DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=30]Le rêve était trop beau...[/size]
05/07/2014 05:35
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A l'image de Benzema et Griezmann, les Bleus accusaient le coup hier après la défaite. - (AFP)
France - Allemagne : 0-1 La marche était trop haute pour les Bleus, dont le beau parcours a pris fin face à des Allemands plus solides et réalistes hier à Rio.
[size]
L'histoire s'est donc répétée pour les Bleus et le cauchemar de Séville 82 restera encore durant de nombreuses années une cicatrice non refermée. Le match s'est joué à peu de choses, la Nationalmannschaft ne l'emportant que sur une tête du défenseur Mats Hummels dès la 13e minute. Mais ce but a fait toute la différence entre un véritable candidat au titre suprême et une formation encore à la recherche de sa gloire passée.
Sous la forte chaleur et l'humidité de Rio de Janeiro, il a manqué aux Français un zeste de maturité, une bonne dose d'expérience et surtout de la maîtrise technique pour venir à bout d'une nation, triple championne du monde et rarement décevante lors des grands rendez-vous.
Benzema à côté
L'Allemagne disputera sa treizième demi-finale d'un Mondial face au vainqueur de Brésil - Colombie. Le gouffre qui sépare les deux pays ne sera pas comblé cette année et la France devra encore patienter avant d'espérer jouer les premiers rôles.
Son aventure brésilienne est toutefois source de promesses, quatre ans après le fiasco de Knysna. Le travail de reconstruction entamé par Didier Deschamps a déjà porté ses fruits et les Bleus peuvent désormais s'atteler à leur grand objectif, l'Euro 2016 organisé à la maison.
Dominés par la puissance physique allemande et surtout un milieu de terrain qui a monopolisé le ballon, les Bleus ont été trop tendres pour pouvoir réellement exister dans cette rencontre. Joachim Löw a tapé là où ça fait mal en repositionnant Philipp Lahm côté droit pour bloquer Antoine Griezmann et en sortant le lent défenseur central Per Mertesacker. Face au capitaine Lahm, Griezmann a montré du culot mais son déchet dans les derniers gestes a coûté cher, avant de se reprendre en fin de rencontre. Mais il était déjà trop tard. Comme un symbole, le but de Hummels est intervenu dans la foulée d'une énorme occasion qu'il a gâchée par une passe mal appuyée à destination de Karim Benzema.
Ce dernier est lui aussi passé à côté de son match. Il n'a certes pas eu beaucoup de bons ballons à exploiter mais on reconnaît les grands buteurs à leur capacité à exploiter le minimum qu'ils ont sous la main. Et à ce compte-là, il a été très décevant. Il a ainsi gâché quelques belles opportunités (8e, 34e, 43e, 76e, 90e + 4) et a échoué dans son rôle de référent technique.
La belle prestation de Paul Pogba est aussi une sorte d'invitation à des lendemains qui chantent. A 21 ans, le milieu de la Juventus Turin, a enfin pris la mesure de l'évènement et a fait se lever le Maracana sur quelques gestes somptueux.
Raphaël Varane, autre membre éminent de la « génération 93 », est de la même trempe. Il a de nouveau étalé une assurance incroyable en défense malgré le contexte. Dommage que son quart de finale soit terni par une faute de marquage sur le but allemand.
Varane aura été à l'image de ces jeunes Bleus pleins de culot à qui il manque encore une petite étape à franchir pour regarder les puissants les yeux dans les yeux. Dans deux ans, tous ces prodiges seront sans doute mûrs pour relever le grand défi de l'Euro. On en salive d'avance.
le match
Mi-temps : 1-0.
Spectateurs : 74.240.
Arbitre : M. Pittana (Arg).
But : pour l'Allemagne, Hummels (13e).
Avertissements : à l'Allemagne, Khedira (54e), Schweinsteiger (80e).
France : Lloris (cap) - Debuchy, Varane, Sakho (Koscielny 71e), Evra - Pogba, Cabaye (Rémy 73e), Matuidi - Valbuena (Giroud 85e), Benzema, Griezmann. Entraîneur : Didier Deschamps.
Allemagne : Neuer - Lahm (cap), Boateng, Hummels, Höwedes - Schweinsteiger, Khedira - Özil (Götze 83e), Kroos (Kramer 90e + 2), Müller - Klose (Schürrle 69e). Entraîneur : Joachim Löw.
le chiffre
1
C'est le nombre de quarts de finale perdus par l'équipe de France en Coupe du monde, depuis la défaite d'hier soir face à l'Allemagne. Auparavant, les Bleus avaient en effet remporté leurs quatre derniers quarts de finale en 1958, 1986, 1998 et 2006. Mais face à eux se dressaient des Allemands qui eux n'ont pas manqué le dernier carré depuis 2006, au Mondial comme à l'Euro.
à chaud
Hugo Lloris (gardien et capitaine) : « C'est une ambiance assez lourde avec de la tristesse. Frustrante aussi car on a livré un beau match, une belle performance. Dans les premières minutes, on était un peu timorés et même si on n'a pas eu d'occasions franches, on a manqué de réalisme. On a réalisé quand même de très belles choses et il ne nous a pas manqué grand-chose face à une grande équipe européenne…»
Yoann Cabaye (milieu de terrain) : « L'efficacité nous a manqué, on s'est créé des occasions mais on n'a pas réussi à concrétiser. Il faut garder la tête haute par rapport à ce qu'on a fait dans cette Coupe du monde. On est passé proche d'une qualification, il faut avoir une certaine fierté de bien avoir représenté notre pays...[/size]
05/07/2014 05:35
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A l'image de Benzema et Griezmann, les Bleus accusaient le coup hier après la défaite. - (AFP)
France - Allemagne : 0-1 La marche était trop haute pour les Bleus, dont le beau parcours a pris fin face à des Allemands plus solides et réalistes hier à Rio.
Des choses à garder pour l'Euro 2016 |
L'histoire s'est donc répétée pour les Bleus et le cauchemar de Séville 82 restera encore durant de nombreuses années une cicatrice non refermée. Le match s'est joué à peu de choses, la Nationalmannschaft ne l'emportant que sur une tête du défenseur Mats Hummels dès la 13e minute. Mais ce but a fait toute la différence entre un véritable candidat au titre suprême et une formation encore à la recherche de sa gloire passée.
Sous la forte chaleur et l'humidité de Rio de Janeiro, il a manqué aux Français un zeste de maturité, une bonne dose d'expérience et surtout de la maîtrise technique pour venir à bout d'une nation, triple championne du monde et rarement décevante lors des grands rendez-vous.
Benzema à côté
L'Allemagne disputera sa treizième demi-finale d'un Mondial face au vainqueur de Brésil - Colombie. Le gouffre qui sépare les deux pays ne sera pas comblé cette année et la France devra encore patienter avant d'espérer jouer les premiers rôles.
Son aventure brésilienne est toutefois source de promesses, quatre ans après le fiasco de Knysna. Le travail de reconstruction entamé par Didier Deschamps a déjà porté ses fruits et les Bleus peuvent désormais s'atteler à leur grand objectif, l'Euro 2016 organisé à la maison.
Dominés par la puissance physique allemande et surtout un milieu de terrain qui a monopolisé le ballon, les Bleus ont été trop tendres pour pouvoir réellement exister dans cette rencontre. Joachim Löw a tapé là où ça fait mal en repositionnant Philipp Lahm côté droit pour bloquer Antoine Griezmann et en sortant le lent défenseur central Per Mertesacker. Face au capitaine Lahm, Griezmann a montré du culot mais son déchet dans les derniers gestes a coûté cher, avant de se reprendre en fin de rencontre. Mais il était déjà trop tard. Comme un symbole, le but de Hummels est intervenu dans la foulée d'une énorme occasion qu'il a gâchée par une passe mal appuyée à destination de Karim Benzema.
Ce dernier est lui aussi passé à côté de son match. Il n'a certes pas eu beaucoup de bons ballons à exploiter mais on reconnaît les grands buteurs à leur capacité à exploiter le minimum qu'ils ont sous la main. Et à ce compte-là, il a été très décevant. Il a ainsi gâché quelques belles opportunités (8e, 34e, 43e, 76e, 90e + 4) et a échoué dans son rôle de référent technique.
La belle prestation de Paul Pogba est aussi une sorte d'invitation à des lendemains qui chantent. A 21 ans, le milieu de la Juventus Turin, a enfin pris la mesure de l'évènement et a fait se lever le Maracana sur quelques gestes somptueux.
Raphaël Varane, autre membre éminent de la « génération 93 », est de la même trempe. Il a de nouveau étalé une assurance incroyable en défense malgré le contexte. Dommage que son quart de finale soit terni par une faute de marquage sur le but allemand.
Varane aura été à l'image de ces jeunes Bleus pleins de culot à qui il manque encore une petite étape à franchir pour regarder les puissants les yeux dans les yeux. Dans deux ans, tous ces prodiges seront sans doute mûrs pour relever le grand défi de l'Euro. On en salive d'avance.
le match
Mi-temps : 1-0.
Spectateurs : 74.240.
Arbitre : M. Pittana (Arg).
But : pour l'Allemagne, Hummels (13e).
Avertissements : à l'Allemagne, Khedira (54e), Schweinsteiger (80e).
France : Lloris (cap) - Debuchy, Varane, Sakho (Koscielny 71e), Evra - Pogba, Cabaye (Rémy 73e), Matuidi - Valbuena (Giroud 85e), Benzema, Griezmann. Entraîneur : Didier Deschamps.
Allemagne : Neuer - Lahm (cap), Boateng, Hummels, Höwedes - Schweinsteiger, Khedira - Özil (Götze 83e), Kroos (Kramer 90e + 2), Müller - Klose (Schürrle 69e). Entraîneur : Joachim Löw.
le chiffre
1
C'est le nombre de quarts de finale perdus par l'équipe de France en Coupe du monde, depuis la défaite d'hier soir face à l'Allemagne. Auparavant, les Bleus avaient en effet remporté leurs quatre derniers quarts de finale en 1958, 1986, 1998 et 2006. Mais face à eux se dressaient des Allemands qui eux n'ont pas manqué le dernier carré depuis 2006, au Mondial comme à l'Euro.
à chaud
Hugo Lloris (gardien et capitaine) : « C'est une ambiance assez lourde avec de la tristesse. Frustrante aussi car on a livré un beau match, une belle performance. Dans les premières minutes, on était un peu timorés et même si on n'a pas eu d'occasions franches, on a manqué de réalisme. On a réalisé quand même de très belles choses et il ne nous a pas manqué grand-chose face à une grande équipe européenne…»
Yoann Cabaye (milieu de terrain) : « L'efficacité nous a manqué, on s'est créé des occasions mais on n'a pas réussi à concrétiser. Il faut garder la tête haute par rapport à ce qu'on a fait dans cette Coupe du monde. On est passé proche d'une qualification, il faut avoir une certaine fierté de bien avoir représenté notre pays...[/size]
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Mi-temps : 1-0.
Spectateurs : 74.240.
Arbitre : M. Pittana (Arg).
But : pour l'Allemagne, Hummels (13e).
Avertissements : à l'Allemagne, Khedira (54e), Schweinsteiger (80e).
France : Lloris (cap) - Debuchy, Varane, Sakho (Koscielny 71e), Evra - Pogba, Cabaye (Rémy 73e), Matuidi - Valbuena (Giroud 85e), Benzema, Griezmann. Entraîneur : Didier Deschamps.
Allemagne : Neuer - Lahm (cap), Boateng, Hummels, Höwedes - Schweinsteiger, Khedira - Özil (Götze 83e), Kroos (Kramer 90e + 2), Müller - Klose (Schürrle 69e). Entraîneur : Joachim Löw.
Spectateurs : 74.240.
Arbitre : M. Pittana (Arg).
But : pour l'Allemagne, Hummels (13e).
Avertissements : à l'Allemagne, Khedira (54e), Schweinsteiger (80e).
France : Lloris (cap) - Debuchy, Varane, Sakho (Koscielny 71e), Evra - Pogba, Cabaye (Rémy 73e), Matuidi - Valbuena (Giroud 85e), Benzema, Griezmann. Entraîneur : Didier Deschamps.
Allemagne : Neuer - Lahm (cap), Boateng, Hummels, Höwedes - Schweinsteiger, Khedira - Özil (Götze 83e), Kroos (Kramer 90e + 2), Müller - Klose (Schürrle 69e). Entraîneur : Joachim Löw.
aladin- Messages : 115038
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=30]Mondial: Brésil-Allemagne en demi-finale, remake de la finale 2002[/size]
05/07/2014 00:07
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Le capitaine du Brésil célèbre le but de son coéquipier David Luiz en quart de finale de la Coupe du Monde, remportée le 4 juillet 2014 à Fortaleza par son équipe contre la Colombie (2-1). - AFP Fabrice Coffrini
Le Brésil et l'Allemagne se rencontreront mardi à Belo Horizonte en demi-finales du Mondial-2014, pour un remake de la finale remportée par la Seleçao en 2002, le dernier de ses cinq titres mondiaux.
Les Brésiliens ont obtenu leur billet pour la 11e demi-finale de leur histoire en 20 participations avec une victoire sur la Colombie (2-1), vendredi à Fortaleza, grâce à Thiago Silva (7) et David Luiz (69). James Rodriguez (80) a réduit l'écart sur penalty.
Seule ombre au tableau côté brésilien: la Seleçao devra se passer au prochain match de son capitaine Thiago Silva, qui a écopé d'un nouveau carton jaune synonyme de suspension. Elle a également vu son attaquant vedette, Neymar, sortir sur civière en fin de match (88).
Plus tôt, l'Allemagne s'était qualifiée pour les demi-finales aux dépens de la France (1-0) sur un but de Mats Hummels inscrit dans le premier quart d'heure, au Maracana de Rio, théâtre de la finale le 13 juillet.
Les Brésiliens, difficiles vainqueurs du Chili en 8e (1-1; 3 t.a.b. 2), n'ont pas succombé à la pression des 200 millions de supporteurs qui attendent le sacre à domicile, douze ans après celui remporté sous les ordres de Luiz Felipe Scolari, déjà sélectionneur.
Sur leur route vers Rio, ils ont mis fin au beau parcours de la Colombie qui, pour son retour en Coupe du monde après seize ans d'absence, a réalisé un premier tour parfait (3 victoires) avant d'éliminer l'Uruguay (2-0) en 8e de finale.
Thiago Silva a profité du relâchement défensif des Colombiens pour catapulter du genou gauche (7) un corner de Neymar, alors qu'il était oublié au second poteau.
David Luiz, son nouveau coéquipier au Paris SG, a doublé la mise d'un sublime coup franc direct (69) déclenché à 30 mètres du but de David Ospina, qui n'a pu que l'effleurer.
James Rodriguez (80), auteur d'un doublé contre l'Uruguay, a transformé un penalty obtenu par Carlos Bacca pour inscrire son sixième but de la compétition, soit deux de plus que Messi (Argentine), Müller (Allemagne) et Neymar (Brésil), ses dauphins au classement des buteurs.
L'abnégation des Brésiliens, arrivés sur la pelouse du Castelao avec une énorme envie, a pourtant été contrebalancée par la trop grande imprécision de leurs attaquants, qui ont fait face à un Ospina inspiré.
Ils leur faudra être plus précis mardi à Belo Horizonte face aux Allemands, redoutables d'efficacité, qu'ils n'ont rencontré qu'une seule fois jusqu'alors en Coupe du monde, en 2002, pour une victoire du Brésil de Ronaldo 2 à
05/07/2014 00:07
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Le capitaine du Brésil célèbre le but de son coéquipier David Luiz en quart de finale de la Coupe du Monde, remportée le 4 juillet 2014 à Fortaleza par son équipe contre la Colombie (2-1). - AFP Fabrice Coffrini
Le Brésil et l'Allemagne se rencontreront mardi à Belo Horizonte en demi-finales du Mondial-2014, pour un remake de la finale remportée par la Seleçao en 2002, le dernier de ses cinq titres mondiaux.
Les Brésiliens ont obtenu leur billet pour la 11e demi-finale de leur histoire en 20 participations avec une victoire sur la Colombie (2-1), vendredi à Fortaleza, grâce à Thiago Silva (7) et David Luiz (69). James Rodriguez (80) a réduit l'écart sur penalty.
Seule ombre au tableau côté brésilien: la Seleçao devra se passer au prochain match de son capitaine Thiago Silva, qui a écopé d'un nouveau carton jaune synonyme de suspension. Elle a également vu son attaquant vedette, Neymar, sortir sur civière en fin de match (88).
Plus tôt, l'Allemagne s'était qualifiée pour les demi-finales aux dépens de la France (1-0) sur un but de Mats Hummels inscrit dans le premier quart d'heure, au Maracana de Rio, théâtre de la finale le 13 juillet.
Les Brésiliens, difficiles vainqueurs du Chili en 8e (1-1; 3 t.a.b. 2), n'ont pas succombé à la pression des 200 millions de supporteurs qui attendent le sacre à domicile, douze ans après celui remporté sous les ordres de Luiz Felipe Scolari, déjà sélectionneur.
Sur leur route vers Rio, ils ont mis fin au beau parcours de la Colombie qui, pour son retour en Coupe du monde après seize ans d'absence, a réalisé un premier tour parfait (3 victoires) avant d'éliminer l'Uruguay (2-0) en 8e de finale.
Thiago Silva a profité du relâchement défensif des Colombiens pour catapulter du genou gauche (7) un corner de Neymar, alors qu'il était oublié au second poteau.
David Luiz, son nouveau coéquipier au Paris SG, a doublé la mise d'un sublime coup franc direct (69) déclenché à 30 mètres du but de David Ospina, qui n'a pu que l'effleurer.
James Rodriguez (80), auteur d'un doublé contre l'Uruguay, a transformé un penalty obtenu par Carlos Bacca pour inscrire son sixième but de la compétition, soit deux de plus que Messi (Argentine), Müller (Allemagne) et Neymar (Brésil), ses dauphins au classement des buteurs.
L'abnégation des Brésiliens, arrivés sur la pelouse du Castelao avec une énorme envie, a pourtant été contrebalancée par la trop grande imprécision de leurs attaquants, qui ont fait face à un Ospina inspiré.
Ils leur faudra être plus précis mardi à Belo Horizonte face aux Allemands, redoutables d'efficacité, qu'ils n'ont rencontré qu'une seule fois jusqu'alors en Coupe du monde, en 2002, pour une victoire du Brésil de Ronaldo 2 à
aladin- Messages : 115038
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=30]Mondial: Les Allemands Neuer, Hummels, Kroos, c'est kolossal[/size]
04/07/2014 20:57
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Le Français Karim Benzema arme sa frappe qui sera détournée par Manuel Neuer, le gardien allemand préservant ainsi le résultat (1-0) synonyme de qualification en demi-finale de Coupe du Monde pour son équipe, le 4 juillet 2014 à Rio de Janeiro. - AFP Christophe Simon
Pas les plus glamour, mais tellement efficaces: à eux trois, Manuel Neuer, Mats Hummels et Toni Kroos ont fait pencher un quart du côté de l'Allemagne face à la France (1-0), vendredi au Maracana dans le Mondial-2014.
Le défenseur central (buteur), le meneur de jeu (auteur de la passe décisive) et le gardien, qui a de nouveau fait des prouesses, ont permis à la Nationalmannschaft d'atteindre le dernier carré d'une Coupe du monde pour la quatrième fois consécutive.
Neuer encore
Le grand artisan de la qualification pour les quarts aura encore pesé dans l'étape suivante: le gardien de 28 ans a livré un sans-faute contre la France et confirmé sa place sur le podium officieux des meilleurs N.1 du monde.
Lundi à Porto Alegre, il avait écoeuré l'Algérie (2-1 a.p.) par ses sorties en dehors de la surface, tranchantes et dignes d'un libero, au point de convoquer le souvenir tutélaire du "Kaiser" Franz Beckenbauer. Vendredi, pour sa 50e sélection, il a sorti le grand jeu sur sa ligne.
Parmi ses sauvetages ? Il repousse une demi-volée de Valbuena de la main gauche dans un étrange réflexe (36e), il va chercher en toute tranquillité une tête de Varane qui filait vers la lucarne (60e), il évite l'égalisation de Benzema dans les derniers instants d'une manchette.
La sérénité du portier a transpiré sur la défense, comme lorsque sur un centre français, Lahm n'hésite pas à faire une tête en retrait, une passe pour son coéquipier du Bayern Munich (29e). En toute sérénité.
Hummels derrière et devant
Sans Mertesacker, écarté du onze après sa prestation pénible contre l'Algérie, le joueur de Schalke (25 ans) s'est imposé comme le garant de l'arrière-garde, lui qui avait fait faux bond contre les Fennecs en raison d'un état grippal.
Il a parfaitement récupéré, Benzema en est témoin: l'attaquant français n'a jamais pu "enrhumer" son cerbère.
Un match à sens unique: Hummels devance Benzema sur un centre (11e), Hummels dévie de la cuisse une reprise de Benzema (36e), Hummels repousse du ventre une tête de Benzema (42e), Hummels plus prompt que Benzema sur un centre (73e), Hummels contre le tir de Benzema (76e)... le duel a tourné au net avantage du premier, voire à l'humiliation du second.
Et puis il y a son but, évidemment capital. Sur un coup franc de Kroos, à la lutte avec Varane, Hummels prolonge de la tête le ballon qui vient mourir dans les filets de Lloris après avoir percuté la barre (13e).
Son 4e but en 34 sélections, mais déjà son 2e dans le tournoi après celui contre le Portugal (4-0) au premier tour, déjà de la tête, du haut de son 1,92 m. Et déjà, donc, sur un coup de pied arrêté de Kroos.
Kroos dans le coeur
Troisième passe décisive pour Kroos, après le corner contre le Portugal et le centre pour l'ouverture du score de Götze contre le Ghana (2-2).
L'Allemand de 24 ans, qui a obtenu la faute pour le coup franc fatal, était le deuxième meilleur délivreur de passes décisives du Mondial derrière le Colombien Cuadrado (4 avant son quart de finale contre le Brésil plus tard ce vendredi).
La bataille de l'entrejeu a été remportée dans les grandes largeurs par la Nationalmannschaft, surtout en première période, avant un certain rééquilibrage en seconde. Positionné en meneur de jeu dans le 4-2-3-1 allemand, le joueur du Bayern Munich a mené les débats en compagnie de Khedira, lui aussi rayonnant, quand Schweinsteiger semblait plus éteint. En face, seul Pogba surnageait, aux côtés de Matuidi et Cabaye, tous deux peu en vue.
"A mon avis, si on domine le milieu et qu'on gagne les duels, alors ça influera beaucoup sur le résultat final", avait dit à la veille du match le Bavarois que la presse espagnole dit convoité par le Real Madrid. "On sait qu'ils sont bons dans ce secteur, mais si on joue à notre niveau, je pense qu'on est la meilleure équipe, mais on doit le montrer sur le terrain".
04/07/2014 20:57
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Le Français Karim Benzema arme sa frappe qui sera détournée par Manuel Neuer, le gardien allemand préservant ainsi le résultat (1-0) synonyme de qualification en demi-finale de Coupe du Monde pour son équipe, le 4 juillet 2014 à Rio de Janeiro. - AFP Christophe Simon
Pas les plus glamour, mais tellement efficaces: à eux trois, Manuel Neuer, Mats Hummels et Toni Kroos ont fait pencher un quart du côté de l'Allemagne face à la France (1-0), vendredi au Maracana dans le Mondial-2014.
Le défenseur central (buteur), le meneur de jeu (auteur de la passe décisive) et le gardien, qui a de nouveau fait des prouesses, ont permis à la Nationalmannschaft d'atteindre le dernier carré d'une Coupe du monde pour la quatrième fois consécutive.
Neuer encore
Le grand artisan de la qualification pour les quarts aura encore pesé dans l'étape suivante: le gardien de 28 ans a livré un sans-faute contre la France et confirmé sa place sur le podium officieux des meilleurs N.1 du monde.
Lundi à Porto Alegre, il avait écoeuré l'Algérie (2-1 a.p.) par ses sorties en dehors de la surface, tranchantes et dignes d'un libero, au point de convoquer le souvenir tutélaire du "Kaiser" Franz Beckenbauer. Vendredi, pour sa 50e sélection, il a sorti le grand jeu sur sa ligne.
Parmi ses sauvetages ? Il repousse une demi-volée de Valbuena de la main gauche dans un étrange réflexe (36e), il va chercher en toute tranquillité une tête de Varane qui filait vers la lucarne (60e), il évite l'égalisation de Benzema dans les derniers instants d'une manchette.
La sérénité du portier a transpiré sur la défense, comme lorsque sur un centre français, Lahm n'hésite pas à faire une tête en retrait, une passe pour son coéquipier du Bayern Munich (29e). En toute sérénité.
Hummels derrière et devant
Sans Mertesacker, écarté du onze après sa prestation pénible contre l'Algérie, le joueur de Schalke (25 ans) s'est imposé comme le garant de l'arrière-garde, lui qui avait fait faux bond contre les Fennecs en raison d'un état grippal.
Il a parfaitement récupéré, Benzema en est témoin: l'attaquant français n'a jamais pu "enrhumer" son cerbère.
Un match à sens unique: Hummels devance Benzema sur un centre (11e), Hummels dévie de la cuisse une reprise de Benzema (36e), Hummels repousse du ventre une tête de Benzema (42e), Hummels plus prompt que Benzema sur un centre (73e), Hummels contre le tir de Benzema (76e)... le duel a tourné au net avantage du premier, voire à l'humiliation du second.
Et puis il y a son but, évidemment capital. Sur un coup franc de Kroos, à la lutte avec Varane, Hummels prolonge de la tête le ballon qui vient mourir dans les filets de Lloris après avoir percuté la barre (13e).
Son 4e but en 34 sélections, mais déjà son 2e dans le tournoi après celui contre le Portugal (4-0) au premier tour, déjà de la tête, du haut de son 1,92 m. Et déjà, donc, sur un coup de pied arrêté de Kroos.
Kroos dans le coeur
Troisième passe décisive pour Kroos, après le corner contre le Portugal et le centre pour l'ouverture du score de Götze contre le Ghana (2-2).
L'Allemand de 24 ans, qui a obtenu la faute pour le coup franc fatal, était le deuxième meilleur délivreur de passes décisives du Mondial derrière le Colombien Cuadrado (4 avant son quart de finale contre le Brésil plus tard ce vendredi).
La bataille de l'entrejeu a été remportée dans les grandes largeurs par la Nationalmannschaft, surtout en première période, avant un certain rééquilibrage en seconde. Positionné en meneur de jeu dans le 4-2-3-1 allemand, le joueur du Bayern Munich a mené les débats en compagnie de Khedira, lui aussi rayonnant, quand Schweinsteiger semblait plus éteint. En face, seul Pogba surnageait, aux côtés de Matuidi et Cabaye, tous deux peu en vue.
"A mon avis, si on domine le milieu et qu'on gagne les duels, alors ça influera beaucoup sur le résultat final", avait dit à la veille du match le Bavarois que la presse espagnole dit convoité par le Real Madrid. "On sait qu'ils sont bons dans ce secteur, mais si on joue à notre niveau, je pense qu'on est la meilleure équipe, mais on doit le montrer sur le terrain".
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=40]Nous méritons de continuer»
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Toni Kroos (milieu de l'équipe d'Allemagne) : «Une quatrième demi-finale de Coupe du monde d'affilée, c'est quelque chose de particulier, c'est une qualité de constance, mais pour l'instant on n'a pas encore gagné, et c'est notre objectif. On aurait pu profiter d'une contre-attaque en deuxième période, mais on n'a pas eu d'énormes occasions, la France a poussé jusqu'au bout et c'est resté serré jusqu'à la fin. (sur le but) C'est bien d'avoir retrouvé cette qualité, d'être redevenus bons sur coups de pied arrêtés, on a de bons joueurs de tête, et c'est important dans ce genre de tournoi de pouvoir être efficaces sur les coups de pied arrêtés.»
Mats Hummels (défenseur de l'équipe d'Allemagne, auteur du but de la victoire) : «Le rêve continue. On n'arrive pas à croire que tout va aussi bien pour nous. J'espère que notre parcours ne va pas s'achever bientôt et que nous serons de retour ici (au Maracana) pour jouer le dimanche de la semaine prochaine (pour la finale, ndlr). On a eu des moments difficiles, même si dans d'autres on a bien joué. Quand on affronte la France, qui est une des meilleures équipes, rien n'est facile. On est sortis vainqueurs. Ca n'a pas été un match parfait, mais il a été correct et sérieux. Nous jouons de la manière qui nous donne une chance de gagner. Notre comportement défensif a été comme attendu et la passion va augmenter pour les prochains matches. Nous méritons de continuer et je crois que si nous poursuivons à ce niveau de jeu, nous pouvons aller loin, même si le prochain match sera certainement difficile.»
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Toni Kroos (milieu de l'équipe d'Allemagne) : «Une quatrième demi-finale de Coupe du monde d'affilée, c'est quelque chose de particulier, c'est une qualité de constance, mais pour l'instant on n'a pas encore gagné, et c'est notre objectif. On aurait pu profiter d'une contre-attaque en deuxième période, mais on n'a pas eu d'énormes occasions, la France a poussé jusqu'au bout et c'est resté serré jusqu'à la fin. (sur le but) C'est bien d'avoir retrouvé cette qualité, d'être redevenus bons sur coups de pied arrêtés, on a de bons joueurs de tête, et c'est important dans ce genre de tournoi de pouvoir être efficaces sur les coups de pied arrêtés.»
Mats Hummels (défenseur de l'équipe d'Allemagne, auteur du but de la victoire) : «Le rêve continue. On n'arrive pas à croire que tout va aussi bien pour nous. J'espère que notre parcours ne va pas s'achever bientôt et que nous serons de retour ici (au Maracana) pour jouer le dimanche de la semaine prochaine (pour la finale, ndlr). On a eu des moments difficiles, même si dans d'autres on a bien joué. Quand on affronte la France, qui est une des meilleures équipes, rien n'est facile. On est sortis vainqueurs. Ca n'a pas été un match parfait, mais il a été correct et sérieux. Nous jouons de la manière qui nous donne une chance de gagner. Notre comportement défensif a été comme attendu et la passion va augmenter pour les prochains matches. Nous méritons de continuer et je crois que si nous poursuivons à ce niveau de jeu, nous pouvons aller loin, même si le prochain match sera certainement difficile.»
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=40]öw : «On peut aller jusqu'au bout»
Le sélectionneur de l'Allemagne Joachim Löw a foi en son équipe et pense qu'elle «peut aller jusqu'au bout» de cette Coupe du monde après son succès en quart de finale contre la France (1-0), vendredi au Maracana.
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Joachim Löw estime l'Allemagne capable de remporter la Coupe du monde. (Reuters)
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«Joachim Löw, quelle a été votre décision tactique la plus importante du match?
Les deux équipes ont fourni un bon travail défensif, elles étaient très bonnes en attaque, mais les occasions n'ont pas été concrétisées. Les attaquants français étaient très puissants, mais on a eu aussi des opportunités en fin de partie que l'on n'a pas assez appuyées. Les deux équipes étaient bien tactiquement sur le plan défensif et on a réussi à contrôler les attaques de Benzema. On savait aussi qu'il y avait Cabaye et Pogba qui font du bon travail de récupération. C'est pour ça que l'idée était de mettre Lahm sur le côté droit pour qu'il contribue au jeu offensif en passant par les côtés.
Allez-vous aligner la même équipe pour les demi-finales?
Je ne sais pas. Je n'en suis pas encore persuadé. Je vais voir comment les joueurs vont récupérer. Le match contre l'Algérie (en 8e de finale) était aussi difficile. C'est important de faire participer tout le monde et je vais voir le temps de récupération de chacun.
La chaleur a été un problème?
Ce n'est jamais facile de jouer à 13h00 pour les équipes européennes, en plein soleil. Il faisait très, très chaud et on avait du mal à respirer, mais je crois que les demi-finales auront lieu en fin d'après-midi. C'était aussi difficile pour la France. C'était compliqué de garder le contrôle du ballon et de mettre cette intensité nécessaire au haut niveau.
Que devez-vous faire pour enfin remporter un trophée après plusieurs échecs en demi-finales depuis 2006?
On verra ce qui se passe. On ne sait pas encore qui sera notre adversaire en demi-finales. Une demi-finale c'est déjà un bon résultat et si on est constamment à ce niveau, ça parle de soi-même. On va essayer d'aller encore plus loin.
Quelle est la clé de la régularité de l'Allemagne et qu'est-ce qui manque pour franchir la dernière marche?
Le jeu a beaucoup changé depuis 2006. On n'a pas les mêmes joueurs. Il y a eu des changements forcés, de par l'évolution normale d'une équipe. C'est important d'accueillir de nouveaux joueurs. On l'a fait au compte-gouttes, on a des joueurs de grande qualité et c'est pourquoi je pense qu'on peut aller jusqu'au bout.
Qu'avez-vous pensé du match de Neuer?
Nous avons tous confiance en Manuel Neuer. C'est rassurant pour une défense de savoir qu'il est là juste derrière. C'est un gardien qui est bon sur sa ligne, sait sortir, est très bon balle au pied et à qui on peut faire des passes. Depuis 2010, il est l'un des meilleurs, voire le meilleur à son poste. Il est très calme et rassure une défense.»
Le sélectionneur de l'Allemagne Joachim Löw a foi en son équipe et pense qu'elle «peut aller jusqu'au bout» de cette Coupe du monde après son succès en quart de finale contre la France (1-0), vendredi au Maracana.
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Joachim Löw estime l'Allemagne capable de remporter la Coupe du monde. (Reuters)
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«Joachim Löw, quelle a été votre décision tactique la plus importante du match?
Les deux équipes ont fourni un bon travail défensif, elles étaient très bonnes en attaque, mais les occasions n'ont pas été concrétisées. Les attaquants français étaient très puissants, mais on a eu aussi des opportunités en fin de partie que l'on n'a pas assez appuyées. Les deux équipes étaient bien tactiquement sur le plan défensif et on a réussi à contrôler les attaques de Benzema. On savait aussi qu'il y avait Cabaye et Pogba qui font du bon travail de récupération. C'est pour ça que l'idée était de mettre Lahm sur le côté droit pour qu'il contribue au jeu offensif en passant par les côtés.
Allez-vous aligner la même équipe pour les demi-finales?
Je ne sais pas. Je n'en suis pas encore persuadé. Je vais voir comment les joueurs vont récupérer. Le match contre l'Algérie (en 8e de finale) était aussi difficile. C'est important de faire participer tout le monde et je vais voir le temps de récupération de chacun.
La chaleur a été un problème?
Ce n'est jamais facile de jouer à 13h00 pour les équipes européennes, en plein soleil. Il faisait très, très chaud et on avait du mal à respirer, mais je crois que les demi-finales auront lieu en fin d'après-midi. C'était aussi difficile pour la France. C'était compliqué de garder le contrôle du ballon et de mettre cette intensité nécessaire au haut niveau.
Que devez-vous faire pour enfin remporter un trophée après plusieurs échecs en demi-finales depuis 2006?
On verra ce qui se passe. On ne sait pas encore qui sera notre adversaire en demi-finales. Une demi-finale c'est déjà un bon résultat et si on est constamment à ce niveau, ça parle de soi-même. On va essayer d'aller encore plus loin.
Quelle est la clé de la régularité de l'Allemagne et qu'est-ce qui manque pour franchir la dernière marche?
Le jeu a beaucoup changé depuis 2006. On n'a pas les mêmes joueurs. Il y a eu des changements forcés, de par l'évolution normale d'une équipe. C'est important d'accueillir de nouveaux joueurs. On l'a fait au compte-gouttes, on a des joueurs de grande qualité et c'est pourquoi je pense qu'on peut aller jusqu'au bout.
Qu'avez-vous pensé du match de Neuer?
Nous avons tous confiance en Manuel Neuer. C'est rassurant pour une défense de savoir qu'il est là juste derrière. C'est un gardien qui est bon sur sa ligne, sait sortir, est très bon balle au pied et à qui on peut faire des passes. Depuis 2010, il est l'un des meilleurs, voire le meilleur à son poste. Il est très calme et rassure une défense.»
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Mondial-2014 : L'Allemagne refait l'histoire (vidéo)
Le 05 juillet à 6h00 | Mis à jour il y a 21 heures
Impuissants sur le coup de tête gagnant de Hummels, Lloris et les Bleus ont maintenant rendez-vous avec l'Euro-2016. PHOTO/© D.R
Comme en 1982 et 1986, l'Allemagne a mis fin hier soir aux illusions françaises lors des quarts de finale du Mondial-2014 (1-0). Le foot se joue à 11 contre 11, et à la fin, les Allemands gagnent toujours.
Encore raté ! 1982, 1986 et désormais 2014 : comme toujours ou presque, les Bleus ont encore été victimes de l'Allemagne, cette fois en quart de finale du Mondial. Pas de quoi nourrir la légende, de haïr l'adversaire, le succès allemand a été méthodique, presque scientifique. Une leçon de football-réalisme.
La Nationalmannschaft a rapidement ouvert le score sur une tête du défenseur central Mats Hummels (13e). Ensuite, les Allemands se sont contentés de gérer leur avantage, en plaçant quelques contres. Les Bleus se sont certes créés quelques occasions, par Valbuena, Benzema ou Varane, mais ils n'ont jamais véritablement inquiété les Allemands, sous la chaleur moite de Rio (28°c et 88 % de taux d'humidité). En cas d'alerte chaude, la Mannschaft peut avancer deux assurances tout risque : le gardien Neuer et le défenseur Hummels pour combler les brèches ou calmer les ardeurs adverses. Neuer a notamment douché les derniers espoirs français d'une manchette impeccable sur un tir de Benzema sur l'ultime attaque du match...
Ainsi s'achève une belle aventure, qui a pris corps dans la fraîcheur du Stade de France, le 19 novembre dernier. Ce soir-là, les Français avaient décroché leur qualification et conquis le cœur des supporteurs en battant l'Ukraine (3-0) en match retour des barrages, après une décevante défaite (2-0) à l'aller. Un match en guise de rupture dans le jeu, comme dans le comportement des joueurs, confirmée lors d'un match amical remporté face aux Pays-Bas (2-0) en mars.
Les matches de la première phase (deux succès face à la Suisse et au Honduras et un nul contre l'Equateur) ont confirmé la montée en puissance, matérialisée par un beau succès en 8e de finale contre le Nigeria (2-0). Visiblement, la marche qui mène aux demi-finales était trop haute pour les Bleus, qui devront encore patienter pour retrouver le dernier carré où la dernière apparition française remonte à 2006.
Au passage, ils ont pu mesurer la distance qui les sépare de l'Allemagne. A la fois peu, et... beaucoup. Et notamment un certain manque d'expérience aux moments-clés. Ce fut notamment le cas sur le but inscrit par Hummels, qui usa (légalement) de son corps pour écarter Varane (21 ans), avant de placer le coup de tête gagnant. La différence est peut-être là... Entre une équipe en devenir, bâtie pour l'Euro-2016 en France, et une formation rompue aux matches décisifs, qui accède pour la quatrième fois consécutivement aux demi-finales d'une Coupe du monde. Une belle base de travail en vue de l'Euro.
Le 05 juillet à 6h00 | Mis à jour il y a 21 heures
Impuissants sur le coup de tête gagnant de Hummels, Lloris et les Bleus ont maintenant rendez-vous avec l'Euro-2016. PHOTO/© D.R
Comme en 1982 et 1986, l'Allemagne a mis fin hier soir aux illusions françaises lors des quarts de finale du Mondial-2014 (1-0). Le foot se joue à 11 contre 11, et à la fin, les Allemands gagnent toujours.
Encore raté ! 1982, 1986 et désormais 2014 : comme toujours ou presque, les Bleus ont encore été victimes de l'Allemagne, cette fois en quart de finale du Mondial. Pas de quoi nourrir la légende, de haïr l'adversaire, le succès allemand a été méthodique, presque scientifique. Une leçon de football-réalisme.
La Nationalmannschaft a rapidement ouvert le score sur une tête du défenseur central Mats Hummels (13e). Ensuite, les Allemands se sont contentés de gérer leur avantage, en plaçant quelques contres. Les Bleus se sont certes créés quelques occasions, par Valbuena, Benzema ou Varane, mais ils n'ont jamais véritablement inquiété les Allemands, sous la chaleur moite de Rio (28°c et 88 % de taux d'humidité). En cas d'alerte chaude, la Mannschaft peut avancer deux assurances tout risque : le gardien Neuer et le défenseur Hummels pour combler les brèches ou calmer les ardeurs adverses. Neuer a notamment douché les derniers espoirs français d'une manchette impeccable sur un tir de Benzema sur l'ultime attaque du match...
Ainsi s'achève une belle aventure, qui a pris corps dans la fraîcheur du Stade de France, le 19 novembre dernier. Ce soir-là, les Français avaient décroché leur qualification et conquis le cœur des supporteurs en battant l'Ukraine (3-0) en match retour des barrages, après une décevante défaite (2-0) à l'aller. Un match en guise de rupture dans le jeu, comme dans le comportement des joueurs, confirmée lors d'un match amical remporté face aux Pays-Bas (2-0) en mars.
- Objectif Euro-2016
Les matches de la première phase (deux succès face à la Suisse et au Honduras et un nul contre l'Equateur) ont confirmé la montée en puissance, matérialisée par un beau succès en 8e de finale contre le Nigeria (2-0). Visiblement, la marche qui mène aux demi-finales était trop haute pour les Bleus, qui devront encore patienter pour retrouver le dernier carré où la dernière apparition française remonte à 2006.
Au passage, ils ont pu mesurer la distance qui les sépare de l'Allemagne. A la fois peu, et... beaucoup. Et notamment un certain manque d'expérience aux moments-clés. Ce fut notamment le cas sur le but inscrit par Hummels, qui usa (légalement) de son corps pour écarter Varane (21 ans), avant de placer le coup de tête gagnant. La différence est peut-être là... Entre une équipe en devenir, bâtie pour l'Euro-2016 en France, et une formation rompue aux matches décisifs, qui accède pour la quatrième fois consécutivement aux demi-finales d'une Coupe du monde. Une belle base de travail en vue de l'Euro.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Le rêve brisé des Bleus
Publié le 05/07/2014 à 08:06, Mis à jour le 05/07/2014 à 11:30
Équipe de france. Quart de finale. Hier soir, les Bleus en ont terminé avec leur aventure battus par des Allemands sûrs d'eux
Karim Benzema qui a armé, va voir sa tentative contrée par un tacle à la desesperado du défenseur central Mats Hummels, héros à double titre de ce France-Allemagne./ Photo MaxPPP
Arrêtés sur un coup de pied. Empêchés par deux mains. Voilà résumée l'élimination des Français. Un peu trivialement, c'est vrai. En attendant, pour se payer sa demie, l'Allemagne n'aura eu besoin que d'un coup franc enveloppé à merveille par son artificier Kroos (qu'il ne faut pas chercher, il coule de source) et repris par Hummels (copie conforme du 2e but germanique contre le Portugal, à la différence près que ce fut sur corner) – les Bleus étaient prévenus. Comme ils étaient au courant qu'en face, le dernier rempart est certainement le meilleur de la planète actuellement. Neuer n'eut pas grand-chose à se mettre sous les gants, mais il ne se rata pas : main gauche ferme sur une demi-volée croisée de Valbuena (34), paume droite là sur un tir du gauche terrible de Benzema sous la transversale dans ce qui constitua la balle de l'extra-time pour la bande à Didier Deschamps (90+4).
analyse – thématique.
La guerre des boutons
Löw surprend
Du classique contre de l'inédit. La bagarre tactique a bien eu lieu, à Rio, mais avant le coup d'envoi. Une bonne heure auparavant, c'est-à-dire à la distribution des feuilles de match. Si le XI de France aligné est celui annoncé dans les gazettes le matin-même (la nôtre, au passage), la composition allemande réserve deux surprises : 1) Joachim Löw a choisi de changer de système, délaissant son usuel 4-3-3 au profit d'un 4-2-3-1 ; 2) qui n'en est in fine que le corollaire, ce bon vieux Klose est titularisé – naturellement en pointe – pour la première fois depuis l'ouverture de la compétition. Quels enseignements fallait-il y voir ? Plusieurs. à commencer par l'effroi algérien (2-1 ap) : le sélectionneur de la Mannschaft n'aspire pas à revivre un tel scénario de la peur. Ensuite, le show français : Löw se méfie de la force de frappe offensive des Bleus. Bon, ça, c'était sur le papier…
La bataille des airs : perdue
Encaisser un but après 12 minutes dans un match à élimination directe, on peut aisément imaginer meilleure entame. Si le coup de boule de Hummels n'a pas plombé pour autant les Tricolores, il les aura quand même refroidis dans la touffeur du Maracanã (27°C et 90% d'humidité à 13 heures locales). S'ils mirent quelques minutes à sortir la tête… de l'eau, les Bleus ne seront par la suite jamais sereins sur chaque corner ou coup franc. Embêtant. Les stats de ce Mondial le confirment : 2 des 3 réalisations concédées par la France l'ont été sur un coup franc direct (face à la Suisse, Dzemaïli), sur ainsi un deuxième coup franc indirect celui-là et excentré. à noter que le gardien de Tottenham ne nous a pas paru souverain dans le secteur – une «lacune» que nous avions surlignée après la qualification devant le Nigeria au tour précédent.
Au milieu, les Allemands ont fait la loi
Cabaye un peu court physiquement (pas de secret, lorsqu'on n'est pas titulaire à part entière en club…), Pogba trop intermittent – du spectacle certes, Matuidi encore brouillon comme contre les Nigérians et peut-être encore marqué par son «jaune orangé» (au fait, sa victime Onazi s'en est sortie avec une fracture tibia-péroné). Oui, trois fois oui, l'entrejeu tricolore n'a pas été à la hauteur. Ou, plus exactement, n'a pas su rivaliser avec le milieu de la Mannschaft. Qui, d'abord, était plus nombreux ou dense, c'est comme on veut : 5 vs 3. Ensuite, a connu bien moins de déchet dans la transmission de balle (à la pause : 186 passes réussies contre 107). Enfin, on y revient sans cesse, il a maîtrisé avec toutes les bonnes ficelles. à titre d'exemple, la faute de Pogba sur Kroos qui aboutira au but, est une petite poussette avec la main du Turinois sur le dos du Bavarois, lequel exagère mais en jouant bien le coup. C'est de bonne guerre.
Benzema impuissant
Aux citrons, Karim Benzema était le joueur français à avoir le plus tenté : 4 tirs. Cependant, 1 seul cadré (43). En seconde, on peut se demander si le Madrilène l'a enclenché – sa boîte de vitesse. La question ou les questions se posent, inversement aux chiffres puisque Benzegoal aura été le Tricolore le plus décisif de la compétition (3 buts, 2 passes) : l'attaquant du Real est-il l'avant-centre idoine des Bleus ? Et représente-il l'avenir de l'équipe de France ? Loin de nous l'idée de devenir soudain amnésique, mais sa prestation sans gnaque véhicule son lot de doutes. L'on répondra que Benzegoal n'est pas un véritable 9 (à moins, comme à Madrid, d'avoir à ses côtes Bale et Ronaldo, derrière Di María et Modric) ; l'on avancera qu'en 2012 l'ancien Lyonnais n'aura que 28 ans, par contre sera trentenaire au Mondial-2018…
Jean-Pierre Oyarsabal Point de vue
Rendez-vous en 2016
«C'est notre place»… Aucune amertume, aucune revendication, aucun dépit, que de la lucidité, franche, belle et claire, à peine ombrée par une légitime déception. En trois mots, lâchés au creux d'une analyse parfaite, Didier Deschamps a tout résumé. Cette équipe, son équipe, qu'il forge patiemment à son tempérament, quitte un Mondial qui ne lui était pas destiné, le cœur gros mais haut et l'esprit ensemencé. Elle a commencé à creuser un sillon engageant dans une terre grasse et prometteuse.
On a aimé ces joueurs simples, concernés, impliqués… On a apprécié ce football certes inabouti, embryonnaire même, mais intelligent, cohérent, et perfectiblement réjouissant. Alors bien sûr, il manque encore à ce groupe homogène, attachant, appliqué, un peu de vécu (cette aventure brésilienne sera très enrichissante), de la puissance, du caractère et un «gros» talent… Il n'a pas encore trouvé son Kopa, son Platini, son Zidane.
Ce ne sera probablement pas Benzema, beau joueur mais qui a confirmé hier ses difficultés à trouver en lui la saine agressivité, indispensable à ce niveau, l'appétit «viscéral» qui permet de «manger» l'adversaire et le ballon. Valbuena a pâti de son physique (La ruade de Schweinsteiger, à l'heure de jeu, l'a éteint) mais on rêve de le voir un jour plein axe… Ensuite ? Ensuite, il faut laisser un peu de temps à Pogba, Sakho a tout d'un futur grand défenseur, Cabaye peut être un moteur, un patron, «à la Deschamps», Griezmann possède l'étincelle… Et l'on file ainsi, illico, vers le championnat d'Europe, en France, dans deux ans, avec une ambition ravivée. Hier, les Allemands avaient un temps d'avance sur tout : le ballon, la maîtrise, le tableau d'affichage… L'arbitre, une sorte de Burt Lancaster au gabarit de 3e ligne (1,93m-95kg) n'a fait qu'accompagner un rapport de force subtil mais profond… Pas grave, c'est déjà oublié. Oui, rendez-vous en 2016 !
Publié le 05/07/2014 à 08:06, Mis à jour le 05/07/2014 à 11:30
Équipe de france. Quart de finale. Hier soir, les Bleus en ont terminé avec leur aventure battus par des Allemands sûrs d'eux
Karim Benzema qui a armé, va voir sa tentative contrée par un tacle à la desesperado du défenseur central Mats Hummels, héros à double titre de ce France-Allemagne./ Photo MaxPPP
Arrêtés sur un coup de pied. Empêchés par deux mains. Voilà résumée l'élimination des Français. Un peu trivialement, c'est vrai. En attendant, pour se payer sa demie, l'Allemagne n'aura eu besoin que d'un coup franc enveloppé à merveille par son artificier Kroos (qu'il ne faut pas chercher, il coule de source) et repris par Hummels (copie conforme du 2e but germanique contre le Portugal, à la différence près que ce fut sur corner) – les Bleus étaient prévenus. Comme ils étaient au courant qu'en face, le dernier rempart est certainement le meilleur de la planète actuellement. Neuer n'eut pas grand-chose à se mettre sous les gants, mais il ne se rata pas : main gauche ferme sur une demi-volée croisée de Valbuena (34), paume droite là sur un tir du gauche terrible de Benzema sous la transversale dans ce qui constitua la balle de l'extra-time pour la bande à Didier Deschamps (90+4).
analyse – thématique.
La guerre des boutons
Löw surprend
Du classique contre de l'inédit. La bagarre tactique a bien eu lieu, à Rio, mais avant le coup d'envoi. Une bonne heure auparavant, c'est-à-dire à la distribution des feuilles de match. Si le XI de France aligné est celui annoncé dans les gazettes le matin-même (la nôtre, au passage), la composition allemande réserve deux surprises : 1) Joachim Löw a choisi de changer de système, délaissant son usuel 4-3-3 au profit d'un 4-2-3-1 ; 2) qui n'en est in fine que le corollaire, ce bon vieux Klose est titularisé – naturellement en pointe – pour la première fois depuis l'ouverture de la compétition. Quels enseignements fallait-il y voir ? Plusieurs. à commencer par l'effroi algérien (2-1 ap) : le sélectionneur de la Mannschaft n'aspire pas à revivre un tel scénario de la peur. Ensuite, le show français : Löw se méfie de la force de frappe offensive des Bleus. Bon, ça, c'était sur le papier…
La bataille des airs : perdue
Encaisser un but après 12 minutes dans un match à élimination directe, on peut aisément imaginer meilleure entame. Si le coup de boule de Hummels n'a pas plombé pour autant les Tricolores, il les aura quand même refroidis dans la touffeur du Maracanã (27°C et 90% d'humidité à 13 heures locales). S'ils mirent quelques minutes à sortir la tête… de l'eau, les Bleus ne seront par la suite jamais sereins sur chaque corner ou coup franc. Embêtant. Les stats de ce Mondial le confirment : 2 des 3 réalisations concédées par la France l'ont été sur un coup franc direct (face à la Suisse, Dzemaïli), sur ainsi un deuxième coup franc indirect celui-là et excentré. à noter que le gardien de Tottenham ne nous a pas paru souverain dans le secteur – une «lacune» que nous avions surlignée après la qualification devant le Nigeria au tour précédent.
Au milieu, les Allemands ont fait la loi
Cabaye un peu court physiquement (pas de secret, lorsqu'on n'est pas titulaire à part entière en club…), Pogba trop intermittent – du spectacle certes, Matuidi encore brouillon comme contre les Nigérians et peut-être encore marqué par son «jaune orangé» (au fait, sa victime Onazi s'en est sortie avec une fracture tibia-péroné). Oui, trois fois oui, l'entrejeu tricolore n'a pas été à la hauteur. Ou, plus exactement, n'a pas su rivaliser avec le milieu de la Mannschaft. Qui, d'abord, était plus nombreux ou dense, c'est comme on veut : 5 vs 3. Ensuite, a connu bien moins de déchet dans la transmission de balle (à la pause : 186 passes réussies contre 107). Enfin, on y revient sans cesse, il a maîtrisé avec toutes les bonnes ficelles. à titre d'exemple, la faute de Pogba sur Kroos qui aboutira au but, est une petite poussette avec la main du Turinois sur le dos du Bavarois, lequel exagère mais en jouant bien le coup. C'est de bonne guerre.
Benzema impuissant
Aux citrons, Karim Benzema était le joueur français à avoir le plus tenté : 4 tirs. Cependant, 1 seul cadré (43). En seconde, on peut se demander si le Madrilène l'a enclenché – sa boîte de vitesse. La question ou les questions se posent, inversement aux chiffres puisque Benzegoal aura été le Tricolore le plus décisif de la compétition (3 buts, 2 passes) : l'attaquant du Real est-il l'avant-centre idoine des Bleus ? Et représente-il l'avenir de l'équipe de France ? Loin de nous l'idée de devenir soudain amnésique, mais sa prestation sans gnaque véhicule son lot de doutes. L'on répondra que Benzegoal n'est pas un véritable 9 (à moins, comme à Madrid, d'avoir à ses côtes Bale et Ronaldo, derrière Di María et Modric) ; l'on avancera qu'en 2012 l'ancien Lyonnais n'aura que 28 ans, par contre sera trentenaire au Mondial-2018…
Jean-Pierre Oyarsabal Point de vue
Rendez-vous en 2016
«C'est notre place»… Aucune amertume, aucune revendication, aucun dépit, que de la lucidité, franche, belle et claire, à peine ombrée par une légitime déception. En trois mots, lâchés au creux d'une analyse parfaite, Didier Deschamps a tout résumé. Cette équipe, son équipe, qu'il forge patiemment à son tempérament, quitte un Mondial qui ne lui était pas destiné, le cœur gros mais haut et l'esprit ensemencé. Elle a commencé à creuser un sillon engageant dans une terre grasse et prometteuse.
On a aimé ces joueurs simples, concernés, impliqués… On a apprécié ce football certes inabouti, embryonnaire même, mais intelligent, cohérent, et perfectiblement réjouissant. Alors bien sûr, il manque encore à ce groupe homogène, attachant, appliqué, un peu de vécu (cette aventure brésilienne sera très enrichissante), de la puissance, du caractère et un «gros» talent… Il n'a pas encore trouvé son Kopa, son Platini, son Zidane.
Ce ne sera probablement pas Benzema, beau joueur mais qui a confirmé hier ses difficultés à trouver en lui la saine agressivité, indispensable à ce niveau, l'appétit «viscéral» qui permet de «manger» l'adversaire et le ballon. Valbuena a pâti de son physique (La ruade de Schweinsteiger, à l'heure de jeu, l'a éteint) mais on rêve de le voir un jour plein axe… Ensuite ? Ensuite, il faut laisser un peu de temps à Pogba, Sakho a tout d'un futur grand défenseur, Cabaye peut être un moteur, un patron, «à la Deschamps», Griezmann possède l'étincelle… Et l'on file ainsi, illico, vers le championnat d'Europe, en France, dans deux ans, avec une ambition ravivée. Hier, les Allemands avaient un temps d'avance sur tout : le ballon, la maîtrise, le tableau d'affichage… L'arbitre, une sorte de Burt Lancaster au gabarit de 3e ligne (1,93m-95kg) n'a fait qu'accompagner un rapport de force subtil mais profond… Pas grave, c'est déjà oublié. Oui, rendez-vous en 2016 !
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Löw heureux d'affronter le Brésil chez lui 16
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RSS Joachim Löw, le sélectionneur de l'équipe d'Allemagne, a estimé samedi qu'il était très «beau» d'affronter le Brésil dans son pays en demi-finale du Mondial, mardi à Belo Horizonte. «Qu'y a-t-il de plus beau que d'affronter l'équipe hôte dans le pays du foot roi en demi-finale d'une Coupe du monde? Ce sera un grand match à Belo Horizonte», a dit le technicien en marge de l'entraînement de la Nationalmannschaft à Santo André (nord-est).
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=40]FIN DE L'AVENTURE FACE À L'ALLEMAGNE
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[size=11]vendredi 4 juillet 2014 - 23:00 - Bastien Lhéritier
Ce vendredi, l'Equipe de France était opposée à l'Allemagne, en quart de finale de la Coupe du Monde. Dans l'enceinte du Maracanã de Rio de Janeiro, les Tricolores se sont inclinés 1-0, sur un but signé Mats Hummels (13ème, photo).
Ce sont les Allemands qui ouvraient la marque peu avant le quart d'heure de jeu par Mats Hummels. Sur un coup franc rentrant frappé par Toni Kroos, le défenseur central du Borussia Dortmund s'élevait plus haut que Raphaël Varane, et plaçait une tête décroisée qui heurtait la transversale d'Hugo Lloris avant de franchir la ligne (13ème).
Les Bleus réagissaient à la 34ème minute par l'intermédiaire de Mathieu Valbuena. Bien lancé en profondeur, Antoine Griezmann centrait pour le milieu de terrain de l'Olympique de Marseille, qui voyait sa reprise stoppée par la main ferme de Manuel Neuer. C'est ensuite Karim Benzema (photo ci-dessous) qui tentait sa chance juste avant la pause. Lancé côté gauche, le numéro 10 tricolore repiquait dans l'axe, mais voyait sa frappe captée par le portier adverse (44ème).
Photo CHRISTOPHE SIMON / AFP
Au retour des vestiaires, les Bleus multipliaient les occasions pour égaliser, sans toutefois parvenir à trouver la faille. A la 60ème, Raphaël Varane reprenait le cuir de la tête sur un centre de Yohan Cabaye, mais voyait Neuer se saisir du ballon. Le gardien allemand, impérial ce soir, voyait également les tentatives de Griezmann (72ème) et Valbuena (74ème) passer à côté de ses cages. Il s'interposait par contre brillamment sur une frappe dans un angle fermé de Blaise Matuidi (77ème).
A la 82ème, les hommes de Joachim Löw étaient cependant tout proche de marquer le but du break. Andre Schürrle, oublié au second poteau, tentait sa chance mais sa reprise était détournée du bout du pied par Hugo Lloris. La dernière occasion du match était pour Karim Benzema, mais l'avant-centre tricolore échouait de nouveau face à la main ferme de Neuer.
Les réactions (avec AFP) :
Didier Deschamps : "Je pense qu'on a fait ce qu'il fallait pour les bousculer. On a eu les occasions, c'est une équipe qui a plus d'expérience que nous. Ils ont bien géré l'avantage. Ils ont marqué sur coup de pied arrêté, c'est là où on était en déficit sur le plan athlétique. On a tout tenté sur la fin avec la dernière occasion de Karim (Benzema). C'est dommage, on n'est pas passé loin, on s'attendait pas à un match facile d'un côté comme de l'autre. Neuer a fait les parades qu'il fallait, on a manqué de précision. Les joueurs ont répondu présent. C'est dans la lignée de ce qu'on a fait jusque là. On avait un adversaire qui était d'un plus haut niveau aujourd'hui. Même si on avait l'envie et l'ambition, il n'y avait pas une énorme différence entre nous et l'équipe d'Allemagne, mais c'est eux qui sont en demi-finale."
Mathieu Valbuena : "C'est sûr, c'est dommage parce qu'on avait fait des choses magnifiques. C'est dommage de s'arrêter en si beau chemin, on avait pris goût à la victoire. C'est dur ce soir, on a manqué d'efficacité. Ils n'ont pas eu énormément d'occasions, ils ont eu beaucoup de réussite sur un coup de pied arrêté. On a eu beaucoup d'occasions, on ne les pas pas mises au fond, on est très abattus ce soir. Ca ne nous suffit pas, on voulait aller au bout. On a jeté toutes nos armes, ça n'a pas suffi, on est très déçus."
Hugo Lloris : "C'est une ambiance assez lourde avec de la tristesse. Frustrante aussi car on a livré un beau match, une belle performance. Dans les premières minutes, nous étions un peu timorés et même si on n'a pas eu d'occasions franches, on a manqué de réalisme. On a réalisé quand même de très belles choses, on a montré un beau visage et il ne nous a pas manqué grand-chose face à une grande équipe européenne. Il va falloir du temps pour évacuer tout ça mais il faut se reconstruire pour l'Euro. Chacun évacue à sa manière, il y a beaucoup de tristesse."
Yohan Cabaye : "L'efficacité nous a manqué, on s'est créé des occasions mais on n'a pas réussi à concrétiser. Ils font la différence sur un coup de pied arrêté. Il faut garder la tête haute par rapport à ce qu'on a fait dans cette Coupe du Monde. On est passé proche d'une qualification, il faut avoir une certaine fierté de bien avoir représenté notre pays. Ce groupe vit bien ensemble et dans 2 ans ça peut être bon. Il faut progresser, aller plus haut et dans 2 ans l'Euro à la maison... Il faut bien se préparer et avec le groupe qui est en train de se former, on peut faire de très belles choses. Là, on rentre à la maison, c'est plus cruel qu'autre chose".
LA FICHE TECHNIQUE
[size=16]Coupe du Monde de la FIFA Brésil 2014, 1/4 de finale (74 240 spectateurs)
A Rio de Janeiro (Stade Maracanã) : Allemagne bat France 1 à 0 (mi-temps : 1-0)
Arbitre : N. Pittana (Argentine)
But :
Allemagne : Hummels (13ème)
Avertissements :
Allemagne : Khedira (54ème), Schweinsteiger (80ème)
France : Lloris (cap) - Debuchy, Varane, Sakho (Koscielny 71ème), Evra - Cabaye (Rémy 73ème), Pogba, Matuidi - Valbuena (Giroud 85ème), Benzema, Griezmann
Entraîneur: Didier Deschamps
Allemagne : Neuer - Lahm (cap), Boateng, Hummels, Höwedes - Schweinsteiger, Khedira - Özil (Götze 83ème), Kroos (Kramer 92ème), Müller - Klose (Schürrle 69ème)
Entraîneur: Joachim Löw[/size][/size]
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[size=11]vendredi 4 juillet 2014 - 23:00 - Bastien Lhéritier
Ce vendredi, l'Equipe de France était opposée à l'Allemagne, en quart de finale de la Coupe du Monde. Dans l'enceinte du Maracanã de Rio de Janeiro, les Tricolores se sont inclinés 1-0, sur un but signé Mats Hummels (13ème, photo).
Ce sont les Allemands qui ouvraient la marque peu avant le quart d'heure de jeu par Mats Hummels. Sur un coup franc rentrant frappé par Toni Kroos, le défenseur central du Borussia Dortmund s'élevait plus haut que Raphaël Varane, et plaçait une tête décroisée qui heurtait la transversale d'Hugo Lloris avant de franchir la ligne (13ème).
Les Bleus réagissaient à la 34ème minute par l'intermédiaire de Mathieu Valbuena. Bien lancé en profondeur, Antoine Griezmann centrait pour le milieu de terrain de l'Olympique de Marseille, qui voyait sa reprise stoppée par la main ferme de Manuel Neuer. C'est ensuite Karim Benzema (photo ci-dessous) qui tentait sa chance juste avant la pause. Lancé côté gauche, le numéro 10 tricolore repiquait dans l'axe, mais voyait sa frappe captée par le portier adverse (44ème).
Photo CHRISTOPHE SIMON / AFP
Au retour des vestiaires, les Bleus multipliaient les occasions pour égaliser, sans toutefois parvenir à trouver la faille. A la 60ème, Raphaël Varane reprenait le cuir de la tête sur un centre de Yohan Cabaye, mais voyait Neuer se saisir du ballon. Le gardien allemand, impérial ce soir, voyait également les tentatives de Griezmann (72ème) et Valbuena (74ème) passer à côté de ses cages. Il s'interposait par contre brillamment sur une frappe dans un angle fermé de Blaise Matuidi (77ème).
A la 82ème, les hommes de Joachim Löw étaient cependant tout proche de marquer le but du break. Andre Schürrle, oublié au second poteau, tentait sa chance mais sa reprise était détournée du bout du pied par Hugo Lloris. La dernière occasion du match était pour Karim Benzema, mais l'avant-centre tricolore échouait de nouveau face à la main ferme de Neuer.
Les réactions (avec AFP) :
Didier Deschamps : "Je pense qu'on a fait ce qu'il fallait pour les bousculer. On a eu les occasions, c'est une équipe qui a plus d'expérience que nous. Ils ont bien géré l'avantage. Ils ont marqué sur coup de pied arrêté, c'est là où on était en déficit sur le plan athlétique. On a tout tenté sur la fin avec la dernière occasion de Karim (Benzema). C'est dommage, on n'est pas passé loin, on s'attendait pas à un match facile d'un côté comme de l'autre. Neuer a fait les parades qu'il fallait, on a manqué de précision. Les joueurs ont répondu présent. C'est dans la lignée de ce qu'on a fait jusque là. On avait un adversaire qui était d'un plus haut niveau aujourd'hui. Même si on avait l'envie et l'ambition, il n'y avait pas une énorme différence entre nous et l'équipe d'Allemagne, mais c'est eux qui sont en demi-finale."
Mathieu Valbuena : "C'est sûr, c'est dommage parce qu'on avait fait des choses magnifiques. C'est dommage de s'arrêter en si beau chemin, on avait pris goût à la victoire. C'est dur ce soir, on a manqué d'efficacité. Ils n'ont pas eu énormément d'occasions, ils ont eu beaucoup de réussite sur un coup de pied arrêté. On a eu beaucoup d'occasions, on ne les pas pas mises au fond, on est très abattus ce soir. Ca ne nous suffit pas, on voulait aller au bout. On a jeté toutes nos armes, ça n'a pas suffi, on est très déçus."
Hugo Lloris : "C'est une ambiance assez lourde avec de la tristesse. Frustrante aussi car on a livré un beau match, une belle performance. Dans les premières minutes, nous étions un peu timorés et même si on n'a pas eu d'occasions franches, on a manqué de réalisme. On a réalisé quand même de très belles choses, on a montré un beau visage et il ne nous a pas manqué grand-chose face à une grande équipe européenne. Il va falloir du temps pour évacuer tout ça mais il faut se reconstruire pour l'Euro. Chacun évacue à sa manière, il y a beaucoup de tristesse."
Yohan Cabaye : "L'efficacité nous a manqué, on s'est créé des occasions mais on n'a pas réussi à concrétiser. Ils font la différence sur un coup de pied arrêté. Il faut garder la tête haute par rapport à ce qu'on a fait dans cette Coupe du Monde. On est passé proche d'une qualification, il faut avoir une certaine fierté de bien avoir représenté notre pays. Ce groupe vit bien ensemble et dans 2 ans ça peut être bon. Il faut progresser, aller plus haut et dans 2 ans l'Euro à la maison... Il faut bien se préparer et avec le groupe qui est en train de se former, on peut faire de très belles choses. Là, on rentre à la maison, c'est plus cruel qu'autre chose".
LA FICHE TECHNIQUE
[size=16]Coupe du Monde de la FIFA Brésil 2014, 1/4 de finale (74 240 spectateurs)
A Rio de Janeiro (Stade Maracanã) : Allemagne bat France 1 à 0 (mi-temps : 1-0)
Arbitre : N. Pittana (Argentine)
But :
Allemagne : Hummels (13ème)
Avertissements :
Allemagne : Khedira (54ème), Schweinsteiger (80ème)
France : Lloris (cap) - Debuchy, Varane, Sakho (Koscielny 71ème), Evra - Cabaye (Rémy 73ème), Pogba, Matuidi - Valbuena (Giroud 85ème), Benzema, Griezmann
Entraîneur: Didier Deschamps
Allemagne : Neuer - Lahm (cap), Boateng, Hummels, Höwedes - Schweinsteiger, Khedira - Özil (Götze 83ème), Kroos (Kramer 92ème), Müller - Klose (Schürrle 69ème)
Entraîneur: Joachim Löw[/size][/size]
bienvenou- Admin
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Mondial 2014 : "Jouer contre l'équipe hôte, un grand honneur et un grand défi"
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Publié le 07/07/2014 à 06h00 , modifié le 07/07/2014 à 08h37
Bastian Schweinsteiger, milieu de terrain de l’Allemagne, s'attend à un "très grand match" mardi contre le Brésil
© PHOTO
AFP
1 Comment appréhendez-vous cette demi-finale contre le Brésil demain ?
C'est bien sûr un très grand match, et jouer contre l'équipe hôte, c'est un grand honneur et un grand défi. Cela aurait été encore plus beau de la rencontrer en finale. La population s'identifie de manière incroyable à la Seleçao. On sent qu'ici le football est super important. Les gens qu'on croise ici sont très respectueux et chaleureux. L'ambiance est très bonne, nous sommes très concentrés sur le match.
2 Les arbitres devraient-ils plus sanctionner le jeu dur selon vous ?
Je suis pour une dureté saine… Quand on pense au Brésil, on pense toujours à des magiciens, mais ce n'est plus comme ça, l'équipe a changé et propose un football différent de celui du passé. Le jeu dur fait vraiment partie de leur jeu, et on doit y être attentif, mais les arbitres aussi évidemment.
3 Comment avez-vous vécu le début du tournoi sur le banc de touche ?
Bien. J'ai entièrement partagé la décision du sélectionneur. Il a pris la bonne décision. Il ne s'agit pas d'une personne mais que l'Allemagne soit championne du monde. On doit mettre en avant le collectif, pas les cas individuels. On a toujours eu un bon banc, mais cette année, on sent un esprit d'équipe positif, il n'y a pas d'amertume chez les joueurs qui sont sur le banc, et quand ils entrent, ils donnent tout. C'est de ça dont nous avons besoin.
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Publié le 07/07/2014 à 06h00 , modifié le 07/07/2014 à 08h37
Bastian Schweinsteiger, milieu de terrain de l’Allemagne, s'attend à un "très grand match" mardi contre le Brésil
© PHOTO
AFP
1 Comment appréhendez-vous cette demi-finale contre le Brésil demain ?
C'est bien sûr un très grand match, et jouer contre l'équipe hôte, c'est un grand honneur et un grand défi. Cela aurait été encore plus beau de la rencontrer en finale. La population s'identifie de manière incroyable à la Seleçao. On sent qu'ici le football est super important. Les gens qu'on croise ici sont très respectueux et chaleureux. L'ambiance est très bonne, nous sommes très concentrés sur le match.
2 Les arbitres devraient-ils plus sanctionner le jeu dur selon vous ?
Je suis pour une dureté saine… Quand on pense au Brésil, on pense toujours à des magiciens, mais ce n'est plus comme ça, l'équipe a changé et propose un football différent de celui du passé. Le jeu dur fait vraiment partie de leur jeu, et on doit y être attentif, mais les arbitres aussi évidemment.
3 Comment avez-vous vécu le début du tournoi sur le banc de touche ?
Bien. J'ai entièrement partagé la décision du sélectionneur. Il a pris la bonne décision. Il ne s'agit pas d'une personne mais que l'Allemagne soit championne du monde. On doit mettre en avant le collectif, pas les cas individuels. On a toujours eu un bon banc, mais cette année, on sent un esprit d'équipe positif, il n'y a pas d'amertume chez les joueurs qui sont sur le banc, et quand ils entrent, ils donnent tout. C'est de ça dont nous avons besoin.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=40]Löw met la pression sur l'arbitre
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A deux jours de la demi-finale entre le Brésil et l'Allemagne, Joachim Löw a déjà mis la pression sur l'arbitre, même si celui-ci n'a pas encore été désigné. «J'ai regardé le match entre le Brésil et la Colombie. Il y avait un nombre incalculable de fautes, notamment dans la bataille pour la possession du ballon, a relevé le sélectionneur de la NationalMannschaft, ce dimanche à la télévision allemande.Dans ces moments-là, c'est à l'arbitre de prendre les bonnes décisions et d'attribuer les sanctions qui s'imposent». Serait-ce là pour lui une façon d'éviter toute polémique face au pays hôte ? Car depuis le début du tournoi, la question d'un certain favoritisme autour de la Seleçao se pose.
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A deux jours de la demi-finale entre le Brésil et l'Allemagne, Joachim Löw a déjà mis la pression sur l'arbitre, même si celui-ci n'a pas encore été désigné. «J'ai regardé le match entre le Brésil et la Colombie. Il y avait un nombre incalculable de fautes, notamment dans la bataille pour la possession du ballon, a relevé le sélectionneur de la NationalMannschaft, ce dimanche à la télévision allemande.Dans ces moments-là, c'est à l'arbitre de prendre les bonnes décisions et d'attribuer les sanctions qui s'imposent». Serait-ce là pour lui une façon d'éviter toute polémique face au pays hôte ? Car depuis le début du tournoi, la question d'un certain favoritisme autour de la Seleçao se pose.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=40]Allemagne : Schweinsteiger doute-t-il de Löw ?
Remplaçant au début du tournoi mais ensuite titularisé par son sélectionneur Joachim Löw, l'Allemand Bastian Schweinsteiger a annoncé dimanche que le futur champion du monde sera celui qui possède «l'entraîneur le plus intelligent», sans citer le nom du sien.
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Bastian Schweinsteiger est titulaire depuis trois matches avec l'Allemagne. (Reuters)
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En estimant dimanche que le titre de champion du monde ira à «l'entraîneur le plus intelligent», Bastian Schweinsteiger a peut-être jeté un certain trouble dans le staff allemand à deux jours de la demi-finale contre le Brésil, mardi à Belo Horizonte. Le milieu du Bayern a développé son idée en expliquant que l'équipe du Brésil «a des joueurs individuellement très forts, mais (que) le plus grand adversaire pour (la Nationalmannschaft) sera sans doute l'encadrement technique, à cause de son expérience». «Avec (le sélectionneur Luiz Felipe) Scolari et (le directeur technique Carlos Alberto) Parreira, le Brésil a deux entraîneurs expérimentés et déjà champions du monde», a-t-il rappelé.
Ou alors était-ce une façon de faire comprendre à Löw que la meilleure preuve de son «intelligence» serait de le titulariser, lui qui a commencé les deux premiers matches au Brésil sur le banc. «J'ai entièrement partagé la décision du sélectionneur», a-t-il assuré, avant d'ajouter : «Je suis prêt à jouer plus de 90 minutes, si c'est nécessaire».
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Remplaçant au début du tournoi mais ensuite titularisé par son sélectionneur Joachim Löw, l'Allemand Bastian Schweinsteiger a annoncé dimanche que le futur champion du monde sera celui qui possède «l'entraîneur le plus intelligent», sans citer le nom du sien.
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Bastian Schweinsteiger est titulaire depuis trois matches avec l'Allemagne. (Reuters)
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En estimant dimanche que le titre de champion du monde ira à «l'entraîneur le plus intelligent», Bastian Schweinsteiger a peut-être jeté un certain trouble dans le staff allemand à deux jours de la demi-finale contre le Brésil, mardi à Belo Horizonte. Le milieu du Bayern a développé son idée en expliquant que l'équipe du Brésil «a des joueurs individuellement très forts, mais (que) le plus grand adversaire pour (la Nationalmannschaft) sera sans doute l'encadrement technique, à cause de son expérience». «Avec (le sélectionneur Luiz Felipe) Scolari et (le directeur technique Carlos Alberto) Parreira, le Brésil a deux entraîneurs expérimentés et déjà champions du monde», a-t-il rappelé.
«L'entraîneur des Pays-Bas, je le connais très bien et il est très intelligent»
[size]Est-ce à dire qu'il y a des entraîneurs qui ne seraient pas intelligents parmi les demi-finalistes ? «Je ne les connais pas tous très bien. Celui de l'Argentine (Alejandro Sabella), je ne le connais pas très bien. Mais celui des Pays-Bas, je le connais très bien et il est très intelligent», a répondu le joueur en évoquant Louis van Gaal. Les journalistes ont attendu - en vain - que Schweinsteiger glisse un mot de l'expérience de Joachim Löw, à la tête de la sélection allemande depuis 2006. Mais cela allait peut-être de soi.Ou alors était-ce une façon de faire comprendre à Löw que la meilleure preuve de son «intelligence» serait de le titulariser, lui qui a commencé les deux premiers matches au Brésil sur le banc. «J'ai entièrement partagé la décision du sélectionneur», a-t-il assuré, avant d'ajouter : «Je suis prêt à jouer plus de 90 minutes, si c'est nécessaire».
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=40]Ils rêvent d'un «conte de fées»
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Deux jours après leur qualification pour le dernier carré du Mondial aux dépens de l'équipe de France (1-0), les Allemands se projettent désormais vers l'ultime semaine du tournoi qui les attend, avec un possible final en apothéose. Tous l'espèrent et c'est vraiment l'optimisme qui prévaut avant d'affronter le pays hôte, le Brésil, mardi (22h00) dans la première demi-finale. «Ce sera un grand match, un grand honneur et un grand défi, a annoncé Bastian Schweinsteiger, ce dimanche en conférence de presse. Nous voulons évidemment le gagner, et pour cela, il nous faut la plus grande concentration possible et elle se construit d'heure en heure.»
Pour Lukas Podolski, interrogé par des supporters sur la page Facebook de la NationalMannschaft, cette campagne pourrait devenir «son plus beau souvenir» en équipe nationale, devant même la Coupe du monde 2006 disputée à domicile, si d'aventure la victoire était au bout. Une issue positive vers laquelle se tourne également Oliver Bierhoff, manager de la sélection allemande, sans se cacher. «Cet été sera mémorable, dit-il sur son blog, mais nous pouvons le transformer cette semaine en conte de fées.» (
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Deux jours après leur qualification pour le dernier carré du Mondial aux dépens de l'équipe de France (1-0), les Allemands se projettent désormais vers l'ultime semaine du tournoi qui les attend, avec un possible final en apothéose. Tous l'espèrent et c'est vraiment l'optimisme qui prévaut avant d'affronter le pays hôte, le Brésil, mardi (22h00) dans la première demi-finale. «Ce sera un grand match, un grand honneur et un grand défi, a annoncé Bastian Schweinsteiger, ce dimanche en conférence de presse. Nous voulons évidemment le gagner, et pour cela, il nous faut la plus grande concentration possible et elle se construit d'heure en heure.»
Pour Lukas Podolski, interrogé par des supporters sur la page Facebook de la NationalMannschaft, cette campagne pourrait devenir «son plus beau souvenir» en équipe nationale, devant même la Coupe du monde 2006 disputée à domicile, si d'aventure la victoire était au bout. Une issue positive vers laquelle se tourne également Oliver Bierhoff, manager de la sélection allemande, sans se cacher. «Cet été sera mémorable, dit-il sur son blog, mais nous pouvons le transformer cette semaine en conte de fées.» (
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Tous les Allemands «en forme» avant le Brésil
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Les 22 joueurs de l'équipe d'Allemagne (après le forfait du défenseur Mustafi depuis les 8e de finale) sont aptes et «en forme» pour affronter le Brésil mardi en demi-finale du Mondial, a indiqué Hansi Flick, l'adjoint du sélectionneur Joachim Löw, dimanche. Alors que le Brésil sera privé de Neymar (blessé) et Thiago Silva (suspendu), les Allemands se réjouissent d'être au complet «C'est une excellente situation, tous nos 22 joueurs disponibles sont en bonne santé et en forme. Hier (samedi) il y avait quelques bobos mais aujourd'hui tout le monde a bien récupéré.» Sept joueurs avaient été victimes d'un état grippal avant le quart remporté contre la France vendredi au Maracana (1-0).
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Les 22 joueurs de l'équipe d'Allemagne (après le forfait du défenseur Mustafi depuis les 8e de finale) sont aptes et «en forme» pour affronter le Brésil mardi en demi-finale du Mondial, a indiqué Hansi Flick, l'adjoint du sélectionneur Joachim Löw, dimanche. Alors que le Brésil sera privé de Neymar (blessé) et Thiago Silva (suspendu), les Allemands se réjouissent d'être au complet «C'est une excellente situation, tous nos 22 joueurs disponibles sont en bonne santé et en forme. Hier (samedi) il y avait quelques bobos mais aujourd'hui tout le monde a bien récupéré.» Sept joueurs avaient été victimes d'un état grippal avant le quart remporté contre la France vendredi au Maracana (1-0).
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Avant la 1/2 finale Allemagne-Brésil : leurs dernières confrontations en images
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Publié le 07/07/2014 à 19h09 , modifié le 07/07/2014 à 19h58
PORTFOLIO - Depuis 1963, l'Allemagne et le Brésil se sont affrontés 21 fois : 4 victoires allemandes, 12 du Brésil et 5 matchs nuls. Retour en images sur les 5 dernières confrontations
Le 24 juillet 1999, l'Allemagne était opposée au Brésil à Guadalajar au Mexique dans le cadre de la coupe des confédérations. Ici l'allemand Lothar Matthaus face au brésilien. Victoire du Brésil sans appel 4 buts à 0.© PHOTO AFP CRIS BOURONCLE
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Le brésilien Jose Roberto aux prises avec l'allemand Mehmet Scholl lors de la coupe des confédérations 1999.© PHOTO AFP CRIS BOURONCLE
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Finale de la coupe du monde 2002 au Japon. Miroslav Klose passe les défenseurs brésiliens Roque Junior et Edmilson à l' International Stadium de Yokohama. Nouvelle victoire du Brésil 2-0© PHOTO AFP ODD ANDERSEN
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L'allemand Carsten Ramelow tente d'arrêter le tir du brésilien Ronaldo durant la finale de la coupe du monde 2002 au Japon.© PHOTO AFP PEDRO UGARTE
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Match amical à Berlin entre l'Allemagne et le Brésil le 8 septembre 2004. Les allemands n'arrivent toujours pas à s'imposer sur cette première confrontation entre les deux équipes depuis la finale de la coupe du monde en 2002.. Match nul 1 à 1. Ici Julio Baptista face au défenseur allemand.© PHOTO AFP JOHN MACDOUGALL
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Coup franc brésilien lors de la rencontre amicale entre l'Allemagne et le Brésil le 8 septembre 2004 à Berlin.© PHOTO AFP JOHN MACDOUGALL
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L'Allemagne retrouve le Brésil en demi finale de la coupe des confédérations le 25 juin 2005 à Nuremberg. le Brésil s'impose une nouvelle fois 3 buts à 2. Ici Ronaldinho à la lutte avec Bernd Schneider.© PHOTO AFP PATRIK STOLLARZ
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Le gardien allemand Jens Lehmann stoppe dans son élan le brésilien Julio Baptista lors de la demi finale de la coupe des confédérations 2005 au stade Franken à Nuremberg.© PHOTO AFP TORSTEN SILZ
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En tournée d'été en Europe en 2011, le Brésil vient affronter l'Allemagne sur ses terres au Mercedes-Benz Arena de Stuutgart le 10 août. le milieu de terrain allemand Toni Kroos face au défenseur brésilien Dani Alves. L'Allemagne bat enfin le Brésil 3 buts à 2.© PHOTO AFP CHRISTOF STACHE
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L'allemand Mario Gomez conquérant face au défenseur brésilien Lucio lors du match opposant les deux pays à Stuttgard le 10 août 2001.
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Publié le 07/07/2014 à 19h09 , modifié le 07/07/2014 à 19h58
PORTFOLIO - Depuis 1963, l'Allemagne et le Brésil se sont affrontés 21 fois : 4 victoires allemandes, 12 du Brésil et 5 matchs nuls. Retour en images sur les 5 dernières confrontations
Le 24 juillet 1999, l'Allemagne était opposée au Brésil à Guadalajar au Mexique dans le cadre de la coupe des confédérations. Ici l'allemand Lothar Matthaus face au brésilien. Victoire du Brésil sans appel 4 buts à 0.© PHOTO AFP CRIS BOURONCLE
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Le brésilien Jose Roberto aux prises avec l'allemand Mehmet Scholl lors de la coupe des confédérations 1999.© PHOTO AFP CRIS BOURONCLE
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Finale de la coupe du monde 2002 au Japon. Miroslav Klose passe les défenseurs brésiliens Roque Junior et Edmilson à l' International Stadium de Yokohama. Nouvelle victoire du Brésil 2-0© PHOTO AFP ODD ANDERSEN
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L'allemand Carsten Ramelow tente d'arrêter le tir du brésilien Ronaldo durant la finale de la coupe du monde 2002 au Japon.© PHOTO AFP PEDRO UGARTE
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Match amical à Berlin entre l'Allemagne et le Brésil le 8 septembre 2004. Les allemands n'arrivent toujours pas à s'imposer sur cette première confrontation entre les deux équipes depuis la finale de la coupe du monde en 2002.. Match nul 1 à 1. Ici Julio Baptista face au défenseur allemand.© PHOTO AFP JOHN MACDOUGALL
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Coup franc brésilien lors de la rencontre amicale entre l'Allemagne et le Brésil le 8 septembre 2004 à Berlin.© PHOTO AFP JOHN MACDOUGALL
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L'Allemagne retrouve le Brésil en demi finale de la coupe des confédérations le 25 juin 2005 à Nuremberg. le Brésil s'impose une nouvelle fois 3 buts à 2. Ici Ronaldinho à la lutte avec Bernd Schneider.© PHOTO AFP PATRIK STOLLARZ
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Le gardien allemand Jens Lehmann stoppe dans son élan le brésilien Julio Baptista lors de la demi finale de la coupe des confédérations 2005 au stade Franken à Nuremberg.© PHOTO AFP TORSTEN SILZ
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En tournée d'été en Europe en 2011, le Brésil vient affronter l'Allemagne sur ses terres au Mercedes-Benz Arena de Stuutgart le 10 août. le milieu de terrain allemand Toni Kroos face au défenseur brésilien Dani Alves. L'Allemagne bat enfin le Brésil 3 buts à 2.© PHOTO AFP CHRISTOF STACHE
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L'allemand Mario Gomez conquérant face au défenseur brésilien Lucio lors du match opposant les deux pays à Stuttgard le 10 août 2001.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=30]Le Brésil veut y croire[/size]
08/07/2014 05:35
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Le Brésil peut compter sur son défenseur central David Luiz, auteur d'un coup franc somptueux contre la Colombie lors des quarts de finale. - (AFP)
Privé de sa star Neymar et de Thiago Silva, le Brésil espère atteindre la finale de son Mondial mais devra faire face à l’obstacle allemand ce soir.
[size]
On peut tourner le problème dans tous les sens, souligner que le Brésil joue à la maison, qu'il a des joueurs de classe mondiale et un entraîneur qui connaît le chemin. Mais la Seleçao a peut-être perdu le Mondial dans la dernière demi-heure de jeu face à la Colombie en quart de finale avec le carton jaune de Thiago Silva, qui sera suspendu, mais surtout la blessure de sa star Neymar.
Le sélectionneur Luiz Felipe Scolari, pour qui le dernier affrontement contre l'Allemagne est forcément un bon souvenir avec la victoire en finale de la Coupe du monde 2002, doit cette fois trouver une solution miracle. Problème : il n'a pas Ronaldo devant, mais… Fred, auteur d'un seul petit but contre le Cameroun. Et, surtout, il doit composer sans sa vedette, le joueur qui change tout, Neymar.
" Ça semblait déjà dur avec Neymar, mais sans lui ça paraît impossible "
« Le Brésil reste favori, même sans Neymar », souligne toutefois Ronaldo, le double buteur de la finale 2002 contre les Allemands (2-0). Neymar, auteur de quatre buts et de deux corners ayant débouché sur des buts, avait porté ses coéquipiers jusqu'en quarts. A l'image d'un Messi, il pouvait surgir à tout moment et on voyait déjà le gamin sur les traces de Pelé.
« Neymar, c'est la référence pour nous. Il est capable de décider un match, jouer sans lui sera difficile », a reconnu Willian, un des joueurs pouvant être appelés à le remplacer, dans un euphémisme qui met le Brésil au désespoir. Dans les maisons, les bars, les transports en commun, la phrase revient souvent : « Ça semblait déjà dur avec Neymar, mais sans lui ça paraît impossible. »
De plus, la charnière centrale sera privée de Thiago Silva, le capitaine de la Seleçao. Et si son remplaçant Dante connaît bien l'Allemagne, lui qui joue en Bundesliga depuis 2009, il n'a pas encore disputé la moindre minute de jeu depuis le début de ce Mondial.
Scolari a, en fait, le choix entre conserver un système construit autour de Neymar, mais sans Neymar, ou faire une révolution tactique. Bernard ou Willian ? Un système renforcé au milieu avec Luiz Gustavo ? Se priver de Fred et passer à autre chose ? « Felipao » ne dévoilera ses plans qu'au dernier moment.
Côté allemand, on feint de se morfondre, tout en se frottant probablement les mains.« Dans une Coupe du monde, on veut toujours se mesurer aux meilleurs. C'est pourquoi j'aurais préféré affronter le Brésil avec Neymar », a affirmé le capitaine allemand Philippe Lahm. Bastian Schweinsteiger souligne lui que le Brésil « a des joueurs individuellement très forts, mais que le plus grand adversaire sera sans doute l'encadrement technique, à cause de son expérience ». Il pense sans doute à Scolari, champion du monde 2002, contre l'Allemagne, à la tête du Brésil de Ronaldo, mais aussi à Carlos Alberto Parreira, sacré en 1994 comme sélectionneur et aujourd'hui coordinateur technique de la Seleçao.
Mais Joachim Löw n'est pas un maladroit non plus. S'il peut compter sur un effectif chevronné, il a su faire oublier l'absence de Reus pour faire briller Müller et Götze, ou émerger Hummels et Schürrle…
Avec huit Coupes du monde (cinq pour le Brésil, trois pour l'Allemagne) et quatorze finales (sept chacun), cette demi-finale est le symbole de la tradition entre deux grandes nations du football, mais aussi un duel entre Europe et Amérique du Sud.
la phrase
« Je suis conscient de disputer peut-être ma dernière Coupe du monde, et je vais donc jeter toutes mes forces dans la bataille. »
Le défenseur allemand Philipp Lahm, déjà demi-finaliste de la Coupe du monde avec la Nationalmannschaft en 2006 et 2010, compte bien atteindre la finale cette année. A 30 ans, le capitaine aux 111 sélections ne veut même pas entendre parler d'un nouveau match pour la troisième place, qu'il disputerait en cas de défaite ce soir contre le Brésil : « Je n'en ai vraiment pas besoin, je préférerais me barrer avant. »
en bref
Klose déjà présent contre le Brésil en 2002
L'attaquant Miroslav Klose est l'ultime survivant allemand de la Coupe du monde 2002, où la Nationalmannschaft s'était inclinée en finale contre le Brésil. Le vétéran de l'équipe (135 sélections, 70 buts) a ainsi l'occasion de faire d'une pierre deux coups ce soir à Belo Horizonte : prendre sa revanche sur la Seleçao et dépasser le Brésilien Ronaldo au nombre de buts marqués en Coupes du monde, qu'il a déjà égalé (15). Ce record, « ce n'est pas le plus important », a-t-il confié. L'essentiel, c'est le titre : « Je crois qu'on a une grande chance d'y arriver et de pouvoir enfin tenir la Coupe entre les mains. »[/size]
08/07/2014 05:35
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Le Brésil peut compter sur son défenseur central David Luiz, auteur d'un coup franc somptueux contre la Colombie lors des quarts de finale. - (AFP)
Privé de sa star Neymar et de Thiago Silva, le Brésil espère atteindre la finale de son Mondial mais devra faire face à l’obstacle allemand ce soir.
" Coach Vahid " quitte l'Algérie | |
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On peut tourner le problème dans tous les sens, souligner que le Brésil joue à la maison, qu'il a des joueurs de classe mondiale et un entraîneur qui connaît le chemin. Mais la Seleçao a peut-être perdu le Mondial dans la dernière demi-heure de jeu face à la Colombie en quart de finale avec le carton jaune de Thiago Silva, qui sera suspendu, mais surtout la blessure de sa star Neymar.
Le sélectionneur Luiz Felipe Scolari, pour qui le dernier affrontement contre l'Allemagne est forcément un bon souvenir avec la victoire en finale de la Coupe du monde 2002, doit cette fois trouver une solution miracle. Problème : il n'a pas Ronaldo devant, mais… Fred, auteur d'un seul petit but contre le Cameroun. Et, surtout, il doit composer sans sa vedette, le joueur qui change tout, Neymar.
" Ça semblait déjà dur avec Neymar, mais sans lui ça paraît impossible "
« Le Brésil reste favori, même sans Neymar », souligne toutefois Ronaldo, le double buteur de la finale 2002 contre les Allemands (2-0). Neymar, auteur de quatre buts et de deux corners ayant débouché sur des buts, avait porté ses coéquipiers jusqu'en quarts. A l'image d'un Messi, il pouvait surgir à tout moment et on voyait déjà le gamin sur les traces de Pelé.
« Neymar, c'est la référence pour nous. Il est capable de décider un match, jouer sans lui sera difficile », a reconnu Willian, un des joueurs pouvant être appelés à le remplacer, dans un euphémisme qui met le Brésil au désespoir. Dans les maisons, les bars, les transports en commun, la phrase revient souvent : « Ça semblait déjà dur avec Neymar, mais sans lui ça paraît impossible. »
De plus, la charnière centrale sera privée de Thiago Silva, le capitaine de la Seleçao. Et si son remplaçant Dante connaît bien l'Allemagne, lui qui joue en Bundesliga depuis 2009, il n'a pas encore disputé la moindre minute de jeu depuis le début de ce Mondial.
Scolari a, en fait, le choix entre conserver un système construit autour de Neymar, mais sans Neymar, ou faire une révolution tactique. Bernard ou Willian ? Un système renforcé au milieu avec Luiz Gustavo ? Se priver de Fred et passer à autre chose ? « Felipao » ne dévoilera ses plans qu'au dernier moment.
Côté allemand, on feint de se morfondre, tout en se frottant probablement les mains.« Dans une Coupe du monde, on veut toujours se mesurer aux meilleurs. C'est pourquoi j'aurais préféré affronter le Brésil avec Neymar », a affirmé le capitaine allemand Philippe Lahm. Bastian Schweinsteiger souligne lui que le Brésil « a des joueurs individuellement très forts, mais que le plus grand adversaire sera sans doute l'encadrement technique, à cause de son expérience ». Il pense sans doute à Scolari, champion du monde 2002, contre l'Allemagne, à la tête du Brésil de Ronaldo, mais aussi à Carlos Alberto Parreira, sacré en 1994 comme sélectionneur et aujourd'hui coordinateur technique de la Seleçao.
Mais Joachim Löw n'est pas un maladroit non plus. S'il peut compter sur un effectif chevronné, il a su faire oublier l'absence de Reus pour faire briller Müller et Götze, ou émerger Hummels et Schürrle…
Avec huit Coupes du monde (cinq pour le Brésil, trois pour l'Allemagne) et quatorze finales (sept chacun), cette demi-finale est le symbole de la tradition entre deux grandes nations du football, mais aussi un duel entre Europe et Amérique du Sud.
la phrase
« Je suis conscient de disputer peut-être ma dernière Coupe du monde, et je vais donc jeter toutes mes forces dans la bataille. »
Le défenseur allemand Philipp Lahm, déjà demi-finaliste de la Coupe du monde avec la Nationalmannschaft en 2006 et 2010, compte bien atteindre la finale cette année. A 30 ans, le capitaine aux 111 sélections ne veut même pas entendre parler d'un nouveau match pour la troisième place, qu'il disputerait en cas de défaite ce soir contre le Brésil : « Je n'en ai vraiment pas besoin, je préférerais me barrer avant. »
en bref
Klose déjà présent contre le Brésil en 2002
L'attaquant Miroslav Klose est l'ultime survivant allemand de la Coupe du monde 2002, où la Nationalmannschaft s'était inclinée en finale contre le Brésil. Le vétéran de l'équipe (135 sélections, 70 buts) a ainsi l'occasion de faire d'une pierre deux coups ce soir à Belo Horizonte : prendre sa revanche sur la Seleçao et dépasser le Brésilien Ronaldo au nombre de buts marqués en Coupes du monde, qu'il a déjà égalé (15). Ce record, « ce n'est pas le plus important », a-t-il confié. L'essentiel, c'est le titre : « Je crois qu'on a une grande chance d'y arriver et de pouvoir enfin tenir la Coupe entre les mains. »[/size]
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=36]Cruyff: ''L'Allemagne, la seule équipe qui joue bien''[/size]
voir la photo
Johan Cruyff considère que des quatre sélections encore en lice pour remporter la Coupe du monde, seule l'Allemagne a montré un football de qualité sur les pelouses brésiliennes. "Au nom du football, j'espère que ce sera l'Allemagne qui gagnera, c'est la seule équipe qui joue un bon football. Il est vraiment dommage que des pays comme le Brésil ou l'Argentine exploitent aussi peu leur talent", a écrit le triple Ballon d'Or néerlandais dans la chronique qu'il tient au sein du De Telegraaf. Parmi les joueurs de la Mannschaft, un milieu de terrain attire l'attention du vainqueur de la Ligue des champions à trois reprises avec l'Ajax Amsterdam: "J'aime surtout voir Toni Kroos. Il fait tout bien, il possède un contrôle de balle presque parfait."
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Johan Cruyff considère que des quatre sélections encore en lice pour remporter la Coupe du monde, seule l'Allemagne a montré un football de qualité sur les pelouses brésiliennes. "Au nom du football, j'espère que ce sera l'Allemagne qui gagnera, c'est la seule équipe qui joue un bon football. Il est vraiment dommage que des pays comme le Brésil ou l'Argentine exploitent aussi peu leur talent", a écrit le triple Ballon d'Or néerlandais dans la chronique qu'il tient au sein du De Telegraaf. Parmi les joueurs de la Mannschaft, un milieu de terrain attire l'attention du vainqueur de la Ligue des champions à trois reprises avec l'Ajax Amsterdam: "J'aime surtout voir Toni Kroos. Il fait tout bien, il possède un contrôle de balle presque parfait."
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=36]Une Mannschaft féline[/size]
Publié le 08/07/2014 à 08:13
Photo AFP
Avec toutes ses armes et sûre de sa force, le XI de Joachim Löw ne considère cette demie que comme une étape dans sa marche vers un 4e sacre mondial.
FORME DU MOMENT :
Idéale. L'Allemagne a commencé par atomiser le Portugal de CR7 (4-0), puis a temporisé devant le Ghana des frangins Ayew (2-2), pour in fine assurer son fauteuil de leader face aux USA (1-0). Sans frémir, sans faiblir. Grâce à la quatrième unité de sa gâchette bavaroise, Thomas Müller. Par la suite, si elle a été surprise par les chatoyances de l'Algérie (2-1 ap), elle s'en est sortie avec une demi-heure de rab, son banc et un Schürrle de gala (1 but, 1 assistance). Pour son dernier match-couperet, contre la France, on aura la décence de ne pas remuer le couteau dans la plaie…
Points forts :
Notre florilège : un goal stratosphérique (Neuer), une charnière centrale taillée dans du menhir (Boateng/ Hummels), un habitué des basses besognes (Schweinsteiger), un maître ès coups de pied arrêtés (Kroos). En résumé, il n'y a pas de trou dans cette équipe !
Et Point faible :
Il est relatif, bien sûr, mais il existe : Miroslav Klose. Le vieux lion de la Lazio (36 ans) rugit encore mais n'a plus tous ses crocs – même si l'adversaire n'est jamais à l'abri d'un dernier coup de griffe.
Ce que l'Allemagne doit faire pour gagner :
La même partition que face aux Français. C'est-à-dire en instaurant un faux-rythme qui fait déjouer le camp en-face, profitant ainsi de la moindre brèche afin de frapper sourdement. C'est moche, cependant diablement redoutable.
La stat qui lui donne le sourire :
La Mannschaft a remporté son dernier match contre le Brésil (3-2, août 2011).
Avec 4 buts au compteur, le milieu offensif du Bayern Munich Thomas Müller n'a pas dit son dernier mot au classement des réalisateurs de cette 20e édition.
Publié le 08/07/2014 à 08:13
Photo AFP
Avec toutes ses armes et sûre de sa force, le XI de Joachim Löw ne considère cette demie que comme une étape dans sa marche vers un 4e sacre mondial.
FORME DU MOMENT :
Idéale. L'Allemagne a commencé par atomiser le Portugal de CR7 (4-0), puis a temporisé devant le Ghana des frangins Ayew (2-2), pour in fine assurer son fauteuil de leader face aux USA (1-0). Sans frémir, sans faiblir. Grâce à la quatrième unité de sa gâchette bavaroise, Thomas Müller. Par la suite, si elle a été surprise par les chatoyances de l'Algérie (2-1 ap), elle s'en est sortie avec une demi-heure de rab, son banc et un Schürrle de gala (1 but, 1 assistance). Pour son dernier match-couperet, contre la France, on aura la décence de ne pas remuer le couteau dans la plaie…
Points forts :
Notre florilège : un goal stratosphérique (Neuer), une charnière centrale taillée dans du menhir (Boateng/ Hummels), un habitué des basses besognes (Schweinsteiger), un maître ès coups de pied arrêtés (Kroos). En résumé, il n'y a pas de trou dans cette équipe !
Et Point faible :
Il est relatif, bien sûr, mais il existe : Miroslav Klose. Le vieux lion de la Lazio (36 ans) rugit encore mais n'a plus tous ses crocs – même si l'adversaire n'est jamais à l'abri d'un dernier coup de griffe.
Ce que l'Allemagne doit faire pour gagner :
La même partition que face aux Français. C'est-à-dire en instaurant un faux-rythme qui fait déjouer le camp en-face, profitant ainsi de la moindre brèche afin de frapper sourdement. C'est moche, cependant diablement redoutable.
La stat qui lui donne le sourire :
La Mannschaft a remporté son dernier match contre le Brésil (3-2, août 2011).
Avec 4 buts au compteur, le milieu offensif du Bayern Munich Thomas Müller n'a pas dit son dernier mot au classement des réalisateurs de cette 20e édition.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
[size=40]L'Allemagne inflige une défaite historique au Brésil en demi-finales de la Coupe du monde (7-1) !
Sur ses terres, la Seleçao a été humiliée par l'Allemagne, ce mardi en demi-finales de la Coupe du monde (1-7 !) à Belo Horizonte. Après deux demi-finales perdues, la Nationalmannschaft se qualifie pour sa première finale depuis 2002.
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L'Allemagne a infligé une raclée historique au Brésil. (L'Equipe)
[/size]
Le match
Il n’aura pas duré 30 minutes… Après avoir tenté d’imprimer un rythme élevé à la partie, la Seleçao a très vite affiché ses limites, et son adversaire n’a pas tardé à les exploiter avec sang-froid. Très froid, même. Sur un corner de Toni Kroos, d’abord, Thomas Müller a bénéficié d’un incroyable oubli pour ouvrir le score de près (11e). L’estadio Mineirao a assisté à un moment d’histoire ensuite, avec le seizième but en Coupe du monde de l’inoxydable Miroslav Klose au cœur d’une défense brésilienne apathique (23e). Sonnés, les Brésiliens ont complétement lâché prise, et six minutes plus tard, ils avaient encaissé trois buts supplémentaires !
Toni Kroos en a profité pour inscrire un doublé, d’abord à la réception d’un centre de Philipp Lahm (24e), puis idéalement servi par Sami Khedira (26e). C’est ce dernier qui a planté la cinquième flèche après une nouvelle action d’école (29e). Le Brésil a bien attaqué la seconde période avec ce qui lui restait d’envie et d’honneur… Mais Manuel Neuer était là, décisif face à Marcelo, Paulinho ou Oscar, avant qu’André Schürrle n’ajoute un sixième (69e) puis un septième but (79e), devant un publicauriverde résigné et déjà occupé depuis de longues minutes à huer son équipe. Le Brésil a finalement trouvé la faille par Oscar à la 90e minute. Toujours sous les sifflets...
Le fait marquant : Klose au paradis des buteurs
Il l’a fait. Au Brésil, et face au Brésil, Miroslav Klose, 36 ans, est devenu le meilleur buteur de l’histoire des Coupes du monde avec seize réalisations. Comme face à l’équipe de France au tour précédent (1-0), son apport dans le jeu n’a pas sauté aux yeux. Ses prises de balle sont parfois apparues hésitantes. Mais face au but, cet homme est un animal. Sa première reprise est repoussée par Julio Cesar ? Qu’à cela ne tienne, il s’arrache pour récupérer le ballon et terminer le travail. Le tout sous les yeux de Ronaldo, qui avait fait ses premières armes de joueur professionnel à Belo Horizonte, sous le maillot de Cruzeiro. Le destin laisse rarement place au hasard.
Le joueur : Toni Kroos
Au cours de la saison, ses relations avec Pep Guardiola ont parfois agité la presse locale. Trop souvent remplaçant à son goût, Toni Kroos ne s’estimait pas reconnu à sa juste valeur. Indiscutable en sélection, celui qui a poussé Mesut Özil sur un côté a profité de cette Coupe du monde pour devenir grand. Moins virevoltant que James Rodriguez, moins rapide qu’Arjen Robben, moins affamé de buts que Lionel Messi, Toni Kroos mérite pourtant d’être cité parmi les meilleurs joueurs de cette édition 2014. Ce mardi, son doublé l’a poussé dans la lumière, lui qui excelle dans la dernière ou l’avant-dernière passe. Bastian Schweinsteiger pas toujours à 100%, c’est lui qui a pris en main le jeu allemand. Mais comme ses partenaires, il ne jugera sa compétition réussie que s'il soulève le trophée dimanche.
Sur ses terres, la Seleçao a été humiliée par l'Allemagne, ce mardi en demi-finales de la Coupe du monde (1-7 !) à Belo Horizonte. Après deux demi-finales perdues, la Nationalmannschaft se qualifie pour sa première finale depuis 2002.
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L'Allemagne a infligé une raclée historique au Brésil. (L'Equipe)
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Le match
Il n’aura pas duré 30 minutes… Après avoir tenté d’imprimer un rythme élevé à la partie, la Seleçao a très vite affiché ses limites, et son adversaire n’a pas tardé à les exploiter avec sang-froid. Très froid, même. Sur un corner de Toni Kroos, d’abord, Thomas Müller a bénéficié d’un incroyable oubli pour ouvrir le score de près (11e). L’estadio Mineirao a assisté à un moment d’histoire ensuite, avec le seizième but en Coupe du monde de l’inoxydable Miroslav Klose au cœur d’une défense brésilienne apathique (23e). Sonnés, les Brésiliens ont complétement lâché prise, et six minutes plus tard, ils avaient encaissé trois buts supplémentaires !
Toni Kroos en a profité pour inscrire un doublé, d’abord à la réception d’un centre de Philipp Lahm (24e), puis idéalement servi par Sami Khedira (26e). C’est ce dernier qui a planté la cinquième flèche après une nouvelle action d’école (29e). Le Brésil a bien attaqué la seconde période avec ce qui lui restait d’envie et d’honneur… Mais Manuel Neuer était là, décisif face à Marcelo, Paulinho ou Oscar, avant qu’André Schürrle n’ajoute un sixième (69e) puis un septième but (79e), devant un publicauriverde résigné et déjà occupé depuis de longues minutes à huer son équipe. Le Brésil a finalement trouvé la faille par Oscar à la 90e minute. Toujours sous les sifflets...
Le fait marquant : Klose au paradis des buteurs
Il l’a fait. Au Brésil, et face au Brésil, Miroslav Klose, 36 ans, est devenu le meilleur buteur de l’histoire des Coupes du monde avec seize réalisations. Comme face à l’équipe de France au tour précédent (1-0), son apport dans le jeu n’a pas sauté aux yeux. Ses prises de balle sont parfois apparues hésitantes. Mais face au but, cet homme est un animal. Sa première reprise est repoussée par Julio Cesar ? Qu’à cela ne tienne, il s’arrache pour récupérer le ballon et terminer le travail. Le tout sous les yeux de Ronaldo, qui avait fait ses premières armes de joueur professionnel à Belo Horizonte, sous le maillot de Cruzeiro. Le destin laisse rarement place au hasard.
Le joueur : Toni Kroos
Au cours de la saison, ses relations avec Pep Guardiola ont parfois agité la presse locale. Trop souvent remplaçant à son goût, Toni Kroos ne s’estimait pas reconnu à sa juste valeur. Indiscutable en sélection, celui qui a poussé Mesut Özil sur un côté a profité de cette Coupe du monde pour devenir grand. Moins virevoltant que James Rodriguez, moins rapide qu’Arjen Robben, moins affamé de buts que Lionel Messi, Toni Kroos mérite pourtant d’être cité parmi les meilleurs joueurs de cette édition 2014. Ce mardi, son doublé l’a poussé dans la lumière, lui qui excelle dans la dernière ou l’avant-dernière passe. Bastian Schweinsteiger pas toujours à 100%, c’est lui qui a pris en main le jeu allemand. Mais comme ses partenaires, il ne jugera sa compétition réussie que s'il soulève le trophée dimanche.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
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79eA.Schürrle
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