DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
L'Allemagne, qui court après un titre depuis 1996, entre à son tour en lice dans le Groupe D avec un choc contre une solide équipe d'Australie qui a cœur de confirmer son parcours de 2006.
match du jour
Allemagne - Australie, Groupe D, Durban, 20h30
L'Allemagne, qui a entamé ses cinq dernières campagnes mondiales par une victoire, doit cette fois ajouter la manière contre l'Australie pour se rassurer après la vague de forfaits qui a perturbé sa préparation. Le capitaine Michael Ballack, le gardien René Adler, le défenseur Heiko Westermann et le milieu Simon Rolfes manqueront à l'appel. Jens Lehmann, Torsten Frings, Kevin Kuranyi et Christoph Metzelder en retraite internationale forcée depuis la finale de l'UEFA EURO 2008. Cette équipe rajeunie compense un relatif manque d'expérience par une redoutable efficacité (neuf buts inscrits en trois matches de préparation). Son talon d'Achille pouvant éventuellement être la défense avec une charnière inédite Mertesacker-Friedrich.
Dans l'équipe d'Australie en revanche, on retrouve le bloc soudé aux automatismes bien rodés qui avait créé la surprise en 2006 en se qualifiant pour les huitièmes de finale. Il faut s'attendre à un duel aérien engagé entre la défense allemande et le puissant Joshua Kennedy (1m92).
match du jour
Allemagne - Australie, Groupe D, Durban, 20h30
L'Allemagne, qui a entamé ses cinq dernières campagnes mondiales par une victoire, doit cette fois ajouter la manière contre l'Australie pour se rassurer après la vague de forfaits qui a perturbé sa préparation. Le capitaine Michael Ballack, le gardien René Adler, le défenseur Heiko Westermann et le milieu Simon Rolfes manqueront à l'appel. Jens Lehmann, Torsten Frings, Kevin Kuranyi et Christoph Metzelder en retraite internationale forcée depuis la finale de l'UEFA EURO 2008. Cette équipe rajeunie compense un relatif manque d'expérience par une redoutable efficacité (neuf buts inscrits en trois matches de préparation). Son talon d'Achille pouvant éventuellement être la défense avec une charnière inédite Mertesacker-Friedrich.
Dans l'équipe d'Australie en revanche, on retrouve le bloc soudé aux automatismes bien rodés qui avait créé la surprise en 2006 en se qualifiant pour les huitièmes de finale. Il faut s'attendre à un duel aérien engagé entre la défense allemande et le puissant Joshua Kennedy (1m92).
aladin- Messages : 115038
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Les équipes probables 20h30
Allemagne: Neuer - Lahm, Mertesacker, Friedrich, Badstuber - Khedira, Schweinsteiger - Trochowski (ou Müller), Özil, Podolski - Klose.
Australie: Schwarzer - Wilkshire, Neill, Moore, Chipperfield - Bresciano, Grella - Emerton, Cahill, Culina - Kennedy (ou Kewell).
Allemagne: Neuer - Lahm, Mertesacker, Friedrich, Badstuber - Khedira, Schweinsteiger - Trochowski (ou Müller), Özil, Podolski - Klose.
Australie: Schwarzer - Wilkshire, Neill, Moore, Chipperfield - Bresciano, Grella - Emerton, Cahill, Culina - Kennedy (ou Kewell).
aladin- Messages : 115038
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
UN FAVORI BIEN DECLARE...
LE FRAIN A MAIN EST LACHE
14/06/2010 01:01
Sur les chapeaux de roue
Grâce notamment à Klose, l'Allemagne a signé le score le plus large de ce début de Mondial en battant l'Australie (4-0) et prend la tête du groupe.
Podolski, Klose et Müller ont chacun inscrit un but face à l'Australie.
Au terme d'une partie maîtrisée de bout en bout, l'Allemagne a pris le meilleur sur l'Australie (4-0) pour s'emparer de la tête du groupe D. La sélection de Joachim Löw a offert du spectacle et ça fait du bien.
Des buts, du spectacle et la victoire. Face à l'Australie (4-0), l'Allemagne a réussi à allier plaisir et résultat, beau jeu et efficacité. Pour le plus grand bonheur de son sélectionneur Joachim Löw et - disons-le clairement - des amoureux du football, quelque peu frustrés par le niveau des matches disputés jusqu'à présent. Podolski (8e) et Klose (26e) ont déclenché les hostilités en première période, imités après le repos par Müller (68e) et Cacau (70e). Face à des Socceroos rapidement dépassés et pas vraiment aidés par l'arbitrage les Allemands ont régalé. On peut évidemment émettre des doutes ou des réserves sur la qualité de l'opposition mais on ne peut pas oublier la puissance collective dégagée par la séduisante équipe de Joachim Löw.
Avec Mesut Özil, Thomas Müller et Lukas Podolski, l'Allemagne possède un trio de milieux offensifs spectaculaires et efficaces. Particulièrement à l'aise techniquement, sans aucun complexe et maître dans l'art du jeu avec et sans ballon, ce trident a mis au supplice la défense australienne. L'ouverture du score (8e) en est l'illustration parfaite. D'une inspiration géniale, Özil lançait côté droit Müller qui servait - instinctivement - en retrait Podolski. Sans réfléchir, la vedette de Cologne décochait un missile du gauche pour conclure une action collective de toute beauté. Une offrande à Cacau pour le premier, un but et une passe décisive pour les deux autres. Qu'on se le dise, ces trois-là n'ont pas fini de marquer les esprits.
Très à l'aise pour parler football, la chancelière Angela Merkel avait pronostiqué un petit 2-0 pour ses protégés. A-t-elle sous-estimé la Nationalmannschaft ou s'est-elle tout simplement montrée prudente pour ne pas paraître prétentieuse ? Ces questions sont futiles. Elle s'est trompée mais l'essentiel est ailleurs. Les joueurs de Löw ont étalé une partie de leurs talents à la face du monde et pourraient transmettre leur enthousiasme à la dirigeante allemande. «J'ai récemment vu dans le quartier du gouvernement une voiture dont un côté des rétroviseurs extérieurs avait été peint en noir, rouge et or, expliquait la dirigeante au Bild am Sonntag. J'aimerais bien faire la même chose avec ma voiture.» Philipp Lahm et ses coéquipiers lui ont montré la voie à suivre. Elle peut se lâcher. Avec cette Allemagne, tout est permis.
LE FRAIN A MAIN EST LACHE
14/06/2010 01:01
Sur les chapeaux de roue
Grâce notamment à Klose, l'Allemagne a signé le score le plus large de ce début de Mondial en battant l'Australie (4-0) et prend la tête du groupe.
Podolski, Klose et Müller ont chacun inscrit un but face à l'Australie.
Au terme d'une partie maîtrisée de bout en bout, l'Allemagne a pris le meilleur sur l'Australie (4-0) pour s'emparer de la tête du groupe D. La sélection de Joachim Löw a offert du spectacle et ça fait du bien.
Des buts, du spectacle et la victoire. Face à l'Australie (4-0), l'Allemagne a réussi à allier plaisir et résultat, beau jeu et efficacité. Pour le plus grand bonheur de son sélectionneur Joachim Löw et - disons-le clairement - des amoureux du football, quelque peu frustrés par le niveau des matches disputés jusqu'à présent. Podolski (8e) et Klose (26e) ont déclenché les hostilités en première période, imités après le repos par Müller (68e) et Cacau (70e). Face à des Socceroos rapidement dépassés et pas vraiment aidés par l'arbitrage les Allemands ont régalé. On peut évidemment émettre des doutes ou des réserves sur la qualité de l'opposition mais on ne peut pas oublier la puissance collective dégagée par la séduisante équipe de Joachim Löw.
Avec Mesut Özil, Thomas Müller et Lukas Podolski, l'Allemagne possède un trio de milieux offensifs spectaculaires et efficaces. Particulièrement à l'aise techniquement, sans aucun complexe et maître dans l'art du jeu avec et sans ballon, ce trident a mis au supplice la défense australienne. L'ouverture du score (8e) en est l'illustration parfaite. D'une inspiration géniale, Özil lançait côté droit Müller qui servait - instinctivement - en retrait Podolski. Sans réfléchir, la vedette de Cologne décochait un missile du gauche pour conclure une action collective de toute beauté. Une offrande à Cacau pour le premier, un but et une passe décisive pour les deux autres. Qu'on se le dise, ces trois-là n'ont pas fini de marquer les esprits.
Très à l'aise pour parler football, la chancelière Angela Merkel avait pronostiqué un petit 2-0 pour ses protégés. A-t-elle sous-estimé la Nationalmannschaft ou s'est-elle tout simplement montrée prudente pour ne pas paraître prétentieuse ? Ces questions sont futiles. Elle s'est trompée mais l'essentiel est ailleurs. Les joueurs de Löw ont étalé une partie de leurs talents à la face du monde et pourraient transmettre leur enthousiasme à la dirigeante allemande. «J'ai récemment vu dans le quartier du gouvernement une voiture dont un côté des rétroviseurs extérieurs avait été peint en noir, rouge et or, expliquait la dirigeante au Bild am Sonntag. J'aimerais bien faire la même chose avec ma voiture.» Philipp Lahm et ses coéquipiers lui ont montré la voie à suivre. Elle peut se lâcher. Avec cette Allemagne, tout est permis.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
LES MEXICAINS NOUS ONT SURPRIS AUSSI
L'Allemagne se fait surprendre 18/06/201
Battue lors du premier match, la Serbie reprend espoir en s'imposant face l'un des favoris, l'Allemagne (1-0). Dominateurs, les Allemands n'ont pas réussi à convertir leurs occasions et ont finalement cédé face à des Serbes, qui sans briller, se sont montrés beaucoup plus solides.
Après son large succès face à l'Australie (4-0), on attendait de voir l'Allemagne confirmer son statut de favori face à une opposition plus dure. Contre la Serbie, la Mannschaft passait donc un véritable test, tandis que les Aigles Blancs, battus d'entrée par le Ghana (0-1), n'avaient déjà plus le choix pour rester en course. Prometteuse, cette rencontre a pourtant eu bien du mal à démarrer : le collectif allemand, jeune et bien organisé, s'est heurté sans cesse au gros pressing serbe. A bout de vingt-cinq minutes de jeu, à peine une occasion à se mettre sous la dent et déjà quatre cartons jaunes distribués par l'arbitre espagnol M. Undiano. Les Allemands se sont alors montrés les plus dangereux mais Klose (30e, 33e, 35e), ne parvenait pas à trouver le cadre. Très (trop) nerveux, l'attaquant du Bayern, déjà averti, déséquilibrait Stankovic en arrivant par derrière. Sévère, M. Undiano lui infligeait un deuxième carton et Klose, joueur le plus décisif de ce début de match, regagnait les vestiaires.
Un grain de sable dans la mécanique allemande
C'était le tournant du match : la Mannschaft prenait un coup de massue et les Serbes s'enhardissaient. Hyper rapide, Krasic débordait côté droit pour la tête du géant Zigic qui remettait dans l'axe. Seul face au but, Jovanovic n'avait plus qu'à battre Neuer de près (38e). Pour la première fois de sa jeune histoire, la Serbie inscrivait un but en Coupe du monde. Un but qui avait le mérite de sortir les Allemands de leur torpeur en fin de première période, mais en vain : ils rejoignaient les vestiaires sans avoir cadré un seul tir, malgré un jeu beaucoup plus séduisant. A la reprise, ils repartaient de plus belle, se créant de véritables occasions par Lahm (53e), Schweisteiger (54e), Khedira (54e), en vain. Les Aigles Blancs, organisés en un solide 4-5-1, ne laissaient rien passer et Stojkovic se montrait très efficace en dernier rempart.
Quand ça veut pas...
La chance semblait pourtant là quand Vidic, coupable d'une main dans la surface, offrait un penalty aux Allemands. Mais peut-être était-il écrit que, cette fois, ils ne gagneraient pas à la fin. Car Stojkovic plongeait du bon côté et repoussait la frappe de Podolski (60e). Cela ne décourageait pourtant pas les hommes de Joachim Löw, qui ne lâchaient rien contre des Serbes crispés. Le sélectionneur jouait alors le tout pour le tout en faisant entrer les attaquants Cacau et Gomez et malgré la fatigue, les Allemands se donnaient à fond, au point qu'on cru bien voir onze joueurs sur le terrain. Mais cette fois, c'était bien la Serbie qui l'emportait, sans brio mais avec beaucoup de maîtrise et de réalisme. La Mannschaft peut se sentir frustrée par cette défaite, qui n'hypothèque toutefois pas ses chances d'aller en huitièmes, voire plus loin
L'Allemagne se fait surprendre 18/06/201
Battue lors du premier match, la Serbie reprend espoir en s'imposant face l'un des favoris, l'Allemagne (1-0). Dominateurs, les Allemands n'ont pas réussi à convertir leurs occasions et ont finalement cédé face à des Serbes, qui sans briller, se sont montrés beaucoup plus solides.
Après son large succès face à l'Australie (4-0), on attendait de voir l'Allemagne confirmer son statut de favori face à une opposition plus dure. Contre la Serbie, la Mannschaft passait donc un véritable test, tandis que les Aigles Blancs, battus d'entrée par le Ghana (0-1), n'avaient déjà plus le choix pour rester en course. Prometteuse, cette rencontre a pourtant eu bien du mal à démarrer : le collectif allemand, jeune et bien organisé, s'est heurté sans cesse au gros pressing serbe. A bout de vingt-cinq minutes de jeu, à peine une occasion à se mettre sous la dent et déjà quatre cartons jaunes distribués par l'arbitre espagnol M. Undiano. Les Allemands se sont alors montrés les plus dangereux mais Klose (30e, 33e, 35e), ne parvenait pas à trouver le cadre. Très (trop) nerveux, l'attaquant du Bayern, déjà averti, déséquilibrait Stankovic en arrivant par derrière. Sévère, M. Undiano lui infligeait un deuxième carton et Klose, joueur le plus décisif de ce début de match, regagnait les vestiaires.
Un grain de sable dans la mécanique allemande
C'était le tournant du match : la Mannschaft prenait un coup de massue et les Serbes s'enhardissaient. Hyper rapide, Krasic débordait côté droit pour la tête du géant Zigic qui remettait dans l'axe. Seul face au but, Jovanovic n'avait plus qu'à battre Neuer de près (38e). Pour la première fois de sa jeune histoire, la Serbie inscrivait un but en Coupe du monde. Un but qui avait le mérite de sortir les Allemands de leur torpeur en fin de première période, mais en vain : ils rejoignaient les vestiaires sans avoir cadré un seul tir, malgré un jeu beaucoup plus séduisant. A la reprise, ils repartaient de plus belle, se créant de véritables occasions par Lahm (53e), Schweisteiger (54e), Khedira (54e), en vain. Les Aigles Blancs, organisés en un solide 4-5-1, ne laissaient rien passer et Stojkovic se montrait très efficace en dernier rempart.
Quand ça veut pas...
La chance semblait pourtant là quand Vidic, coupable d'une main dans la surface, offrait un penalty aux Allemands. Mais peut-être était-il écrit que, cette fois, ils ne gagneraient pas à la fin. Car Stojkovic plongeait du bon côté et repoussait la frappe de Podolski (60e). Cela ne décourageait pourtant pas les hommes de Joachim Löw, qui ne lâchaient rien contre des Serbes crispés. Le sélectionneur jouait alors le tout pour le tout en faisant entrer les attaquants Cacau et Gomez et malgré la fatigue, les Allemands se donnaient à fond, au point qu'on cru bien voir onze joueurs sur le terrain. Mais cette fois, c'était bien la Serbie qui l'emportait, sans brio mais avec beaucoup de maîtrise et de réalisme. La Mannschaft peut se sentir frustrée par cette défaite, qui n'hypothèque toutefois pas ses chances d'aller en huitièmes, voire plus loin
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Battue lors du premier match, la Serbie reprend espoir en s'imposant face l'un des favoris, l'Allemagne (1-0). Dominateurs, les Allemands n'ont pas réussi à convertir leurs occasions et ont finalement cédé face à des Serbes, qui sans briller, se sont montrés beaucoup plus solides.
Après son large succès face à l'Australie (4-0), on attendait de voir l'Allemagne confirmer son statut de favori face à une opposition plus dure. Contre la Serbie, la Mannschaft passait donc un véritable test, tandis que les Aigles Blancs, battus d'entrée par le Ghana (0-1), n'avaient déjà plus le choix pour rester en course. Prometteuse, cette rencontre a pourtant eu bien du mal à démarrer : le collectif allemand, jeune et bien organisé, s'est heurté sans cesse au gros pressing serbe. A bout de vingt-cinq minutes de jeu, à peine une occasion à se mettre sous la dent et déjà quatre cartons jaunes distribués par l'arbitre espagnol M. Undiano. Les Allemands se sont alors montrés les plus dangereux mais Klose (30e, 33e, 35e), ne parvenait pas à trouver le cadre. Très (trop) nerveux, l'attaquant du Bayern, déjà averti, déséquilibrait Stankovic en arrivant par derrière. Sévère, M. Undiano lui infligeait un deuxième carton et Klose, joueur le plus décisif de ce début de match, regagnait les vestiaires.
Un grain de sable dans la mécanique allemande
C'était le tournant du match : la Mannschaft prenait un coup de massue et les Serbes s'enhardissaient. Hyper rapide, Krasic débordait côté droit pour la tête du géant Zigic qui remettait dans l'axe. Seul face au but, Jovanovic n'avait plus qu'à battre Neuer de près (38e). Pour la première fois de sa jeune histoire, la Serbie inscrivait un but en Coupe du monde. Un but qui avait le mérite de sortir les Allemands de leur torpeur en fin de première période, mais en vain : ils rejoignaient les vestiaires sans avoir cadré un seul tir, malgré un jeu beaucoup plus séduisant. A la reprise, ils repartaient de plus belle, se créant de véritables occasions par Lahm (53e), Schweisteiger (54e), Khedira (54e), en vain. Les Aigles Blancs, organisés en un solide 4-5-1, ne laissaient rien passer et Stojkovic se montrait très efficace en dernier rempart.
Quand ça veut pas...
La chance semblait pourtant là quand Vidic, coupable d'une main dans la surface, offrait un penalty aux Allemands. Mais peut-être était-il écrit que, cette fois, ils ne gagneraient pas à la fin. Car Stojkovic plongeait du bon côté et repoussait la frappe de Podolski (60e). Cela ne décourageait pourtant pas les hommes de Joachim Löw, qui ne lâchaient rien contre des Serbes crispés. Le sélectionneur jouait alors le tout pour le tout en faisant entrer les attaquants Cacau et Gomez et malgré la fatigue, les Allemands se donnaient à fond, au point qu'on cru bien voir onze joueurs sur le terrain. Mais cette fois, c'était bien la Serbie qui l'emportait, sans brio mais avec beaucoup de maîtrise et de réalisme. La Mannschaft peut se sentir frustrée par cette défaite, qui n'hypothèque toutefois pas ses chances d'aller en huitièmes, voire plus loin
L'Allemagne se fait surprendre 18/06/201
Battue lors du premier match, la Serbie reprend espoir en s'imposant face l'un des favoris, l'Allemagne (1-0). Dominateurs, les Allemands n'ont pas réussi à convertir leurs occasions et ont finalement cédé face à des Serbes, qui sans briller, se sont montrés beaucoup plus solides.
Après son large succès face à l'Australie (4-0), on attendait de voir l'Allemagne confirmer son statut de favori face à une opposition plus dure. Contre la Serbie, la Mannschaft passait donc un véritable test, tandis que les Aigles Blancs, battus d'entrée par le Ghana (0-1), n'avaient déjà plus le choix pour rester en course. Prometteuse, cette rencontre a pourtant eu bien du mal à démarrer : le collectif allemand, jeune et bien organisé, s'est heurté sans cesse au gros pressing serbe. A bout de vingt-cinq minutes de jeu, à peine une occasion à se mettre sous la dent et déjà quatre cartons jaunes distribués par l'arbitre espagnol M. Undiano. Les Allemands se sont alors montrés les plus dangereux mais Klose (30e, 33e, 35e), ne parvenait pas à trouver le cadre. Très (trop) nerveux, l'attaquant du Bayern, déjà averti, déséquilibrait Stankovic en arrivant par derrière. Sévère, M. Undiano lui infligeait un deuxième carton et Klose, joueur le plus décisif de ce début de match, regagnait les vestiaires.
Un grain de sable dans la mécanique allemande
C'était le tournant du match : la Mannschaft prenait un coup de massue et les Serbes s'enhardissaient. Hyper rapide, Krasic débordait côté droit pour la tête du géant Zigic qui remettait dans l'axe. Seul face au but, Jovanovic n'avait plus qu'à battre Neuer de près (38e). Pour la première fois de sa jeune histoire, la Serbie inscrivait un but en Coupe du monde. Un but qui avait le mérite de sortir les Allemands de leur torpeur en fin de première période, mais en vain : ils rejoignaient les vestiaires sans avoir cadré un seul tir, malgré un jeu beaucoup plus séduisant. A la reprise, ils repartaient de plus belle, se créant de véritables occasions par Lahm (53e), Schweisteiger (54e), Khedira (54e), en vain. Les Aigles Blancs, organisés en un solide 4-5-1, ne laissaient rien passer et Stojkovic se montrait très efficace en dernier rempart.
Quand ça veut pas...
La chance semblait pourtant là quand Vidic, coupable d'une main dans la surface, offrait un penalty aux Allemands. Mais peut-être était-il écrit que, cette fois, ils ne gagneraient pas à la fin. Car Stojkovic plongeait du bon côté et repoussait la frappe de Podolski (60e). Cela ne décourageait pourtant pas les hommes de Joachim Löw, qui ne lâchaient rien contre des Serbes crispés. Le sélectionneur jouait alors le tout pour le tout en faisant entrer les attaquants Cacau et Gomez et malgré la fatigue, les Allemands se donnaient à fond, au point qu'on cru bien voir onze joueurs sur le terrain. Mais cette fois, c'était bien la Serbie qui l'emportait, sans brio mais avec beaucoup de maîtrise et de réalisme. La Mannschaft peut se sentir frustrée par cette défaite, qui n'hypothèque toutefois pas ses chances d'aller en huitièmes, voire plus loin
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L'Allemagne se fait surprendre 18/06/201
Battue lors du premier match, la Serbie reprend espoir en s'imposant face l'un des favoris, l'Allemagne (1-0). Dominateurs, les Allemands n'ont pas réussi à convertir leurs occasions et ont finalement cédé face à des Serbes, qui sans briller, se sont montrés beaucoup plus solides.
Après son large succès face à l'Australie (4-0), on attendait de voir l'Allemagne confirmer son statut de favori face à une opposition plus dure. Contre la Serbie, la Mannschaft passait donc un véritable test, tandis que les Aigles Blancs, battus d'entrée par le Ghana (0-1), n'avaient déjà plus le choix pour rester en course. Prometteuse, cette rencontre a pourtant eu bien du mal à démarrer : le collectif allemand, jeune et bien organisé, s'est heurté sans cesse au gros pressing serbe. A bout de vingt-cinq minutes de jeu, à peine une occasion à se mettre sous la dent et déjà quatre cartons jaunes distribués par l'arbitre espagnol M. Undiano. Les Allemands se sont alors montrés les plus dangereux mais Klose (30e, 33e, 35e), ne parvenait pas à trouver le cadre. Très (trop) nerveux, l'attaquant du Bayern, déjà averti, déséquilibrait Stankovic en arrivant par derrière. Sévère, M. Undiano lui infligeait un deuxième carton et Klose, joueur le plus décisif de ce début de match, regagnait les vestiaires.
Un grain de sable dans la mécanique allemande
C'était le tournant du match : la Mannschaft prenait un coup de massue et les Serbes s'enhardissaient. Hyper rapide, Krasic débordait côté droit pour la tête du géant Zigic qui remettait dans l'axe. Seul face au but, Jovanovic n'avait plus qu'à battre Neuer de près (38e). Pour la première fois de sa jeune histoire, la Serbie inscrivait un but en Coupe du monde. Un but qui avait le mérite de sortir les Allemands de leur torpeur en fin de première période, mais en vain : ils rejoignaient les vestiaires sans avoir cadré un seul tir, malgré un jeu beaucoup plus séduisant. A la reprise, ils repartaient de plus belle, se créant de véritables occasions par Lahm (53e), Schweisteiger (54e), Khedira (54e), en vain. Les Aigles Blancs, organisés en un solide 4-5-1, ne laissaient rien passer et Stojkovic se montrait très efficace en dernier rempart.
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La chance semblait pourtant là quand Vidic, coupable d'une main dans la surface, offrait un penalty aux Allemands. Mais peut-être était-il écrit que, cette fois, ils ne gagneraient pas à la fin. Car Stojkovic plongeait du bon côté et repoussait la frappe de Podolski (60e). Cela ne décourageait pourtant pas les hommes de Joachim Löw, qui ne lâchaient rien contre des Serbes crispés. Le sélectionneur jouait alors le tout pour le tout en faisant entrer les attaquants Cacau et Gomez et malgré la fatigue, les Allemands se donnaient à fond, au point qu'on cru bien voir onze joueurs sur le terrain. Mais cette fois, c'était bien la Serbie qui l'emportait, sans brio mais avec beaucoup de maîtrise et de réalisme. La Mannschaft peut se sentir frustrée par cette défaite, qui n'hypothèque toutefois pas ses chances d'aller en huitièmes, voire plus loin
L'Allemagne se fait surprendre 18/06/201
Battue lors du premier match, la Serbie reprend espoir en s'imposant face l'un des favoris, l'Allemagne (1-0). Dominateurs, les Allemands n'ont pas réussi à convertir leurs occasions et ont finalement cédé face à des Serbes, qui sans briller, se sont montrés beaucoup plus solides.
Après son large succès face à l'Australie (4-0), on attendait de voir l'Allemagne confirmer son statut de favori face à une opposition plus dure. Contre la Serbie, la Mannschaft passait donc un véritable test, tandis que les Aigles Blancs, battus d'entrée par le Ghana (0-1), n'avaient déjà plus le choix pour rester en course. Prometteuse, cette rencontre a pourtant eu bien du mal à démarrer : le collectif allemand, jeune et bien organisé, s'est heurté sans cesse au gros pressing serbe. A bout de vingt-cinq minutes de jeu, à peine une occasion à se mettre sous la dent et déjà quatre cartons jaunes distribués par l'arbitre espagnol M. Undiano. Les Allemands se sont alors montrés les plus dangereux mais Klose (30e, 33e, 35e), ne parvenait pas à trouver le cadre. Très (trop) nerveux, l'attaquant du Bayern, déjà averti, déséquilibrait Stankovic en arrivant par derrière. Sévère, M. Undiano lui infligeait un deuxième carton et Klose, joueur le plus décisif de ce début de match, regagnait les vestiaires.
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C'était le tournant du match : la Mannschaft prenait un coup de massue et les Serbes s'enhardissaient. Hyper rapide, Krasic débordait côté droit pour la tête du géant Zigic qui remettait dans l'axe. Seul face au but, Jovanovic n'avait plus qu'à battre Neuer de près (38e). Pour la première fois de sa jeune histoire, la Serbie inscrivait un but en Coupe du monde. Un but qui avait le mérite de sortir les Allemands de leur torpeur en fin de première période, mais en vain : ils rejoignaient les vestiaires sans avoir cadré un seul tir, malgré un jeu beaucoup plus séduisant. A la reprise, ils repartaient de plus belle, se créant de véritables occasions par Lahm (53e), Schweisteiger (54e), Khedira (54e), en vain. Les Aigles Blancs, organisés en un solide 4-5-1, ne laissaient rien passer et Stojkovic se montrait très efficace en dernier rempart.
Quand ça veut pas...
La chance semblait pourtant là quand Vidic, coupable d'une main dans la surface, offrait un penalty aux Allemands. Mais peut-être était-il écrit que, cette fois, ils ne gagneraient pas à la fin. Car Stojkovic plongeait du bon côté et repoussait la frappe de Podolski (60e). Cela ne décourageait pourtant pas les hommes de Joachim Löw, qui ne lâchaient rien contre des Serbes crispés. Le sélectionneur jouait alors le tout pour le tout en faisant entrer les attaquants Cacau et Gomez et malgré la fatigue, les Allemands se donnaient à fond, au point qu'on cru bien voir onze joueurs sur le terrain. Mais cette fois, c'était bien la Serbie qui l'emportait, sans brio mais avec beaucoup de maîtrise et de réalisme. La Mannschaft peut se sentir frustrée par cette défaite, qui n'hypothèque toutefois pas ses chances d'aller en huitièmes, voire plus loin
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Le sélectionneur allemand Joachim Löw a assuré que la phase de groupes,
conclue à la première place après la victoire contre le Ghana (1-0) mercredi, avait apporté "une expérience importante pour sa jeune équipe" avant d'affronter l'Angleterre en 8e de finale.
Cette victoire a été difficile à obtenir : quelle analyse en faites-vous ?
On a vu que notre jeune équipe, dont beaucoup de joueurs disputent leur premier tournoi de cette importance, a subi la pression de l'événement. Mais ils se sont bien comportés et ont marqué le but de la victoire au bon moment. On a beaucoup tenté, on a essayé de dicter le rythme de la rencontre mais on a rencontré des problèmes en arrivant dans le dernier tiers du terrain. Nos combinaisons avaient du mal à arriver à leur terme lorsqu'on se rapprochait du but. C'est naturel que cette jeune équipe connaisse des passages vides. Toutes les grandes équipes avec beaucoup plus d'expérience ont des passages difficiles, on l'a vu avec l'Angleterre et la France surtout. On aurait pu prendre l'avantage plus rapidement avec Mesut Özil et on s'est retrouvé sous la menace du Ghana. L'essentiel, c'est d'avoir gagné ce match et d'être premiers de notre groupe. C'est important en terme d'experience et de confiance pour cette jeune équipe.
Pourquoi avoir décidé de remanier votre défense ?
Ce week-end, en allant observer le Ghana contre l'Australie, j'ai vu que le Ghana jouait avec trois attaquants très rapides et très techniques. C'est pourquoi je voulais avoir Jérôme Boateng dans notre défense. Il est très rapide sur 10-15 mètres et a été très bon défensivement. Je ne m'attendais pas à ce qu'il contribue offensivement à notre jeu.
Dimanche, c'est l'Angleterre que vous allez rencontrer en 8e de finale, un sacré défi...
J'ai vu les matches de l'Angleterre. Ils ont eu du mal lors des deux premières rencontres, mais il est courant qu'une grosse équipe éprouve du mal à trouver son rythme dans un tournoi. Cette équipe a des joueurs incroyables avec Gerrard, Lampard et Cole. Elle a beaucoup d'expérience, avec des joueurs qui sont habitués à jouer en Ligue des champions. Elle est très dangereuse. Rooney est très discret jusqu'à présent, mais son niveau peut exploser à tout moment. Il va représenter un sacré défi pour notre défense. On se réjouit bien sûr de ce match contre l'Angleterre, c'est un match particulier pour nos deux nations, les rencontres entre nos deux pays sont souvent rentrées dans l'histoire.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
CET OZIL EST TRES FORT TECHNIQUEMENT DU PIED GAUCHE
L'étincelle Mesut Özil
Mercredi 23 juin 2010
Jusqu'à la 60e minute du match Ghana-Allemagne mercredi, Mesut Özil passait la plus mauvaise soirée de sa jeune carrière en équipe d'Allemagne, avant d'inscrire d'un tir fulgurant le but de la victoire (1-0) et de la qualification pour les 8e de finale.
Pas facile à 21 ans de faire oublier Michael Ballack, le meneur de jeu aux 98 sélections qui a conduit la Nationalmannschaft en finale du Mondial-2002 et de l'Euro-2008. Pendant une bonne heure, Özil, fils d'émigrés turcs installés dans le bassin de la Ruhr, a semblé trop frêle et trop fébrile pour faire oublier la star du football allemand, privée de son troisième Mondial à cause d'un tacle du Ghanéen Kevin-Prince Boateng.
Le milieu de terrain du Werder Brême, très décevant lors de la défaite contre la Serbie (1-0), manquait tout ce qu'il entreprenait: ses remises arrivaient dans le vide, ses dribbles ne troublaient pas les solides défenseurs ghanéens.
Pire, à la 24e minute, il perdait son duel contre Richard Kingson, la seule réelle occasion allemande d'une première période tendue. Pendant les matches de préparation et contre l'Australie (4-0), celui que ses coéquipiers surnomment Messi avaient fait forte impression, mais Joachim Löw avait regretté son manque de réalisme devant les buts d'adverse.
Messi
"C'est ce qui lui manque encore pour être au même niveau que Michael", avait lâché début juin Löw. De la constance aussi, avaient ajouté les anciennes gloires du football allemand, dont le champion du monde 1974 Gunter Netzer, qui rappelait qu'Özil était capable du pire comme du meilleur en l'espace de quelques jours.
Comme s'il voulait faire taire ces critiques et se débarrasser de l'ombre de Ballack, Özil, qui disputait son 13e match sous le maillot allemand, a saisi sa chance à la 60e minute.
D'une frappe limpide de 20 mètres, il a inscrit son deuxième but en sélection et libéré son équipe, qui devait s'imposer pour éviter l'humiliation d'être la première Nationalmannschaft sortie d'une Coupe du monde dès la phase de groupes. "Je suis très soulagé d'avoir marqué ce but car j'ai +vendangé+ beaucoup d'occasions depuis le début du tournoi", a-t-il expliqué après la rencontre
Özil n'a pas fait oublier Ballack. Il l'a juste imité. Lors de l'Euro-2008, dans des circonstances comparables, l'emblématique capitaine avait inscrit le but de la victoire contre l'Autriche (1-0), synonyme de qualification pour les 8e de finale. L'Allemagne avait ensuite atteint la finale, un présage dans lequel Özil, musulman pratiquant, aimerait croire.
"Cela sera très dur contre l'Angleterre, plus dur que contre le Ghana. Mais, si on joue notre jeu, on peut se qualifier", a-t-il conclu.
L'étincelle Mesut Özil
Mercredi 23 juin 2010
Jusqu'à la 60e minute du match Ghana-Allemagne mercredi, Mesut Özil passait la plus mauvaise soirée de sa jeune carrière en équipe d'Allemagne, avant d'inscrire d'un tir fulgurant le but de la victoire (1-0) et de la qualification pour les 8e de finale.
Pas facile à 21 ans de faire oublier Michael Ballack, le meneur de jeu aux 98 sélections qui a conduit la Nationalmannschaft en finale du Mondial-2002 et de l'Euro-2008. Pendant une bonne heure, Özil, fils d'émigrés turcs installés dans le bassin de la Ruhr, a semblé trop frêle et trop fébrile pour faire oublier la star du football allemand, privée de son troisième Mondial à cause d'un tacle du Ghanéen Kevin-Prince Boateng.
Le milieu de terrain du Werder Brême, très décevant lors de la défaite contre la Serbie (1-0), manquait tout ce qu'il entreprenait: ses remises arrivaient dans le vide, ses dribbles ne troublaient pas les solides défenseurs ghanéens.
Pire, à la 24e minute, il perdait son duel contre Richard Kingson, la seule réelle occasion allemande d'une première période tendue. Pendant les matches de préparation et contre l'Australie (4-0), celui que ses coéquipiers surnomment Messi avaient fait forte impression, mais Joachim Löw avait regretté son manque de réalisme devant les buts d'adverse.
Messi
"C'est ce qui lui manque encore pour être au même niveau que Michael", avait lâché début juin Löw. De la constance aussi, avaient ajouté les anciennes gloires du football allemand, dont le champion du monde 1974 Gunter Netzer, qui rappelait qu'Özil était capable du pire comme du meilleur en l'espace de quelques jours.
Comme s'il voulait faire taire ces critiques et se débarrasser de l'ombre de Ballack, Özil, qui disputait son 13e match sous le maillot allemand, a saisi sa chance à la 60e minute.
D'une frappe limpide de 20 mètres, il a inscrit son deuxième but en sélection et libéré son équipe, qui devait s'imposer pour éviter l'humiliation d'être la première Nationalmannschaft sortie d'une Coupe du monde dès la phase de groupes. "Je suis très soulagé d'avoir marqué ce but car j'ai +vendangé+ beaucoup d'occasions depuis le début du tournoi", a-t-il expliqué après la rencontre
Özil n'a pas fait oublier Ballack. Il l'a juste imité. Lors de l'Euro-2008, dans des circonstances comparables, l'emblématique capitaine avait inscrit le but de la victoire contre l'Autriche (1-0), synonyme de qualification pour les 8e de finale. L'Allemagne avait ensuite atteint la finale, un présage dans lequel Özil, musulman pratiquant, aimerait croire.
"Cela sera très dur contre l'Angleterre, plus dur que contre le Ghana. Mais, si on joue notre jeu, on peut se qualifier", a-t-il conclu.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Lahm tacle Beckenbauer 25/06/2010
trop dur avec son bras en echarpe
demi finale allemagne italie 1970:: 3 à 4 ap prol
les jeunes le plus beau et intense match dephase finale coupe du monde à ce jour
ds quelques jours d'affronter l'Angleterre en huitièmes de finale de la Coupe du monde, Philipp Lahm, le capitaine de l'Allemagne, a tenu mitiger les paroles de l'ancienne gloire de la Nationalmannschaft, Franz Beckenbauer. Le Kaiser avait lancé la polémique en affirmant que le jeu de la sélection aux Trois Lions se résumait encore au «kick and rush». «Non, le jeu anglais, ce n'est pas que le «kick and rush», des grands ballons en avant [...] Nous savons ce qui nous attend, les Anglais ont beaucoup, beaucoup de qualité technique. C'est très dur de défendre contre cette équipe, cela va être un match difficile. Il va falloir se battre pour le moindre centimètre, la moindre erreur va coûter cher».
Duel historique, l'Allemagne a toujours battu, ou presque, l'Angleterre lors des grands tournois. Mais, le capitaine allemand se méfie : «Le passé ne vous fait pas gagner des matches. Les joueurs qui seront le terrain n'ont participé à aucun des grands matches dont on parle
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Les tirs au but : hantise des Anglais
Gros choc cet après-midi (16h00) à Bloemfontein entre l'Allemagne et l'Angleterre. Un huitième de finale franchement indécis entre deux équipes qualifiées sur le fil, mais au potentiel impressionnant.
«La fontaine aux fleurs». Ce huitième de finale sera à coup sûr moins poétique que la traduction de Bloemfontein, la ville où se déroule ce clinquant Allemagne - Angleterre. Clinquant, mais surtout à déguster frais, en plein coeur d'un après-midi a priori très doux. Ces deux équipes de légendes, en quête de leur glorieux passé depuis plusieurs années, ne se feront, c'est sûr, aucun cadeau. Si la Nationalmannschaft a déjà trois étoiles sur son maillot (1954, 1974, 1990), elle a aussi joué sept finales sur les quatorze dernières éditions
. Mais elle n'a plus rien gagné au niveau international depuis vingt ans tout rond. Un Euro (1996) est tout de même venu, discrètement, garnir sa vitrine des trophées
Et les «Three Lions» tenteront surtout de combattre une sorte de psychose de la séance de tirs au but, cette loterie sur laquelle ils ont quitté cinq de leurs huit derniers tournois. Deux fois, les tireurs étaient allemands. De quoi avoir un peu plus peur des Özil, Schweinsteiger (s'il est remis de sa douleur aux muscles fessiers), Khedira, Müller ou encore Klose, symboles de la plus jeune génération allemande en Coupe du monde depuis 1934. Ou en tout cas de sérieusement s'en méfier. .
Les équipes probables :
Allemagne: Neuer - Lahm (cap), Mertesacker, Friedrich, Jansen (ou Badstuber) - Khedira, Schweinsteiger (ou Kroos) - Müller, Özil, Podolski - Klose
Sélectionneur: Joachim Löw
Angleterre: James - G. Johnson, Terry, Upson, A. Cole - Milner, Lampard, Barry, Gerrard (cap.) - Rooney, Defoe
Sélectionneur: Fabio Capello (ITA)
Gros choc cet après-midi (16h00) à Bloemfontein entre l'Allemagne et l'Angleterre. Un huitième de finale franchement indécis entre deux équipes qualifiées sur le fil, mais au potentiel impressionnant.
«La fontaine aux fleurs». Ce huitième de finale sera à coup sûr moins poétique que la traduction de Bloemfontein, la ville où se déroule ce clinquant Allemagne - Angleterre. Clinquant, mais surtout à déguster frais, en plein coeur d'un après-midi a priori très doux. Ces deux équipes de légendes, en quête de leur glorieux passé depuis plusieurs années, ne se feront, c'est sûr, aucun cadeau. Si la Nationalmannschaft a déjà trois étoiles sur son maillot (1954, 1974, 1990), elle a aussi joué sept finales sur les quatorze dernières éditions
. Mais elle n'a plus rien gagné au niveau international depuis vingt ans tout rond. Un Euro (1996) est tout de même venu, discrètement, garnir sa vitrine des trophées
Et les «Three Lions» tenteront surtout de combattre une sorte de psychose de la séance de tirs au but, cette loterie sur laquelle ils ont quitté cinq de leurs huit derniers tournois. Deux fois, les tireurs étaient allemands. De quoi avoir un peu plus peur des Özil, Schweinsteiger (s'il est remis de sa douleur aux muscles fessiers), Khedira, Müller ou encore Klose, symboles de la plus jeune génération allemande en Coupe du monde depuis 1934. Ou en tout cas de sérieusement s'en méfier. .
Les équipes probables :
Allemagne: Neuer - Lahm (cap), Mertesacker, Friedrich, Jansen (ou Badstuber) - Khedira, Schweinsteiger (ou Kroos) - Müller, Özil, Podolski - Klose
Sélectionneur: Joachim Löw
Angleterre: James - G. Johnson, Terry, Upson, A. Cole - Milner, Lampard, Barry, Gerrard (cap.) - Rooney, Defoe
Sélectionneur: Fabio Capello (ITA)
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Löw : «Une performance grandiose»
Thomas Müller a bien fait d'écouter les conseils de son sélectionneur Joachim Löw. Le jeune attaquant a inscrit un doublé face à l'Angleterre.
Pour Joachim Löw, l'Allemagne, victorieuse de l'Angleterre (4-1) dimanche à Bloemfontein,
a livré l'une de ses meilleures prestations depuis qu'il est sélectionneur.
«Joachim Löw ue ressentez-vous après un tel match ?
C'était une performance grandiose de notre équipe contre des Anglais très expérimentés. On a très bien joué tactiquement, on a fait preuve d'agressivité en milieu de terrain comme je l'avais espéré, beaucoup plus que contre le Ghana. On a dominé cette rencontre avec beaucoup d'autorité en menant 2-0, même si on a connu ensuite une période difficile lorsqu'ils ont réduit le score et marqué ce but qui aurait dû être validé. Ce qui m'a plu, c'est la maîtrise tactique et technique de cette jeune équipe. Tout le monde a très bien fait son boulot. On savait qu'il fallait tenter d'asphyxier Gerrard et Lampard, les priver de ballon et c'est quelque chose que l'équipe a très bien fait. On savait aussi que les défenseurs centraux anglais laissaient beaucoup d'espaces entre eux et Klose. Podolski et Müller ont bien utilisé ces espaces.
Qu'avez-vous dit à la mi-temps à votre équipe qui a regagné le vestiaire sous le choc du réveil des Anglais et de ce but non accordé ?
Je leur ai dit qu'on menait 2-1 mais qu'on avait perdu le fil conducteur de notre jeu et qu'il fallait retrouver la cohérence, l'agressivité de notre début de match. Je leur ai demandé de poursuivre leurs efforts en attaque, d'utiliser la moindre occasion pour porter le danger devant le but anglais et de ne pas gérer le score. Il fallait marquer ce troisième but, ce que Thomas Müller a très bien fait. Il a, à son âge, un incroyable sang-froid, c'est impressionnant.
L'Allemagne fait-elle partie des favoris pour le titre mondial ?
Je ne nous range toujours pas parmi les favoris. Il faut profiter de cette belle victoire, mais il va falloir vite se remettre au travail, car le prochain adversaire, l'Argentine, sera encore plus costaud que l'Angleterre.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
UN VOYANT PRETEND VOIR L"ALLEMAGNE BATTRE L'ARGENTINE
ET DEVENIR CHAMPION DU MONDE
MAIS C UN VOYANT ALLEMAND
Philipp Lahm alimente le feu allemand sur l'Argentine
jeudi 01 juillet 2010 à 16H55
Le capitaine de la Mannschaft Philipp Lahm a soufflé sur des braises jeudi, à deux jours du quart de finale de Coupe du monde entre l'Allemagne et l'Argentine en accusant les Sud-Américains d'être de mauvais perdants. Son coéquipier Bastian Schweinsteiger avait accusé mercredi les Argentins d'être provocateurs et de manquer de respect envers leurs adversaires.
ERASMIA, Afrique du Sud - Philipp Lahm a soufflé sur des braises jeudi, à deux jours du quart de finale de Coupe du monde entre l'Allemagne et l'Argentine en accusant les Sud-Américains d'être de mauvais perdants.
Le milieu de terrain de la Mannschaft Bastian Schweinsteiger avait accusé mercredi les Argentins d'être provocateurs et de manquer de respect envers leurs adversaires. Son capitaine en rajoute en affirmant qu'ils ne savent pas perdre.
"Bastian a dit ce qu'il a dit. Nous savons que les Sud-Américains sont impulsifs, ont du tempérament et ne peuvent pas perdre", a dit Lahm, habituellement mesuré dans ses propos.
"Nous verrons samedi comment ils perdront et se comporteront après cette défaite", a ajouté le défenseur latéral du Bayern Munich.
Le choc entre l'Argentine et l'Allemagne, prévu à 16h00 au Cap, est un classique des Coupes du monde.
Il y a quatre ans, à domicile, les Allemands avaient battu les Argentins aux tirs au but à l'issue d'un match houleux. Les staffs et les joueurs des deux équipes en étaient venus aux mains à la fin de la rencontre.
Les deux pays se sont en outre affrontés en finale en 1986 puis en 1990. La première avait été remportée par l'Argentine de Diego Maradona, l'actuel sélectionneur de l'Albiceleste. La seconde avait accouché d'une revanche des Allemands, ainsi sacrés pour la troisième fois de leur histoire.
BIERHOFF JOUE L'APAISEMENT
"Nous devons nous concentrer seulement sur notre football", a dit Lahm, avant d'en remettre une couche sur l'Argentine: "Les Sud-Américains sont caractériels. Nous le savons et nous verrons bien cette fois comment ils réagiront dans la défaite."
"Le moment est venu de battre une grande équipe. Notre jeune équipe doit montrer qu'elle peut battre une grande équipe comme l'Argentine sur 90 minutes", a-t-il ajouté.
Cette offensive verbale avait été lancée la veille par son coéquipier en Bavière, Bastian Schweinsteiger, qui a notamment accusé les Argentins de "gesticuler" pour influencer les arbitres.
Le manager général de la sélection allemande, Oliver Bierhoff, a tenté jeudi d'apaiser les esprits et a conseillé aux joueurs d'oublier l'incident de 2006.
"On devrait laisser ça derrière nous, garder la tête froide et nous concentrer seulement sur ce que nous faisons le mieux", a dit l'ancien attaquant. "Je ne pense pas que ce sera un match violent", a-t-il ajouté.
Le champion d'Europe 1996 a assuré que les Allemands restaient conscients de leurs possibilités sans les surestimer, malgré un tournoi jusqu'à présent convaincant, marqué notamment par une victoire 4-1 sur l'Angleterre en huitième de finale.
"C'est précisément la force de l'équipe. Ils ont un état d'esprit sain. L'enthousiasme qui les entoure ne les amènera pas à croire qu'ils ont atteint leur objectif", a-t-il affirmé.
ET DEVENIR CHAMPION DU MONDE
MAIS C UN VOYANT ALLEMAND
Philipp Lahm alimente le feu allemand sur l'Argentine
jeudi 01 juillet 2010 à 16H55
Le capitaine de la Mannschaft Philipp Lahm a soufflé sur des braises jeudi, à deux jours du quart de finale de Coupe du monde entre l'Allemagne et l'Argentine en accusant les Sud-Américains d'être de mauvais perdants. Son coéquipier Bastian Schweinsteiger avait accusé mercredi les Argentins d'être provocateurs et de manquer de respect envers leurs adversaires.
ERASMIA, Afrique du Sud - Philipp Lahm a soufflé sur des braises jeudi, à deux jours du quart de finale de Coupe du monde entre l'Allemagne et l'Argentine en accusant les Sud-Américains d'être de mauvais perdants.
Le milieu de terrain de la Mannschaft Bastian Schweinsteiger avait accusé mercredi les Argentins d'être provocateurs et de manquer de respect envers leurs adversaires. Son capitaine en rajoute en affirmant qu'ils ne savent pas perdre.
"Bastian a dit ce qu'il a dit. Nous savons que les Sud-Américains sont impulsifs, ont du tempérament et ne peuvent pas perdre", a dit Lahm, habituellement mesuré dans ses propos.
"Nous verrons samedi comment ils perdront et se comporteront après cette défaite", a ajouté le défenseur latéral du Bayern Munich.
Le choc entre l'Argentine et l'Allemagne, prévu à 16h00 au Cap, est un classique des Coupes du monde.
Il y a quatre ans, à domicile, les Allemands avaient battu les Argentins aux tirs au but à l'issue d'un match houleux. Les staffs et les joueurs des deux équipes en étaient venus aux mains à la fin de la rencontre.
Les deux pays se sont en outre affrontés en finale en 1986 puis en 1990. La première avait été remportée par l'Argentine de Diego Maradona, l'actuel sélectionneur de l'Albiceleste. La seconde avait accouché d'une revanche des Allemands, ainsi sacrés pour la troisième fois de leur histoire.
BIERHOFF JOUE L'APAISEMENT
"Nous devons nous concentrer seulement sur notre football", a dit Lahm, avant d'en remettre une couche sur l'Argentine: "Les Sud-Américains sont caractériels. Nous le savons et nous verrons bien cette fois comment ils réagiront dans la défaite."
"Le moment est venu de battre une grande équipe. Notre jeune équipe doit montrer qu'elle peut battre une grande équipe comme l'Argentine sur 90 minutes", a-t-il ajouté.
Cette offensive verbale avait été lancée la veille par son coéquipier en Bavière, Bastian Schweinsteiger, qui a notamment accusé les Argentins de "gesticuler" pour influencer les arbitres.
Le manager général de la sélection allemande, Oliver Bierhoff, a tenté jeudi d'apaiser les esprits et a conseillé aux joueurs d'oublier l'incident de 2006.
"On devrait laisser ça derrière nous, garder la tête froide et nous concentrer seulement sur ce que nous faisons le mieux", a dit l'ancien attaquant. "Je ne pense pas que ce sera un match violent", a-t-il ajouté.
Le champion d'Europe 1996 a assuré que les Allemands restaient conscients de leurs possibilités sans les surestimer, malgré un tournoi jusqu'à présent convaincant, marqué notamment par une victoire 4-1 sur l'Angleterre en huitième de finale.
"C'est précisément la force de l'équipe. Ils ont un état d'esprit sain. L'enthousiasme qui les entoure ne les amènera pas à croire qu'ils ont atteint leur objectif", a-t-il affirmé.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
le voyant avait vu juste;;
Le football est un sport collectif. Les Allemands l?ont bien compris, avec leurs onze joueurs solidaires, bien organisés, au schéma de jeu lisible, et aux phases offensives assommantes. Tout le contraire de l?Argentine, qui samedi, a oublié ses fondamentaux. Messi, Tevez, Di Maria ou encore Higuain ont voulu jouer aux héros, et ont sorti leurs pires partitions de solistes. Ils l?ont payé cash. Et la note est salée. Ballon d?or France Football 2009, Lionel Messi quitte l?Afrique du Sud la tête basse. Il n?a pas inscrit le moindre but dans la compétition. Indigne de son statut.
Le récital allemand
Sous les yeux de Leonardo Di Caprio et Charlize Theron, les Allemands ont quant à eux offert un véritable récital aux spectateurs du Green Point Stadium. Dès la 3e minute, l?inévitable Thomas Müller a ouvert les hostilités, en inscrivant son quatrième but de la compétition, et cerise sur le gâteau, le 200e but allemand en Coupe du monde. Assommés en première période par l?impact physique des Allemands, les hommes de Diego Maradona ont tenté de réagir au retour des vestiaires. En vain. Trop brouillons, trop imprécis, pas dans le coup, ils sont passés au travers de leur quart de finale comme des fantômes.
Klose, dans l'Histoire
Après avoir laissé passer l?orage, la bande à Podolski a décidé de tuer le match, et s?est mis en mode rouleau compresseur : aux 67e et 89e minutes, Miroslav Klose est entré dans l?histoire, en inscrivant, pour sa 100e sélection, ses 13e et 14e buts en Coupe du monde. Il se hisse sur le podium des meilleurs buteurs de l?histoire de la compétition, à la deuxième place (ex-aequo avec Gerd Müller), avec seulement un but de retard sur Ronaldo. Mauvaise nouvelle pour la France : Just Fontaine et ses 13 réalisations quittent le podium
Le football est un sport collectif. Les Allemands l?ont bien compris, avec leurs onze joueurs solidaires, bien organisés, au schéma de jeu lisible, et aux phases offensives assommantes. Tout le contraire de l?Argentine, qui samedi, a oublié ses fondamentaux. Messi, Tevez, Di Maria ou encore Higuain ont voulu jouer aux héros, et ont sorti leurs pires partitions de solistes. Ils l?ont payé cash. Et la note est salée. Ballon d?or France Football 2009, Lionel Messi quitte l?Afrique du Sud la tête basse. Il n?a pas inscrit le moindre but dans la compétition. Indigne de son statut.
Le récital allemand
Sous les yeux de Leonardo Di Caprio et Charlize Theron, les Allemands ont quant à eux offert un véritable récital aux spectateurs du Green Point Stadium. Dès la 3e minute, l?inévitable Thomas Müller a ouvert les hostilités, en inscrivant son quatrième but de la compétition, et cerise sur le gâteau, le 200e but allemand en Coupe du monde. Assommés en première période par l?impact physique des Allemands, les hommes de Diego Maradona ont tenté de réagir au retour des vestiaires. En vain. Trop brouillons, trop imprécis, pas dans le coup, ils sont passés au travers de leur quart de finale comme des fantômes.
Klose, dans l'Histoire
Après avoir laissé passer l?orage, la bande à Podolski a décidé de tuer le match, et s?est mis en mode rouleau compresseur : aux 67e et 89e minutes, Miroslav Klose est entré dans l?histoire, en inscrivant, pour sa 100e sélection, ses 13e et 14e buts en Coupe du monde. Il se hisse sur le podium des meilleurs buteurs de l?histoire de la compétition, à la deuxième place (ex-aequo avec Gerd Müller), avec seulement un but de retard sur Ronaldo. Mauvaise nouvelle pour la France : Just Fontaine et ses 13 réalisations quittent le podium
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
- Löw : «Très impressionnant»
Après le succès de son équipe face à l'Argentine, Joachim Löw a salué la performance de ses joueurs. (REUT)
Qu'est-ce qui a donc si bien marché pour voir l'Allemagne étriller l'Argentine ce samedi en quarts de finale de la Coupe du monde (4-0) ? Pour répondre à cette question, Joachim Löw, le sélectionneur de la Nationalmannschaft, met en avant l'état d'esprit qu'il a essayé d'inculquer à ses hommes avant la rencontre. «Les Argentins ont de très bons attaquants, avoue-t-il. J'avais dit à mes joueurs: quot;vous êtes plus jeunes, rapides, endurants. Si vous les mettez sous pression, notamment leur défense, ça va passerquot;.» Il n'a pas eu tort car la fougue de ses ouailles a fait la différence. A l'image du métronome Schweinsteiger qui a été «le leader» du jeu pour Löw. «Il a passé quatre ou cinq joueurs pour donner des passes. Il a été fabuleux.»
Auteur d'un doublé, Miroslav Klose, malgré ses 33 ans, n'a pas été mauvais non plus. «Il est très impressionnant. Je n'ai jamais eu de doute sur lui. Je suis heureux qu'il ait profité de sa 100e sélection pour marquer un doublé. Il entre dans les livres d'histoire. Peu de joueurs lui arrivent à la cheville.» Par ces déclarations, on sent véritablement le lien qui unit le sélectionneur à son groupe. La seule mauvaise nouvelle du jour vient de la suspension de Thomas Müller pour la demi-finale de mercredi, «c'est un gros vide». Ce coup dur n'empêche toutefois pas de savourer : «Mon équipe a été très déterminée. C'était une performance de champions. En seconde période, nous étions un peu sous pression mais il y avait tant de vitesse... C'était très impressionnant
Après le succès de son équipe face à l'Argentine, Joachim Löw a salué la performance de ses joueurs. (REUT)
Qu'est-ce qui a donc si bien marché pour voir l'Allemagne étriller l'Argentine ce samedi en quarts de finale de la Coupe du monde (4-0) ? Pour répondre à cette question, Joachim Löw, le sélectionneur de la Nationalmannschaft, met en avant l'état d'esprit qu'il a essayé d'inculquer à ses hommes avant la rencontre. «Les Argentins ont de très bons attaquants, avoue-t-il. J'avais dit à mes joueurs: quot;vous êtes plus jeunes, rapides, endurants. Si vous les mettez sous pression, notamment leur défense, ça va passerquot;.» Il n'a pas eu tort car la fougue de ses ouailles a fait la différence. A l'image du métronome Schweinsteiger qui a été «le leader» du jeu pour Löw. «Il a passé quatre ou cinq joueurs pour donner des passes. Il a été fabuleux.»
Auteur d'un doublé, Miroslav Klose, malgré ses 33 ans, n'a pas été mauvais non plus. «Il est très impressionnant. Je n'ai jamais eu de doute sur lui. Je suis heureux qu'il ait profité de sa 100e sélection pour marquer un doublé. Il entre dans les livres d'histoire. Peu de joueurs lui arrivent à la cheville.» Par ces déclarations, on sent véritablement le lien qui unit le sélectionneur à son groupe. La seule mauvaise nouvelle du jour vient de la suspension de Thomas Müller pour la demi-finale de mercredi, «c'est un gros vide». Ce coup dur n'empêche toutefois pas de savourer : «Mon équipe a été très déterminée. C'était une performance de champions. En seconde période, nous étions un peu sous pression mais il y avait tant de vitesse... C'était très impressionnant
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LALLEMAGNE SUR LE TOIT DE L"EUROPE ...
APPAREMMENT ILS ONT OUBLIE LA FRANCE DANS LA CAVE
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Klose force l'admiration
Alors qu'il suscitait des interrogations avant le Mondial, Miroslav Klose a encore forcé l'admiration en étant décisif pour l'Allemagne.
Moribond après une saison noire au Bayern, Miroslav Klose vit une certaine forme de renaissance en Afrique du Sud. Avec quatre buts au compteur, l'attaquant allemand éblouit. Comme son équipe, qui marche sur l'eau.
Arrivé sur la pointe des pieds en Afrique du Sud, Miroslav Klose a vite fait taire ses nombreux détracteurs. Beaucoup se demandaient pourquoi Joachim Löw ne remettait pas en cause le statut de titulaire de l'attaquant munichois, qui sortait d'une saison pourrie et avait été relégué sur le banc du Bayern au profit d'Ivica Olic et de son partenaire en sélection, le petit prodige Thomas Müller. Van Gaal avait vite tranché et mis de côté sans scrupules le meilleur buteur de la Coupe du monde 2006 (5 réalisations). «Ma force, c'est de répondre présent le jour-J et d'arriver à me concentrer sur un moment précis, a répliqué Klose, dimanche en conférence de presse. Quand cela ne va pas, je continue à travailler dur. Et quand tout va bien, comme c'est le cas en ce moment, je suis content, mais je ne change pas. Au Bayern, je me sens bien et nous avons un très bon coach.» Même pas rancunier en plus.
Comme son compère Lukas Podolski, médiocre en club mais brillant sous le maillot de la Nationalmannschaft, Miroslav Klose n'est pas à un paradoxe près. La saison dernière avec le Bayern, il a disputé 25 matches dont 11 seulement dans la peau d'un titulaire. Bilan : trois petits buts en Bundesliga. Une misère. En Afrique du Sud, quot;Miroquot; revit et prouve qu'à 32 ans, il est loin d'être cramé. Il a encore le feu qui boue et, comme son équipe, il marche sur l'eau. En quatre matches de Coupe du monde - il n'a pas joué contre le Ghana car suspendu-, il a déjà claqué quatre buts. Samedi au cap, pour sa 100e sélection, il a planté un doublé ! Fait troublant : à chaque fois qu'il marque (contre l'Australie 4-0, l'Angleterre 4-1 et l'Argentine 4-0), l'Allemagne explose tout sur son passage avec quatre buts au tableau d'affichage. Du grand art. «Je l'ai dit avant le tournoi : mon objectif est de marquer cinq buts (comme en 2002 et 2006, NDLR). Si j'en plante six, cela sera très bien. Mais si on me donnait le choix, je préférerais être champion du monde que de dépasser Ronaldo». Le Brésilien a bloqué son compteur à 15 buts en phases finales de Coupe du monde. Klose est à l'affût, avec 14.
Aussitôt la raclée administrée à l'Argentine de Maradona, Klose et ses camarades se sont tournés vers leur prochain objectif : l'Espagne. Une demie qui sent le souffre et la revanche. Il y a deux ans, les Espagnols avaient remporté l'Euro 2008 en disposant de l'Allemagne (1-0) en finale. Mais c'était une autre époque. «On ne peut pas comparer 2008 et 2010, a confié Klose, qui était titulaire le 29 juin 2008 à Vienne. L'Allemagne est maintenant une autre équipe avec d'autres joueurs. Nous avons des jeunes talentueux qui ont apporté un souffle nouveau et de la fraîcheur. Notre effectif est supérieur à celui de 2008. L'Espagne a un peu changé mais elle reste une équipe extraordinaire, le top niveau en Europe. C'est meilleur que l'Argentine et l'Angleterre. Villa est un joueur fantastique, très technique. Les Espagnols jouent un football fantastique, mais le Paraguay a prouvé qu'ils n'étaient pas invincibles.» Si personne n'est invincible, Klose, lui, est inoxydable.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Thomas Müller, un nom prédestiné
RÉVÉLATION À 20 ans, l’attaquant du Bayern, suspendu mercredi contre l’Espagne, symbolise le regain allemand
Auteur de quatre bus en cinq matches durant ce Mondial, le jeune attaquant du Bayern Munich
manquera cruellement à la Mannschaft mercredi
"Je ne pense pas
au titre de meilleur
buteur, ça pourrait
être Miroslav Klose."
Quand on s’appelle Müller,
que l’on est attaquant au
Bayern et en équipe d’Allemagne,
que l’on porte le numéro
13 à la Coupe du monde, on
a intérêt à être bon.
Sinon quoi ? On va se faire
traiter de faux Müller, voire
d’imposteur, on va subir ce que
même un Zico, surnommé le
"Pelé blanc", avait subi au petit
jeu des comparaisons. Mais lui,
en plus, il n’y peut rien, il s’appelle
Müller.
"Bof, c’est un nom très courant
en Allemagne", a d’ailleurs
récemment dit Gerd, alias
der Bomber, buteur historique
des années 60-70, sur les traces
duquel il était difficile de marcher.
C’est vrai qu’il y en a eu des
Müller sous le maillot blanc au
col noir. Hansi était un milieu
offensif, de Stuttgart puis de
l’Inter, champion d’Europe
1980. Numéro 10, il ne risquait
pas la comparaison. La vie de
Dieter, excellent à Bordeaux au
début des années 80, fut plus
compliquée avec la National
Mannschaft, parce qu’il succéda
directement à Gerd en 1978.
Et Thomas alors ?
Lui, c’est vraiment la surprise,
la révélation de cette Coupe
du monde. Qui le connaissait
il y a un an ? Même si Jürgen
Klinsmann l’avait un peu lancé
en Ligue des champions avec le
Bayern.
Aujourd’hui, s’il paraît sûr de
lui, il n’a pas tort lorsqu’il dit :
"J’ai d’autres Coupes du monde
devant moi, je suis très jeune".
Et comment ! Il aura 21 ans en
septembre...
Pur produit du centre de formation
du Bayern où il évolue
depuis l’enfance, il est suivi au
plus haut niveau depuis des années
et a joué dans toutes les sélections
de jeunes. Mais il a vraiment
explosé cette saison, avec
un premier match international
le 3 mars dernier... contre
l’Argentine. Il est arrivé sur ce
Mondial avec deux sélections et
zéro but. Il en est à 4 en 7 capes.
Il a aussi disputé la finale de la
Ligue des champions, perdue
contre l’Inter (0-1, but de Milito,
que Maradona a laissé sur le
banc).
Pour cela, il a piqué la place
de Klose au Bayern. Mais pas en
équipe nationale où il joue côté
droit et s’entend à merveille
avec le vétéran, qui devra se passer
de son soutien contre l’Espagne,
mercredi. "J’ai tout de suite
su que ce carton jaune (une faute
de main un peu bête devant
Messi), allait me priver de demi-
finale mais je ne pense pas
au titre de meilleur buteur, ça
pourrait être Miroslav Klose.
Inutile de me consoler, j’accepte,
je ne serai pas dans un trou à
cause de ça ; je sais que j’aurai
encore un autre match dans ce
tournoi, c’est le bon côté des choses"
(finale ou match de classement).
Pour cette revanche de la finale
de l’Euro, il reconnaît que ce
sera encore compliqué.
"Quand nous voyons, sur le
plan individuel, la classe des Espagnols
et des Néerlandais,
nous savons que nous ne pouvons
les battre qu’en jouant en
équipe.
"Avec mes copains néerlandais
du Bayern (Van Bommel,
Robben...), nous avons souvent
plaisanté au sujet de la finale de
rêve Allemagne - Pays-Bas.
Si c’est le cas, quand on connaît
l’histoire, il est évident que l’Allemagne
va gagner (rire).
"Mais bon, d’abord il faudra
battre l’Espagne. Avant le match
contre l’Argentine, je disais ;
"On ne va pas encore gagner
4-1 comme contre l’Angleterre".
Alors
RÉVÉLATION À 20 ans, l’attaquant du Bayern, suspendu mercredi contre l’Espagne, symbolise le regain allemand
Auteur de quatre bus en cinq matches durant ce Mondial, le jeune attaquant du Bayern Munich
manquera cruellement à la Mannschaft mercredi
"Je ne pense pas
au titre de meilleur
buteur, ça pourrait
être Miroslav Klose."
Quand on s’appelle Müller,
que l’on est attaquant au
Bayern et en équipe d’Allemagne,
que l’on porte le numéro
13 à la Coupe du monde, on
a intérêt à être bon.
Sinon quoi ? On va se faire
traiter de faux Müller, voire
d’imposteur, on va subir ce que
même un Zico, surnommé le
"Pelé blanc", avait subi au petit
jeu des comparaisons. Mais lui,
en plus, il n’y peut rien, il s’appelle
Müller.
"Bof, c’est un nom très courant
en Allemagne", a d’ailleurs
récemment dit Gerd, alias
der Bomber, buteur historique
des années 60-70, sur les traces
duquel il était difficile de marcher.
C’est vrai qu’il y en a eu des
Müller sous le maillot blanc au
col noir. Hansi était un milieu
offensif, de Stuttgart puis de
l’Inter, champion d’Europe
1980. Numéro 10, il ne risquait
pas la comparaison. La vie de
Dieter, excellent à Bordeaux au
début des années 80, fut plus
compliquée avec la National
Mannschaft, parce qu’il succéda
directement à Gerd en 1978.
Et Thomas alors ?
Lui, c’est vraiment la surprise,
la révélation de cette Coupe
du monde. Qui le connaissait
il y a un an ? Même si Jürgen
Klinsmann l’avait un peu lancé
en Ligue des champions avec le
Bayern.
Aujourd’hui, s’il paraît sûr de
lui, il n’a pas tort lorsqu’il dit :
"J’ai d’autres Coupes du monde
devant moi, je suis très jeune".
Et comment ! Il aura 21 ans en
septembre...
Pur produit du centre de formation
du Bayern où il évolue
depuis l’enfance, il est suivi au
plus haut niveau depuis des années
et a joué dans toutes les sélections
de jeunes. Mais il a vraiment
explosé cette saison, avec
un premier match international
le 3 mars dernier... contre
l’Argentine. Il est arrivé sur ce
Mondial avec deux sélections et
zéro but. Il en est à 4 en 7 capes.
Il a aussi disputé la finale de la
Ligue des champions, perdue
contre l’Inter (0-1, but de Milito,
que Maradona a laissé sur le
banc).
Pour cela, il a piqué la place
de Klose au Bayern. Mais pas en
équipe nationale où il joue côté
droit et s’entend à merveille
avec le vétéran, qui devra se passer
de son soutien contre l’Espagne,
mercredi. "J’ai tout de suite
su que ce carton jaune (une faute
de main un peu bête devant
Messi), allait me priver de demi-
finale mais je ne pense pas
au titre de meilleur buteur, ça
pourrait être Miroslav Klose.
Inutile de me consoler, j’accepte,
je ne serai pas dans un trou à
cause de ça ; je sais que j’aurai
encore un autre match dans ce
tournoi, c’est le bon côté des choses"
(finale ou match de classement).
Pour cette revanche de la finale
de l’Euro, il reconnaît que ce
sera encore compliqué.
"Quand nous voyons, sur le
plan individuel, la classe des Espagnols
et des Néerlandais,
nous savons que nous ne pouvons
les battre qu’en jouant en
équipe.
"Avec mes copains néerlandais
du Bayern (Van Bommel,
Robben...), nous avons souvent
plaisanté au sujet de la finale de
rêve Allemagne - Pays-Bas.
Si c’est le cas, quand on connaît
l’histoire, il est évident que l’Allemagne
va gagner (rire).
"Mais bon, d’abord il faudra
battre l’Espagne. Avant le match
contre l’Argentine, je disais ;
"On ne va pas encore gagner
4-1 comme contre l’Angleterre".
Alors
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Gravement blessé en finale
de la Cup, Michael Ballack
suit le
formidable parcours de la
Mannschaft depuis les tribunes.
Une situation difficile
à vivre pour le meneur
de jeu de Chelsea :
"Cela me fait mal, j'aurais
moi aussi bien aimé être
sur le terrain, mais c'est le
football. Je pars du principe
qu'on va aller en finale.
Il est important que les joueurs gardent les pieds sur terre et
ne deviennent pas présomptueux. Mais c'est quelque chose
que je ne crains pas, car les gars débordent de confiance en
eux", a assuré Ballack, hier.
Absent samedi
lors de la victoire
sur l’Argentine,
l’attaquant d’origine
brésilienne
est resté aux
soins hier. Cacau
se plaignait de
douleurs abdominales
et demeure
incertain pour la
demi-finale. De
son côté, Sami
Khedira, touché à la cuisse, ne s’est pas entraîné
hier. Une simple précaution pour le milieu de Stuttgart
qui devrait reprendre l’entraînement dès
aujourd’hui.
de la Cup, Michael Ballack
suit le
formidable parcours de la
Mannschaft depuis les tribunes.
Une situation difficile
à vivre pour le meneur
de jeu de Chelsea :
"Cela me fait mal, j'aurais
moi aussi bien aimé être
sur le terrain, mais c'est le
football. Je pars du principe
qu'on va aller en finale.
Il est important que les joueurs gardent les pieds sur terre et
ne deviennent pas présomptueux. Mais c'est quelque chose
que je ne crains pas, car les gars débordent de confiance en
eux", a assuré Ballack, hier.
Absent samedi
lors de la victoire
sur l’Argentine,
l’attaquant d’origine
brésilienne
est resté aux
soins hier. Cacau
se plaignait de
douleurs abdominales
et demeure
incertain pour la
demi-finale. De
son côté, Sami
Khedira, touché à la cuisse, ne s’est pas entraîné
hier. Une simple précaution pour le milieu de Stuttgart
qui devrait reprendre l’entraînement dès
aujourd’hui.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Klose se fiche des records
L’attaquant allemand, Miroslav Klose, a admis que gagner la Coupe du Monde était bien plus important pour lui que d’égaler le record de Ronaldo dans la compétition.
Avec 14 buts marqués dans le prestigieux tournoi depuis le début de sa carrière internationale, le joueur du Bayern Munich est à un but du record de Ronaldo.
Qualifié en demi-finale avec l’Allemagne, Klose a de fortes chances de le battre, mais pour lui ça n’a aucune importance.
« Je ne sais pas si je vais battre le record de Ronaldo et à vrai dire, je m’en fiche, » a-t-il déclaré.
« Je n’y ai pas pensé avant le match (contre l’Allemagne dans lequel il a marqué à deux reprises), je voulais juste gagner.
« Gagner la Coupe du Monde est bien plus important que tous les buts que je peux marquer.
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Une jeunesse conquérante
ALLEMAGNE Özil, Khedira, Boateng: des enfants d’émigrés âgés de 20 ans ont changé l’image de la Mannschaft
"La Mannschaft n’avait
pas une moyenne d’âge
aussi basse depuis
1934." OLIVER BIERHOFF
L’Allemagne a-t-elle jamais
autant attiré la sympathie
que cette année ? Et nous
parlons bien là d’une équipe de
football qui a déjà gagné trois
Coupes du monde (1954, 1974,
1990), mais en apparaissant
commele vilain vainqueur cynique
qui avait mis fin au rêve romantique
des Hongrois ou des
Néerlandais. Sans parler des
quatre finales perdues (1966,
1982, 1986 et 2002), avec un
Schumacher au milieu pour ternir
l’image.
En corrigeant une Argentine
à la vitrine reluisante, avec Messi,
Tevez, Higuain etc..., l’équipe
de Joachim Löw s’est montrée
à l’image de son entraîneur:
jeune,modeste et enthousiaste.
"L’équipe n’est pas seulement
jeune: elle tente aussi d’imposer
un autre style de jeu", explique
Oliver Bierhoff, manager
depuis quatre ans, un rôle inédit
dans une équipe nationale,
qui a déjà donné des idées.
"La Mannschaft n’avait plus affiché
une moyenne d’âge aussi
basse depuis 1934. Elle est de
24,9 ans. Malgré tout, ces
joueurs se comportent déjà de façon
très professionnelle. Par
exemple, au début du Mondial,
tout le monde était là, pour suivre
les deux premiers matches
dans le hall de l’hôtel. Et j’ai été
très surpris de voir que certains
faisaient remarquer que le jeu
allait très vite. Cela prouve
qu’ils sont très concernés."
Cette jeunesse conquérante
est symbolisée, évidemment,
par Thomas Müller, dont nous
parlions hier et qui, suspendu,
devrait être suppléé par Piotr
Trochowski, sorte de Valbuena
d’origine polonaise, autre symbole,
celui de l’intégration
"Nous tentons effectivement
de pratiquer un football plus
sympathique, pas seulement basé
sur le physique, poursuit Oliver
Bierhoff. C’est la volonté du
sélectionneur qui possède désormais
les joueurs pour se le permettre.
Des joueurs d’origine
étrangère que nous voulons intégrer,
un peu comme la France
l’a fait en 1998."
Lucas Podolski, un des cadres
désormais, est lui aussi
d’origine polonaise. Les deux
jeunes de Stuttgart, le milieu Sami
Khedira et le défenseur
Sedar Tasci, 23 ans, sont d’origine
respectivement marocaine
et turque, comme l’élégant Mesut
Özil, qui a brillamment succédé
au Brésilien Diego comme
meneur de jeu du Werder Brême,
à 21 ans.
Il y a encore Toni Kroos,
20 ans, milieu de Leverkusen
ou Marko Marin, 21 ans, du
Werder, le défenseur du
Bayern, Holger Badstuber,
21 ans ou Jerome Boateng,
21 ans, de Hambourg, impressionnant
contre l’Argentine,
qui est évidemment d’origine
ghanéenne, puisque son frère,
Kevin-Prince, a été l’un des
meilleurs joueurs des Black
Stars.
"Ils sont très soudés, même si
la concurrence est rude. Beaucoup
de ces joueurs ont déjà évolué
ensemble et dans ce système
chez les moins de 21 (depuis
3ans, l’Allemagne a été championne
d’Europe des -17 ans,
-19 ans et - 21 ans, Ndlr). Jusqu’ici,
nos supporters ont apprécié.
Le véritable examen, c’est la
Coupe du monde."
Quel que soit le résultat final,
ces jeunes Allemands
conquérants l’ont déjà réussie.
Demi-finalistes, ils ont la mention
bien. Mais ils peuvent décrocher
la mention très bien...
ALLEMAGNE Özil, Khedira, Boateng: des enfants d’émigrés âgés de 20 ans ont changé l’image de la Mannschaft
"La Mannschaft n’avait
pas une moyenne d’âge
aussi basse depuis
1934." OLIVER BIERHOFF
L’Allemagne a-t-elle jamais
autant attiré la sympathie
que cette année ? Et nous
parlons bien là d’une équipe de
football qui a déjà gagné trois
Coupes du monde (1954, 1974,
1990), mais en apparaissant
commele vilain vainqueur cynique
qui avait mis fin au rêve romantique
des Hongrois ou des
Néerlandais. Sans parler des
quatre finales perdues (1966,
1982, 1986 et 2002), avec un
Schumacher au milieu pour ternir
l’image.
En corrigeant une Argentine
à la vitrine reluisante, avec Messi,
Tevez, Higuain etc..., l’équipe
de Joachim Löw s’est montrée
à l’image de son entraîneur:
jeune,modeste et enthousiaste.
"L’équipe n’est pas seulement
jeune: elle tente aussi d’imposer
un autre style de jeu", explique
Oliver Bierhoff, manager
depuis quatre ans, un rôle inédit
dans une équipe nationale,
qui a déjà donné des idées.
"La Mannschaft n’avait plus affiché
une moyenne d’âge aussi
basse depuis 1934. Elle est de
24,9 ans. Malgré tout, ces
joueurs se comportent déjà de façon
très professionnelle. Par
exemple, au début du Mondial,
tout le monde était là, pour suivre
les deux premiers matches
dans le hall de l’hôtel. Et j’ai été
très surpris de voir que certains
faisaient remarquer que le jeu
allait très vite. Cela prouve
qu’ils sont très concernés."
Cette jeunesse conquérante
est symbolisée, évidemment,
par Thomas Müller, dont nous
parlions hier et qui, suspendu,
devrait être suppléé par Piotr
Trochowski, sorte de Valbuena
d’origine polonaise, autre symbole,
celui de l’intégration
"Nous tentons effectivement
de pratiquer un football plus
sympathique, pas seulement basé
sur le physique, poursuit Oliver
Bierhoff. C’est la volonté du
sélectionneur qui possède désormais
les joueurs pour se le permettre.
Des joueurs d’origine
étrangère que nous voulons intégrer,
un peu comme la France
l’a fait en 1998."
Lucas Podolski, un des cadres
désormais, est lui aussi
d’origine polonaise. Les deux
jeunes de Stuttgart, le milieu Sami
Khedira et le défenseur
Sedar Tasci, 23 ans, sont d’origine
respectivement marocaine
et turque, comme l’élégant Mesut
Özil, qui a brillamment succédé
au Brésilien Diego comme
meneur de jeu du Werder Brême,
à 21 ans.
Il y a encore Toni Kroos,
20 ans, milieu de Leverkusen
ou Marko Marin, 21 ans, du
Werder, le défenseur du
Bayern, Holger Badstuber,
21 ans ou Jerome Boateng,
21 ans, de Hambourg, impressionnant
contre l’Argentine,
qui est évidemment d’origine
ghanéenne, puisque son frère,
Kevin-Prince, a été l’un des
meilleurs joueurs des Black
Stars.
"Ils sont très soudés, même si
la concurrence est rude. Beaucoup
de ces joueurs ont déjà évolué
ensemble et dans ce système
chez les moins de 21 (depuis
3ans, l’Allemagne a été championne
d’Europe des -17 ans,
-19 ans et - 21 ans, Ndlr). Jusqu’ici,
nos supporters ont apprécié.
Le véritable examen, c’est la
Coupe du monde."
Quel que soit le résultat final,
ces jeunes Allemands
conquérants l’ont déjà réussie.
Demi-finalistes, ils ont la mention
bien. Mais ils peuvent décrocher
la mention très bien...
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Re: DEUTSCHLAND ..NOUS GAGNONS TJS A LA FIN
Mondial: polémique dans le camp allemand sur le capitanat
mardi 06 juillet 2010 à 21H15
Philip Lahm (à gauche), ici à l'entraînement avec Miroslav Klose, a égratigné l'harmonie qui règne au sein de la sélection allemande depuis le début de la Coupe du monde en disant qu'il n'avait aucune envie de rendre le brassard de capitaine à Michael Ballack, forfait en Afrique du Sud sur blessure.
DURBAN- Philipp Lahm a égratigné l'harmonie qui règne au sein de la sélection allemande depuis le début de la Coupe du monde en disant qu'il n'avait aucune envie de rendre le brassard de capitaine à Michael Ballack, forfait en Afrique du Sud sur blessure.
Les propos de Lahm, publiés mardi dans le journal allemand Bild, ont coïncidé avec le départ de Ballack du camp de base de la Nationalmannschaft.
Le sélectionneur Joachim Löw s'est efforcé de minimiser l'incident mardi soir en conférence de presse à la veille de la demi-finale du Mondial face à l'Espagne.
"Cela ne nous tracasse pas du tout", a déclaré Löw. "Philipp a dit ce qu'il pensait avec honnêteté. Il apprécie la responsabilité supplémentaire qui est la sienne et il a accompli son travail de façon exemplaire."
Philip Lahm a été intronisé capitaine pour la Coupe du monde mais Michael Ballack, qui vient de quitter Chelsea pour le Bayer Leverkusen, reste officiellement le capitaine de l'équipe.
"Philipp a dit qu'il aimerait continuer mais il a aussi dit qu'il savait que la décision reviendrait au sélectionneur après la Coupe du monde", a ajouté Löw pour dépassionner le débat.
LIBERTÉ D'EXPRESSION
Un peu plus tôt, le manager de l'équipe, Oliver Bierhoff avait lui aussi essayé de minimiser la portée des déclarations de Lahm: "Il n'y a pas de dissidence, même pas l'ombre d'un conflit", avait assuré l'ancien attaquant.
Arrivé en Afrique du Sud avant le quart de finale contre l'Argentine, le milieu de terrain est reparti lundi en Europe pour, d'après Joachim Löw, reprendre sa rééducation de la cheville.
"Michael Ballack va bien. Il a été inspecté ici par nos médecins qui ont laissé entendre qu'il pourrait reprendre l'entraînement. Il est rentré pour quelques soins mais il reviendra pour le week-end si nous gagnons demain", a dit le sélectionneur.
Bierhoff avait précisé que le départ de Ballack n'avait rien à voir avec les déclarations du défenseur du Bayern Munich: "C'est une coïncidence malheureuse que le départ de Ballack et les déclarations de Lahm tombent en même temps."
Lahm a déclaré à Bild: "Il est évident que j'aimerais conserver le brassard de capitaine. Ce travail me donne beaucoup de plaisir. Pourquoi devrais-je donc le rendre de ma propre initiative?"
"Quand vous faites votre travail sur le terrain et que tout se passe bien, comme c'est le cas avec moi, vous voulez continuer. Vous voulez plus de responsabilités. Vous voulez vous occuper de tout. C'est mon cas", a-t-il ajouté.
Bierhoff a jugé normales ces déclarations. "Il y a une liberté d'expression au sein de l'équipe et on a besoin de joueurs qui disent ce qu'ils pensent. C'est comme quand un joueur dit qu'il est déçu de ne pas jouer - est-on censé être irrité par le fait qu'il soit déçu?"
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