisation. Ce ne sera pas un match facile. Est-ce qu’on reviendra au 4-3-3 ? Je ne dirai rien. C’est un élément qui peut être important pour le match, vous découvrirez ça demain. Je n’ai jamais dit que je m’attendais à ce que l’Australie joue de manière défensive. Elle a un très bon sélectionneur et elle compte dans ses rangs des joueurs comme Cahill qui peuvent lui permettre de jouer de manière ambitieuse. Je pense qu’ils présenteront un visage beaucoup plus offensif que ce que tout le monde attend.»
Louis van Gaal avait le sourire pendant le dernier entraînement des Pays-Bas avant d'affronter l'Australie, demain à Porto Alegre (18h00). A l'issue de la séance, le sélectionneur batave s'est prêté à la traditionnelle conférence de presse d'avant-match. L'occasion de revenir notamment sur l'incroyable succès face à l'Espagne (5-1).
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Louis van Gaal et les siens ne veulent pas s'enflammer. (Reuters)
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La victoire face à l'Espagne, ce que ça change
«Ce que je retiens de ce match, c’est que l’équipe a bien réagi. Les joueurs ont vu ce qui n’allait pas et ils sont allés chercher cette victoire. Mais rien n’a changé, même pour la qualification pour les huitièmes de finale. D’ailleurs, les cadres du groupe l’ont tout de suite dit après le match : nous n’avons rien gagné. Ce n’était qu’une première étape, il reste du chemin si on veut aller jusqu’en finale. C’est la même chose à titre personnel, cette victoire n’a rien changé à mes habitudes ou à ma manière d’aborder les choses.»
Le débat sur l'école hollandaise, les critiques sur son système en 3-5-2
«Il y aura toujours des critiques. Même si j’avais utilisé un 4-3-3, il y en aurait eu. Les médias doivent bien trouver des choses à dire et elles sont souvent négatives à mon sujet. Le fait qu’on ait gagné 5-1 ne fait aucune différence. Selon moi, nous avons produit du football total. C’est quelque chose que j’essaie d’expliquer à vos collègues aux Pays-Bas mais j’ai beaucoup de mal. Pour eux, on ne respecte la tradition néerlandaise que si on joue avec trois attaquants. Ce n’est pas mon avis.»
Le match face à l'Australie
«Je ne suis pas surpris par la manière dont ils ont joué contre le Chili. Ils ont disputé leurs dernières rencontres avec la même organisation. Ce ne sera pas un match facile. Est-ce qu’on reviendra au 4-3-3 ? Je ne dirai rien. C’est un élément qui peut être important pour le match, vous découvrirez ça demain. Je n’ai jamais dit que je m’attendais à ce que l’Australie joue de manière défensive. Elle a un très bon sélectionneur et elle compte dans ses rangs des joueurs comme Cahill qui peuvent lui permettre de jouer de manière ambitieuse. Je pense qu’ils présenteront un visage beaucoup plus offensif que ce que tout le monde attend.»
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