SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
France/Monde - Coupe du monde 2014 (préparation)
L'Espagne monte en puissance
09/06/2014 05:38
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Un temps incertain pour le Mondial en raison d'une blessure à la cuisse, Diego Costa a réussi un retour encourageant. - (AFP)
Une équipe espagnole peu réaliste mais nettement dominatrice a battu le faible Salvador (2-0) grâce à un doublé de David Villa.

Au-delà du résultat, copie confirme de la sortie face à la la Bolivie (2-0) la semaine dernière à Séville, cette rencontre disputée face à la 68e nation au classement Fifa a permis de voir Diego Costa revenir à la compétition.
A six jours de son entrée en lice face aux Pays-Bas dans le groupe B de la Coupe du monde, la « Roja » s'est rassurée quant à l'état de forme de son attaquant, inquiété par des problèmes musculaires récurrents à une cuisse et qui n'était pas certain d'être du voyage au Brésil.
Dans un stade inondé de soleil, l'Hispano-Brésilien, champion d'Espagne avec l'Atletico Madrid, n'a pas tardé à se mettre en lumière, en obtenant un penalty moins de trois minutes après le coup d'envoi.
Del Bosque a levé certains doutes
Malheureusement pour l'Espagne, Cesc Fabregas n'a pas transformé l'offrande de Costa puisque sa frappe s'est envolée au-dessus de la cage salvadorienne. Les champions du monde et double champions d'Europe en titre ont eu beau faire le siège de la zone adverse, grâce à une possession de balle sans partage, ni Sergio Ramos, ni Fabregas, trop imprécis, n'ont pu faire la différence.
A l'heure de jeu, le revenant Costa pensait avoir retrouvé le chemin des filets adverses, mais le but fut finalement attribué à son coéquipier Villa, entré en jeu après la pause à la place de Fabregas.
La nouvelle recrue du New York City FC a ensuite doublé la mise en fin du match pour donner du relief à une victoire somme toute assez fade.
L'essentiel était ailleurs. Le pari de Vicente Del Bosque, qui avait choisi de titulariser Juanfran, Xavi Alonso et Costa tous trois de retour de blessure, s'est avéré payant. A défaut d'acquérir des certitudes, l'Espagne a levé certains doutes.
Mi-temps : 0-0.
Buts : pour l'Espagne, Villa (60e, 88e).
Espagne : Casillas (De Gea 83e) - Juanfran, Javi Martinez, Ramos, Alba - Koke, Xabi Alonso (Busquets 68e), Iniesta (Silva 46e) - Pedro (Cazorla 46e), Diego Costa (Xavi 74e), Fabregas (Villa 46e).
Entraîneur : Vicente Del Bosque.
L'Espagne monte en puissance
09/06/2014 05:38





Un temps incertain pour le Mondial en raison d'une blessure à la cuisse, Diego Costa a réussi un retour encourageant. - (AFP)
Une équipe espagnole peu réaliste mais nettement dominatrice a battu le faible Salvador (2-0) grâce à un doublé de David Villa.

![]() | Une bien jolie promesse |
![]() | L'Angleterre patine face au Honduras |
A six jours de son entrée en lice face aux Pays-Bas dans le groupe B de la Coupe du monde, la « Roja » s'est rassurée quant à l'état de forme de son attaquant, inquiété par des problèmes musculaires récurrents à une cuisse et qui n'était pas certain d'être du voyage au Brésil.
Dans un stade inondé de soleil, l'Hispano-Brésilien, champion d'Espagne avec l'Atletico Madrid, n'a pas tardé à se mettre en lumière, en obtenant un penalty moins de trois minutes après le coup d'envoi.
Del Bosque a levé certains doutes
Malheureusement pour l'Espagne, Cesc Fabregas n'a pas transformé l'offrande de Costa puisque sa frappe s'est envolée au-dessus de la cage salvadorienne. Les champions du monde et double champions d'Europe en titre ont eu beau faire le siège de la zone adverse, grâce à une possession de balle sans partage, ni Sergio Ramos, ni Fabregas, trop imprécis, n'ont pu faire la différence.
A l'heure de jeu, le revenant Costa pensait avoir retrouvé le chemin des filets adverses, mais le but fut finalement attribué à son coéquipier Villa, entré en jeu après la pause à la place de Fabregas.
La nouvelle recrue du New York City FC a ensuite doublé la mise en fin du match pour donner du relief à une victoire somme toute assez fade.
L'essentiel était ailleurs. Le pari de Vicente Del Bosque, qui avait choisi de titulariser Juanfran, Xavi Alonso et Costa tous trois de retour de blessure, s'est avéré payant. A défaut d'acquérir des certitudes, l'Espagne a levé certains doutes.
Mi-temps : 0-0.
Buts : pour l'Espagne, Villa (60e, 88e).
Espagne : Casillas (De Gea 83e) - Juanfran, Javi Martinez, Ramos, Alba - Koke, Xabi Alonso (Busquets 68e), Iniesta (Silva 46e) - Pedro (Cazorla 46e), Diego Costa (Xavi 74e), Fabregas (Villa 46e).
Entraîneur : Vicente Del Bosque.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Coupe du monde : L'Espagne, plus forte valeur marchande
A l'heure de l'ouverture du marché des transferts (mardi à 00h00), une étude évalue la valeur des effectifs des 32 qualifiés pour la Coupe du monde. La France (4e) affrontera dimanche la moins "bankable" des sélections présentes au Brésil : le Honduras.
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Transfermarkt a calculé que les 23 Espagnols "pésent" 671 millions d'euros. (L'Equipe)

L'Espagne est la sélection dont la valeur marchande est la plus élevée au Mondial 2014, selon une étude de Transfermarkt, une des références européennes dans l'estimation de la valeur des joueurs. Son étude, citée par le magazine américain Time, estime à 916 millions de dollars (671 ME) le prix cumulé des 23 joueurs de la Roja. Dans ce classement des équipes les plus chères, l'Allemagne se place 2e (606 ME) devant le Brésil (504 ME), la France (445 ME) et l'Argentine (423 ME).
La valeur des 23 joueurs espagnols compte pour 9,5% de la totalité des 32 pays qualifiés, Transfertmarkt accordant seulement une valeur marchande de 0,32% au Honduras, premier adversaire des Bleus, dimanche à Porto Alegre et effectif le moins "bankable" du marché selon ses calculs. Transfertmarkt évalue chaque joueur au regard de ses performances individuelles, de la valeur de son club, de son expérience internationale, de ses contrats précédents et de son âge.
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Transfermarkt a calculé que les 23 Espagnols "pésent" 671 millions d'euros. (L'Equipe)

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La valeur des 23 joueurs espagnols compte pour 9,5% de la totalité des 32 pays qualifiés, Transfertmarkt accordant seulement une valeur marchande de 0,32% au Honduras, premier adversaire des Bleus, dimanche à Porto Alegre et effectif le moins "bankable" du marché selon ses calculs. Transfertmarkt évalue chaque joueur au regard de ses performances individuelles, de la valeur de son club, de son expérience internationale, de ses contrats précédents et de son âge.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Espagne
606,00Allemagne
504,00Brésil
445,00France
423,00Argentine
377,00Belgique
362,00Suisse
350,00Italie
322,00Portugal
236,00Uruguay
225,00Pays-Bas
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aladin- Messages : 115038
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Espagne : Tous présents au premier entraînement
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L'équipe d'Espagne, au grand complet, s'est entraînée pour la première fois sur le sol brésilien lundi, au camp d'entraînement de l'Atletico Paranaense, au lendemain de son arrivée au camp de base de Curitiba. Les joueurs de l'Atlético, Diego Costa et Juanfran, dont la participation au Mondial avait un moment été incertaine, ont pris part à la séance d'un peu plus d'une heure. Les Barcelonais Jordi Alba, qui avait des ampoules à un pied, et Gerard Piqué, de retour d'une blessure à la hanche, se sont également entraînés. L'Espagne débutera la défense de son titre vendredi contre les Pays-Bas.
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L'équipe d'Espagne, au grand complet, s'est entraînée pour la première fois sur le sol brésilien lundi, au camp d'entraînement de l'Atletico Paranaense, au lendemain de son arrivée au camp de base de Curitiba. Les joueurs de l'Atlético, Diego Costa et Juanfran, dont la participation au Mondial avait un moment été incertaine, ont pris part à la séance d'un peu plus d'une heure. Les Barcelonais Jordi Alba, qui avait des ampoules à un pied, et Gerard Piqué, de retour d'une blessure à la hanche, se sont également entraînés. L'Espagne débutera la défense de son titre vendredi contre les Pays-Bas.
aladin- Messages : 115038
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
il faut respecter tous les adversaires".
Et en premier lieu l'Espagne, qui reste sur une trilogie inédite Euro-2008/Mondial-2010/Euro-2012. On dit la "Roja" vieillissante. Les maîtres à jouer Xavi et Iniesta ont-ils dit leur dernier mot? Et d'un autre côté, Diego Costa, le "traître brésilien" qui a choisi l'Espagne, supportera-t-il la pression?
Et en premier lieu l'Espagne, qui reste sur une trilogie inédite Euro-2008/Mondial-2010/Euro-2012. On dit la "Roja" vieillissante. Les maîtres à jouer Xavi et Iniesta ont-ils dit leur dernier mot? Et d'un autre côté, Diego Costa, le "traître brésilien" qui a choisi l'Espagne, supportera-t-il la pression?
aladin- Messages : 115038
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
«Tout va bien» pour Diego Costa
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Diego Costa est de retour dans son pays de naissance. (L'Equipe)

Diego Costa, l'attaquant de l'équipe d'Espagne Brésilien de naissance, se sent «bien traité» depuis son arrivée à Curitiba, où la Roja a son camp de base durant le Mondial. «Beaucoup de gens comprennent ce que j'ai fait. Tout va bien pour moi. On me traite bien, de la façon que j'attendais», a assuré mardi l'attaquant de l'Atletico Madrid. «Mes parents sont très contents que je sois au Brésil, près d'eux. Ils appuient ma décision. Les gens me traitent de façon spéciale, je me sens très à l'aise. C'est un moment agréable, je dois en être reconnaissant», a-t-il ajouté
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Diego Costa est de retour dans son pays de naissance. (L'Equipe)

Diego Costa, l'attaquant de l'équipe d'Espagne Brésilien de naissance, se sent «bien traité» depuis son arrivée à Curitiba, où la Roja a son camp de base durant le Mondial. «Beaucoup de gens comprennent ce que j'ai fait. Tout va bien pour moi. On me traite bien, de la façon que j'attendais», a assuré mardi l'attaquant de l'Atletico Madrid. «Mes parents sont très contents que je sois au Brésil, près d'eux. Ils appuient ma décision. Les gens me traitent de façon spéciale, je me sens très à l'aise. C'est un moment agréable, je dois en être reconnaissant», a-t-il ajouté
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Busquets se méfie des Néerlandais
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Sergio Busquets, le milieu de l'Espagne, a indiqué mardi qu'il se méfiait des Néerlandais, leurs premiers adversaires au Mondial (vendredi à 21h00). «Ils auront un système de jeu différent, avec cinq défenseurs et opérant en contres. Nous devons contrôler leurs contres et leurs joueurs les plus dangereux, Robben, Van Persie et Sneijder. Plus nous aurons la possession, plus nous rendrons fluide la circulation du ballon et plus ce sera facile pour nous. Nous aurons alors un avantage sur notre adversaire. Nous devons nous offrir de la tranquillité avant les autres matches.» Dans le groupe B, l'Espagne affrontera ensuite le Chili et l'Australie.
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Sergio Busquets, le milieu de l'Espagne, a indiqué mardi qu'il se méfiait des Néerlandais, leurs premiers adversaires au Mondial (vendredi à 21h00). «Ils auront un système de jeu différent, avec cinq défenseurs et opérant en contres. Nous devons contrôler leurs contres et leurs joueurs les plus dangereux, Robben, Van Persie et Sneijder. Plus nous aurons la possession, plus nous rendrons fluide la circulation du ballon et plus ce sera facile pour nous. Nous aurons alors un avantage sur notre adversaire. Nous devons nous offrir de la tranquillité avant les autres matches.» Dans le groupe B, l'Espagne affrontera ensuite le Chili et l'Australie.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Ramos et Piqué associés
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Vicente del Bosque a profité du deuxième entraînement de son équipe au Brésil, mardi à Curitiba, pour tester le duo Gerard Piqué et Sergio Ramos en charnière centrale, après avoir associé ce dernier à Javi Martinez la veille. Environ 2 000 personnes étaient présentes pour assister à une opposition entre deux équipes espagnoles, dont l'un préfigure ce que pourrait être le onze titulaire, vendredi (21h00) à Salvador de Bahia contre les Pays-Bas (groupe B).
L'équipe alignée par Del Bosque :
Casillas - Azpilicueta, Ramos, Piqué, Alba - David Silva, Xavi, Busquets, Fabregas - Pedro, Torres.
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Vicente del Bosque a profité du deuxième entraînement de son équipe au Brésil, mardi à Curitiba, pour tester le duo Gerard Piqué et Sergio Ramos en charnière centrale, après avoir associé ce dernier à Javi Martinez la veille. Environ 2 000 personnes étaient présentes pour assister à une opposition entre deux équipes espagnoles, dont l'un préfigure ce que pourrait être le onze titulaire, vendredi (21h00) à Salvador de Bahia contre les Pays-Bas (groupe B).
L'équipe alignée par Del Bosque :
Casillas - Azpilicueta, Ramos, Piqué, Alba - David Silva, Xavi, Busquets, Fabregas - Pedro, Torres.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Espagne - Pays-Bas. 13 juin à Salvador de Bahia. Groupe B[/size]
Iniesta et les Espagnols tenteront de conserver leur titre. | Reuters
Outre le fait qu'il s'agisse de l'entrée en compétition du tenant du titre, l'Espagne, c'est surtout le remake de la finale de la dernière Coupe du monde. Le maître à jouer de la sélection et du FC Barcelone, Andrès Iniesta, avait alors donné la victoire à la Roja face aux rugueux Oranje.
Après avoir conservé l'Euro (2008 et 2012), la sélection de Vicente del Bosque tentera de conserver son titre mondial. Seul le Brésil a réussi cet exploit auparavant (1958-1962).
La Roja se lance à la conquête d'un historique triplé Mondial-Euro-Mondial. Les Espagnols pourront compter sur un milieu de terrain frôlant la perfection avec un mélange entre expérience (Iniesta, Xavi, Fabregas, Xabi Alonso, Busquets, David Silva) et jeunesse (Koke, Javi Martniez).
De leur côté, les Oranje pourront s'appuyer sur l'expérience de son secteur offensif avec Robin Van Persie et Arjen Robben, mais aussi sur un effectif rajeuni en masse. Cillessen, Janmaat, Veltman, De Vrij ou encore Martins Indi devraient ainsi faire office de titulaires.

Outre le fait qu'il s'agisse de l'entrée en compétition du tenant du titre, l'Espagne, c'est surtout le remake de la finale de la dernière Coupe du monde. Le maître à jouer de la sélection et du FC Barcelone, Andrès Iniesta, avait alors donné la victoire à la Roja face aux rugueux Oranje.
Après avoir conservé l'Euro (2008 et 2012), la sélection de Vicente del Bosque tentera de conserver son titre mondial. Seul le Brésil a réussi cet exploit auparavant (1958-1962).
La Roja se lance à la conquête d'un historique triplé Mondial-Euro-Mondial. Les Espagnols pourront compter sur un milieu de terrain frôlant la perfection avec un mélange entre expérience (Iniesta, Xavi, Fabregas, Xabi Alonso, Busquets, David Silva) et jeunesse (Koke, Javi Martniez).
De leur côté, les Oranje pourront s'appuyer sur l'expérience de son secteur offensif avec Robin Van Persie et Arjen Robben, mais aussi sur un effectif rajeuni en masse. Cillessen, Janmaat, Veltman, De Vrij ou encore Martins Indi devraient ainsi faire office de titulaires.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Les Espagnols à fond dans le Mondial !
L?ambiance promet d?être chaude au Hogar espagnol. (archive N. Sabathier)
"Le Hogar espagnol est ouvert à tous. Ce n’est pas réservé qu’aux Espagnols", promet Jérôme Parada, représentant des Espagnols de Pau. La grande salle du quartier du XIV-Juillet (3 rue Marcel-Barthes), qui peut recevoir jusqu’à 300 personnes promet de vibrer au rythme de la Roja mais aussi des Bleus. Au menu : de la chaude ambiance, notamment pour tous les matchs avec l’Argentine, le Brésil mais aussi une buvette et, forcément, des tapas.

"Le Hogar espagnol est ouvert à tous. Ce n’est pas réservé qu’aux Espagnols", promet Jérôme Parada, représentant des Espagnols de Pau. La grande salle du quartier du XIV-Juillet (3 rue Marcel-Barthes), qui peut recevoir jusqu’à 300 personnes promet de vibrer au rythme de la Roja mais aussi des Bleus. Au menu : de la chaude ambiance, notamment pour tous les matchs avec l’Argentine, le Brésil mais aussi une buvette et, forcément, des tapas.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Espagne - Pays-Bas : le remake de la finale 2010 en entrée
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Publié le 13/06/2014 à 06h00 , modifié le 13/06/2014 à 08h21
Les finalistes de 2010 s’affrontent pour un match qui vaut déjà cher. Mais en quatre ans, les deux équipes ont bien changé.
Andres Iniesta, auteur du but décisif en finale face aux Pays-Bas il y a quatre ans. © Photo
photo afp

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C
e soir à Salvador c'est par le plat de résistance que s'ouvre le menu du groupe B. « Je souffre toujours en repensant à la finale de 2010, avoue le meneur néerlandais Sneijder. La cicatrice n'est pas refermée. Nous étions si proches du but ! » La finale de la dernière Coupe du monde entre les deux équipes (1-0 pour l'Espagne après prolongation) reste évidemment dans toutes les têtes. Mais entre l'Afrique du Sud et le Brésil, il y a un océan.

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Pour chaque équipe, il s'agira d'abord de terminer en tête de la poule pour éviter le Brésil, grand favori du groupe A, dès les huitièmes de finale. Le calibre de l'adversaire écrase ainsi la rengaine d'un premier match qui serait forcément le plus important : l'Espagne avait perdu le sien en 2010 (1-0 face à la Suisse) avant de finir couronnée… « Nous voulons entrer du bon pied dans cette compétition, cela nous permettrait d'engranger davantage de confiance pour conserver le titre », nuance cependant le milieu Javi Martinez.
Mais depuis la dernière finale, le panorama a changé. La Roja a perdu en finale de la Coupe des Confédérations (3-0 face au Brésil) et le FC Barcelone de sa superbe… Alors on abdique ce jeu qui paraît moins léthal ? Pas question : le fameux tiki-taca, ou toque, fait de possession et de passes courtes, a tout de même permis de conquérir un triplé historique (Euro 2008, Mondial 2010, Euro2012) et demeure le fondement de la Seleccion. Del Bosque continue aussi de s'appuyer sur la même ossature : Casillas, Ramos, Piqué, Busquets, Xabi Alonso, Xavi, Iniesta. « Nous avons neuf ou dix joueurs fixes », a-t-il reconnu.
Reste cependant l'éternelle question de la pointe de l'attaque. Plutôt qu'au « faux 9 » Fabregas utilisé à l'Euro-2012, la tendance est à un avant-centre de métier, Torres ou Diego Costa.
Les Oranje en contre
Côté Pays-Bas, les stars offensives Sneijder, Van Persie et Robben sont toujours là, notamment derrière, cinq illustres inconnus (lire par ailleurs). Oui, cinq défenseurs ! Exit le 4-3-3, marque déposée des Néerlandais. Le sélectionneur Louis van Gaal estime que « jouer avec trois attaquants et seulement quatre défenseurs face à l'Espagne, c'est aller au casse-pipe ».
Il compte défendre à huit et miser sur des contre-attaques et des exploits de ses individualités offensives. « J'ai une totale confiance dans le choix de l'entraîneur d'évoluer de la sorte, abonde Sneijder. Lors des trois derniers matches amicaux (Équateur, Ghana et pays de Galles), nous n'avons concédé aucune occasion en 270 minutes et nous nous sommes créés de nombreuses possibilités en contre. » Sera-ce suffisant face à l'Espagne, qui n'est pas tout à fait du même calibre ?
C’est qui ces Bataves ?
Les cinq défenseurs que les Pays-Bas aligneront ce soir sont quasiment inconnus, même pour les amateurs de football. Petite présentation pour mieux s’y retrouver ce soir.
Daryl Janmaat (Feyenoord, 24 ans). Il profite de la blessure de ses concurrents au poste d’arrière droit (Van der Wiel, etc). Défenseur très offensif, il a cette saison inscrit trois buts et délivré près d’une dizaine de passes décisives en Championnat.
Stefan de Vrij (Feyenoord, 22 ans). Cet arrière central droitier est le grand espoir du football néerlandais. Il pourrait même devenir son futur patron. Malgré son jeune âge, il est depuis deux saisons le capitaine du Feyenoord. Courtisé par Schalke 04, Liverpool, Tottenham et Manchester United, il ne devrait pas rester longtemps méconnu du grand public.
Ron Vlaar (Aston Villa, 29 ans). Patron de la défense, il est le seul à évoluer à l’étranger et aussi le seul rescapé de l’Euro 2012 où il avait joué deux des trois matches perdus par les Pays-Bas.
Bruno Martins Indi (Feyenoord, 22 ans). Le quatrième des cinq défenseurs néerlandais issus de Feyenoord. Gaucher, capable d’évoluer dans l’axe ou sur le côté, ce natif du Portugal est réputé pour son caractère affirmé et jovial. Il n’hésite jamais à se frotter aux anciens, comme à Robben avec qui il a eu une altercation cette semaine. Il serait le chouchou de Van Gaal.
Daley Blind (Ajax Amsterdam, 24 ans). Fils de Danny Blind, ancienne gloire de l’Ajax et aujourd’hui entraîneur-adjoint des… Pays-Bas, Daley est le prototype du joueur polyvalent. À Amsterdam, il évolue tantôt en défense centrale, en milieu défensif ou à l’arrière gauche. C’est à cette place que Van Gaal a décidé de l’employer en sélection.
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Publié le 13/06/2014 à 06h00 , modifié le 13/06/2014 à 08h21
Les finalistes de 2010 s’affrontent pour un match qui vaut déjà cher. Mais en quatre ans, les deux équipes ont bien changé.

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e soir à Salvador c'est par le plat de résistance que s'ouvre le menu du groupe B. « Je souffre toujours en repensant à la finale de 2010, avoue le meneur néerlandais Sneijder. La cicatrice n'est pas refermée. Nous étions si proches du but ! » La finale de la dernière Coupe du monde entre les deux équipes (1-0 pour l'Espagne après prolongation) reste évidemment dans toutes les têtes. Mais entre l'Afrique du Sud et le Brésil, il y a un océan.

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Pour chaque équipe, il s'agira d'abord de terminer en tête de la poule pour éviter le Brésil, grand favori du groupe A, dès les huitièmes de finale. Le calibre de l'adversaire écrase ainsi la rengaine d'un premier match qui serait forcément le plus important : l'Espagne avait perdu le sien en 2010 (1-0 face à la Suisse) avant de finir couronnée… « Nous voulons entrer du bon pied dans cette compétition, cela nous permettrait d'engranger davantage de confiance pour conserver le titre », nuance cependant le milieu Javi Martinez.
Mais depuis la dernière finale, le panorama a changé. La Roja a perdu en finale de la Coupe des Confédérations (3-0 face au Brésil) et le FC Barcelone de sa superbe… Alors on abdique ce jeu qui paraît moins léthal ? Pas question : le fameux tiki-taca, ou toque, fait de possession et de passes courtes, a tout de même permis de conquérir un triplé historique (Euro 2008, Mondial 2010, Euro2012) et demeure le fondement de la Seleccion. Del Bosque continue aussi de s'appuyer sur la même ossature : Casillas, Ramos, Piqué, Busquets, Xabi Alonso, Xavi, Iniesta. « Nous avons neuf ou dix joueurs fixes », a-t-il reconnu.
Reste cependant l'éternelle question de la pointe de l'attaque. Plutôt qu'au « faux 9 » Fabregas utilisé à l'Euro-2012, la tendance est à un avant-centre de métier, Torres ou Diego Costa.
Les Oranje en contre
Côté Pays-Bas, les stars offensives Sneijder, Van Persie et Robben sont toujours là, notamment derrière, cinq illustres inconnus (lire par ailleurs). Oui, cinq défenseurs ! Exit le 4-3-3, marque déposée des Néerlandais. Le sélectionneur Louis van Gaal estime que « jouer avec trois attaquants et seulement quatre défenseurs face à l'Espagne, c'est aller au casse-pipe ».
Il compte défendre à huit et miser sur des contre-attaques et des exploits de ses individualités offensives. « J'ai une totale confiance dans le choix de l'entraîneur d'évoluer de la sorte, abonde Sneijder. Lors des trois derniers matches amicaux (Équateur, Ghana et pays de Galles), nous n'avons concédé aucune occasion en 270 minutes et nous nous sommes créés de nombreuses possibilités en contre. » Sera-ce suffisant face à l'Espagne, qui n'est pas tout à fait du même calibre ?
C’est qui ces Bataves ?
Les cinq défenseurs que les Pays-Bas aligneront ce soir sont quasiment inconnus, même pour les amateurs de football. Petite présentation pour mieux s’y retrouver ce soir.
Daryl Janmaat (Feyenoord, 24 ans). Il profite de la blessure de ses concurrents au poste d’arrière droit (Van der Wiel, etc). Défenseur très offensif, il a cette saison inscrit trois buts et délivré près d’une dizaine de passes décisives en Championnat.
Stefan de Vrij (Feyenoord, 22 ans). Cet arrière central droitier est le grand espoir du football néerlandais. Il pourrait même devenir son futur patron. Malgré son jeune âge, il est depuis deux saisons le capitaine du Feyenoord. Courtisé par Schalke 04, Liverpool, Tottenham et Manchester United, il ne devrait pas rester longtemps méconnu du grand public.
Ron Vlaar (Aston Villa, 29 ans). Patron de la défense, il est le seul à évoluer à l’étranger et aussi le seul rescapé de l’Euro 2012 où il avait joué deux des trois matches perdus par les Pays-Bas.
Bruno Martins Indi (Feyenoord, 22 ans). Le quatrième des cinq défenseurs néerlandais issus de Feyenoord. Gaucher, capable d’évoluer dans l’axe ou sur le côté, ce natif du Portugal est réputé pour son caractère affirmé et jovial. Il n’hésite jamais à se frotter aux anciens, comme à Robben avec qui il a eu une altercation cette semaine. Il serait le chouchou de Van Gaal.
Daley Blind (Ajax Amsterdam, 24 ans). Fils de Danny Blind, ancienne gloire de l’Ajax et aujourd’hui entraîneur-adjoint des… Pays-Bas, Daley est le prototype du joueur polyvalent. À Amsterdam, il évolue tantôt en défense centrale, en milieu défensif ou à l’arrière gauche. C’est à cette place que Van Gaal a décidé de l’employer en sélection.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON

Le 13/06/2014 à 09:36:00 | Mis à jour le 13/06/2014 à 09:45:57
Foot
Coupe du Monde Revue de presse: L'Espagne gonflée à bloc avant le choc contre les Pays-Bas
Pour leur entrée dans la compétition (vendredi, 21h00), les médias espagnols se montrent plus que confiants dans une victoire de leur sélection. Côté néerlandais, on craint une déferlante de la Roja et on mise beaucoup sur le sens tactique du sélectionneur Louis van Gaal pour s'en sortir.
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La confiance n'est pas la même dans les médias espagnols et néerlandais ce vendredi. (D.R)

«La couleur orange a perdu de sa force» Pour cette première rencontre contre les Néerlandais, l'Espagne championne du monde part ultra favorite. C'est en tout cas ce que semble sous-entendre la presse ibérique. Même le très sérieux El País ironise à propos de l'adversaire : «La couleur orange a perdu de sa force.»
Le quotidien revient longuement sur la méthode de Louis van Gaal, un sélectionneur «extrêmement rigoureux (...) qui dispose déjà d'un plan pour chaque match du mondial». Van Gaal, «le parfait maître d'école», est capable de «fabriquer des automates» et de mettre en place des tactiques pour vaincre des joueurs «même de qualité supérieure», souligne le journal. Son concurrent El Mundo rappelle «le très gros danger» que représentent Van Persie, Robben et Sneijder, «les trois d'en haut» chez les Néerlandais.
«Silence, le champion joue»
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Du côté des journaux sportifs, la confiance est au plus haut. AS prévient ainsi les adversaires potentiels de la Roja : «Silence, le champion joue.» Et de citer le coach Vicente Del Bosque : «Nous n’avons peur de personne.» Marca, de son côté, s’adresse à ses joueurs avant «le plus grand défi de leur histoire, remporter une quatrième compétition internationale d’affilée» avec un magistral «On y croit» en une.
Le quotidien La Razon se montre lui plus poétique en titrant : «L’Espagne se reprend à rêver.»
Un « défi énorme » pour les Néerlandais
Du côté des Pays-Bas, le rêve se veut bien plus réaliste, comme en témoigne cette interview de Van Persie parue dans les colonnes du quotidien De Telegraaf. «Commencer par un match contre l'Espagne, c'est un défi énorme. Il faut dire que c'est une des meilleures équipes du monde», tient à rappeler l’attaquant des Orange. Avant d'ajouter : «Mais nous aussi, nous avons des qualités. On pourra dire que la Coupe du monde a été une réussite si à la fin on fait le bilan, et si on se dit que nous avons réalisé un beau tournoi.»
De son côté, le quotidien Trouw analyse le système mis en place par Louis Van Gaal pour ce soir. La formation néerlandaise doit permettre «de piéger des Espagnols habiles grâce à un cercle de défenseurs et de milieux de terrain». Mais quoi qu'il arrive, «ses joueurs doivent rester dans la trame prévue et finalement "saisir les adversaires à la gorge"» en fin de match, comme Van Gaal le dit lui-même, conclut le journal.
Dans tous les cas, si les Orange ne veulent pas perdre tout espoir avant même le coup d’envoi, ils ne devront pas lire le quotidien régional Leidsch Dagblad. Celui-ci rapporte que les Néerlandais ont un lapin qui prévoit les résultats des matchs, comme le célèbre Paul le Poulpe en 2008 et 2010. Il avait déjà fait ses preuves lors de l'Eurovision et lors de la Ligue des champions, explique le journal. Et pour le match de ce soir, il prévoit une victoire... de l'Espagne.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Espagne- Pays-Bas: larevanche
GROUPE B La Roja tenantedu titre affronte d’entrée sonadversaire lors de la finaledumondial sud-africainen 2010

GROUPE B La Roja tenantedu titre affronte d’entrée sonadversaire lors de la finaledumondial sud-africainen 2010

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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Mondial: les Pays-Bas supplicient l'Espagne
Publié le 13/06/2014 à 23:05, Mis à jour le 14/06/2014 à 00:04

Iker Casillas dépité après le 4e but des Pays-Bas inscrit par Robin van Persie, à Salvador, au premier tour du groupe B du Mondial. Javier Soriano / AFP




Une révolte, une révolution ? Les champions du monde espagnols se sont fait écraser 5-1 dès leur entrée en lice vendredi dans le Mondial-2014, par des Pays-Bas prenant symboliquement leur revanche sur la finale de la Coupe du monde 2010.

Les Néerlandais prennent ainsi une belle option pour la tête du groupe B et éviter ainsi, a priori, une finale avant la lettre face au Brésil, grand favori de la poule A. Quant aux hommes de Vicente Del Bosque, il s'agit déjà de sortir du trou face au Chili et à l'Australie.
Il n'a fallu attendre que le troisième match du tournoi brésilien pour assister à la première énorme surprise, d'une ampleur inédite pour un tenant du titre. Surtout quand il est en outre double champion d'Europe ! Forcément, le trône espagnole vacille et perd subitement de sa superbe.
Forcément, aussi, on se souvient que la Roja avait perdu son premier match lors du Mondial sud-africain (1-0 face à la Suisse). Une défaite expliquée par la thèse de l'accident ou du hold-up au vu du jeu à sens unique pour les Espagnols ce jour-là. Celle de vendredi ressemble plutôt à une abdication.
- Abdication ? -
Car peu après le roi Juan Carlos, c'est la Seleccion qui a semblé abandonner sa couronne lors d'une seconde période insipide, après une première déjà terne. Elle a montré les limites de son fameux jeu de possession quand il n'a pas de conclusion et ainsi souffert.
Elle a pourtant ouvert la marque par Xabi Alonso sur penalty (27e), mais a encaissé ensuite deux doublés de Van Persie et Robben et un but de Vrij. Souffert ? Un martyre !
La correction se matérialisait par quelques séquences humiliantes où le public accompagnait les passes néerlandaises de "olé!" ! La Roja toréée par le pays des tulipes !
Les Néerlandais ont observé, respecté les champions du monde en première période. Mais l'égalisation de Van Persie, d'une superbe tête plongeante et lobée (44e), les libérait.
- Casillas rampant -
A eux la direction du jeu, à eux les occasions, et à eux les buts. Et les effluves de la revanche, pour Robben surtout. Le grand malheureux de la finale de 2010 s'est cette fois amusé avec un doublé, en se jouant d'abord de Piqué (53e), puis de Casillas qu'il met à terre, fait presque ramper avant de le fusiller au bout d'une attaque fulgurante (80e).
La gardien et capitaine espagnol était d'ailleurs le principal supplicié de la bande à Vicente Del Bosque, auteur d'une mauvaise sortie, gêné par Van Persie, dont bénéficiait De Vrij pour le 2-1 (65e), puis d'une faute grossière dont profitait Van Persie pour signer le 3-1 (72e) qui tue. Le capitaine néerlandais, élu homme du match, a même expédié une demi-volée puissante sur la barre (60e).
Et le public était heureux ! Il y avait des rouges façon Roja, des "Oranje" et des jaunes, les locaux, qui avaient pris fait et cause pour les Néerlandais. Les Brésiliens nourrissaient certes de la sympathie pour les stars Xavi et Iniesta, mais leur rancoeur contre Diego Costa s'avérait plus forte.
Le nom du Brésilien naturalisé espagnol, qui a disputé deux matches amicaux avec la Seleçao avant de choisir la Seleccion, a d'abord été copieusement sifflé. A chaque touche de balle, le buteur était ensuite sifflé et le public a même entonné plusieurs fois un "Diego, viado !" (Diego, pédé!)...
Et comme si sa "trahison" ne suffisait pas, l'attaquant obtenait un penalty très litigieux, en retombant sur la jambe de De Vrij... Bronca monumentale pour le tireur, Xabi Alonso, qui exécutait la sentence (27e).
L'égalisation a donné lieu a une grosse explosion de joie. Puis ces "olé !"...
Publié le 13/06/2014 à 23:05, Mis à jour le 14/06/2014 à 00:04

Iker Casillas dépité après le 4e but des Pays-Bas inscrit par Robin van Persie, à Salvador, au premier tour du groupe B du Mondial. Javier Soriano / AFP




Une révolte, une révolution ? Les champions du monde espagnols se sont fait écraser 5-1 dès leur entrée en lice vendredi dans le Mondial-2014, par des Pays-Bas prenant symboliquement leur revanche sur la finale de la Coupe du monde 2010.

Les Néerlandais prennent ainsi une belle option pour la tête du groupe B et éviter ainsi, a priori, une finale avant la lettre face au Brésil, grand favori de la poule A. Quant aux hommes de Vicente Del Bosque, il s'agit déjà de sortir du trou face au Chili et à l'Australie.
Il n'a fallu attendre que le troisième match du tournoi brésilien pour assister à la première énorme surprise, d'une ampleur inédite pour un tenant du titre. Surtout quand il est en outre double champion d'Europe ! Forcément, le trône espagnole vacille et perd subitement de sa superbe.
Forcément, aussi, on se souvient que la Roja avait perdu son premier match lors du Mondial sud-africain (1-0 face à la Suisse). Une défaite expliquée par la thèse de l'accident ou du hold-up au vu du jeu à sens unique pour les Espagnols ce jour-là. Celle de vendredi ressemble plutôt à une abdication.
- Abdication ? -
Car peu après le roi Juan Carlos, c'est la Seleccion qui a semblé abandonner sa couronne lors d'une seconde période insipide, après une première déjà terne. Elle a montré les limites de son fameux jeu de possession quand il n'a pas de conclusion et ainsi souffert.
Elle a pourtant ouvert la marque par Xabi Alonso sur penalty (27e), mais a encaissé ensuite deux doublés de Van Persie et Robben et un but de Vrij. Souffert ? Un martyre !
La correction se matérialisait par quelques séquences humiliantes où le public accompagnait les passes néerlandaises de "olé!" ! La Roja toréée par le pays des tulipes !
Les Néerlandais ont observé, respecté les champions du monde en première période. Mais l'égalisation de Van Persie, d'une superbe tête plongeante et lobée (44e), les libérait.
- Casillas rampant -
A eux la direction du jeu, à eux les occasions, et à eux les buts. Et les effluves de la revanche, pour Robben surtout. Le grand malheureux de la finale de 2010 s'est cette fois amusé avec un doublé, en se jouant d'abord de Piqué (53e), puis de Casillas qu'il met à terre, fait presque ramper avant de le fusiller au bout d'une attaque fulgurante (80e).
La gardien et capitaine espagnol était d'ailleurs le principal supplicié de la bande à Vicente Del Bosque, auteur d'une mauvaise sortie, gêné par Van Persie, dont bénéficiait De Vrij pour le 2-1 (65e), puis d'une faute grossière dont profitait Van Persie pour signer le 3-1 (72e) qui tue. Le capitaine néerlandais, élu homme du match, a même expédié une demi-volée puissante sur la barre (60e).
Et le public était heureux ! Il y avait des rouges façon Roja, des "Oranje" et des jaunes, les locaux, qui avaient pris fait et cause pour les Néerlandais. Les Brésiliens nourrissaient certes de la sympathie pour les stars Xavi et Iniesta, mais leur rancoeur contre Diego Costa s'avérait plus forte.
Le nom du Brésilien naturalisé espagnol, qui a disputé deux matches amicaux avec la Seleçao avant de choisir la Seleccion, a d'abord été copieusement sifflé. A chaque touche de balle, le buteur était ensuite sifflé et le public a même entonné plusieurs fois un "Diego, viado !" (Diego, pédé!)...
Et comme si sa "trahison" ne suffisait pas, l'attaquant obtenait un penalty très litigieux, en retombant sur la jambe de De Vrij... Bronca monumentale pour le tireur, Xabi Alonso, qui exécutait la sentence (27e).
L'égalisation a donné lieu a une grosse explosion de joie. Puis ces "olé !"...
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Humiliation mondiale» pour la presse espagnole
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La presse espagnole est sous le choc. (D.R)
Les journaux espagnols n'ont pas été tendres avec la sélection espagnole, balayée par les Pays-Bas vendredi soir (5-1). Vendredi en fin de soirée, on pouvait ainsi lire sur les sites internet des principaux médias espagnols des titres saignants. «Humiliation mondiale», pour Marca en Une et en commentaire : «Les cadeaux de Casillas et de la défense, ajoutés au chaos tactique créé par les changements, ont provoqué une raclée scandaleuse, un 1-5 à oublier.» «Le pire cauchemar du champion», titre pour sa part AS, pour lequel «Robben et Van Persie, avec deux buts chacun, ont détruit la sélection espagnole».
Côté Catalan, on est une fois n'est pas coutume d'accord. «Pire, impossible. L'Espagne a commencé le Mondial en prenant un carton sans précédent face aux Pays-Bas, qui se sont cruellement vengés de la finale d'Afrique du Sud», explique Sport. Enfin, El Pais parle lui du «pire début de l'Espagne dans un Mondial». «C'est la plus lourde défaite d'un champion. L'Espagne n'avait plus encaissé cinq buts depuis le 6-2 face à l'Ecosse en 1996.»
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La presse espagnole est sous le choc. (D.R)

Les journaux espagnols n'ont pas été tendres avec la sélection espagnole, balayée par les Pays-Bas vendredi soir (5-1). Vendredi en fin de soirée, on pouvait ainsi lire sur les sites internet des principaux médias espagnols des titres saignants. «Humiliation mondiale», pour Marca en Une et en commentaire : «Les cadeaux de Casillas et de la défense, ajoutés au chaos tactique créé par les changements, ont provoqué une raclée scandaleuse, un 1-5 à oublier.» «Le pire cauchemar du champion», titre pour sa part AS, pour lequel «Robben et Van Persie, avec deux buts chacun, ont détruit la sélection espagnole».
Côté Catalan, on est une fois n'est pas coutume d'accord. «Pire, impossible. L'Espagne a commencé le Mondial en prenant un carton sans précédent face aux Pays-Bas, qui se sont cruellement vengés de la finale d'Afrique du Sud», explique Sport. Enfin, El Pais parle lui du «pire début de l'Espagne dans un Mondial». «C'est la plus lourde défaite d'un champion. L'Espagne n'avait plus encaissé cinq buts depuis le 6-2 face à l'Ecosse en 1996.»
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Del Bosque : «On est tous coupables»
Vicente Del Bosque n'avait pas d'explication après la gifle reçue par l'Espagne (5-1) vendredi face aux Pays-Bas.
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Vicente Del Bosque se tourne vers le prochain match de l'Espagne contre le Chili. (Reuters)

«Vicente Del Bosque, quelle est votre réaction ?
Ce n'est pas un moment heureux pour nous. En tant que sportif, je félicite les Pays-Bas, qui nous ont été supérieurs en seconde période, qui nous ont débordés. Le bon équilibre qu'on avait en première période s'est cassé face au jeu néerlandais. Il ne faut pas chercher de coupables, que personne ne paie seul, on est tous coupables. Maintenant, il faut aller chercher la victoire au prochain match. On a une certaine expérience. Je ne compare pas cette défaite avec celle contre la Suisse (lors de l'entrée en lice de l'Espagne au Mondial 2010, ndlr), mais ce n'est qu'un match, et trois points.
«On ne peut pas faire porter la faute sur une seule personne, encore moins sur Iker Casillas.»La défaite espagnole s'explique-t-elle par des questions de physique ?
Il y a des choses inexplicables. Ce n'est pas une question de physique, c'est que l'optimisme de la deuxième période des Pays-Bas a coïncidé avec notre notre pessimisme. Je me sens mal, mais nous avons suffisamment de courage pour réagir. Il y a eu des moments-clef, comme le face à face de David Silva qui aurait pu être le deuxième but. Il y a eu un avant et un après.
Comment s'est passé le retour aux vestiaires ?
On a une équipe de bons professionnels, de bons gars, ils savent ce qu'est la défaite. Il n'y a pas eu un seul regard des uns contre les autres. Quand ils sont arrivés aux vestiaires, ils ont eu envie de gagner le prochain match.
Allez-vous sortir Casillas de l'équipe ?
On ne cherche pas de coupable, la défaite ne vient pas d'un joueur, mais de toute l'équipe. On ne peut pas faire porter la faute sur une seule personne, encore moins sur Iker Casillas.
«Absolument inexplicable»
A lire aussi

Foot - CM - Gr. B L'Espagne humiliée d'entrée !
Cinq buts encaissés en un match, autant que le total lors de la dernière Coupe du monde et des dernières qualifications...
C'est absolument inexplicable, je ne trouve pas de mot.
Que pensez-vous des sifflets contre Diego Costa ?
A la 40e minute à peu près, il s'est très bien déplacé et a obtenu un penalty, alors les sifflets ne l'ont pas touché. Le pays qui accueille la Coupe du monde le voit comme une menace, je ne crois pas que ça nous ait affecté, ni lui ni nous.»
Vicente Del Bosque n'avait pas d'explication après la gifle reçue par l'Espagne (5-1) vendredi face aux Pays-Bas.
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Vicente Del Bosque se tourne vers le prochain match de l'Espagne contre le Chili. (Reuters)

«Vicente Del Bosque, quelle est votre réaction ?
Ce n'est pas un moment heureux pour nous. En tant que sportif, je félicite les Pays-Bas, qui nous ont été supérieurs en seconde période, qui nous ont débordés. Le bon équilibre qu'on avait en première période s'est cassé face au jeu néerlandais. Il ne faut pas chercher de coupables, que personne ne paie seul, on est tous coupables. Maintenant, il faut aller chercher la victoire au prochain match. On a une certaine expérience. Je ne compare pas cette défaite avec celle contre la Suisse (lors de l'entrée en lice de l'Espagne au Mondial 2010, ndlr), mais ce n'est qu'un match, et trois points.
«On ne peut pas faire porter la faute sur une seule personne, encore moins sur Iker Casillas.»La défaite espagnole s'explique-t-elle par des questions de physique ?
Il y a des choses inexplicables. Ce n'est pas une question de physique, c'est que l'optimisme de la deuxième période des Pays-Bas a coïncidé avec notre notre pessimisme. Je me sens mal, mais nous avons suffisamment de courage pour réagir. Il y a eu des moments-clef, comme le face à face de David Silva qui aurait pu être le deuxième but. Il y a eu un avant et un après.
Comment s'est passé le retour aux vestiaires ?
On a une équipe de bons professionnels, de bons gars, ils savent ce qu'est la défaite. Il n'y a pas eu un seul regard des uns contre les autres. Quand ils sont arrivés aux vestiaires, ils ont eu envie de gagner le prochain match.
Allez-vous sortir Casillas de l'équipe ?
On ne cherche pas de coupable, la défaite ne vient pas d'un joueur, mais de toute l'équipe. On ne peut pas faire porter la faute sur une seule personne, encore moins sur Iker Casillas.
«Absolument inexplicable»
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Foot - CM - Gr. B L'Espagne humiliée d'entrée !
Cinq buts encaissés en un match, autant que le total lors de la dernière Coupe du monde et des dernières qualifications...
C'est absolument inexplicable, je ne trouve pas de mot.
Que pensez-vous des sifflets contre Diego Costa ?
A la 40e minute à peu près, il s'est très bien déplacé et a obtenu un penalty, alors les sifflets ne l'ont pas touché. Le pays qui accueille la Coupe du monde le voit comme une menace, je ne crois pas que ça nous ait affecté, ni lui ni nous.»
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
ondial de football : l'Espagne humiliée par les Pays-Bas (5 à 1)
Le 13 juin à 22h45 | Mis à jour il y a 9 heures
Abattus, les Espagnols pourront-il faire oublier ce début, plutôt désastreux, du Mondial ? Affaire à suivre... PHOTO/AFP Javier Soriano
Le mondial de football démarre mal pour le onze ibérique qui s'est heurté à une équipe des Pays-Bas qui n'a pas laissé passer la moindre erreur... et a concrétisé à 5 reprises. Les Espagnols ont semblé tout au long de la rencontre à côté de leurs crampons... pressés, submergés par des Néerlandais en pleine possession de leur sujet. Une correction pour ne pas dire une véritable humiliation.
Le 13 juin à 22h45 | Mis à jour il y a 9 heures

Le mondial de football démarre mal pour le onze ibérique qui s'est heurté à une équipe des Pays-Bas qui n'a pas laissé passer la moindre erreur... et a concrétisé à 5 reprises. Les Espagnols ont semblé tout au long de la rencontre à côté de leurs crampons... pressés, submergés par des Néerlandais en pleine possession de leur sujet. Une correction pour ne pas dire une véritable humiliation.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
[size=40]Casillas: «Pas à la hauteur»
Iker Casillas, gardien et capitaine d'une Espagne dépassée, ne pouvait qu'accepter la lourde défaite contre les Pays-Bas (1-5) mais appelle déjà à la mobilisation pour le match contre le Chili.
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Iker Casillas veut que les supporters de la Roja oublient la défaite contre les Pays-Bas. (Reuters)
[/size]
«Iker Casillas, que s'est-il passé contre les Pays-Bas ?
Nous n'avons pas eu de réussite, à commencer par moi. Les choses ne se sont pas passées comme on le pensait et moi, je n'ai pas été à la hauteur. Il faut regarder les choses en face, ce n'était pas mon meilleur match. J'accepte la critique.
«Trois ou quatre jours pour changer les choses»
Y avait-il faute de Van Persie sur le troisième but ?
L'arbitre n'a rien sifflé donc cela ne sert à rien d'en parler. C'est une erreur de ma part et j'assume mes erreurs.
Quelle a été la réaction de l'équipe ?
Dans ces moments, il est facile de rejeter la faute sur l'autre mais cette équipe s'est toujours caractérisée par son sens collectif. Les joueurs les plus importants de cette sélection doivent donner l'exemple. Il faut rester uni. Nous avons trois ou quatre jours pour changer les choses.
Justement, comment voyez-vous la suite?
Je ne veux déjà plus penser au match de ce soir. Je veux penser au prochain, celui contre le Chili, qui est le plus important. En tant que capitaine, je voudrais que les gens oublient ce match contre les Pays-Bas et aussi leur demander pardon pour ce que nous avons fait et notamment moi.»
Iker Casillas, gardien et capitaine d'une Espagne dépassée, ne pouvait qu'accepter la lourde défaite contre les Pays-Bas (1-5) mais appelle déjà à la mobilisation pour le match contre le Chili.
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Iker Casillas veut que les supporters de la Roja oublient la défaite contre les Pays-Bas. (Reuters)

«Iker Casillas, que s'est-il passé contre les Pays-Bas ?
Nous n'avons pas eu de réussite, à commencer par moi. Les choses ne se sont pas passées comme on le pensait et moi, je n'ai pas été à la hauteur. Il faut regarder les choses en face, ce n'était pas mon meilleur match. J'accepte la critique.
«Trois ou quatre jours pour changer les choses»
Y avait-il faute de Van Persie sur le troisième but ?
L'arbitre n'a rien sifflé donc cela ne sert à rien d'en parler. C'est une erreur de ma part et j'assume mes erreurs.
Quelle a été la réaction de l'équipe ?
Dans ces moments, il est facile de rejeter la faute sur l'autre mais cette équipe s'est toujours caractérisée par son sens collectif. Les joueurs les plus importants de cette sélection doivent donner l'exemple. Il faut rester uni. Nous avons trois ou quatre jours pour changer les choses.
Justement, comment voyez-vous la suite?
Je ne veux déjà plus penser au match de ce soir. Je veux penser au prochain, celui contre le Chili, qui est le plus important. En tant que capitaine, je voudrais que les gens oublient ce match contre les Pays-Bas et aussi leur demander pardon pour ce que nous avons fait et notamment moi.»
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
[size=36]Casillas s'excuse[/size]

voir les photos
A l'image de son équipe, Iker Casillas est passé au travers, vendredi, face aux Pays-Bas. Au point de demander pardon pour la gifle reçue (5-1).
Iker Casillas veut voir plus loin. Et tenter d'oublier l'incroyable défaite concédée dans le remake de la finale de la dernière Coupe du Monde. Tout avait pourtant bien commencé avec ce penalty de Xabi Alonso, mais la Furia Roja a été emportée par la furie néerlandaise et l'addition aurait encore pu être plus salée si Iker Casillas n'avait pas signé quelques arrêts de grande classe quand le navire espagnol coulait en toute fin de match.
Mais elle aurait également pu être moins lourde si l'icône du Real Madrid n'avait pas failli en deuxième période. "Il faut accepter la réalité et dire que ce n'était pas mon meilleur match. J'accepte la critique", a ainsi expliqué Casillas à l'issue de la rencontre. Fautif sur les 3e et, surtout, 4e buts de son équipe, San Iker n'en veut même pas à l'arbitre de ne pas avoir sifflé une éventuelle faute sur le but de De Vrij, malgré un contact de Van Persie. «L'arbitre n'a pas sifflé et on n'a pas besoin d'en parler. J'ai commis une erreur et je l'assume», a assuré le gardien à Marca.
A tel point que le capitaine des champions du monde a tenu à demander pardon à ses supporters. «Je voudrais que nos fans oublient ce match mais aussi leur demander pardon pour ce que nous avons fait, moi le premier» a-t-il en effet ajouté avant donc de se projeter vers le prochain match. «On a désormais trois, quatre jours pour changer les choses.»En espérant que cela suffise...
En attendant, ce qui est sûr, c'est qu'Iker Casillas ne battra pas le record de Walter Zenga. Trompé par Van Persie peu avant la pause, Casillas a vu son invincibilité en Coupe du Monde s'arrêter après 476 minutes de jeu alors que l'ancien gardien italien avait tenu 517 minutes sans prendre de but...

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A l'image de son équipe, Iker Casillas est passé au travers, vendredi, face aux Pays-Bas. Au point de demander pardon pour la gifle reçue (5-1).
Iker Casillas veut voir plus loin. Et tenter d'oublier l'incroyable défaite concédée dans le remake de la finale de la dernière Coupe du Monde. Tout avait pourtant bien commencé avec ce penalty de Xabi Alonso, mais la Furia Roja a été emportée par la furie néerlandaise et l'addition aurait encore pu être plus salée si Iker Casillas n'avait pas signé quelques arrêts de grande classe quand le navire espagnol coulait en toute fin de match.
Mais elle aurait également pu être moins lourde si l'icône du Real Madrid n'avait pas failli en deuxième période. "Il faut accepter la réalité et dire que ce n'était pas mon meilleur match. J'accepte la critique", a ainsi expliqué Casillas à l'issue de la rencontre. Fautif sur les 3e et, surtout, 4e buts de son équipe, San Iker n'en veut même pas à l'arbitre de ne pas avoir sifflé une éventuelle faute sur le but de De Vrij, malgré un contact de Van Persie. «L'arbitre n'a pas sifflé et on n'a pas besoin d'en parler. J'ai commis une erreur et je l'assume», a assuré le gardien à Marca.
A tel point que le capitaine des champions du monde a tenu à demander pardon à ses supporters. «Je voudrais que nos fans oublient ce match mais aussi leur demander pardon pour ce que nous avons fait, moi le premier» a-t-il en effet ajouté avant donc de se projeter vers le prochain match. «On a désormais trois, quatre jours pour changer les choses.»En espérant que cela suffise...
En attendant, ce qui est sûr, c'est qu'Iker Casillas ne battra pas le record de Walter Zenga. Trompé par Van Persie peu avant la pause, Casillas a vu son invincibilité en Coupe du Monde s'arrêter après 476 minutes de jeu alors que l'ancien gardien italien avait tenu 517 minutes sans prendre de but...
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
[size=36]Espagne: Une défaite historique[/size]

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Bien malgré elle, l'Espagne est entrée dans la légende de la Coupe du monde vendredi à Salvador, dans le choc du groupe B. Humiliée face aux Pays-Bas (1-5) pour son entrée en lice, la Furia Roja a subi la plus large défaite qu'un tenant du titre ait jamais concédée dans l'histoire de la compétition. Autre statistique révélatrice, soulignée par Opta sur son compte Twitter, il n'y a que contre le Brésil que les Espagnols ont encaissé plus de buts que face aux Néerlandais lors d'une phase finale d'un Mondial: c'était en 1950 devant le Brésil (1-6). Ce soir, les joueurs de Vicente Del Bosque ont craqué sur des réalisations de Robin van Persie (44e, 72e), Arjen Robben (53e, 80e) et Stefan de Virj (64e), alors que Xabi Alonso avait ouvert le score sur un penalty contestable avant la demi-heure de jeu (27e).

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Bien malgré elle, l'Espagne est entrée dans la légende de la Coupe du monde vendredi à Salvador, dans le choc du groupe B. Humiliée face aux Pays-Bas (1-5) pour son entrée en lice, la Furia Roja a subi la plus large défaite qu'un tenant du titre ait jamais concédée dans l'histoire de la compétition. Autre statistique révélatrice, soulignée par Opta sur son compte Twitter, il n'y a que contre le Brésil que les Espagnols ont encaissé plus de buts que face aux Néerlandais lors d'une phase finale d'un Mondial: c'était en 1950 devant le Brésil (1-6). Ce soir, les joueurs de Vicente Del Bosque ont craqué sur des réalisations de Robin van Persie (44e, 72e), Arjen Robben (53e, 80e) et Stefan de Virj (64e), alors que Xabi Alonso avait ouvert le score sur un penalty contestable avant la demi-heure de jeu (27e).
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
[size=36]Espagne-Del Bosque: "C'est vraiment inexplicable"[/size]

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Championne du monde en titre, l'Espagne espérait bien sûr une toute autre entrée matière dans le Mondial brésilien que l'humiliation subie face au Pays-Bas (5-1), vendredi soir à Salvador. Une correction que Vicente Del Bosque peine à expliquer. "Ça ne va pas fort, mais j'ai la force de caractère nécessaire pour assumer cette défaite sans perdre pied. Prendre cinq buts, c'est vraiment inexplicable. Nous ne sommes pas une équipe défensive, c'est certain, mais nous avons toujours été solides derrière, a ainsi confié le sélectionneur ibérique sur le site de la Fifa. En première période, nous avons créé quelques espaces malgré la pression adverse, mais ils ont su prendre l'ascendant en jouant dans le dos de nos défenseurs. On ne doit pas jeter la pierre à Casillas. Si on a perdu, c'est à cause de toute l'équipe." Del Bosque sait que son équipe a encore son destin entre les mains si elle se ressaisit immédiatement face au Chili mercredi prochain: "Aujourd'hui, nous avons l'expérience nécessaire pour la gérer et pour comprendre que nous avons surtout perdu trois points. Il faut relever la tête et regarder devant, comme n'importe quel athlète désireux d'atteindre son prochain objectif."

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Championne du monde en titre, l'Espagne espérait bien sûr une toute autre entrée matière dans le Mondial brésilien que l'humiliation subie face au Pays-Bas (5-1), vendredi soir à Salvador. Une correction que Vicente Del Bosque peine à expliquer. "Ça ne va pas fort, mais j'ai la force de caractère nécessaire pour assumer cette défaite sans perdre pied. Prendre cinq buts, c'est vraiment inexplicable. Nous ne sommes pas une équipe défensive, c'est certain, mais nous avons toujours été solides derrière, a ainsi confié le sélectionneur ibérique sur le site de la Fifa. En première période, nous avons créé quelques espaces malgré la pression adverse, mais ils ont su prendre l'ascendant en jouant dans le dos de nos défenseurs. On ne doit pas jeter la pierre à Casillas. Si on a perdu, c'est à cause de toute l'équipe." Del Bosque sait que son équipe a encore son destin entre les mains si elle se ressaisit immédiatement face au Chili mercredi prochain: "Aujourd'hui, nous avons l'expérience nécessaire pour la gérer et pour comprendre que nous avons surtout perdu trois points. Il faut relever la tête et regarder devant, comme n'importe quel athlète désireux d'atteindre son prochain objectif."
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
[size=36]Casillas passe à côté du record de Zenga[/size]

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Iker Casillas a vécu une soirée cauchemardesque, vendredi soir à Salvador, face aux Pays-Bas en étant pris de court à cinq reprises (1-5) et en se rendant coupable d'une grosse bévue sur le quatrième but à cause d'un contrôle manqué. Piégé une première fois par le but de Robin Van Persie (44e), le gardien du Real Madrid a alors été stoppé dans sa perspective de record d'invincibilité dans une phase finale de Coupe du monde avec un total de 477 minutes. Le record en la matière reste la propriété de l'Italien Zenga qui est resté invaincu pendant 517 minutes au cours du Mondial sur son sol en 1990, soit seulement 40 minutes de plus que Casillas.

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Iker Casillas a vécu une soirée cauchemardesque, vendredi soir à Salvador, face aux Pays-Bas en étant pris de court à cinq reprises (1-5) et en se rendant coupable d'une grosse bévue sur le quatrième but à cause d'un contrôle manqué. Piégé une première fois par le but de Robin Van Persie (44e), le gardien du Real Madrid a alors été stoppé dans sa perspective de record d'invincibilité dans une phase finale de Coupe du monde avec un total de 477 minutes. Le record en la matière reste la propriété de l'Italien Zenga qui est resté invaincu pendant 517 minutes au cours du Mondial sur son sol en 1990, soit seulement 40 minutes de plus que Casillas.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Maradona allume Casillas après le match face aux Pays-Bas
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Pour Diego Maradona, Mourinho a raison sur Iker Casillas (L'Equipe)

Après la déroute de l'Espagne, vendredi, face aux Pays-Bas (1-5), Diego Maradona n'a pas apprécié la prestation du gardien espagnol Iker Casillas : «Le match des Pays-Bas a été excellent. Ils en ont mis 5 mais auraient pu en mettre encore plus. Quant au match de Casillas, je me souviens d'une phrase de mon ami José Mourinho (qui a entraîné l'Espagnol au Real) me disant qu'il n'était plus un bon gardien et qu'il lui avait coûté cher. Je pense qu'il a raison.»
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Pour Diego Maradona, Mourinho a raison sur Iker Casillas (L'Equipe)

Après la déroute de l'Espagne, vendredi, face aux Pays-Bas (1-5), Diego Maradona n'a pas apprécié la prestation du gardien espagnol Iker Casillas : «Le match des Pays-Bas a été excellent. Ils en ont mis 5 mais auraient pu en mettre encore plus. Quant au match de Casillas, je me souviens d'une phrase de mon ami José Mourinho (qui a entraîné l'Espagnol au Real) me disant qu'il n'était plus un bon gardien et qu'il lui avait coûté cher. Je pense qu'il a raison.»
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
le billet
La saison des Oranges
Ces Pays-Bas nous laissent babas. En cinq coups de canon tirés sur la pelouse humide de Salvador de Bahia, ils ont illuminé ce début de Mondial. Le matin encore, on les disait au fond du trou… Et voilà ces Hollandais volant, jaillissant et punissant à la surprise générale les champions du monde en titre.
Quel contraste avec la finale de 2010, Van Persie et Robben les mines abattues face à une « Roja » irrésistible ! Changement de décor radical vendredi soir : cette fois, les géniaux duettistes bataves ont donné la leçon aux Iniesta, Fabregas et autre Casillas.
On les avait oubliés un peu vite, mais il va falloir ramener ces Néerlandais au rang des principaux prétendants au titre. Après avoir vu un Brésil poussif et une Espagne submergée, on se dit que c'est peut-être la saison des Oranges. Trois fois finalistes, les Pays-Bas n'ont pas encore à leur palmarès un titre que la valeur de leur football mérite. Alors…
Quant aux Espagnols, ils semblent emboîter le pas de leur ancien souverain Juan Carlos sur la voie de l'abdication, même si mathématiquement, rien n'est perdu. Il leur faudra pourtant trouver les forces d'une véritable résurrection.
Pour riposter à ces redoutables Néerlandais qui ont placé la barre très haut, place aux Bleus de Didier Deschamps…
La saison des Oranges
Ces Pays-Bas nous laissent babas. En cinq coups de canon tirés sur la pelouse humide de Salvador de Bahia, ils ont illuminé ce début de Mondial. Le matin encore, on les disait au fond du trou… Et voilà ces Hollandais volant, jaillissant et punissant à la surprise générale les champions du monde en titre.
Quel contraste avec la finale de 2010, Van Persie et Robben les mines abattues face à une « Roja » irrésistible ! Changement de décor radical vendredi soir : cette fois, les géniaux duettistes bataves ont donné la leçon aux Iniesta, Fabregas et autre Casillas.
On les avait oubliés un peu vite, mais il va falloir ramener ces Néerlandais au rang des principaux prétendants au titre. Après avoir vu un Brésil poussif et une Espagne submergée, on se dit que c'est peut-être la saison des Oranges. Trois fois finalistes, les Pays-Bas n'ont pas encore à leur palmarès un titre que la valeur de leur football mérite. Alors…
Quant aux Espagnols, ils semblent emboîter le pas de leur ancien souverain Juan Carlos sur la voie de l'abdication, même si mathématiquement, rien n'est perdu. Il leur faudra pourtant trouver les forces d'une véritable résurrection.
Pour riposter à ces redoutables Néerlandais qui ont placé la barre très haut, place aux Bleus de Didier Deschamps…
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